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Avec ses 25 nanosatellites en orbite basse et ses 20 stations-sol, la pépite toulousaine du spatial vient d’annoncer l’ouverture de ses services commerciaux. Désormais, n’importe quel objet connecté peut êtr

Alors que Thales Alenia Space vient de décrocher deux contrats, la direction a annoncé le gel des suppressions de postes dans le groupe. À Toulouse, 764 emplois étaient concernés.

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La base d’aéronautique navale (BAN) d’Hyères, près de Toulon, a fêté dimanche 1er juin son centenaire en ouvrant ses portes au public et e

Airbus delivered 51 aircraft in May, a month absent of order activity ahead of the Paris air show in June. The airframer handed over three A350-900s and three A330-900s, plus 40 A320neo-family jets and five A220s. Overall deliveries for the first five months of this year reached 243, still laggin

La Direction générale de l'aviation civile (DGCA), organisme indien de surveillance de la sécurité aérienne, a ordonné à Turkish Airlines de se conformer

Paris Air Forum, vivez une journée de keynotes, tables rondes et conférences autour de3 grandes thématiques

Le PME francilienne ouvre un centre d'intégration à Toulouse pour finaliser sa première antenne de réception satellite. Grâce à une technologie de rupture qui réduit les besoins en semi-conducteurs, elle sera dix fois plus économe en énergie.

Méconnaissance des métiers, image élitiste, attentes décalées des jeunes : le transport aérien et l’aérospatiale peinent à attirer les talents, alerte un rapport préoccupant.

La FAA a salué les améliorations de Boeing et lui a accordé une nouvelle délégation de pouvoirs sur certaines tâches. De quoi ouvrir des perspectives pour la remontée en cadence du 737 MAX.

En pleine fabrication de son VTOL hybride-électrique, la start-up toulousaine vient d'intégrer l'ancien ministre des Transports à son conseil d'administration.

Il y a cinquante ans, plusieurs pays européens s'unissaient sous la bannière de l'ESA. L'Agence spatiale européenne, malgré sa relative jeunesse et son apparition dans un context

EXCLUSIF - Dans une note sans concession, l’Institut Montaigne pointe les nombreux trous dans la raquette du spatial français et européen. Et appelle à un sursaut stratégique.

A 25 milliards de kilomètres de notre planète, les ingénieurs de la Nasa ont pu remettre en marche des propulseurs de la sonde Voyager 1, pourtant considérés comme irréparables.

Le centre de culture scientifique consacré au monde de l’espace expose désormais dans son parc une maquette échelle 1 des miroirs du plus grand télescope jamais lancé dans l’espace.
Une maquette de 8 mètres de haut

Depuis le 18 avril, la Cité de l’espace de Toulouse expose dans son parc une nouvelle pièce remarquable : une maquette échelle 1 des miroirs (principal et secondaire) du télescope spatial James Webb de la Nasa, lancé en décembre 2021 (sur Ariane 5) vers le point de Lagrange L2 du système Terre-Soleil ; ses premières images avaient été dévoilées le 1er décembre suivant.

La maquette aujourd’hui exposée dans le parc de la Cité mesure 8 mètres de haut.

Elle a été cédée par le CEA, principal contributeur français à la mission du James Webb par sa maîtrise d’œuvre de l’imageur Mirim (Mid-Infrared Instrument Imager Module), qui travaille dans l’infra-rouge moyen.

La maquette a été renforcée pour résister aux conditions météorologiques en extérieur.

Pour compléter la sensation de gigantisme du projet, il ne manque plus qu’un tracé au sol indiquant les dimensions de l’imposant pare-soleil qui protège le télescope des rayons du Soleil ; en effet, cette structure à cinq couches aluminées et déployable mesure… 22 mètres sur 12 mètres, soit l’équivalent… d'un court de tennis.


Pour en savoir plus

L’arrivée de la maquette du « Webb » à Toulouse en avril dernier correspondait au 35e anniversaire du lancement de son célèbre prédécesseur, le télescope spatial Hubble, déployé le 25 avril 1990 par la navette spatiale américaine Discovery (mission STS-31) et toujours en service aujourd’hui.

Pour l’occasion, la Nasa a mis en ligne un clip vidéo de 6 minutes, disponible sur https://youtu.be/9VhWnJC9nkk?feature=shared.

L’aventure du Webb, les visiteurs de la Cité peuvent par ailleurs la découvrir dans un joli documentaire d’une demi-heure projeté dans la salle IMAX, intitulé Deep Sky, l'aventure du télescope JWST.

Renseignements sur www.cite-espace.com.

Pour de nombreux passionnés d’aviation nés entre les années 1970 et 1980 on touche ici à une madeleine de Proust comparable à «Nimitz, retour vers l’Enfer» ou même à «Top Gun». Plusieurs plateformes de commerce en ligne ont décidé depuis quelques mois maintenant de relancer les avions en polystyrène expansé, surfant sur la vague des jouets nostalgie. Si tous se ressemblent, hormis la déco haute en couleurs, ces petits objets de quelques grammes seulement ravivent bien des souvenirs. Et donc forcément je vais bientôt craquer et m’en commander.

Pour celles et ceux qui seraient ou trop vieux ou trop jeunes pour les avoir connu les avions en polystyrène expansé sont comme leur dénomination le laisse à penser des jouets réalisés dans cette matière polymère parfois appelée styromousse dans l’industrie et peints selon des schémas de couleurs très criardes. Bon après ce sont des jouets. Et la société qui les relance ne s’est pas creuse la tête trop longtemps puisque comme il y a 30 ou 40 ans les objets en question reprennent des dessins d’avions de la Seconde Guerre mondiale : du Bell P-39 Aircobra au Supermarine Spitfire Mk-II en passant par le Focke-Wulf Ta-152H ou encore le Mitsubishi A6M Zero il y a onze au total, douze si on compte l’étonnant Piper Tripacer. Cherchez l’erreur.

Bien sûr ce ne sont que des monomoteurs, des bimoteurs seraient sans doute trop complexes à assembler. Car construire un avion en polystyrène expansé relevait déjà du plaisir étant gamin. Un fuselage, une voilure, un plan horizontal d’empennage et le tour était joué, le tout pour une épaisseur moyenne d’un ou deux millimètre. Il fallait bien pensé à fixer l’embout en plastique transparent fixant la petite hélice sinon votre avion n’aurait jamais volé. Car oui le principe de ces jouets c’est qu’ils volaient ! Et même plutôt bien. Me reviennent en mémoire les parties dans la cité où j’ai grandi entre copain, jusqu’au collèges, où l’on se refaisait des combat aériens Américains contre Japonais ou Anglais contre Allemands. On avait dix douze ans.
P-40 Warhawk ou P-51 Mustang ? Peu importe le plaisir était et désormais est là…

Je ne vous ferais pas l’affront, ni à eux la publicité, de vous dire quelles plateformes de commerce en ligne se sont relancées dessus, sachez juste qu’il y a les deux leaders du domaine, l’une américaine et l’autre chinoise. Et histoire d’en rajouter une couche les visuels des pochettes en papier n’ont quasiment pas changé. Vous la sentez l’envie de faire cramer la carte bleue ? Rassurez vous comme il y a 30 ou 40 ans ces jouets valent très peu, comptez entre un et trois euros par pièce et une petite quinzaine si vous décidez d’acheter tout le lot.

Airbus célèbre une étape importante sur son site de Broughton avec l'achèvement de la toute première paire d'ailes du nouvel avion cargo A350 (A350F).

Emirates et la compagnie chinoise Air China viennent de signer un protocole d'accord (MoU) établissant un cadre stratégique pour développer leur coopération

Imaginez-vous monter à bord d'un taxi volant pour traverser la ville de demain. Cette perspective pourrait se concrétiser dès l’année prochaine. En effet, depuis 2017, Eve Urban Air Mobility, filiale d'Embraer, se consacre au développement d'une solution de transport aérien innovante dédiée aux trajets urbains courts. Ce projet, baptisé programme Eve, vise à concevoir un véhicule électrique à décollage et atterrissage verticaux (eVTOL), et Safran y participe !

Non loin de Toulouse, la Sovamep veut réduire la dépendance française au titane russe en recyclant des chutes de ce matériau. La PME vise aussi les métaux précieux des cartes électroniques, ce qui lui vaut un soutien du plan France 2030.

Décriées par certains pour leurs effets inesthétiques ou au nom de théories conspirationnistes, ces traînées blanches persistantes ont surtout un réel effet environnemental auquel le secteur entend s’attaquer.

La compagnie indienne et l'avionneur européen ont signé un accord pour convertir des droits d'achats en commande ferme. Déjà plus gros client de l'A320 NEO, Indigo va entrer dans le top 10 des acheteurs d'A350.