Cet Appel à projets (AAP) a pour objectif de financer des projets de démonstrateurs et briques technologiques dans le domaine de la chimie du végétal et des matériaux biosourcés, afin de permettre le développement de ces filières.
Summary paragraph: The centriole is a subcellular organelle that forms the core of cilium and the centrosome, a center for microtubule organization. Paternal centrioles are essential for embryo development in most animals, including humans, other mammals, and insects. However, paternal centrioles undergo a process resulting in the loss of many proteins and structural characteristics during sperm differentiation. Therefore, the origin of the embryo centrioles is unknown. The Avidor-Reiss lab identified a novel atypical form of sperm centrioles that may resolve this enigma.
La Fondation Louis D. récompense chaque année par deux Grands Prix et plusieurs subventions des associations, des fondations, des personnes morales ou des organisations non gouvernementales menant une action à caractère caritatif ou culturel, ou dont le but est d’encourager la recherche scientifique. Tatiana Giraud (laboratoire Ecologie, Systématique, Evolution - ESE, Univ Paris-Sud-CNRS-AgroParisTech et Université Paris-Saclay) a obtenu ce prix pour ses travaux de recherche concernant l’étude génomique de la diversité des champignons et des mécanismes d’adaptation. Institut de France 7 Juin 2017
Chiara Stringari, chercheuse CNRS au Laboratoire d’optique et biosciences (Ecole Polytechnique, UPSaclay), a reçu le Young Investigator Grant 2017 du prestigieux Human Frontier Science Program (HFSP). La lauréate est membre de l’une des 30 équipes de recherche qui ont été récompensées, parmi plus de 1000 candidatures reçues. La Young Investor Grant du HFSP récompense le projet de recherche « Chromatin dynamics and nuclear metabolism: an intimate interplay uncovered by non-linear optics » mené en collaboration avec la biologiste Lorena Aguilar-Arnal de l’Université Autonome de Mexico. Chiara Stingari obtient ainsi une bourse de 750k$ sur trois ans pour mener à bien son projet de recherche interdisciplinaire.
La Young Investor Grant du HFSP récompense le projet de recherche « Chromatin dynamics and nuclear metabolism: an intimate interplay uncovered by non-linear optics » mené en collaboration avec la biologiste Lorena Aguilar-Arnal de l’Université Autonome de Mexico. Chiara Stingari obtient ainsi une bourse de 750k$ sur trois ans pour mener à bien son projet de recherche interdisciplinaire.
La Tribune explique que « les investisseurs [sont] de plus en plus séduits par les thérapies basées sur le microbiote », les fonds d’investissement et les laboratoires pharmaceutiques ayant investi plus de 700 millions de dollars entre 2011 et 2016 dans ces dernières. Isabelle de Crémoux, présidente du fonds d’investissement Seventure Partners, indique : « On pense que le microbiote va générer des plus-values. Le domaine croit plus vite que ce qu’on attendait ». Selon le cabinet Microbiome Invest, « en 2016, en grimpant autour des 600 millions de dollars, les sommes investies ont dépassé celles cumulées lors de la période 2011-2015 », explique le quotidien. Les maladies gastro-intestinales représentent à elles seules 36% de ces investissements. L’Inserm rappelle : « Le microbiote intestinal est le plus important de tous, car il représente deux à dix fois le nombre de cellules qui constituent le corps humain ».
A l’occasion du salon Handica qui se déroule à Lyon du 7 au 9 juin à Lyon, La Tribune constate que « très peu d’études et de travaux ont été conduits sur la dimension économique [du handicap], [et] sur ce que le handicap génère et rapporte ». Et d’ajouter qu’actuellement « la recherche porte principalement sur le recensement des personnes touchées par un handicap, les pathologies, l’amélioration de l’accompagnement sur le plan médical, social, thérapeutique, sur l’amélioration de la vie quotidienne, etc. » Nathalie Pelletier-Fleury, médecin et directrice de recherche à l’Inserm (UMR-S 1018 - Centre de recherche en Epidémiologie et Santé des Populations, INSERM/UPSud/UPSaclay à l'Hôpital Paul Brousse de Villejuif), explique : « Il faut sans doute qu’il soit sensibilisé par un proche pour qu’un chercheur s’y intéresse davantage, mais je pense surtout que la catégorie du « handicap » est difficile à délimiter pour obtenir une photographie économique ».
La Fondation pour la recherche médicale soutient la réalisation d’une thèse de sciences sur une maladie rare (à l’exclusion des cancers rares). Montant : 102 024 €
Dans un article publié dans la revue Cancer Research, l’équipe de Patrick Couvreur à l’Institut Galien (Université Paris-Sud/ Université Paris-Saclay) a conçu un nouveau nanomédicament à base de cisplatine pour le traitement expérimental du cancer du colon. Administré par voie orale, ce nanomédicament a montré une activité anticancéreuse accrue et une moindre toxicité rénale par rapport au cisplatine libre. Ces travaux ont été réalisés dans le cadre de l’ ERC Advanced Grant “TERNANOMED”. Le couplage chimique du cisplatine (un médicament anticancéreux majeur) au squalène (un lipide naturel et biocompatible) permet l’obtention d’un bioconjugué de cisplatine-squalène dont les molécules s’auto-assemblent spontanément sous forme de nanoparticules en milieu aqueux. Comme le squalène est un lipide bien absorbé per os, les chercheurs ont eu l’idée de tester l’activité anticancéreuse de ces nanoparticules dans plusieurs modèles expérimentaux de tumeurs coliques après administration par voie orale. Il a tout d’abord été montré que les nanoparticules de cisplatine-squalène (SQ-cisPt) inhibent ex-vivo la croissance de lignées cellulaires de cancer du colon (HT-29, KM-12) à des concentrations dix fois moindres que le cisplatine (CisPt). Cette amélioration de l’activité anticancéreuse a pu être attribuée à une augmentation de la platination de l’ADN résultant d’une accumulation intracellulaire accrue, la forme nanoparticulaire permettant le contournement des protéines d’efflux. Le traitement des cellules cancéreuses par les nanoparticules de SQ-cisPt déclanche, par ailleurs, toute une série de mécanismes cellulaires comme la production de radicaux libres, l’activation des processus d’apoptose, des cascades cellulaires de stress kinases et l’accumulation de transcripts de métaux lourds. La meilleure efficacité antitumorale des nanoparticules a ensuite été montrée in vivo sur (i) la tumorigénèse spontanée des souris ApcMin/+, (ii) la carcinogénèse chimioinduite à l’azoxymethane et (iii) la dissémination métastasique hépatique d’une tumeur colorectale orthotopique. Le traitement par nanoparticules ne s’est accompagné d’aucune toxicité aux doses utilisées. Comme l’administration des médicaments anticancéreux s’effectue généralement par voie intraveineuse, l’utilisation de nanotechnologies pour l’administration par voie orale contribue à la fois à l’amélioration du confort du patient et, contrairement à la voie intravasculaire, elle ne nécessite pas d’hospitalisation coûteuse.
Décryptage par Laurence Guichard, agronome à l’Inra Versailles-Grignon, des pratiques possibles et des conditions nécessaires à une réduction ambitieuse de l’emploi des pesticides en agriculture. Trois vidéos qui rappellent les objectifs, les freins, les travaux de l’INRA sur ce sujet.
Téléchargez le dernier rapport international faisant un point sur les recherches menées sur la plante modèle Arabidopsis... (torte implication du Labex SPS ;-)!)
The Multinational Arabidopsis Steering Committee (MASC) is responsible for supporting global Arabidopsis research. This is acheived through two broad mechanisms: Firstly MASC members organise the annual International Conference on Arabidopsis Research (ICAR). This meeting often welcomes 1000 delegates to a location that switches between Asia, Europe and The Americas on a three-year cycle. This years ICAR meeting is in St Louis, USA whilst the 2018 ICAR takes place in Turku, Finland. Secondly MASC publishes an annual report that includes updates from the MASC subcommittees (Bioinformatics, Epigenetics and Epigenomics, Metabolomics, Natural Variation, Phenomics, Proteomics, ORFeomics, Systems and Synthetic Biology), from Project Resources (such as Araport, TAIR, uNASC etc) and updates from the twenty-eight individual MASC country representatives.
The PDF of the MASC 2016/2017 Annual Report can be downloaded here: arabidopsisresearch.org/images/publications/mascreports/2017_MASC_Report.pdf
We would encourage taking a look at this, not least to discover information about the remarkable set of collaborative tools that are available to the global research community. More information about MASC can be found at: Arabidopsisresearch.org
Les Echos se penchent sur « les nombreux ponts [qui] existent pour faire travailler ensemble organismes de recherche publics et entreprises privées, favoriser le transfert de technologies et accélérer l’innovation ». Le journal précise que l’Hexagone compte 14 sociétés d’accélération du transfert de technologies (SATT). Ces dernières ont « pour mission de simplifier et de professionnaliser la transformation des inventions issues de la recherche publique française », explique le quotidien. Et de préciser que parmi leurs actionnaires, figurent le CNRS, l’Inserm, les universités et autres organismes publics tels les CHU.
Maryvonne Hiance, présidente de France Biotech, l’association qui regroupe les entreprises des sciences de la vie, compte faire de la France le leader européen des biotechs et « aider nos jeunes pousses et nos PME à devenir des ETI mondiales dans les biotechs, les medtechs, le big data et la e-santé ». Avec 84 entreprises en sciences de la vie cotées sur Euronext, Paris est déjà la seconde place mondiale, derrière les Etats-Unis. Par contre, le portefeuille de médicaments en développement clinique est moins fourni en France qu’en Grande-Bretagne. L’Hexagone est également plus faible en termes de collecte des fonds. La France a cependant des atouts avec une recherche scientifique reconnue, et de 2008 à 2014, une hausse du nombre de publications médicales de 50%, souligne France Biotech.
À la suite de la décision des États-Unis de sortir de l’Accord de Paris, le Président de la République, Emmanuel MACRON a lancé, le 1er juin 2017, un appelaux chercheurs et aux enseignants, aux entrepreneurs, aux associations et aux ONG, aux étudiants et à toute la société civile à se mobiliser et à rejoindre la France pour mener la lutte contre le réchauffement climatique.
Dans un article paru le 2 juin dans Cell Death & Differentiation, l''unité de radiothérapie moléculaire UMR-S INSERM/UPSud 1030 à Gustave Roussy, associée au Labex LERMIT, vient de révéler la capacité des rayonnements ionisants à reprogrammer les macrophages associés aux tumeurs et à déclencher une voie de signalisation qui implique la NADPH oxidase 2 et la kinase ATM. La détection de cette voie de signalisation macrophagique permet de prédire la réponse à la radiothérapie des patients présentant un cancer colorectal localement avancé. Ces travaux de recherche représentent un progrès notable dans la compréhension des processus immunologiques impliqués dans la réponse à la radiothérapie.
Le Comité Départemental de la Ligue pour les Yvelines remet tous les ans un prix à deux chercheurs reconnus. Ce prix, d’un montant de 12 500 euros pour chaque équipe, est abondé par le Conseil Général du Département des Yvelines. Le Conseil Scientifique national de la Ligue contre le cancer a désigné notre collègue Mouad ALAMI, Directeur de Recherche CNRS, responsable du Laboratoire Conception et Synthèse de Molécules d'Intérêt Thérapeutique (CoSMIT) au sein de l'UMR CNRS/UPSud/UPSaclay 8076 BioCIS (Faculté de Pharmacie de Châtenay-Malabry) Lauréat du Prix 2017 pour ses travaux de recherche.
Dans un article paru le 6 juin, le Quotidien du Médecin rapporte les résultats d'une étude internationale publiée en janvier 2017 dans ACS Nano et explique que « les maladies présentent des signatures olfactives dans l’haleine, qui sont à la fois détectables et spécifiques ». 17 maladies, dont de nombreux cancers, mais aussi des pathologies digestives, ont déjà été testées. Sylvia Cohen-Kaminsky, directrice de recherche CNRS dans l'unité UMR-S 999 « Hypertension artérielle pulmonaire – Physiopathologie et innovation thérapeutique » dirigée par Marc Humbert (INSERM-UPSud-Faculté de Médecine, UPSaclay, AP-HP, Centre National de Référence de l'Hypertension Pulmonaire Sévère, DHU TORINO, Service de Pneumologie, Hôpital de Bicêtre, LabEx LERMIT), et co-auteure de l'étude, souligne : « C’est le retard diagnostic moyen de 2,8 ans et la procédure invasive par cathétérisme droit qui ont convaincu l’équipe de travailler sur la détection de la maladie à partir des composés volatils dans l’haleine ».
Contact : sylvia.cohen-kaminsky@u-psud.fr ou marc.humbert@aphp.fr
« Éclairer le débat en donnant exclusivement la parole aux universitaires », telle est l'ambition du site « The conversation » dont une version française vient d'être lancée le 21 septembre dernier.
Une équipe de l’Inra (Micalis, Jouy-en-Josas) a mis en évidence deux mécanismes distincts de contrôle de la croissance des bactéries en forme de bâtonnet. Publiés dans Nature Communications le 7 juin 2017, ces travaux affinent nos connaissances sur la synthèse de la paroi bactérienne, cible privilégiée des antibiotiques. A plus long terme, ils ouvrent des perspectives vers de nouvelles stratégies pour inhiber la croissance bactérienne.
Dans un article publié dans la revue Nature Communications, l’équipe de Patrick Couvreur à l’Institut Galien (Université Paris-Sud/ Université Paris-Saclay) a découvert qu’il était possible d’exploiter les lipoprotéines (LDL, HDL) de la circulation générale pour la vectorisation indirecte de médicaments, à condition que ceux-ci soient équipés d’un groupement chimique ayant une forte affinité pour les LDL. Ces travaux ont été réalisés dans le cadre de l’ERC Advanced Grant “TERNANOMED”.
Dans le dernier numéro de la revue "Productions Animales de l’INRA", retrouvez des articles à télécharger sur des thématiques intéressantes dont plusieurs auxquels ont participé des chercheurs du département SDV : - Modifications ciblées des génomes : apports et impacts pour les espèces d’élevage Vers une sélection génomique chez les caprins laitiers - Quels programmes d’amélioration génétique des animaux pour des systèmes d’élevage agro-écologiques ? - La résistance génétique aux infections par les nématodes gastro-intestinaux chez les petits ruminants : un enjeu de durabilité pour les productions à l’herbe - Enjeux et outils du traitement raisonné contre les strongles gastro-intestinaux chez les bovins et les petits ruminants - Perspectives d’alternatives thérapeutiques antimicrobiennes aux antibiotiques en élevage.
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