Veille UrbaLyon : mobilités et infrastructures de transport à l'international

Près de la gare d’Anyama, au nord de la capitale économique ivoirienne, les riverains ont vu leur maison rasée par les bulldozers, fin août, pour préparer le tracé de la ligne 1 du métro. Ils attendent maintenant des compensations.

Les responsables du Projet d'appui à la réduction de l'instrumentalisation et des violences politico-sociales des jeunes conducteurs de mototaxis en période électorale, ont initié un atelier de priorisation pour la prise en compte des besoins des jeunes conducteurs de mototaxis, ce samedi 20 mars...

Roger Mbassa Ndine, le tout premier super maire de la ville de Douala entame une campagne en force avec des réalisations majeures sur sa feuille de route.  !

La start-up ougandaise Tugende, spécialisée dans le crédit-bail de véhicules de transport urbain, a obtenu un financement de 4 millions USD de Toyota. Le constructeur japonais, qui veut investir 45 millions $ dans la mobilité en Afrique en 2021, y voit de quoi booster la vente de ses véhicules..

Une étude a été réalisée en 2021 par Makers Africa et  classe Dakar, dans le top 5 des villes africaines les plus embouteillée.

Les bouchons coûtent plus de 100 milliards de FCFA par an à la ville de Dakar. Il est donc urgent de développer rapidement des solutions efficaces pour lutter contre les embouteillages à Dakar !

L’architecte sénégalaise, Fatiya Diene Mazza a livré en 2022 pour l’Etat du Sénégal la gare de la ville nouvelle de Diamniadio au Sénégal.

Constituant une partie intégrante du Plan Sénégal Emergent (PSE), la gare Emblématique de Diamniadio se présente comme une des dessertes principales de la nouvelle ligne TER entre le centre de Dakar et le nouvel Aéroport International Blaise Diagne (AIBD).

La Côte d'Ivoire prévoit de dégager 200 millions de FCFA - une fois le plan de circulation pour les motos et tricycles adopté- afin de débuter l’implantation des panneaux de signalisations, a annoncé, Amadou Koné, Ministre des Transports .

Planifier puis agir concrètement dans les villes africaines sur l'espace public et le réseau viaire pour toutes les mobilités 

Un arrêté du gouverneur invite ces engins deux roues à respecter les limites de leur mobilité dans le centre urbain depuis le 12  novembre 2020

La Direction des transports et mobilité urbaine (DTMU) de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) et quelques membres du Comité stratégique du taxi-ville (CSST) ont fait le point sur l’opération taxi moto et taxi clandestin menée dans la capitale, hier. D’après le directeur des transports et mobilité urbaine, Vigor Bemana, il s’agit purement et simplement d’une réorganisation dans le secteur du taxi, au même titre que celle des stationnements, de la numérisation des licences et de la fluidification de la circulation à Antananarivo. « L’opération va se poursuivre dans les 6 arrondissements de la capitale. Remettre de l’ordre dans le secteur taxi est une étape incontournable. L’opération menée depuis peu s’est soldée par la mise en fourrière de 35 motos et 2 taxis clandestins pour une durée de dix jours. Ils ne disposent pas d’autorisations d’opérer, si l’on se réfère au code de la route. Cela équivaut à la mise en fourrière directe», explique-t-il. D’après toujours ses dires, les représentants des propriétaires de ces véhicules ont déjà discuté avec des responsables au sein de la CUA. Les taxis en règles se félicitent de cette décision «Cette opération arrive à point nommé. Personne n’a jamais osé remettre de l’ordre ici à Tana. Les taxis clandestins et les taxis moto nous devancent car ils proposent un tarif moins cher. De plus, nous payons les patentes et toutes les taxes y afférentes mais pas eux. Je ne parle même pas de la sécurité des passagers», relate un taximan, membre du CSST. «On ne doit pas favoriser l’informel, sinon on sera aussi victime au cas où les choses tournent mal. On peut toujours discuter», conclut Vigor Bemana, DTMU de la CUA. Tiana R