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Romain
January 6, 2014 5:04 AM
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Le gouvernement du Canada a annoncé tard vendredi qu’il allait retirer du service ses hélicoptères CH-124 Sea Kings en 2015 et que Sikorsky devra payer une amende de près de 90 millions $ pour le retard accumulé dans son programme de construction des CH-148 Cyclone. Les deux parties ont conclu une entente de principe, le 31 décembre 2013, qui servira de fondement aux négociations contractuelles officielles en vue de donner suite aux recommandations faites dans un rapport d’Hitachi Consulting, qui avait été mandaté par le gouvernement pour déterminer la viabilité du programme des hélicoptères maritimes. Les conclusions [traduites ici en français] étaient: Il y a une attente raisonnable que la viabilité du projet et la pertinence opérationnelle seront réalisées dans un délai qui prend en compte les besoins du gouvernement avec une structure de projet et un modèle de gouvernance différents.Cela nécessitera que le gouvernement, Sikorsky et GDC (un sous-contractant de Sikorsky), négocie dans des «limites commerciales» définies dans les 45 à 90 prochains jours pour répondre aux besoins opérationnels de l’Aviation royale canadienne avec une approche entrepreneur validée.Grâce à cet effort, un projet d’hélicoptères maritime viable pourrait être réalisé et serait pertinent pour l’Aviation royale canadienne et ne pourrait violer fondamentalement l’énoncé d’intention opérationnelle, mais cela doit être validé par le gouvernement. «La décision de mener à bien le Projet des hélicoptères maritimes est conforme à notre objectif de fournir l’équipement nécessaire aux Forces armées canadiennes tout en protégeant l’investissement des deniers publics consacrés à ce programme», a déclaré le ministre de la Défense nationale Rob Nicholson, par voie de communiqué. En vertu de l’entente de principe, le Canada recevra livraison d’hélicoptères à capacité opérationnelle «suffisante» pour entreprendre le retrait des Sea Kings en 2015. Un programme d’amélioration des capacités sera mis en place de manière à obtenir des hélicoptères CH-148 Cyclone pleinement opérationnels en 2018. La ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux Diane Finley a déclaré que «Sikorsky s’est engagé à réaliser les capacités requises du nouvel hélicoptère sans frais supplémentaires pour le Canada [...] De plus, le gouvernement du Canada ne paiera Sikorsky que lorsque les capacités des appareils seront livrées. C’est la voie à suivre pour les intérêts des Forces armées canadiennes et des contribuables.» Sikorsky a également accepté de verser au Canada une somme de 88,6 millions $ en dommages-intérêts extrajudiciaires pour non-livraison. Le programme a en effet plusieurs années de retard, alors que les Sea Kings ont fêtés en 2013 leurs 50 ans de service. Dans un mea culpa quasi sans précédent, le président de Sikorsky Mick Maurer a déclaré: «Nous qui sommes les plus grands fabricants d’hélicoptères au monde déplorons de ne pas avoir exécuté ce programme à la satisfaction du gouvernement du Canada et qu’aucun hélicoptère n’ait été livré en 2013». «Nous reconnaissons qu’il faut faire mieux et qu’il en va de même pour nos sous-traitants. Nous avons complètement restructuré nos méthodes et ajouté un nombre considérable de ressources humaines et d’experts techniques. Par suite de l’examen indépendant mandaté par le gouvernement du Canada, nous avons la conviction d’avoir adopté le bon plan pour lui livrer l’hélicoptère maritime le plus performant du monde», a poursuivi le patron de Sikorsky. Le projet d’hélicoptères maritime remonte au début des années 1990 lorsque le gouvernement Mulroney a passé commande de nouveaux hélicoptères CH-149 Cormorant pour remplacer les Sea King, mais en 1993, les libéraux de Jean Chrétien fraîchement élus ont annulé le contrat non sans un coût pour les contribuables de 478 millions $. En 2004, c’est le gouvernement libéral de Paul Martin qui acheta finalement les Cyclones de Sikorsky pour un coût estimé de 5 milliards $, mais les problèmes ne faisait que commencer. Bien que Sikorsky devait à l’origine commencer sa livraison en novembre 2008, et la terminer en 2011, pas un seul hélicoptère pleinement opérationnel n’a encore été produit. Seuls quatre, qui ont tous été rejeté par la Défense ont été livrés à la base de Shearwater, en Nouvelle-Écosse.
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January 6, 2014 4:57 AM
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La livraison des avions de surveillance maritime P-3C prend du retard. L’armée de l’air taïwanaise a confirmé cette semaine que la réception d’un exemplaire des 13 P-3C commandés auprès des États-Unis sera livré avec du retard. D’après cette même source officielle, ce retard est du à un dysfonctionnement des systèmes de bord Trois exemplaires avaient déjà été livrés en septembre dernier, sans encombre. Trois autres devaient être fournis avant la fin de l’année 2013. D’après la commission législative taïwanaise qui a filtré d’autres détails sur ce matériel sensible, ces trois derniers P-3C devaient venir de la base américaine de Guam. Un seul est arrivé le 12 décembre 2013. Un deuxième a finalement été livré le 17 décembre, après que le problème ait été réparé, sans plus de précision. Taïwan a simplement expliqué que ces coûts de réparation imprévu étaient payés par les États-Unis. Officiellement, cinq avions de surveillance maritime seront fournis en 2014, trois autres en 2015. L’appareil ultra moderne sera très utile pour la surveillance des bâtiments civils et de guerre chinois. Il remplacera à terme une flotte de 11 S-2T en service depuis une quarantaine d’années pour un coût global de près de 2 milliards de dollars.
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January 3, 2014 4:57 AM
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January 2, 2014 7:53 AM
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Le processus de modernisation des trois avions de guet aérien embarqué E2C Hawkeye de la 4F se poursuit (photo Marine nationale). Après un contrat attribué en octobre à Northrop Grumman (34,5 millions de $), les travaux vont porter sur l’installation de nouveaux équipements d’identification « ami-ennemi » (IFF) AN/APX-122A fonctionnant en modes 5 et S. On lira ici l'appel d'offres initial. L'équipementier BAE Systems a été chargé de cette partie du contrat (qui se terminera en 2018), ainsi que l'indique un avis d'attribution du 30 décembre: BAE Systems Information and Electronics Systems Integration Inc., Greenlawn, N.Y., is being awarded a $12,835,546 modification to a previously awarded firm-fixed-price contract (N00019-12-C-2020) for supplies and services required for the delivery, installation, and testing of six French E-2C compatible AN/APX-122A Mode 5/S Interrogator units for the government of France. The supplies and services to be procured include non-recurring engineering required for the development of French E-2C compatible AN/APX-122A IFF Mode 5/S Interrogator, software modifications required for compatibility with the French E-2C aircraft, technical data, and technical support. Work will be performed in Greenlawn, N.Y. (80 percent), Nashua, N.H. (15 percent); Melbourne, Fla. (3 percent); Dayton, Ohio (1 percent), and Cuers, France (1 percent), and is expected to be completed in December 2018. Foreign Military Sales contract funds in the amount of $12,835,546 will be obligated at the time of award, none of which will expire at the end of the current fiscal year. The Naval Air Systems Command, Patuxent River, Md., is the contracting activity.
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January 2, 2014 7:51 AM
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Une nouvelle génération de missiles balistiques ensilés entre en service dans les forces armées russes, a annoncé jeudi le président Vladimir Poutine. "Vous savez que nous avons récemment mis à l'eau un nouveau sous-marin nucléaire lanceur d'engins. Aujourd'hui, nous sommes en train de mettre en service des missiles ensilés de nouvelle génération", a déclaré M. Poutine lors d'une rencontre avec les membres du gouvernement. Le deuxième SNLE du projet 955 Boreï, baptisé Alexandre Nevski, est venu équiper lundi la Marine russe. Les sous-marins de cette classe doivent constituer le noyau des forces stratégiques navales du pays après 2018. M. Poutine avait auparavant annoncé qu'en 2014, les Troupes des missiles stratégiques devaient recevoir 22 missiles balistiques intercontinentaux basés au sol. Selon une source interrogée par RIA Novosti, il s'agit de missiles RS-24 Iars (code OTAN: SS-X-29). Missile à propergol solide et à trois étages, le RS-24 Iars est une version modernisée du missile monobloc RS-12M2 Topol-M. Il est doté d'ogives multiples de 150 à 300 kilotonnes chacune à guidage individuel. La portée du missile Iars est de 11.000 km.
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January 2, 2014 7:50 AM
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Le sous-marin nucléaire polyvalent "Severodvinsk", chef de file du projet 885 Iassen, a été mis lundi à la disposition des forces navales russes, a confié à RIA Novosti une source au sein du complexe militaro-industriel. "Le procès-verbal de réception du premier sous-marin de classe Iassen a été signé le 30 décembre aux chantiers navals Sevmach", a déclaré l'interlocuteur de l'agence. D'ici 2020, la Marine russe doit recevoir au moins huit bâtiments de cette classe. Le Severodvinsk, dont la construction a débuté en 1993, a été mis à l'eau en 2010. Le deuxième sous-marin de la série, le Kazan, a été mis en chantier à l'été 2009. Sa livraison aux forces navales russe est prévue en 2015. En 2013, les chantiers Sevmach ont lancé la construction du troisième sous-marin du projet 855, le Novossibirsk. Ce projet englobe des sous-marins nucléaires d'attaque de nouvelle génération ayant un déplacement de 8.600/13.800 tonnes et une vitesse de croisière de 16/30 nœuds. Ils peuvent plonger à 600 mètres de profondeur. Les sous-marins de cette classe possèdent huit rampes de lancement verticales. Ils sont dotés de missiles de croisière supersoniques Oniks et Kalibr, ainsi que de torpilles autoguidées.
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January 2, 2014 7:46 AM
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L'armée russe a reçu le nouvel hélicoptère d'attaque Mi-28N "Chasseur de nuit", a annoncé le holding Hélicoptères de Russie sur son site internet. "L'hélicoptère d'attaque Mi-28N "Chasseur de nuit" produit par le holding Hélicoptères de Russie a formellement été livré à l'armée sur décision du ministère de la Défense. Le ministère de la Défense Sergueï Choïgou a signé un arrêté approprié le 22 novembre 2013", a indiqué le holding dans un communiqué. Des unités militaires russes exploitent l'hélicoptère Mi-28N depuis plusieurs années à titre d'essai. Les spécialistes de l'usine Mil de Moscou, qui a conçu l'hélicoptère, et de l'usine Rostvertol, qui produit ces hélicoptères en série depuis 2005, ont participé aux tests. L'hélicoptère d'attaque anti-blindé Mi-28N (N pour "nuit") est le principal hélicoptère de l'Armée de l'air russe. Capable d'opérer de jour comme de nuit et par tout temps, le Mi-28N est destiné à rechercher et détruire les chars et blindés, ainsi que les vedettes et autres petites embarcations, à éliminer les effectifs ennemis, à détruire les sites protégés, à installer des champs de mines, à lutter contre les cibles aériennes volant à une basse altitude. Le holding Hélicoptères de Russie a déjà livré plusieurs dizaines d'hélicoptères Mi-28N "Chasseur de nuit" au ministère russe de la Défense.
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December 24, 2013 4:56 AM
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Mikhail Kalashnikov, the creator of the famous AK-47 assault rifle, has died at the age of 94, according to Russia Today. He had reportedly been suffering from heart problems and was in intensive care since November. The Kalashnikov AK-47 is frequently cited as the world's most popular assault rifle, with its only serious rival being the American M-series rifle. Still, Kalashnikov had mixed feelings about his success. "I would prefer to have invented a machine that people could use and that would help farmers with their work — for example a lawnmower," he said on a visit to Germany in 2002.
Kalashnikov was a self-taught peasant turned tank mechanic who never finished high school, RT writes, and he only became a weapon designer after he was shot in the shoulder in World War II. The AK-47 was introduced in 1948 and became one of the first assault rifles of the 2nd generation. Its remarkable success come from a variety of factors, including durability and low production cost — they reportedly sold in war-torn countries for as little as $15. However, their popularity amongst criminals and terrorists led to some concern for the inventor. “Whenever I look at TV and I see the weapon I invented to defend my motherland in the hands of these bin Ladens, I ask myself the same question: 'How did it get into their hands?' ” Kalashnikov said in 2006. “I didn't put it in the hands of bandits and terrorists, and it's not my fault that it has mushroomed uncontrollably across the globe. Can I be blamed that they consider it the most reliable weapon?” "It is painful for me to see when criminal elements of all kinds fire from my weapon," he explained again in 2009, on his 90th birthday. In hindsight, too, many would have regretted another decision. The original design for the AK-47 was never patented, and Kalashnikov reportedly never saw any of the profits from his invention — a few years ago it was estimated that half the AK-47s in the world were actually counterfeits. Still, the inventor never seemed to mind. “At that time, patenting inventions wasn't an issue in our country,” he explained in 2006. “We worked for socialist society, for the good of the people, which I never regret.”
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December 23, 2013 6:13 AM
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Les succès enregistrés cette année par Astrium dissimulent à peine les très fortes inquiétudes des salariés d’Astrium Toulouse après l’annonce du projet de réorganisation de la division Airbus DS (Defence & Space). Voilà une semaine, à l’appel de cinq organisations syndicales, une assemblée générale du personnel regroupait 1 200 personnes dans le restaurant du site. Ce vendredi, à 9 heures, une manifestation est prévue avec, semble-t-il, le soutien de quelques élus devant le site du Palays. Présenté par Tom Enders, PDG d’EADS, le projet de restructuration vise à regrouper dans une même entité la défense (Cassidian), les avions militaires (Airbus Military) et l’espace (Astrium). Au final, 5 800 postes seront supprimés sur 40 000. Si l’Allemagne paye un lourd tribut avec 2 600 emplois en moins, la France verra ses effectifs rabotés à hauteur de 1 070 emplois. Certes, tout licenciement sec pourrait être évité selon ce qu’affirmait le ministre Michel Sapin, mais il y aura au moins 1 500 reclassements au sein d’Airbus et d’Eurocopter, avec également un plan de départs volontaires. Depuis ces annonces, les réunions de comités d’entreprise s’enchaînent, mais les chiffres définitifs ne seront donnés qu’en janvier. Les salariés toulousains ont déjà été échaudés par les quelque 35 postes supprimés à Spot Image qui a rejoint le giron d’Astrium en 2010. «Nous comprenons d’autant moins ces grandes manœuvres que la société a connu une année exceptionnelle en termes de commandes. Il y a une volonté totale de noyer le poisson dans ce périmètre Airbus Defense and Space», souligne Jean-Pierre Queille, délégué CFDT au comité central d’entreprise. Même son de cloche à la CGT et ailleurs. «Dans les 5 800 suppressions, il y a aussi des headquarters, qui concernent les sites de Toulouse et Blagnac. On sent bien que se dessine une forme de chantage à l’emploi. La direction va tenter de faire accepter la signature d’accords de compétitivité , avec augmentation du temps de travail et baisse de salaire», ajoute J.-P Queille. Les craintes sont d’autant plus vives que la direction ne cesse de répéter que la branche satellite n’est plus rentable face à la concurrence américaine. Boeing, par exemple, peut se permettre de baisser ses prix, profitant par ailleurs de commandes institutionnelles de satellites militaires.
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December 23, 2013 4:04 AM
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Selon les syndicats de Test & Services, entreprise spécialisée dans les tests d’équipements embarqués dans les avions civils et militaires, filiale de Cassidian et détenue à 100 % par le groupe EADS, serait sur le point d’être cédée à deux fonds d’investissement : ACE Management et IRDI Midi-Pyrénées (Institut Régional Développement Industriel Midi Pyrénées). La direction aurait annoncé officiellement le 18 décembre dernier, à l’occasion d’un comité d’entreprise, que « l’exclusivité des négociations » de reprise de l’entreprise a été réservée à ACE Management, dont les fonds proviennent de grandes entreprises, et IRDI Midi-Pyrénées, fonctionnant avec des fonds publics provenant notamment du conseil régional Midi-Pyrénées. Si tout se déroule selon le calendrier établi par les dirigeants de Test & Services, la vente sera finalisée en juin 2014, indiquent les syndicats. Depuis l’annonce du projet de cession de cette société qui emploie 500 personnes, les salariés ont manifesté massivement en juin et octobre derniers. Ils demandent depuis le départ le maintien de Test & Services au sein du géant européen d’aéronautique, d’espace et de défense. Par ailleurs, cette décision intervient 11 jours après l’annonce du groupe EADS (Airbus Group à partir de début janvier 2014) d’un plan de suppression de 5 800 postes au sein de sa future division Airbus Defence and Space (Airbus DS), qui va rassembler les filiales Cassidian (défense), Astrium (spatial) et Airbus Military. - See more at: http://www.journal-aviation.com/actualites/25393-deux-fonds-d-investissement-pourraient-reprendre-cassidian-test-services#sthash.O6iuB1xs.dpuf
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December 20, 2013 5:54 AM
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Moins de 24 heures après l'annonce de l'échec du Rafale au Brésil, un nouveau coup de tonnerre ébranle le monde des ventes d'avions de combat : BAE Systems, qui assurait la promotion de l'Eurofighter Typhoon aux Emirats Arabes Unis, annonce ce soir dans un communiqué financier qu'Abu Dhabi a décidé de "ne pas donner suite à ce stade aux propositions" commerciales britanniques, qui visaient la vente d'une soixantaine d'avions de combat dans le pays. Dans le même communiqué, l'industriel britannique annonce une autre mauvaise nouvelle : aucun "accord définitif" n'a encore été trouvé avec l'Arabie Saoudite dans les négociations portant sur le deuxième lot de 48 Typhoon (24 ont déjà été livrés) commandés par Riyad, dont les livraisons sont pourtant en cours. BAE Systems tente toutefois de rassurer ses actionnaires en révélant que différents contrats ont été conclus en décembre pour la fourniture de munitions guidées et de services de soutien des Tornado saoudiens, pour un montant global d'environ 1,5 milliards de livres. Cette déconvenue aux Emirats est pour le moins bienvenue pour la "Rafale Team", qui s'était vu temporairement écartée de cet énorme prospect potentiel suite à l'échec d'un premier "round" de négociations entre Paris et Abu Dhabi. Fin 2011, au cours du salon aéronautique de Dubaï, le prince héritier de l'émirat avait publiquement affirmé que l'offre commerciale française n'était pas compétitive. Une manière de mettre la pression sur Dassault Aviation et l'équipe de négociateurs français, qui partaient pourtant du bon pied avec un produit parfaitement adapté aux ambitions stratégiques des Emirats et apprécié des aviateurs locaux, ainsi qu'un fort soutien diplomatique. C'est à l'issue de cette douche froide que le camp Eurofighter était entré dans la danse pour des négociations qui auront donc duré près de deux ans ; à l'occasion de l'édition 2013 du salon de Dubaï, qui s'est tenue le mois dernier, le premier ministre britannique avait même fait le déplacement pour assurer la promotion du Typhoon. Visiblement sans grand succès
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December 19, 2013 1:15 PM
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Started on Nov. 27 at Decimomannu airbase, in Sardinia, flying activity aimed at integrating the MBDA Storm Shadow missile, a 1.300 kg standoff weapon (over 5-mt long), onto Eurofighter Typhoon multi-/swing role aircraft continues. The Instrumented Production Aircraft 2 (IPA2) Typhoon, updated to the Phase 1 Enhancement standard, carrying two stealthy, long-range precision Storm Shadow missiles was spotted at Deci airbase in the last weeks. The photographs in this post, taken by The Aviationist contributor Gian Luca Onnis, provide a closer look at the Typhoon configuration, featuring two AIM-9L Sidewinder and AIM-120 AMRAAMs along with the Storm Shadows
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from Newsletter navale
December 19, 2013 1:13 PM
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Le drone hélicoptère Camcopter S-100 de l’industriel autrichien Schiebel a achevé mi-décembre une nouvelle campagne d’essais en mer. Il a de nouveau été embarqué à bord de l’Adroit, le patrouilleur d’expérimentation de la Marine nationale, afin de tester une mise à jour majeure de son logiciel de contrôle ainsi que les débuts de l’intégration au système de combat du bâtiment. Le Camcopter S-100 avait débuté ses premiers essais en situation opérationnelle en mai 2012. Capable de voler à une vitesse maximum de 130 km/h et possédant une endurance supérieure à six heures, le S-100 est destiné aux missions de renseignement et de surveillance.
Via Patrick H.
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January 6, 2014 4:58 AM
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La force navale dédiée à la protection des navires transportant les armes chimiques syriennes a quitté hier matin le port de Limassol, à Chypre. Les quatre bâtiments de la marine norvégienne et danoise vont maintenant faire des ronds dans l’eau dans l’attente de l’ordre pour se rendre à Lattaquié. C’est depuis ce port syrien que les armes chimiques syriennes seront embarquées, avant d’être ensuite transbordés sur le MV Cape Ray. Le MV Cape Ray, qui était encore à Norfolk hier, a embarqué comme prévu deux systèmes FDHS pour détruire en mer environ 800 tonnes d’armes chimiques. Une fois traités, les déchets qui résulteront de cette opération seront entreposés dans un lieu secret. Une partie des stocks sera également détruite à terre sur un site inconnu. Le début de cette mission a été retardé à plusieurs reprises. En mer, il faudra entre 45 et 90 jours au MV Cape Ray pour remplir sa tâche de destruction des composants chimiques. Rappelons que cette opération de neutralisation d’agents chimiques n’a encore jamais été réalisé à bord d’un navire. A Lattaquié, des camions blindés russes ont pu transporter une partie des armes chumiques, la tâche étant compliqué alors que les combats sont quotidiens entre groupes islamistes, groupes de l’armée syrienne libre et forces fidèles à Assad.
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January 3, 2014 6:48 AM
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Le drone, livré le 27 décembre 2013, vient tout juste d'être assemblé dans le hangar. A l'extérieur, une grande caisse blanche recèle un deuxième appareil. Ce mercredi 1er janvier, sur l'aéroport de Niamey, l'armée de l'air française peut exposer pour la première fois son nouvel appareil espion, un MQ-9 Reaper américain. Ce drone armable, pour l'heure réservé à la surveillance, sera opérationnel le 15 janvier. Autour de lui, Paris installe dans la capitale du Niger un « maillon-clé » de son dispositif antiterroriste dans la bande sahélienne. « Ici, nous nous implantons désormais dans la durée », a dévoilé le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, en visite dans plusieurs Etats de la région. La plateforme aéronautique française du Niger est appelée à se développer de façon significative dans les prochains mois. Une pièce importante de la « régionalisation » de l'action militaire que Paris espère promouvoir au Sahel. Le Niger du président Mahamadou Issoufou a déjà accueilli, au cours de l'année 2013, un détachement américain de deux Reaper qui demeurent consacrés, eux aussi, à la surveillance dans le cadre de la lutte antiterro...
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January 2, 2014 7:54 AM
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Pudiquement, il faudrait dire qu'ils sont "au Sahel". Mais les deux premiers drones Reaper de l'armée de l'air dont la DGA avait confirmé la livraison la semaine dernière (voir mon post d'alors en cliquant ici) sont arrivés au Niger où ils vont côtoyer les Harfang français et d'autres Reaper US ceux-là. Les deux appareils et la station ont été acheminés par un Antonov qui a fait une escale en France mercredi. Le ministre français de la Défense devrait se les faire présenter après son réveillon à Bamako, lors d'une visite dans plusieurs pays du Sahel.
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January 2, 2014 7:52 AM
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Depuis le 1er décembre, 6 militaires de la gendarmerie se sont donnés la mort. Le 1er décembre, le major, commandant la brigade de Crepy en Valois (60), s’est donné la mort à son domicile avec son arme de service. le 5 décembre, le major, commandant la brigade de proximité de Pontvallain (72) s’est donné la mort dans son bureau, avec son arme de service. Le 20 décembre, le corps de Patrice RZEPCZYK, gendarme à Colombey-les-deux-Eglises (52) a été retrouvé dans un bois à quelques kilomètres de son unité. Il avait mis fin à ses jours avec son arme de service. Le 27 décembre, l’adjudant de l’escadron 24/2 de Bayonne s’est isolé dans une voiture pour mettre fin à ses jours avec son arme de service. Le 30 décembre, un gendarme s’est suicidé avec son pistolet Sig-Sauer 9 mm vers 2h30, de retour de patrouille, en bas de son logement à la caserne de L’Ile-Rousse (Corse). Le 31 décembre, l’association gendarmes et citoyens, dans un communiqué, nous apprend le suicide par pendaison de l’adjudant Augustin Ochando, du peloton d’autoroute de Montereau
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January 2, 2014 7:51 AM
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La Russie et le Kazakhstan ont ratifié l'accord sur la défense antiaérienne régionale, a écrit le quotidien Rossiïskaïa gazeta lundi 30 décembre. Ce document autorise les avions militaires des deux pays à franchir la frontière sans autorisation politique spéciale. En cas de violation de l'espace aérien russe ou kazakh par un appareil étranger ou en cas de force majeure, l'ordre du commandant spécialement chargé par Moscou et Astana de cette tâche serait en principe suffisant pour un tel franchissement. Autrement dit la procédure de lutte contre les transgresseurs de l'espace aérien dans les zones frontalières a été considérablement simplifiée. Un autre document ministériel comme un ordre conjoint des ministres de la Défense russe et kazakh n’aurait pas pu accorder de droits particuliers aux pilotes en cas d'urgence. Il est évident que la traversée des frontières nationales, de même que l'échange d’informations militaires, est un thème très sensible. Beaucoup d'Etat sont très réticents à partager une infime partie de leur souveraineté, même dans l'intérêt de la sécurité nationale. Cette circonstance a probablement joué un rôle dans la préparation de cet accord bilatéral de défense sol-air, qui a duré six ans. Après tout, la Russie et le Kazakhstan sont depuis longtemps couverts par le système commun de défense antiaérienne de la CEI. Leur espace aérien est protégé par les unités d'aviation, sol-air et radar en veille opérationnelle dans le cadre du Traité de sécurité collective. Alors pourquoi instaurer de nouvelles structures? "Personne n'a l'intention de créer des unités spéciales pour la protection de l'espace aérien des deux pays. Il s'agit d’instaurer une veille opérationnelle commune, de coordonner nos actions dans diverses situations, d’échanger des informations, de mener des exercices conjoints ou encore d’entraîner nos centres de contrôle, nos équipages et notre personnel. C'est une pratique normale que nous avions déjà mis en place dans le cadre de la CEI. Mais l'accord intergouvernemental entre Moscou et Astana élargit les possibilités d'une telle interaction et simplifie la procédure de prise de décisions par les commandants", explique une source du ministère de la Défense. Une sorte de parapluie antiaérien couvrira désormais les deux pays. Il est inutile, pour sa mise en place, d'entourer Moscou et Astana d’aérodromes supplémentaires avec des avions d'interception ou de "planter" le long des frontières extérieures des unités antiaériennes avec des lance-roquettes sol-air portatifs Strela et Igla. Personne n'a l'intention de projeter les unités d'un pays dans l'autre ou de former des unités nationales mixtes. Les QG, le personnel et les équipages représentants les forces armées russes et kazakhes dans le système régional conjoint de défense antiaérienne resteront déployés au même endroit, les spécialistes resteront dans leurs armées et brigades. Quels changements, alors, en attendre ? Un élargissement des tâches, notamment lors des exercices conjoints, et une modification de la géographie des intérêts. Ce fut notamment le cas quand des structures militaires similaires ont été formées dans le cadre du système régional conjoint de défense sol-air entre la Russie et la Biélorussie, ainsi qu'entre la Russie et l'Arménie.
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January 2, 2014 7:47 AM
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Evolution de l'arme automatique la plus célèbre du monde
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January 2, 2014 7:44 AM
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Une centaine d'alertes aériennes en quelques mois. La mise à la mer du plus gros navire de guerre construit depuis la Seconde Guerre mondiale. Un Premier ministre au discours toujours plus véhément. Le Japon semble renouer depuis quelques temps avec un esprit martial qui lui est pourtant interdit par la Constitution. Une Constitution que les responsables politiques aimeraient bien réformer au plus vite. « Le Japon s'élève : pourquoi l'ancienne puissance asiatique est-elle de nouveau en train de bander ses muscles militaires ? » Cette formule alarmiste faisait récemment la Une du célèbre magazine américain Time. Pour la première fois depuis bien longtemps, les soldats japonais étaient en bonne place des kiosques internationaux, affichant sans remords leurs avions de chasse et leurs hélicoptères de combat. Si le Time s'intéresse aux Forces d'autodéfense japonaises (FAD), c'est parce qu'elles traversent une période d'intensité militaire rare. Entre avril et juin 2013, Tokyo a déployé 69 avions de combat qui ont décollé en alerte, après des intrusions d'aéronefs chinois. Au mois de septembre, pour la première fois, un drone, puis un bombardier chinois, approchaient dangereusement l'espace aérien japonais. En 2012, sur la même période, seules 15 alertes de ce type étaient déclenchées. Plus que jamais, les pilotes japonais sont confrontés à leur dangereuse mission. En plus des Chinois, ils ont du prendre leur envol pour dissuader des avions russes à 31 reprises et nord-coréens à neuf reprises, toujours entre avril et juin. « Décoller me donne l'impression de vraiment prendre part à la défense de mon pays », témoigne un pilote de F-15 baptisé « Vader », dans les colonnes de Time Magazine. Le paradoxe militaire japonais Une situation de menace qui a amené Tokyo à consentir en 2013, malgré un contexte budgétaire particulièrement précaire, une hausse du portefeuille militaire... pour la première fois depuis onze ans. Une hausse qui devrait se poursuivre en 2014, le ministère de la Défense ayant demandé une nouvelle augmentation de 3,5%. Destroyer porte-hélicoptères (DDH) Izumo 183. « Il y a une volonté manifeste chez Shinzo Abe de renforcer les forces », analyse Edouard Pflimlin, journaliste et chercheur associé à l'Iris et à l'IPSE, spécialiste du Japon. Il remarque l'achat régulier de nouveau matériels d'envergure : des porte-hélicoptères, des systèmes anti-missile. Le Japon avait fait parlé de lui en août dernier en mettant à la mer le plus gros navire de guerre depuis la Seconde Guerre mondiale, l'Izumo. « Les FAD sont les forces armées les plus modernes d'Asie en termes d'équipement », précise la Balance militaire, publiée chaque année par l'Institut international pour les études stratégiques (IISS). « On ne peut pas parler d'un sentiment d'encerclement, analyse Edouard Pflimlin. Mais il y a un vrai sentiment de menace. En 2010, la publication des Lignes directrices du programme de défense nationale montraient un changement de stratégie : les forces sont réorientées depuis le Nord (menace russe) vers le Sud-Ouest (menace chinoise). » Les FAD restent pourtant confrontées à un véritable paradoxe constitutionnel. Le texte fondamental, pensé dans l'immédiat après-guerre, interdit au Japon de développer une armée. Seule est autorisée l'autodéfense individuelle. Une logique qui a mené, au fil des décennies, au développement de pirouettes dans l'interprétation du document : ainsi, il est possible pour Tokyo d'intercepter un missile balistique tiré en direction des Etats-Unis au prétexte de défendre les citoyens japonais contre les déchets de l'engin. Et ainsi de suite pour l'achat ou l'entraînement de n'importe quel matériel ou unité militaire. Tokyo justifie ainsi sa participation à des opérations militaires en interprétant avantageusement le texte : le Japon étant obligé de travailler avec la société internationale pour la préservation de la paix, les FAD ont pu déployer des troupes en Irak, au Népal, au large de la Somalie ou encore dans le Golan, entre Israël et la Syrie. Chaque fois, les militaires japonais sont affectés à des tâches de maintien de la paix et de reconstruction. Shinzo Abe s'attaque à la Constitution Le Premier ministre Shinzo Abe a décidé de s'attaquer à cette hypocrisie constitutionnelle. Le chef du gouvernement, conservateur, multiplie les discours allant en ce sens. « Le Japon est de retour », déclarait-il à Washington en février, évoquant des problématiques aussi bien économiques que sécuritaires. En 2012, il promettait de « protéger les terres et les mers du Japon, ainsi que les vies des Japonais, quel qu'en soit le coût ». Surtout, Shinzo Abe s'est fixé comme « mission » de parvenir à réformer la Constitution, malgré l'impopularité d'une telle réforme. « Cela ne devrait pas se faire tout de suite », estime Guibourg Delamotte, maître de conférence à l'Inalco, spécialiste de la politique de défense du Japon. « C'est un mouvement qui s'inscrit dans la continuité, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale : il y a une progression sur la durée des armements, des budgets. C'est la récession des années 1990 qui a marqué un ralentissement dans ce domaine ». Pour elle, plus que la réforme constitutionnelle, ce sont l'instauration d'un Conseil de défense et le renforcement du secret-défense en faveur d'une plus grande coopération avec les services américains qui représentent de vraies nouveautés dans la politique militaire de Shinzo Abe. Reste que si la population est très largement pacifiste, Shinzo Abe illustre un héritage traditionnel historique qu'il porte lui-même dans ses origines. Fils de ministre des Affaires étrangères, petit-fils d'un Premier ministre qui a participé à la réorganisation de la Mandchourie chinoise occupée par le Japon, il semble vouloir renouer avec ce passé impérial et conquérant. Sa visite au Yasukuni, en avril dernier, avait alerté les médias : le monument consacré aux héros de guerre accueille plusieurs officiers accusés de crimes. Il n'avait pas hésité non plus à se rendre à Iwo Jima avant une rencontre avec le Secrétaire d'Etat américain, rendant hommage aux « héros » tués par les marines lors du débarquement de 1945. Des moyens de gagner les « votes des anciens combattants », assure Guibourg Delamotte. « Son agenda, en matière de politique de défense, est parfaitement légitime : les Chinois ont clairement multiplié les provocations dans la région ! ». « Shinzo Abe est certainement en avance sur l'opinion publique en la matière, confirme de son côté Edouard Pflimlin. Il associe la réforme de la Constitution à un retour du Japon comme puissance régionale affirmée ». Base aérienne de Matsushima. Lors des grandes occasions, les aviateurs japonais peignent des samuraï sur les ailes de leurs avions en fonction des unités : oiseaux de proie, étoiles...Flickr/Sushio Quand l'armée commence à avoir la côte Car si les Japonais restent très largement pacifistes, la perception de la menace chinoise gagne en influence. Dans le même temps, les FAD gagnent en popularité. Leur participation à la réponse lors des grandes catastrophes joue en leur faveur. Face au tsunami qui a ravagé Fukushima, la moitié des forces étaient déployées pour aider la population. « Avant, il était presque honteux de rejoindre l'armée, remarque Edouard Pflimlin. Les gens ne s'en vantaient pas. Aujourd'hui, il y a une vraie fierté à porter l'uniforme ». Face à la multiplication des alertes, les militaires offrent le même témoignage : ils ont enfin le sentiment de remplir la mission qui leur a été confiée, la défense du peuple japonais. « Il y a moins de problèmes de recrutement, poursuit le chercheur. La situation évolue depuis une dizaine d'années ». Il reste pourtant peu probable que l'armée japonaise soit amenée à intervenir, à terme, de manière offensive dans des conflits. « La plupart des officiers que j'ai rencontrés ressemblent presque plus à des diplomates qu'à des militaires », raconte Guibourg Delamotte. Pour les Japonais, même les opérations humanitaires ont mauvaises presse lorsque les risques sont trop grands. Reste que pour les 250 000 hommes et femmes qui portent l'uniforme, la défense de la patrie, s'il le faut face aux Chinois, est une mission sacrée. Une mission qu'ils illustrent très symboliquement en peignant sur les ailerons de leurs avions de combat, des silhouettes de samouraï...
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Romain
December 24, 2013 4:53 AM
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Le drone a été utilisé pour la première fois dans la lutte contre la piraterie. Dans le cadre de l’opération européenne Atalante, la Royal Navy mobilise régulièrement des moyens navals dans la région pour protéger les navires de commerce et éventuellement repousser des attaques des pirates somaliens. Le 17 décembre dernier, le Royal Fleet Auxiliary Cardigan Bay a fait décoller pour la première fois un drone Scaneagle lors d’une opération de surveillance dans la zone. Une fois propulsé depuis son bâtiment d’attache, le drone a évolué jusqu’à 5900 mètres d’altitude. Pour un montant global de 30 millions de livres, la Grande-Bretagne s’est doté de deux drones Scaneagle auprès du constructeur américain Boeing. Chaque appareil doit réaliser 300 heures de vol par mois. Il est piloté depuis une station de contrôle installée sur le bâtiment. Ce premier test opérationnel a été l’occasion de valider les procédures de vol du drone. La Royal navy a précisé que le Scaneagle entrera véritablement en service opérationnel à partir du mois prochain, toujours dans le cadre de la lutte contre la piraterie, de jour comme de nuit. Il sera en mesure d’aller jusqu’à identifier les armes présentes à bord des skiffs des pirates somaliens.
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Romain
December 23, 2013 4:29 AM
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December 20, 2013 5:59 AM
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Moins sophistiqué technologiquement, l'avion du suédois Saab a été préféré au Rafale de Dassault par les Brésiliens mais également par les Suisses. Il permet de remplir les principales missions exigées par les armées tout en étant moins cher. L'industriel suédois Saab a de quoi être heureux. En remportant l'appel d'offres des avions de combat au Brésil face au Rafale de Dassault Aviation et au F-18 de Boeing, il déjoue une nouvelle fois les pronostics. Avec le contrat brésilien, son Gripen remporte sa deuxième compétition à l'international en deux ans. Fin 2011, la Suisse avait également préféré son appareil plutôt que le Typhoon du consortium européen Eurofighter (détenu par EADS, BAE et Finmeccanica) ou le Rafale. L'armée de l'air brésilienne va s'équiper de 36 appareils pour un montant de 4,5 milliards de dollars. Si les négociations aboutissent, les premières machines seront livrées en 2018. Saab a un atout majeur à faire valoir : son prix. Au Brésil, ce critère a été encore déterminant. Le patron de Saab ne s'en était pas caché au moment d'officialiser la nouvelle : "Nous sommes impatients de fournir à l'armée de l'air brésilienne l'avion le plus en pointe et le plus abordable", précisait Håkan Buskhe, le PDG de Saab. "Il n'appartient pas à la même catégorie" Si l'appel d'offres s'est autant prolongé, c'est que les priorités budgétaires de Dilma Rousseff, la présidente brésilienne, portaient avant tout sur la politique sociale et non pas sur l'achat de nouveaux équipements militaires coûteux. Le Rafale, un temps favori après les assurances données en 2009 à Nicolas Sarkozy par l'ancien président Lula, n'était plus le premier choix depuis plusieurs mois. Chez Dassault Aviation, on regrette cette "logique financière" qui favorise le Gripen. "Il n’appartient pas à la même catégorie que le Rafale. Monomoteur et plus léger, le Gripen n’est pas équivalent en termes de performances et donc de prix. Cette logique financière ne prend en compte ni le ratio coût-efficacité favorable au Rafale, ni le niveau de la technologie offerte." Cette logique financière avait déjà primé en Suisse en 2011. Selon des sources proches des négociations, le Gripen avait été le plus mal noté lors des évaluations militaires parmi les trois avions en lice. Avec une offre 25% moins cher, Saab l'avait tout de même emporté sur ses deux concurrents européens. L'avion suédois, moins performant, n'est équipé que d'un seul moteur alors que la concurrence vole bi-motorisée. Il n'emporte que 5,3 tonnes de charge (armements, réservoirs...) contre 9,5 tonnes pour le Rafale. Le delta technologique est tel que 18 Rafale suffisaient à accomplir l'ensemble des missions demandées aux 22 Gripen. Mais le principe de réalité s'est imposé aux militaires suisses. Ils ont opté pour un appareil capable d'accomplir le cahier des charges fonctionnel sans être un bijou de technologie aéronautique. Pour élever la valeur de son offre, Saab procède également à des transferts de technologies poussés. "Le choix a fait l'objet d'études très minutieuses et des considérations qui tiennent compte de la performance , du transfert efficace de la technologie et des coûts d'acquisition et de maintenance. Le choix est basé sur le meilleur équilibre entre ces trois facteurs", a ainsi justifié Celso Amorim, le ministre brésilien de la Défense. Fermez le ban !
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Romain
December 20, 2013 4:32 AM
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Ce C-130 Hercules de l’Armée de l’Air argentine assure le show sur cette piste d’une base aérienne en Antarctique. Pour divertir la foule présente, le pilote a décidé d’effectuer ce qui est aussi appelé un « flat-hatting » : un passage bas à grande vitesse, avec des personnes en-dessous. Le pilote argentin survole la base aérienne de Marambio, sur le territoire antarctique dépendant de l’Argentine. L’avion s’approche lentement de la piste d’atterrissage où quelques personnes se sont amassées. L’appareil passe juste au-dessus de la tête de ce petit groupe. Le tout s’est joué à quelques mètres. L’avion passe ensuite derrière l’horizon (puisque la piste semble être en altitude) avant de réapparaitre bien plus loin. Cette manœuvre est bien connue des pilotes militaires et appelée aussi « fly-by » ou « low pass ». On l’a voit plus fréquemment avec des avions de combats, mais les pilotes de Transall sont aussi adeptes de ce genre de manoeuvre rarement appréciée par leur hiérarchie.
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from Newsletter navale
December 19, 2013 1:13 PM
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(Infodefensa.com) E. Saumeth, Cartagena - The Corporation for Science and Technology Development of the Naval, Maritime and Fluvial Colombia Industry ( Cotecmar ) announced that the new offshore patrol vessel ( OPV ) August 7 could successfully overcome the first sea trials conducted last week. Cotecmar As reported, the new OPV-80 , is already in the final stage of assembly on site at the shipyard, precisely why the tests were carried out to the boat. The results of these were satisfactory, as the ship could perform maneuvers that were developed to measure the capabilities of the ship and allowed to fulfill the first phase of testing with a view to its delivery later this year. The new Patrol Exclusive Economic Zone ( PZE-47 ), has been designed and assembled by the Cotecmar and is the second of a total of six planned by the Colombian Navy. The vessel will be deployed to fulfill missions of surveillance and control of maritime, counternarcotics and defense of national sovereignty spaces. The construction of this vessel, whose hull is numbered 47, began in January 2011, creating about 600 direct and 1,100 indirect jobs, with a positive impact on job creation in Cartagena , which had its best record in recent 10 years coinciding with the development of this project. The platform has the original design class Fassmer 80 of Germany , amended by Cotecmar in Colombia, in order to adapt to the needs of the Navy. It is a ship that combines the triad composed of interdiction command and control platform, the helicopter and a high-speed interceptor boat. Among other capabilities, is ready to carry out tasks of sovereignty, search and rescue, disaster relief, humanitarian aid and protection of natural resources. With the experience gained in building the first ocean vessel Colombian labor and technology, the ARC July 20 , delivered to the Navy in early 2012, the manufacturing process of the ARC August 7 was optimized in time delivery and its electronic and electrical systems.
Via Patrick H.
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