Chiffres clés, fiches marchés et études

Quel tourisme en France et dans le monde à l’horizon 2040 ? Atout France, l’agence de développement touristique de la France, s’est penchée sur le sujet dans sa nouvelle étude « Horizons 2040 : construire ensemble les tourismes de demain » (2023). Un travail de prospective, résultat d’une longue enquête et d’analyse d’informations, qui a permis à l’agence d’imaginer quatre scénarios pour le futur du tourisme. Ces différents scénarios, construits à partir d’une même grille de lecture, donnent chacun une perspective différente sur le futur du tourisme.

Avec plus de 295 000 séjours réalisés, HomeExchange s’est offert un nouveau record en 2023. La plateforme d’échange de maisons entre particuliers ambitionne d’atteindre les 200 000 membres d’ici fin 2024, tout favorisant un voyage plus lent et plus local. A l’occasion de la publication de son étude sur son impact socio-économique par rapport aux autres formes d’hébergements touristiques, nous avons interrogé Charles-Edouard Girard, Co-fondateur d’HomeExchange.

Encore une fois, la France figure en mauvaise position d’une étude sur l’hospitalité des pays européens

L’Echo touristique publie la septième édition du baromètre trimestriel et exclusif de l’attractivité de la destination France, réalisé par le fournisseur spécialisé dans l’analyse de données Mabrian.

Selon le blog du channel manager elloha, un professionnel du tourisme sur deux s'attend à une année 2024 qui sera ni pire ni mieux qu'en 2023. Ce "moral" s'est affirmé lors du premier webinaire de l'année tenu, comme à chaque début d'année, par Bruno DELMAS, le fondateur de elloha, sur les tendances à venir dans l'année en cours.

Dans le cadre d’un partenariat avec Routard.com, nous avons interrogé les voyageurs français afin de connaître leur vision sur la manière dont nous voyagerons demain. Beaucoup espèrent continuer à voyager dans des transports moins polluants et sont prêts à utiliser la technologie si elle facilite leur séjour.

Cette note aborde plusieurs points clés sur le tourisme des « jeunes ». Premièrement, elle met en évidence la diversité des initiatives et des sources d’information sur le tourisme des jeunes en raison du manque de données institutionnelles stabilisées. Deuxièmement, elle interroge la pertinence des catégories d’âge traditionnelles en faveur d’une approche générationnelle basée sur l’année de naissance. Troisièmement, elle souligne le rôle crucial du numérique dans les choix de vacances des jeunes, mettant en avant l’autonomie qu’ils revendiquent dans la construction de leurs projets de voyage. Enfin, elle soulève les tendances de voyage des jeunes, dont l’aspiration à la mer, la préférence pour les voyages en famille, et l’influence du numérique sur leurs choix.

Une récente enquête menée auprès de 1 000 clients d'Allianz Travel Insurance, ayant inclus un circuit dans leur itinéraire de voyage en 2023, a révélé que l'Europe est la destination la plus prisée des voyageurs réservant des circuits.

"Le rapport Shiji (référence mondiale dans le domaine) sur les avis produits a 3ème trimestre 2023 est sans appel : 8 avis sur 10, dans l'univers du voyage, sont produits via seulement deux plateformes, Booking et Google ! Et c'est aussi sur ces sites que les voyageurs prennent pour habitude, désormais, d'aller chercher un avis sur votre établissement avant de réserver. En clair, que ce soit pour recevoir des avis ou pour les exposer, c'est bien sur ces sites qu'il faut être".

Qui mieux que les agences pour savoir quelles sont vraiment les motivations des voyageurs aujourd’hui ? Le Cediv vient de révéler son enquête sur le sujet. Bien des réponses prennent le contrepied des idées reçues

François de Canson, le président d’ADN Tourisme, a présenté ce matin 21 novembre 2023, les perspectives pour l'ensemble de l'année touristique 2023. Pas de doute, ce sera un bon cru. Et l'hiver à venir se présente plutôt bien.

Expedia, Abritel et Hotels.com publient une étude commune sur les tendances voyages pour 2024. Huit tendances principales sont mises en avant à travers ce rapport, dont les « dupes destinations » et la « génération IA générative ». 

Jamais comme ces trois dernières années, la mutation digitale, le covid et l'inflation n'auront autant changé la manière dont les consommateurs réservent leurs voyages. Selon l'étude Kantar Siteminder, qui a interrogé 10.000 voyageurs dans 12 pays (dont la France), 75% d'entre eux ont déjà changé leur façon d'aborder la réservation en ligne ... Une mutation pas aussi rapide, malheureusement, chez certains professionnels comme le déplorent les voyageurs.

"Cette année, si 42% des voyageurs du monde entier affirment vouloir voyager plus en 2024, les français ne sont que 32%, selon l'étude Skyscanner, à imaginer voyager plus souvent l'an prochain; ce qui les place, avec les japonais et les britanniques, en queue du classement mondial établi par Skyscanner. Ce qui ne signifie pas que les français seront absents du marché national, bien au contraire."

Comme chaque année à cette époque, Booking dévoile ses prédictions pour l'année à venir : retour sur soi, voyages-surprise, nature intérieure et défense des "goûts locaux" ... sans oublier l'eau sous toutes ses formes. Il y a du travail pour tenter le coeur des voyageurs de l'année prochain

D'ici à 2025, selon le spécialiste STR, une chambre sur quatre construite dans le monde sera celle d'un hôtel de type "lifestyle" (que l'on pourrait traduire par "style de vie" ou "art de vivre"). Depuis 2020, rien qu'aux US, selon le spécialiste JLL, il s'est déjà construit 10.000 chambres d'hôtels répondant à ce nouveau "créneau

"Les voyageurs français passent environ 30 jours à réfléchir à leur voyage pendant la phase d’inspiration initiale (contre seulement 17 jours pour les japonais ...) et encore 30 jours de plus à faire des recherches et à le planifier, soit des durées comparables à la moyenne (mondiale). Une fois leurs projets définis, ils effectuent leur réservation plus de 60 jours avant le début de leur voyage". 

Le tourisme hexagonal enregistre une hausse de 15% des projets d’investissements au premier semestre. Une bonne dynamique qui s’accompagne de mutations significatives.

"Comme le révèle le dernier rapport Amadeus pour la France , globalement l'été 2022 aura connu la même dynamique  que celui de l'année précédente. Cependant, l'étude révèle quand même que le taux d'occupation "prévisionnel" de ce début de mois de septembre devrait se situer 4 points au dessus de celui de l'an derier; une prévision "ajustée" des données réelles de l'été qui conforte la thèse d'un "été indien" plus dynamique que les années précédente."

"La place touristique de la France peut être remise en question. Une analyse comparative européenne en révèle les imperfections via le Tableau de bord du tourisme de l’UE."

"Comme on s'y attendait lors du début de cette saison, de nombreux voyageurs semblent avoir décidé de reporter leurs traditionnelles vacances d'été vers des périodes (économiquement) plus propices; c'est-à-dire, de septembre à fin octobre prochain. Expedia, cette semaine, a révélé avoir observé une croissance de 20% des recherches d'hébergements par rapport à l'automne 2022".

48°C en Sardaigne, 47 en Espagne et plus de 40 en Grèce. Comme depuis plusieurs années, cet été, l’Europe suffoque sous des températures record. Quels effets ces vagues de chaleur ont et auront-elles sur le tourisme ? Euronews a posé la question à des spécialistes du secteur.

Chaque année, environ 40% des Français ne partent pas en vacances. Les contraintes financières comptent parmi les raisons le plus souvent invoquées.

Après des mois de mai et de juin aux performances « exceptionnelles », la saison 2023 s’annonce favorable selon Bercy. Mais tous les territoires ne sont pas logés à la même enseigne.

Selon la dernière étude de Barclaycard (le système de paiement de la célèbre banque britannique qui a "processé" 8,7 Milliards de transactions l'an dernier), le phénomène des annulations de dernière minute et de "no show" a pris une ampleur inédite depuis de le début de cette année. Au point que certaines entreprises touristiques britanniques se demandent si ces "couacs" ne vont pas les encourager à fermer plus tôt que prévu leur établissement .