""Le Portugal a été la victime, ces derniers jours, d’un coup d’Etat silencieux organisé par des dirigeants pro-Européens de ce pays. Cet événement est particulièrement grave. Il survient alors que nous avons encore en mémoire le coup de force réussi contre le gouvernement grec par la combinaison de pressions politiques venant de l’Euro groupe et de pressions économiques (et financières) en provenance de la Banque Centrale Européenne. Il confirme la nature profondément anti-démocratique l’Union européenne.
Pour la première fois depuis la création de l’Union monétaire européenne, un Etat membre a pris la décision explicite d’interdire l’accession au pouvoir de partis eurosceptiques, au nom de l’intérêt national."" (...)