Une sélection d'articles sur le monde aéronautique, la vie des compagnies aériennes, les industriels aéronautiques, les grands contrats, les salons internationaux et les grands enjeux du secteur.
Vitrine privilégiée de l'industrie de défense brésilienne et sud-américaine, le salon LAAD, qui ouvrira ses portes demain à Rio de Janeiro, va aussi permettre aux groupes français de présenter leurs produits sur un marché militaire dont la croissance reste soutenue.
Emblématique des ambitions brésiliennes en matière de défense, la compétition F-X2 pour l'achat de nouveaux avions de combat va évidemment pousser les constructeurs (Boeing, Saab et Dassault) à mettre en avant leurs poulains respectifs. Une offensive musclée en matière de communication qui, côté français, s'est récemment manifestée par un essai en vol très poussé du Rafale réalisé par l'agence de presse Defesanet et consultable ici.
La tenue prochaine de la coupe du monde de football (2014) puis des jeux olympiques d'été (2016) a amené le Brésil à vouloir rénover ses systèmes de défense aérienne. Malgré des discussions poussées avec les Russes dans ce domaine (notamment pour l'achat de Pantsir-S1), Thales continue à croire aux chances de son Crotale à plus long terme, tandis que MBDA met logiquement en avant son offre à base de VL Mica. En matière de radars, Thales, qui produit déjà des capteurs dans le pays via sa fililale Omnisys, espère également sécuriser des contrats pour des systèmes de la gamme Ground Master.
Du côté des hélicoptères, Helibras sera à la fête pendant LAAD. La société brésilienne, dont Eurocopter est actionnaire à 70%, fêtera à l'occasion du salon son 35ème anniversaire. Helibras a inauguré l'an dernier sa nouvelle usine d'Itajuba, destinée à produire localement les 50 EC725 commandés par Brasilia (voir photo) et, à plus long terme, à alimenter le marché local pour des machines "oil & gas" et potentiellement pour d'autres clients militaires de la zone.
Evidemment, l'avionneur local Embraer va également profiter de "son" salon pour présenter l'étendue de ses compétences en matière de défense et de sécurité. L'avion de transport KC-390, qui vient d'achever sa revue de conception critique, sera évidemment au centre de toutes les attentions. Mais la société devrait également montrer l'étendue de ses ambitions dans bien d'autres domaines, comme les drones ou les systèmes de commandement et de contrôle.
La Russie pourrait livrer au Brésil jusqu’à 14 hélicoptères de transport moyens Kamov Ka-62, a annoncé le 8 avril le service de presse de la société Hélicoptères de Russie.
« Conformément aux projets, la compagnie brésilienne Atlas Taxi Aereo SA recevra entre 7 et 14 appareils de type Ka-62″, indique le groupe dans un communiqué.
En décembre 2012, les parties ont conclu un accord prévoyant la livraison de sept hélicoptères en 2015 et 2016 ainsi qu’une option pour sept autres.
Conçu par le holding « Hélicoptères de Russie », le Ka-62 répond à des normes très élevées de sécurité, d’efficacité énergétique et d’écologie. Cet appareil est prévu pour transporter 12 à 14 passagers en cabine ou une charge de 2,5 tonnes.
Le Ka-62, qui devrait être certifié en 2014, sera utilisé par l’industrie pétro-gazière et pour des missions de recherche et de sauvetage.
Boeing is unveiling an updated version of its F/A-XX sixth-generation fighter concept at the Navy League's Sea-Air-Space Exposition in Washington DC this week.
The tail-less twin-engine stealth fighter design comes in "manned and unmanned options as possibilities per the US Navy," Boeing says. The design features diverterless supersonic inlets reminiscent of those found on the Lockheed Martin F-35 Joint Strike Fighter.
Boeing
The Boeing concept also features canards, which is somewhat of a surprise because the motion of those forward mounted control surfaces is generally assumed to compromise a stealth aircraft's frontal radar cross-section. But the lack of vertical tail surfaces suggests the aircraft would be optimized for all-aspect broadband stealth, which would be needed for operations in the most challenging anti-access/area denial environments.
Also of note in the manned version of the company's F/A-XX concept is the placement of the cockpit-rearward visibility appears to be restricted without the aid of a sensor apparatus similar to the F-35's distributed aperture system of six infrared cameras.
The Boeing F/A-XX concept is a response to a USN request for information (RFI) from April 2012 soliciting data for a replacement for the service's Boeing F/A-18E/F Super Hornet and EA-18G Growler fleets in the 2030s. The Super Hornet fleet is expected to start reaching the end of the jet's 9000h useful lifespan during that time period.
"The intent of this research is to solicit industry inputs on candidate solutions for CVN [nuclear-powered aircraft carrier] based aircraft to provide air supremacy with a multi-role strike capability in an anti-access/area denied (A2AD) operational environment," the navy RFI stated. "Primary missions include, but are not limited to, air warfare (AW), strike warfare (STW), surface warfare (SUW), and close air support (CAS)."
Navy leaders had said at the time that they expect any new F/A-XX design to have greatly increased range and offer far superior kinematic performance compared to existing tactical aircraft.
Le petit prodige brésilien commence à se faire désirer. En plein dans son programme d'essais en vol, le Legacy 500 voit doucement son calendrier glisser. Ernie Edwards, président de la division avions d’affaires d’Embraer, a ainsi révélé que les débuts opérationnels de l'appareil étaient désormais espérés pour le second semestre 2014. Une annonce faite dans les installations d'Embraer à Melbourne (Floride), ce vendredi 5 avril.
Jusqu'ici, le constructeur brésilien tablait sur une entrée en service début 2014 de son appareil, qui appartient au segment intermédiaire. En remontant aux origines du programme, la date de fin 2012 était même avancée.
Peu habitué "à annoncer des retards dans (ses) programmes", Ernie Edwards se refuse à donner une date plus précise pour l'instant. Et ainsi "ne pas rompre une autre promesse". Il assure ainsi disposer d'une marge confortable pour mener le projet à bien. Il est néanmoins possible que l'entrée en service n'intervienne finalement qu'au quatrième trimestre 2014.
En attendant, l'avion continue de mener ses essais en vol. Les trois prototypes ont réalisé 122 heures de vol en 66 sorties. Leur principale tâche est de défricher le domaine de vol des commandes de vol électriques (CDVE), implémentées pour la première fois sur un avion d'affaires Embraer. Un quatrième avion "plus mature", représentatif de la version de série, viendra les rejoindre dans l'année.
De son côté, le Legacy 450, version raccourcie du Legacy 500, suit le même calendrier avec un an de décalage. Actuellement en cours d'assemblage, le premier prototype doit voiler au second semestre 2013 - plus probablement au quatrième trimestre. Son entrée en service est prévue pour le second semestre 2015.
Korea Aerospace Industries, Inc., vient d’annoncé que la société a achevé officiellement le développement de son "Helicopter Korean Utility (" KUH ")," aka "Surion" et a rejoint les rangs des nations ayant la capacité de développer un hélicoptère. Le KUH «Surion» qui vient de terminer ses essais par grand froid (article du 27.03.13) vient de recevoir l’approbation Ministère de la défense nationale en ce qui concerne ses standards.
Historique du KUH «Surion» :
Le programme coréen pour un hélicoptère multi-rôle (KMH) fut lancé le 12 mars 2004 avec comme objectif le développement d’un hélicoptère polyvalent entièrement Coréen. Compte tenu des besoins financiers énormes pour le développement d’une telle machine, le programme fut réorienté afin de répondre aux besoins utilitaires (KUH) de l’armée coréenne en priorité.
Le second problème des Coréens était de pouvoir compter sur la collaboration avec un constructeur étranger reconnu pour diminuer les risques industriels. La Corée lança le 15 avril 2005 un appel d’offre international pour permettre à un constructeur étranger d’intégrer le programme. Plusieurs sociétés étrangères telles que Boeing, Bell Helicopter, Sikorsky aux États-Unis, Eurocopter, AgustaWestland en Europe, une société russe ont répondu à l’offre.
Le 13 Décembre 2005 déjà, le gouvernement coréen a annoncé le choix d'Eurocopter comme partenaire principal de Korea Aerospace Industries (KAI) dans le programme KUH pour le développement du premier hélicoptère de transport militaire coréen.
Répartition des tâches :
Kai est le maître d'œuvre du programme d’hélicoptère coréen. En tant que partenaire principal de KAI, Eurocopter fournit une assistance technique, les sous-ensembles de transmission et du pilote automatique de l'hélicoptère. Eurocopter détient une participation de 30% dans la phase de développement et 20% dans la phase de production.
En complément, Singapour souhaite aussi 18 lunettes de vision nocturnes AN/AVS-9 (V), et des GPS H-764g fabriqués par Honeywell. Tout ce matériel serait destiné aux F-15SG opérés par la Republic of Singapore Air Force (RSAF).
Mais vu l’importance de cette commande, il est possible que Singapour décide d’acheter 12 autres chasseurs F-15SG pour remplacer ses vieux F-5 et faire croître sa flotte à 36 appareils, au lieu d’acheter 12 chasseurs furtifs F-35BS qui seraient livrés au plus tôt en 2018.
Un F-15SG.
Depuis fin mars, des rumeurs circulent en effet sur la commande imminente de 12 F-35BS par Singapour qui effectuerait les dernières étapes d’évaluation de l’avion furtif. Mais le pays a toujours été prudent dans ses acquisitions militaires, se contentant le plus souvent de plateformes éprouvées.
Le Strike Eagle F-15SG est une alternative crédible pour remplacer les F-5, en attendant de commander des F-35. Le F-15 coûterait moins cher à l’heure actuelle, et offrirait un éventail beaucoup plus large d’armes jusque vers 2025 ou plus tard. Le F-35BS engendre plus de risques, et il entrera en service beaucoup plus tard, mais offre une meilleure furtivité, et la capacité à décoller et atterrir sur des pistes endommagées.
Selon l’Institut international d’études stratégiques (IISS), la flotte de combat aérien actuel de la RSAF comprend 24 Boeing F-15SG, 20 Lockheed Martin F-16C et 40 F-16D, ainsi que 28 Northrop F-5 et 9 F -5T Tiger II. Alors que les F-15SG ont été récemment acquis en 2008 en remplacement des anciens A-4SU Skyhawk, les F-16C/Ds sont entrés en service dans les années 1990 alors que les F-5S/Ts sont opérationnels depuis la fin des années 1970.
Plus de confort pour les passagers mais surtout des économies d’énergie pour les compagnies aériennes, c’est l’apport du nouveau siège d’avion Titanium Seat développé par Expliseat. L’entreprise, pensionnaire de l’incubateur parisien Agoranov, a été créée en 2011 à l’initiative de Benjamin Saada, son actuel président. Celui-ci s’est entouré de deux amis ingénieurs, Jean-Charles Samuelian et Vincent Tejedor, afin de réfléchir sur un concept de siège plus léger, plus confortable, plus résistant, pour équiper les cabines de classe économique sur les vols court et moyen-courriers. L’atout majeur du Titanium Seat réside dans son poids. Avec ses 4 kg, il est en moyenne trois fois plus léger qu’un siège traditionnel en aluminium.
D’où une moindre consommation en vol. "Ce que nous vendons aux compagnies aériennes, c’est une économie. Nous offrons un produit de grande qualité qui a un coût, mais qui est très vite rentabilisé par le gain en kérosène réalisé", avance Jean-Charles Samuelian. Selon Expliseat, son fauteuil peut entraîner une réduction des coûts de 400 000 dollars par an et par appareil. L’innovation porte également sur l’ergonomie du dossier qui limiterait les chocs intervertébraux au moment du décollage et de l’atterrissage. Comme le siège comporte moins de pièces, sa maintenance et sa durée de vie sont grandement améliorées. Expliseat, qui prévoit d’effectuer ses premières livraisons à la fin de l’année, ambitionne d’équiper entre 100 et 200 aéronefs par an. Il a dimensionné son outil industriel, qui repose sur le modèle fabless, pour produire annuellement 30 000 fauteuils. "Nous confions la fabrication à de grands équipementiers de l’automobile et de l’aéronautique, mais également à des PME", explique Benjamin Saada.
Depuis le 4 avril 2013 et le verdict de la Cour d’Appel de Douai, l’Ecole de pilotage Amaury de la Grange (EPAG) n’existe plus. La liquidation a été prononcée avec effet immédiat ce qui signe la fin d’une prestigieuse école de pilotage. Pourtant, tout n’est pas perdu pour Merville : la Société Nouvelle Epag se profile à l’horizon. La société Alsim et les instructeurs de l’Epag travaillent, en effet, depuis des semaines à l’élaboration d’un dossier de reprise qui a été confié au liquidateur pour examen.
Sébastien Hugault, l’un des instructeurs repreneur de l’Epag confie : « l’appel n’était pour nous qu’une étape du calendrier judiciaire. Nous sommes passés hier à une nouvelle étape avec la confirmation de la liquidation judiciaire. » Et l’instructeur de poursuivre : « l’offre Alsim-instructeurs est déposée depuis 15 jours au liquidateur. La juge en charge va examiner le dossier dans les plus brefs délais et nous espérons une réponse rapide de manière à redémarrer dans les meilleures conditions. »
Ils sont nombreux à attendre une reprise de l’activité : les instructeurs pour leur outil de travail, les élèves chinois formés jusqu’à présent à l’Epag et qui ont intégré l’ENAC à la liquidation prononcée, les élus de la région Nord-Pas de Calais qui ont vu disparaître une école réputée en même temps que des emplois, la dizaine de personnes de la DGAC travaillant sur l’aérodrome, l’IAAG qui assurait la partie théorique de la formation des pilotes de lignes…
Dès lors, le duo Alsim-instructeurs repreneurs de l’Epag s’organise pour la reprise rapide de l’activité sur le site de Merville-Calonne. Sébastien Hugault poursuit : « Nous étions chez le ministre des transports avant hier avec le patron de l’ENAC pour discuter d’une possible reprise de l’activité en partenariat avec l’ENAC. Un rendez-vous est programmé chez Air France avec l’ENAC et le gouvernement. Les choses avancent et nous gardons bon espoir ! »
Le constructeur européen Airbus lance aujourd’hui la construction de sa ligne d’assemblage à Mobile en Alabama, sa cinquième dans le monde.
La première pierre de la FAL sera posée ce 8 avril 2013 lors d’une cérémonie on ne peut plus officielle, à laquelle devraient participer les leaders d’Airbus et de sa maison-mère EADS, les élus locaux ainsi que des sous-traitants américains – et des compagnies aériennes clientes de l’avionneur, un A320 s’y étant posé samedi soir pour servir de toile de fond. Airbus va investir 600 millions de dollars (461 millions d’euros) dans la ligne d’assemblage, qui sera consacrée à l’A320 et doit ouvrir ses portes en 2015. Mille personnes devraient être employées à Mobile une fois que la FAL tournera à plein, avec un rythme de production de quatre monocouloirs par mois prévu pour 2017, en plus du millier de postes déjà sur place dans la maintenance, le service ou la formation. L’Alabama est l’un des états américains où les syndicats ne peuvent pas forcer les travailleurs à adhérer.
Le site d’assemblage américain est le cinquième d’Airbus après ceux de Toulouse, Hambourg, Tianjin et Séville (A400M pour ce dernier). Il avait été retenu par Airbus pour le contrat géant des ravitailleurs en vol de l’Armée de l’Air américaine, perdu puis gagné puis finalement perdu face à Boeing après de multiples péripéties. « Nous devons être plus visibles aux Etats-Unis », déclarait le PDG d’Airbus Fabrice Brégier en juillet dernier lors de l’annonce de la future FAL. L’avionneur reste en effet loin derrière son concurrent sur le premier marché mondial, avec environ 20% des avions en service, même si la dernière compagnie traditionnelle exclusivement Boeing, American Airlines, a mis fin à cette politique en 2011 avec une commande géante de 260 monocouloirs (dont 130 A321neo). Autre avantage d’avoir une FAL aux Etats-Unis, les coûts seront calculés en dollars, monnaie de référence dans la vente d’avions, ce qui permettra à l’avionneur d’échapper aux fluctuations des taux de change.
Rappelons qu’Airbus avait en outre annoncé en octobre sa volonté de doubler ses 12 milliards de dépenses annuelles auprès des sous-traitants américains, qui sont environ 400 dans une quarantaine d’états avec plus de 200 000 emplois. « Nous sommes persuadés que ces chiffres vont augmenter dans les prochaines années », expliquait alors Allan McArtor, le président d’Airbus Americas
This is a short film shot on the Sony FS700 in Super SlowMo at The Royal International Air Tattoo 2012. It is taken from the Collectors Edition of the offici...
Du 26 au 30 mars 2013, deux avions de chasse Rafale de l’armée de l’air ont été déployés en Malaisie, pour participer au salon aéronautique LIMA (Langkawi international Maritime and Aerospace). Il s’agit de la douzième édition de ce salon civil et militaire international qui se déroule à Langkawi, au nord-ouest du pays.
Outre trois pilotes de Rafale dont le présentateur, le capitaine Mickael Brocard et son coach, le capitaine Cédric Ruet, le détachement compte une trentaine d’aviateur français. Mécaniciens, commissaire aéronautique, aviateurs dédiés aux systèmes d’information et de communication, personnel du service des essences des armées… Ce sont autant de spécialistes déployés à l’autre bout du monde pour assurer le vol de présentation quotidien du «Tator» Rafale. Des commandos étaient également parmi le détachement afin de veiller sur les installations, le matériel et les aéronefs. «Le bilan du salon est très positif, explique le lieutenant-colonel Jean-François Lefevre, commandant le détachement. Nous avons notamment reçu la visite de Monsieur Kader Arif, ministre délégué aux Anciens combattant, ainsi que de Monsieur Dato’ Seri Dr. Ahmad Zahid Hamidi, le ministre de la Défense malaisienne. Nous avons affiché une disponibilité des avions de 100% et avons assuré la totalité des vols de démonstration programmés.
Includes excerpts from the final UK Harrier GR9/T12 flight on 15 Dec 2010, during which a 16 ship formation was flown. Includes RF 10-3, Auriga 10 and RAF Wittering/Cottesmore.…
La cour d’appel de Douai a confirmé jeudi 4 avril 2013 le placement en liquidation judiciaire de l’école de pilotage Amaury-de-la-Grange (EPAG) de Merville (Nord). Le dernier espoir de voir redécoller le centre de formation de pilotes professionnels de Merville s’est définitivement envolé.
Spécialiste des pièces aéronautiques complexes, la PME basée à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) intègre le futur groupe du sous-traitant généraliste Aerospace distribution service.
Intégrateur industriel aéronautique, Aerospace distribution service (AEds) a acquis 100 % des parts du groupe Aéro Lorraine, dont le site principal, Baccarat Précision, fabrique des pièces mécaniques de grande précision basé à Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Basé à Dreux (Eure-et-Loir), AEds emploie 15 salariés et a réalisé 6 millions d’euros de chiffre d’affaires réalisés en 2012.
Fondée par Silvio Zanfonato en 1985, la PME lorraine Baccarat Précision emploie 50 salariés. Elle intervient notamment dans la fabrication de roues d’avions et d’hélicoptères et compte parmi ses donneurs d’ordres Safran, Dassault, Liebherr Aerospace et Eurocopter.
Sous-traitant généraliste de l’aéronautique, AEds, fournisseur d’assemblages mécaniques, compte ainsi constituer avec la société bretonne Stacem SAS, spécialiste de l’étanchéité, un groupe employant 220 personnes sur trois sites pour un chiffre d’affaires prévisionnel de 30 millions d’euros en 2013. AEds indique dans un communiqué s’inscrire ainsi dans la volonté des grands donneurs d’ordres, dont Airbus, de voir se structurer des regroupements de PME.
Pipistrel rolled out the first prototype Panthera light general aviation aircraft on 28 March at its factory in Ajdovscina, Slovenia.
The company says its engineers and technician started-up the aircraft's 210hp (157kW) Lycoming engine and conducted ground runs. Pipistrel will continue working on functional ground tests in preparation for first flight, it says.
"It is very exciting to witness the tests and see the aeroplane come to life for the very first time," Ivo Boscarol, Pipistrel's chief executive officer says. "This is definitely a very important milestone in the development of Panthera. We look forward to the continuation of tests and the first flight soon!"
Pipistrel says the Panthera is a four-seat aircraft capable of flying 1,000nm (1,852km), cruising at 200kt (370km/h), while burning 10gal (37.9l) per hour. It can be equipped with a conventional, hybrid, or an all-electric propulsion system, Pipistrel says.
En déplacement aujourd'hui à Marseille, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a effectué une visite du site de Marignane, siège d’Eurocopter. Il en a profité pour officialiser ce que l’on savait déjà plus ou moins : les négociations avec l'hélicoptériste et le consortium NHIndustries pour la commande d’une deuxième tranche de 34 NH90 TTH, version terrestre de l’hélicoptère européen, vont se poursuivrent au moins jusqu’à fin mai.
Initialement, la France devait prendre sa décision avant le 31 mars. Sinon, une pénalité d’une trentaine de millions d’euros devait contractuellement s’appliquer. Selon toute probabilité, la France n’aura pas à payer de pénalités, à condition toutefois que les discussions aboutissent d’ici le 31 mai.
« Je ne suis malheureusement pas venu ici pour annoncer cette commande même si je connais l’importance qu’elle revêt pour Eurocopter », a expliqué le ministre lors d’une allocution devant le personnel de l’hélicoptériste. « Le dossier est compliqué, il y a beaucoup d’arbitrages en jeu », indique une source proche du dossier.
Cette commande représente un montant d’environ 700 millions d’euros, dont un peu plus de 400 millions pour Eurocopter. Mais les réflexions sur le Livre blanc de la défense, et les arbitrages budgétaires en cours pour les crédits de paiement, compliquent la prise de décision.
Du coup, l’hypothèse d’un rééchelonnement de la commande fait partie des options. Comme celle d’un étalement des livraisons de NH90 en cours. « Je préfère un étalement plutôt que pas de commande », lance Dominique Maudet, vice président en charge des affaires commerciales du groupe.
Les organisateurs du salon du Bourget ont confirmé aujourd'hui la présence du Su-35 à l'occasion de l'évènement qui doit se tenir du 17 au 23 juin prochains. Selon le Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (GIFAS), l'avion russe sera présenté en vol chaque jour du salon. De plus, le Yak-130, avion d'entraînement à réaction commandé par la Russie et l'Algérie, sera également présent à Paris.
Il s'agit là d'une vraie nouveauté, puisque le Su-35 n'avait jamais été présenté en vol ailleurs qu'au salon de Moscou (Maks). Un temps évoquée, la présence du F-35 de Lockheed Martin ne semble en revanche plus d'actualité, d'après l'avionneur américain. Le premier A400M aux couleurs de l'armée de l'Air (MSN7) devrait cependant faire le déplacement, si aucun imprévu de dernière minute ne vient remettre en cause sa livraison à la France.
Les organisateurs du Bourget rappellent également que plus de 2000 exposants venus de 44 pays ont déjà confirmé leur présence. Au total, 120 aéronefs sont inscrits pour la 50ème édition du salon du Bourget.
TAIPE, Northrop-Grumman a livré les quatre avions d’alerte précoce et de surveillance E-2 «Hawkeye» modernisés à la République de Chine Air Force (RoCAF). Taïwan exploitait six avions E-2 sous la désignation F-2, ceux-ci opéreront dorénavant sous une norme commune et sous l'appellation E-2K au sein de la RoCAF. Les appareils ont été remis au 2e Escadron d’avertissement électronique, qui fait partie de la 6e (439e) Wing combiné basé dans la ville méridionale de Pingtung.
Standard Hawkeye 2000 (E-2D) :
Les travaux de mise à niveau sont évalués à environ 250 millions de dollars. Le nouveau standard «Hawkeye 2000» adopté par Taïwan est la version export du modèle E-2D destiné à l’US Navy.
Les systèmes E-2D représentent un bond de plusieurs générations dans la technologie des systèmes embarqués d’alerte lointaine et doit permettre de s’adapter aux menaces d’aujourd’hui et de demain en s’intégrant totalement avec les nouveaux appareils de combat.
Le Hawkeye E-2D Advanced dispose d’un grand nombre de nouveautés avec un radar AESA AN/APY-9 qui remplace l’ancienne antenne mécanique, le radar permet une couverture totale à 360° et permet un suivi complet air et mer. Par contre la variante export «Hawkeye 2000» dispose du radar AN/APS-145. L’appareil dispose également d’une nouvelle motorisation, soit le Rolls-Royce T-56-A-427A. Un cockpit entièrement numérique, d’un nouveau système d’identification ami /ennemi, de nouveaux postes de travail tactique ainsi que d’une nouvelle architecture électronique et de communication couplée à une liaison de données.
Ces avions peuvent patrouiller durant cinq heures et détecter tout mouvement d’aéronef dans une zone de 150.000 km2, alors que dans le même temps, ils peuvent suivre simultanément jusqu'à 600 cibles. En plus d’assurer la tâche de la surveillance aérienne et l'alerte précoce contre un ennemi, l'appareil peut également fournir des fonctions pour guider les appareils amis afin d’exécuter des missions d'interception et de contrôle, procéder à une surveillance de l'air et la reconnaissance électronique. Il est également possible de d’assurer la recherche et l'orientation de sauvetage ainsi que de relais de communications.
La compagnie aérienne indonésienne PT Mandala Airlines compte acheter 18 Airbus A320 d'ici 2014, a annoncé son principal actionnaire vendredi 5 avril.
Après le contrat record signé avec l'indonésien Lion Air, c'est au tour de son compatriote Mandala Airlines de passer commande à Airbus. La compagnie aérienne indonésienne compte acheter 18 Airbus A320 d'ici 2014, a annoncé son principal actionnaire ce vendredi 5 avril.
Mandala possède déjà sept A320. Ce nouveau contrat est évalué à 1,6 milliard de dollars (1,24 milliard d'euros)
"Notre objectif est d'arriver à deux millions de passagers cette année. Nous augmentons notre flotte et devrions avoir 25 appareils d'ici la fin 2014", a dit Sandiaga Uno, responsable des investissements de PT Saratoga Investama Sedaya, qui détient 51% du capital de Mandala.
International Airlines Group, le groupe propriétaire des compagnies aériennes British Airways et Iberia, s'apprête à commander une vingtaine d'Airbus A350-1000 pour un montant qui devrait atteindre sept milliards de dollars (5,4 milliards d'euros) au prix catalogue, a-t-on appris dimanche soir de sources industrielles.
Les négociations, révélées par le Wall Street Journal, devraient se poursuivre jusqu'à la dernière minute pour cette commande qui permettait à Airbus de marquer des points face à son rival Boeing, dont les 787 Dreamliner sont cloués au sol depuis bientôt trois mois à la suite de problèmes techniques.
Aucun commentaire n'a pu être obtenu dans l'immédiat auprès d'Airbus et d'IAG.
L'entrée en service du futur A350-1000 est programmée pour 2017. L'appareil, d'une capacité de 350 places, concurrencera la prochaine version du 777 de Boeing, qui devrait pouvoir transporter un peu plus de 400 personnes.
Deux versions plus petites de l'A350, dont la première effectuera son vol inaugural cet été, visent le même marché que le 787 Dreamliner.
Eurocopter affirme avoir fait « d’importants progrès » vers la résolution du problème que rencontre l’EC225 (famille Super Puma) sur sa boîte de transmission principale. Grâce à une troisième campagne d’essais à Marignane, les ingénieurs sont « en train d’établir » l’origine des criques. A deux reprises en 2012, de telles fissures avaient conduit à la rupture en vol d’un arbre lié au circuit d’huile.
Eurocopter attribue la naissance de la crique à « un ensemble de facteurs ». Ceux-ci ont rendu l’arbre moins résistant à la fatigue. Toute « surcharge dynamique anormale » est en tous cas exclue.
Les scénarios des deux incidents de 2012 ont été reproduits au banc d’essai. Le mode de propagation a été vérifié, également au banc. Les conclusions doivent toutefois encore être « discutées avec les autorités en charge de l’enquête et le Georgia Technology Research Institute ». En outre, un essai en vol devrait permettre d’étudier plus avant cette phase de propagation.
Eurocopter avait déjà trouvé l’origine du problème et une solution pour les fausses alarmes sur le système de lubrification de secours. La concomitance de la rupture d’arbre et de la fausse alarme avait provoqué deux amerrissages en mai et octobre derniers. Les EC225 sont toujours cloués au sol en mer du Nord, tandis qu’ils volent – moyennant une stricte surveillance – dans d’autres régions du monde.
Here’s a video of the F-35B Lightning II recently completing the first short takeoff and vertical landing during a night-time test mission.
Marine Corps test pilot Maj. C.R. Clift conducted the flight April 2 to gather data on the helmet and lighting conditions for night-time operations, according to an April 5 press release. The F-35B is the variant of the Lightning II designed for use by the U.S. Marine Corps, as well as F-35 international partners in the United Kingdom and Italy.
“The completion of this test event demonstrates the F-35B is one step closer to delivering a critical capability to the U.S. Marine Corps and F-35B partners in the United Kingdom and Italy” said Lt. Gen. Chris Bogdan, F-35 Program Executive Officer. “There is plenty of work to be done and progress to be made, but we’re on a solid path forward.”
EADS a décidé de mettre les bouchées doubles pour tenter de faire la différence et remporter le contrat du renouvellement de la flotte de chasseurs de l'armée de l'air sud-coréenne, Le constructeur européen vient en effet de proposer à Séoul de faire un peu plus de transfert de technologie qu'il ne l'envisageai jusqu'à maintenant. Selon l'agence de presse Yonhap en effet, l'entreprise aurait proposé à Séoul de fabriquer 48 des 60 avions prévus dans des usines coréennes s'il remporte l'appel d'offres. «EADS qui avait initialement prévu de fabriquer 30 avions en Corée du Sud a décidé d'augmenter ce nombre» a expliqué une source militaire anonyme à l'agence de presse coréenne.
Reste à savoir si la perspective d'un transfert de technologie plus important, qui pourrait aider Séoul à développer à terme son propre chasseur, permettra de faire la différence face à la concurrence du F-15 Silent Eagle de Boeing et du F-35A de Lockeed.
Une décision au premier semestre
Les trois constructeurs ont en effet été retenus en juillet 2012 pour ce marché de quelques 5,9 milliards d'euros (8.300 milliards de wons) qui prévoit la fourniture de 60 appareils d'ici à 2021 Mais l'avancement des négociations avait depuis été retardées sous le précédent gouvernement coréen et le choix des appareils qui devait être initialement effectué en octobre dernier avait été reporté.
Depuis l'arrivée au pouvoir de la nouvelle présidente Park Geun-hye, le gouvernement sud-coréen s'est engagé à accélérer les décisions en matière de renouvellement de matériel militaire. Un choix largement alimenté par la montée de la menace de Pyongyang.
De ce fait, la DAPA (Administration du programme d'acquisition de défense ) qui est en charge des marchés publics militaires pourrait faire son choix en juin au plus tard. Lors d'une réunion parlementaire qui s'est tenue ce jeudi, le ministre de la Défense Kim Kwan-jin a également dit qu'il avait informé le présidente du son intention de parvenir à un accord au premier semestre de cette année.
Selon des sources coréennes, si les négociations ont réellement commencé avec EADS et Boeing, en matière de prix, par contre avec Lockeed la DAPA n'en serait toujours qu'aux phases de consultation.
Boeing and the US Air Force will have to recertificate the new F-15SA's performance over the Eagle's entire flight envelope due to its new fly-by-wire flight control systems.
"The entire F-15 flight envelope requires clearance for the F-15SA fly-by-wire system," the USAF says. "The flight test to certify airworthiness will take approximately a year and a half to accomplish."
True fly-by-wire is a departure from the traditional F-15 hybrid electronic/mechanical flight control system. Previous incarnations of the jet were equipped with a dual-channel, high-authority, three-axis control augmentation system superimposed on top of a hydro-mechanical system.
However, Saudi Arabia's 84 F-15SAs on order will have its two outer wing weapons stations activated, making it necessary to implement a fly-by-wire flight control system.
"The main benefit for the fly-by-wire system is to compensate for the stability differences induced by carrying weapons in the one and nine stations - not used to date on any F-15 platform," the USAF says.
The service adds it is not yet known how the redesigned flight control system will affect the pilot. "It is too early in the flight test programme to appropriately characterise [the] 'feel' of the flight controls," the service says.
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