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This article shares insights on how AI innovation embraces the future based on the concept understanding to the core. Via EDTECH@UTRGV, michel verstrepen
EDTECH@UTRGV's curator insight,
June 19, 1:53 PM
"As with anything new and powerful, AI can be a bit scary, especially when we don't understand it well. Public discourse often falls into two extremes: utopian visions and dystopian fears."
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Juan Domingo Farnós Para trabajar con ChatGPT en un LMS tipo Moodle, se pueden seguir los siguientes pasos: Integrar ChatGPT en Moodle: Se puede utilizar la API de OpenAI para integrar ChatGPT en Moodle. Via Nallely
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Blog de la "RIED. Revista Iberoamericana de Educación a Distancia". La Revista Iberoamericana de la Educación Digital. Via LGA
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Le LaborIA, un laboratoire de recherches visant à analyser et anticiper les conséquences de l’apparition de l’intelligence artificielle sur le monde du travail, a publié le 17 mai dernier les résultats de son enquête exploratoire. Via Canadian Vocational Association / Association canadienne de la formation professionnelle
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Como a IA pode transformar as práticas de ensino e avaliação na sala de aula? Como os educadores podem usá-la para a gestão e análise de dados educacionais? Quais são as preocupações e necessidades dos professores em relação ao uso da IA? Essas e muitas outras perguntas feitas pelos professores sobre o uso da IA na educação foram o centro dos encontros ProFuturo, patrocinados pela Fundação Telefônica Colômbia. A publicação Docentes ProFuturo ante os desafios de la IA reúne as principais conclusões e aprendizados alcançados, além de uma grande quantidade de recursos muito úteis para aplicar a IA nas salas de aula. Neste artigo, contamos tudo sobre isso. Via Inovação Educacional
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Juan Domingo Farnós Con el trabajo algoritmico que preconizamos debemos tener siempre presente, tanto en las ideas, el desarrollo propio de andamiaje-algoritmico, asi como en su posterior diseño, que deben ser capaces de analizar y llevar a cabo de manera pormenorizada y cuidadosa, conocer de que manera el aprendiz es capaz de aprender a aprender…
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Inteligencia artificial: Guía para seres pensantes. Por Melanie Mitchell. Traducción de María Luisa Rodríguez Tapia . Capitán Swing Libros (3 de abril de 2024). 418 páginas. Via Gumersindo Fernández
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Blog de la "RIED. Revista Iberoamericana de Educación a Distancia". La Revista Iberoamericana de la Educación Digital. Via LGA, michel verstrepen
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From
er
Can the paradox between individual tutoring and social learning be reconciled though the possibility of AI? Via EDTECH@UTRGV
EDTECH@UTRGV's curator insight,
June 17, 1:20 PM
"Does AI offer the possibility of combining the effectiveness of tutoring with the beneficial social aspects of learning?"
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No embalo do festival SXSW, realizado no Texas para discutir tendências e inovação, é oportuno pensar sobre as novas demandas para a educação. "Educar os jovens para um futuro incerto" tem sido o mantra há algum tempo. Com a aceleração das inovações tecnológicas e da crise ambiental, no entanto, não sabemos mais se a frase se refere ao ineditismo das profissões que virão ou à incerteza das próprias condições em que viveremos. O certo é que as transformações tecnológicas, sobretudo no ambiente da produção e circulação de informações, acrescentam nova camada de complexidade aos problemas globais. E, por isso, a educação midiática tem papel urgente a cumprir. Via Inovação Educacional
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I recently ran a series of posts on LinkedIn arguing that chatbots are a dead-end in education. I think it’s fair to say that the posts ruffled a few feathers. My DMs quickly filled with people touting their made-for-education products and services, and if I’d only try them I’d see why I was totally wrong.… Via Yashy Tohsaku, LGA
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eLearning is moving away from text-heavy modules and embracing multimedia integration to create engaging and interactive experiences. Via Yashy Tohsaku
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DESENVOLVIMENTOS RECENTES NA inteligência artificial provocaram debates acalorados sobre o que isso significa para o nosso futuro. Dos esperançosos – o ChatGPT nos transformará em gênios produtivos – aos alarmistas – as máquinas sencientes substituirão todos nós – não faltam previsões extremas. E, quando alguns deles vêm das mesmas pessoas que desenvolveram esses modelos de IA , é difícil não se envolver. Via Inovação Educacional |
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Certains y voient de nouvelles possibilités de création, d’autres une menace pour l’art et l’information. Les professeures Véronique Guèvremont et Colette Brin exposent, dans un ouvrage récent, les deux côtés de la médaille. Par : Manon Plante Des romans, des pièces musicales, des vidéos, des reportages peuvent aujourd'hui être entièrement créés par l'intelligence artificielle (IA). Ébahis devant cette nouvelle réalité, la plupart des gens ne savent que penser de cette incursion de l'IA – au fond, juste un savant emploi des probabilités mathématiques – dans les domaines de la culture et des médias, où tout récemment encore création rimait avec «génie humain». C'est un peu cette valse-hésitation entre pessimisme et optimisme que traduit l'ouvrage collectif Intelligence artificielle, culture et médias, dirigé par les professeures Véronique Guèvremont, de la Faculté de droit, et Colette Brin, du Département d'information et de communication. «Plus qu'un outil de transmission des connaissances, écrivent-elles dans l'introduction, […] cet ouvrage est aussi le miroir des perceptions et des intuitions du moment». L'ouvrage donne, en effet, la possibilité à 39 chercheurs du Québec et d'ailleurs d'explorer un domaine embryonnaire, de s'interroger librement et d'exprimer leurs craintes, ou encore leur élan d'enthousiasme, devant cette technologie en croissance exponentielle. Éclairer les décideurs publics sur les avantages et les risquesDivisé en quatre chapitres, l'ouvrage approfondit les thèmes de la création artistique, de la diffusion des contenus journalistiques et culturels, de la sauvegarde du patrimoine culturel, ainsi que de la propriété intellectuelle, des droits humains et de la diversité culturelle. Ces divers sujets y sont traités par des chercheurs issus des arts, des sciences humaines et des sciences sociales. Chez les chercheurs artistes, l'IA est parfois perçue comme une possibilité de repousser les limites de la créativité, alors que, dans d'autres domaines comme le droit, les experts envisagent davantage les risques. «On s'y attend, les juristes ont le souci d'encadrer l'utilisation de l'IA pour limiter les biais, la discrimination, l'inégalité, la censure, l'homogénéisation, le non-respect de la propriété intellectuelle, l'usage de données personnelles, etc. Cependant, le livre a aussi donné lieu à de belles surprises. Par exemple, dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine culturel, des chercheurs ont proposé des réflexions sur des apports bénéfiques de l'IA, et pas seulement sur les risques liés à des pertes potentielles chez les cultures minoritaires», remarque Véronique Guèvremont. L'ouvrage collectif réunit 21 articles auxquels ont contribué 39 chercheurs d'ici et d'ailleurs. Selon la professeure, la qualité première du livre est de faire un pas vers un dialogue interdisciplinaire afin que, individuellement et collectivement, on réalise que l’emploi de l’IA est un processus complexe qui appelle aux nuances. «Aujourd’hui, on ne se demande plus si on doit recourir à l’IA ou non; la technologie s’est déjà imposée partout. Ce qu’on cherche à faire, c’est de documenter les possibilités et les risques générés par l’IA afin d’éclairer les décideurs publics et de soutenir les secteurs qui doivent s’adapter à une nouvelle réalité numérique», explique la chercheuse. L'Obvia repense la culture et les médiasEn marge du lancement de l’ouvrage, qui a eu lieu le 14 juin, l’Obvia – Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’IA et du numérique a organisé, le 31 mai, la conférence «Repenser la culture à l’ère de l’IA». Responsable scientifique de cet événement, Véronique Guèvremont, qui est également coresponsable avec Colette Brin de l’axe Arts, médias et diversité culturelle de l’Obvia, a proposé à un animateur et sept experts d’horizons variés, dont Colette Brin, d’échanger sur le développement et la préservation de la culture. À l’instar des articles de l’ouvrage collectif, les présentations des panélistes ont reflété les rêves et les craintes que génère l’IA. Parmi les dérives possibles, la diminution de la variété culturelle a été abordée par les experts. L’une des causes de cette diminution? La disparité entre les langues. En effet, la majorité des données sur lesquelles sont entraînées les systèmes d’IA sont en anglais ou, dans une plus faible proportion, dans l’une des quelques autres langues majeures pouvant bénéficier de suffisamment de ressources numériques. Cela laisse absentes bien des cultures dans les systèmes d’IA et renforce la surreprésentation des cultures dominantes, puisque l’IA n’est qu’une question de statistiques. Dans un tel contexte, il est difficile pour des communautés qui ne comptent que quelques milliers de locuteurs – des peuples autochtones, notamment – de voir leur culture prospérer dans les systèmes d’IA. D’autres langues, même si elles sont parlées par des dizaines de millions de personnes, sont aussi sous-représentées si leurs œuvres culturelles sont davantage orales qu’écrites, puisque le nombre de ressources numériques n’est pas proportionnel au nombre de locuteurs ni à la vitalité de la culture des différents peuples. Si l’on n’est pas sensible à ce déséquilibre, à long terme, des langues et des cultures pourraient être appelées à disparaître. Un autre problème soulevé par les panélistes? L’IA contribue à accentuer les inégalités entre le Nord et le Sud. En effet, à la «fracture numérique» – c’est-à-dire des inégalités dans l’accès aux technologies de l’information et de la communication – s’ajoute maintenant une «fracture créative» – c’est-à-dire des inégalités dans la création même – puisque le décuplement de la puissance artistique générée par des algorithmes alimentés par des millions de données favorise un meilleur taux de créativité au Nord. Promouvoir et protéger la diversité culturelleTitulaire de la Chaire UNESCO sur la diversité des expressions culturelles, Véronique Guèvremont a été, de 2003 à 2005, experte associée à la division des politiques culturelles de l’UNESCO lors de la négociation de la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, adoptée en 2005. Elle fait actuellement partie du groupe de réflexion sur la diversité des expressions culturelles dans l’environnement numérique, formé de 18 experts provenant de toutes les régions du monde et chargé de faire des recommandations pour adapter la Convention au monde numérique actuel.
«Les objectifs de la Convention, qui sont de protéger et de promouvoir la diversité des expressions culturelles, demeurent totalement pertinents aujourd'hui. En 2005, on voulait stimuler le dialogue interculturel et réduire les déséquilibres dans les échanges d'expression culturelle, notamment entre le Nord et le Sud. Tout ça, c'est encore d'actualité. Les données qui nourrissent l'IA proviennent largement de quelques pays occidentaux riches et on sait que les systèmes d'IA, qui reproduisent des contenus à partir de ce qui existe déjà, vont être de plus en plus utilisés. La Convention est née d'un risque d'homogénéisation culturelle stimulée par les processus de mondialisation. L'IA générative intensifie encore plus ce risque. Il y a une certaine urgence à agir», indique la professeure Guèvremont. « La Convention est née d'un risque d'homogénéisation culturelle stimulée par les processus de mondialisation. L'IA générative intensifie encore plus ce risque. Il y a une certaine urgence à agir. » — Véronique Guèvremont, à propos de la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, adoptée par l'UNESCO en 2005 Le Québec à l'avant-gardeHeureusement, une communauté internationale de chercheurs réfléchit actuellement à la question, dont plusieurs viennent du Québec, l’une des plaques tournantes de la réflexion sur le sujet. «Ce n’est pas partout dans le monde où un nombre aussi élevé de chercheurs en sciences humaines et sociales s’intéressent à l’avenir et aux retombées des technologies numériques et de l’intelligence artificielle. On peut se féliciter d’avoir un observatoire sur les impacts sociaux de telles technologies. Nous sommes des leaders dans le domaine et malheureusement on n’en parle pas souvent. D’ailleurs, le Québec, même s’il n’est pas un État souverain sur la scène internationale, a joué un rôle important dans l’adoption de la Convention de 2005 et continue d’être un acteur important dans la protection de la diversité culturelle», affirme la professeure Guèvremont. La publication de l’ouvrage collectif Intelligence artificielle, culture et médias est d’ailleurs l’un des signes de cette effervescence de la recherche au Québec puisque le livre est parmi les premiers ouvrages dans le monde à s’intéresser aux retombées sociales et culturelles de l’IA générative. Via Charles Tiayon
Charles Tiayon's curator insight,
Today, 12:51 AM
"Certains y voient de nouvelles possibilités de création, d’autres une menace pour l’art et l’information. Les professeures Véronique Guèvremont et Colette Brin exposent, dans un ouvrage récent, les deux côtés de la médaille. Par : Manon Plante Des romans, des pièces musicales, des vidéos, des reportages peuvent aujourd'hui être entièrement créés par l'intelligence artificielle (IA). Ébahis devant cette nouvelle réalité, la plupart des gens ne savent que penser de cette incursion de l'IA – au fond, juste un savant emploi des probabilités mathématiques – dans les domaines de la culture et des médias, où tout récemment encore création rimait avec «génie humain». C'est un peu cette valse-hésitation entre pessimisme et optimisme que traduit l'ouvrage collectif Intelligence artificielle, culture et médias, dirigé par les professeures Véronique Guèvremont, de la Faculté de droit, et Colette Brin, du Département d'information et de communication. «Plus qu'un outil de transmission des connaissances, écrivent-elles dans l'introduction, […] cet ouvrage est aussi le miroir des perceptions et des intuitions du moment». L'ouvrage donne, en effet, la possibilité à 39 chercheurs du Québec et d'ailleurs d'explorer un domaine embryonnaire, de s'interroger librement et d'exprimer leurs craintes, ou encore leur élan d'enthousiasme, devant cette technologie en croissance exponentielle. Éclairer les décideurs publics sur les avantages et les risquesDivisé en quatre chapitres, l'ouvrage approfondit les thèmes de la création artistique, de la diffusion des contenus journalistiques et culturels, de la sauvegarde du patrimoine culturel, ainsi que de la propriété intellectuelle, des droits humains et de la diversité culturelle. Ces divers sujets y sont traités par des chercheurs issus des arts, des sciences humaines et des sciences sociales. Chez les chercheurs artistes, l'IA est parfois perçue comme une possibilité de repousser les limites de la créativité, alors que, dans d'autres domaines comme le droit, les experts envisagent davantage les risques. «On s'y attend, les juristes ont le souci d'encadrer l'utilisation de l'IA pour limiter les biais, la discrimination, l'inégalité, la censure, l'homogénéisation, le non-respect de la propriété intellectuelle, l'usage de données personnelles, etc. Cependant, le livre a aussi donné lieu à de belles surprises. Par exemple, dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine culturel, des chercheurs ont proposé des réflexions sur des apports bénéfiques de l'IA, et pas seulement sur les risques liés à des pertes potentielles chez les cultures minoritaires», remarque Véronique Guèvremont. L'ouvrage collectif réunit 21 articles auxquels ont contribué 39 chercheurs d'ici et d'ailleurs. Selon la professeure, la qualité première du livre est de faire un pas vers un dialogue interdisciplinaire afin que, individuellement et collectivement, on réalise que l’emploi de l’IA est un processus complexe qui appelle aux nuances. «Aujourd’hui, on ne se demande plus si on doit recourir à l’IA ou non; la technologie s’est déjà imposée partout. Ce qu’on cherche à faire, c’est de documenter les possibilités et les risques générés par l’IA afin d’éclairer les décideurs publics et de soutenir les secteurs qui doivent s’adapter à une nouvelle réalité numérique», explique la chercheuse. L'Obvia repense la culture et les médiasEn marge du lancement de l’ouvrage, qui a eu lieu le 14 juin, l’Obvia – Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’IA et du numérique a organisé, le 31 mai, la conférence «Repenser la culture à l’ère de l’IA». Responsable scientifique de cet événement, Véronique Guèvremont, qui est également coresponsable avec Colette Brin de l’axe Arts, médias et diversité culturelle de l’Obvia, a proposé à un animateur et sept experts d’horizons variés, dont Colette Brin, d’échanger sur le développement et la préservation de la culture. À l’instar des articles de l’ouvrage collectif, les présentations des panélistes ont reflété les rêves et les craintes que génère l’IA. Parmi les dérives possibles, la diminution de la variété culturelle a été abordée par les experts. L’une des causes de cette diminution? La disparité entre les langues. En effet, la majorité des données sur lesquelles sont entraînées les systèmes d’IA sont en anglais ou, dans une plus faible proportion, dans l’une des quelques autres langues majeures pouvant bénéficier de suffisamment de ressources numériques. Cela laisse absentes bien des cultures dans les systèmes d’IA et renforce la surreprésentation des cultures dominantes, puisque l’IA n’est qu’une question de statistiques. Dans un tel contexte, il est difficile pour des communautés qui ne comptent que quelques milliers de locuteurs – des peuples autochtones, notamment – de voir leur culture prospérer dans les systèmes d’IA. D’autres langues, même si elles sont parlées par des dizaines de millions de personnes, sont aussi sous-représentées si leurs œuvres culturelles sont davantage orales qu’écrites, puisque le nombre de ressources numériques n’est pas proportionnel au nombre de locuteurs ni à la vitalité de la culture des différents peuples. Si l’on n’est pas sensible à ce déséquilibre, à long terme, des langues et des cultures pourraient être appelées à disparaître. Un autre problème soulevé par les panélistes? L’IA contribue à accentuer les inégalités entre le Nord et le Sud. En effet, à la «fracture numérique» – c’est-à-dire des inégalités dans l’accès aux technologies de l’information et de la communication – s’ajoute maintenant une «fracture créative» – c’est-à-dire des inégalités dans la création même – puisque le décuplement de la puissance artistique générée par des algorithmes alimentés par des millions de données favorise un meilleur taux de créativité au Nord. Promouvoir et protéger la diversité culturelleTitulaire de la Chaire UNESCO sur la diversité des expressions culturelles, Véronique Guèvremont a été, de 2003 à 2005, experte associée à la division des politiques culturelles de l’UNESCO lors de la négociation de la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, adoptée en 2005. Elle fait actuellement partie du groupe de réflexion sur la diversité des expressions culturelles dans l’environnement numérique, formé de 18 experts provenant de toutes les régions du monde et chargé de faire des recommandations pour adapter la Convention au monde numérique actuel.
«Les objectifs de la Convention, qui sont de protéger et de promouvoir la diversité des expressions culturelles, demeurent totalement pertinents aujourd'hui. En 2005, on voulait stimuler le dialogue interculturel et réduire les déséquilibres dans les échanges d'expression culturelle, notamment entre le Nord et le Sud. Tout ça, c'est encore d'actualité. Les données qui nourrissent l'IA proviennent largement de quelques pays occidentaux riches et on sait que les systèmes d'IA, qui reproduisent des contenus à partir de ce qui existe déjà, vont être de plus en plus utilisés. La Convention est née d'un risque d'homogénéisation culturelle stimulée par les processus de mondialisation. L'IA générative intensifie encore plus ce risque. Il y a une certaine urgence à agir», indique la professeure Guèvremont. « La Convention est née d'un risque d'homogénéisation culturelle stimulée par les processus de mondialisation. L'IA générative intensifie encore plus ce risque. Il y a une certaine urgence à agir. » — Véronique Guèvremont, à propos de la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, adoptée par l'UNESCO en 2005 Le Québec à l'avant-gardeHeureusement, une communauté internationale de chercheurs réfléchit actuellement à la question, dont plusieurs viennent du Québec, l’une des plaques tournantes de la réflexion sur le sujet. «Ce n’est pas partout dans le monde où un nombre aussi élevé de chercheurs en sciences humaines et sociales s’intéressent à l’avenir et aux retombées des technologies numériques et de l’intelligence artificielle. On peut se féliciter d’avoir un observatoire sur les impacts sociaux de telles technologies. Nous sommes des leaders dans le domaine et malheureusement on n’en parle pas souvent. D’ailleurs, le Québec, même s’il n’est pas un État souverain sur la scène internationale, a joué un rôle important dans l’adoption de la Convention de 2005 et continue d’être un acteur important dans la protection de la diversité culturelle», affirme la professeure Guèvremont. La publication de l’ouvrage collectif Intelligence artificielle, culture et médias est d’ailleurs l’un des signes de cette effervescence de la recherche au Québec puisque le livre est parmi les premiers ouvrages dans le monde à s’intéresser aux retombées sociales et culturelles de l’IA générative." #metaglossia_mundus
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It turns out the first steps to developing a learner profile are deceptively simple. See what they are and access tools to support the work.
Via Yashy Tohsaku
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What it's about Via Canadian Vocational Association / Association canadienne de la formation professionnelle
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O que os futuros professores de ensino fundamental pensam sobre a IA? Eles entendem como ela funciona? Compreendem como ela transformará a educação? Acreditam que estão sendo devidamente capacitados? Este artigo explora essas questões. Via Inovação Educacional
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Juan Domingo Farnós Para abordar cómo la educación disruptiva y la IA-AGI (Inteligencia Artificial General) pueden transformar la educación y las universidades utilizando la inferencia abductiva, es útil desglosar y entender cada uno de estos conceptos y luego integrarlos en un marco coherente. La educación disruptiva y la Inteligencia Artificial General (IA-AGI) están en el…
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Juan Domingo Farnos Miro Podemos aprovechar la ayuda de la Inteligencia Artificial (AI), aplicando un software, tanto en los procesos como en las habilidades, para ayudarnos no solo a mejorar nuestra formación en determinados contextos y trabajos, para que la retroalimentación al ser instantánea, haga del aprendizaje, aplicación laboral,... de mayor calidad. Os propongo un…
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This paper uses speculative methods as a way of imagining futures for higher education in open, non-predictive ways. The complexity and ‘unknowability’ of the highly technologised, environmentally damaged and politically degraded futures we seem to be facing can mean that our conversations about the future of higher education have a tendency to spiral too quickly into dystopianism and hopelessness. Speculative methods can help open up new kinds of conversation capable of supporting active and fundamental hope. Working within a postqualitative framework, we argue that such approaches support the collaborative imagining of multiple alternatives, and represent a way of advocating for those that are preferable. The paper presents a series of speculative scenarios and microfictions focusing on worlds ruptured by climate change, artificial intelligence, revolution and the technological enhancement of humans, connecting each of these to current critical research focused on climate crisis, ‘big tech’, rising global injustice and ‘big pharma’. It emphasises the vital contribution and place of higher education within such futures, and advocates for speculative methods as an approach to maintaining hope. Via Vladimir Kukharenko
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This article aims to identify and describe ways that educators can create an inclusive learning environment while also crafting content that is empathetic to the needs of the diverse nursing student population. Via EDTECH@UTRGV, michel verstrepen
EDTECH@UTRGV's curator insight,
June 17, 12:20 PM
"An inclusive learning environment is one where all students feel academically and intellectually supported"
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Frente a essas realidades, a educação midiática não pode mais se limitar à análise dos conteúdos que recebemos. Novas abordagens incluem não só a observação cuidadosa das mensagens em si, mas também dos mecanismos emocionais ativados e das questões de direitos humanos mobilizadas pela ação dos algoritmos. Incluem, além disso, o conhecimento de como as IAs funcionam e por que podem ampliar desigualdades estruturais refletidas nos dados, possibilitar injustiças ou facilitar a disseminação de desinformação. Via Inovação Educacional
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O sistema educativo atual é orientado por regras e padronização, ignorando muitas vezes as necessidades específicas de cada aluno, especialmente daqueles que já enfrentam desvantagens. A IA pode mudar isso. Via Inovação Educacional |
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