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CIHEAM News
December 1, 2016 10:43 AM
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Russia plans to start trading with grain commodity futures in 2017, declared the Director of the securities market and commodity market department at the Bank of Russia, Larisa Selyutina on December 1. According to her, to date the Bank provides active work in the sphere. As soon as the companies are ready, the Bank will start the process in the grain segment. There may deliverable instruments, or they will start with the spot market. Also, L.Selyutina reminded that to date, the National Mercantile Exchange (affiliated with Moscow Exchange) develops the project.
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CIHEAM News
November 30, 2016 10:22 AM
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Public stockholding for Food Security purposes: options for a permanent solution – International Centre for Trade and Sustainable Development (ICTSD) ICTSD's work on agricultural trade and sustainable development seeks to promote food security, equity, and environmental sustainability by bringing together trade negotiators and government policy-makers, experts from international organisations and academia, and other policy actors such as farm leaders, consumers, industry groups, and aid agencies. The organisation's work in this area brings impartial, timely, and evidence-based analysis to bear on evolving challenges around farm trade and broader public policy goals, with a view to informing policymaking processes and, ultimately, delivering more sustainable and equitable outcomes in both rich and poor countries.
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November 29, 2016 3:25 AM
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Cairo/Abu Dhabi: Huddled in the Radisson Blu hotel on the outskirts of Cairo last week, some of Egypt’s top wheattraders talked damage control: They had lost more than $1bn since the country floated its currency and now they wanted to be bailed out.
Egypt took markets by surprise on November 3 when it abandoned its peg to the US dollar in a move aimed at attracting capital inflows and ending a currency black market that had all-but displaced the banks. The flotation helped the cash-strapped government clinch a $12bn IMF loan programme it hopes will revive growth hampered by political uncertainty since a 2011 uprising ended Hosni Mubarak’s 30-year rule. But it also created huge losses for some importers of staples like wheat and medicine who opened credit lines when the pound was pegged but did not settle before the float. The pound has halved in value against the dollar since November 3, to trade at about 17.60 to the dollar on Thursday. Importers of essential goods like wheat - Egypt is the world’s biggest wheat importer - and medicine were on a priority list that gave them access to scarce dollars at the official rate before the float. Alaa Ezz, (pictured) secretary-general of the Federation of Egyptian Chambers of Commerce, estimates that these critical industries now owe $6-7bn as a result of foreign exchange losses. “The banks in the past few months were not making foreign currency available except for strategic commodities, so this is the majority of the backlog,” he said. Pharmaceutical companies said the losses and frozen credit lines had exacerbated a growing shortage of medicines since the sudden plunge in the pound’s value rendered price-controlled medicines unprofitable to make or import.
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November 28, 2016 4:14 AM
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Au Maroc, le stockage de blé tendre à la ferme est en régression depuis que le prix de vente (stabilisés dès la moisson) varie très peu en cours de campagne. Ainsi les capacités individuelles de stockage sont rapidement dépassés et des quantités importantes de blé tendre ne peuvent être stockées. L’essentiel du blé tendre est écoulé par les agriculteurs juste après les moissons. À cause du surcoût injustifié que l’opération de stockage peut entraîner, seulement une partie de la production est conservée par les céréaliculteurs (qui servira de semences pour la campagne suivante ou pour l’autoconsommation). Dans ce cas précis, le stockage est confié à des professionnels.
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November 28, 2016 4:12 AM
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L'agriculture et la sécurité alimentaire constituent des enjeux majeurs pour la planète. Situées au coeur des nouveaux objectifs de développement durable (ODD), elles posent de nombreuses questions stratégiques pour les pays et la coopération internationale. Produire plus et mieux, telle est l'équation à résoudre face aux défis de la croissance démographique, de l’évolution des modes de consommation et de la rareté des ressources de production naturelles et financières. Dans ce contexte, la réduction des pertes agricoles et du gaspillage alimentaire est devenue prioritaire. [...] Mediterra 2016 propose une approche intégrée, innovante et prospective sur les enjeux de la réduction de ce triple gaspillage (des ressources naturelles, de l’alimentation et des connaissances). Recueil d’expertises mutualisées et d’expériences locales dans la région méditerranéenne, cette nouvelle édition fournit des clés de lecture et des solutions pour l’action aux décideurs politiques, aux opérateurs du développement, aux professionnels et aux chercheurs. Cet ouvrage est placé sous la codirection du Centre international de hautes études agronomiques méditerranéennes (CIHEAM) et de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), deux organisations internationales engagées dans un partenariat stratégique pour un développement durable en Méditerranée.
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CIHEAM News
November 28, 2016 4:10 AM
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La Tunisie présentera, dans le cadre de cette conférence, prévue les 29 et 30 novembre courant, 16 projets agricoles d’une valeur globale de 2,2 milliards de dinars, dont 7 projets publics et 9 projets dans le cadre du partenariat public-privé (PPP) a annoncé le ministre de l’agriculture Samir Bettaieb.
Le ministre a également annoncé la signature d’un accord avec le Japon pour le financement d’une station de dessalement de l’eau de mer à Sfax. La station de Sfax qui devrait être réalisée avant 2021, s’inscrit dans le cadre d’un programme de création de quatre stations de dessalement de l’eau de mer. La première, à Djerba, d’une capacité quotidienne de 50 mille mètres cube, est en cours de réalisation et devrait être fin prête avant l’été 2017 alors que la deuxième, dont l’appel d’offres est en cours sera réalisée à Zarat (gouvernorat de Gabès).
Idem pour la troisième station dont les études et financements sont fin prêts et qui sera réalisée à Kerkennah à partir de 2017, ses travaux devraient démarrer en 2017.
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November 22, 2016 3:49 AM
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Le Pôle Animation Export de FranceAgriMer, a organisé en partenariat avec la Llotja de Barcelona le 15 novembre à Barcelone une conférence à destination des opérateurs céréaliers. La présentation des bilans céréaliers mondiaux, européens et français a été effectuée par la Direction Marchés, Etudes et Prospective de FranceAgrimer, Arvalis – Institut du Végétal a exposé les caractéristiques qualitatives de la récolte française 2016.
Ces présentations ont été suivies du témoignage d’Axéréal sur l’organisation de la filière céréalière française pour répondre aux attentes de ses clients, d’une présentation portant sur les processus de traçabilité et de sécurité alimentaire dans les coopératives et chez les négociants du sud, et la Charte Qualité Maïs Classe A.
Ces exposés se sont poursuivis par des échanges avec les professionnels espagnols du secteur présents.
Voir documents associés :
PPT Bilans Céréaliers(FranceAgriMer)
PPT Qualité ( Arvalis-Institut du Végétal)
PPT Organisation Filière
PPT Processus traçabilité et sécurité alimentaire - Charte Qualité Maïs Classe A
Contact Pôle Animation Export : veronique.looten@franceagrimer.fr
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CIHEAM News
November 21, 2016 3:58 AM
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GRAIN marketers are closely watching the impact of the Egyptian government’s decision to devaluate its currency, the Egyptian pound, to see whether it causes any issues in terms of market instability in the world’s largest importer of wheat.
Along with its massive wheat buying program, Egypt is also an important market for the Australian pulse sector, in particular for faba beans.
Economists expect the floating of the currency, which caused the devaluation, to make Egypt markedly more sensitive to price fluctuations.
“This move will make Egypt even more price sensitive, as their buying power on international markets is reduced,” GrainGrowers trade and economics manager Cheryl Kalisch-Gordon said.
“Egyptian grain importers will notice a considerable price increase in grain in Egyptian pound terms.”
Early signals have been some marketers have been willing to stand out of the regular Egyptian government tenders for wheat.
The latest General Authority for Supply Commodities (GASC), the Egyptian central purchasing authority, tender attracted less competitors than usual.
Just three bidders offered grain in the tender.
It creates a difficult situation for Egypt, who earlier in the year caused ripples in the world wheat market when it announced a strict quarantine policy on the fungal disease ergot.
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CIHEAM News
November 21, 2016 3:47 AM
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A septembre 2016, les retenues des principaux barrages du Royaume, tous usages confondus, ont atteint plus de 7,30 milliards de m³, enregistrant ainsi un taux de remplissage de 46,9%, soit un niveau inférieur comparativement à la même période de l'année écoulée (plus de 11,06 milliards de m3 ou 71,1%).
Certes, les indicateurs sur les ressources en eau sont appréhendés, aujourd’hui, avec beaucoup d’inquiétude aussi bien par les experts mondiaux que par les instances de développement, par les bailleurs de fonds ainsi que par les politiques de sorte que même notre pays est bien au cœur de ces profondes mutations à travers surexploitation et raréfaction des ressources hydriques. Le défi réside, donc, dans la concurrence qui s’exerce sur la demande en eau. Cette demande augmentera à mesure que la population mondiale s’approchera des 9 milliards d’habitants, ce qui exigera un accroissement de 50% de la production agricole et donc 15% de plus du prélèvement sur les ressources en eau, déjà mises à rude épreuve. Sur ce chapitre, la Banque Mondiale tire la sonnette d’alarme : en 2030, les deux tiers de la population mondiale vivront en ville, soit cinq milliards de personnes. Les agglomérations des pays en développement seront soumises à de considérables tensions pour répondre à la demande de nourriture, d’énergie et d’eau. Fortement impactée par la surexploitation, par les pollutions de tous genres et par la rareté des pluies, cette situation appelle à plus de vigilance en termes notamment d’une gestion intégrée des ressources hydriques, une meilleure gestion sectorielle, amélioration des services d’alimentation en eau potable et d’assainissement, etc. Dans ce cadre, faut-il relever que face à ces enjeux complexes, notre pays, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, déploie des efforts soutenus en vue de concilier les exigences du développement économique et humain avec le souci permanent de conserver, protéger et promouvoir les ressources hydriques.
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MED-Amin
November 17, 2016 3:26 AM
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Un projet de jumelage entre la Tunisie, la France et l’Italie pour » le renforcement des capacités d’élaboration et de mise en œuvre de politiques agricoles et rurales inclusives, participatives et de long terme, du ministère de l’agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche », a été lancé mercredi à Tunis. Cette action de trois ans, dotée d’un budget de 1 500 000 euros (3663 mille dinars), est mise en œuvre par le Programme d’Appui à l’Accord d’Association et à la Transition » (P3AT) financé par l’Union européenne (UE), a indiqué un communiqué du ministère de l’agriculture, des ressourcs hyrauliques et de la pêche, publié mercredi. Le projet de jumelage vise à renforcer les capacités tunisiennes dans la conception, la mise en œuvre et le suivi-évaluation des politiques et programmes de développement agricole du Ministère de l’Agriculture. Les activités de ce projet de jumelage concerneront l’accompagnement de la mise en œuvre de l’initiative européenne pour le développement agricole et rural (ENPARD) en Tunisie. Ce programme d’actions pilotes, financé par l’UE à hauteur de 10 Millions d’euros (24,42 MD), bénéficiera aux délégations d’Ain Draham, de Kebili Nord, de Kerkennah, de Bargou, de Ben Guerdane, de Beni Khedeche et de Sidi Makhlouf, représentatives de la diversité rurale de la Tunisie, a précisé le communiqué.
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MED-Amin
November 17, 2016 3:24 AM
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– Le monde doit renforcer rapidement ses actions et rehausser ses ambitions sur le changement climatique, a déclaré aujourd’hui M. José Graziano da Silva, Directeur général de la FAO, devant les délégués participant à la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP22) qui se tient au Maroc. Prenant la parole lors de la Journée d’action de haut niveau sur l’agriculture et la sécurité alimentaire, M. Graziano da Silva a fait valoir que les effets du changement climatique sur l'agriculture - notamment les cultures, l'élevage, la foresterie, la pêche, les terres et l'eau - compromettent déjà les efforts mondiaux visant à assurer la sécurité alimentaire et la nutrition. Et les ruraux pauvres sont les plus touchés. Se félicitant que plus de 90 pour cent des pays mettent l’accent sur l’agriculture dans leurs plans nationaux d’adaptation et d’atténuation du changement climatique, le chef de la FAO a souligné: «Il est temps d'investir dans l'agriculture durable et résiliente face au climat comme élément fondamental de la solution climatique». La conférence sur le climat de l'année dernière à Paris (COP21) avait débouché sur le premier accord climatique mondial juridiquement contraignant. Le sommet actuel à Marrakech, au Maroc, est axé sur la mise en œuvre des engagements pris par tous les pays signataires. Faisant écho à l'esprit prévalant à la COP, l'Accord de Paris est irréversible et l'inaction serait un désastre pour le monde.
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MED-Amin
November 17, 2016 3:23 AM
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In January-October period of 2016, the production volumes of crude sunflower oil and its fractions in Russia totaled 3.1 mln tonnes, an increase of 9.9% compared with the same period in 2015, declared the Federal State Statistics Service (Rosstat) on November 16. At the same time, the production of wheat and wheat-rye flour decreased by 1.1%, to 7.3 mln tonnes.
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MED-Amin
November 17, 2016 3:21 AM
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Philippe Pinta est président de l’Association générale des producteurs de blé (AGPB). Il répond à nos questions à l'occasion de son intervention au colloque international “Climat, agriculture et sécurité alimentaire” organisé le 3 novembre 2016 par l'IRIS et l’AGPB : - Pourquoi était-il important de traiter du sujet agriculture et climat lors de ce colloque ? Pour quelles raisons avoir mis en avant l'exemple marocain ? - Quelles sont vos solutions pour l'agriculture française face au réchauffement climatique ? - Comment réformer le secteur agricole, dont le blé, pour répondre au défi de la croissance démographique d'ici 2050 ?
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CIHEAM News
November 30, 2016 10:25 AM
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Russia's grain exports remain slow so far for the marketing year which began on July 1, the SovEcon agriculture consultancy said on Monday, raising doubts about whether SovEcon's full-year forecast for 2016/17 will be met. The world's leading wheat exporter needs to raise 2016/17 grain exports by 5 million tonnes from the previous season to achieve SovEcon's forecast of 39 million tonnes and to avoid the record 2016 crop putting downwards pressure on domestic prices.
However, this aim "is becoming more difficult, if reachable at all", Andrey Sizov, the head of SovEcon, a leading agriculture consultancy in Moscow, said in a note. He sees Russia's November grain exports at 3.5 million tonnes, including 2.6-2.7 million tonnes of wheat. That would leave Russia's July-November grain exports below the same period a year ago.
Russia's October grain exports fell to 2.9 million tonnes from 4.5 million tonnes in September and were significantly lower than SovEcon had originally expected due to stormy weather in sea ports. As a result, farmers have increased their grain stocks in the Volgograd region by 28 percent as of November 1. The Stavropol and Rostov regions raised their stocks by 19 percent and 17 percent respectively, while stocks in the Krasnodar region were down 1 percent year-on-year.
"It means a higher exportable surplus in (Russia's) south. On the other hand, it limits demand from exporters for grain from regions which are farther from ports," Sizov said. At the same time, prices in the Russian domestic grain market continue to rise despite relatively weak exports because farmers are holding back their higher-quality wheat and the government continues its state restocking programme with domestic purchases, SovEcon said.
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CIHEAM News
November 29, 2016 3:26 AM
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Les cours du blé et du maïs risquent de rester au plus bas en 2017. Une bonne nouvelle pour les consommateurs, moins pour les agriculteurs.
Des Etats-Unis à l'Australie en passant par la France, les agriculteurs pourraient vivre une nouvelle année difficile. Les premières prédictions des spécialistes du secteur pour les cours des céréales en 2017 ne sont guère optimistes. « Après trois années de baisse des prix et des événements météorologiques extrêmes qui ont détruit des cultures dans de nombreuses grandes régions agricoles, les prix alimentaires devraient se stabiliser. Mais, avec le niveau record des stocks mondiaux, ils risquent de demeurer obstinément bas - une bonne nouvelle pour les consommateurs, moins pour les agriculteurs », commente Stefan Vogel, le responsable des marchés de matières premières agricoles chez Rabobank.
Car la planète - les hommes mais aussi les animaux - a beau consommer des céréales de manière soutenue (+3 % prévus en 2016, la plus forte croissance depuis 2011), les excellentes récoltes réalisées un peu partout ces dernières années (à l'exception notable de la récolte catastrophique de la France cette année) sont venues amplement gonfler les réserves des exportateurs comme des importateurs. D'après l'International Grains Council (IGC), celles-ci devraient dépasser les 500 millions de tonnes à la fin de la saison 2016-2017 : un niveau sans précédent. Les silos regorgent de blé, d'orge, de maïs, de sorgho. En Chine, les stocks « pourraient atteindre 200 millions de tonnes pour la première fois en dix-sept ans », précise l'IGC.
Conséquence, sur les marchés, les cours du blé à Chicago ont plongé fin août au plus bas depuis dix ans ; depuis janvier, ils restent en repli de plus de 15 %. Ceux du maïs ont touché un plancher depuis sept ans, et reculent encore de 3 % cette année.
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CIHEAM News
November 29, 2016 3:24 AM
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JSC United Forwarding Co. (OTEKO) plans to open a 14.5-million-tonne grain terminal in Taman, a rural locality in the Temryuksky District of Krasnodar Krai in Russia, according to UkrAgroConsult. Construction on the facility is expected to begin in the near future with an opening set for the first half of 2019.
According to UkrAgroConsult, OTEKO will partner with Louis Dreyfus on the project. The companies are expected to invest approximately 6 billion Russian rubles ($92.5 million) in the project by 2020.
Previously, OTEK signed five agreements with RosMorPort to build and design objects at the port of Taman, and the company intends to invest $2 billion in the project over the entire port upgrade period, according to UkrAgroConsult.
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November 28, 2016 4:13 AM
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La campagne retrouve le sourire. Les pluies du week-end dernier et celles annoncées pour cette semaine redonnent de l’espoir. Pour les professionnels, le retour des précipitations plus précoces que la saison dernière pourrait donner un coup d’accélérateur aux semailles. Surtout que la période s’y prête, notamment pour ce qui est des blés. Dans plusieurs régions de production céréalière, la période des semis s’étend du 15 novembre jusqu’à la mi-décembre, voire quelques jours de plus. Ce qui tranche avec la situation vécue lors de la campagne 2015-2016 qui a connu des précipitations trop tardives. Celles-ci n’ont réellement démarré que vers la mi-février. A titre d’exemple, la région de Casablanca-Settat et particulièrement dans la zone des Doukkala qui s’érige en grenier du Maroc, la situation est jugée nettement satisfaisante. «La zone a reçu entre 50 et 70 mm de pluies et les travaux du sol sont très en avance», indique une source de la Direction régionale de l’agriculture. A charge donc pour les agriculteurs de se mettre au travail. Pour l’actuelle campagne céréalière dont le lancement a été donné vers la mi-octobre, tous les ingrédients sont là. Selon le ministère de l’Agriculture, pas moins de 1,8 million de quintaux de semences sélectionnées sont disponibles, avec à la clé une subvention de 330 millions de DH. Un volume de 550.000 tonnes d’engrais de fond seront mises sur le marché par l’OCP d’après la convention conclue avec le ministère de l’Agriculture.
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November 28, 2016 4:11 AM
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Egypt faces two nutritional challenges. The first is the “growth-nutrition disconnect.” High economic growth has not been accompanied by reduction in chronic child malnutrition, at least throughout the 2000s. Instead, the prevalence of child stunting increased during this decade—an atypical trend for a country outside wartime. The second challenge is the simultaneous presence of chronic undernutrition and overnutrition (due to excess consumption of calories). This “double burden of malnutrition” exists not only at the national level but also within families and even individual children. Both challenges are exceptionally pronounced in Egypt compared to other developing countries. Nutrition and Economic Development: Exploring Egypt’s Exceptionalism and the Role of Food Subsidies examines the two nutritional challenges in depth and their relationship to public policy.
The authors examine four key drivers of Egypt’s two nutritional challenges. These, working in combination, are (1) the nutrition transition, (2) economic crises and rising poverty, (3) insufficient nutrition-sensitive investment, and (4) the food subsidy system. Their main hypothesis is that Egypt’s large food subsidy system (as in place until May 2014) has been ineffective in reducing child and maternal undernutrition. In fact, this system may have contributed to sustaining and even aggravating both the double burden of malnutrition and the growth-nutrition disconnect. Reforming this food subsidy system can help to improve nutrition and public health in Egypt.
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CIHEAM News
November 28, 2016 4:09 AM
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The International Grains Council set the scene for potentially another strong world wheat harvest in 2017, as it upgraded again this year's record harvest – and saw total grains stocks topping 500m tonnes for the first time.
The IGC restated ideas that the area of wheat harvested next year would be "almost unchanged" from 2016, "with reductions in the US and Kazakhstan balanced by increases in Russia and North Africa".
And it viewed as mainly benign early growing conditions for the winter crop, which accounts for the majority of world wheat output.
"Northern hemisphere planting of winter wheat was well advanced by late November," the IGC said adding that "crop conditions were reported to be mostly favourable ahead of the winter".
While "dryness was a worry in the US and cold weather was a concern in parts of the EU and Black Sea region… The preliminary forecast for world 2017-18 all-wheat harvested area is for little year-on-year change".
Record harvests, inventories
The comments came as the council nudged higher by 1m tonnes to an even higher record of 749m tonnes its estimate for world wheat production in 2016-17, taking the figure 12m tonnes higher than last season's result.
And, with the estimate for the world corn harvest lifted by 7m tonnes to 1.042nb tonnes – a gain of 71m tonnes year on year – the upgrades left the world looking at even more comfortable supplies.
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November 21, 2016 3:59 AM
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Algeria’s state grains agency OAIC bought 580,000 tonnes of optional-origin milling wheat in a tender that closed on Tuesday, European traders said.
Prices paid ranged from $201 to $201.50 a tonne, cost and freight included, and shipment was due in January, they said.
Traders had cited earlier a volume of at least 400,000 tonnes but they later said OAIC had purchased a larger volume.
Algeria, one of the world’s largest grain importers, does not publish details of its international tenders and results can be revised when traders report additional sales.
African country would source its wheat after a poor harvest in France, which usually supplies the vast majority of Algerian wheat imports.
The origin of wheat supplied is at the seller’s option, but traders thought it was likely to be sourced from the United States, Germany and the Baltic states, with any U.S. wheat to be of the hard red winter (HRW) variety.
Argentine wheat was very competitively priced but traders said it may not meet Algeria’s strict limit on bug damage.
French wheat was not cited as a leading contender to fill the tender purchase, but some traders said it might still claim a part of the volume as in previous tenders, depending on market conditions up to the shipment period.
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November 21, 2016 3:57 AM
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e Pôle Animation Export de FranceAgriMer, a organisé le 4 novembre à Lisbonne une conférence à destination des opérateurs céréaliers portugais. La présentation des bilans céréaliers mondiaux, européens et français a été effectuée par la Direction Marchés, Etudes et Prospective de FranceAgrimer, Arvalis – Institut du Végétal a exposé les caractéristiques qualitatives de la récolte française 2016.
Ces présentations ont été suivies du témoignage d’Axéréal sur l’organisation de la filière céréalière française pour répondre aux attentes de ses clients, puis d’échanges avec les professionnels portugais du secteur présents.
Voir documents associés :
PPT Bilans Céréaliers(FranceAgriMer)
Colheitas_dos_trigos_2016 - PPT Qualité ( Arvalis-Institut du Végétal)
Diaporama As vantagens da origem francessa de cereail - PPT Organisation Filière (Axéréal)
Contact Pôle Animation Export : veronique.looten@franceagrimer.fr
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CIHEAM News
November 18, 2016 3:48 AM
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Un unique organisme contrôlera désormais les cargaisons de blé importées par l’Egypte, afin de restaurer la confiance des fournisseurs du premier importateur mondial de cette céréale, échaudés par de nombreuses décisions contradictoires sur la qualité des lots exigée dans ses appels d'offres.
Nouveau rebondissement dans l’affaire du contrôle des livraisons de blé en Egypte, qui en est le premier importateur mondial. L’Organisation générale pour les exportations et le contrôle des importations (Goeic), l’autorité gouvernementale chargée de veiller aux opérations d’entrée et de sortie de marchandises, sera désormais le seul interlocuteur habilité à inspecter les cargaisons de blé arrivant dans le pays. Les importations de maïs et de soja sont également concernées. Le Goeic se substitue aux trois organismes qui officiaient auparavant. Jusqu’alors, six inspecteurs, dont deux membres du service de la quarantaine, contrôlaient les lots.
Depuis un an, l’Egypte multiplie les allers-retours quant à la présence prohibée – ou autorisée, selon les périodes – de traces d’ergot de seigle dans les lots de blé. En décembre 2015, le rejet d’un cargo avait signé le début d’un long feuilleton, qui s’est achevé, pour l’heure, sur l’aval des autorités pour de nouveau recevoir des lots contenant jusqu’à 0,05% de traces d’ergot, conformément à la norme fixée par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture. Ces atermoiements avaient empêché plusieurs appels d’offres d’aboutir, par peur du rejet des livraisons chez les fournisseurs.
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MED-Amin
November 17, 2016 3:24 AM
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Vers 15 h (14 h GMT), la tonne de blé gagnait 50 centimes sur l'échéance de décembre, à 163,50 euros et 25 centimes sur l'échéance de mars à 168,25 euros, dans un volume d'échanges de quelque 13.500 lots. « On a une parité de change euro/dollar qui nous aide », a commenté un analyste du cabinet Agritel, qui évoquait « une stabilisation qui s'ajuste un peu à la hausse, valable pour le blé et le maïs », alors que l'euro reculait légèrement mercredi face au dollar. La tonne de maïs, elle, était inchangée pour janvier, à 163,50 euros et perdait 25 centimes pour mars, à 165,25 euros, dans un volume d'échanges anémique de 86 lots, en dépit d'un contexte plutôt favorable, alors que le plus gros compétiteur, l'Ukraine, pâtit toujours de problèmes de chargement. « En Ukraine, on enregistre une certaine tension sociale à l'approche de l'hiver, suite à une nouvelle probable dévaluation de la monnaie nationale, la grivna. Cela vient s'ajouter aux problèmes de logistique renchérissant les cours des commodities dans le pays », a noté le cabinet Agritel.
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MED-Amin
November 17, 2016 3:23 AM
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Les exportations ukrainiennes d’orge ont chuté en septembre 2016, rapporte UkrAgroConsult. Il n’en a été vendu que quelque 758,6 KMT sur les marchés étrangers en septembre. Cela représente une baisse de 36% par rapport au mois d’août et de 27% comparée à septembre 2015 (1043 KMT). Néanmoins, au cours du premier trimestre de la saison, les exportations d’orge de l’Ukraine se sont accrues de 1,8%, soit un total de 2962,5 KMT. Selon les données d’UkrAgroConsult, la Tunisie a retrouvé sa position de premier importateur d’orge ukrainienne. Elle a acheté 133,25 KMT en juillet-septembre 2016/17 contre 27,5 KMT en 2015/16. La dernière fois, la Tunisie en a acheté beaucoup d’orge de l’Ukraine qu’en six ans, période durant laquelle elle a préféré l’orge russe. Durant la saison en cours, et alors que la Russie n’a pas encore intensifié ses exportations d’orge, l’Ukraine est redevenue un fournisseur majeur de cette céréale pour le marché tunisien.
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MED-Amin
November 17, 2016 3:22 AM
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Entretien avec Mohammed Sadiki, secrétaire général du ministère de l’Agriculture et de la Pêche maritime du Maroc, co-auteur de "Agriculture et climat : du blé par tous les temps" (IRIS Editions / MaxMilo). Mohammed Sadiki est secrétaire général du ministère de l’Agriculture et de la Pêche maritime du Maroc, co-auteur de "Agriculture et climat : du blé par tous les temps" (IRIS Editions / MaxMilo). Il répond à nos questions à l'occasion de sa participation au colloque international “Climat, agriculture et sécurité alimentaire” organisé le 3 novembre par l'IRIS et l’AGPB : - Comment se positionne l'agriculture marocaine au niveau régional et international ? - En quoi consiste le Plan Maroc vert ? Quelle est la place de l'agriculture au niveau national ? - Plus globalement, la pénurie d'eau qui frappera l'Afrique du Nord et le Proche-Orient d'ici 2025 peut-elle engendrer des tensions d'ordre géopolitique dans la région ?
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