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May 11, 10:10 PM
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HENSOLDT, a leading German provider of defence and security sensor solutions, has announced a strategic cooperation with Munich-based defence tech startup Quantum Systems.
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May 11, 10:09 PM
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L3Harris Technologies has delivered multiple follow-on aircraft to support U.S. Special Operations Command (SOCOM).
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May 11, 10:09 PM
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In 2025, Denmark will be responsible for disbursing approximately 830 million euros for donations procured in the Ukrainian defence industry on behalf of the EU.
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May 11, 10:08 PM
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General Dynamics European Land Systems (GDELS) will introduce a new self-propelled artillery system at the International Defence & Security Exhibition (FEINDEF) in Madrid.
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May 11, 10:07 PM
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The AIM-174B long-range air-to-air missile (AAM) made what could be its first public appearance since being fielded, during the Japan Maritime Self-Defense Force-Marine Corps Air Station (JMSDF-MCAS) Iwakuni Friendship Day on 4 May 2025.
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May 11, 10:07 PM
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Ancienne colonie britannique en Amérique du Sud, le Guyana connaît une expansion économique foudroyante, avec un PIB par habitant passé de 1 000 à 20 700 dollars en moins de vingt ans et un taux de croissance de plus de 30 % en 2023. Ces résultats sont largement dus aux récentes découvertes de pétrole, qui lui ont permis de se hisser au troisième rang des pays producteurs d’hydrocarbures du continent, derrière le Venezuela et le Brésil. Cette tendance n’est pas près de s’inverser, ses réserves étant estimées à au moins 9 milliards de barils. La richesse du Guyana provient essentiellement du territoire de l’Essequibo, lequel est bien pourvu en ressources minières [or, diamants, uranium, manganèse et bauxite]. Aussi, cette région de 160 000 km² est-elle convoitée par le Venezuela voisin, dont la santé économique a pâti des effets de la « révolution bolivarienne », censée préfigurer le « socialisme du XXIe siècle ». Cela étant, sur le papier, les forces de défense du Guyana [GDF] auraient du mal à contrer une éventuelle invasion de l’Essequibo. Ne comptant que 3 400 militaires d’active [selon des données de 2023], elles disposent d’équipements souvent obsolètes, à l’image, par exemple, du pistolet-mitrailleur Sten de la Seconde Guerre Mondiale. Et leur aviation se limite à quelques hélicoptères et au moins six avions de transport. Quoi qu’il en soit, ce n’est pas le plan d’investissement qui, annoncé en février 2024 avec une dotation de 200 millions de dollars qui permettra aux forces du Guyana de rivaliser avec celles du Venezuela. En tout cas, cette enveloppe leur a permis de commander un patrouilleur OPV 190 auprès du chantier naval français Ocea. Ce que Caracas n’avait pas manqué de critiquer au moment de la signature du contrat, en avril 2024. À cette époque, évoquant le curieux concept de « réarmement diplomatique », le Quai d’Orsay avait annoncé l’ouverture prochaine d’une ambassade à Georgetown. C’est « une première pour un pays membre de l’Union européenne », avait-il alors souligné. Pour l’instant, cette emprise diplomatique n’a pas encore été inaugurée. C’est en effet l’ambassade de France au Suriname qui, le 8 mai, a annoncé le don de quarante jumelles de vision nocturne [JVN] Sophie DIPT19B, avec leurs batteries et chargeurs, aux forces armées de Guyana. Et cela au titre du programme « SOL-STRAT » [pour « SOLidarité STRATégique]. Organisée le 28 avril à l’aéroport Correia-Oggle de Georgetown, la « cérémonie officielle a eu lieu en présence du chargé d’affaires français au Guyana, Jean-Jacques Forte et de l’attaché de défense pour le Suriname et non résidant pour le Guyana, le lieutenant-colonel Jean-Marc Moulin ainsi que l’ensemble des officiers de l’état-major des GDF », a indiqué l’ambassade. Ces JVN ont été acheminées au Guyana par un Casa CN-235 des Forces armées en Guyane [FAG]. Une « instruction technique » a été « réalisée auprès des militaires guyaniens par deux experts optronique du 9e Régiment d’Infanterie de Marine [RIMa] », a précisé la même source, avant de souligner que ce don « illustrait le soutien de la France aux forces de défense du Guyana pour accroître les capacités de surveillance de leur territoire ». Selon le « plan d’action des cessions » publié par le ministère des Armées en septembre 2024, 135 JVN « Sophie » doivent être retirés du service entre 2025 et 2026 pour être ensuite éventuellement cédées à « titre gracieux » à des forces armées partenaires. Photo : Ambassade de France au Suriname
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May 11, 10:04 PM
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Cela fait longtemps que le port de l’uniforme hors des enceintes militaires fait l’objet de débats. Ainsi, en 1993, un député avait demandé à François Léotard, alors ministre de la Défense, s’il envisageait d’obliger les militaires « à se rendre sur leur lieu de service et a rentrer chez eux en uniforme ». Dans sa réponse, évoquant l’article 21 du décret n° 75-675 du 28 juillet 1975, M. Léotard avait écarté cette éventualité en rappelant que la « tenue civile » pouvait « être portée par tous les militaires » en dehors du service et hors de leur caserne ou de leur base. « Cette mesure a été considerée à l’epoque comme la reconnaissance d’une plus grande liberté accordée en France comme dans les autres pays européens aux personnels militaires », avait justifié M. Léotard. Et d’ajouter qu’elle était « essentiellement adaptée à la situation de ceux d’entre eux qui sont affectés dans les grandes agglomerations urbaines ». Toutefois, avait-il conclu, « on peut penser que les membres de la communauté militaire éprouveront dans les années a venir une fierté croissante à se presenter en uniforme en dehors des heures de service sur l’ensemble du territoire ». Cela aurait pu être vrai s’il n’y avait pas eu les attentats commis en 2015, des mesures de protection du personnel militaire contre la menace terroriste ayant dû être prises. En effet, à l’époque, il avait été expliqué que « dans le cadre de mesures particulières destinées à la protection de la Défense et du personnel militaire, des restrictions, voire l’interdiction du port de l’uniforme, [pouvaient] être prononcées par le chef d’état-major des armées [CEMA] ». Les restrictions relatives au port de la tenue ont conduit à « invisibiliser » les militaires. Une tendance que l’actuel CEMA, le général Thierry Burkhard, avait déplorée lors d’une audition parlementaire, en octobre 2023. » Nous, les militaires, on a toujours la sensation d’être extrêmement visibles… Mais, en fait, les militaires sont minuscules : 300’000 hommes sur un pays [de plus de 65 millions d’habitants, ndlr], avec le mode de fonctionnement de la société [que l’on sait]. Les militaires sont en réalité extrêmement peu visibles. Je ne sais pas si c’est 50 % ou 70 % des Français qui peuvent passer la totalité de leur vie sans avoir été au contact de militaires », avait-il dit. Cependant, la situation est en train d’évoluer. En mars, dans les pages du quotidien « Le Télégramme », le capitaine de frégate Alban Simon, porte-parole du préfet maritime de l’Atlantique, avait en effet parlé d’un « assouplissement progressif » des restrictions encore en vigueur. Effectivement. Selon une note signée le 8 avril par le général Loïc Mizon, le gouverneur militaire de Paris, et diffusée via les réseaux sociaux, le port de l’uniforme hors des emprises militaires est de nouveau autorisé. Du moins, pour ce qui concerne la région parisienne. « Face à l’évolution rapide de notre environnement stratégique et aux manœuvres de déstabilisation de nos compétiteurs, le renforcement de la cohésion nationale est crucial. La visibilité des armées en Île-de-France est donc primordiale et passe aussi par le port de la tenue militaire hors des enceintes militaires », a d’abord souligné le général Mizon. Toutefois, soulignant que la menace terroriste restait encore « élevée », il a appelé à la « plus grande vigilance ». « Dans ce contexte, […] considérant la région parisienne comme une zone géographique spécifique où un militaire n’est jamais totalement isolé compte tenu de la densité du maillage réalisé par les forces de sécurité intérieure et les forces armées, en particulier dans les espaces à forte affluence […], j’autorise les militaires servant en Île-de-France à revêtir l’uniforme quand le service les amène à se déplacer. Cette autorisation vaut pour tous les déplacements des militaires seuls dans Paris intramuros et dans les départements de petite et de grande couronne, dans le créneau horaire compris entre 7 et 22 heures », écrit le général Mizon. Et d’ajouter que « l’intelligence de la situation doit systématiquement prévaloir dans le choix décidé par le militaire », celui-ci pouvant toujours se rendre sur son lieu de travail en tenue civile. Cette autorisation pourrait cependant être annulée en « cas de dégradation sécuritaire ». En outre, les délégués militaires départementaux sont « autorisés, selon leur appréciation de la situation dans leur périmètre de responsabilité, à se montrer plus restrictifs », a conclu le gouverneur militaire de Paris.
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May 11, 9:58 PM
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Ce sont des hélicoptères déjà anciens, puisque tous deux construits en 1979, qui sont concernés. La Marinha do Brasil va céder gratuitement à l’Armada Nacional del Uruguay deux Bell 206B-3 Jet Ranger jusque là employés pour l’entraînement élémentaire et intermédiaire. Ces monoturbines seront livrés dans le courant du mois, en parallèle du retrait progressif de ce modèle d’origine américaine désormais obsolète dans l’aéronavale brésilienne. Quatre autres exemplaires seront bientôt proposés à la vente aux enchères sur le marché civil de seconde main. Le Brésil n’a pas besoin de passer par l’acceptation de l’administration fédérale des États-Unis afin de céder ces deux hélicoptères, et pour cause. Primo ils ont été achetés en 1979 aux standards civils Bell 206B-3 et secundo ils n’emportent aucune technologie militaire sensible. En fait si on leur retirait la chaîne de communication de la Marinha do Brasil et leurs marquages ces appareils pourraient parfaitement paraître pour ce qu’ils sont en réalité : des hélicoptères lambdas. C’est pour cela que cette cession gratuite se fait sous les radars de l’administration Trump. Et c’est plutôt heureux pour l’Uruguay qui est ainsi assurée de recevoir ses deux futurs hélicoptères d’entraînement. La petite composante aéronavale de l’Armada Nacional del Uruguay va donc grandir de deux hélicoptères. Celle-ci s’articule actuellement autour d’un Beechcraft Super King Air 200 de surveillance maritime et de deux Bell 412HP de recherches et de sauvetages en mer. Les deux futurs Bell 206B ex-brésiliens assureront évidemment des missions de formations mais aussi de liaisons et de communications. Ils seront pris en compte au Brésil par des équipages qui leur feront traverser la frontière dans les prochains jours. Au Brésil les Bell 206B-3 ont notamment servi à l’entraînement à l’appontage sur plage arrière. Ce don a été rendu possible par le début de la livraison des premiers Airbus Helicopters H125 destinés au remplacement des dits Bell 206B Jet Ranger. Assemblés localement par Helibras ils sont une partie de l’importante commande passée à la fin de l’été 2022. Dans la Marinha do Brasil les Bell 206B-3 étaient des IH-6 tandis que les nouveaux H125 sont quant à eux désignés IH-18. Le dernier IH-6 est censé avoir quitté le service actif au début de l’année prochaine. Affaire à suivre.
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May 11, 9:56 PM
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Ils auront donc servi 47 ans dans l’US Marines Corps, un record pour cette force américaine. Il y a quelques jours l’US Department of Navy a révélé que l’escadrille VMFA-323 Death Rattlers sera la dernière à réalisé sa transition entre le McDonnell-Douglas F/A-18C/D Hornet et le Lockheed-Martin F-35C Lightning II. Cette phase débutera au second semestre 2029 et se terminera au premier de l’année suivante. Le «Legacy Hornet» comme l’appelle les Américains aura ainsi disparu de leur arsenal aérien. Mais au fait c’est quoi un «Legacy Hornet» ? Le mot Legacy est ici à prendre dans son sens premier, le légataire. On retrouve d’ailleurs une étymologie commune entre le mot en anglais et celui en français par le mot latin legatarius. C’est à dire ce qui est lié à la légation. Les «Legacy Hornet» sont donc en fait les Hornet construits par McDonnell-Douglas comme les F/A-18A/B et les F/A-18C/D par opposition aux F/A-18E/F Super Hornet qui sont les Hornet construits par Boeing. Et dans le cœur des aérophiles américains, mais aussi de nombreux autres pays comme la France, les «Legacy Hornet» ont mis un certains temps à se faire une place. La faute à l’US Navy bien plus qu’à l’US Marines Corps qui les acheta pour remplacer trois avions adorés des passionnés : les Grumman A-6 Intruder et F-14 Tomcat ainsi que le Vought A-7 Corsair II. Excusez du peu. Désormais d’ailleurs seul l’US Marines Corps utilise encore ces chasseurs multirôles de 4e génération. Et d’ailleurs ils ne sont plus aussi détesté qu’avant, même s’ils ne soulèvent pas vraiment l’engouement de leurs aïeux. F/A-18C Hornet de la VMFA-323 Death Rattlers configuré pour la supériorité aérienne. L’information apparue il y a quelques jours vient en confirmer une autre que nous vous avions relayé en février dernier autour de la fin de carrière du F/A-18 Hornet dans l’US Marines Corps. Désormais donc nous pouvons confirmer que l’escadrille VMFA-323 Death Rattlers conservera ses exemplaires jusqu’au tout début de l’année 2030. Rappelons que le corps des Marines a réceptionné ses premiers F/A-18A/B Hornet au premier trimestre 1983. Cela fera donc une carrière de toute de même 47 ans, ce qui n’est pas mal du tout pour un avion de combat. Toute proportion gardée c’est comme si 1983 le Hornet avait remplacé un chasseur apparu en 1936, c’est à dire le Grumman F3F. D’ici à ce retrait du service des derniers «Legacy Hornet» d’autres exemplaires auront quitté le service actif dans d’autres unités, toujours au profit du chasseur furtif de Lockheed-Martin. Affaire à suivre.
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May 11, 9:53 PM
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Reports emerged suggesting that President Donald Trump will officially accept the gift of a Boeing 747-8 aircraft from the Qatar Royal Family during an overseas trip next week.
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May 11, 9:52 PM
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We had the unique opportunity to interview the pilot of the E-11A Battlefield Airborne Communications Node (BACN) aircraft during its first airshow appearance at the recent Seymour Johnson Air Force Base Open House.
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May 11, 9:51 PM
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The Russian holding company Vysokopotrechnye Komplexy has handed over a new batch of BMP-3 infantry fighting vehicles equipped with protection and stealth systems to the Russian Armed Forces.
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May 11, 9:50 PM
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The German Air Force has announced the need for a new generation of anti-aircraft missiles for the IRIS-T system. This refers to the advanced IRIS-T SLX missiles that are currently under development.
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May 11, 10:10 PM
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NASAMS, a mobile air defence system from Kongsberg, is primarily designed to secure strategic locations such as bases, cities, and airports.
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May 11, 10:09 PM
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The U.S. Army has deployed M2A4 Bradley Fighting Vehicles to Estonia as part of the Immediate Response Package exercise.
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May 11, 10:08 PM
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American defence giant Lockheed Martin has secured a new contract for the production of an unspecified number of M142 HIMARS launchers.
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May 11, 10:07 PM
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During ongoing clashes on the India-Pakistan border in Kashmir, the Indian Air Force (IAF) has reportedly lost a Dassault Rafale fighter jet in combat.
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May 11, 10:07 PM
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Textron Systems Corporation has announced the successful completion of First Article Testing for its XM204 Top Attack Munition.
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May 11, 10:06 PM
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Organisée par le Commandement de l’Espace [CdE] en mars dernier, la cinquième édition de l’exercice AsterX a notamment consisté à simuler l’attaque d’un satellite d’observation « ami » par un nanosatellite hostile, appelé « Norbet ». L’objectif a été de mettre en œuvre des mesures de défense active afin de protéger l’engin visé. Cela étant, il s’agit pour le CdE d’aller plus loin et de se préparer à contrer des opérations malveillantes en orbite basse dans le cadre du programme ARES [Action et Résilience Spatiale], lequel prévoit la démonstration TOUTATIS [Test en Orbite d’Utilisation de Techniques d’Action contre les Tentatives d’Ingérences Spatiales]. Cette dernière doit s’appuyer sur les satellites Splinter et Lisa1, mis au point par l’entreprise U-Space. Dans le détail, Splinter sera un satellite doté d’une « capacité de manœuvre élevée » et d’un « ensemble de sous-systèmes permettant une autonomie d’approche et d’actions » tandis que Lisa1 aura un rôle de « satellite guetteur ». Selon la Direction générale de l’armement [DGA], l’un et l’autre devront réaliser des « scénarios d’opposition ou de coopération qui permettront de vérifier les performances du satellite d’action en orbite basse et les capacités du satellite guetteur en termes de surveillance de l’espace ». Seulement, la Brigade aérienne des opérations spatiales [BAOS] du CdE ne dispose pas de moyens « patrimoniaux » pour s’exercer aux manœuvres en orbite basse dans des conditions réelles. D’où l’avis de marché [et non de mise en concurrence] publié par le ministère des Armées, le 10 mai. Celui-ci vise en effet à organiser une « mission d’entraînement au profit des personnels du CdE, impliquant la réalisation de manœuvres de rapprochement réelles en orbite basse autour d’une cible prédéterminée. » Aussi, une « solution agile réside dans l’utilisation de moyens spatiaux civils déjà en orbite, disposant de capacités de manœuvres élevées et situés à proximité d’une cible qui peut être rejointe », avance le texte de cet avis de marché. Or, les satellites ayant de telles capacités ne sont pas nombreux… et le ministère des Armées n’a pas d’autres choix que de solliciter l’entreprise japonaise Astroscale, qui exploite l’engin ADRAS-J pour « désorbiter » les débris spatiaux. En novembre dernier, ce satellite a réalisé une approche « historique », en évoluant à 15 mètres d’un débris spatial. « Le CdE envisage d’utiliser le satellite ADRAS-J, seul satellite actuellement en orbite disposant de capacités de déplacement importantes et des capteurs nécessaires pour se rapprocher de manière autonome » d’une cible, explique le ministère des Armées. « Ses réserves de carburant, bien que décroissantes, sont actuellement suffisantes pour cette mission », ajoute-t-il. Cette mission, qui permettra d’identifier et de préciser les besoins opérationnels du CdE, pourrait avoir lieu d’ici la fin de cette année, le marché proposé devant durer huit mois après avoir été notifié. Photo : Astroscale
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May 11, 9:58 PM
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The reason for the crash was not immediately known.
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May 11, 9:57 PM
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Après l’Aviation Royale Canadienne, la Luftwaffe, et l’US Air Force c’est au tour de la Koninklijke Luchtmacht de succomber aux charmes du célèbre contractor canadien. Ce jeudi 8 mai 2025 Amsterdam a officialisé l’accord qui lie désormais l’aviation néerlandaise avec Top Aces pour des missions d’entraînement dissimilaire. Des A-4N Skyhawk et des Alpha Jet A lui appartenant joueront ainsi aux Pays-Bas le rôle d’Aggressors. Pour l’occasion des avions immatriculés au Canada seront détachés sur la base aérienne de Leeuwarden. Les deux modèles d’avions de Top Aces déployés aux Pays-Bas. Afin de peaufiner la préparation de ses pilotes à un éventuel affrontement avec une puissance ennemie belliqueuse, la fédération de Russie pour ne pas la nommer, la Koninklijke Luchtmacht a donc fait le choix du recours à un contractor. Et dans ce rôle l’entreprise Top Aces, basée à Montréal au Québec, est un peu ce qui se fait de mieux. Surtout pour Amsterdam c’est la possibilité de disposer de services commerciaux sans avoir à payer de surtaxation à l’administration Trump. Le Canada ce n’est pas les États-Unis. Car ce dernier pays héberge les trois principaux concurrents de Top Aces : ATAC, Draken International, et Tactical Air. Or l’officialisation de ce contrat est intervenu quelques semaines seulement après les tonitruantes déclarations de Donald Trump sur la fiscalité entre les États-Unis et l’Union Européenne. Hasard ou coïncidence, chacun se fera sa propre opinion. La base aérienne de Leeuwarden au nord des Pays-Bas se prépare donc à accueillir Douglas A-4N Skyhawk et Dassault-Breguet / Dornier Alpha Jet A. Ils devront reproduire les manœuvres les plus fréquemment aperçus des pilotes de la chasse russe afin de préparer au mieux les aviateurs et aviatrices néerlandaises. Rappelons que ces derniers volent désormais exclusivement sur Lockheed-Martin F-35A Lightning II, un avion parfaitement adapté à la défense aérienne de leur pays. On remarquera l’élégante livrée des Alpha Jet A de Top Aces. Bien que basé au Québec la société Top Aces est bien plus anglophone que francophone, sans doute par raison commerciale. Ainsi ses Douglas A-4N Skyhawk sont appelés des Advanced Aggressor Fighters. C’est donc à eux de simuler au mieux les avions ennemis. D’ailleurs c’est également en anglais, et non en néerlandais, que la Koninklijke Luchtmacht désigne le recours aux Aggressors. Elle parle ainsi d’Adversary Air. Alpha Jet et Skyhawk canadiens doivent voler à Leeuwarden jusqu’à la fin du mois de mai, pour une durée donc de vingt jours.
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May 11, 9:53 PM
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The AIM-174B long-range air-to-air missile made what could possibly be its first public appearance since it was fielded during the JMSDF-MCAS Iwakuni Friendship Day.
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May 11, 9:53 PM
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Turkish Aerospace Industries will exhibit a full-size model of its Hurjet trainer in Spanish Air Force markings at the Feindef 2025 exhibition. Few months
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May 11, 9:52 PM
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Russia is updating its "visual camouflage system" in the Far East by installing new dummy S-300/400 air defence systems. This is evidenced by recent Google Earth satellite imagery analysed by an OSINT analyst known as AS-22. The photos show the appearance of additional dummy launchers near several anti-aircraft units.
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May 11, 9:50 PM
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General Atomics' Protector RG Mk1 (MQ-9B), the world's first unmanned aerial system with a military type certificate, has been granted permission to operate without geographical restrictions.
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