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Romain
January 22, 2014 10:59 AM
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Six sous-marins non nucléaires du projet 636.3 renforceront la flotte de la mer Noire russe d’ici 2016. Trois d’entre eux entreront en service dès cette année. Il s’agit des sous-marins diesel-électriques Novorossiïsk, Rostov-sur-le-Don et Stary Oskol. Ces navires font partie de la troisième génération de navires de la classe Varchavianka (Kilo, selon la classification de l’OTAN). Le Novorossiïsksera mis en service en premier. Ce sous-marin est de 73 mètres de long, 10 mètres de large et 350 mètres de profondeur d’immersion. Sa vitesse de déplacement en immersion peut atteindre 20 nœuds. Selon les informations librement accessibles, ces navires sont dotées d’armes puissantes et peuvent porter des coups grâce aux missiles de croisière Club-S embarqués, explique le vice-président de l'Académie des problèmes géopolitiques, le capitaine Konstantin Sivkov. « Ces missiles peuvent avoir une portée de 300 km. Si les sous-marins sont équipés de complexes Calibre, la portée de ces derniers atteindra 1 200 à 1 500 kilomètres. Selon le commandant en chef de la marine russe, l'amiral Viktor Tchirkov, ce système a été mis en service par la marine russe. Et par cet indicateur, l’armement russe est comparable aux missiles de croisière américains Tomahawk. Avec une aussi grande portée, les missiles peuvent atteindre des cibles sur le territoire des pays situés au-delà de la région de la mer Noire, dans la région la région du Proche et du Moyen-Orient. » Les nouveaux sous-marins possèdent des caractéristiques uniques en termes de protection contre le bruit. Leurs prédécesseurs, les sous-marins du projet 877 Varchavianka ont été baptisés « Trou noir » par les experts occidentaux pour leur discrétion. Par ce paramètre, les navires russes dépassent sensiblement leurs analogues occidentaux. Le sous-marin du projet 636,3, qui représente une version modernisée du sous-marin Varchavianka, se distingue par un niveau de bruit encore plus bas. Et le fait d’être équipé d’un système de sonar sophistiqué, cela donne à ce navire un avantage sensible sur les sous-marins étrangers de la même classe. Même par rapport aux sous-marins à propulsion nucléaire, les nouveaux navires vont pouvoir accomplir un large spectre de missions, notamment en matière de la lutte contre les sous-marins dans les zones adjacentes aux côtes de l’ennemi éventuel, et non pas près de côtes russes. C’est aussi la défense des bases navales, et des communications côtières et maritimes. « Il ne faut pas oublier que la situation est tendue dans le bassin méditerranéen, qui se trouve tout près. Sous certaines conditions, cette tension peut s’étendre à la mer Noire, surtout si le conflit en Syrie n’est pas résolu, ou en cas de conflit avec l’Iran. Le flux de réfugiés pourrait s’étendre jusqu’à cette région et les terroristes pourraient également y pénétrer », ajoute Konstantin Sivkov. Selon les experts, l'augmentation de six unités en trois ans du nombre de sous-marins de la flotte de la mer Noire, permettra de protéger les côtes contre les attaques d’un ennemi éventuel. A l’avenir, la flotte sous-marine de la mer Noire devrait être composée de 12 à 15 sous-marins non-nucléaires, ce qui permettra à la marine russe d’accomplir efficacement toutes les missions assignées. T Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_01_20/La-flotte-russe-de-la-mer-Noire-se-dotera-de-nouveaux-sous-marins-5975/
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Romain
January 22, 2014 10:23 AM
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Morpho fournit des détecteurs de traces à la Force frontalière du Royaume-Uni Un accord-cadre de quatre ans pour la fourniture de détecteurs de traces destinés à la lutte contre le trafic de drogues CAMBRIDGE, ROYAUME-UNI - le 22 janvier 2014 - Morpho (Safran), à travers sa filiale Morpho Detection, a signé un accord-cadre de quatre ans avec la Force frontalière du Royaume-Uni pour la fourniture de détecteurs de traces : le détecteur mobile Hardened MobileTrace® et le système transportable Itemiser® 3 Enhanced. La Force frontalière est l'autorité chargée des contrôles d'immigration et douaniers des biens et des personnes entrant au Royaume-Uni. A ce titre, elle déploiera ces nouveaux systèmes pour la détection des narcotiques dans les aéroports et les ports maritimes du pays. La première livraison des systèmes aura lieu en 2014, en remplacement des anciens équipements provenant d'autres fabricants. « Morpho s'engage à fournir aux autorités les moyens requis sur le terrain pour lutter contre la drogue et la contrebande » a déclaré Cyril Dujardin, Président-directeur général de Morpho Detection International. « Nous sommes honorés que la Force frontalière du Royaume-Uni reconnaisse les capacités opérationnelles de détection du Hardened MobileTrace et de l'Itemiser 3 Enhanced en les choisissant pour soutenir son importante mission. » Particulièrement robuste et étanche, conçu pour les environnements difficiles, le Hardened MobileTrace est capable d'identifier une large gamme de narcotiques, d'explosifs, de produits chimiques industriels toxiques et d'agents chimiques de guerre. L'Itemiser 3 Enhanced permet de détecter les traces de narcotiques et d'explosifs sur la peau, les vêtements, les colis, les bagages, les marchandises, les véhicules et autres surfaces. S'appuyant sur la technologie de traces brevetée ITMS® Ion Trap Mobility Spectrometry, les détecteurs de traces de Morpho permettent d'améliorer la performance et l'efficacité des contrôles de sécurité. Tout en étant ergonomiques et portables, ils utilisent la technologie de traces brevetée ITMS® Ion Trap Mobility Spectrometry. La précision et la fiabilité de cette technologie ont déjà été démontrées dans d'autres produits Morpho déployés dans les aéroports, les points de contrôle aux frontières, les bases militaires et autres points de contrôle critiques à travers le monde.
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January 22, 2014 9:15 AM
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Demand for new F-35 fighter jet of vital importance to UK manufacturers, with more than 500 British companies working on the project. Britain's Ministry of Defence is close to placing its first major tranche of orders for the F-35 fighter jet, with an award for about 14 of the “stealth” warplanes due in the next few weeks. The orders for the new plane, being built in an international project led by US defence giant Lockheed Martin, will signal the increasing role of the British military in the controversial F-35 programme. But the aircraft is also of vital importance to UK manufacturing companies, with more than 500 British companies, led by the likes of BAE Systems and Rolls-Royce, working on the project. As the only top-tier international partner, Britain is building 15pc of every jet in a project supporting 25,000 jobs. At peak production, the programme is expected to be worth £1bn a year to British industry. Stephen Ball, Lockheed Martin UK chief executive, said: “The economic story of the F-35 is massive for the next 20 years.” Costing as much as $1.5 trillion (£910bn) on some estimates, the F-35 project is the most expensive Pentagon defence programme in history, envisaging the construction of more than 3,000 jets.
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January 22, 2014 9:10 AM
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Dans un ministère qui comme les autres, voire plus que les autres, serre les ceintures et les budgets, la cyberdéfense monte en puissance. Jean-Yves Le Drian, présent ce mardi à Lille au Forum international de la cybersécurité, a annoncé la mise en oeuvre dans les prochaines semaines d'un plan de défense cyber. Un rythme de croissance triplé, un milliard d'euros au total sur la Loi de programmation militaire. Pour un secteur devenu majeur et stratégique. La Défense est d'abord une cible de premier choix pour les malveillants numériques de tout genre. Les attaques contre ses sites ont été multipliées par quatre en deux ans. " Avec un effet faible. Nous les contenons ", assure le ministre de la Défense. " Mais l'hypothèse d'une attaque informatique majeure s'est renforcée. Enjeux : la capacité de contrôle, de paralysie à distance ou la destruction d'infrastructures vitales serait une atteinte grave à notre autonomie. " " Il faut changer d'échelle ", prévient le ministre qui annonce le lancement dans quelques semaines d'un pacte de défense cyber (sur le modèle du pacte défense PME). " Face à un nombre d’attaques qui double chaque année, nous devons recruter des experts, aptes à protéger, détecter, réparer, répliquer. " Ce pacte se décline dans tous les aspects : organisation et moyens du ministère, y compris dans les capacités opérationnelles, coopération avec les acteurs, y compris civils, publics (comme l'ANSSI, l'agence nationale de sécurité des systèmes d'information) ou privés... Nouvelles capacités, renseignement d'intérêt cyber, réserve opérationnelle... En soutien des forces en opération, Jean-Yves Le Drian annonce de nouvelles capacités défensives et offensives, appuyées par " un renseignement d'intérêt cyber " à développer. Le CALID, le centre d'analyse de lutte informatique défensive, se renforce de 20 en 2012 à 120 à la fin de la LPM. Ce centre cyber des armées est déjà colocalisé avec son homologue civil de l'ANSSI, le COSSI (centre opérationnel de sécurité des systèmes d'information). Les échanges vont s'intensifier pour protéger les opérateurs d'importance vitale. Après une réserve citoyenne cyberdéfense (80 personnes), créée il y a un an, le ministre annonce la nécessité d'une réserve opérationnelle (contours et moyens à définir) pour " appuyer l'Etat en cas de crise cyber ". DGA et PME La DGA MI (délégation générale à l'armement, maîtrise de l'information) va voir passer ses effectifs de 200 à 450. L'objectif est de tripler le volume des études consacrées au cyber. Il sera accompagné, comme dans le pacte PME, d'un dispositif de soutien à l'innovation. Au total pour la Loi de programmation militaire 2014-2019, 1 milliard d'euros (" de plus ", a ajouté un peu vite le ministre dans son discours) sera consacré au poste cyberdéfense (dont environ 550 millions d'euros pour les investissements). Globalement, le rythme de croissance est triplé pour ce secteur devenu majeur. Jean-Yves Le Drian paraît convaincu de la pertinence de cet effort marqué : " En l’espace de quelques années seulement, le sujet de la cybersécurité, qui semblait jusqu’ici réservé à une petite communauté d’initiés, s’est élevé en France au rang de priorité nationale. Ce sujet très technique, qui a pu paraître obscur, est aujourd’hui omniprésent. Il touche à des questions aussi fondamentales que notre sécurité, notre autonomie d’appréciation, de décision et d’action – en un mot, à l’essence de notre souveraineté. "
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January 22, 2014 6:10 AM
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Pékin aurait testé le 9 janvier dernier un engin hypersonique, qui aurait atteint la vitesse de Mach 10. Ce serait la première fois que ce pays procède à l'essai d'un tel véhicule hypervéloce. L'information, relayée par le site internet Washington Free Beacon aurait visiblement été confirmée par le ministère chinois de la Défense. L'engin testé serait baptisé WU-14. Il s'agirait visiblement d'un planeur hypersonique, semblable au projet de la Darpa américaine baptisé HTV-2. Comme pour ce dernier, l'engin chinois aurait été propulsé par une fusée au delà de l’atmosphère. C'est durant la phase de rentrée atmosphérique qu'il peut ensuite accélérer jusqu'à une vitesse hypersonique. Cet essai présumé, aurait suscité l'émotion de quelques sénateurs américains, préoccupés par ce qui pourrait devenir une course à l'armement dans la zone Asie-Pacifique. Jusque là, le projet le plus emblématique des chinois dans le domaine de l'hypersonique était le missile de croisière anti-navire (plus précisément anti-porte-avions) YJ-12, et son dérivé le CM-400 AKG. La Chine a également déjà montré des maquettes d'engins dotés de superstatoréacteurs, comme le X-51 américain. A ce jour, ce sont les Etats-Unis qui sont la nation la plus avancée dans le domaine de l'hypersonique, avec notamment le X-43, le X-51 et le SR-72 en développement. La France a également son projet (programme LEA), tout comme l'Inde, la Russie et le Brésil.
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January 22, 2014 6:03 AM
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Le Brésil devrait devenir selon les projections des experts la quatrième économie mondiale d’ici 2030. Avec une superficie équivalente à celle de l’Europe entière et 17 000 kilomètres de frontière, le pays compte 380 000 militaires qu’il faut équiper selon les orientations définies par la Política de Defesa Nacional issue du Livro Branco de Defesa Nacional. C’est dans ce contexte que le pays établit des partenariat internationaux divers, sans privilégier une Nation en particulier. Ainsi dans le domaine de l’optronique, deux acteurs ont récemment dirigé leurs efforts vers le Bresil : l’européen Airbus Defense & Space et l’israelien ELOP (Elbit) . Ils rejoignent en cela Sagem (groupe Safran) qui a engagé la même démarche six mois plus tôt avec le rachat d’Optovac ltda, dont on a parlé ici en détail. Optronbras pour Airbus Defense & Space (Cassidian Optronics) L’ex-Carl Zeiss Optronics GmbH fait preuve de vitalité depuis qu’il a été intégré à EADS Cassidian, lui-même réorganisé au sein d’Airbus Defense & Space. L’entreprise a annoncé en novembre dernier ouvrir une filiale au Brésil afin de s’y créer un débouché pour le marché d’avenir que représentent les appareils optiques et optroniques. Sous la direction de Hans-Peter Jungbauer, Optronbras Ltda entend jouer à Belo Horizonte le rôle de premier interlocuteur des clients brésiliens en mettant en place des compétences technologiques dans le pays même. M. Jungbauer déclare : « Le Brésil est un des plus grands marchés en croissance au monde. Une présence locale est la condition de base pour une participation aux projets publics, qu’il s’agisse de la surveillance aux frontières, de la protection des richesses naturelles ou des programmes de modernisation des forces armées. Le gouvernement brésilien est intéressé au premier chef par une coopération à long terme avec les entreprises technologiques étrangères. Pour les programmes actuels de protection des frontières et des côtes, il est en effet indispensable de mettre en place la technologie et d’en poursuivre le développement au Brésil même. » Optronbras érigera donc ses propres structures d’ingénierie et de fabrication pour une création de valeur locale. Des capacités technologiques y seront développées, des emplois directs créés. Les possibilités locales en matière de service après-vente permettront de plus rapidement moderniser et remettre les systèmes à disposition pour les tâches à exécuter. « La création d’une filiale que l’on dote non seulement d’un savoir-faire pour le service technique après-vente, mais qui assurera aussi la fabrication de caméras thermiques non réfroidies, affiche très clairement notre ferme volonté d’établir un partenariat de longue durée. En outre, le Brésil constitue pour nous un excellent site de base pour le développement du marché sud-américain », souligne de son côté Ralf Klädtke, gérant de Cassidian Optronics. AEL Sistemas SA pour ELOP (Elbit) Un accord de transfert de technologie a été signé le 16 octobre dernier entre Elbit Systems Electro-Optics (ELOP) et AEL Sistemas SA, sa filiale brésilienne à Porto Alegre achetée en 2001. Cette dernière produira, suite au contrat attribué fin avril 2013, des équipements optroniques destinés au système SISFRON de surveillance et de sécurisation des frontières au profit de Savis Tecnologia e Sistemas S.A, elle-même filiale de l’avionneur brésilien Embraer S.A avec lequel ELBIT a fondé un partenariat stratégique pour le Brésil. Inclus dans le contrat, ce transfert de technologie amène Elbit Systems à investir au Brésil en termes d’actifs, d’infrastructure et de savoir-faire en optronique. Mr. Bezhalel (Butzi) Machlis, Elbit Systems’ President and CEO, commentait à l’époque : « Nous considérons comme importante cette récompense qui marque une avancée pour nos activités électro-optiques au Brésil, un marché significatif pour des Systèmes Elbit. [...] Ceci est encore une occasion supplémentaire pour nos filiales brésiliennes de fournir nos technologies de pointe, cette fois dans le domaine de l’observation, au Brésil, un pays qui mérite les technologies d’avant-garde dans chacun des domaines d’opération. » Sources : - communiqué de presse du 20 novembre 2013 d’Airbus Défense & Space - communiqué de presse du 29 avril 2013 d’ELOP
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January 21, 2014 4:49 AM
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Eight offers have been submitted for the technical dialogue to supply three submarines to the Polish Navy. The defense companies include foreign and Polish entities, according to a statement obtained from the Ministry of Defense by local news site Defence24.pl. The bidders include France’s DCNS and Thales, Spanish shipbuilder Navantia, Germany’s ThyssenKrupp Marine Systems, a consortium of Sweden’s state-run defense procurement agency Försvarets Materielverk and Kockums shipyard, Poland’s defense company Kenbit, Sweden’s Saab, and Norway’s Kongsberg Defence & Aerospace. In addition, the ministry’s Armament Inspectorate reserves “the right to invite other entities which did not reply to the call to participate in the [dialogue],” the statement said. Local media have reported that the submarine procurement is estimated to be worth at least 7.5 billion zloty (US $2.44 billion). The ministry is aiming to acquire two new submarines by 2022, and a further one by 2030 as part of its Navy modernization program. The Polish Navy has one Kilo-class submarine and four Kobben-class submarines in its fleet. The latter four were acquired from Norway and are expected to be withdrawn from service by 2015. ■
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January 21, 2014 4:40 AM
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Recent test firings have demonstrated that a shipboard-launched Longbow missile has the potential to be used to effectively counter fast-attack craft in the maritime environment. The tests, conducted by the US Army, US Navy and supported by Lockheed Martin, were conducted near Eglin Air Force Base. They saw multiple US Army Longbow missiles fired from a launch fixture provided by the US Navy aboard a 65-foot surface craft.
According to Lockheed Martin, the launches represented a variety of progressively more complex scenarios, with the missiles successfully engaging multiple incoming high-speed boat targets at a range of six kilometers. The results of the tests offer an efficient path forward for shipboard launches with a weapon already in US government inventory.
Hady Mourad, director of advanced programs, Lockheed Martin Missiles and Fire Control, said: ‘This was the second demonstration firing conducted by the army with Lockheed Martin assistance. These firings showed the capability of the existing Longbow missile in a new littoral threat environment, and also verified the vertical-launch capability of the missile. Earlier this year, we demonstrated the use of Longbow from an Apache helicopter against a representative littoral target.’ The fire-and-forget Longbow missile uses millimeter-wave guidance to lock onto targets before or after launch. The demonstrations were the first vertical launches of the Longbow missile and the first lock-on after launch of a Longbow missile against maritime targets.
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January 21, 2014 4:39 AM
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US Special Operations Command (USSOCOM) has ordered additional Falcon III manpack and handheld tactical radios from Harris Corporation for the expanded deployment of a SOCOM-accredited wideband tactical communications network. The $18 million orders were announced on 20 January. The orders call for Harris to supply its Falcon III AN/PRC-117G and AN/PRC-152A radios, which support advanced wideband data networking, and provide users with interoperability through legacy narrowband waveforms.
The SOCOM wideband tactical communications network enables operators to send and receive tactical voice, video and data, resulting in enhanced situational awareness and intelligence, surveillance and reconnaissance (ISR).
George Helm, president, Department of Defense business unit, Harris RF Communications, said: ‘Harris Falcon III wideband radio systems are delivering the tactical Internet to the battlefield. This new network is opening up a world of new combat applications, such as collaborative chat, biometric enrolments, video conferencing and video ISR. These are next-generation capabilities, delivered today, using a proven commercial business model that thrives on competition and innovation.’
The radios offer NSA Type-1 certified High Assurance Internet Protocol Equipment encryption, the highest level of information assurance available to tactical units.
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January 20, 2014 6:10 AM
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Un lot de chasseurs polyvalents Sukhoï Su-35 sera prochainement livré aux forces armées russes, a annoncé jeudi aux journalistes le vice-ministre russe de la Défense Iouri Borissov, après avoir souligné que les essais supplémentaires avaient confirmé les performances exceptionnelles de cet avion. "Fin janvier, ce matériel entrera en service", a répondu M. Borissov invité à préciser les délais de livraison du premier lot de Su-35. Il n'a pas exclu que le ministre de la défense Sergueï Choïgou se rende début février à Komsomolsk-sur-l'Amour (Extrême-Orient russe) pour assister personnellement à la réception des chasseurs. "Selon les pilotes, cet avion est actuellement le meilleur du monde. Ses caractéristiques et ses possibilités sont uniques en leur genre. Mais ce chasseur requiert aussi de nouvelles techniques de pilotage. Nous jugeons très important de nous familiariser avec ces techniques sur le Su-35, car l'agencement de son cockpit, sa manœuvrabilité et ses missions de combat sont pratiquement identiques à ceux du chasseur de cinquième génération T-50", a déclaré le vice-ministre. Selon lui, lors des essais effectués en 2013, les constructeurs des Su-35 ont été invités à résoudre une série de problèmes techniques. Ainsi, les pilotes chargés de tester ces appareils ont relevé des défauts de fonctionnement aussi bien des écrans polyvalents dans le cockpit que des moteurs. "Nous avons prolongé les essais en vol de 40 heures pour nous assurer que ces défauts avaient été éliminés. Les essais supplémentaires ont pris fin hier. Aucune défaillance n'est désormais signalée", a ajouté le vice-ministre. Dernier-né du bureau d'études Sukhoï, le Su-35 est un chasseur polyvalent hautement manœuvrable de génération 4++. Sa vitesse maximale atteint 1.400 km/h près du sol et 2.400 km/h en altitude. Son plafond opérationnel est de 18.000 mètres. L'appareil est capable de détecter des cibles volantes à une distance supérieure à 400 km.
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January 20, 2014 5:36 AM
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Le Royaume-Uni confie à une usine d’incinération de Veolia le soin de détruire des précurseurs d’armes neurotoxiques syriennes. Le 20 décembre 2013, le gouvernement britannique s’est engagé à détruire sur son territoire une partie de l’arsenal chimique syrien dans le cadre des accords internationaux signés en octobre 2013. Le Royaume-Uni a donc dépêché un bateau pour rapatrier 150 tonnes de "précurseur B", un produit qui, couplé au "précurseur A", donne naissance à un puissant neurotoxique. C’est le français Veolia qui a gagné le contrat pour la destruction de ces armes. L’opération se réalisera dans l’usine d'incinération d’Ellesmere Port dans le Cheshire. Elle s’inscrit dans le cadre d’un contrat déjà existant de destruction de déchets dangereux, placé sous la supervision du Disposals Service Authority (Autorité de gestion des déchets) du ministère de la Défense britannique. Un contrat symbolique L’intérêt économique de ce contrat est limité. En effet, les 150 tonnes de matériels à détruire seront insérées dans les 100 000 tonnes de produits détruits chaque année dans l’usine anglaise. Le précurseur B ne recevra pas de traitement particulier. C’est un composé couramment utilisé dans l’industrie, en particulier dans la pharmacie. En revanche, la forte valeur symbolique de ce contrat accroît la visibilité du leader mondial de services à l’environnement.
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January 20, 2014 4:50 AM
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La Russie créera un consortium de cinq entreprises produisant des moyens de renseignement et de télécommunications et des systèmes automatiques de commande, a annoncé vendredi le vice-premier ministre russe Dmitri Rogozine. "Le président russe Vladimir Poutine a accepté notre proposition de créer un consortium public puissant chargé de produire des systèmes automatiques de commande, des moyens de télécommunications et de renseignement. Le holding de hautes technologies Rostec sera élargi aux consortiums "Avtomatika" (sécurité de l'information-ndlr.), "Vega" (équipements radio), "Sozvezdie" (systèmes de commande et de guerre électronique), "Systèmes de commande" et à l'Institut central d'économie, d'informatique et des systèmes de commande", a indiqué M.Rogozine sur son Twitter. "Nous achevons ainsi la restructuration du secteur électronique et des télécommunications de l'industrie de défense russe et concentrons les ressources intellectuelles et industrielles dans le domaine de la conception, production, maintenance, modernisation, réparation et démantèlement des moyens de télécommunications, des dispositifs de cryptage, des systèmes automatisés de commande, des moyens de reconnaissance électronique et radar", a ajouté le vice-premier ministre.
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January 20, 2014 4:47 AM
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The Swedish Armed Forces (SAF) has begun looking at how it is to utilise its Sikorsky UH-60M Black Hawk (HKP 16) utility helicopters once operations in Afghanistan conclude mid-next year, a senior service official told IHS Jane's on 2 December. With four of the Swedish Air Force's (SwAF's) 15 recently acquired Black Hawks having been operational in Afghanistan since April, the SAF is looking at options for their continued use once they are withdrawn from theatre in the summer of 2014, Lieutenant Colonel Mikael Wikh, Wing Commander Flying UH-60M and A109LUH with the Swedish Helicopter Wing, explained. "We have a development [programme] back home looking at what we want to do in the future with the [Black Hawk]. It is a typical ground support helicopter, and so have a plan to meet all of the needed capabilities within that context," he said. According to Lt Col Wikh, the Black Hawk will most likely form part of the new rotary-winged element of the Nordic Battle Group that expected to stand-up in January 2015. "We are about to set up a unit for the Battle Group concept. We will contribute a similar strength [Black Hawk] unit for this battle group as we currently have in Afghanistan [four aircraft in theatre, with two flying operations at any time], with the priority to move men and material (including sling load operations)." Sweden ordered its 15 UH-60Ms in July 2010, with the mission to take over the medical evacuation (MEDEVAC) role in Afghanistan from the SwAF's three Eurocopter AS332 Cougars (HKP 10B). With delivery of the first two Black Hawks taking place in January 2012, four aircraft were dispatched to Mazar-e-Sharif in northern Afghanistan on 1 April. While their primary mission is forward MEDEVAC (a responsibility they share for Regional Command North with German Army NH90 helicopters), the SwAF's Black Hawks are also tasked with troop transport and tactical MEDEVAC. The difference between forward and tactical MEDEVAC is that the former involves collecting the casualty from the point of injury, while the latter involves flying the casualty from one field hospital to another. As the SwAF's Black Hawks are not marked with Red Crosses, they are armed with machine guns to provide suppressive fire. Lt Col Wikh told IHS Jane's , the SwAF has been extremely impressed with the performance of the UH-60M, which has surpassed the service's early expectations. "The environment [in Afghanistan] is pretty tough, but the aircraft has proved to be much stronger than we thought it would be when we looked at the manuals [before deployment]. The helicopter is fantastically strong, and we are very happy with it." Headquartered at Malmen Air Base near Linköping, the SwAF's UH-60M are identical to those operated by the US Army.
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January 22, 2014 10:24 AM
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Les équipes de DCNS poursuivent leurs travaux sur la FREMM Normandie, troisième de série, actuellement en bassin sur le site DCNS de Lorient. En décembre 2013, l’équipage de la Marine nationale du navire a notamment procédé, avec l’appui des équipes de DCNS, à l’embarquement d’une maquette de missile de croisière naval. A terme, la mise en œuvre de ces missiles donnera aux FREMM la capacité inédite pour une frégate d’une marine européenne de neutraliser une cible située à plusieurs centaines de kilomètres. L’embarquement de cette maquette de missile a été mené à la demande de la Direction Générale de l’Armement (DGA) par l’équipage de la FREMM Normandie, avec l’assistance technique des équipes de DCNS et MBDA, le fournisseur des munitions et des installations de tir. Ces essais ont permis de vérifier la capacité des équipages à embarquer en sécurité des missiles de croisière navals à bord des FREMM. « Des discussions sont en cours avec l’Etat pour l’organisation d’un tir du Missile de Croisière Naval, qui pourrait avoir lieu dès la fin 2014. Il marquerait une étape importante du programme FREMM » rappelle Anne Bianchi, Directrice des programmes FREMM au sein de DCNS. « Grâce à l’investissement des collaborateurs de DCNS, les FREMM constituent des navires de référence, avec les systèmes les plus performants qui soient ». La possibilité de mettre en œuvre des missiles de croisière navals fera des FREMM les premiers bâtiments de surface d’Europe dotés de la capacité de neutraliser des cibles situées en profondeur dans les terres, à plusieurs centaines de kilomètres. Cette performance inédite est permise grâce au système de combat polyvalent de la FREMM qui offre également des capacités inégalées d’intervention dans de multiples situations, en particulier en matière de lutte anti-sous-marine.
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January 22, 2014 9:22 AM
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International media sources have reported recently that Royal Moroccan Air Force (RMAF) has acquired the three ‘Harfang’ unmanned aerial systems retired by the French Air Force after several years of service in Afghanistan. Harfang which deployed with the ‘Armee de’Lair’ in 2008 was delivered by EADS (Now Airbus Defense & Space), under the Eagle I cooperative development with Israel Aerospace Industries. The drone was based on the Israeli IAI/Malat Heron-I system. Morocco and France have long established military cooperation, although in recent years Rabat has aligned closer to the US, procuring a range of new military systems, including F-16C/D Block 52 jet fighters, along with the latest air/air and air/ground weaponry, M-1A1 Main Battle Tanks and, as reported above, the Predator drones. Morocco is regarded an important stronghold in West Africa, in the effort to push al-Qaeda in the Magreb (AQIM) from its power bases in the Sahara. To combat irregular forces in the Sahara, Morocco has developed a significant reconnaissance and strike force, in which drones are becoming an important part. The agreement to transfer drones to Morocco is therefore a manifest to the level of support the country has among major powers. In recent months France has deployed two General Atomics Reaper (MQ-9) unmanned aircraft systems which were delivered from systems originally destined for the US Air Force. France required the US drones to support operations in Africa, where it claimed the Harfang was not suitable to support those operations, but Harfang has been operating in Mali since 18 January 2013 and have logged over 2000 flight hours operating with 1/33 Belfort UAV squadron from the Niamey airport in Niger, supporting Operation SERVAL. According to media sources, the transfer of the Harfang to the Royal Moroccan Air Force was sealed in the spring of 2013. The three drones that remained in French service were transferred with their EO payloads, datalinks and satellite communications, part of which was integrated in France by EADS. In addition to the three Herons, the RMAF also operates four General Atomics Predator XP drones, believed to have been supplied directly from the USA. According to some sources, Morocco could receive additional drones sustaining the operation of the three systems acquired under the tripartite deal.
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January 22, 2014 9:13 AM
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L'agence nationale de sécurité des systèmes d'information (ANSSI) a publié mardi 21 janvier des classifications, des modalités pour renforcer la cybersécurité des systèmes industriels. Après la définition de douze secteurs d'importance vitale (lire en fin de note), l'ANSSI a identifié un peu plus de deux cents opérateurs français, publics et privés, à cyberprotéger en priorité... On ne vous donnera malheureusement pas la liste des plus de deux cents opérateurs considérés d'une importance vitale en France. Cette liste est classifiée. On comprend à peu près pourquoi. Inutile de chercher les ennuis. Patrick Pailloux, le directeur général de l'ANSSI (que Le Monde annonce comme le prochain directeur technique de la DGSE), présent au forum international de la cybersécurité à Lille, concède simplement une proportion de 60 % d'acteurs privés et 40 % de publics, notamment obligés de révéler les attaques cyber dont ils font l'objet (la confidentialité est garantie). Les services de l'ANSSI ne vont pas plonger et assurer la résilience de tous les systèmes d'information, la messagerie ou le système de paye de telle ou telle entreprise. " Ce qui nous intéresse, c'est le command control d'une centrale nucléaire, l'aiguillage de la SNCF, les système vitaux d'un hôpital. Tout ce qui, en cas de sabotage, d'une infrastructure entraînerait une catastrophe ", décrit Patrick Pailloux. Avec le vote de la Loi de programmation militaire en décembre (articles de 21 à 24), l'ANSSI poursuit sa montée en puissance. De 100 personnels en 2009, l'agence passera à 500 fin 2015 selon la LPM. En possédant une capacité d'analyse et de riposte - y compris " en accédant aux systèmes d'information à l'origine de l'attaque " -, l'Agence se mue en véritable service de renseignement... Les 12 secteurs d’activités d’importance vitale (décret de 2006) Secteurs étatiques : activités civiles de l’Etat, activités militaires de l’Etat, activités judiciaires. Secteurs de la protection des citoyens : santé, gestion de l'eau, alimentation. Secteurs de la vie économique et sociale de la nation : énergie, communication, électronique, audiovisuel et information (les quatre représentent un secteur), transports, finances, industrie.
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Romain
January 22, 2014 6:36 AM
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Quatorze entreprises du monde entier sont candidates à la destruction d’une partie du stock syrien d'armes chimiques. Parmi eux, deux français : Airbus Defense & Space, et Séché Environnement. L’Usine Nouvelle est allée à leur rencontre. Ils font partie des quatorze entreprises européennes, américaines et chinoises présélectionnées, lundi 20 janvier, par l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OAIC), afin de détruire une partie du stock syrien d'armes chimiques. Les français Airbus Defense & Space (le nouvel ensemble regroupant Airbus Military, Astrium et Cassidian) et Séché Environnement, le spécialiste de la valorisation et du traitement des déchets, espèrent être retenus début février par cet organisme chargé de faire appliquer les dispositions de la Convention sur l’interdiction des armes chimiques. A la clé, un contrat de 400 millions d'euros, affirme un des candidats, pour détruire 500 tonnes de produits chimiques et plusieurs millions de litres de déchets toxiques. Un chiffre difficile à confirmer, l’OAIC se bornant à préciser que les coûts supportés par les entreprises pour réaliser cette activité, en dehors de Syrie, ont été estimés entre 35 et 40 millions d’euros. Les toxines les plus dangereuses étant détruites à bord d'un bateau spécialement équipé par les Etats-Unis. Des gaz bien identifiés, selon Séché "C’est l’armée américaine qui jouera le rôle de décideur, confie-t-on chez Séché Environnement, car c’est elle qui va retirer les bombes désamorcées de Syrie, et en assurer le transport sécurisé jusqu’au lieu de l’élimination. À l’intérieur des bombes se trouvent des gaz bien identifiés, qui ne présentent pas de dangerosité particulière par rapport à d’autres produits beaucoup plus sensibles que nous avons l’habitude d’éliminer, comme des produits halogénés ou chlorés…" Avec son compatriote Astrium, Séché participe déjà à la destruction des bombes de la Première Guerre mondiale sur le camp militaire de Mailly, dans l’Aube. Depuis le rachat en 2007 d’UTM, un spécialiste allemand du traitement des gaz, il dispose d’un procédé de conditionnement original : un système de "sarcophages" placés à côté de ses incinérateurs, permettant d’aspirer les gaz et de les reconditionner dans des bouteilles neuves. Une opération réalisée sur son site de Saint Vulbas, dans l’Ain, spécialisé dans le traitement des déchets industriels dangereux. "Nous travaillons en toute sécurité pour les manipulateurs et les riverains, car notre outil de traitement fonctionne quasiment sans manipulation humaine", précise son porte-parole. Si Séché est retenu par l’OAIC, il lui faudra encore une autorisation gouvernementale pour importer ces déchets en France. Le processus de destruction s’étendrait ensuite probablement jusqu’à la fin de l’année. Airbus joue la carte de la discrétion Chez Airbus Defense & Space, consigne a été donnée de ne pas dévoiler quoi que ce soit à ce stade de la compétition. Une dépollution de ce type appelle à une technologie de pointe, or il est évident qu’Airbus, à travers ses recherches sur la sécurité en aéronautique ou sur les matériaux composites, a acquis un savoir-faire en chimie et sait, par nature, détruire les déchets, explique-t-on en interne. Sans compter le savoir-faire industriel lié au développement des satellites, des drones, ou encore des fusées Ariane, et dans la protection des individus. Hasard du calendrier? François Hollande rendait justement visite, ce 20 janvier, aux dirigeants de l’OAIC, accompagné du ministre de l’Economie et des Finances, Pierre Moscovici. Sans doute auront-ils plaidé la cause de leurs deux champions…
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Romain
January 22, 2014 6:06 AM
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C'est presque devenu un serpent de mer : le projet de missile sol-air SR-SAM (Short Range Surface-to-Air Missile), une évolution du VL Mica qui doit être développée en Inde avec l'assistance de MBDA, fait l'objet de discussions et d'allers-retours incessants entre la France et New Delhi depuis 2007. Mais le dossier pourrait aboutir prochainement : "nous pensons qu'une signature de contrat est possible avant le lancement du processus des élections législatives dans le pays", confie une source proche des négociations. C'est-à-dire dans les jours et semaines à venir. Le programme SR-SAM, aussi baptisé Maitri, est d'une importance capitale pour MBDA. En jeu : la production de près de 2.000 missiles pour équiper les trois armées indiennes. Même si l'engin doit être produit en série par l'industriel Bharat Dynamics Ltd (BDL), MBDA profitera largement du contrat puisqu'il sera chargé de fabriquer les kits qui seront ensuite assemblés en Inde. "L'offre commerciale est sur la table depuis deux ans", souligne notre interlocuteur, ajoutant que toutes les parties en présence sont maintenant arrivées "au bout du processus". Le camp français est d'autant plus fébrile que l'ouverture de la séquence électorale en Inde courant mars devrait geler tous les dossiers en cours, au moins jusqu'en décembre 2014. Contrairement au dossier Rafale, pour lequel aucune notification de contrat ne semble attendue avant l'an prochain, le SR-SAM représente donc pour les négociateurs français un vrai espoir de conclure une vente avant cette période d'atonie décisionnelle. Evolution de l'actuel VL Mica en production chez MBDA pour des clients export, le futur SR-SAM devrait afficher une section de fuselage plus importante pour un emport en carburant et une portée accrus. L'Inde souhaite en effet disposer d'un armement affichant une portée de la classe 15-20 km contre différents types de menaces sol-air. En début de mois, la presse indienne rapportait également que l'achat d'un lot de 384 missiles courte portée à guidage infrarouge Asraam, fabriqués par MBDA UK, pourrait être prochainement validé afin d'équiper les Jaguar de la force aérienne indienne. En revanche, l'appel d'offres portant sur l'achat potentiel d'environ 5.100 missiles sol-air très courte portée continue de traîner en longueur, et laisse présager d'une possible remise à plat complète du processus. MBDA proposait son Mistral 2 avec un important transfert de production en Inde, face notamment à une concurrence américaine, russe et israélienne.
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January 21, 2014 4:54 AM
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C’est l’état-major des armées qui a diffusé l’information aujourd’hui. « Un bâtiment de la marine française a intercepté durant le week-end au large du sultanat d’Oman un boutre indien qui avait été piraté, procédant à l’arrestation de cinq pirates présumés qui retenaient onze membres d’équipage d’origine indienne ». Soutenu par un avion de patrouille maritime japonais, le TCD Siroco, servant en ce moment de navire amiral à Atalante, a intercepté samedi dernier l’embarcation soupçonné de servir de base arrière aux pirates. L’opération s’est déroulé à environ 75 km des côtes omanaises. Les fusiliers marins qui sont montés à bord de l’embarcation étaient appuyés par une Alouette III, toujours en service. Selon le récent rapport annuel du Bureau maritime international, le niveau de la piraterie mondiale a baissé de 40% depuis 2011, en raison notamment de l’effondrement du nombre d’attaques au large des côtes somaliennes.
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January 21, 2014 4:48 AM
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Berry Aviation qui a remporté le contrat "TRANS-SAHARA SHORT TAKE-OFF AND LANDING AIRLIFT SUPPORT" du DoD (voir mon post de juillet dernier ici) a déployé deux DHC-6-300 Twin Otters au Burkina Faso (photo ci-dessus Berry Aviation). La société a acheté trois appareils de ce type et deux ont pris la direction de l'Afrique pour des missions de transport de personnel et de fret dans le cadre de ce contrat d'une durée de quatre ans, qui a une valeur de 49 millions de dollars. Les deux Twin Otters sont basés à Ouagadougou où les USA maintiennent une présence aérienne notable. En fin d'année dernière, Berry Aviation disposait de 25 avions: • 3 Fairchild Metro II • 7 Fairchild Metro III • 4 Fairchild Metro III Heavy • 4 de Havilland Canada DHC-8-200 • 3 de Havilland Canada DHC-6-300 • 2 Embraer EMB-120 Brasilia • 2 Dornier DO 328-120 La société opère aussi quatre hélicoptères UH-72 Lakota qui appartiennent à l'US Army. Mais elle pourrait acquérir de nouveaux appareils puisque dans le cadre d'un contrat de 129 millions de dollars, signé en novembre avec le CENTCOM, elle pourrait déployer jusqu'à 14 avions en Afghanistan.
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January 21, 2014 4:40 AM
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Selex ES has unveiled a new version of its Kronos multi-function AESA radar at the Bahrain International Airshow 2014. The radar is aimed at the surveillance and air defence markets in the land and naval sectors. The radar utilises Selex ES’ Active Electronic Scanning Array (AESA) technology. It is able to perform surveillance, tracking, threat evaluation and fire control against multiple threats, simultaneously and automatically, at all altitudes. According to the company, the radars have performed particularly well in testing in the areas of detection range, hooking speed and tracking continuity, including at low and very low levels.
The radar has been designed to detect even very small maritime threats without changing its rotation rate; and can provide missile guidance without the lost time and risks typical of traditional 3D, stacked beams radars.
With the introduction of this newest version, the Kronos radar is now available in five different versions.
Marco Buratti, marketing and sales director of land and naval systems, Selex ES, said: ‘Kronos combines the range performance and the endurance of a surveillance radar with the precision, speed and reliability of a fire control radar.
‘The operational trials of the Kronos Grand Fixed, performed with our customers in a Middle Eastern desert in July last year, demonstrated unaltered performance and robustness even in the hottest climates. No doubt this radar can fulfil the objective to improve the effectiveness of air, land, coastal and naval defence anywhere in the world, significantly reducing procurement and operational costs. But more than that, it tightly links surveillance to air defence, covering all threats from low level supersonic cruise missiles to small UAVs or TBMs.’
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January 20, 2014 9:00 AM
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Vous le savez certainement, l’Inde a commandé une première tranche de 75 avions école Pilatus PC-7MKII, les premiers appareils forment déjà la première volée de pilotes. Ce premier lot de 75 PC-7MKII est estimé à près de1 milliard de dollars. Second lot : Dans une récente proposition du ministère de la Défense (MoD) sur demande de l'Indian Air Force (IAF), l’Inde s’apprête à commander une seconde tranche d’avions école Pilatus PC-7MKII, soit 106 appareils. Au total se sont donc bien 181 avions que l’avionneur suisse de Stans, va livrer à l’Inde, en définitive «le contrat du siècle» ! Montage sous licence : Pour cette deuxième partie du contrat, l’Inde a demandé une licence de fabrication de l’avion suisse. L’objectif est de réduite les coûts de fabrication de l’avion par rapport à l’importation de celui-ci depuis la Suisse. Cependant, le principal problème d’une fabrication en Inde du PC-7, concerne des problèmes de qualité. Pilatus et les représentants indiens négocient en ce moment la possibilité d’un montage des avions en Inde, livrés en kits depuis la Suisse, sous la surveillance d’ingénieurs de chez Pilatus. Cette solution permettra également de ne pas péjorer l’emploi dans notre pays, tout en garantissant la qualité du montage final des appareils.
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January 20, 2014 6:08 AM
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L’US Army va prochainement passer commande d’un nouveau lot de 20 hélicoptères Airbus Hélicopters (Ex-Eurocopter) UH-72A «Lakota». Ces équiperont l’US Army et la National Guard et seront livrés de septembre à juillet 2015. L’UH-72A «Lakota» : L’UH-72A «Lakota» est la version militaire de l’hélicoptère civil EC-145 d’Eurocopter. La dénomination UH (Utility Helicopter) est propre à l’armée américaine. L’EC-145 est, avec la gamme EC-135/635 la nouvelle génération d’hélicoptères de la gamme légère du constructeur européen. Hélicoptère bimoteur polyvalent, il est utilisé pour une vaste gamme de missions telles que : la sécurité intérieure, la répression des drogues, un soutien logistique et d'évacuation médicale (MEDEVAC). Pour les ambulances et les missions d'évacuation médicale, la cabine peut accueillir deux civières, plus un chef d'équipe (qui est qualifié pour faire fonctionner le treuil et autres matériels d'équipement aéronautique) et d'un accompagnateur médical. L'UH-72A dispose d’un système de communications tactiques de type RT-5000 à large bande. L'hélicoptère est motorisé par deux Turbomeca Arriel 1E2, chacun fournissant 550kW de puissance au décollage et 516kW puissance continue.
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January 20, 2014 4:51 AM
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L'Agence russe d'exportation d'armements Rosoboronexport espère maintenir ses exportations à 13 milliards de dollars par an au cours des trois prochaines années, a déclaré à RIA Novosti Alexeï Aliochine, au moment de l'interview vice-directeur du holding public russe de hautes technologies Rostec. "En 2013-2016, le volume des livraisons de Rosoboronexport qui représente plus de 80% des exportations militaires russes se maintiendra au niveau actuel, soit 13 milliards de dollars par an", a indiqué M.Aliochine. La stratégie de développement de l'agence à l'horizon 2020 permettra à la Russie de préserver son leadership sur le marché international d'armements, en dépit de l'intensification de la concurrence, a-t-il précisé. Et d'ajouter que le portefeuille de commandes de Rosoboronexport était évalué à plus de 35 milliards de dollars.
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Romain
January 20, 2014 4:49 AM
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Le ministère russe de la Défense a remplacé les chaussettes russes ("portianki" en russe) par les chaussettes classiques dans l'armée, a annoncé jeudi à Moscou le vice-ministre de la Défense Dmitri Boulgakov. "Les Forces armées russes n'utilisent plus les "chaussettes russes". Les troupes ont totalement adopté les chaussettes classiques que nous avons achetées", a indiqué M.Boulgakov. Selon lui, le ministère a acheté plus de 2 millions de paires de chaussettes d'été et 1,2 million de paires de chaussettes d'hiver. L'armée russe est la dernière à renoncer aux chaussettes russes après les armées de la RDA (1968), de Finlande (1990) et d'Ukraine (2004). La "chaussette russe", qui rappelle la molletière française, est un morceau de tissu (de coton en été et de laine en hiver) d'environ 40 cm sur 80 cm destiné à être enroulé autour du pied. Parmi ses avantages, une taille unique, une bonne protection contre le froid et une durée de vie plus grande que celle d'une chaussette, car les zones d'usure peuvent être déplacées. Le lavage et le séchage ne posent aucun problème: pas de mailles en caoutchouc qui se défilent ou se détendent, etc. Toutefois mettre une "chaussette russe" est très délicat pour le soldat, car si elle est mal posée, le pied est affecté d'ampoules et de cals douloureux.
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