Big Brother n’est pas parmi nous, mais c’est Nathalie Olivier qui est là pour évoquer, dans cette nouvelle chronique, la vidéo surveillance.
Quelles entreprises sont concernées par la vidéo-surveillance ? Quelles procédures avant d’installer un dispositif de protection ? Quels sont les droits, les interdits et les obligations liés à l’utilisation d’un dispositif de vidéo-surveillance ?
D’autres points seront également évoqués, comme notamment les cas dans lesquels on abuse de son pouvoir de direction par l’emploi de la vidéo-surveillance, et les conséquences juridiques de la vidéo-surveillance.
Un nouveau procureur adjoint a été nommé à Rouen le 1er novembre 2025. Une arrivée qui interroge, car le magistrat a fait l'objet d'une sanction disciplinaire, rétrogradation et déplacement d'office, pour avoir harcelé plusieurs femmes dans ses précédentes fonctions, au tribunal de Boulogne-sur-Mer.
Si vous exercez une activité commerciale, artisanale ou libérale, vos données professionnelles figurant dans des annuaires publiés sur Internet peuvent faire l’objet de notation et commentaires d’internautes. Ces avis doivent respecter certaines règles.
Dans une interview accordée au Parisien ce 19 décembre, la ministre déléguée au Numérique Anne Le Hénanff détaille un projet de loi présenté comme une priorité, avec une adoption espérée début 2026.
Donner une personnalité juridique aux fleuves, aux lacs et autres espaces naturels était jusqu’ici plutôt réservé aux Etats où vivent des populations autochtones. Cette évolution arrive en Europe et provoque de fortes oppositions. Elle bouleverse une vision du monde fondée sur la prééminence de l’être humain sur la planète.
Par Claire Legros
Publié le 21 octobre 2022 à 08h00, modifié le 24 octobre 2022 à 17h25
extraits
"... A cet élan international font écho plusieurs initiatives en France, souvent portées par des collectifs d’habitants, pour proclamer et défendre les droits de rivières : le fleuve Tavignano en Corse, la Garonne en Nouvelle-Aquitaine ou la rivière de la Têt dans les Pyrénées-Orientales." (...) "... Pour la philosophe Sophie Gosselin, ces initiatives montrent qu’on peut « imaginer des espaces politiques à partir des milieux de vie et non plus en référence à des découpages administratifs officiels. Un peu partout, de nouvelles institutions sont en train d’émerger, qui regroupent celles et ceux qui se sentent attachés à un territoire. Elles obligent les institutions existantes à se transformer pour intégrer la perspective des non-humains à partir de la relation qui les lie aux habitants. »
Autour de la Mar Menor ravagée par la prolifération des algues, tout citoyen peut désormais intenter une action en justice pour protéger la lagune ; des gardiens organisés en trois comités, avec en leur sein des représentants du gouvernement, de la vie économique, des associations environnementales et de quartier, sont chargés de veiller sur ses intérêts. Reste à savoir si ces nouveaux droits réussiront à protéger le bras de mer plus efficacement qu’il ne l’a été jusqu’à présent, favorisant de nouveaux équilibres entre les humains et leurs milieux de vie."
Le podcasting ou comme le disent nos amis Québécois la balladodiffusion est une technique de diffusion d’un contenu sur Internet qui a émergé en 2004 grâce à l’avènement du web 2.0 [1]. Principalement utilisée par les médias, cette technique de diffusion d’information se généralise au point de devenir un véritable outil de communication facilement (...)
Selon l'entreprise ce sont les données personnelles des clients qui sont "susceptibles" d'avoir été volées, notamment "le nom, le prénom, les adresses email et postale ou le numéro de téléphone".
Documentaire disponible en rediffusion jusqu'au 16/04/2026
En 1974, la fresque d’Alexandre Soljenitsyne sur les camps soviétiques suscitait une violente prise de conscience de la réalité du régime. En archives et entretiens, un passionnant retour sur le destin d’une oeuvre monumentale, qui demeure d’une brûlante actualité dans la Russie de Poutine.
En 1974, la traduction de L’archipel du Goulag, publié en russe à Paris quelques mois plus tôt, provoque un séisme politique, intellectuel et moral. En donnant une voix aux millions de victimes du système concentrationnaire soviétique, Alexandre Soljenitsyne révèle au monde l’ampleur et l’horreur de la répression, dont il a lui-même été la proie. En février 1945, le futur prix Nobel de littérature, alors capitaine décoré de l’Armée rouge, a été condamné à huit ans de camp pour avoir critiqué le "petit père des peuples" dans sa correspondance. Une expérience qu’il condensera dans Une journée d’Ivan Denissovitch, roman paru en 1962 à la faveur de la déstalinisation engagée par Khrouchtchev. Croulant sous les lettres de zeks (mot russe désignant les prisonniers des camps du Goulag), Soljenitsyne forme alors le projet d’écrire une histoire globale de la terreur en URSS. Caché dans une ferme estonienne afin d’échapper à la surveillance du KGB et au regain répressif de l’ère Brejnev, l’écrivain tisse minutieusement son vécu, le fruit de ses recherches et plus de deux cents témoignages de rescapés pour donner vie à son chef-d’œuvre, qu’il parvient à faire sortir clandestinement d’Union soviétique sur des microfilms. Aussitôt accusé de haute trahison, Soljenitsyne est expulsé vers l’Allemagne, tandis que son livre triomphe. À l’Ouest comme à l’Est, où il circule sous le manteau, L’archipel du Goulag bouscule les consciences et ébranle les fondements de l’idéologie communiste.
Déflagration
En compagnie notamment de Natalia Soljenitsyne, la veuve du dissident disparu en 2008, ce documentaire retrace l’épopée d’un monument littéraire du XXe siècle, qui a déchiré les intellectuels français – suscitant déni ou fin des illusions –, et contribué à l’effondrement de l’URSS. Éclairant les conditions tout aussi tragiques que rocambolesques de sa fabrication, le film convoque une foule d’archives et de témoins (les écrivains Ludmila Oulitskaïa, Sofi Oksanen ou Guy Konopnicki, l’auteur et traducteur Georges Nivat, sans oublier l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, fils du philosophe antitotalitaire André Glucksmann) pour ressusciter l’onde de choc intime et politique suscitée par les révélations du livre. À l’heure où la Russie glorifie son héritage soviétique et étouffe la mémoire des crimes passés, une plongée captivante dans une œuvre de résistance qui n’a rien perdu de son acuité.
"L'archipel du Goulag", la révélation Documentaire de Jérôme Lambert et Philippe Picard (France, 2023, 56mn)
Reportage disponible jusqu'au 26/10/2035 Denver, la capitale de l’État du Colorado est une ville tenue par les démocrates, une ville dite "sanctuaire" qui protège les migrants sans papiers. Ils seraient plus de 12 millions à travers tout le pays, participent au développement économique des États-Unis et sont pourtant régulièrement menacés d’expulsion depuis la réélection de Donald Trump.
À Denver, les manifestations pour dénoncer les raids des agents de "ICE", la police de l’immigration, se succèdent. Mais, en parallèle, une initiative originale sous la forme d’une coopérative de chauffeurs, La "Driver ‘s Coop" a été mise en place pour leur permettre de mieux vivre. Unique aux États-Unis, créée il y a moins d’un an, cette coopérative qui regroupe déjà 800 chauffeurs de taxi et 1000 en cours d’adhésion, était initialement une réponse à l’exploitation des géants du secteur à l’exemple de "Uber". L’État du Colorado offrant la possibilité de détenir un permis de conduire sans papiers en règle, beaucoup de chauffeurs sont des migrants en situation irrégulière. Si l’adhésion à la coopérative ne leur permet pas d’obtenir des papiers, elle leur permet toutefois d’améliorer leurs conditions de vie, à s’intégrer et peut-être, un jour, à obtenir la nationalité américaine. Sa directrice, Minsun JI, originaire de Corée du Sud, témoigne de son engagement social et économique : un acte de résistance politique dans l’Amérique de Trump. #usa #reportage #arte
Second volet de cette histoire des yakuzas. Au cours des années 1980, alors que le Japon connaît une prospérité sans précédent, les yakuzas vivent leur âge d'or. Ils créent des entreprises légales, règnent sur les travaux publics et l’immobilier comme sur les industries du divertissement et du sport, possèdent des sociétés de crédit et s’étendent sur de nouveaux territoires, tel Hawaii.
En 1990, l'effondrement du yen installe durablement le pays dans la crise. Le chômage grimpe en flèche, et des scandales à répétition éclaboussent le monde politique, la finance et les grandes firmes, révélant l'implication des yakuzas dans tous les secteurs de l'économie. De nombreux politiciens, dont le crime organisé finance les campagnes électorales, sont alors acculés à la démission. Créé en 1955 grâce aux fonds des yakuzas et des États-Unis, le Parti libéral-démocrate (PLD) au pouvoir est particulièrement touché. Le FBI ayant mis au jour l'infiltration des yakuzas à Hawaii, l'administration Obama fait pression sur le gouvernement nippon pour qu'il les réprime, à l’heure où une série de faits divers ensanglante le pays et achève de dresser la population contre eux. En 2011, les préfectures prennent des ordonnances qui restreignent leur liberté. Ces mesures d'"exclusion du crime organisé" sont entérinées par le Parlement un an plus tard. Mais si les effectifs des yakuzas diminuent, leur déclin profite à des bandes plus violentes et moins structurées : les hangure.
Monde vacillant Nourrie d’archives et de saisissants témoignages, cette enquête chronique un monde crépusculaire. Hier acceptés et respectés, les yakuzas, gangsters légendaires qui ont enflammé les imaginaires et dont les films de Takeshi Kitano ont si justement restitué l’univers, sont aujourd’hui sur le déclin. Face à la caméra de Michaël Prazan, plusieurs d’entre eux, actifs ou repentis, se confient, la plupart à visage découvert, avec sincérité et une dignité de seigneurs déchus. Bravant la répression policière et les interdictions qui pèsent sur leurs prises de parole, ils racontent leur mode de vie clanique et plaident leur cause, défendant leurs valeurs et leurs traditions. Plongé au cœur de ce monde vacillant, le film retrace aussi en filigrane, à travers l’omniprésence de ces mafieux dans des secteurs clés de l’économie nipponne et leurs accointances avec les sphères politiques, l’histoire récente d’un Japon gangrené par la corruption. Auteur du best-seller Tokyo Vice, le journaliste américain Jake Adelstein, qui a longuement travaillé sur le crime organisé pour l'un des plus grands quotidiens du pays, détaille savamment les étapes qui ont mené les yakuzas au bord du gouffre, alors que deux membres des hangure, leurs successeurs, concluent le film avec la désinvolture et l’arrogance de nouveaux conquérants. Pourtant, si l'avenir des anciens paraît aujourd’hui compromis, certains, comme Takeshi Ichiyama, qui a donné toute sa vie à l'organisation, ne désarment pas et veulent encore y croire.
YAKUZA Documentaire de Michaël Prazan (France, 2021, 53mn)
Nadjeem K., un quadragénaire connu pour trafic de stupéfiants et pour sa proximité avec les membres du clan de la Banane, à Paris (XXe), aurait mis en œuvre un système de blanchiment d’escroquerie au compte personnel de formation entre Paris, la Belgique et l’Allemagne. Il a été écroué.
Pour Noël, Tocsin vous offre une interview exclusive exceptionnelle ! Depuis le Parlement européen à Strasbourg, Clémence anime une table ronde spécial
Des sites permettent facilement de « dévêtir », à l’aide de l’intelligence artificielle, n’importe qui à partir d’une simple photo. L’utilisation de ces outils contre des jeunes filles mineures se développe.
Un petit groupe de citoyens de l’agglomération nantaise a rédigé deux articles de loi visant à octroyer une personnalité juridique au fleuve. Déjà appliquée dans certains pays, cette reconnaissance d’un cours d’eau donne de nouvelles armes aux défenseurs de l’environnement.
Par Christine Chaumeau
Publié le 08 décembre 2025 à 06h00, modifié le 11 décembre 2025 à 12h13
extraits :
"Elaborée par l’écrivain Camille de Toledo avec l’Institut d’études avancées (IEA) de Nantes etl’appui du Lieu unique, cette démarche a permis à douze citoyens de la ville et de ses environs de se familiariser depuis deux ans et demi avec les droits de la nature."
"Comment définir l’entité naturelle juridique « Loire » ? Si le fleuve a des droits, doit-il avoir des obligations ? Peut-il être tenu responsable en cas d’inondation ou de sécheresse ? Qui peut parler en son nom et incarner son « visage humain » ? Experts, scientifiques et juristes interviennent, soulignant les écueils de certaines formulations."
image : La Loire, à La Borie, en Ardèche. ANNE-MARIE FILAIRE
Entre censure et liberté : jusqu’où va la responsabilité des plateformes ? Entre appels à la régulation et accusations de censure, les grandes plateformes sont désormais au cœur du débat démocratique numérique.
Première décision de justice rendue en France dans une affaire impliquant des hallucinations de l’IA : le chercheur en droit Damien Charlotin analyse en avant-première ce cas inédit. Il rappelle une distinction essentielle pour les professionnels du droit : toutes les IA ne se valent pas.
Via Stéphane Cottin
Publié mardi 16 décembre, le dixième paquet législatif « omnibus » de l’exécutif européen prévoit une profonde réforme du système d’homologation européen des produits phytosanitaires.
Par Stéphane Foucart
Publié le 17 décembre 2025 à 08h39, modifié le 17 décembre 2025 à 08h50 (abonnés)
extrait
"La proposition de Bruxelles prévoit d’accorder à la majorité des biocides et des pesticides une autorisation illimitée dans le temps, leur évitant une réévaluation automatique de leur sûreté tous les dix à quinze ans, comme c’est actuellement le cas. Seules les substances considérées comme les plus dangereuses échapperaient à cette exemption. La Commission ouvre aussi la voie au retour aux épandages aériens de pesticides, proscrits depuis 2009 dans toute l’Union européenne, en prévoyant de saisir l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) d’une demande d’avis sur les drones susceptibles de pouvoir être utilisés dans ce but, sans nuire à la santé et/ou à l’environnement."
(...)
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ndé
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'Selon l'ONG Générations futures, depuis 2011, le réexamen obligatoire des pesticides a permis d'interdire 31 substances jugées trop nocives pour la santé ou la biodiversité. Ce projet Omnibus présenté par la Commission européenne débute son parcours, il passera notamment devant le Parlement européen avant d'être validé.'
"Cet accord a été adopté définitivement par le Parlement européen, réuni en plénière, ce mardi 16 décembre. [...] Le texte doit être maintenant formellement approuvé par le Conseil. La directive entrera en vigueur 25 jours après sa publication au Journal officiel."
Pesticides : plus de 2 300 médecins et scientifiques interpellent Sébastien Lecornu sur la déréglementation en cours au niveau européen et français - De www.franceinfo.fr - 8 décembre, 10:04
Les signataires de cette lettre dénoncent les effets du paquet "Omnibus VII" de la Commission européenne examiné à partir de mercredi 10 décembre.
L’Assemblée nationale vient de voter une loi historique : les enfants placés en famille d’accueil ou en foyer auront désormais obligatoirement un avocat pour défendre leurs droits. @canellesab récap.
À partir de témoignages exclusifs de plusieurs d’entre eux, d’éclairages et d’archives, une fascinante immersion au coeur du monde ritualisé des yakuzas, mafieux légendaires aujourd’hui sur le déclin.
Si le temps des yakuzas semble révolu depuis les lois des années 2010 contre le crime organisé, ces groupes mafieux japonais perdurent. Apparus à la fin du VIIIe siècle, quand l’empire recourt à des marginaux pour encadrer les jeux de dés et d’argent, les yakuzas (le terme signifie "8-9-3", une main perdante), issus des couches pauvres les plus discriminées du pays, trouvent dans les gangs un moyen de s’élever socialement. Régi par un code d’honneur, le Ninkyôdô ("la voie chevaleresque"), qui se transmet de génération en génération, leur monde est très ritualisé. Charismatique mafieux à l’allure débonnaire, Takeshi Ichiyama, qui règne sur le territoire de Kochi, montre non sans fierté son dos recouvert d’un immense tatouage, marque de loyauté à son clan. Chef à Asakusa, un quartier populaire de Tokyo, Akira Asakura, lui, se souvient avec émotion du sakazuki, le partage solennel de la coupe de saké qui a symbolisé l’allégeance à son oyabun (parrain). Traditionnellement, les yakuzas proscrivent le vol ordinaire ou à main armée et les agressions sexuelles. Ils tirent leurs revenus de divers trafics – dont celui de la drogue, pourtant interdit par leur code – ainsi que de la collecte de "taxes de protection" prélevées sur les restaurants, les casinos ou les bars à hôtesses, notamment à Kabukichô, le quartier rouge de la capitale. Présente sur tout le territoire nippon, cette mafia compte vingt-trois organisations – avec une myriade de clans et de groupes affiliés –, dont la plus importante, le Yamaguchi-gumi, a été fondée à Kobe en 1915. Longtemps acceptée par la société et les autorités comme un mal nécessaire contre la violence qu’elle prétendait contenir, cette pègre a pourtant perdu de son crédit au cours des dernières décennies en ensanglantant le pays par des guerres fratricides.
Monde vacillant
Nourrie d’archives et de saisissants témoignages, cette enquête chronique un monde crépusculaire. Hier acceptés et respectés, les yakuzas, gangsters légendaires qui ont enflammé les imaginaires et dont les films de Takeshi Kitano ont si justement restitué l’univers, sont aujourd’hui sur le déclin. Face à la caméra de Michaël Prazan, plusieurs d’entre eux, actifs ou repentis, se confient, la plupart à visage découvert, avec sincérité et une dignité de seigneurs déchus. Bravant la répression policière et les interdictions qui pèsent sur leurs prises de parole, ils racontent leur mode de vie clanique et plaident leur cause, défendant leurs valeurs et leurs traditions. Plongé au cœur de ce monde vacillant, le film retrace aussi en filigrane, à travers l’omniprésence de ces mafieux dans des secteurs clés de l’économie nipponne et leurs accointances avec les sphères politiques, l’histoire récente d’un Japon gangrené par la corruption. Auteur du best-seller Tokyo Vice, le journaliste américain Jake Adelstein, qui a longuement travaillé sur le crime organisé pour l'un des plus grands quotidiens du pays, détaille savamment les étapes qui ont mené les yakuzas au bord du gouffre, alors que deux membres des hangure, leurs successeurs, concluent le film avec la désinvolture et l’arrogance de nouveaux conquérants. Pourtant, si l'avenir des anciens paraît aujourd’hui compromis, certains, comme Takeshi Ichiyama, qui a donné toute sa vie à l'organisation, ne désarment pas et veulent encore y croire.
YAKUZA Documentaire de Michaël Prazan (France, 2023, 52mn)
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