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November 22, 2013 8:54 AM
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Le cinquième prototype de T-50, désigné T-50-5, a fait son premier vol aujourd'hui, dans l'usine de Sukhoï à Komsomolsk-sur-Amour, en Sibérie. La campagne d'essais en vol du futur avion de combat russe doit encore faire intervenir un sixième et dernier prototype. Ce dernier doit voler l'an prochain. Sa définition devant être plus proche de celle des avions de série, il devrait réaliser l'essentiel de ses essais en vol en Inde sous la houlette de HAL. Fort d'un partenariat, qui reste encore à signer, il est en effet prévu que New Dehli se dote d'une version spécifique de l'avion, pour le moment baptisé PMF (Prospective Multirole Fighter) ou Type 79L, qui serait notamment doté d'un radar différent. A ce jour, nul ne sait vraiment combien d'heures d'essais en vol ont été réalisées par l'ensemble des prototypes de T-50. En juin dernier, la direction de Sukhoï avait déclaré que 500 heures d'essais en vol avaient été menées. Pour autant, ce chiffre inclue également les vols réalisés avec un Su-27M servant de banc d'essai volant pour le moteur 117, le moteur actuel du T-50. Du coté de Moscou, l'objectif est toujours d'acquérir un premier lot de 6 à 10 avions pour les essais d'évaluation opérationnelle, puis 60 exemplaires pour la force aérienne russe dès 2016, date à laquelle sera prononcée une première capacité opérationnelle. D'ici là, un premier avion pourrait également être confié au polygone d'essais d'Aktoubinsk pour de premiers essais sous la houlette de la force aérienne russe.
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November 22, 2013 8:46 AM
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Un arrêté a été publié aujourd’hui au JO. La très discrète Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense (DPSD – Voir son site) se modernise dans son fonctionnement et dans son organisation et elle le fait savoir à travers un arrêté paru ce jour au Journal Officiel. En 2014, les 1130 personnels civils et militaires du Service seront répartis sur 48 sites métropolitains et outre-mer. Sa mission consiste principalement à la sécurité des personnels et des sites du ministère de la Défense. Elle travaille aussi quotidiennement avec les industriels exerçant dans le secteur de l’armement dans le cadre de sa mission de contre-ingérence. Arrêté du 22 octobre 2013 portant organisation de la direction de la protection et de la sécurité de la défense Article 1 I. ― Pour l’exercice des attributions qui lui sont confiées par les articles D. 3126-5 à D. 3126-8 du code de la défense, le directeur de la protection et de la sécurité de la défense dispose : 1° D’une direction, organisme d’administration centrale ; 2° D’organismes extérieurs relevant directement du directeur : a) Les directions zonales de protection et de sécurité de la défense Paris, Nord et Est, Sud et Sud-Est, Sud-Ouest, Ouest ; b) La direction de la sécurité économique en zone de défense et de sécurité de Paris ; c) Les postes de protection et de sécurité de la défense en métropole, dans les zones de défense et de sécurité d’outre-mer ; d) Les postes de protection et de sécurité de la défense auprès des forces françaises à l’étranger. II. – La direction de la protection et de la sécurité de la défense peut déployer des détachements de contre-ingérence sur les théâtres d’opérations extérieures dans les conditions définies par le chef d’état-major des armées et le directeur de la protection et de la sécurité de la défense. Article 2 Le directeur de la protection et de la sécurité de la défense est assisté d’un adjoint qui le seconde et le supplée. L’adjoint au directeur a autorité sur l’ensemble du service ; il est également sous-directeur de la contre-ingérence. L’adjoint au directeur est notamment chargé de coordonner l’activité opérationnelle du service. Le directeur de la protection et de la sécurité de la défense est également assisté par le sous-directeur de la stratégie et des ressources et le sous-directeur des centres nationaux d’expertises, qui le suppléent en cas d’absence ou d’empêchement de l’adjoint au directeur, sous-directeur de la contre-ingérence. Article 3 La direction prévue au 1° du I de l’article 1er du présent arrêté comprend : ― la sous-direction de la contre-ingérence ; ― la sous-direction de la stratégie et des ressources ; ― la sous-direction des centres nationaux d’expertises. En outre, sont directement rattachés au directeur de la protection et de la sécurité de la défense : ― un cabinet ; ― une inspection, chargée de l’inspection générale du service, et notamment des questions de sécurité. Article 4 La sous-direction de la contre-ingérence est chargée : 1° De recueillir et d’exploiter le renseignement, afin notamment de prévenir les menaces susceptibles de porter atteinte aux intérêts de la défense et à la sécurité nationale ; 2° De conduire les missions confiées à la direction de la protection et de la sécurité de la défense ; 3° De contribuer aux relations de la direction de la protection et de la sécurité de la défense avec les autres services spécialisés de renseignement ; 4° De participer à l’élaboration et au contrôle des mesures de sécurité relatives à la protection des installations militaires et industrielles de défense ; 5° De contribuer au contrôle et à la surveillance du commerce des armements. Article 5 I. ― La sous-direction de la stratégie et des ressources est chargée : 1° De mener les études générales et l’appui à la gouvernance ; 2° D’assurer une fonction de conseil, d’expertise et d’assistance juridique, notamment dans le domaine opérationnel, et, à ce titre, participe, en liaison avec les organismes ministériels compétents, à la défense de l’administration ainsi qu’à la protection juridique des agents ; 3° D’assurer les fonctions d’inspection, d’audit et de contrôle interne ; 4° De proposer la politique de la direction de la protection et de la sécurité de la défense en matière de ressources humaines et d’en conduire la mise en œuvre ; 5° D’organiser la sélection du personnel militaire employé par la direction de la protection et de la sécurité de la défense et d’assurer le recrutement du personnel civil employé par le service ; 6° De gérer le personnel militaire et civil de la direction de la protection et de la sécurité de la défense et de mettre en œuvre les actions de formation le concernant ; 7° Pour tout budget opérationnel de programme relevant de la direction de la protection et de la sécurité de la défense, de diriger les travaux relatifs : a) A la programmation des crédits et des emplois ; b) A leur répartition entre les unités opérationnelles ; c) A leur mise à disposition auprès des responsables d’unités opérationnelles ; 8° D’exécuter des dépenses et des recettes de la direction de la protection et de la sécurité de la défense ; 9° De passer les marchés propres à l’action du service ; 10° D’assurer le soutien logistique du service et de veiller à l’application des règles relatives à l’hygiène et à la sécurité des conditions de travail. II. – Le sous-directeur représente la direction de la protection et de la sécurité de la défense au comité pédagogique de l’académie du renseignement. Article 6 La sous-direction de la stratégie et des ressources comprend : 1° La division de la gouvernance, qui regroupe : a) Le bureau « études générales » ; b) Le bureau « affaires juridiques » ; c) Le bureau « pilotage, synthèse et contrôle interne » ; 2° La division des ressources humaines, qui regroupe : a) Le bureau « gestion prévisionnelle et pilotage de la masse salariale » ; b) Le bureau « administration du personnel marine, air et direction générale de l’armement » ; c) Le bureau « administration du personnel terre et gendarmerie » ; d) La section « administration du personnel civil » ; 3° La division soutien et finances, qui regroupe : a) Le bureau « budget, finances » ; b) Le bureau « marchés » ; c) Le bureau « logistique » ; d) Le centre de restauration ; 4° Le pôle formation et instruction. En outre, la sous-direction dispose de chargés de mission. Article 7 I. ― La sous-direction des centres nationaux d’expertises est chargée : 1° De mettre en œuvre les procédures de contrôle de sécurité des personnels civil et militaire du ministère de la défense, du personnel militaire de la gendarmerie et du personnel des entreprises en relation avec la défense ; 2° D’assurer une veille permanente sur les événements susceptibles d’intéresser le service ; 3° D’appuyer la conduite des opérations ; 4° De réaliser des missions d’inspection, d’audit et de contrôle concourant à la sécurité des installations, des informations et des systèmes d’information du ministère de la défense et de l’industrie de défense ; 5° D’assurer la direction, l’exploitation, la sécurité et le maintien en condition opérationnelle des systèmes d’information et de communication de la direction de la protection et de la sécurité de la défense. II. – Le responsable de la sous-direction des centres nationaux d’expertises assiste le directeur de la protection et de la sécurité de la défense en sa qualité d’autorité qualifiée des systèmes d’information. Article 8 La sous-direction des centres nationaux d’expertises comprend : 1° Le centre national des habilitations défense, qui regroupe : a) Le bureau « commandement » ; b) Le bureau « contrôle au recrutement » ; c) Le bureau « protection du personnel défense » ; d) Le bureau « protection du personnel industrie » ; e) Le bureau « gestion des archives » ; 2° Le centre des moyens de recherche, qui regroupe : a) Le bureau « veille » ; b) Le bureau « recherche » ; 3° Le centre du conseil, de la prévention et des inspections, qui regroupe : a) La section « sécurité physique » ; b) La section « cybersécurité » ; c) La section « contrôles techniques » ; d) La section « recherches multitechniques » ; 4° Le centre des systèmes d’information et de communication, qui regroupe : a) Le bureau « informatique » ; b) Le bureau « télécommunications » ; c) Le bureau « sécurité des systèmes d’information » ; d) Le bureau « appui ». Article 9 Les conditions d’emploi du personnel du service sont précisées par instruction du directeur de la protection et de la sécurité de la défense. Article 10 Toutes instructions, tous renseignements et tous documents ou supports relatifs aux missions, aux objectifs, à l’organisation et au fonctionnement de la direction de la protection et de la sécurité de la défense font l’objet d’une classification effectuée au moins au niveau confidentiel défense dans les conditions prévues par une instruction classifiée et non publiée du ministre de la défense. Article 11 Sont abrogés : ― l’arrêté du 29 novembre 2001 portant organisation de la direction de la protection et de la sécurité de la défense ; ― l’arrêté du 29 novembre 2001 portant organisation des sous-directions de la direction de la protection et de la sécurité de la défense.
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November 22, 2013 6:55 AM
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November 22, 2013 6:11 AM
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C'est une tendance lourde dans l'aviation de combat : l'ajout de réservoirs conformes (ou CFT pour Conformal Fuel Tanks). Dernier exemple en date : l'Eurofighter, dont une maquette à l'échelle 1 est exposée au salon de Dubai avec ces fameux réservoirs qui ont la particularité "d'épouser" le fuselage de l'appareil. Leur principal intérêt : se substituer aux réservoirs pendulaires, habituellement emportés sous voilure, et ainsi libérer des points d'emport pour l'armement. Les réservoirs conformes de l'Eurofighter emportent chacun 1000 litres de kérosène et sont installés sur le dessus du fuselage. Ils s'intègrent dans une configuration de frappe longue portée, où l'avion emporterait deux missiles de croisière Storm Shadow sous voilure. C'est une configuration d'armement inédite, et l'intégration du missile de MBDA a débuté en Italie à la demande de l'Arabie Saoudite, avec de premiers vols d'essais imminents. Le Rafale aussi l'avait envisagé. Dassault Aviation a également envisagé et testé l'intégration de tels réservoirs sur le Rafale. Des essais en vol ont même eu lieu avec le Rafale B01, le 18 avril 2001 à Istres, où il fut doté de deux CFT de 1150 litres chacun. Ainsi équipé, le Rafale aurait pu emporter jusqu'à 10800 litres (avec trois réservoirs pendulaires), sans pour autant compromettre sa capacité à voler à vitesse supersonique en cas de besoin. A l'époque, le constructeur français avait d'ailleurs conclu que cette configuration d'emport en carburant était également idéale pour les frappes à longue portée. L'intégration de CFT sur Rafale ne fut néanmoins jamais poussée jusqu'à la mise en service, et les essais de ceux-ci n'allèrent jamais jusqu'à l'intégration de ces réservoirs au circuit carburant de l'avion. Pour l'instant, aucune compétition ou prospect export n'a nécessité de ressortir ce projet du carton à dessins. Les Américains sont les spécialistes Plus généralement, les Américains sont spécialistes en la matière puisque c'est ce type de réservoir qui a permis au F-15 de devenir un bombardier avec l'avènement du Strike Eagle, tandis qu'ils font partie intégrante des configurations export des plus récents F-16 dont le succès commercial n'est plus à démontrer. Des réservoirs conformes ont également été testé en vol sur le Super Hornet. En fait, les CFT, par rapport aux réservoirs classiques, ont même plutôt tendance à améliorer l'aérodynamique d'un avion, en réduisant la trainée et en limitant l'apparition des ondes de choc en régime transsonique par rapport à des bidons pendulaires. En revanche, un rapport rédigé par l'US Air Force au début des années quatre-vingt-dix précisait ainsi que par rapport à un F-15C "lisse", un F-15E équipé de réservoirs conformes affichait une manoeuvrabilité réduite d'environ 30% lorsque ces derniers étaient pleins, et 20% vides. Les aviateurs américains ajoutaient qu'ainsi gréé, le Strike Eagle se comportait plus comme un F-4 Phantom II que comme un F-15... Et allaient même jusqu'à déconseiller aux pilotes de s'engager en combat tournoyant. Missiles contre réservoirs Pour autant, dans le cas de l'Eurofighter, ce n'est pas vraiment cela qui est préoccupant. Ce dernier souffre plutôt d'un choix de conception dans la disposition de ses points d'emports, puisqu'il a été prévu d'emporter le missile Storm Shadow sur des points de voilure dits "humides" habituellement pour emporter les réservoirs pendulaires de 1000 litres. Equipé de deux de ces missiles, l'avion européen ne peut donc plus emporter qu'un seul réservoir pendulaire de 1000 litres, sous le fuselage. D'où la nécessité de disposer de ces deux CFT pour conserver une allonge compatible avec la mission de bombardement à longue distance. A l'inverse, le Rafale fait mieux puisque sous voilure l'avion peut emmener deux Scalp ainsi que deux réservoirs de 2.200 litres... voire trois si la mission l'exige, avec un bidon supplémentaire en position ventrale. Les Emirats avaient toutefois requis l'ouverture par Dassault d'une configuration "tri-Scalp" dans le cadre des néogications pour la vente de Rafale. Une configuration dont la faisabilité technique avait été démontrée... sur le papier.
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November 22, 2013 6:08 AM
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Quatre drones MQ-9 Reaper opérationnels à la fin de l'année 2017 : en matière de drones Male (moyenne altitude longue endurance), les Pays-Bas viennent à leur tour de trancher en faveur de la solution américaine. Le ministère de la défense néerlandais a annoncé aujourd'hui avoir retenu le Reaper de General Atomics à l'issue d'une consultation lancée en 2011. "Le Reaper a été le seul système de drone répondant aux besoins de la défense", notamment sur les critères d'endurance, de vitesse de croisière et de précision des capteurs, a précisé La Haye. Le pays ajoute qu'un budget compris entre 100 et 250 millions d'euros sera alloué à ce programme d'armement, qui devrait être contractualisé par l'intermédiaire de la procédure FMS (Foreign Military Sales). Pour les militaires néerlandais, l'objectif est de disposer d'une capacité en mesure de soutenir un déploiement d'au moins six mois en opérations extérieures. La Haye vise une mise en service initiale fin 2016, et une capacité complète (FOC) fin 2017. En plus des quatre vecteurs aériens, le ministère de la défense néerlandais envisage la commande d'une station de contrôle au sol, d'une station de décollage/atterrissage et de plusieurs capteurs, dont deux radars "pour la surveillance champ large" et deux charges utiles de renseignement électronique pour l'interception des signaux radar et des communications radio. En revanche, il semble pour l'heure que les Pays-Bas se soient prononcés contre l'équipement de ces drones avec de l'armement, suivant en cela l'exemple de la France. Le document publié par le ministère néerlandais insiste par ailleurs sur la volonté de coopération avec les autres utilisateurs de drones Male, dans la lignée de la lettre d'intention signée le 19 novembre dernier à l'Agence Européenne de Défense.
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November 21, 2013 4:24 AM
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Cassidian Optronics ouvre une filiale au Brésil afin de s'y créer un débouché pour le marché d'avenir que représentent les appareils optiques et optroniques. Sous la direction...
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November 20, 2013 10:31 AM
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"Rien qu'en 2013, les exportations d'hélicoptères augmenteront de plus de 20% par rapport à 2012. Il s'agit d'une tendance stable. En 2001, nous avions exporté 12 hélicoptères seulement, cette année, nous en exporterons plus de 130", a indiqué M.Zavaliy dans une interview à RIA Novosti. Les hélicoptères représentent le secteur le plus dynamique de l'industrie de défense russe. "Cela s'explique par la demande croissante du marché pour les hélicoptères et par la politique de l'Agence russe d'exportation d'armements (Rosoboronexport) visant à promouvoir les hélicoptères russes. Nous avons élargi nos exportations, accédant notamment au marché du Proche-Orient", a indiqué M.Zavaliy.
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November 20, 2013 10:27 AM
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Revue de marché pour Airbus Military. Quelques mois avant de changer de structure et de nom pour devenir Airbus Defense & Space (ADS), le fabricant de l’A400M a tenu une conférence de presse impromptue sur le salon. Le futur ADS a détaillé ses perspectives mondiales, et plus spécifiquement pour le marché moyen-oriental. Rien qu’au Moyen-Orient/Afrique du Nord, le constructeur voit des perspectives importantes pour les 30 prochaines années: il compte sur un marché de 145 appareils légers/moyens (type CN235, C295), 30 avions de surveillance (ISR), 25 ravitailleurs MRTT et 130 A400M. Il y a actuellement, selon les chiffres d’Airbus, 420 appareils de ces catégories en service au Moyen-Orient, dont la moyenne d’âge est de 27 ans. A l’horizon 2042, le constructeur voit ainsi un marché mondial de 915 appareils légers et moyens, 325 ISR, 125 MRTT et surtout, un marché potentiel de 760 A400M.
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November 20, 2013 8:55 AM
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La Force aérienne colombienne (FAC) cherche à s’équiper d’un nouveau chasseur au cours des trois à quatre prochaines années « pour améliorer ses capacités de combat aérien haut de gamme » a déclaré un haut responsable le 14 novembre. S’exprimant lors de la Conférence internationale des chasseurs IQPC à Londres, le général de brigade Carlos Bueno, commandant des opérations aériennes de la FAC, a déclaré que l’armée de l’air envisage d’acquérir un certain nombre d’avions de chasse modernes comme le F-16 Fighting Falcon de Lockheed Martin, le Sukhoi Su-30 « Flanker », le Rafale et le Mirage 2000 de Dassault, ou le JAS 39 Gripen de Saab, voir d’autres modèles. Le fer de lance de la flotte de combat de la FAC se compose actuellement de 19 chasseurs monoplaces Kfir C.10/12 construits par Israeli Aircraft Industries (IAI) et dérivés du Mirage IIIS. Le nouveau chasseur devra compléter la formation des Kfirs (récemment modernisés) pour renforcer les capacités air-to-air de la FAC. Etant donné les candidats potentiels cités par le général, il est probable que la FAC tentera d’acheter des avions d’ancienne génération ou d’occasions plutôt que des avions modernes. À l’exception du Rafale et du Gripen , les autres modèles cités pourraient répondre aux besoins de la Colombie. La Colombie a déjà entrepris un gros effort pour remplacer ses anciens avions d’attaque au sol Cessna A-37 Dragonfly et Rockwell OV-10 Bronco. Les candidats initiaux comprenaient l’Alenia/Embraer AMX, l’Aero Vodochody L159 ALCA , et le Hawk de BAE Systems. En outre, le Général Bueno a indiqué que le FAC cherche à acquérir une plateforme d’alerte aéroportée (Airborne Early Warning) où l’EL/W-2085 d’IAI (dérivé du Gulfstream G550) est le candidat le plus sérieux.
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November 20, 2013 6:51 AM
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Airbus Military’s Dubai debutant A400M might have reached the international market too late to vie for the Middle East region’s recent investment in large transport aircraft, but the company hopes to “reverse this situation very soon”. Revealing a new long-term sales forecast at the show, head of market development Gustavo Garcia Miranda says around 330 military transports – including 130 in the A400M’s size class – are likely to be sold in the Middle East and North Africa (MENA) region by 2042. “We would like to take maybe half of it,” he says of the expected business. The European company isn’t saying which nations are considered the most likely prospects to buy the A400M, but Miranda says it has discussed the type with “many operators” of Lockheed Martin’s legacy C-130 Hercules. The company has previously sold a combined 66 medium transports and tankers in the MENA region, he adds. Head of defence capability marketing Ian Elliott points to the A400M’s in-built potential to also be used as an air-to-air refueller as a possible attraction to new customers. “The days of buying one aeroplane to do one job are gone,” he claims. Qatar and the UAE have already acquired Boeing’s C-17 strategic transport, which will end production in 2015, while Lockheed has sold new-generation C-130Js to Kuwait, Oman, Qatar and Saudi Arabia. Meanwhile, Miranda says new sales of the A330-200-based multirole tanker/transport are expected “within a few weeks or months”. The company is close to finalising contract discussions with India for six examples, while he says it is also “very confident” of landing an order in Asia soon. Singapore has been considering the type for a six-unit requirement.
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from Newsletter navale
November 20, 2013 6:45 AM
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DUBAI — Beechcraft is looking to add anti-submarine warfare (ASW) to the lengthy list of capabilities offered by its King Air 350 ER in the special missions market, according to Justin Ladner the company sales vice president. Ladner said Beechcraft has been approached by several systems integrators for an ASW-lite concept capable of combating the increasing numbers of mini-submarines used by drug smugglers and the military. The executive, who heads Beechcraft’s special mission aircraft sales worldwide, said ASW is an emerging market and he expected to receive several tenders in the next 12 months that an ASW-capable version of the twin-engined King Air 350ER could address. Some of those requests would be for customers in the Arabian Gulf region he said. Mini-submarine numbers are on the rise. United Arab Emirates Navy chief Rear Adm. Ibrahim al Musharrakh recently told the Gulf Naval Commanders Conference that Iranian midget submarines are an imminent threat they were looking to counter. The growing potential of mini-subs was illustrated at the Defence Security Exhibition International show in London in September when British company James Fisher Defence created considerable interest with a range of small submersibles capable of transporting special forces on covert operations. Company officials at the show reported heavy interest in the craft on the back of the recapitalization of naval special forces. Drug smugglers are also known to use mini-subs to transport narcotics in places like Latin America. The addition of ASW capabilities would add to already strong levels of interest for the King Air in the maritime role. Ladner said Beechcraft was increasing its list of maritime patrol aircraft operators by handing over aircraft to Argentina this week. The growing interest in maritime surveillance opportunities in the gulf and elsewhere is not limited to Beechcraft. Boeing and Saab both emphasized their interest in the sector at the Dubai show.
Via Patrick H.
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November 20, 2013 6:44 AM
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Cassidian équipe les systèmes d’identification des forces armées allemandes du nouveau standard IFF de l’OTAN en Mode 5. La modernisation de tous les systèmes IFF de l’OTAN doit être achevée d’ici 2020. L’autorité des acquisitions militaires allemande BAAINBw (Office fédéral des équipements, des technologies de l’information et du soutien en service de la Bundeswehr) a chargé Cassidian d’équiper les radars secondaires en place de type MSSR 2000 I (MSSR = Monopulse Secondary Surveillance Radar) du nouveau standard Mode 5. Dans une première tranche seront modernisés un type de bâtiments de la Marine allemande, un système mobile de l’armée de Terre et deux stations terrestres pour le contrôle du trafic aérien militaire. Les autres tranches serviront à équiper la totalité des radars secondaires des systèmes terrestres et navals et à convertir les transpondeurs correspondants à bord des avions. Pour ce qui est de l’identification militaire ami/ennemi (IFF), le MSSR 2000 I fonctionne selon des modèles d’interrogations/réponses standardisés qui permettent d’identifier rapidement les avions amis en approche ; ils fournissent donc au commandement une aide décisionnelle au combat. Afin d’éviter toute manipulation des signaux par l’ennemi, le Mode 5, à la différence du Mode 4 utilisé jusqu’à présent, fait appel à des procédés de cryptage sophistiqués pour assurer la fiabilité du processus d’identification. Lors de l’exercice « Bold Quest 2013 » de l’armée américaine, Cassidian soutenait les troupes allemandes participantes par la mise à disposition d’équipement IFF compatible avec le Mode 5, pour l’ensemble de la chaîne fonctionnelle : des interrogateurs MSSR 2000 I intégrés dans des stations terrestres, des transpondeurs LTR400 (LTR = Lightweight Transponder) à bord d’un avion C160 « Transall » de l’armée de l’Air allemande et des calculateurs cryptographiques QRTK3/4NG de dernière génération. Cet équipement a démontré son interopérabilité avec les systèmes IFF fonctionnant selon les standards Mode 4 et Mode 5 utilisés par les forces alliées. Ceci a permis d’apporter la preuve de l’utilisation sans heurts du standard IFF en Mode 5 de nouvelle génération, qui servira les forces de l’OTAN à partir de 2014.
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November 20, 2013 6:30 AM
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http://bcove.me/o99y4x0v Piaggio Aero has flown a technology demonstrator of its P.1HH HammerHead unmanned air vehicle for the first time – releasing video of the 14 November maiden sortie at the show yesterday. The airframer – which is partnering with fellow Italian firm Selex ES on developing the intelligence, surveillance and reconnaissance aircraft – says the 12min flight, from an airbase in Sicily, is “a fundamental milestone that paves the way to the next phase of the programme”. That is likely to consist of a second flight of the demonstrator in December and a flight of the full production prototype early in the second quarter of 2014. Last week’s flight, controlled from the ground by a pilot and flight engineer, was performed in mid-flap configuration with landing gear extended. After taking off at a rotation speed of 110kt, the aircraft flew over the Mediterranean in military airspace, reaching an altitude of 2,000ft and a speed of 170kt.
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November 22, 2013 8:47 AM
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Une unité des force spéciales de l'armée de Terre devrait évaluer l'an prochain un prototype de buggy volant baptisé "Pégase". Présenté pour la toute première fois aujourd'hui au Forum Innovation de la DGA (qui s'est tenu à l'école Polytechnique à Palaiseau), ce véhicule hybride pouvant fonctionner comme un petit tout-terrain ou comme un paramoteur a été développé par une PME strasbourgeoise baptisée Vaylon. « Tout a commencé en 2010 lorsque nous nous sommes mis au défi de faire le tour du monde en 80 jours avec une voiture volante », raconte Jérôme Dauffy, pdg et cofondateur de Vaylon. Entretemps, le projet a reçu un financement de la DGA d'un montant de 60 000€. « Ce concept de véhicule ntéresse les armées et surtout les forces spéciales, qui veulent se doter d'une capacité à franchir rapidement et en toute discrétion des obstacles comme des rivières, des forêts ou des dunes », explique de son coté Jérémy Foiche, directeur technique de Vaylon. Ce jeune ingénieur diplômé de l'IPSA est l'autre fondateur de la PME. Ce première prototype du Pégase est doté d'une structure tubulaire en acier, d'un moteur Rotax d'ULM et d'un système de crabot pour passer du mode « route » au mode « vol ». En configuration buggy, il peut atteindre la vitesse de 100 km/h. En vol, il pourra aller jusqu'à 60 km/h après avoir décollé sur une cinquantaine de mètres. Tout juste terminé, ce prototype devrait faire son vol inaugural en début d'année prochaine. Après une première série d'essais, il sera confié à une unité de l'armée de Terre pour évaluation. Pour mémoire, ce n'est pas la première fois que les forces spéciales françaises testent ainsi des engins expérimentaux conçus par des PME. Les commandos du CPA 10 de l'armée de l'Air avaient évalué un drone paramoteur de la PME Flying Robots pour le transport de charges. Au delà de ce marché des forces spéciales, Jérôme Dauffy espère une commercialisation en 2015 dans l'aviation de loisir, ou bien encore pour répondre aux besoins des ONG.
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November 22, 2013 6:57 AM
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Le premier comité de pilotage installe ce matin trois groupes de travail. Avec l'aide de l'Etat, les industriels veulent cibler cinq pays prioritaires à l'export. Création du Conseil des industries de confiance et de sécurité (le CICS) début octobre, premier comité stratégique à Matignon le 23 du même mois et, ce matin, premier comité de pilotage Etat-Industrie, en marge du Salon Milipol : la toute nouvelle filière des fournisseurs d'équipements et de solutions de sécurité s'organise à marche forcée. La séance présidée par Jean-Marc Ayrault il y a un mois et à laquelle ont participé sept ministres a arrêté les objectifs stratégiques. Dotés de cette feuille de route, les représentants de l'administration, du CICS et de quelques grands opérateurs d'infrastructures vont installer ce matin les trois groupes de travail chargés de les mettre en oeuvre : expression du besoin, politique industrielle et recherche. Programme d'investissements d'avenir, Agence nationale de la recherche, ministères de la Défense ou du Redressement productif : « La première tâche de chaque groupe de travail sera de recenser où est l'argent », explique Hervé Guillou, le président du CICS. Il s'agit évidemment de mieux concentrer les moyens sur les technologies prioritaires, à même de faire la différence à l'international. Chasser en meute Dans son discours d'inauguration de Minipol, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a beaucoup insisté sur la nécessité pour l'Etat d'améliorer le dialogue entre tous les acteurs de la sécurité, notamment en période de baisse de budgets. Evoquant trois domaines - radio numérique, vidéo et protection des forces - dont il attend des avancées, il a par ailleurs promis le soutien de ses équipes auprès des industriels à l'export. Pour mieux conquérir les marchés internationaux, Hervé Guillou estime qu'il faut se concentrer dans un premier temps sur un nombre très restreint de pays. « J'en ai proposé cinq », indique-t-il. Sa deuxième préconisation a souvent été mise en avant en d'autres occasions : chasser en meute, comme savent très bien le faire les Allemands. Quand ils répondent à des appels d'offres de BTP ou de TGV, Vinci ou Alstom par exemple devraient embarquer avec eux des spécialistes français de la sécurité.
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November 22, 2013 6:20 AM
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D'octobre 2016 à avril 2018, notre seul porte-avions, le Charles de Gaulle, sera immobilisé. Un arrêt technique majeur est, en effet, prévu tous les 7 ans et demi pour procéder à une révision générale.
Le coût de cette opération n'avait pas encore été révélé. Lors de la récente réunion de la commission élargie de l'Assemblée nationale sur le projet de loi de finances, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a estimé que l'arrêt s'effectuerait "pour un coût de 1,3 milliard d’euros".
Selon le rapport du député PS Gilbert Le Bris sur le budget de la Marine, les crédits affectés au porte-avions pour 2014 seront déjà de 152 millions d'euros. Son rapport évalue également les coûts moyens jusqu'à 2016 à 110 millions d'euros par an. En 2014, le budget de la Défense sera de 31,4 milliards d'euros au total.
Le Charles de Gaulle avait coûté 3 milliards d'euros, entre sa commande en 1986 et son lancement en 2001. Un deuxième porte-avion coûterait entre 3 et 7 milliards d'euros Selon le rapport de Gilbert Le Bris, le Charles de Gaulle a été disponible 55% du temps en 2012, et 30% en 2013, à cause des six mois de travaux. Pour éviter que la France soit sans porte-avions pendant les révisions, la construction d'un deuxième navire avait été envisagée en 2007. Mais les coûts importants ont fait reculer l'Etat. Il aurait coûté entre 3 et 7 milliards d'euros. En janvier 2013, le gouvernement questionné sur le sujet, préférait mettre en avant "la qualité des missions réalisées en Libye grâce au porte-avions". Finalement, le gouvernement a préféré mettre le projet entre parenthèses dans son livre blanc 2013. La nouvelle loi de programmation militaire (LPM) en cours de discussion au Parlement ne parle pas de second navire. Il est vrai que le temps est aux économies pour les militaires comme pour les autres.
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November 22, 2013 6:09 AM
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L'achat par la Corée du Sud de 40 bombardiers F-35 fabriqués par l'américain Lockheed Martin semble se préciser après l'annonce des nouvelles conditions fixées par les autorités militaires sud-coréennes pour cette commande estimée à 5,6 milliards d'euros.
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November 21, 2013 4:26 AM
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Le groupe d'aéronautique et de défense EADS s'apprête à annoncer une réorganisation drastique de sa filiale Défense et Espace, qui pourrait se solder par 8.000 suppressions de postes, selon des informations de la presse allemande. Selon l'agence allemande DPA, mercredi soir, citant une "source informée", le regroupement par EADS du groupe de défense Cassidian, du groupe spatial Astrium et d'Airbus Military au sein d'une division Airbus Défense et Espace pourrait être accompagné d'une baisse des effectifs allant "jusqu'à 20%". Les trois entreprises employant ensemble 40.000 personnes, cela signifierait la suppression de 8.000 emplois. Un porte-parole d'EADS à Paris, contacté par l'AFP, a assuré qu'"aucun chiffre n'a été décidé. Aucun chiffre n'existe" et qu'il ne voyait donc "pas de raison de commenter" ces informations. "Nous présenterons d'abord nos projet aux comités d'entreprise avant de communiquer", a-t-il ajouté. Des annonces sont attendues pour le 9 décembre, lors de la prochaine réunion du comité d'entreprise européen à Munich. En Allemagne, où se trouvent une bonne partie des activités d'EADS dans la défense, le syndicat IG Metall de Cassidian n'était pas joignable immédiatement pour commenter l'information. A Toulouse, Eric Sabathier, du syndicat CFTC et membre du comité européen de Cassidian, a expliqué ne pas avoir d'informations. "Lors du comité (d'entreprise) européen Cassidian du 13 novembre, on ne nous a pas du tout annoncé de chiffre. On a bien essayé d'avoir des chiffres et on nous a répondu: +vous les aurez au 9 décembre+", a-t-il précisé à l'AFP. Ces suppressions d'emplois vont toutefois dans le sens des pires craintes des syndicalistes du groupe, échaudés fin octobre par une interview du directeur exécutif, Tom Enders, au quotidien allemand Süddeutsche Zeitung, dans laquelle il avertissait que "sans des mesures draconiennes", la restructuration "ne marchera pas". "Nous ne pourrons pas éviter de nouvelles réductions des coûts et des effectifs", avait-il annoncé. "Une société comme une autre" Le12 novembre, un comité européen EADS -qui réunit les organisations syndicales européennes et la direction du groupe- avait tenu une réunion extraordinaire à Toulouse (sud-ouest de la France) sous la présidence de M. Enders, mais aucun chiffre n'avait filtré. Le patron du groupe y avait réaffirmé les grandes lignes de la réorganisation qui accompagnera le changement de nom d'EADS en groupe Airbus, à l'été 2014. Cette restructuration est jugée inévitable après la fusion avortée avec le britannique BAE Systems, préparée en secret à l'été 2012 avant d'échouer en octobre devant les réticences gouvernementales, allemandes surtout. C'est tout le groupe EADS qui sera touché. Le ménage a été fait dans la gouvernance en persuadant la France, l'Allemagne et l'Espagne -États fondateurs du groupe- de se retirer, pour normaliser le fonctionnement d'EADS qui aspire à être "une société comme une autre". La baisse continue des budgets militaires a également infléchi la stratégie du groupe, qui n'ambitionne plus d'équilibrer recettes civiles et militaires. Avec 13 milliards d'euros de chiffre d'affaires, Airbus Défense et Espace devrait néanmoins pointer au dixième rang mondial du secteur. EADS a déjà laissé filtrer quelques orientations concernant la défense. La confirmation de la vente de la filiale Cassidian Test & Services, spécialisée dans les bancs de tests pour les équipements aéronautiques, par Marwan Lahoud, directeur de la stratégie d'EADS, avait provoqué un conflit social en France en octobre. Les activités hôpitaux de campagne ou encore des ponts mobiles pour traverser les rivières seront probablement abandonnées. Ces cessions toucheront essentiellement l'Allemagne. Pour les activités concernant l'espace, le flou demeure. En revanche, Airbus Military, principalement situé en Espagne, pourrait être moins affectée alors que démarre juste la fabrication en série du nouvel avion de transport militaire A400M.
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November 20, 2013 10:31 AM
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L’ONU a besoin de douze hélicoptères civils et militaires supplémentaires pour sa mission Minusma au Mali. Les opérateurs ont jusqu’au 11 novembre pour répondre à l’appel d’offres. Sauf surprise, pas ou peu d’Occidentaux devraient postuler et les Russes, comme d'habitude, emporter le contrat... Mais la France tente aujourd’hui de faire changer les règles d’attribution des marchés des Nations unies.
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November 20, 2013 10:29 AM
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Lors de la conférence de presse organisée mercredi matin sur le salon, Eurofighter n’a pas pu annoncer comme espéré le premier vol du Typhoon avec un missile Storm Shadow, version britannique du missile Scalp de MBDA. Mais les essais en vol devraient avoir lieu avant la fin de l’année, a promis le constructeur de l’appareil. Ils sont programmés avant Noël en Italie et en Allemagne, pour le Storm Shadow, mais aussi pour le Taurus – peut-être avant le 4 décembre, jour de la livraison à Manching (Allemagne) du 400ème Typhoon. L’intégration du Storm Shadow est prévue pour 2015. Les responsables du programme ont profité du salon pour annoncer un kit aérodynamique avec un apex plus développé et des flaperons avec un plus grand débattement. Autre amélioration proposée, des palettes de poussée vectorielle. Enfin le câblage des réservoirs conformes sera provisionné sur tous les appareils de la RAF de la tranche 3. Eurofighter a d’ailleurs, pour la première fois, montré cette configuration nouvelle, équipé de deux réservoirs conformes. La maquette échelle 1, présentée sur le statique, a reçu la visite de l’émir de Dubai le jour de l’inauguration. Il s’agit d’une configuration «au cas où un client voudrait emporter plus de munitions sous les ailes», selon le fabricant. En fait, pour assurer une endurance correcte lors de telles missions, cette solution s’impose puisque le Storm Shadow occupe les points d’emport « humides » – contrairement au Rafale. Aucune échéance n’a été donnée pour la mise en œuvre de ces modifications. L’intégration de ce missile et des réservoirs est une demande probable de l’Arabie Saoudite, aujourd’hui premier marché pour le Typhoon. Le chasseur européen était en opération séduction sur le salon de Dubai, menée dès avant l’inauguration par le premier ministre britannique David Cameron. La compétition avec le Rafale pour attirer l’attention du commanditaire dubaïote était aussi dans le ciel. Tous les après-midi, les deux appareils ont montré au public présent leurs capacités en vol lors de très longues démonstrations.
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November 20, 2013 10:23 AM
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Suite à la publication du montant de l'acquisition récente par l'Air Force américaine de 24 drones Reaper, Theatrum Belli s'interroge sur la différence de revient d'un appareil quand il est acheté par les Etats-Unis... ou par la France. En mai 2013, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian actait la décision de la France d’acheter 12 exemplaires du drone américain MQ9-Reaper "sur l'étagère" (non francisés) afin d'équiper les forces armées hexagonales. Dans un article datant du 18 novembre, le site spécialisé dans les questions de défense Theatrum Belli s'interroge sur la somme que Paris va débourser pour l'acquisition de ces drones MALE (moyenne altitude longue endurance). Un "écart de tarif considérable" Il cite un article paru sur la revue spécialisée Military & Aerospace rapportant l'information de l'acquisition par les Etats-Unis de "24 drones Reaper Bloc 5 (avec conteneurs, pièces de rechange et matériel de soutien) pour 377,4 millions de dollars (soit 280 millions d’euros)". Et met ce montant en perspective avec la somme de 900 millions d’euros avancée par la France pour l'achat sur étagère de ses 12 Reaper. "Comment expliquer cet écart de tarif considérable ?", s'interroge Theatrum Belli. Et d'évoquer "une manière déguisée pour la France de payer la facture de la participation de Washington" à l'intervention militaire en Libye en 2011.
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November 20, 2013 6:54 AM
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The US Air Force has canceled an open solicitation for sustainment work on the F117 engines that power the service’s C-17 transport fleet. “The Air Force issued a competitive solicitation for F117 (C-17) engine sustainment in 2013, based on rigorous market research into industry capabilities to provide both engine overhaul and supply chain management,” Air Force spokesman Ed Gulick wrote in a press release announcing the decision. “The Air Force anticipated significant savings and preferred terms and conditions to be derived from the competition. Unfortunately, no viable offers were received. “As a good steward of taxpayer dollars, the Air Force cannot justify continuing the acquisition and is canceling the existing F117 engine sustainment solicitations,” the statement continued. “We will be revisiting the strategy to develop an affordable approach to achieve both the near- and long-term goals of the Air Force, while ensuring continued war-fighter support for F117 engine sustainment on the existing C-17 Globemaster Integrated Sustainment Partnership until the revised strategy is implemented.” In response to an inquiry, Gulick said the service has not yet set a timetable for an alternative approach. The C-17 is powered by four F117-PW-100 jet engines, designed by Pratt & Whitney. A request for proposals (RfP) was issued for the sustainment contract on April 1, soliciting bids on a contract for “sustaining engineering support and technical services, depot supply chain management support, engine program administration support, and data affiliated with the services for the F117-PW-100 engines to maintain serviceable worldwide spare engine levels.” The work would have occurred over a 21-month period starting in October 2014 and would have included five one-year options that could be picked up by the US government. It’s been a tough week for the C-17, a large military cargo jet. At the Dubai Air Show, Boeing Defense Space and Security President and CEO Dennis Muilenburg confirmed to reporters that C-17 production will end in 2015. Muilenburg cited US defense spending cuts through sequestration and uncertainty as part of the reason for the decision. “We can’t simply continue to keep lines open without clear, long-term production runs,” he said.
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from Newsletter navale
November 20, 2013 6:48 AM
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Boeing Co., the world’s largest planemaker, said it will team up with Bombardier Inc. (BBD/B) to offer a low-cost maritime surveillance plane based on the Canadian manufacturer’s Challenger 605 business jet. The modified Challenger 605 would be marketed for anti-piracy, coast patrol and search-and-rescue missions, Tim Peters, Boeing vice president for mobility and surveillance, said at the Dubai Air Show today. Boeing has developed the P-8 maritime patrol aircraft based on its best-selling 737 single-aisle passenger jet for the U.S. Navy and also sold the model, which is its Dubai air show debut here this week, to India. The business-jet based offering is intended to lure customers with deeper pockets that don’t need the full complement of capabilities of the P-8. “The Challenger 605 is an ideal platform,” Peter said, offering the range, speed, and power needed to carry out the surveillance role. Boeing is already in the process of modifying a company-owned business jet, a Challenger 604 also built by Bombardier, as a test plane. The model, being modified by Field Aviation which will also work on the production version, will make the rounds with possible customers next year.
Via Patrick H.
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from Newsletter navale
November 20, 2013 6:45 AM
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GULF OF ADEN, November 18 (ChinaMil) -- The guided missile frigate “Hengshui” of the 15th escort taskforce of the Navy of the Chinese People’s Liberation Army (PLAN), which is on an escort mission in the Gulf of Aden and the waters off the Somali coast, held a maritime drill with the guided missile frigate “Hetman Sahaidachnyi” (U130) of the Ukrainian Navy on an escort mission in the same water area on the morning of November 14, local time. The joint maritime drill is featured by joint search and rescue as well as boarding and inspection. This is the first time for the navies of China and Ukraine to hold a maritime joint drill. The maritime joint search and rescue drill was conducted against the background that the escort taskforces of China and Ukraine were to provide humanitarian assistance for a merchant ship of a third country hit by a powerful typhoon.... ... During the drill, the Chinese and Ukrainian warships simulated in turn the merchant ship suspected of carrying illegal cargo to accept the boarding and inspection of the other side. The Ukrainian guided missile frigate “Hetman Sahaidachnyi” simulated the merchant ship first. After the Chinese guided missile frigate “Hengshui” demanded it to accept boarding and inspection, the “merchant ship” stopped and drifted, and the frigate “Hengshui” dispatched a joint inspection team to board the ship and carry out inspection. After the inspection was done, the frigate “Hengshui” also simulated the merchant ship to accept boarding and inspection. After the drill, Jiang Zhonghua, commander of the Chinese side, and Talasov, commander of the Ukrainian side, met on the Chinese guided missile frigate “Hengshui”. During the meeting, both sides expressed that this drill is conducive to deepening the friendship between the two navies. It helps improve the coordination and cooperation between the taskforces of the two countries in escort operations.
Via Patrick H.
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November 20, 2013 6:31 AM
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Bahrain’s interest in acquiring the Eurofighter Typhoon appears to be building further, with UK defence secretary Philip Hammond having met with King Hamad bin Isa Al Khalifah at the Dubai air show to discuss the potential deal. “We continue to have very fruitful discussions with Bahrain about Typhoon, and we very much hope that Bahrain will decide soon to join the Typhoon family,” Hammond told journalists after their meeting on 17 November. “I think those discussions are very positive, and I look forward to a good outcome in due course.”
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