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Bernadette Cassel
July 5, 2023 12:34 PM
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C'est un communiqué de presse du 19 juin 2023 qui provient de la CDD (Conférence des doyens de médecine) et du CNU santé (Conseil national des universités). Que dit ce communiqué : "L’avènement des publications en libre accès a fait émerger des pratiques douteuses voire frauduleuses de la part d’éditeurs… Publié le 23/06/2023 Liste blanche de 3400 revues, domaine biomédical Le site de la conférence des doyens donne accès à la liste de Sorbonne Université qui contient environ 3 400 revues présumées non prédatrices. Ce sont 100 pages comme la page 1 dans l’image [ci-dessus, ndé]. Un nettoyage a été fait, et n’y a aucune revue de Frontiers ou MDPI. Cela me paraît très bien BRAVO. Le message est clair, mais beaucoup de collègues n’ont pas compris… Cette liste est utile… ------ NDÉ Le pdf La Conférence des doyens de médecine (CDD) et le Conseil national des universités pour les disciplines de santé (CNU Santé) ont publié, lundi 19 juin, une liste de 3 400 revues non prédatrices, donc « recommandables ». (Mise à Jour du 2 avril 2025)
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Bernadette Cassel
July 15, 1:07 PM
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Suite à la censure du commentaire de Bon Pote sur le réseau social Instagram sous un post de Gabriel Attal concernant la loi Duplomb, Philippe Grandcolas, directeur de recherche au CNRS, a souhaité répondre aux arguments avancés par Gabriel Attal. Publication : 13/07/2025 -
Argument 1 : la loi Duplomb est dangereuse pour les Français -
Argument 2 : la réalité sur l’acétamipride -
Argument 3 : la productivité avant la santé -
Argument 4 : un raisonnement en % de territoire qui n’a aucun sens -
Argument 5 : la baisse de tonnage de vente des produits CMR1 n’est pas grâce à l’action du gouvernement -
Argument 6 : encourager de vrais changements transformateurs, non par des subventions contestables Argument 1 : la loi Duplomb est dangereuse pour les Français Monsieur le Député, Cette loi prévoit pourtant plusieurs dispositions dangereuses pour les français (et au premier chef pour les agriculteurs), comme j’ai eu l’honneur de vous en informer, ainsi que tous vos collègues députées et députés, en vous adressant une tribune écrite avec 9 collègues scientifiques de l’Académie des Sciences et du CNRS et publiée par le journal Le Monde : - La réautorisation pour 3 ans de plusieurs substances pesticides, Acétamipride et Flupyradifurone : l’acétamipride en particulier présente de multiples risques pour la santé humaine, en particulier en regard du développement du système nerveux chez les enfants, qui ont suscité une interrogation grave en 2013, restée pour l’instant sans réponse scientifique au niveau européen mais nécessitant de baisser les doses résiduelles admissibles.
D’autres effets commencent à être documentés, de type cancérogène (avec des effets en regard du stress anti-oxydant) ou perturbateur endocrinien et demanderaient pour le moins la mise en place d’un fort principe de précaution et d’un plan d’évaluation scientifique. Ce problème de toxicité pour les humains est aggravé par les caractéristiques de l’acétamipride, molécule restant présente après administration dans l’environnement (la moitié de la substance est toujours présente 79 jours après son administration) et très soluble dans l’eau et voyageant donc avec en dehors des parcelles agricoles traitées, augmentant très fortement l’exposition humaine (l’acétamipride a été retrouvé dans l’eau de pluie au Japon) (...) ------ NDÉ Image : via Mathieu V. — Bluesky - 13 juillet 2025 à 12:54
https://bsky.app/profile/matv42.bsky.social/post/3lttpjjbof22q
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Bernadette Cassel
July 9, 1:57 PM
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Alors que l’été a débuté, les moustiques reviennent dans les discussions. Aussi pénibles que dangereux, ces insectes se montrent de plus en plus résistants face aux insecticides, ce qui a poussé des chercheurs à trouver d’autres solutions, notamment l’exploitation de bactéries méditerranéennes. Mehdi SMAINI, 09.07.2025 Une bactérie méditerranéenne tueuse de moustiques En effet, des microbiologistes ont récemment découvert qu’une bactérie provenant de l’île méditerranéenne de Crète était un excellent insecticide contre les moustiques. Dans une étude publiée le 7 juillet dans la revue Applied and Environmental Microbiology, les chercheurs et les chercheuses expliquent avoir utilisé un isolat, défini par Popular Science comme étant une espèce bactérienne isolée d'une culture mixte et obtenue à partir d'une culture pure. Présente dans la terre, les racines ou encore dans l’eau, cette bactérie a pour le moment été testée sur une seule espèce de moustiques, les Culex pipiens molestus, qui sont capables de transmettre des maladies dangereuses comme le virus du Nil occidental et le virus de la fièvre de la vallée du Rift, qui à eux deux, peuvent causer des centaines de morts chaque année. Les résultats obtenus par les microbiologistes sont impressionnants." (...) ------ NDÉ L'étude Martyn J. Wood, Katerina Kanelli, Juan J. Silva, Joel C. Couceiro, Andronikos Papadopoulos, F. Elektra Maridaki, Maria Mazavli, Inga Siden-Kiamos, John Vontas, George Dimopoulos Image : Flowchart outlining the pipeline designed for discovery of insecticidal bacteria and predictions of metabolite properties. Figure created in BioRender. Vontas, J. (2025) https://BioRender.com/bv458q8
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Bernadette Cassel
July 7, 6:07 AM
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Making research Open Access (OA) is one major step in the process, but how do we know if OA research is having its intended impact? Ann Campbell and Katie Davison share the results of their investigations and some lessons for the future of OA. ------ NDÉ Traduction La mise en libre accès de la recherche est une étape importante du processus, mais comment savoir si la recherche en libre accès a l'impact escompté ? Ann Campbell et Katie Davison partagent les résultats de leurs enquêtes et quelques leçons pour l'avenir de l'accès libre. L'un des principaux objectifs du libre accès (OA) a toujours été de démocratiser la connaissance en rendant la lecture des travaux de recherche gratuite ; cependant, cela devrait être le point de départ, et non le but ultime. Il est peut-être temps de prendre du recul et de se demander si nous ne risquons pas de nous préoccuper de l'aspect "accès" du libre accès et de négliger les autres éléments qui font le succès de la recherche. Dans notre empressement à supprimer les paywalls et les "barrières financières", se pourrait-il que nous soyons tout simplement en train d'assimiler "librement disponible" à "véritablement accessible" ? Quelle est l'utilité de rendre le contenu de la recherche accessible sans qu'il soit possible de le découvrir ? Et quel est l'intérêt pour un utilisateur final de trouver un contenu s'il n'en perçoit pas la pertinence ou s'il ne peut pas agir en conséquence ? L'accès seul ne suffit pas. Si la recherche n'est pas accessible, compréhensible ou exploitable par les personnes qui en ont besoin (décideurs politiques, praticiens, chercheurs dans les différentes régions et organisations communautaires), l'EA n'a pas atteint son plein potentiel. [...] Il ne s'agit pas d'un manque de recherche pertinente. C'est une question de découvrabilité, de visibilité et d'habitudes de citation profondément ancrées. Le libre accès ne consiste pas seulement à rendre la recherche disponible, mais aussi à faire en sorte qu'elle soit vue, utilisée et respectée au sein de l'écosystème mondial de la connaissance. Emerald a récemment lancé l'Open Lab, qui étudie l'écosystème de la recherche et l'impact des pratiques ouvertes sur celui-ci. Son objectif est de trouver des solutions réelles à certains des problèmes qui ne sont pas encore abordés par les pratiques ouvertes et à certains des problèmes qu'elles créent. Nous espérons que cette analyse encouragera une discussion réfléchie sur les domaines où l'accent devrait être mis, ce qui nous permettra d'évaluer efficacement le succès de l'Open Access et de veiller à ce que toute la recherche puisse atteindre son plein potentiel.
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Bernadette Cassel
July 5, 11:33 AM
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Découvrez pourquoi la fourmi géante préhistorique Titanomyrma fascine les chercheurs dans un contexte de changements climatiques planétaires. "... Selon l’analyse publiée dans The Canadian Entomologist, il est possible que Titanomyrma ait été plus tolérante au froid qu’on ne le pensait. Ou bien, au contraire, que ce spécimen appartienne à une espèce plus petite, mieux adaptée à ces conditions. Dans tous les cas, ces résultats élargissent la compréhension des marges climatiques de ces insectes et remettent en question l’idée que leur dispersion se limitait strictement aux phases de réchauffement global." (...) ------ NDÉ Traduction (extrait) Des fourmis formiciines gigantesques et plus petites (Titanomyrma et Formicium Westwood) sont connues en Europe et en Amérique du Nord à l'Éocène. La nouvelle Titanomyrma canadienne habitait un plateau plus frais. Image : The giant (and slightly squashed) fossil queen ant Titanomyrma discovered in the Allenby Formation near Princeton, British Columbia, the first of its kind in Canada. Image credit: Bruce Archibald via The Biggest Ant Ever To Walk The Earth Was Flying Through The Eocene Air 50 Million Years Ago | IFLScience - June 27, 2025 https://www.iflscience.com/hate-flying-ants-we-used-to-have-ones-the-size-of-hummingbirds-79793 "Comprendre comment la vie s'est dispersée sur les continents septentrionaux dans un climat très différent il y a 50 millions d'années explique en partie les schémas de distribution des animaux et des plantes que nous observons aujourd'hui. Titanomyrma peut également nous aider à mieux comprendre comment le réchauffement climatique pourrait affecter la répartition de la vie. Pour préparer l'avenir, il est utile de comprendre le passé.
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Bernadette Cassel
July 3, 1:16 PM
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Si les fleurs sentent bon, ce n’est pas pour le plaisir des humains qui les cueillent. Chacune a sa signature pour appâter les insectes butineurs. Mais pas seulement… Ouest-France Michel CABARET, directeur de l’Espace des sciences. Publié le 03/07/2025 à 09h30 "... Ces parfums sont des molécules volatiles qui sont fabriquées par de petites glandes situées à la base des pétales des fleurs. Il y a plus de 200 molécules différentes constituant la fragrance d’une espèce. Chacune a sa signature parfumée, tantôt agréable ou forte, elle peut nous apparaître désagréable et est quelquefois très peu odorante. Odeurs imitant les phéromones L’insecte en vol est attiré par ce parfum, il remonte ainsi jusqu’à la fleur. À proximité de celle-ci, les signaux visuels prennent le relais et le conduisent au cœur de la fleur. Ce sont les récepteurs olfactifs situés sur ses antennes qui captent ces parfums." (...)
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Bernadette Cassel
June 30, 7:20 AM
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Une récente étude confirmant le potentiel cancérogène de l’herbicide a fait l’objet de virulentes critiques. Mais elles reposent sur des bases scientifiques erronées. Par Stéphane Foucart Publié le 27 juin 2025 à 06h00, modifié le 27 juin 2025 à 08h14 ------ Qu’est-ce que la « fabrique du doute » ? "... dans un livre de référence (Les Marchands de doute, 2012), la « fabrique du doute » a été mise au point dans les années 1950 par les industriels du tabac, afin de nier ou relativiser les effets de la cigarette. Cette rhétorique retourne la science contre elle-même, en dévoyant les instruments intellectuels au cœur de la démarche des scientifiques (doute méthodique, exigence de rigueur, méfiance devant les affirmations perçues comme spectaculaires, etc.). Elle est ainsi très efficace sur les membres des communautés scientifiques et médicales qui ne travaillent pas directement sur les sujets visés, de même que sur les publics attachés à la rationalité et la défense des valeurs de la science, ou encore des journalistes qui reprennent parfois sans recul de tels arguments mis en circulation. Technique de propagande très efficace, la « fabrique du doute » nécessite parfois de longs développements pour être démasquée, d’autant qu’elle mêle parfois des critiques légitimes à d’autres, fondées sur des contre-vérités, des contre-sens ou des considérations simplement erronées. Elle constitue une boîte à outils constamment utilisée depuis des décennies par une diversité de secteurs industriels désireux de protéger leurs activités de toute régulation sanitaire ou environnementale.
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Bernadette Cassel
June 27, 11:48 AM
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Chez une personne allergique aux acariens ou aux crustacés, la consommation d’insectes est associée à un risque réel d’anaphylaxie. En cause, la similarité de structure des tropomyosines contenus dans ces 3 entités, responsables d’allergies croisées. Décembre 2024 "En parallèle à l’engouement actuel autour des insectes comestibles, considérés comme une source alternative de protéines, il faut savoir que quatre insectes comestibles ont obtenu une autorisation de mise sur le marché en Europe notamment sous forme de farine : Acheta domesticus (grillon domestique), Locusta migratoria (criquet migrateur), Tenebrio molitor (ver de farine) et dernièrement les larves d’ Alphitobius diaperinus (petit ténébrion mat)." D’après : Quéquet C. Allergie aux crustacés. Rev Prat (en ligne) 14 mars 2024.
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Bernadette Cassel
June 25, 12:13 PM
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Vrin - Juillet 2025 Qu’est-ce qu’un organisme vivant ? Comment comprendre la relation entre un être vivant et son milieu ? Pourquoi le Les Livres de Philosophie, 23.06.2025 Vrin - Juillet 2025 "... Et, plus fondamentalement encore, la vie peut-elle être un objet de connaissance? Voilà les questions que pose le philosophe Georges Canguilhem (1904-1995) dans un de ses maîtres-livres, La Connaissance de la vie, au fil de sept études qui touchent à la philosophie, à la biologie, à la médecine et à l’histoire des sciences. Les préoccupations de Canguilhem n’ont rien perdu de leur actualité : la crise de la biodiversité, le changement climatique et maintenant la possibilité d’une humanité augmentée s’en font l’écho. La Connaissance de la vie est donc plus que jamais un livre nécessaire. Mais, comme c’est un ouvrage difficile, il fallait en faciliter l’accès. C’est là l’ambition du présent essai. Laurent Loison est historien et philosophe des sciences, chercheur au CNRS (SPHERE, UMR 7219)."
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Bernadette Cassel
June 22, 10:55 AM
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Ecoles des Mines - Juillet 2025 La dé-coïndence ne se paie pas de mot, elle est une invitation à agir, là où notre vie se déploie, Les Livres de Philosophie, dimanche 22 juin 2025 Ecoles des Mines - Juillet 2025 "... Dans cet ouvrage collectif l'oeil exercé du scientifique ou de l'ingénieur expert en IA, se mêle à celui du philosophe ou de la photographe pour tisser les perspectives et les questionnements. L'IA peut-elle être une sorte d'alter-égo machinique nous permettant de dé-coïncider de nous-même ? De la même manière que la photographie a bousculé la peinture, serait-elle l'invention qui nous contraindra à habiter à nouveaux frais notre humanité, posant par exemple, la question de notre propre créativité, voire de notre légitimité ? Inversement, de quelles toxicités les IA sont-elles porteuses dont il faudrait dé-coïncider ?" (...)
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Bernadette Cassel
June 19, 2:05 PM
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Jean-Michel Bérenger est un entomologiste français spécialisé dans les insectes vecteurs de maladies. Il a travaillé à l’Institut Hospitalo-Universitaire (IHU) Méditerranée Infection de Marseille et est membre de l’Institut National d’Entomologie Publique
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Bernadette Cassel
June 17, 1:08 PM
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Derrière les discours d'efficience, d'autonomie et de prévention, un glissement insidieux s'opère : celui d’une médecine qui renonce à soigner. Aux États-Unis comme en France, le soin devient conditionnel, réservé aux existences jugées « optimisables ». En s’appuyant sur le cas du programme MAHA, les dérives du One Health, le concept d’« abandon extractif » et l’émergence d’un « eugénisme doux », cet article analyse les ressorts politiques et idéologiques d’un renoncement systémique au soin. Par Alexandre Monnin Philosophe "Et si la médecine contemporaine, loin de ses promesses de progrès, tendait désormais vers une stratégie assumée de non-soin ? Cette hypothèse, encore largement impensée, commence pourtant à se matérialiser sous nos yeux. Et ce, pas uniquement comme une conséquence malheureuse de restrictions budgétaires[1] ou d’une désorganisation, mais comme une orientation active, un projet politique porté à bas bruit par des coalitions hétérogènes de responsables politiques, de start-up biotechnologiques, d’experts en gestion des risques, et parfois même de professionnels de santé. Aux États-Unis, cette hypothèse se cristallise au travers du programme MAHA – Make America Healthy Again – dont l’ambition n’est plus de soigner, mais d’éviter les coûts liés au soin. Comme le formule explicitement Derek Beres, fin observateur de ces enjeux et co-animateur de l’excellent podcast Conspirituality, le but de MAHA « n’est pas la santé, c’est l’évitement ». En France, la récente loi sur le droit à mourir, en apparence progressiste, a été critiquée par des collectifs antivalidistes comme une manière d’acter l’impossibilité de vivre longtemps avec certains handicaps ou maladies chroniques. Ce tournant ne se donne pas toujours pour ce qu’il est. Il s’abrite derrière les mots d’efficacité, d’autonomie, de prévention, voire de soutenabilité. Il s’appuie sur des cadres comme le paradigme One Health, censé penser la santé de manière systémique à l’échelle des écosystèmes mais qui, en pratique, contribue à diluer les responsabilités et à rendre invisibles les enjeux de justice sociale. Il prospère sur les ruines de la médecine publique, sur la fatigue des professionnels du soin, sur l’individualisation croissante des parcours de santé." (...) ------ via Anthony Pecqueux: "Ce texte d'@aamonnz.bsky.social est vraiment excellent 🔥🔥🔥 - à lire sans modération Outre les éléments mentionnés par @winslowsp.bsky.social je note les développements sur l'"écologie du non-soin", avec Ivan Illich comme figure tutélaire à la postérité paradoxale 1/4" — Bluesky
https://bsky.app/profile/pecqueuxanthony.bsky.social/post/3lrnw3ap5bc2v
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Bernadette Cassel
June 15, 6:02 AM
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Une équipe internationale de chercheurs a testé les effets du célèbre herbicide sur plus d’un millier de rats de laboratoire à différents dosages. Dans tous les cas de figure, les scientifiques ont enregistré un surcroît de tumeurs. Par Stéphane Foucart Publié le 12 juin 2025 à 05h45, modifié le 12 juin 2025 à 11h37 ------ NDÉ L'étude Simona Panzacchi, Eva Tibaldi, Luana De Angelis, Laura Falcioni, Rita Giovannini, Federica Gnudi, Martina Iuliani, Marco Manservigi, Fabiana Manservisi, Isabella Manzoli, Ilaria Menghetti, Rita Montella, Roberta Noferini, Daria Sgargi, Valentina Strollo, Francesca Truzzi, Michael N. Antoniou, Jia Chen, Giovanni Dinelli, Stefano Lorenzetti, Alberto Mantovani, Robin Mesnage, Melissa J. Perry, Andrea Vornoli, Philip J. Landrigan, Fiorella Belpoggi & Daniele Mandrioli Extrait : Toxic effects of glyphosate on the nervous system were described in a recent systematic review, showing that glyphosate produces important alterations in the structure and function of the nervous system of humans, rodents, fish, and invertebrates [68] Effects of Glyphosate on Invertebrates The number of recent studies on the effects of glyphosate on the nervous system of invertebrates is limited. Two studies were identified with the worm Caenorhabditis elegans describing that GBH also produces neurotoxicity in this species, which was evidenced by altered neuronal development, mitochondrial damage, oxidative stress, and in behavioral patterns. On the one hand, it has been shown that GBH treatment affected cell development in worms, which was evidenced by a decrease in the number and size of dopaminergic neurons from the fourth larval stage onwards [ 164]. These authors also observed that GBH caused a marked increase in superoxide levels during the fourth larval stage [ 164] and hydrogen peroxide in treated worms [ 165]. As has been observed in rodents, GBH exposure also affects mitochondrial function in these animals. In addition, Burchfield et al. [ 165] showed that glyphosate induced inhibition of mitochondrial complex II, and consequently, a decrease in ATP levels occurred. ------ Traduction Effets cancérogènes de l'exposition à long terme, dès la vie prénatale, au glyphosate et aux herbicides à base de glyphosate chez les rats Sprague-Dawley | Environmental Health, 10.06.2025 https://ehjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12940-025-01187-2 Les effets toxiques du glyphosate sur le système nerveux ont été décrits dans une revue systématique récente, montrant que le glyphosate produit des altérations importantes dans la structure et la fonction du système nerveux des humains, des rongeurs, des poissons et des invertébrés [68]. [68] Toxic Effects of Glyphosate on the Nervous System : A Systematic Review - Int. J. Mol. Sci. 21.04.2022
https://www.mdpi.com/1422-0067/23/9/4605 Effets du glyphosate sur les invertébrés Le nombre d'études récentes sur les effets du glyphosate sur le système nerveux des invertébrés est limité. Deux études ont été identifiées avec le ver Caenorhabditis elegans décrivant que le GBH produit également une neurotoxicité chez cette espèce, ce qui a été mis en évidence par un développement neuronal altéré, des dommages mitochondriaux, un stress oxydatif et des schémas comportementaux. D'une part, il a été montré que le traitement au GBH affectait le développement cellulaire des vers, ce qui a été mis en évidence par une diminution du nombre et de la taille des neurones dopaminergiques à partir du quatrième stade larvaire [164]. Ces auteurs ont également observé que le GBH provoquait une augmentation marquée des niveaux de superoxyde au cours du quatrième stade larvaire [164] et de peroxyde d'hydrogène chez les vers traités [165]. Comme cela a été observé chez les rongeurs, l'exposition au GBH affecte également la fonction mitochondriale chez ces animaux. En outre, Burchfield et al [165] ont montré que le glyphosate induisait une inhibition du complexe II mitochondrial et, par conséquent, une diminution des niveaux d'ATP. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
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July 18, 2:22 PM
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Marie-Charlotte Anstett, est écologue, chercheuse au CNRS à l’Université de Bourgogne. Elle a aussi été exploitante agricole et éleveuse de chevaux. Elle nous parle de son enquête sur la disparition de l'abeille fauve en Bourgogne. Publié le 15 juillet 2025 à 08h00, modifié le 15 juillet 2025 à 18h24 Nabil Wakim Et si la biodiversité pouvait nous montrer la voie ? Cet été, le podcast « Chaleur humaine » s’arrête sur six espèces, et montre comment elles peuvent nous aider face aux crises écologiques.
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July 14, 6:37 AM
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ce texte publié au Journal officiel indique que « le directeur de l’agence » devra dorénavant « tenir compte » d’un arrêté du ministère de l’agriculture qui définira « la liste des usages » de pesticides ayant pour objet de lutter contre des ravageurs de cultures ou des végétaux indésirables. Autrement dit, l’Anses devra considérer les priorités du ministère de l’agriculture lorsqu’elle établira son calendrier d’examen des autorisations de mise sur le marché. Par Matthieu Goar et Stéphane Foucart Publié le 11 juillet 2025 à 19h10, modifié le 12 juillet 2025 à 11h03 Le texte prévoit que l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail considère les priorités du ministère de l’agriculture lorsqu’elle établira son calendrier d’examen des autorisations de mise sur le marché.
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July 8, 11:49 AM
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L’institution doit s’abstenir de tout propos susceptible de porter atteinte à l’image de la firme pétrolière, mécène de sa chaire Avenir Commun Durable. Écrit par Nicolas Gastineau • Illustré par Quintin Leeds 27 juin 2025 La prestigieuse institution doit s’abstenir de toute communication susceptible de « porter atteinte à l’image ou à la notoriété » de la firme pétrolière. En échange d’un financement de sa chaire Avenir Commun Durable, qui organise son cycle de conférences sur la transition écologique et énergétique. Une chaire sur laquelle Total n’a aucune influence, affirme l’établissement public. ------ « Il faut peut-être relativiser cette notion d’urgence », a assuré un membre de l’institution dans le cadre d’une table ronde organisée en juin par une chaire bénéficiant du soutien financier du groupe pétrolier TotalEnergies. Clause de non-dénigrement Le sponsoring a un coût pour l’entreprise pétrolière : 2 millions d’euros, de 2021 à 2026, selon les informations révélées par la revue XXI. Mais aussi une contrepartie notable : en échange, le Collège de France a consenti à une clause de non-dénigrement, se refusant ainsi à « toute communication (…) susceptible de porter atteinte à l’image » de la multinationale.
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July 6, 12:58 PM
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Et si notre téléphone avait avec nous la même relation qu’une guêpe qui pond ses œufs dans des pucerons ? C’est la thèse du biologiste Robert Brooks et de la philosophe Rachael L. Brown. Pour eux, présenter les choses ainsi est une manière de réclamer un meilleur contrôle de l’environnement numérique. par Nicolas Celnik publié le 4 juillet 2025 à 17h18 "... Un parasite ne veut pas vous faire du mal : il veut simplement faire des choses qui sont bonnes pour lui, afin de garantir un succès évolutif. Le virus du Covid-19 cause une irritation qui nous fait tousser : ce n’est pas pour nous causer des douleurs, mais parce que notre toux est le meilleur moyen pour lui de se propager vers d’autres individus. C’est pareil pour les réseaux sociaux : ces entreprises ne veulent pas que vous perdiez vos amis ou votre sommeil. Mais elles sont en compétition avec vos amis, votre sommeil, et vos partenaires reproductifs, pour votre temps d’attention. La relation de parasitisme est donc un coût, ou un dommage collatéral, de la compétition pour notre temps." (...) Crédit image : Anne Zeum / Libération
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July 4, 2:30 PM
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Est-il possible de communiquer avec la nature, d'établir un « dialogue » avec elle ? Certes, les humains lui appartiennent au même titre que tout être vivant, mais la place qui lui est laissée s'amoindrit. Les Livres de Philosophie: jeudi 3 juillet 2025 "Or, la prise en compte de la nature comme interlocuteur à part entière fait l'objet de multiples tentatives issues de la philosophie, du droit, de l'Histoire, ou, comme dans cet ouvrage, de la musique, de la littérature, de l'éthologie, ou d'une combinaison de ces disciplines. Le point commun de ces réflexions est qu'elles tiennent la nature et toutes ses entités pour des personnes. Seule l'alliance du sensible et de l'intelligible permet de transcender les limites intellectuelles posées par notre solipsisme." Classiques Garnier - Juillet 2025
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July 2, 6:56 AM
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Nature is structured in time by the continuous cycles of the seasons, night and day, the moon phases and the tides. Most organisms use endogenous biological clocks to anticipate these regular changes in their environment. To date we have a good understanding of the molecular basis of circadian clocks, which control the daily rhythms of physiology and behaviour. However, the molecular clockworks underlying seasonal, lunar and tidal rhythms are still largely enigmatic. ------ NDÉ Traduction La nature est structurée dans le temps par les cycles continus des saisons, du jour et de la nuit, des phases lunaires et des marées. La plupart des organismes utilisent des horloges biologiques endogènes pour anticiper ces changements réguliers dans leur environnement. À ce jour, nous avons une bonne compréhension des bases moléculaires des horloges circadiennes, qui contrôlent les rythmes quotidiens de la physiologie et du comportement. Cependant, les mécanismes moléculaires qui sous-tendent les rythmes saisonniers, lunaires et tidaux restent encore largement énigmatiques. Notre groupe de recherche étudie l'interaction entre les horloges biologiques et les processus évolutifs et écologiques, par exemple les causes et les effets de l'occupation de différentes niches temporelles par différents organismes. Dans le même temps, nous cherchons à identifier les bases moléculaires des horloges circalunaires. Notre espèce modèle, le moucheron marin Clunio marinus (Diptera : Chironomidae), nous permet d'aborder ces deux questions simultanément de manière hautement synergique. Le moucheron Clunio marinus, qui ne pique pas, vit dans la zone intertidale de la côte atlantique européenne. Sa vie adulte ne dure que quelques heures, qui sont exclusivement consacrées à la reproduction. Le processus délicat de la reproduction est strictement synchronisé avec les marées les plus basses, qui se produisent de manière prévisible pendant les jours de marée de printemps, autour de la nouvelle lune et de la pleine lune. Pour atteindre cette synchronisation remarquable, une horloge circalunaire régule étroitement le développement et la maturation de Clunio marinus, garantissant que les adultes ne peuvent émerger et se reproduire qu'autour de la pleine lune ou de la nouvelle lune. Ces jours-là, une horloge circadienne synchronise l'émergence des adultes avec le moment de la marée basse. Les adultes nouvellement émergés se reproduisent immédiatement, puis meurent à marée montante. Si les conditions de marée propices à la reproduction se reproduisent invariablement à la même heure du mois et du jour à un endroit donné, le moment des marées varie considérablement le long du littoral. Les populations de Clunio marinus de différents endroits sont génétiquement adaptées au rythme local des marées dans divers aspects de leurs horloges circadiennes et circalunaires. Dans certains sites le long de la côte, plusieurs souches temporelles coexistent dans des niches temporelles distinctes. Nous avons montré que les différences temporelles héréditaires entre les souches peuvent être exploitées pour la cartographie génétique, le criblage génomique et l'analyse moléculaire comparative afin d'identifier les gènes sous-jacents aux adaptations temporelles locales. L'application de cette approche aux adaptations temporelles lunaires promet de donner accès à la base moléculaire des horloges circalunaires.
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June 28, 5:08 AM
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Ces derniers mois, des scientifiques avaient déjà dressé ce constat de façon isolée. Jeudi 19 juin, des chercheurs français de renom, anciens auteurs du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), dont la paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte, l’affirment, pour la première fois, collectivement et de manière claire : l’objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle, fixé lors de l’accord de Paris sur le climat il y a dix ans, « n’est désormais plus atteignable ». Par Audrey Garric Publié le 19 juin 2025 à 00h10, modifié le 19 juin 2025 à 11h29
"A l’appui de leur affirmation, endossée par le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) ou Météo-France, une étude dressant le tableau clinique du réchauffement et confirmant son intensification, à laquelle ces institutions ont contribué. Celle-ci était publiée jeudi dans la revue Earth System Science Data et signée plus largement par 61 scientifiques de 17 pays différents."
Image : Figure 15. Infographic for the best estimate of headline indicators assessed in this paper.
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June 26, 1:37 PM
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Ancien conservateur d’une réserve naturelle dans la Manche, Jean-François Elder est entomologiste. Son passe-temps favori : collecter, identifier et classer les insectes qui disent beaucoup sur la santé des milieux naturels. En Normandie, il peut passer deux heures sur 10 m² pour étudier les insectes Ouest-France (abonnés) Sébastien Bréteau Publié le 25/06/2025 à 19h09 "Il y en a qui ont une salle de jeux, une salle cinéma, une salle de billard ou une grande bibliothèque. Jean-François Elder, lui, a un cabinet d’entomologie dans lequel il étudie, répertorie et classe les insectes de la région. C’est son Microcosmos (1). Son univers : le peuple de l’herbe et des arbres… En retraite près de Saint-Lô (Manche), l’entomologiste a fait de sa passion son métier. Ancien conservateur de la réserve naturelle nationale de Beauguillot à Sainte-Marie-du-Mont (Manche), ce technicien de la biodiversité avait en charge la gestion de l’espace « pour conserver et développer le patrimoine naturel ». Avec une spécialité, donc, celle des petites bêtes. Des grands papillons et des libellules aux petits spécimens de moins d’un millimètre." (...)
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Bernadette Cassel
June 24, 5:43 AM
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Isabelle Autissier est la première femme à avoir bouclé un tour du monde en solitaire à la voile. Forte de 20 ans d’expéditions au contact des glaces, elle est un véritable témoin de Publié le 23 juin 2025 à 9:15 "... l'océan, c'est ce qui fait la vie sur Terre, il régule la température de la planète à travers les courants et d'autres phénomènes, il apporte de la nourriture à près de 3 milliards d'êtres humains, il absorbe une partie de nos gaz à effet de serre et nous fournit la moitié de l'oxygène que nous respirons."
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Bernadette Cassel
June 20, 12:55 PM
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Le rideau est tombé sur 01NET magazine. Liquidation judiciaire. Fin brutale.
La couverture que vous voyez ici ne paraîtra jamais. Tout était prêt. Le sommaire. Les textes. Le dossier de une. Il ne manquait que l’imprimeur. Jean-Marie Portal
via @ivanlefou.bsky.social on Bluesky, 17.01.2025 "... Alors oui, la presse va mal. Les modèles économiques s’effondrent. Le numérique que nous racontions est aussi celui qui nous tue. Mais je ne crois pas que le journalisme soit mort. Pas tant qu’il y aura des lecteurs pour vouloir comprendre. Pas tant qu’il y aura des voix pour raconter autrement." (...) ------ RT Jean-Marie Portal: "01NET magazine ne paraîtra plus. Liquidation. J’en ai été rédacteur en chef jusqu’au dernier numéro… celui qui ne sortira pas. Une aventure éditoriale, humaine, collective. J’en parle ici : www.linkedin.com/feed/update/..." — Bluesky, 12.06.2025 https://bsky.app/profile/jeanmarieportal.bsky.social/post/3lrfis6yirk2h
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Bernadette Cassel
June 18, 12:51 PM
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The Annual Drosophila Research Conference is the premier meeting for Drosophila researchers. More than 1,000 presentations will cover the gamut of Drosophila investigations, from genetics to molecular biology, cell biology, development, immunology, physiology, neuroscience, evolution, and more. In addition to the invited speakers in the Plenary Sessions and the abstract-driven Platform Sessions, the 2026 meeting will feature attendee-organized workshops, and a wide range of professional development and networking events. ------ via Genetics Society of America sur X, 18.06.2025 "The #Dros26 website is live—start planning your conference attendance now! 🪰 Browse abstract submission topics, key dates, speaker & venue info, details on travel funding, and more: https://t.co/2zrW7b3npG Bookmark the page to stay updated as new information becomes available!" https://x.com/GeneticsGSA/status/1935367097468481579
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Bernadette Cassel
June 16, 12:44 PM
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La « simplification » est devenue le cheval de Troie de la dérégulation environnementale. Retour sur une formule inventée par les lobbies pour contrecarrer la critique écologiste. Par Gaspard d’Allens 13 juin 2025 à 08h00 Mis à jour le 14 juin 2025 à 08h00 "... « Sous le couvert de la simplification, le gouvernement a ouvert la boîte de Pandore : nous assistons à un exercice de liquidation en règle de nos protections écologiques et sociales », observent des députés écologistes dans une tribune parue dans Le Monde." (...)
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Bernadette Cassel
June 14, 1:25 PM
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Des experts de justice sont amenés à apporter leur expertise aux juges dans les contentieux environnementaux, souvent très techniques. Cédric Fagot nous explique quel est leur rôle et comment les juridictions font appel à eux. [établissement d'un lien préformaté [46288] / utilisation du flux d'actualité] ------ NDÉ Site de la CNEJE
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