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Today, 12:24 PM
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A Danish startup is entering the unmanned logistics market with a family of heavy-lift, high-speed autonomous cargo aircraft designed to move large payloads over medium distances. Acodyne says it is developing an unmanned electric vertical takeoff and landing aircraft aimed
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Lithuania has approved plans to acquire 100 Swedish-made CV90 MkIV infantry fighting vehicles as part of a joint procurement with five other NATO allies, a move aimed at modernizing its ground forces and expanding regional industrial cooperation. The decision was
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Today, 12:23 PM
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The United States Army is taking early steps to modernize and sustain its UH-60M Black Hawk helicopter fleet, signaling plans to keep the platform in service well beyond mid-century as operational demands and technology continue to evolve. According to the
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Germany has placed its first production order for the RCH155 wheeled howitzer, moving to introduce a new remote-controlled artillery system into service under a long-term framework agreement that could eventually reach 500 vehicles. According to the announcement, the German Armed
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Today, 12:21 PM
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Today, 12:21 PM
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The Polish MND has declared FOC with its IBCS-enabled Wisła medium-range air defence system, Northrop Grumman has announced.
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Today, 12:21 PM
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L’Europe a surmonté les réticences de certains pays membres et annoncé le 19 décembre une aide de 90 milliards d’euros à l’Ukraine pour financer son effort de guerre dans les prochaines années.
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Today, 12:19 PM
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Today, 12:17 PM
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An AH-1Z conducted a low-altitude test firing of the Red Wolf over the Atlantic Test Range in September 2025, adding to 45 demonstrations already performed for the U.S. military.
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Today, 12:14 PM
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Le budget de la DGSE, qui avait dépassé pour la première fois le milliard d’euros en 2025, atteindra 1,15 milliard d’euros en 2026, selon les calculs de Challenges , soit une hausse de 7,4 %. A condition, évidemment, que le budget soit voté.
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December 19, 2:30 AM
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Le 17 décembre, la commission du Budget de la chambre basse du Parlement allemand [Bundestag] a autorisé pas moins de trente projets d’armement pour un montant total de 50 milliards d’euros. Il serait tentant de penser que c’est Noël avant l’heure pour la Bundeswehr, d’autant plus que, l’an prochain, elle devrait disposer d’un budget de 87,2 milliards d’euros, complété par une enveloppe de 25,5 autres milliards prélevée sur le Fonds spécial mis en place pour pallier ses carences capacitaires. Cela étant, l’année qui s’achève a été rythmée par les autorisations accordées par les députés d’outre-Rhin, comme en octobre, avec la commande approuvée de vingt Eurofighter EF-2000 au standard T5 pour 3,75 milliards d’euros, ou encore comme en novembre, avec la décision d’acquérir plusieurs centaines de blindés [Schakal, Luchs 2 et SpähFz NG] pour environ 8 milliards. Au total, au cours de ces douze derniers mois, le Bundestag a débloqué pas moins de 83 milliards d’euros pour financer 103 projets d’armement. La liste des achats qui viennent d’être approuvés par la commission du Budget concerne tous les milieux [terre, air, mer, cyber, espace]. Ainsi, il est question de véhicules de combat d’infanterie [VCI] Boxer et Puma supplémentaires, de blindés de transport de troupes de « nouvelle génération » CAVS [Common Armoured Vehicle System] ainsi que de systèmes d’artillerie RCH 155. Les députés ont également autorisé l’achat de davantage de munitions, en particulier pour la défense aérienne, ainsi que le lancement de la production en série du missile de croisière air-sol Taurus Neo. S’agissant de l’espace – un domaine où il nourrit de grandes ambitions, avec environ 35 milliards d’investissements d’ici 2030, le le ministère allemand de la Défense va pouvoir financer le satellite radar SPOCK [Space System for Persistent Operational Tracking], pour 1,76 milliard d’euros. Ce projet sera mené par une coentreprise détenue par Rheinmetall et le finlandais ICEYE. « La Bundeswehr répond à l’évolution de la situation sécuritaire en Europe par l’acquisition du système SPOCK. Ce projet est particulièrement urgent. L’objectif est d’atteindre une capacité opérationnelle dans les plus brefs délais, ce qui est primordial compte tenu du contexte géopolitique actuel », a expliqué le ministère allemand de la Défense. Mais la liste des projets approuvés recèle une surprise. Jusqu’à présent, la Bundeswehr – et plus particulièrement la Luftwaffe – a toujours utilisé des drones MALE [Moyenne Altitude Longue Endurance] de conception israélienne, comme c’est actuellement le cas avec le Heron TP. En outre, l’Allemagne dirige le programme EuroDrone, c’est-à-dire le futur drone MALE européen développé par Airbus, dans le cadre d’une coopération avec la France, l’Italie et l’Espagne. Or, le ministère allemand de la Défense a obtenu l’autorisation d’acquérir un nombre non précisé de drones MQ-9B SeaGuardian auprès du groupe américain General Atomics. Selon les explications qu’il a données, ces appareils seront utilisés par la marine allemande pour effectuer des missions de reconnaissance « à longue portée » et de « chasse aux sous-marins » à l’aide de bouées acoustiques. Ces MQ-9B SeaGuardian seront ainsi associés aux huit avions de patrouille maritime P-8A Poseidon attendus par l’aviation navale allemande [MarineFlieger]. Un premier appareil lui a récemment été remis… et il est possible qu’elle en obtienne douze au total. La décision de Berlin d’acquérir des MQ-9B SeaGuardian enterre définitivement les dernières illusions que certains pouvaient encore nourrir au sujet du projet franco-allemand MAWS [Maritime Airborne Warfare Systems] et pose la question de l’avenir de l’EuroDrone qui, n’étant pas adapté aux engagements de haute intensité, pourrait être très utile pour la patrouille maritime. En tout cas, il intéresse le Japon pour ce genre d’usage. Pour rappel, pouvant voler pendant plus de trente heures, le MQ-9B SeaGuardian assure des missions de surveillance, de renseignement, de guerre électronique, de lutte antisurface et de lutte anti-sous-marine grâce à ses capteurs et à l’armement qu’il est en mesure d’emporter [boule optronique MX-20, radar de surveillance maritime SeaVue, bouées acoustiques, nacelle Sage 750 pour identifier et suivre les émissions radars, etc.]. Selon General Atomics, il serait possible de l’équiper avec le radar à antenne active [AESA] Seaspray 7500E V2.
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December 19, 2:28 AM
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En octobre, le gouvernement espagnol a approuvé le lancement de la troisième phase du programme NH90, avec l’objectif d’acquérir 31 hélicoptères de plus pour les besoins de ses trois forces armées. Et cela avec un budget de 1,785 milliard d’euros, cette somme tenant compte du soutien logistique. Cette ambition s’est concrétisée deux mois plus tard. En effet, ce 18 décembre, Airbus Helicopters a fait savoir que la Direction générale de l’armement et du matériel [DGAM] du ministère espagnol de la Défense venait de lui notifier la commande 31 NH90 destinés « au transport tactiques, aux manœuvres et aux opérations spéciales ainsi qu’aux missions d’assaut amphibie. Ainsi, 13 de ces hélicoptères seront destinés aux Forces aéromobiles de l’armée de Terre espagnole [FAMET] tandis que l’armée de l’Air [Ejército del Aire y Espacio] en recevra douze pour ses missions de recherche et de sauvetage au combat. Enfin, la marine [Armada española] devant se contenter de six appareils. Avec ce contrat, les forces espagnoles disposeront d’un total de 76 NH90. Ceux qui viennent d’être commandés seront livrés dans une version modernisée, notamment au niveau de la connectivité et de la propulsion. Mais la DGAM n’en est pas restée là. En effet, elle a également commandé 13 H135 de plus [12 pour l’Ejército del Aire y Espacio et 1 pour la marine]. Ces appareils seront utilisés pour la formation avancée des pilotes, le transport et l’observation. Un troisième contrat a été notifié à Airbus Helicopters pour la livraison de 6 H175M. Destinés à la 48e Escadre de l’Ejército del Aire y Espacio, ils remplaceront les Super Puma utilisés pour le transport des autorités. Enfin, le plus gros morceau est à venir. En effet, la DGAM a commandé 50 H145M pour les besoins des FAMET, lesquelles étaient en quête d’un hélicoptère léger de reconnaissance armé, en complément de leurs 18 EC-665 Tigre. Pour rappel, l’Allemagne a également confirmé l’acquisition de 20 H145M de plus, ce qui portera à 82 le nombre d’exemplaires en service au sein de la Bundeswehr, qui en utilisera une partie pour des missions de lutte antichar. Mais, dans le même temps, elle a décidé de retirer prématurément du service ses hélicoptères d’attaque et de reconnaissance Tigre. Un choix que l’Espagne s’est donc gardée de faire. Pour les FAMET, l’achat de H145M présente plusieurs avantages : un coût de possession relativement faible, un entretien plus aisé, une empreinte logistique réduite et la possibilité de les solliciter pour plusieurs types différents de missions afin de « soulager » des appareils plus avancés et plus onéreux à exploiter. L’an passé, un officier des FAMET avait donné un autre argument : la possibilité de disposer d’une capacité MUM-T [Manned-Unmanned Teaming] pour contrôler des drones. « Le potentiel de l’utilisation synchronisée des drones et des hélicoptères ‘pilotés’ ne doit pas être sous-estimé » car cela « nous procurerait les capacités appropriées pour opérer dans la profondeur du dispositif d’un ennemi technologiquement avancé », avait-il expliqué dans les pages de la revue « Memorial de Aviación del Ejército de Tierra ». Quoi qu’il en soit, a fait valoir María Amparo Valcarce García, la secrétaire d’État espagnole à la Défense, avec ces contrats notifiés à Airbus Helicopters, le gouvernement « honore son engagement de doter les forces armées d’hélicoptères de dernière génération, indispensables à leurs opérations ». Et d’ajouter : « Cet investissement stratégique vise à renforcer significativement les capacités de sécurité et de défense de l’Espagne, garantissant ainsi son autonomie stratégique nationale dans un secteur clé de la défense européenne ». Effectivement. Selon Bruno Even, le PDG d’Airbus Helicopter, ces contrats devraient avoir un « impact direct sur la création d’emplois hautement qualifiés » en Espagne, avec plus de 300 postes directs estimés au cours des trois prochaines années. En outre, a-t-il poursuivi, « l’empreinte industrielle d’Albacete continuera de se développer avec un nouveau centre de personnalisation d’hélicoptères militaires et un centre international de formation pour les pilotes et techniciens du H145M », qui viendront compléter « la construction en cours des installations dédiées à la modernisation à mi-vie du Tigre ».
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Today, 12:24 PM
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An unidentified unmanned aerial vehicle has crashed in an empty field in the Manyas district of Balıkesir province in western Türkiye. According to open-source intelligence analysis, the drone was recovered largely intact and transferred to Ankara for detailed examination. Initial
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Airbus Helicopters says it has reached a new stage in the Tiger Mid Life Upgrade (MLU) program with the activation of a full-scale ground test facility designed to reduce risk ahead of flight testing planned for 2026. According to a
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Egypt has reportedly signed a contract worth about $400 million to acquire 10 Chinese-made WJ-700 unmanned combat aerial vehicles. According to information circulating in Chinese and Arabic defense reporting, the agreement was signed in June 2025. If the deal is
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Today, 12:22 PM
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Today, 12:21 PM
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Le finlandais Patria a décroché la plus importante commande de son histoire auprès de l’Allemagne.
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Pour la première fois depuis la fin de la guerre froide, la Pologne veut relancer la production de mines antipersonnelles pour protéger sa frontière orientale, dans le contexte de menace russe.
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Today, 12:19 PM
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Avec 30 projets d’acquisitions, l’Allemagne accélère le renouvellement de son arsenal militaire. Obusiers RCH 155, blindés et satellites SPOCK figurent parmi les commandes prévues, alors que Berlin entend répondre aux exigences de l’Otan et renforcer sa présence en Europe de l’Est.
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Today, 12:17 PM
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CENTCOM launched Operation Hawkeye Strike, striking over 70 targets with more than 100 precision munitions after two U.S. Soldiers and an interpreter were killed on Dec. 13.
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The image show a live-fire test of the upgraded Type 12 Surface-to-Ship missile conducted between October and November 2020 in California. The Japanese
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December 20, 5:22 AM
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December 19, 2:28 AM
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Il suffit d’une seule phrase sortie de son contexte [*] pour déchaîner les polémiques et les passions, masquant ainsi l’essentiel d’un discours. C’est précisément ce qu’a vécu le général Fabien Mandon, le chef d’état-major des armées [CEMA], après son intervention de 35 minutes devant le congrès de l’Association des maires de France [AMF], le mois dernier. Lors de son allocution, le général Mandon a longuement évoqué les enjeux de l’Indopacifique, les défis posés par la Chine et la redéfinition des priorités américaines pour y répondre. « Vous avez deux grands acteurs. Un qui est en train de se séparer progressivement de l’Europe en termes de priorité pour se concentrer vers la Chine et une Chine qui s’affirme comme puissance avec le risque de confrontation avec les États-Unis », a souligné le CEMA. Et cela, avec la question de Taïwan en toile de fond. « Aujourd’hui, vous avez au Pentagone une horloge, visible de tous les officiers qui y servent, qui décompte tous les jours jusqu’en 2027. Parce que pour les États-Unis, en 2027, la Chine s’empare de Taïwan et rentre dans la confrontation. Ce que je veux dire, c’est que ce ne sont pas uniquement des analyses de renseignement. Vous avez la première puissance mondiale aujourd’hui qui affiche au cœur de sa défense un horizon 2027 et d’affrontements possibles », a prévenu le général Mandon. D’ailleurs, pendant que les aiguilles de l’horloge tournent, la Chine met sans cesse davantage la pression sur Taïwan, que ce soit en termes politiques, diplomatiques et, surtout, militaires. Ainsi, comme l’a relevé le dernier rapport sur la défense nationale de Taïwan, publié en octobre, la Chine [ou la République populaire de Chine – RPC] poursuit sa modernisation militaire et accélère le développement et le déploiement de nouveaux équipements » tout en ayant de plus en plus souvent recours « à divers moyens d’intimidation » à l’égard de Taipei. Pour y faire face, a continué le rapport, les forces taïwanaises ont « élaboré des stratégies et développé des capacités de combat » pour une « une dissuasion multidomaine et une défense résiliente ». À ce titre, elles privilégient la réactivité, l’agilité, la guerre asymétrique et les opérations décentralisées ». En clair, elles doivent être en mesure de réagir rapidement à toute attaque, en faisant en sorte que leurs unités puissent manœuvrer sous un mode de commandement « décentralisé », c’est-à-dire sans attendre de directives de la part des échelons supérieurs. Cela étant, Taïwan mise également sur ses partenaires, notamment le Japon et les États-Unis. Lors de son premier mandat [2017-21], le président américain, Donald Trump, n’avait pas hésité à froisser Pékin en faisant mine de remettre en question le principe d’une seule Chine. Et, contrairement à son prédécesseur [Barack Obama], il autorisa pratiquement toutes les ventes d’armes que souhaitait se procurer Taipei [char Abrams, F-16 Viper, missiles antinavires, etc.]. Cependant, depuis son retour à la Maison Blanche, et en vertu de sa politique « l’Amérique d’abord », M. Trump a semblé être dans d’autres dispositions à l’égard de Taïwan, qu’il a appelée à « payer pour sa défense » et à qui il a imposé des droits de douanes de 20 %. Ces dernières semaines, le président taïwanais s’est engagé à porter les dépenses militaires de l’île à plus de 3 % du PIB dès 2026 et à 5 % du PIB d’ici 2030, via un fonds spécial de défense doté de 40 milliards de dollars. Dans le même temps, il est question de stimuler les investissements de Taïwan aux États-Unis. Cette approche est-elle la bonne ? En tout cas, après qu’elle a autorisé, en novembre, une première vente de composants aéronautiques pour 330 millions de dollars, la Defense Security Cooperation Agency [DSCA], chargée des exportations d’équipements militaires américains, a donné son feu vert à pas moins de huit contrats potentiels intéressant Taïwan en l’espace de vingt-quatre heures. Et le tout pour 11 milliards de dollars. Parmi les ventes approuvées par la DSCA, celles concernant les obusiers automoteurs chenillés M109A7 et les systèmes de frappe à longue portée M142 HIMARS [High Mobility Artillery Rocket Systems] sont les plus importantes. Dans le détail, le ministère taïwanais de la Défense a été autorisé à acquérir 60 M109A7, avec 13 véhicules de dépannage M88A2 et 4080 kits de guidage de précision, pour 4 milliards de dollars. Pour rappel, en 2021, Taïwan avait demandé une autorisation à l’administration américaine pour acquérir 40 M109A6 « Paladin ». Ce qui lui fut accordé pour un coût estimé à 750 millions de dollars. Les plans ont depuis changé… d’où cette annonce de la DSCA au sujet des M109A7. Selon la presse taïwanaise, l’ambition initiale était d’acquérir 168 obusiers M109A7 pour remplacer les M109A2/A3 plus anciens. Mais Taipei a finalement décidé de la réduire à 120 unités, lesquelles devront être commandées en deux temps, c’est-à-dire en deux lots de 60 exemplaires chacun. Quant aux capacités de frappe dans la profondeur, Taïwan pourra négocier l’achat de 82 M142 HIMARS, de 420 missiles balistiques ATACMS [Army Tactical Missile System] de 300 km de portée et d’autres munitions associées pour 4,05 milliards de dollars. Jusqu’alors, l’armée taïwanaise avait déjà commandé 29 M142 HIMARS, dont 18 pour compenser l’annulation de l’achat des M106A6 Paladin. Deux autres avis publiés par la DSCA concernent les achats de missiles antichars TOW 2B et Javelin pour respectivement 353 et 375 millions de dollars. Enfin, il est question d’une commande de munitions rôdeuses ALTIUS-700M et ALTIUS-600 pour un peu plus d’un milliard de dollars, de pièces détachées pour les hélicoptères d’attaque AH-1, de maintenance des missiles antinavires Harpoon ainsi que de la fourniture de « logiciels, d’équipements et de services de réseau de mission tactique » pour 1 autre milliard. Sans surprise, Pékin a vivement réagi à ces annonces, qui restent encore à confirmer. « La Chine exhorte les États-Unis […] à honorer les engagements solennels pris par les dirigeants américains et à cesser immédiatement ses actions dangereuses consistant à armer Taïwan », a ainsi protesté Guo Jiakun, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères. [*] « Les armées, c’est un extrait de la nation. Les femmes et les hommes, qui sont aujourd’hui employés partout dans le monde, ont entre 18 et 27 ans sur le terrain. Ils sont jeunes, ils viennent de vos communes, ils ont les mêmes aspirations. Ils tiendront dans leur mission s’ils sentent que le pays tient avec eux. Si notre pays flanche, parce qu’il n’est pas prêt à accepter de perdre ses enfants, parce qu’il faut dire les choses, de souffrir économiquement parce que les priorités iront à de la production de défense par exemple. Si on n’est pas prêt à ça, alors on est en risque. Mais je pense qu’on a la force d’âme. » – Général Fabien Mandon, 18 novembre 2025.
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