"Une photographie du bar Comptoir Voltaire a été publié sur Twitter moins d'une demi-heure avant l'arrivée du "kamikaze" Brahim Abdeslam. Panamza a identifié le lieu exact depuis lequel cette image troublante a été capturée.
Un étrange silence des autorités et de la quasi-totalité de la presse hexagonale sur ce sujet.
Le 17 novembre, l'édition numéro 3470 de Paris Match était consacrée aux attentats survenus quatre jours plus tôt dans la région parisienne.
Une page du magazine comportait cette révélation : le soir du vendredi 13 novembre, à 21h16 précisément, quelqu'un a posté sur Twitter une photographie représentant, vu d'en haut, le bar Comptoir Voltaire. Une vingtaine de minutes plus tard, une explosion devait se produire dans l'établissement : selon la version officielle, le "djihadiste" Brahim Abdeslam, également présenté comme l'un des auteurs des fusillades, s'y serait fait exploser.
Le compte Twitter -"suspendu" depuis- était dénommé "op_is90". Il correspondait avec d'autres comptes (@AbkomrAli ,@muslemblochi, @zahrfs0d, @tahhos3) également supprimés par Twitter.
Son image de profil renvoyait au portrait du Jordanien Abou Moussab Al-Zarkaoui, figure opaque du djihadisme dans le milieu des années 2000.
Paris Match, dont l'information-choc n'a été relayée et développée par AUCUN média traditionnel de l'Hexagone, s'est contenté d'indiquer que l'immeuble était situé dans le "XIème arrondissement" de Paris.
Panamza s'est rendu sur les lieux afin d'identifier exactement le lieu depuis lequel la photographie a été capturée.
Il s'agit d'un balcon de l'un des deux appartements (situés sous les toits) du 6ème étage d'un immeuble haussmanien basé au 68, rue de Montreuil -non loin de la place de la Nation.
L'accès direct au locataire ou propriétaire de l'appartement n'a pas été possible.
Voici plusieurs angles de vue, collectés par Panamza et relatifs au lieu qui fut occupé par quelqu'un qui avait donc connaissance à l'avance de l'explosion du Comptoir Voltaire.
Cette information, révélée initialement par Paris Match et approfondie aujourd'hui par Panamza, n'a jamais été exposée par les autorités : ni Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, ni François Molins, procureur de la République de Paris, n'y ont fait la moindre allusion.
Officiellement, les terroristes présumés du 13 novembre et leurs complices n'ont pas été domiciliés ou hébergés à Paris.
Alfortville, Saint-Denis, Bobigny? Oui.
68, rue de Montreuil, à deux pas d'un quartier emblématique de la communauté juive? Non." (...)

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