Si l’on n’a pas su éviter l’écueil qu’est l’obéissance à un désir de structuration sans poétique, c'est-à-dire si la structuration devient trop forte et contraint la poétique à n’être qu’inexistante, on se situe, oui, à la limite du pays fertile, mais du côté de l’infertilité. Au contraire, si la structure force l’imagination à entrer dans une nouvelle poétique, alors, on est, en effet, en pays fertile.
Pierre Boulez, Le Pays fertile, Paul Klee, texte préparé et présenté par Paule Thévenin, Gallimard, 1989, p. 173.
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