Tourisme durable

Beaucoup voient encore le voyage écoresponsable comme un luxe réservé aux privilégiés. Point de départ : ce constat. Cap ensuite sur les faits, les comparaisons concrètes, les astuces budgétaires. Finalité claire : montrer qu’un voyage durable reste à la portée de toutes les bourses, et parfois même plus économique que le tourisme classique.

Api & You, basée à Poligny (Jura), annonce son intégration dans la communauté Coq Vert, portée par Bpifrance et l’ADEME, qui réunit les entreprises françaises engagées dans la transition écologique et énergétique.

Le 3 septembre 2025, l’Allemagne accueillera un parc d’attractions inédit à Beiersdorf, près de Grimma en Saxe : ArkaZien, le premier parc éco-responsable du pays. Fruit de plus de 13 ans de vision et de travail artisanal, ce lieu promet une expérience unique alliant nature, fantaisie et durabilité, loin des classiques parcs bruyants remplis d’attractions mécaniques.

En France, comme partout en Europe, le tourisme est en pleine transformation. Les voyageurs d’aujourd’hui ne cherchent plus seulement à aller plus loin – ils souhaitent voyager de manière plus responsable. De plus en plus conscients de l’impact de leurs choix, ils expriment une volonté affirmée de préserver l’environnement et de soutenir les communautés locales.

Visit California lance un portail d’accessibilité destiné aux voyageurs en situation de handicap. L’objectif est de centraliser conseils, outils et inspirations pour permettre à chacun de découvrir l’État en toute liberté.

La durabilité est devenue le mot d’ordre du secteur touristique. De plus en plus de destinations se revendiquent « vertes » ou « responsables », affichant leur engagement pour la planète et les communautés locales. Mais derrière les slogans et les campagnes séduisantes, une réalité inquiète les experts : celle du greenwashing, cette pratique qui consiste à embellir la réalité ou à exagérer les actions menées pour paraître plus vertueux qu’on ne l’est réellement.

Première plateforme française à ne référencer que des établissements de charme et de luxe engagés dans une démarche environnementale

Des ateliers sur l’environnement et des expériences liées à la nature vont impliquer plus de 17 000 élèves dans toutes les écoles primaires et secondaires de Rhodes. Cette initiative est un partenariat entre la TUI Care Foundation, l’organisation à but non lucratif All For Blue et les autorités locales destiné à créer un impact à long terme sur l’environnement.

Elle est dédiée aux professionnels du tourisme et des voyages qui sont engagés dans la transition durable. Et elle permet aux professionnels de l’industrie de gagner du temps et de travailler plus facilement.

En 2025, le surtourisme asphyxie les destinations les plus prisées. Entre records de fréquentation et dégradation de la qualité de vie, comment concilier attractivité économique et préservation des territoires ? Plongez dans une analyse complète, chiffres à l’appui.

L’innovation qui permet d’améliorer la productivité et restaurer les marges, c’est très bien. Celle qui permet de réduire drastiquement l’impact environnemental du voyage, c’est encore mieux. Si beaucoup d’entreprises voient l’écologie comme une posture marketing, les consommateurs sont très concernés par ces questions et infléchissent de plus en plus la demande. C’est peut-être ce mouvement qui conduira à une transformation vertueuse de ce secteur, grâce à la technologie.

Pour découvrir la faune sauvage, il n’est pas nécessaire de fuir Strasbourg. Avec la LPO, la Ligue pour la protection des oiseaux, la balade naturaliste commence au bout d’une rue. Immersion. 

Face à l’accélération des rythmes de vie et aux excès du tourisme de masse, une autre façon de voyager émerge : le slow tourisme. Il s’agit de prendre le temps de se déplacer et de se ressourcer en étant plus respectueux de l’environnement et des territoires d’accueil. Une pratique qui vise une transformation profonde de l’expérience touristique.

Porté par la région Grand Est, le classement du Hartmannswillerkopf en réserve naturelle régionale fait l’objet d’une consultation publique depuis le 2 juillet. Ce projet vise à préserver 280 hectares d’un milieu naturel remarquable à plus d’un titre, lié à l’absence d’exploitation de la forêt depuis plus d’un siècle.

Le surtourisme est d’autant moins une fatalité, que le secteur s’adapte sous l’influence des voyageurs. Une demande pour un autre tourisme, plus respectueux de l’environnement, moins intensif, émerge depuis quelques années. Cette « douce » pression amène le secteur à se métamorphoser. Trop lentement, estimeront certains. Profondément, rétorqueront les autres.

Comment certains territoires intègrent-ils la biodiversité dans leurs pratiques touristiques ? Quelles formes cela peut-il prendre ? Et surtout, comment dépasser la simple sensibilisation pour faire du vivant un élément central de l’expérience de visite ? Voici le fruit de ces quelques initiatives qui remettent le vivant au coeur du séjour touristique pour un tourisme plus attentif, plus ancré, et tout simplement… plus vivant.

Nous avons même la chance d’avoir eu deux bilans sur notre secteur, et avec deux points de référence, qu’est-ce que l’on peut dessiner ? (...)Ce n’est pas un billet pour analyser ces bilans, nous les connaissons tous déjà et, si ce n’est pas le cas. Dans ce billet, nous allons voir ensemble comment nous allons y arriver, car spoiler alerte : nous allons y arriver !

Avec leurs espaces peu denses et leurs grands paysages, les Alpes-de-Haute-Provence et les Hautes-Alpes parient sur l'écotourisme pour attirer les visiteurs. Depuis quelques années, les offres se multiplient, encouragées par les institutions locales de promotion qui les structurent pour les rendre plus lisibles.

Si, pour le géographe Rémy Knafou, le terme « surtourisme » a été médiatisé à l’excès, il est aussi un révélateur intéressant des rapports que nous entretenons avec le tourisme, dans une société où les individus cherchent à tout prix à se distinguer.

La question de savoir si le tourisme devrait être interdit en raison de sa contribution à la pollution et au dérèglement climatique est une problématique complexe qui suscite de nombreux débats. D’un côté, le tourisme est une activité économique essentielle pour de nombreux pays, générant des emplois, favorisant l’échange culturel et stimulant les revenus locaux. De l’autre, il est souvent pointé du doigt pour son impact environnemental dévastateur. Est ce qu’il existe d’autres moyens de concilier développement touristique et préservation de notre planète ?

Tout pour un tourisme estival responsable : une expérimentation innovante vise à réduire la consommation d'eau dans les campings. L’initiative régionale s’inscrit dans une démarche de tourisme durable et responsable, en réponse aux enjeux croissants liés à la raréfaction des ressources naturelles.

Comme tous les ans, le surtourisme fait vendre. Dans les médias, le mot claque, interpelle, fait réagir. Dans le monde du tourisme, il hérisse les poils tant il est généralement traité avec une facilité journalistique qui dessert autant la compréhension des enjeux que la recherche de solutions durables. Il est temps de dépasser les raccourcis pour interroger ce que révèle vraiment cette notion.

Envie de profiter des congés tout en limitant son impact environnemental ? Opter pour des vacances écolos locales attire de plus en plus celles et ceux qui souhaitent allier découverte, détente et respect de la planète. Rester proche de chez soi ne signifie pas faire une croix sur l’aventure : changer d’air tout en préservant la nature se révèle possible en repensant les modes de transport durables, les lieux de séjour ou encore les activités sur place.

Pour la première fois en Suisse, une plage est équipée d'un SEATRAC Mover, un dispositif qui permet aux personnes à mobilité réduite d’accéder à l’eau de manière autonome et sécurisée. Grâce à une rampe motorisée accessible depuis un tapis posé sur le sable, les utilisateurs peuvent profiter du lac sans assistance extérieure. Ce dispositif pourrait ouvrir la voie à d’autres installations similaires sur les rives du Léman.

Le Village des Initiatives Durables s’invite pour la première fois au cœur du salon IFTM, du 23 au 25 septembre 2025. Ce nouvel espace immersif de 300 m² incarne l’ambition du salon : rassembler les professionnels du tourisme autour d’actions concrètes, durables et collectives.