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Today, 2:13 PM
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BAE Systems Australia's VANTAGE Automated Turret System (ATS), developed for the ATLAS Combat Capability Vehicle (CCV), has successfully completed live fire testing in Slovenia.
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Today, 2:11 PM
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The fourth Kronos GM HP radar intended for Italy’s SAMP/T NG system has successfully completed its Factory Acceptance Tests (FAT).
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Today, 2:11 PM
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On 4 June, the United States Department of Defense signed a new contract with Boeing to convert another batch of retired F-16 Fighting Falcon aircraft into QF-16 FSAT (Full Scale Aerial Target) drones.
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Today, 2:10 PM
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Lockheed Martin has completed final assembly of the ninth F-35A Lightning II multi-role combat aircraft for Belgium at its facility in Fort Worth.
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Today, 2:09 PM
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Defence technology company Leidos is developing a new navigation system designed to overcome the military vulnerability of GPS jamming.
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Today, 2:05 PM
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En 2019, l’Agence de l’innovation de défense [AID] confia à Thales le soin de mener le projet DRAGON [démonstrateur radar de nouvelle génération], dont l’objectif était de mettre au point un radar à antennes actives [Active Electronically Scanned Array – AESA] en bande X destiné à équiper les aéronefs légers des forces armées, dont le futur hélicoptère H160M « Guépard » d’Airbus Helicopters. Ces travaux menés dans le cadre de DRAGON ont abouti au AirMaster C. Doté d’une antenne active en deux dimensions [2D] programmable grâce au recours au Silicium-Germanium [SiGe], il affiche des dimensions et une masse réduites par rapport aux autres radars de sa gamme tout en étant moins gourmand en énergie. « Basé sur une technologie d’entrelacement des modes destinée à optimiser ses performances dans toutes les situations opérationnelles, ce radar a été conçu pour être évolutif sans nécessiter de modification matérielle », a expliqué la Direction générale de l’armement [DGA], dans un communiqué diffusé ce 6 juin pour annoncer qu’elle venait de réaliser les premiers essais en vol de l’Airmaster C. « Les essais du radar AirMaster C ont débuté en mai 2025 sur l’hélicoptère ‘banc d’essais’ Puma par les équipes du centre d’expertise et d’essais en vol de la DGA [DGA EV]. L’objectif était de le tester dans un environnement représentatif des missions opérationnelles auquel il sera confronté », a-t-elle en effet indiqué, après avoir précisé qu’elle avait « anticipé le passage à l’échelle de ce projet et accéléré sa maturité technologique en lançant dès 2021 son intégration sur l’hélicoptère Guépard ». Par ailleurs, la puissance de calcul de l’AirMaster C fait qu’il peut « intégrer rapidement des fonctions d’intelligence artificielle », ce qui permettra d’alléger la charge de travail des équipages, les opérateurs ayant ainsi plus de latitude pour se concentrer sur les données collectées et donc pour prendre des décisions plus rapidement. « L’AirMaster C est un radar logiciel intelligent conçu pour réduire la charge de travail de l’équipage. L’autonomie des capteurs, l’auto-apprentissage et la capacité d’analyser et de classer de grands volumes de données, contribueront à accroître les capacités du radar, et permettront par exemple au radar de s’adapter automatiquement aux modes d’utilisation et aux changements de terrain et de domaine », confirme Thales, en livrant plus de précisions. « Modulable, hautement automatisé et performant, AirMaster C contribue à maintenir une surveillance étendue en tout temps et dans tout environnement », résume l’industriel. Selon la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30, 20 H160M Guépard », sur les 169 commandés, devront avoir été livrés au ministère des Armées avant 2030. Et il est question qu’au moins 70 appareils soient opérationnels d’ici 2035. Dans le détail, afin de remplacer ses Gazelle, l’Aviation légère de l’armée de Terre [ALAT] recevra 80 H160M Guépard, qu’elle utilisera pour des missions de reconnaissance armées, d’infiltration de forces spéciales, d’appui-feu et d’appui au commandement. La Marine nationale disposera de 49 exemplaires pour le combat aéromaritime, la protection et le soutien de la force navale, les opérations spéciales et l’action de l’État en mer. Enfin, l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE] prendra possession de 40 appareils pour la surveillance et la défense de l’espace aérien [mission MASA], la recherche et le sauvetage et le renseignement.
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Today, 2:04 PM
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L’Estonie et la France cultivent des relations militaires étroites. Mais c’est l’Italie qui déploiera prochainement dans ce pays balte un système de défense aérienne SAMP/T [Sol-Air Moyenne Portée / Terrestre] « Mamba ». L’annonce a été faite par le ministre transalpin de la Défense, Guido Crosetto, à l’issue d’une rencontre avec son homologue estonien, Hanno Pevkur, en marge d’une réunion tenue à Bruxelles, le 5 juin. « Nous avons réaffirmé que l’Alliance atlantique est le pilier de notre défense collective et nous nous sommes engagés à faire davantage d’efforts pour renforcer les capacités communes de dissuasion et de défense », ont d’abord souligné les deux ministres, via un communiqué commun. « L’Italie a confirmé son engagement à déployer cette année en Estonie le système de défense aérienne et antimissile longue portée SAMP/T, en synergie avec la responsabilité italienne dans la mission renforcée de police du ciel de l’Otan dans le pays », est-il précisé dans ce texte. Initialement, l’armée italienne [Esercito Italiano] disposait de cinq SAMP/T, affectés au 4e régiment d’artillerie antiaérienne Peschiera ». Des éléments de l’un d’entre eux ont été envoyés en Ukraine, dans le cadre d’une coopération avec la France. Puis, en mai 2024, Rome a fait part de son intention de céder une autre batterie – complète – à Kiev. Pour rappel, produit par le consortium franco-italien Eurosam, le SAMP/T est composé de cinq à dix éléments, dont un module d’engagement, un radar en bande X associé à un système d’identification ami/ennemi, un générateur d’électricité, un module de rechargement terrestre et un à six modules de lancement pouvant tirer chacun jusqu’à huit missiles intercepteurs Aster 30. L’an passé, l’Italie a notifié à Eurosam, via l’Organisation conjointe de coopération en matière d’armement [OCCAr], une commande de quatre SAMP/T de nouvelle génération pour les besoins de l’Esercito Italiano. Et cela après avoir signé un contrat pour cinq autres systèmes, destinés cette fois à l’Aeronautica Militare. « Le déploiement du SAMP/T sur la base aérienne d’Ämari est un signe de l’indivisibilité de la sécurité des alliés et souligne la détermination de l’Alliance à protéger le territoire, les populations et les forces alliées contre les menaces aériennes, grâce à une défense aérienne et antimissile robuste », ont fait valoir MM. Crosetto et Pevkur. L’enjeu est d’assurer la protection du territoire estonien contre d’éventuels tirs de missiles par le système Iskander [code Otan : SS-26 Stone], lequel repose sur des missiles 9M723. Ayant une trajectoire quasi-balistique pouvant être modifiée en vol, ces derniers emportent une charge militaire conventionnelle de 500 kg ou une ogive nucléaire. Leur portée avoisine les 500 km. Comme l’a récemment expliqué la ERR, la radio-télévision publique estonienne, « un missile – comme l’Iskander – tiré depuis la ville russe de Louga, à environ 100 kilomètres de la frontière avec l’Estonie pourrait atteindre une cible à Ämari en quatre minutes. Avec sa trajectoire imprévisible, le nombre de systèmes de défense aérienne capables de le contrer efficacement est relativement faible ». D’où l’importance du renfort fourni par l’armée italienne. Un tel système est « essentiel pour assurer la défense collective », a d’ailleurs commenté le ministre estonien. « Nous verrons le système de défense aérienne SAMP/T en Estonie pour la première fois cet automne. Des avions de chasse italiens patrouilleront également dans notre espace aérien au même moment », a-t-il souligné. Le déploiement d’un SAMP/T italien à Ämari a été annoncé quelques semaines après que l’Estonie vient de lancer d’un programme devant lui permettre de se doter d’une telle capacité. Trois solutions doivent être évaluées, à savoir le SAMP/T NG, le Patriot américain et le système « Fronde de David », développé conjointement par Rafael Advanced Defense Systems et RTX [ex-Raytheon].
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Today, 2:03 PM
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En 2016, la décision du gouvernement polonais de mettre un terme aux négociations portant sur l’achat de 50 hélicoptères H225M Caracal auprès d’Airbus Helicopters fit couler beaucoup d’encre et jeta un froid sur les relations entre Paris et Varsovie. Cette annonce était attendue dans la mesure où, à l’époque, la nouvelle majorité gouvernementale n’avait pas caché ses préférences pour les deux concurrents d’Airbus Helicopters, à savoir Sikorsky [filiale de Lockheed Martin] et Leonardo, produisant respectivement les hélicoptères S-70 Black Hawk et AW-149 en Pologne, en particulier dans des circonscriptions plutôt favorables au parti « Droit et Justice » [PiS]. Par la suite, seulement huit S-70 Black Hawk furent commandés pour les besoins des forces spéciales polonaises [WS pour Wojska Specjalne] auprès du constructeur PZL Mielec [filiale de Lockheed Martin]. Puis, en novembre 2022, le ministère polonais de la Défense notifia un contrat à PZL Swidnik [filiale de Leonardo] pour la livraison de trente-deux AW-149. Et de préciser que ces appareils allaient être utilisés pour « le transport, l’appui aérien ainsi que pour les missions de recherche et de sauvetage ». Cependant, le S-70 Black Hawk n’avait pas encore dit son dernier mot. En 2023, l’agence polonaise de l’armement fit savoir qu’une procédure d’achat pour trente-deux exemplaires supplémentaires avait été lancée. Ces appareils « seront adaptés pour opérer à la fois avec les AW-149 et les hélicoptères d’attaque AH-64E Guardian [ou Apache] », dont 96 étaient alors attendus. Seulement, cette procédure pourrait ne pas aller jusqu’au bout. En effet, le 6 juin, alors qu’il avait d’abord été annoncé qu’elle allait être annulée, le ministère polonais de la Défense a précisé qu’elle serait finalement suspendue afin de trouver des marges de manœuvre pour financer des priorités plus urgentes. « Contrairement à ce qu’écrivent certains médias et à ce qu’affirment certains membres de l’opposition, nous n’avons résilié aucun contrat pour les hélicoptères S-70i », a affirmé Paweł Bejda, le vice-ministre polonais de la Défense. « La situation géopolitique, la guerre en Ukraine, les achats de la Russie, l’équipement de son armée et les missions de nos forces aériennes dans le cadre de l’Otan, sont autant de facteurs qui influencent » nos décisions, a-t-il ajouté. « Nous veillons à ce que chaque zloty soit dépensé de manière responsable. […] Nous réparons un certain gâchis en matière d’approvisionnement dont le précédent gouvernement est responsable », a insisté M. Bejda. De son côté, le chef d’état-major des forces armées polonaises, le général Wiesław Kukuła, a expliqué qu’il était nécessaire de « modifier les priorités » en matière d’acquisition afin de s’adapter aux défis de la guerre future et de tenir compte de l’arrivée prochaine des chasseurs-bombardiers F-35A et des hélicoptères [d’attaque] AH-64 ainsi que de l’admission au service de trois frégates de la classe « Miecznik ». Dans le détail, plutôt que des S-70i Black Hawk, l’état-major polonais souhaite acquérir, à court et moyen termes, des hélicoptères pour la formation et l’entraînement, des hélicoptères embaqués, des hélicoptères de transport lourd et des hélicoptères de recherche et de sauvetage [SAR]. « Ce programme prévoit également l’acquisition de plateformes dédiées aux opérations spéciales. Il s’agit notamment d’un hélicoptère polyvalent, d’un hélicoptère léger et d’un hélicoptère de soutien polyvalent pour les besoins des forces terrestres », a complété le général Kukuła. Mais la première des priorités est l’achat d’hélicoptères pour assurer la formation et l’entraînement des futurs équipages des AW-149, AW-101 et autres AH-64E Apache, les appareils actuellement affectés à cette missions, à savoir le SW-4 et le Mi-2, n’étant plus adaptés. A priori, le H145M d’Airbus Helicopters pourrait tirer son épingle du jeu, d’autant plus qu’il peut être utilisé comme une plateforme légère de combat. Même chose pour les hélicoptères embarqués, les Kaman SH-2G mis en œuvre par les deux frégates de classe Oliver Hazard Perry ayant désormais fait leur temps. « La Pologne doit être capable de protéger les infrastructures critiques et de suivre les objets de surface et sous-marins », fait valoir l’état-major polonais.
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Today, 1:59 PM
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Ces dernières années, plusieurs initiatives ont été lancées dans le domaine de la robotique militaire terrestre, comme, en France, avec les programmes FURIOUS [FUturs systèmes Robotiques Innovants en tant qu’OUtilS au profit du combattant embarqué et débarqué] et DROIDE ou encore la création de la section Vulcain au sein de l’armée de Terre et l’organisation du défi CoHoMa [Collaboration Homme – Machine], dont la dernière édition vient de se terminer. Les industriels ont étoffé leur offre dans ce domaine. C’est ainsi le cas de KNDS France, qui s’est associé avec SERA Ingénierie pour proposer le robot « CENTURIO », ainsi que celui d’Arquus, avec le « Drailer » qui, selon le général Bruno Baratz, le « patron » du Commandement du combat du futur [CCF] « trouve toute sa place pour contribuer à la politique de robotisation de l’armée de Terre ». Des centres de recherche, à l’image de l’Institut franco-allemand de Saint-Louis avec l’Aurochs, sont impliqués dans la mise au point de briques technologiques. Cette effervescence est encouragée par la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30, qui prévoit une enveloppe de 5 milliards d’euros pour doter les forces armées de systèmes robotisés. Seulement, s’ils apportent une réelle plus-value pour certaines missions, telles que l’ouverture d’itinéraire, le déminage ou encore le « brêchage », certains robots terrestres [ou UGV, pour Unmanned Ground Vehicle] ne sont pas forcément adaptés pour effectuer les tâches pour lesquelles ils ont été conçus. Et leur intérêt pour des actions de combat, en l’état actuel des technologies, reste encore à démontrer. En effet, c’est ce qui ressort du retour d’expérience [RETEX] de la guerre en Ukraine. Certes, lors du dernier point presse du ministère des Armées, le directeur du Centre interarmées de concepts, de doctrines et d’expérimentations [CICDE], le général Vincent Breton, a souligné que des drones évoluent « dans les trois milieux de confrontation traditionnelle, à savoir le milieu terrestre, le milieu maritime et surtout le milieu aérien ». Mais, ceux qu’il appelle « roulants » [c’est-à-dire les UGV], utilisés surtout à des fins logistiques, font l’objet d’un usage limité par les deux belligérants. « D’une manière générale, l’usage de ces drones terrestres reste assez limité du fait de leur difficulté à se mouvoir sur des terrains très accidentés sur la ligne de front. Et, surtout, de leur grande vulnérabilité face aux drones aériens, qui représentent une menace omniprésente », a développé le général Breton. Ces UGV, dont quelques exemplaires armés ont été utilisés en Ukraine, sont d’autant plus vulnérables qu’ils se déplacent lentement. Pour les télépilotes de drones aériens, les détruire est un « jeu d’enfant », a souligné le directeur du CICDE. Aussi, les missions logistiques sont le plus souvent assurées par des drones aériens, qui larguent des « sacs de ravitaillement » au-dessus des positions occupées par les combattants. En outre, a-t-il insisté, les UGV ont « des difficultés à se déplacer sur un champ de bataille qui a été largement ‘travaillé’ par des tirs d’artillerie et qui est donc très accidenté. Ce que nous disent les Ukrainiens, c’est que ces drones se retournent assez régulièrement ». Qui plus est, a ajouté le général Breton, il n’est pas non plus « facile de les téléopérer parce qu’il y a souvent des masques sur le terrain, à cause du relief et des arbres ». Quelles seront les conséquences de ce RETEX sur les projets de l’armée de Terre en matière de robotique terrestre ? Lors d’une audition au Sénat, en novembre 2024, son chef d’état-major de l’armée de Terre [CEMAT], le général Pierre Schill, avait d’abord souligné leur intérêt pour les missions des unités du génie, dans la mesure où ils permettent « ne pas exposer inutilement des hommes ». Mais il avait aussi évoqué la « fonction logistique », notamment « pour alimenter les flux entre l’arrière et l’avant, comme par exemple le projet de fabriquer des robots porteurs capables de suivre un véhicule blindé qui ouvrira la route ». A priori, il n’est donc pas question de les faire évoluer sur des terrains accidentés. Quant aux robots terrestres armés, le CEMAT avait estimé que leur mise en œuvre prendrait du temps. « Des difficultés restent à résoudre s’agissant du déplacement et du contrôle du tir », avait-il dit aux sénateurs, avant de rappeler que l’objectif était toutefois de « parvenir à de premières unités robotisées au terme de la LPM ».
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Today, 1:54 PM
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Ukraine also launched a flurry of drone attacks it said were preemptive against long-range Russian aviation bases.
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Today, 1:51 PM
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Alors qu’un troisième sous-marin de type Reis vient d’être lancé, la Turquie a annoncé un nouveau programme de construction locale de sous-marin, nucléaire cette fois. Un grand pas vers la maîtrise de cette technologie utilisée par une poignée de pays dans le domaine militaire.
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Today, 1:48 PM
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Exail, Alseamar, Couach, Diodon, Sea Owl, Sirehna et Thales vont fournir à l’Otan et à la Marine nationale des drones pour surveiller et protéger les infrastructures sous-marines en mer Baltique. Début des opérations sous 15 jours, à bord du bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain (BSAM) « Rhône ».
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Today, 1:48 PM
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Les États-Unis ont révélé avoir réalisé, début février, ce qui constitue vraisemblablement le bombardement le plus intense jamais effectué depuis un porte-avions : 56 tonnes d’explosifs largués par 16 chasseurs Super Hornet sur l’État islamique en Somalie.
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Today, 2:13 PM
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Airbus has signed a contract with the German procurement agency BAAINBw to equip 23 A400M aircraft of the German Air Force with Directed Infrared Counter Measures (DIRCM).
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Today, 2:11 PM
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The United States’ proposed “Golden Dome” missile defence system could eventually be capable of countering attacks like Ukraine’s recent drone strike on Russian airbases, the top US Air Force officer has said.
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Today, 2:11 PM
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he United States Navy has announced that its future sixth-generation fighter programme, F/A-XX, has entered the phase of operational testing and evaluation.
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Today, 2:10 PM
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At CANSEC 2025, Canadian military vehicle manufacturer Roshel signed an exclusive agreement with ST Engineering to produce the ExtremV platform in Canada.
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Today, 2:09 PM
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Norway has announced plans to purchase approximately 80 new CV90 combat vehicles for its Armed Forces as part of a joint procurement with five allied countries.
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Today, 2:05 PM
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Après les combats qui ont opposé ses forces aériennes à celles de l’Inde, le 7 mai, le Pakistan a affirmé avoir abattu six avions de combat indiens, grâce notamment à ses Chengdu J-10 armés de missiles air-air à longue portée PL-15 fournis par la Chine. Cette dernière a profité de l’occasion pour lancer des attaques « informationnelles » contre le Rafale. Attaques auxquelles les autorités français n’ont pas répondu. Était-il d’ailleurs nécessaire de le faire puisque l’Indonésie a récemment affiché son intention d’aller au-delà des quarante-deux exemplaires qu’elle a déjà commandés auprès de Dassault Aviation ? Cela étant, la semaine passée, le chef d’état-major des forces armées indiennes, le général Anil Chauhan, a réfuté le bilan avancé par le Pakistan… avant d’admettre que l’Indian Air Force avait bel et bien perdu des avions de combat lors de l’opération Sindoor. Jusqu’alors, il était officieusement question de trois appareils abattus. « Ce qui est important, ce n’est pas qu’il y ait eu des avions abattus… mais de savoir pourquoi ils l’ont été », a dit le général Chauhan, lors d’un entretien diffusé par l’agence Bloomberg, le 31 mai. « La bonne nouvelle, c’est que nous avons été capables de comprendre notre erreur tactique, de la corriger et de relancer notre opération en faisant voler tous nos avions à nouveau pour effectuer des frappes à longue portée […] contre des aérodromes fortement défendus, à 300 km de profondeur, avec une précision métrique », a-t-il ajouté. Quoi qu’il en soit, l’Indian Air Force ne possède pas, pour le moment, de chasseur-bombardier de cinquième génération. S’il a récemment lancé le développement de l’AMCA [Advanced Medium Combat Aircraft], le ministère indien de la Défense pourrait être tenté de chercher une solution intérimaire pour y remédier. En tout cas, à en juger par quelques tribunes publiées par la presse locale, ce sujet fait débat… Et il n’est pas impossible qu’il fasse l’objet d’influences extérieures. Ainsi, un ancien haut responsable de l’IAF, le général Sanjeev Kapoor, a récemment plaidé pour l’achat d’avions de combat Su-57E « Felon » de conception russe… alors que, quelques semaines avant l’opération Sindoor, Washington avait proposé de vendre à New Delhi des F-35A. Ce débat risque de prendre de l’ampleur après qu’un haut responsable du gouvernement pakistanais a confié à Jane’s que la Chine s’apprêtait à livrer des chasseurs-bombardiers de cinquième génération FC-31 « Gyrfalcon » [ou J-35A] au Pakistan, alors que cet avion n’est pas encore entré en service au sein de l’Armée populaire de libération [APL] Ces appareils « commenceront à arriver d’ici quelques mois », a avancé ce haut responsable, avant d’affirmer que des pilotes pakistanais se trouvaient actuellement en Chine pour apprendre à les utiliser. A priori, les FC-31 destinés au Pakistan seront armés du missile air-air PL-17, d’une portée de 400 km. Cette annonce n’est pas très surprenante : lors d’une cérémonie organisée le 2 janvier 2024 à Rawalpindi pour marquer l’entrée en service du Chengdu J-10, le commandant de la force aérienne pakistanaise, le général Zaheer Ahmad Babar Sidhu, avait affirmé que des FC-31 seraient « bientôt » livrés au Pakistan. « Les bases de l’acquisition du chasseur furtif FC-31 ont déjà été posées. Cet appareil fera partie de la flotte de la Pakistan Air Force [PAF] dans un avenir proche », avait-il affirmé. Et cela alors que, à l’époque, la production du « Gyrfalcon » n’avait pas encore commencé. Si elle est confirmée, la livraison de ces FC-31/J-35A – il est question d’une trentaine d’exemplaires – permettra sans doute à la PAF de retirer du service une partie de ses vénérables Mirage III et Mirage 5, voire certains de ses F-16.
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Today, 2:03 PM
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Le baptême de promotion organisé ce 6 juin par l’École de formation des sous-officiers de l’armée de l’Air & de l’Espace [EFSOAAE], implantée sur la base aérienne 721 de Rochefort-Saint-Agnant, aura malheureusement été affecté par un drame. En effet, selon un communiqué diffusé par l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE], un ancien avion d’entraînement, de type Morane-Saulnier 733 « Alcyon », s’est écrasé dans un champ situé dans les environs immédiats de la BA 721, alors qu’il participait à une manifestation aérienne dans le cadre de ce baptême de promotion. « Le pilote civil à bord est décédé. Aucune victime ni dégâts matériel n’est à déplorer au sol », a laconiquement précisé l’AAE. « Le périmètre de l’accident est en cours de sécurisation. Des enquêtes sont ouvertes pour faire la lumière sur les raisons de cet accident », a-t-elle ajouté. « L’avion a voulu faire demi-tour et a décroché d’un coup, d’une hauteur de 300 mètres. Et puis il y a eu un grand boum », a confié un témoin au quotidien Sud Ouest. Mis en service en 1952, le MS.733 « Alcyon » a notamment été utilisé par l’École de l’Air et l’Aéronautique navale. Propulsé par un moteur Potez 6D six cylindres en ligne refroidi par air, il peut voler à la vitesse maximale de 240 km/h, à 4 800 mètres d’altitude. Une version armée a été engagée en Algérie, pour des missions anti-guérilla. Au total, 200 exemplaires furent livrés aux forces françaises. Selon les photographies de l’épave publiées par les médias locaux, le MS.733 en question portait l’immatriculation « F-AZXU », le numéro 141 ainsi que l’insigne de l’École de l’air. Il était la propriété de l’Escadrille Orion, une association fondée pour la « sauvegarde des avions anciens » et basée à l’aérodrome de Marmande. « J’adresse mes plus sincères condoléances à la famille, aux proches ainsi qu’aux camarades d’Alexandre Fritz, tragiquement disparu ce vendredi 6 juin. […] Il avait quitté le service actif depuis plusieurs années mais aura servi avec passion l’armée de l’Air et de l’Espace jusqu’au bout », a commenté le général Jérôme Bellanger, le chef d’état-major de l’AAE. « Il a d’abord été élève mécanicien, passé alors sur les bancs de Rochefort, comme les jeunes sous-officiers qu’il était venu saluer aujourd’hui. Il est ensuite devenu officier renseignement. D’opérations en sélections, diplômé de l’école de guerre, il était devenu l’un des plus grands spécialistes du domaine de la guerre électromagnétique, reconnu comme tel au-delà de nos frontières », a-t-il rappelé.
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Today, 2:01 PM
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L’opération « Toile d’araignée » menée le 1er juin par les services de renseignement ukrainiens [SBU] contre cinq bases aériennes abritant des bombardiers stratégiques russes n’a sans doute pas causé autant de dégâts qu’annoncé par Kiev. Selon les sources ouvertes, et en particulier l’imagerie satellitaire, au moins douze appareils ont été détruits [sept Tu-95 « Bear », quatre Tu-22 « Backfire » et un avion de transport AN-12]. Les deux avions d’alerte avancée A-50 qui auraient été touchés n’étaient, a priori, pas opérationnels. Si le bilan – qui doit encore être consolidé – n’est pour le moment pas celui avancé par le SBU, qui avait initialement revendiqué la destruction de 41 bombardiers, il n’en reste pas moins que, en ayant recours à des drones FPV logés dans des camions civils amenés au plus près des bases visées, l’opération « Toile d’araignée » aura été l’une des plus audacieuses de la guerre en Ukraine. Et probablement qu’elle constituera une source d’inspiration à l’avenir. En tout cas, trois jours après les attaques contre l’aviation stratégique russe, le ministère britannique de la Défense [MoD] a émis un « avis de préinformation » à l’intention des industriels dans le cadre du projet « VOLLEY ». Ce dernier vise à développer un système de drones à lancement rapide pouvant se loger dans une camionnette « ordinaire » de type Mercedes Sprinter ou Ford Transit. Dans le détail, il s’agit de faire décoller cinq drones à voilure fixe en quatre minutes, puis de les récupérer dans un délai maximum de dix minutes après le premier lancement. Et cela « à partir d’une position statique et horizontale ». « Le lanceur doit nécessiter un temps de configuration minimal, puis lancer les drones après instruction de l’utilisateur. L’intervalle entre chaque lancement ne doit pas dépasser une minute », précise l’avis du MoD. En outre, ce système doit être capable de lancer les appareils à une vitesse d’au moins 60 m/s [soit 200 km/h], sans que ceux-ci ne soient équipés d’un propulseur de type fusée RATO. Ces cinq drones, dits de « référence », devront chacun avoir une masse inférieure à 125 kg pour une envergure maximale de 3,3 m, une longueur de 2,5 m et une hauteur de 50 cm. A priori, ils seront réutilisables étant donné qu’il est question de pouvoir les récupérer. Aussi, il est probable qu’ils soient principalement utilisés à des fins de renseignement. Comme il s’agira de l’utiliser « dans un environnement à haut risque avec une surveillance ennemie persistante », ce lanceur devra présenter une signature [acoustique, thermique et visuelle] la plus faible possible. D’où le recours à une camionnette « ordinaire » puisqu’il devra se « cacher à la vue de tous ». « L’ensemble du système de lancement doit être robuste, simple à assembler et capable de lancer de nombreux drones sans avoir à remplacer de pièces usées. Il doit également résister aux turbulences des réacteurs, aux fuites de carburant, aux dommages liés à la manutention, etc. », insiste l’avis du MoD. Le projet VOLLEY prévoit l’acquisition d’un minimum de vingt lanceurs de drones, pour un coût unitaire de 300 000 livres sterling. Le MoD espère obtenir les premiers exemplaires, au plus tard, en janvier 2026.
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Today, 1:54 PM
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Including the former HMS Swiftsure, the Royal Navy has a backlog of 23 retired nuclear-powered subs that it needs to dispose of. Including the former HMS Swiftsure, the Royal Navy has a backlog of 23 retired nuclear-powered subs that it needs to dispose of.
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Today, 1:53 PM
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The latest image taken of the jet while on the ground appears to show new details, including two smaller weapons bays straddling a large main bay.
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Today, 1:49 PM
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La Chine rattrape année après année son retard par rapport aux États-Unis sur le créneau des porte-avions. Le prochain sera doté de catapultes électromagnétiques et propulsé par l’énergie nucléaire. Des caractéristiques le rapprochant des Ford, la dernière classe de porte-avions de l’US Navy, dont les détails de construction ont en effet pu inspirer les ingénieurs chinois…
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Today, 1:48 PM
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Le chantier français Naval group a mis à l’eau officiellement, mercredi 4 juin à Lorient, la troisième et dernière frégate de défense et d’intervention (FDI) prévue pour la Grèce dans le contrat « de base ». Car une option pour une quatrième unité est déjà prévue, avant une potentielle commande supplémentaire de trois bâtiments.
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