Face aux enjeux croissants du développement durable dans le tourisme, l’ART GE a conçu l’ÉcoBoussole, un outil simple, gratuit et accessible à tout moment, destiné aux professionnels du tourisme souhaitant évaluer et améliorer leur démarche responsable. Cet outil offre désormais de nouvelles fonctionnalités à ses utilisateurs, permettant de parfaire leur expérience.

Grâce à un vaste programme de formation et de labellisation piloté par le Département de l’Économie et du Tourisme, Dubaï devient la première destination de l’hémisphère Est à obtenir la certification « Certified Autism Destination™ ». Une avancée majeure en matière de tourisme accessible, qui positionne l’émirat en pionnier mondial de l’inclusivité

Si certaines destinations souffrent plus que jamais du tourisme de masse, une enquête de Booking.com révèle que les voyageurs sont de plus en plus conscients de la nécessité de modifier leurs comportements.

Entre les risques climatiques à anticiper et l’économie touristique à préserver, la voie est étroite mais réalisable pour la Provence.

Copenhague relance l’opération CopenPay, une initiative qui vise à valoriser et récompenser les comportements responsables des touristes.

L’année ne pouvait pas commencer beaucoup plus mal pour l’idée d’un tourisme durable. « Et si on reconstruisait Gaza en mode french riviera sans les Gazaouis ? » Cette provocation de Donald Trump fraîchement élu fait passer le « backlash »* écologique et social pour un épiphénomène. Alors que certains fantasment sur l’idée d’un tourisme régénératif, ne devrions-nous pas nous inquiéter d’un tourisme qui participe à la dégénérescence des écosystèmes et de l’humanité ? C’est la question que pose Julien Buot, directeur d’ATR, dans cette nouvelle tribune.

Alors que la haute saison touristique approche, le Gouvernement lance une vaste campagne de sensibilisation intitulée « En voyage marquons les esprits, pas la planète ». Portée par Nathalie Delattre, ministre déléguée chargée du Tourisme, cette initiative vise à encourager un tourisme plus responsable en incitant les voyageurs à repenser leurs habitudes.

Le Plan eau présenté en mars 2023 par le président de la République fixe l'objectif de réduire de 10 % les prélèvements d'ici à 2030 et prévoit l'élaboration de plans de sobriété par toutes les filières économiques afin de contribuer à l'atteinte de cet objectif. C'est dans ce cadre que la ministre chargée du Tourisme, Nathalie Delattre, a signé, ce jeudi 24 avril, les plans de sobriété hydrique élaborés par dix fédérations professionnelles relevant de cette filière.

C’est dans l’écrin verdoyant du camping du Saint-Michelet, à Goudargues, que Flower Camping a présenté son manifeste en faveur d’un tourisme plus durable. Un moment fort pour rappeler l’engagement de cette chaîne de campings, représentée par sa directrice France, Véronique Decamps, aux côtés de Franck et Alexandra, les gérants du site local.

Face aux nouvelles attentes des voyageurs et à l’évolution des tendances du tourisme, le salon IFTM inaugure cette année un nouveau Village des Initiatives Durables, entièrement dédié au tourisme durable et aux engagements responsables.

En ce printemps 2025, période durant laquelle Booking publie son enquête annuelle sur le rapport ds voyageurs à l'environnement, pour la première fois, plus de la moitié des sondés (53 %) déclarent être conscients de l’impact du tourisme non seulement sur l’environnement...

En clôture du mois du développement, la mascotte de la biodiversité a été dévoilée aux Luminois, mercredi 16 avril, par les enfants qui ont participé au projet. « Cette mascotte s’inscrit dans les actions menées avec le Centre permanent d’initiatives pour l’environnement Logne et Grand Lieu. Elle accompagnera toutes les annonces communales officielles sur la biodiversité », précise Aurélie Donnard, élue en charge du tourisme durable.

Après plusieurs semaines d’étude des candidatures, 39 initiatives ont été sélectionnées pour faire partie des finalistes des Trophées Horizons. Ces Trophées, portés par l’association Acteurs du Tourisme Durable (ATD) et soutenus par l’ADEME, visent à récompenser des initiatives à impact positif, qui répondent aux principaux enjeux de la transition du tourisme.

Selon l‘édition 2025 du baromètre « Les Français et le Tourisme Durable » de Flower Campings, réalisé par l’institut Discurv, les Français sont de plus en plus familiarisés avec le concept de tourisme durable. Toutefois, ils ont parfois du mal à l’intégrer dans leurs pratiques, notamment au niveau des transports.

Il y a six ans, une initiative ambitieuse a été lancée pour étudier le comportement d’espèces emblématiques telles que le tétras-lyre, surnommé le « petit coq de bruyère », oiseau emblématique des montagnes, le lagopède, connu pour son changement de plumage en fonction des saisons, et l’aigle royal, avec son envergure pouvant atteindre 2,2 mètres. L’objectif était de comprendre l’impact des activités humaines sur leur habitat.

Une étude de Transport & Environment révèle une baisse significative des émissions liées aux déplacements professionnels aériens des multinationales. Crédit Agricole et Dassault Systèmes montrent l'exemple en France... LVMH et Valeo, beaucoup moins.

Selon les résultats d’une enquête menée en mars 2025 par Virtuoso, le développement durable s’impose de plus en plus comme une priorité pour les voyageurs de luxe.

L’édition 2025 du baromètre « Les Français et le tourisme durable », réalisé par Flower Campings et l’institut Discurv, met en lumière une notoriété croissante du concept, mais des pratiques encore timides.

En français, dans le contexte de l’aérien (ou plus largement de la lutte contre le changement climatique), les termes “neutralité carbone” et “zéro net” (ou net zéro) sont souvent utilisés de manière interchangeable dans le langage courant, mais ils peuvent avoir des nuances selon le contexte précis. Voici une explication claire et adaptée au secteur aérien :

Limitless Travel boucle une levée de fonds de 7,7 millions d’euros pour rendre les voyages plus accessibles aux personnes en situation de handicap.

Alors que 71% des Français affirment désormais connaître le concept de tourisme durable, ils restent nombreux à ne pas l’intégrer dans l’organisation de leurs vacances. C’est l’un des enseignements du baromètre 2025 sur le tourisme durable, présenté par Flower Campings et Discurv. Si les comportements évoluent, notamment avec un intérêt accru pour les loisirs écoresponsables, les choix de transports et de destinations restent peu alignés avec les enjeux environnementaux.

Lors de la dernière édition de leurs « Mardis du digital », les Entreprises du Voyage ont décrypté la norme RGAA, grâce à Maxime Dray, consultant en numérique.

Face aux enjeux environnementaux et à la quête de sens des voyageurs, le tourisme régénératif et le concept de voyager plus lentement s’imposent comme des alternatives durables et enrichissantes. Ces tendances redéfinissent la manière de voyager en mettant l’accent sur l’authenticité et l’impact positif sur les destinations.

Depuis juillet 2024, le groupe Accor a déployé les capteurs de Luniwave dans des hôtels. La solution de la start-up, Lunishower, permet aux clients de suivre leur consommation d’eau en temps réel et les incite à écourter leurs douches.