Les massacres des Palestiniens continuent sans parler des graves atteintes aux libertés comme celle d’aller prier simplement à la mosquée du dôme du Rocher. Sans oublier la volonté d’interdiction de l’appel à la prière dans toute la Palestine occupée par ces voleurs de terres, l’installation de portiques de sécurité pour accéder à l’esplanade, les milliers de cas d’humiliations quotidiens, le blocus inhumain sur Gaza… il fallait bien que ça explose à un moment ou à un autre. On y est !
La visualisation de la vidéo ci-dessus montre encore une fois le décalage effrayant entre l’armée sioniste scélérate surprotégée et surarmée contre de pauvres Palestiniens désarmés, en simples t-shirts face à l’occupant menaçant qui n’hésite pas à tirer à vue ! Quel courage !
La Palestine et son peuple vaincront, c’est une certitude et une question de temps…
Jérusalem : quelles issues possibles ?
Depuis Jérusalem, Cyril Payen fait le point pour France 3 sur les tensions qui règnent dans la ville.
Alors que la situation était explosive vendredi 21 juillet à Jérusalem, Cyril Payen, correspondant de France 24 à Jérusalem, expliquait qu' »il y a quelques instants, il vient d’y avoir une attaque au couteau en Cisjordanie. Au nord de Jérusalem, un Palestinien a poignardé trois Israéliens qui ont succombé et sur l’esplanade des mosquées, à l’heure où je vous parle, la situation est très très volatile, très imprévisible. Il y a toujours des milliers de musulmans palestiniens qui sont massés aux abords de tous les barrages qui ont été mis par les forces de sécurité israéliennes et qui les empêchent de rentrer dans la vieille ville de Jérusalem. Donc il est très difficile, à l’heure où je vous parle, de savoir ce qu’il va se passer cette nuit« .
Un cabinet de sécurité qui a duré toute la nuit
Le journaliste ajoute qu' »il y a un grand dilemme sécurité en Israël, c’est que l’on sait qu’il y a eu un cabinet de sécurité qui a duré toute la nuit et on sait qu’il y a eu énormément de divisions, notamment l’armée, qui connait bien le problème sur le terrain, qui voulait apaiser les tensions, mais on pense que la police, et surtout l’aile d’extrême droite du gouvernement israélien, a refusé ce qui aurait pu être vécu comme le fait de céder aux exigences palestiniennes.«

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