Wuhan, Hubei

Dans son cours inaugural de création littéraire exceptionnellement donné à distance, Yan Lianke s’adresse depuis Pékin à ses étudiants hongkongais. Il les invite à préserver leurs souvenirs et rappelle le rôle de l’écrivain dans un monde façonné par le mensonge.

Le point de vue d'un enseignant centré sur 15 ans, depuis 2004, de la filière médicale Nancy-Wuhan, associant depuis quelques années Kunming. Plus de 500 étudi…

Ce samedi, sur l’hippodrome chinois de Yulong, trois épreuves étaient sponsorisées par le F.R.B.C., Le Cheval et Arqana. É...

En juillet 2014, PSA faisait rouler dans les rues de Paris deux C3 Hybrid Air. Deux prototypes et une technologie qui cachait un réservoir haute pression développé par Plastic Omnium. Une première à l'époque pour l'équipementier français, notamment numéro 1 mondial des réservoirs à carburants avec plus de 22 millions d'unités en 2018. Durant ce projet, Plastic Omnium a travaillé avec la société belge d'Alex Seifert (qui deviendra Optimum CPV) qui maîtrisait la fabrication de réservoirs en matériaux composites. Un savoir-faire mais aussi un logiciel baptisé Composicad qui entreront finalement dans le giron de l'équipementier français en fin d'année 2017. Ce sera aussi le cas de Swiss Hydrogen, un spécialiste de l'intégration de piles à combustible et de la gestion de cette dernière. La branche News Energy de Plastic Omnium, dans la direction Clean Energy Systems, est ainsi née.   Finalement quoi de plus naturel, pour un spécialiste des réservoirs à carburant, de se lancer dans ceux qui peuvent contenir de l'hydrogène. Ceux pour le CNG font également partie des travaux. Aujourd'hui, cette volonté de développement prend une nouvelle dimension avec le centre Delta Tech que Plastic Omnium a ouvert en juillet 2019 au nord de Bruxelles après un investissement de 50 millions d'euros. Un bâtiment de plus de 10 000 m2 où 130 personnes vont travailler au développement de cette nouvelle activité.   Devenir un acteur mondial de l'hydrogène   Le français veut ainsi devenir un fournisseur global dans la propulsion électrique, combinant hydrogène et pile à combustible, capable d'accompagner ses clients (notamment 92 marques automobiles) dans le monde entier grâce à ses 24 centres de R&D. Car aujourd'hui, les fournisseurs de cette filière demeurent assez hétérogènes mais surtout régionaux voire nationaux. Certains constructeurs travaillent même seuls comme Toyota par exemple. Plastic Omnium a donc une belle carte à jouer avec ses réservoirs à hydrogène en plastique et fibre de carbone puis, plus tard, avec les piles. Quelques chiffres : en 2019, 82 des 86 millions de véhicules produits dans le monde auront un réservoir. Et 69 millions d'entres eux seront en plastique. A l'horizon 2030, la répartition entre thermiques, PHEV et BEV aura changé mais 85 millions des 107 millions véhicules produits auront toujours un réservoir, dont 78 millions en plastique. Mais chose nouvelle, la part des réservoirs hautes pressions, destiner à l'hydrogène ou au CNG, va passer à 6 %. Le marché de la propulsion hydrogène va donc changer de dimension dans les dix prochaines années.   Ainsi, le marché VP va grimper de 30 000 unités en 2020 à 1,1 million en 2030 sous l'impulsion du Japon (20 000 à 400 000 unités), de la Chine (1 000 à 200 000 unités) et la Corée du Sud (5 000 à 250 000 unités). L'inauguration cette année également d'un nouveau centre, baptisé Omega tech (50 millions d'investissement), à Wuhan, surnommée Hydrogen City en Chine, sera un atout indéniable pour le français. Ce centre chinois dispose d'ailleurs d'une ligne pilote d'enroulement filamentaire de carbone pour fabriquer des réservoirs pressurisés. Si le potentiel est là pour les VP, il l'est aussi pour des poids-lourds puisque les hypothèses tablent sur 58 000 unités en 2030 contre 500 aujourd'hui. Idem pour les bus qui devraient passer de 500 à 30 000 unités.   Premier contrat signé en Allemagne   Logiquement, il faut y voir un nouveau levier de croissance pour l'équipementier français qui veut surperformer de 5 % le marché mondial dans les années à venir. Malgré un volume mesuré, l'hydrogène apportera son écot car un réservoir haute pression coûte aujourd'hui environ 2 000 euros quand un réservoir traditionnel s'affiche entre 100 et 200 euros selon les modèles (thermiques ou PHEV). Mais à la différence d'un modèle thermique, qui n'a besoin que d'un réservoir, un fonctionnant avec de l'hydrogène sous pression en demande 2 ou 3 pour un VP et entre 5 et 9 pour un bus ou un PL. Comme pour les réservoirs conventionnels, Plastic Omnium sera capable de répondre aux demandes des constructeurs sur l'hydrogène. Ainsi, aujourd'hui, les constructeurs ne veulent pas, ou ne peuvent pas, développer une plateforme spécifique pour ce type de carburant (à l'exception de Toyota, Hyundai ou Honda) à l'heure où les investissements dans l'électrique à batteries sont énormes.   Le français avec ses centres de recherche peut ainsi imaginer de multiples solutions pour faciliter les développements des constructeurs. Ainsi, on peut imaginer des réservoirs pressurisés, plus fins et plus longs, qui pourraient venir prendre la place des cellules d'une batterie et ainsi permettre aux constructeurs d'utiliser la même plateforme. Mais avant d'en arriver là, les travaux actuels de Plastic commencent à payer comme en témoigne la signature d'un contrat avec un constructeur allemand de bus pour la fourniture de réservoirs à hydrogène 350 bars à partir de 2021. Ils seront fabriqués sur le site belge d'Herentals. Au-delà de ce premier contrat, l'équipementier, qui a présenté ses solutions ces dernières semaines, affirme avoir eu 25 contacts avec d'autres constructeurs. L'univers des VP est naturellement visé et Plastic Omnium peut avancer serein puisqu'il est le seul à avoir obtenu la certification R134 pour un réservoir avec 700 bars de pression. Plastic Omnium s'est par exemple positionné pour fournir le réservoir de la prochaine génération du Hyundai Nexo. Un travail avec Toyota, pour les réservoirs du futur, est même évoqué. Le constructeur japonais est d'ailleurs engagé, comme Plastic Omnium, dans le fonds britannique AP Ventures dédié à l'hydrogène. Le signe que pour relever les défis futurs, l'équipementier joue également la carte de l'Open Lab avec des start-ups, des instituts de recherche ou encore des universités.   Plactic Omnium n'oublie pas la dépollution des thermiques   La pile à combustible et l'hydrogène auront toute leur place dans le futur mix énergétique des véhicules car l'électrique à batterie ne peut pas répondre à toutes les situations et demandes. C'est aussi pour cela que Plastic Omnium continue de travailler sur la dépollution des mécaniques thermiques qui représenteront encore 44 % du marché en 2030. En plus de toujours perfectionner ses systèmes SCR pour les moteurs diesel, Plastic Omnium a développé un système d'injection d'eau dans les mécaniques essence qui va permettre de réduire les émissions de CO2 d'environ 15 %. La première application de série est annoncée pour fin 2022 sur un modèle allemand premium. Rappelons que BMW avait testé une solution proche, développée en interne avec l'aide de Bosch, sur sa M4 GTS mais seulement produite à 700 exemplaires.   Premier équipementier mondial sur les pare-chocs, sur les systèmes de dépollution et même sur l'assemblage de blocs avant, avec la prise de contrôle de HBPO en juillet 2018, Plastic Omnium veut que cette division New Enregy soit au diapason. Certes, l'hydrogène n'a aujourd'hui pas le même écho que les batteries mais pourtant, en termes d'usage pour les conducteurs, c'est sans doute la meilleure solution d'électromobilité. Plastic Omnium, mais aussi Faurecia en JV avec Michelin ou encore Air liquide, vont sans doute devenir des incontournables de l'écosystème hydrogène dans le monde mais paradoxalement la France est l'un des pays qui investit le moins dans les infrastructures nécessaires au développement de cette technologie. Dommage. A force de marquer les trains, il ne faudra pas se plaindre à la prochaine fermeture d'usine.

Du 23 au 24 SEPTEMBRE 2019 à LYON . A l'heure où les villes deviennent connectées, intelligentes et collaboratives, comment construisons-nous un développement urbain et humain qui permette de vivre en bonne santé et d'accéder au bien-être collectif ? Pionnière en matière de santé publique et de recherche scientifique, Lyon s’inscrit comme l’une des métropoles incontournables de la filière des sciences de la vie, en France comme à l’international. Avec un écosystème riche, composé aussi bien de leaders mondiaux que de start-ups, historiquement fondé sur une expertise en immunologie-infectiologie, cancérologie et neurosciences, les sciences de la vie représentent aujourd’hui un moteur de croissance et constituent une filière clé pour le développement de la métropole lyonnaise et plus largement de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Le programme du Forum, en abordant des sujets pluridisciplinaires, contribue à des échanges riches et prometteurs pour les relations franco-chinoises au travers de questionnements culturels, économiques et géopolitiques communs à nos deux pays. Il est un temps privilégié de dialogue de haut niveau et de partage d’expériences sur les défis que doivent relever les collectivités territoriales françaises et chinoises pour mettre en place  des systèmes de santé résilients capables d’identifier, d’endiguer et de prévenir les pandémies, de faire progresser la couverture sanitaire universelle et de renforcer les mécanismes de coopération nécessaires à la sécurité sanitaire régionale et internationale. Durant les conférences, à l’Hôtel de Ville de Lyon, le Forum proposera d’échanger sur les évolutions en cours et d’identifier les outils développés par les villes françaises et chinoises afin d’intégrer la santé dans toutes les politiques, comme facteur de vivre ensemble et de bien-être accessible à tous. LUNDI 23 SEPTEMBRE 2019 : 14h30 - 16h00   -   Hôtel de Ville de Lyon CONFERENCE 1 : Rôle de l'immunothérapie en cancérologie et relations franco-chinoises en cancérologie clinique Modérateur : Christophe EYCHENNE-BARON, Directeur R&D, Sequens Intervenants : Pr. Bernard MEUNIER : Académicien, ancien Président de l’Académie des Sciences et Président du CNRS Dr. Jean-Pierre ARMAND : Early Drug and Therapeutic Innovation Department (DITEP), senior consultant à l’Institut Gustave Roussy à Villejuif Pr. Jean-Yves BLAY : Directeur Général du Centre Léon Bérard de Lyon Dr. Liya JU : Département expertise médicale et coopération hospitalière de Assistance Publique-Hôpitaux de Paris Pr. Yihebali CHI : Chinese Academy of Medical Sciences and Peking Union Medical College Le but de cette table ronde sera dans un premier temps de faire un point sur l'apport des collaborations franco-chinoises en cancérologie clinique et dans un second temps de faire un bilan des avancées ainsi que des challenges de l'immunothérapie. CONFERENCE 2 : Gestion et prévention des maladies à l'échelle mondiale Modérateur : Sanofi Pasteur Intervenants : Pr. Luzhao FENG : Director and Researcher, Respiratory Infectious Diseases Department, Infectious Diseases Department, China CDC An expert from Guangdong CDC (to be confirmed) Pr. Zhengli SHI : Senior Scientist & Professor, Wuhan Institute of Virology, Chinese Academy of Sciences OMS (à confirmer) Fondation Mérieux (à confirmer) L’OMS préconise une politique de prévention au fil de la vie « Life course prevention strategy », une stratégie globale incluant une approche de la santé, du capital humain et de développement durable, incluant ainsi de la naissance au vieillissement tout un process de suivi au cours de la vie : grossesse, enfance, vaccination, prévention, gestion du vieillissement… Dans un contexte mondialisé, où les virus se déplacent à la vitesse des moyens de transport moderne, la prise en compte d'un nouveau virus présentant un risque pandémique est mondiale. Thématiques développées dans la conférence : Partage de bonnes pratiques pour améliorer le taux de couverture Vaccinale Projet de recherche PAPRICA porté par le CIRC et GRePS-UL2. Les pandémies et la politique de prévention au fil de la vie CONFERENCE 3 : Peste Porcine Africaine : quels enseignements et quelle collaboration pour le contrôle de la maladie ? Modérateur : Nigel SWIFT, Global Head of Vaccine Research and Development, Boehringer Ingelheim Intervenants : Direction Générale de l'OIE (Organisation mondiale de la santé animale) (à confirmer) Laurent LEMPEREUR : Directeur de l'ANSES, Laboratoire de Lyon (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement du travail (à confirmer) Direction Générale de l'alimentation, Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation (à confirmer) Nicolas ROSE : Chef Unité Epidémiologie, Santé et Bien-être & Directeur adjoint du laboratoire Anses de Ploufragan-Plouzané-Niort Emmanuelle SOUBEYRAN : Directrice générale de VetAgro Sup (à confirmer) Représentants du Ministère de l'agriculture chinois Intervenants chinois La mondialisation de l’industrie et des chaînes d'approvisionnement, la croissance démographique et le changement climatique sont autant de facteurs qui augmentent le risque de maladies émergentes et la propagation rapide de celles-ci au-delà des frontières nationales. La Peste Porcine Africaine (PPA) nous rappelle cruellement que nous devons être mieux préparés et disposer de canaux de communication et de collaboration pour protéger la santé des animaux, l’activité des agriculteurs et l'approvisionnement alimentaire mondial. L’attention du monde entier est aujourd’hui concentrée sur le développement d’un vaccin contre une maladie reconnue il y a deux ans comme une menace, mais pour laquelle seul un financement limité était alors disponible. Le panel sera invité à considérer les interrogations suivantes : Qu'est-ce qui vous a le plus surpris dans la propagation de la PPA ? Quels enseignements la communauté mondiale devrait-elle tirer de la PPA ? Quelles sont les futures grandes menaces émergentes ou transfrontalières auxquelles nos 2 pays et nos voisins seront confrontés ? Dans un monde idéal : comment devrions-nous nous préparer ensemble ? A quoi ressemble une bonne collaboration ? Où la collaboration internationale n'a-t-elle pas fonctionné et pourquoi ? Quels sont les obstacles (politiques, techniques, financiers, etc.) et les opportunités pour une meilleure collaboration ? Quelles sont les prochaines étapes pour être mieux préparé à l'avenir ? LUNDI 23 SEPTEMBRE 2019 : 16h30 - 18h00   -    Hôtel de Ville de Lyon CONFERENCE 4 : Bien-être en Chine : comment la médecine traditionnelle et les variations climatiques influencent le monde de la santé et de la beauté? Modérateur : Ségolène MOYRAND-GROS, Directrice Communication Groupe, Gattefossé Intervenants : Pr. Yi FENG : Université MTC (Médecine Traditionnelle Chinoise) de Shangai Dr. Michèle GERMAIN : Médecin physiologiste et professeur à Université Lyon 1 Xiaobing XIONG : Vice-Président, RongChang Pharmaceutical Eileen LIU : Directrice générale, Gattefossé Chine Dr. Paula LENNON : Directrice Groupe de la Division Cosmétique, Gattefossé Dr. Frédérique MORIZOT : Directrice Recherche Beauté et Wellness, Chanel Parfums Beauté La Chine est un pays où les secteurs de la santé et de la beauté connaissent une croissance très rapide et sont marqués par des spécificités culturelles et environnementales. L’utilisation de la Médecine Traditionnelle Chinoise en est l’exemple, avec plus d’un demi-million de praticiens. Lors de cette rencontre, Gattefossé et ses intervenants présenteront l’intérêt de cette médecine et exposeront les défis qu’elle représente dans la réalisation de médicaments efficaces et acceptés par les patients. Les experts aborderont également la problématique des variations climatiques en Chine. Une peau saine est une peau qui s’adapte en permanence aux modifications de l’environnement pour contribuer au bien-être. Afin de mieux comprendre l’impact des différences de climat entre Shanghai, Pékin et Guangzhou, des études ont été réalisées et les résultats seront partagés à l’occasion de cette table ronde. CONFERENCE 5 : L'eau et la santé, avancées et nouveaux défis - Regards croisés France-Chine Modérateur : Sophie MONTMAILLER, Directeur de la Communication, Région Centre-Est, Veolia Intervenants : Cheung KONG : Scholars Chair Professor of Environmental Science & Engineering School of Environment Director, Research Center for Persistent Organic Pollutants. Coordinate, Stockholm Convention Regional Centre in China. Tsinghua University Lan ZHANG : Director of Department of Water Quality Safety Monitoring, the Institute of Environmental Health, China Chinese Center for Disease Control and Prevention Pr. Gang YU, School of Environment, Tsinghua University, Beijing Dr. Philippe BEAULIEU : Médecin et Responsable Département Eau et Santé pour le CIEau Isabelle RAGUENES : Experte eau potable traitement,  Direction technique Veolia Eau France Morane REY-HUET : Founder & CEO of Start-up Meersens Vecteur majeur de progrès sanitaire au cours du siècle dernier, l’eau du robinet continue d’être étudiée en permanence avec des moyens technologiques de plus en plus fins afin d’en améliorer toujours la qualité. Mais les ressources en eau, comme l’ensemble du milieu naturel, sont le reflet de l’évolution des sociétés humaines. Si l’industrialisation et le perfectionnement des pratiques agricoles ont été source de développement et d’amélioration de la vie quotidienne, elles n’ont pas été sans conséquence sur l’environnement. En parallèle, les progrès constants des techniques de mesure permettent aujourd’hui de mieux évaluer la présence et de repérer des doses de micro-polluants indécelables auparavant. En France comme en Chine, comment réagissons-nous, face à ces nouveaux enjeux : laboratoires de recherche publics, associations, élus, professionnels de santé, chercheurs ? Les citoyens chinois comme français sont de plus en plus conscients et souhaitent être acteurs de l’impact de l’environnement sur leur santé. Le suivi de la qualité de l’air fait partie du quotidien des chinois, en France les applications de suivi de qualité d’eau commencent à fleurir, comment s’intègre, les attentes et les ressentis des citoyens dans ces démarches. MARDI 24 SEPTEMBRE 2019 : 09h00 - 10h30 - Hôtel de Ville de Lyon CONFERENCE 6 : Alimentation, vivre en bonne santé - Conférence Grand-Public Modérateur : Métropole de Lyon Intervenants (à confirmer) : Jérôme ZLATOFF : Responsable entreprenariat et Innovation, Institut supérieur d'agriculture Rhône-Alpes (ISARA)  Une start-up « Via terroirs » qui a développé une plateforme collaborative pour mettre en lien les producteurs et les acteurs de l’alimentation ou la start-up « Ici et là » qui propose des solutions alternatives à la consommation de viande (utilisation de légumineuse….) Vice-Président Métropole de Lyon, en charge du Développement durable, Biodiversité, Trame verte et Politique Agricole (Plan Alimentation de la Métropole de Lyon) Bledina Karine JACQUEMART : Directrice Générale à Foodwatch (à confirmer) District de Shunde (Chine) (à confirmer) À la croisée de ses politiques publiques en matière de santé et de développement économique, la Métropole de Lyon investit dans l’innovation en nutrition-santé, et plus généralement dans le secteur de l’alimentation-santé. Elle soutient notamment la démarche Foodtech, initiée en 2017 à Lyon, tournée vers l’innovation « de la fourche à la fourchette » et animée par l'ISARA. La Métropole de Lyon met également en place une stratégie alimentaire pour le territoire avec un objectif ambitieux : permettre l’accès à une alimentation de qualité pour tous. MARDI 24 SEPTEMBRE 2019 : 11h00 - 12h30 - Hôtel de Ville de Lyon CONFERENCE 7 : Repenser la formation pour un service de santé efficient Modérateur : Didier VINOT, Vice-président de l'Université Jean-Moulin 3, chargé des Affaires économiques et sociales du Patrimoine, Co-directeur de la Chaire "Valeurs du soin centré patient" Intervenants : Patrick MERTENS : Lyon 1, Neuro-chirurgien, HCL, Responsable du programme d’échange franco-chinois SHS Santé Sylvie NEGRIER : (Référente UdL pour l’Academy OMS) 2 intervenants chinois CONFERENCE 8 : Ville et Santé Modérateur : Jérémy CHEVAL, Architecte, Ecole Urbaine de Lyon Intervenants : Haoru CHEN : Architecte Urban Rural Framework (Hôpital à Andong et Réutilisation de matériaux...) Lan WANG : Urbaniste, vice-directeur de l'université de Tongji (Spécialiste de la planification et de la santé) Arnaud TRESVAUX : Soberco Environnement, Ingénierie et conseil Pascale SIMARD : Directrice Innovation et Réseaux de l’Agence d’urbanisme de l’aire métropolitaine lyonnaise Benoit FAUCHERAND : Chairman & CEO, Arching À l'heure où les villes sont de plus en plus connectées, « intelligentes » et collaboratives, comment construisons-nous un développement urbain et humain qui permette de vivre en bonne santé et d'accéder au bien-être collectif ? La surpopulation, le manque d’espaces verts, la pollution sonore ou de l’air, le mode de vie urbain sont la source de différentes pathologies autant physiques que mentales. Or, en 2050, les deux tiers de l’humanité vivront en ville ! Dans ce contexte, la santé constitue aujourd'hui un véritable levier de développement social, économique et environnemental pour les acteurs locaux. On se demandera : Pourquoi la ville peut être considérée comme un organisme vivant ? Comment transformer nos villes et nos territoires en favorisant la santé des citadins ? Peut-on réduire les pathologies les plus directement liées à l’environnement urbain ? (pour lutter par exemple contre la folie, la sédentarité, le mal-être, la malnutrition, le stress…) CONFERENCE 9 : Intelligence artificielle et médecine Modérateur : Sybille DUBOIS-FONTAINE TURNER, Directeur Général du Comité France Chine Intervenants : Amélie CORDIER  Présidente de l’Association Lyon-iS-Ai HCL (à confirmer) L’intelligence artificielle (IA) est un domaine de recherche en pleine expansion dont les applications dans le domaine médical permettent notamment d’améliorer la qualité des soins. L’IA est en effet au cœur de la médecine du futur, avec les opérations assistées, le suivi des patients à distance, les prothèses intelligentes, les traitements personnalisés grâce au recoupement d’un nombre croissant de données (big data), l’utilisation de la réalité augmenté dans le traitement des pathologies,…. Lors de cette conférence, un focus sur les objets connectés dans le domaine de la santé pourrait être proposé. En effet, "les objets santé connectés" sont aujourd'hui une réalité et vont encore beaucoup se développer, au point de révolutionner notre quotidien et notre manière d'aborder notre propre santé. Mieux s'écouter, mieux suivre ses propres indicateurs de santé permet un diagnostic précoce des maladies et donc un meilleur traitement. Inscription gratuite et obligatoire.