The Russian arms export/import agency Rosoboronexport has been promoting its non-nuclear submarine, the Amur 1650, on world markets. It intends to offer the submarine to Morocco if the tenders are held there, Rosoboronexport Deputy chief Viktor Komardin declared at an international naval show on Thursday.
If Morocco announces the tenders for a submarine we will take part and offer the Amur 1650, Komardin said.
Rosoboronexport intends to develop military cooperation with Morocco, Komardin said. He stressed the significance of an agreement on international economic cooperation that Russia had recently signed with Morocco. Recently, Russia has delivered to Morocco a batch of Msta-S self-propelled howitzers, he said.
Morocco is showing an active interest in weapons for air defense and ground troops, Komardin said. It is for Morocco to make a choice now, he added. Komardin highly appreciates the level of professional training of Morocco's officers who have recently attended a presentation show of Russian-made weapons.
The Amur 1650 submarine was designed by the Rubin Naval Design Bureau based in St.Petersburg which belongs to the United Shipbuilding Corporation.
The maximum diving range of the submarine is 300 meters. The submarine is capable to carry 18 missiles, torpedoes or mines.
Earlier, a number of media outlets said that Morocco intended to buy its first submarine. Russia and Germany were mentioned as possible exporters.
Le 12 juillet, l’armée israélienne a effectué un tir d’essai d’un nouveau missile balistique à longue portée capable de transporter une ogive nucléaire, chimique ou biologique.
Les médias israéliens, citant des analystes, ont déclaré que le test était très probablement un missile balistique Jericho. La dernière version était le Jericho III lancé à partir de silo et dont la portée est estimée de 4.800 à 6.500 km.
Les premiers programmes de missiles ont débuté en Israël en 1954 en coopération avec la France. En 1962, le gouvernement français a demandé à Dassault Aviation (à l’époque Générale aéronautique Marcel Dassault) de concevoir un missile balistique à courte portée pour le compte d’Israël. Ce fut le début du programme MD-620 dont naitra le missile Jericho I.
Israël n’est pas signataire du traité de non-prolifération d’armes nucléaires. Bien que le pays n’ait jamais officiellement reconnu posséder l’arme nucléaire, il possède au moins 80 missiles équipés d’ogives (source: SIPRI).
L’armée de l’air des Philippines entre dans la phase finale de négociation pour se procurer des FA-50. Les Philippines comptent ainsi se doter de 12 appareils auprès du fabricant Korean Aviation Industries.
Le secrétaire adjoint philippin à la défense Patrick Velez a souligné qu’il s’agit d’un « programme prioritaire » et que les négociations devaient s’achever à la fin du mois prochain. Le contrat pourrait ainsi s’élever à environ 460 millions de dollars.
Appartenant à la famille des T-50, le FA-50 constitue une version d’attaque améliorée du T-50 Golden Eagle. Il dispose d'un réservoir de carburant plus important, du dernier radar EL/M-2032 ainsi que d'un nouveau système de liaison de données. La Corée du Sud en a elle-même commandé 20 exemplaires l’année dernière, les livraisons s’étalent jusqu’à l’année prochaine
Le groupe DCNS vient de présenter deux solutions innovantes de défense anti-aérienne pour sous-marins, en cours de développement sur son site de Ruelle (Charente). Ces dispositifs conçus par DCNS – en partenariat avec MBDA – modifieront à court terme le rapport de force entre sous-marins et aéronefs.Parmi toutes les menaces auxquelles font face les sous-marins, celles provenant des airs demeurent les plus dangereuses. Aujourd’hui, les hélicoptères équipés de sonar trempé et les avions de patrouille maritime ont en effet la capacité de détecter les sous-marins et de les neutraliser par un tir de torpilles, sans même être menacés.
C’est avec l’ambition de réduire cette vulnérabilité que les ingénieurs du Groupe DCNS, en coopération avec leurs partenaires de MBDA, ont travaillé à l’élaboration de solutions dites A3SM (Auto-défense Anti-Aérienne pour Sous-Marin), permettant aux sous-marins de se défendre contre ces aéronefs.
Présentée à la presse internationale le 20 juin 2013, cette capacité d’autodéfense se décline en deux solutions distinctes, permettant aux clients de choisir celle qui correspond le mieux à leur concept opérationnel et à leur navire.
La première solution à courte portée est constituée d’un conteneur résistant orientable disposé sur un mât hissable. Déployé en immersion périscopique depuis le massif du sous-marin, le dispositif permet de tirer jusqu’à trois missiles Mistral.
La seconde solution à moyenne portée est quant à elle constituée d’un missile MICA encapsulé dans un véhicule sous-marin SM39, piloté et guidé depuis le sous-marin. Ce véhicule est lancé en plongée ou à l’immersion périscopique depuis un tube lance-torpilles équipé d’un dispositif de chasse de type refouloir pneumatique.
Une fois lancés, les missiles MISTRAL et MICA sont guidés de manière autonome par leur auto-directeur infrarouge. Cette capacité permet au sous-marin de manœuvrer librement après le tir et éventuellement de mettre en œuvre des parades en cas d’attaque de torpille par l’aéronef avant sa destruction.
Fruit d’une collaboration entre DCNS et MBDA, ce système innovant modifiera à court terme le rapport de force entre sous-marins et aéronefs, en obligeant ces derniers à demeurer à distance.
Spectacle de désolation ce lundi soir pour les parents, la soeur et la compagne de Clément Kovac dans le petit cimetière du village.
Comme tous les jours, ils venaient rendre visite à leur fils, mort pour la France en Afghanistan le 11 juillet 2011. Ils ont découvert la stèle saccagée, les fleurs renversées, arrachées et des pots et compositions florales volées.
Ils ont alerté les gendarmes qui se sont rendus sur place pour constater les dégâts. Ils déposeront plainte ce mardi matin.
Vendredi, vers 20 h, un grave accident est survenu sur le pont du sous-marin Le Triomphant, alors en chantier à la base de l’Île Longue, dans le Finistère. Une pièce lourde et conséquente, levée à l’aide d’un pont-roulant par des salariés de l’entreprise SPRD Manutention, s’est bloquée, puis, débloquée violemment, venant percuter l’un des ouvriers.
Pronostic vital engagé La victime, un Brestois âgé de 50 ans, a immédiatement été prise en charge par les marins-pompiers et transportée par hélicoptère à l’hôpital de la Cavale-Blanche, à Brest. Plongée dans le coma, son pronostic vital est engagé. Le chantier du sous-marin a été suspendu, ce lundi, pour l’enquête, mais devait reprendre ce mardi.
Le crash s’est produit ce matin à 9h30 heure locale. Selon les premiers éléments disponibles, le pilote avait réalisé avec succès une mission de routine d’entraînement dans la région de Rajasthan, située dans l’ouest de l’Inde non loin de la frontière avec le Pakistan.
Pour une raison encore inconnue, l’appareil s’est écrasé en amorçant son atterrissage sur sa base d’Uttarlai. Visiblement, le pilote n’a pas pu s’éjecter ne lui laissant aucune chance. Une enquête a bien sûr été ouverte pour déterminer les causes de l’accident. Le MiG-21 est en service depuis une quarantaine et doit voler jusqu’en 2018/2019. 900 exemplaires sont en service dans l’armée de l’air indienne.
Il s’agit du deuxième MiG-21 qui s’écrase en Inde et le cinquième accident touchant un avion de chasse depuis le début de l’année. Le mois dernier, un MiG-29 s’était écrasé, le pilote avait pu s’éjecter.
Défense Conseil International (DCI) et Chalair Aviation ont en effet pris une participation majoritaire, à part égale (47% chacune) dans la petite société finistérienne, Vigie Aviation qui dispose d’un unique avion, un bimoteur biplace DA-42 équipé d’une caméra optique et infrarouge haute définition.
Ce DA-42 a désormais rallié Brest et est temporairement accueilli chez Finist’Air. DCI, spécialisée dans le conseil, la formation et l’assistance militaires, diversifiant ses activités, s’est intéressé à la surveillance aérienne des frontières terrestres et maritimes. « C’est une niche, explique le nouveau PDG de DCI, l’amiral François Dupont. Mais à fort potentiel où les acteurs français sont rares et où les besoins de l’Etat Vigie Aviation et des collectivités sont identifiés ».
« Développer l’offre de surveillance aérienne»
Effectivement, hormis quelques TPE, seul CAE Luxembourg fournit des prestations de surveillance aéroportée au ministère français de la Défense. L’entreprise effectue des missions de surveillance aéroportée dans l’océan Indien et elle a aussi travaillé pour la direction du renseignement militaire au Mali. La concurrence anglo-saxonne, avec des sociétés comme Cobham, est plus virulente. « Nous souhaitons développer l’offre de surveillance aérienne, précise François Dupont, mais aussi offrir des prestations dans la formation des équipages et nous mettre à la dronisation ».
Avant l’achat éventuel de nouveaux appareils pour Vigie Aviation, DCI s’est allié avec Chalair Aviation, un des acteurs du transport régional en France (la compagnie est présente à Caen, Nantes et Rennes, avec une douzaine d’appareils). Avec l’arrivée de Chalair Aviation, le partenariat permettra à l’entreprise de disposer d’une gamme élargie d’avions (Beechcraft de type KingAir, 1900 C/D et ATR) pour ses missions de surveillance des espaces maritimes et terrestres.
Selon de hauts responsables américains, les Etats Unis vont maintenir leurs plans de fournir à l'Egyte des avions de combats F-16, malgré l'instabilité dans le pays.
Washington évalue toujours les tenants et les aboutissants du renversement la semaine dernière du président islamiste Mohammed Morsi.
Conformément au droit américain, les Etats Unis devraient suspendre leur importante aide militaire octroyée à l'Egypte si Washington parvenait à la conclusion que les événements du 3 juillet constituent un coup d'Etat.
Les Frères Musulmans, le mouvement auquel est affilié Morsi, demandent que le président déchu soit rétabli dans ses fonctions.
Et tandis qu'ils continuent de manifester, le Procureur de la république a lancé mercredi un mandat d'arrêt contre leur guide spirituel, Mohammed Badié.
Au moins, neuf autres hauts responsables de la Fraternité sont également sous le coup de mandats d'arrêt.
Mohammed Badié est accusé d'avoir incité aux violences de lundi qui se sont soldées par la mort de plus de 50 personnes.
De nombreux membres des Frères Musulmans ont déjà été arrêtés et des mandats auraient été émis pour l'arrestation d'une centaine d'autres militants du mouvement.
Par ailleurs, un porte-parole du Ministère des affaires étrangères a déclaré que le président déchu Mohammed Morsi est 'détenu en lieu sûr'.
Badr Abdul Atti, le Procureur de la république, a cependant déclaré lors d'une conférence de presse qu'il ignorait où est détenu Morsi, tout en indiquant que le sexagénaire est traité avec grand égard pour sa dignité.
Les responsables américains qui ont donné l'information soulignent que les avions de chasse seront livrés dans les prochaines semaines.
La livraison des F-16 entre dans le cadre d'une commande de vingt appareils, dont huit avaient déjà été livrés en janvier. Le réliquat de la commande devrait être honnoré cette avant la fin de l'année.
Le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, a réitéré mercredi qu'il n'était pas de l'intérêt des Etats Unis de procéder à des modifications immédiates de leur programme d'assistance militaire à l'Egypte.
Il a ajouté que l'Administration Obama se donne le temps de cerner toutes les implications du renversement de Morsi.
Les Etats Unis apportent chaque annéeà l'Egypte une aide militaire estimée à $1,3 milliards.
Le président Obama a évité soigneusement d'utiliser le mot "coup d'état" pour qualifier la mise à l'écart de Mohammed Morsi, puisque reconnaître qu'il s'agit d'un putsch entraînerait la supension de l'aide.
Eurocopter a signé aujourd'hui un contrat avec le ministère de la défense allemand pour l'achat de quinze hélicoptères EC645 T2 destinés à équiper les forces spéciales de la Bundeswehr. Le Kommando Spezialkräfte (KSK), unité placée sous le commandement de la division des opérations spéciales allemandes, devrait prendre réception de ces machines entre fin 2015 et mi-2017. Le montant du contrat s'élève à 194 millions d'euros, équipements de mission compris.
Ces appareils serviront à remplacer les anciens MBB Bo 105 dont une partie avait été convertie pour mener des opérations au profit du KSK. Ces hélicoptères devaient initialement quitter le service en 2012, mais ils seront probablement maintenus jusqu'à l'arrivée des nouveaux EC645. En revanche, le KSK devrait bénéficier pour la première fois avec ceux-ci d'un moyen héliporté dédié, les Bo 105 étant jusqu'à alors mutualisés avec l'armée de terre conventionnelle.
Pour satisfaire aux besoins des forces spéciales, ces EC645 T2 seront notamment équipés d'un dispositif de descente sur corde, d'un crochet de charge externe, d'un treuil, d'un armement de bord et d'une boule optronique. Ils seront également dotés d'un système d'autoprotection et de kits de blindage.
Version militaire de l'EC145 T2, l'EC645 T2 est une évolution de l'UH-72A Lakota déjà livré à l'US Army au titre du programme LUH (Light Utility Helicopter) ; par rapport à ce dernier, il est notamment doté d'une motorisation plus puissante avec deux turbines Arriel 2E censées offrir 50% de puissance supplémentaire pour les décollages en conditions "temps chaud".
Si les forces spéciales allemandes deviennent le client de lancement de l'appareil, d'autres prospects sont également dans le radar d'Eurocopter. C'est le cas des Etats-Unis, où la machine est proposée sous l'appelation AAS-72X+ dans le cadre du programme Armed Aerial Scout. L'EC645 T2 est également candidat au remplacement d'une partie des hélicoptères légers de l'armée française au titre du futur programme HIL (hélicoptère interarmées léger) dont les contours devront être précisés par la prochaine loi de programmation militaire.
According to Japan’s Defense Ministry, Japan Air Self-Defense Force fighter jets were scrambled nine times against North Korean military aircraft between April and June, Japan Times reported on Jul.10.
These alert launches of Japanese fighter jets against North Korean planes were the first since 2009.
Image credit: U.S. Air Force
Kim Jong Un planes flew over the Sea of Japan, but did never violate the Japanese airspace, according to the ministry, that went on to say that the North Koreans were probably gathering information (using which kind of planes?) after the Japanese Navy deployed its AEGIS destroyer in the area against the missil launch threaths by Pyongyang.
Interestingly, between April and June, much more scrambles were launced by the JASDF against Chinese aircraft, 69, and 31 times the cause of the alert take off were Russian aircraft. From January to March, China’s Air Force aircraft caused 146 launches by the Quick Reaction Alert cells, amid tensions caused by the Senkaku Islands dispute in the East China Sea.
Quelques minutes avant l’embrasement de la Cité, six torches humaines tomberont du ciel. Cette idée trottait dans la tête de l’adjudant-chef Jean-Paul Formigier depuis 2004. Ce 14 juillet 2013, elle sera une image inédite de plus avant l’explosion des premières bombes au-dessus des tours médiévales. «J’ai voulu mettre notre savoir-faire au service de la ville de Carcassonne», et la ville a naturellement accepté la proposition du 3e RPIMa et de celui qui est chargé de la formation parachutiste des troupes aéroportées. Partis de l’aérodrome de Pamiers à bord d’un avion Pilatus, les paras une fois largués descendront en formation verticale le plus près possible les uns des autres. «Les garçons seront équipés de lampes 50 lux sur les bras et les jambes et d’une autre sur le casque pour éclairer la voile au dessus. Ils utiliseront des parachutes qui leur permettront d’évoluer largement dans le ciel en décrivant des «S», explique l’adjudant-chef Jean-Paul Formigier.
Il est probable que cette démonstration aérienne ajoutera du spectaculaire au spectaculaire. La zone d’atterrissage sera délimitée dans l’île de la Cité, sur un terrain de 300 mètres de long et 50 mètres de large. Un marquage au sol composé de lampes disposées en «Y» aidera les parachutistes à se diriger.
Les six militaires qui participeront à ce saut sont très expérimentés, ils possèdent à leur actif un minimum de 1000 à 1500 sauts. «Ils sont très excités en prévision de cette soirée, note Jean-Paul Formigier. Ils sont très fiers de représenter leur régiment devant les milliers de personnes attendues ce soir-là, et devant les Carcassonnais».
À ceux qui, comme nous, seraient tentés de croire que ce prélude à l’embrasement de la Cité, dont les images sont retransmises chaque année par quantité de chaînes TV, veut participer au maintien à Carcassonne du 3e RPIMa, menacé peu ou prou par la réduction des effectifs contenue dans la loi de programmation militaire, qui sera débattue au Parlement, les cadres du régiment répondent par la négative: «Le 3 est bien dans sa ville, et il n’est pas question qu’il aille poser son paquetage ailleurs», nous a-t-on répondu, en croisant les doigts pour que le vent ne perturbe pas la soirée ce dimanche.
Grande première en ouverture de la soirée du 14-Juillet. Six commandos parachutistes du «3» sauteront sur la Cité de Carcassonne dans la nuit de la Fête Nationale. Du jamais-vu quelques minutes avant le feu d’artifice.
The BrahMos Aerospace plans to make the first test-launch of a BrahMos missile from the Indian fighter Su-30MKI in 2014, BrahMos Aerospace Executive Director from Russia Alexander Maksichev told reporters on Sunday.
“The works to create an air-to-ground BrahMos missile are under way. On the one hand, the upgrading of the fighter Su-30MKI for the missile continues, these works are on in India.
Meanwhile, the adaptation of the missile to the warplane is nearing completion. We hope that first flight tests will begin this year, still probably with a prototype of the missile. In 2014 we plan to make a first test launch of a real missile from the warplane,” the Russian director of the company said.
Le premier lot du bombardier tactique Sukhoi SU-34 «Fullback» de première ligne en officiellement entré en service au sein de l'Armée de l'Air russe. La cérémonie de transfert des bombardiers de première ligne SU-34 de série pour l'armée de l'air russe a eu lieu au début de mois de juillet de manière discrète, au sein des installations du constructeur Sukhoi - VP Tchkalov à Novossibirsk.Trois avions supplémentaires ont décollé pour rejoindre le lieu de leur déploiement.
Les premiers Sukhoi SU-34 ont été livrés à fin 2012 et de l'avis des militaires montrent, des performances élevées. La société Sukhoi accorde une attention particulière à l'entretien de haut niveau de préparation au combat et de la maîtrise de l'utilisation de combat du SU-34. Le principal indicateur de la fiabilité de l'appareil (la période de temps entre deux pannes sur le terrain et dans les airs) s'est avéré correspondre aux caractéristiques énoncées par le constructeur.
A terme, Sukhoi doit fournir 92 chasseurs-bombardiers polyvalents SU-34 d’ici 2020. Ce marché est l'un des contrats d'achat d'avions de combat les plus importants depuis la chute du mur de Berlin, sa réalisation permettra de remplacer une bonne partie des SU-24 « Fencer » équipant actuellement les Forces de l'air russes.
Le Sukhoi SU-34 «Fullback» :
Le SU-34 peut attaquer des cibles terrestres, maritimes et aériennes, de jour comme de nuit et par tous les temps en utilisant l’ensemble tous les types de munitions en service en Russie. En termes de capacités opérationnelles il s'agit d'un appareil de génération 4 +. Son système de sécurité active avec les nouveaux ordinateurs, fournit des capacités supplémentaires pour le pilote et le navigateur pour effectuer des bombardements précis et à manœuvrer sous le feu ennemi. L’excellente aérodynamique de l’avion, les grands réservoirs de carburant de capacité interne, la nouvelle génération de moteurs plus économe en carburant doté d’une commande numérique font que le SU-34 de bombardement tactique se trouve très proche de la catégorie de bombardier stratégique de classe moyenne.
Le Su-34 dispose également d’un système de communication et le système d'échange d'information de type liaison 16 (Link16) lui permettant une interface avec des troupes terrestres et des navires de surface, ainsi, qu’avec d’autres aéronefs.
Question armement, le SU-34 met en oeuvre des missiles à longue portée air-surface et air-air ainsi que d'armes guidées multi-canal. Il est équipé d'un système de contre-mesures de dernière génération. Rappelons que le cockpit est blindé. L'avion peut effectuer des missions à basse altitude de type « by-pass et fly-by».
Une photo satellite révèle que l’Arabie saoudite possède un centre de missile balistique près de la ville d’Al-Watah (source : IHS Jane).
Alors que les États-Unis et l’Europe traquent la moindre infrastructure nucléaire en Iran, une imagerie satellitaire prise le 21 mars dernier mais révélée seulement le 10 juillet, montre qu’un nouveau site de missiles balistiques a été installé près d’Al-Watah, situé à 200 km au sud-ouest de Riyadh en Arabie Saoudite. Ce pays est membre du traité de non-prolifération des armes nucléaires et ne possède officiellement pas la bombe atomique.
Deux sites de lancement avaient été préalablement identifiés à Al Sulayyil et Al Jufayr. Ces derniers possèdent des missiles balistiques DF-3 à moyenne portée que l’Arabie saoudite aurait acquis auprès de la Chine dans les années 1980.
Le site d’Al-Watah semble ici plutôt servir de centre d’entraînement et de stockage, mais avec la capacité de lancement de missiles en cas de besoin.
« Il y a deux pas de tir sur le site, indique le cabinet britannique IHS Jane. L’un semble orienté à 301 degrés et semble suggérer une cible israélienne potentielle, l’autre est orienté sur un azimuth de 10 degrés pour cibler des sites iraniens. »
Le missile DF-3 à combustible liquide est un système de vecteurs d’armes nucléaires chinois affichant une portée d’au moins 2000 km avec une ogive de 2.000 kg.
Note : l’Arabie saoudite est soupçonnée de vouloir développer un programme nucléaire avec l’aide du Pakistan. Le prince saoudien Turki Al-Fayçal a annoncé début décembre 2011 la volonté de l’Arabie saoudite de se doter éventuellement d’un programme militaire afin de contre-balancer l’arsenal Israélien, ainsi que les velléités Iraniennes sur ce sujet.
German tank manufacturer, Krauss Maffei Wegman, could lose out on a €5 billion deal to provide 270 Leopard 2A7 main battle tanks (MBT) to Saudi Arabia, it has emerged.
According to a report in the German newspaper Handelsblatt, the Saudis have found a new partner in General Dynamics Land Systems (GDLS), the US defence manufacturer, which would instead deliver a variant of the Abrams M1 MBT.
KMW were unwilling to comment on the reports.
The export of MBTs to Saudi Arabia is controversial in Germany, which has a policy of not exporting military equipment to conflict zones. The potential deal, which was first reported in the German press in June 2011, for 270 Leopards has still to be approved by Berlin and the Saudis are thought to be tired of waiting.
Saudi Arabia already has 315 M1A2 MBTs, which it is upgrading under a $2.9 billion foreign military sales (FMS) deal along with the acquisition of a further 58 Abrams. Saudi is also procuring an additional 69 MBTs in the M1A2S variant announced by GDLS in January this year under a $132.7 million FMS agreement.
Riyadh has had plans to expand its MBT force for some and there have been earlier reports of talks with Russia and France that never came to fruition.
KMW secured an export deal with Qatar in April to deliver Leopard MBTs and PzH 2000 self-propelled artillery systems.
L’Allemagne s’apprêterait à vendre plus de chars lourds au Qatar.
D’après des informations parues dans le quotidien allemand Bild, qui cite des sources gouvernementales qataries, le Qatar pourrait se procurer des chars Leopard dans les sept ans à venir. La commande pourrait ainsi s’élever au total à 118 exemplaires du char lourd allemand. L’objectif pour le l’émirat serait de se fournir en blindé lourd avant la coupe du monde de football en 2022.
Le char fabriqué par Rheinmetall et Krauss-Maffei est déjà un succès commercial puisque la Bundeswehr s’en est doté de 62 exemplaires l’année dernière. A l’exportation, le Qatar avait déjà marqué son intérêt pour le char allemand en avril dernier avec une commande ferme de 64 chars Leopard-2 et 24 obusiers PzH 2000 pour un montant global de 1,89 milliards d’euros. Cette nouvelle annonce porterait ainsi la commande à 32 chars Leopard en plus.
Autant dire que c’est un échec pour Nexter qui pensait pouvoir placer le Leclerc sur ce marché stratégique. Pour autant, le fabricant français pourrait encore remporter un contrat d’équipement d’une brigade qatarie en VBCI et Caesar.
Les deux groupes se ressemblent beaucoup. Mêmes usines, mêmes produits, mêmes compétences. Beaucoup de doublons qui augurent d'une casse industrielle et sociale importante. Pour autant, ne pas se rapprocher pourrait condamner à longue échéance Nexter face à l'arrivée de nouveaux acteurs venus des pays émergents.
C'est un véritable serpent de mer... même si cela concerne l'industrie de l'armement terrestre. Quoi donc ? Le dossier de la restructuration européenne que l'ancien patron de Nexter, Luc Vigneron, avait vendu en 2004 à l'opinion publique pour justifier les restructurations sévères en vue de redresser le groupe. Aujourd'hui Nexter va bien même s'il poursuit sa route tout seul. Mais cela fait près de dix ans qu'une opération avec le groupe allemand Krauss Maffei Wegmann (KMW) est envisagée selon les humeurs des uns et des autres.
Aujourd'hui, les deux entreprises reparlent de mariage. Il faut toutefois rester prudent car cela fait quand même deux-trois ans, selon nos informations, que les discussions sont commencées et ont traversé des hauts et des bas. Les négociations avaient d'ailleurs été interrompues avec l'arrivée de la gauche au pouvoir en France. Elles ont ensuite sérieusement repris depuis le début de l'année. Cela reste toutefois une opération à très haut risque sur le plan industriel et social. Sans compter qu'il faudra passer par une loi de privatisation.
L'Aravis face au Dingo allemand
Pourquoi une telle opération est-elle très risquée ? Parce que, comme le notent tous les observateurs, la fabricant du char de combat Leclerc et celui du Leopard sont en concurrence sur l'ensemble de la gamme des blindés. Ce qui n'est pas le cas dans les munitions, un domaine où n'est pas présent KMW contrairement à Nexter, et dans l'artillerie, à l'exception notable du PzH 2000 allemand, le redoutable rival du Caesar. La grand majorité des produits de Nexter doit néanmoins se battre sur tous les marchés export contre ceux de Krauss Maffei.
C'est notamment vrai pour le véhicule blindé de combat d'infanterie VBCI, sur lequel fonde beaucoup d'espoir Nexter au Canada, au Danemark, au Qatar et aux Emirats Arabes Unis notamment. Mais le Boxer de KMW se dresse très souvent sur sa route. C'est le cas aussi pour le véhicule de transport de troupes tout-terrain à quatre roues motrices hautement protégé, l'Aravis, qui doit convaincre les éventuels pays clients face au Dingo allemand. L'Aravis a d'ailleurs été choisi en 2011 par l'Arabie Saoudite.
Les deux groupes se ressemblent beaucoup (trop ?)
Les deux groupes se ressemblent beaucoup. Trop ? Mêmes usines, mêmes produits et mêmes compétence, rappelle un bon connaisseur des deux groupes. Jusqu'aux chiffres d'affaires qui sont quasi identiques. Si Nexter a bouclé l'année 2011 à 851 millions d'euros (1,07 milliard en 2010), Le groupe public emploie 2.700 salariés sur neuf sites de production. KMW (3.500 personnes, sept sites en Allemagne, dont le siège social à Munich) a quant à lui enregistré un chiffre d'affaire de 1 milliard en 2011, le dernier chiffre connu pour l'entreprise familiale, qui ne publie pas ses comptes (915 millions en 2010).
Seule différence notable, les prises de commandes de KMW surfent sur le succès actuel du char Lepoard à l'exportation en dépit de la claque subie en Arabie saoudite. Une telle opération ne se fera pas sans une casse industrielle et sociale si les deux groupes se rapprochaient. Comme le notent certains observateurs, l'idéal pour créer le troisième acteur européen (derrière General Dynamics et BAE Systems) serait de passer par une étape nationale pour renforcer Nexter. Pas sûr que les Allemands voient d'un bon oeil ce tour de passe-passe pour muscler le groupe public.
Plus question de faire entrer Thales au capital de Nexter
Que peut espérer Nexter en France ? Deux projets, dont l'un est très avancé, restent possibles. L'acquisition du fabricant de poudres et explosifs pour munitions, obus et petits missiles, Eurenco, qui a réalisé 248 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2012 (plus de 1.000 salariés), est en très bonne voie. Elle suit son cours dans le cadre des modalités classiques pour une telle opération. Elle devrait se concrétiser avant la fin de l'année. Cette opération va notamment permettre à Nexter d'internaliser la fourniture des composants essentiels pour ses munitions.
Le dossier est en revanche beaucoup plus difficile avec TDA, filiale à 100 % du groupe Thales spécialisée dans les mortiers et les roquettes. Si en 2011, l'Etat avait retenu le schéma de confier TDA et sa filiale FZ à Nexter, et en contrepartie de faire entrer Thales dans le capital de Nexter, cela ne semble plus être le cas. Le nouveau PDG de Thales, Jean-Bernard Lévy, n'a pas l'air très intéressé. "Je n'ai pas en tête qu'il y ait des synergies technologiques et industrielles entre les deux groupes", avait-il expliqué en juin dans une interview accordée à La Tribune.
Et si Nexter reste seul ?
Si Nexter reste seul, pour certains observateurs, il est voué à disparaitre lentement face à la montée en puissance sur les marchés de l'armement terrestre des nouveaux entrants, qui sont très compétitifs. Pour Nexter, ils constituent « la vraie menace », selon le PDG de Nexter, Philippe Burtin. « Ces pays montent progressivement en gamme en capitalisant sur leurs domaines de compétences - camions, engins spéciaux, autobus. Grâce aux transferts de technologies - ils se constituent une industrie puissante fondée sur des besoins nationaux d'équipements - ils produisent de grandes séries - et une structure de coûts que nous ne pouvons pas atteindre », avait-il expliqué en début d'année. C'est notamment le cas de la Turquie, de l'Afrique du sud, de la Corée du sud, de la Chine... Dans le secteur de la défense terrestre, Nexter doit faire face à la concurrence où les produits se comptent par dizaines dans certains créneaux.
Une opération qui peut délivrer "beaucoup de valeurs"
Nexter doit donc choisir... entre la peste et le choléra. Se rapprocher de KMW ou s'exposer à un lent déclin. Ce qui vaut également pour KMW, qui peut choisir son compatriote et rival Rheinmetall - une opération qui n'a jamais pu se faire... "Les Etats vont avoir de plus en plus de difficultés à justifier une préférence nationale pour acheter des blindés", explique un bon connaisseur du dossier, qui estime que l'opération Nexter/KMW a "potentiellement pas mal de sens". A condition, précise-t-il, que cela aille au-delà d'un simple rapprochement capitalistique.
Car cette opération peut délivrer "beaucoup de valeurs". Surtout un rapprochement permettra de "disposer de la capacité financière adéquate et c'est là que la question de la taille se pose, avait expliqué Philippe Burtin. A moyen terme, elle nous permettra de financer le développement de nos produits, en parallèle du retrait de l'Etat, qui déjà demande le cofinancement. (...) A moyen terme c'est la taille qui nous permettra, dans la structure rassemblée et agrandie d'un groupe européen de faire face à ces nouveaux enjeux ».
Nexter majoritaire ?
Derrière General Dynamics et BAE Systems, dont le portefeuille va des systèmes d'armes jusqu'aux services en passant par les équipements et les munitions, Nexter voudrait se frayer un chemin pour devenir le troisième acteur global de la défense terrestre européen "permettant l'autonomie des choix et des actions" de nos clients européens, notamment l'armée française. Car, selon Philippe Burtin, "l'objectif de Nexter est de maintenir l'unité des activités systèmes et des munitions du groupe" et de "préserver sa liberté de systémier". Enfin, l'ambition de Nexter "vise à la formation d'une entreprise intégrée dans laquelle les intérêts français seraient préservés : majoritaires ou à égalité de droits, tout en pérennisant en France les compétences nécessaires au maintien de l'autonomie d'approvisionnement des forces".
Le Congrès américain ne s'est pas opposé à la vente par le groupe américain General Atomics de drones d'observation MQ-9 Reaper à la France. Ils doivent remplacer les drones français Harfang, qui sont dépassés technologiquement.
Le projet de vente de drones de surveillance Reapers à la France a passé une étape cruciale avec l'absence d'opposition à ce contrat du Congrès américain, a-t-on appris lundi auprès de l'agence du Pentagone chargée des ventes d'armements à l'étranger. La DSCA (Defense Security Cooperation Agency) avait notifié au Congrès le 27 juin ce projet de contrat. Ce dernier disposait alors de 15 jours pour éventuellement s'y opposer, ce qu'il n'a pas fait. "Le Congrès n'a pas émis de résolution conjointe de réprobation. L'affaire peut se poursuivre", a affirmé à l'AFP une porte-parole de la DSCA, Lorna Jons.
Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a annoncé le 11 juin son intention d'acheter 12 Reaper aux Etats-Unis, au groupe General Atomics, une acquisition évaluée au total par ses services à 670 millions d'euros. Les deux premiers, actuellement en production et initialement destinés à l'US Air Force, devraient être livrés d'ici à la fin de l'année. Ces drones doivent remplacer les drones Harfang dont dispose Paris, mais qui sont dépassés technologiquement.
Une aide à la France
Dans son avis de notification au Congrès, la DSCA présentait le projet de fourniture à la France de "16 MQ-9 Reaper, d'équipements associés, de pièces de rechange, d'entraînement et de soutien logistique pour un coût estimé de 1,5 milliard de dollars" (environ 1,15 milliard d'euros). Le chiffre de drones avancé par la DSCA, supérieur aux annonces françaises, n'est pas une pratique inhabituelle car elle permet de ne pas avoir à retourner devant le Congrès si le client décide d'acheter plus de matériel qu'envisagé a priori.
La DSCA, favorable à cette vente, justifiait au Congrès l'intérêt pour les Etats-Unis de fournir ces drones à la France, arguant du fait qu'"il est vital pour l'intérêt national des Etats-Unis d'aider la France à développer et maintenir une capacité d'auto-défense forte et immédiate". "Cette vente potentielle renforcera les capacités de renseignement, de surveillance et de reconnaissance (ISR) de l'armée française" ainsi que l'interopérabilité avec l'armée américaine, plaidait la DSCA. L'accord entre Washington et Paris ne comporte pas de compensation industrielle, selon l'agence.
Selon une source du ministère de la Défense, l'armée russe devrait s'équiper du système de combat individuel Ratnik au lieu du FELIN français, écrit le quotidien Izvestia du 11 juillet 2013.
L’Etat mènera ses essais d’août à novembre et les militaires russes pourraient recevoir leurs nouveaux équipements dès le début de l'année prochaine.
"Ratnik dépasse son prédécesseur – le système de combat Barmitsa - en termes de qualité, explique Alexandre Romaniouta, chef du département scientifique de l'armée de terre. L'ancien chef de l'état-major général Nikolaï Makarov s'était prononcé pour l'examen et la reproduction de l'analogue français FELIN mais bien que ce dernier ait quelques avantages mineurs, il est moins performant que Ratnik".
Le vice-premier ministre russe Dmitri Rogozine a probablement poussé les militaires vers ce choix : il a notamment déclaré le 4 juin que "le système de combat individuel Ratnik pourrait entrer en service dans un mois". Il a pourtant évoqué un certain nombre de problèmes sur les armes, qu'il faudra résoudre prochainement.
Un mois est déjà passé mais l'armée ne sera finalement dotée de Ratnik que début 2014, estiment des sources au ministère de la Défense. Cette imprécision est liée au fait que Dmitri Rogozine parlait en fait seulement du début des essais, pendant lesquels ce nouveau système devait être transmis à des unités du District militaire ouest et des troupes aéroportées.
"Les délais des essais et des livraisons de l'équipement Ratnik sont strictement respectés, souligne le colonel Romaniouta. Tout est conforme au contrat. En 2014 ce système équipera 5 à 7 unités et les autres le recevront pendant les cinq années à venir".
Les essais préliminaires de Ratnik ont permis d’évaluer plus de 100 éléments du système, notamment des casques, des gilets pare-balles et des moyens de protection. Les 40 exemplaires les plus performants participeront aux essais d'Etat.
La commande militaire d'Etat pour 2014 prévoit la livraison de plusieurs milliers de ces systèmes de combat individuels aux soldats de l'armée de terre, des troupes aéroportées et de la marine.
Le délai moyen de garantie de Ratnik étant de cinq ans, cet équipement sera transmis d'un militaire à un autre avant sa mise hors service. Et si le T-shirt n'est destiné qu'à un seul soldat, l'uniforme d'été pourrait servir à deux militaires. L'uniforme d'hiver restera en service encore plus longtemps aussi bien que les casques, les gilets pare-balle, les armes à feu et les couteaux.
L'uniforme actuel des soldats diffère considérablement du Ratnik par sa couleur, sa coupe et la structure des matériaux dont il est composé. Selon le ministre de la Défense Sergueï Choïgou, l'armée russe s'équipera d'ici 2015 d'un nouvel uniforme unifié destiné à l'usage quotidien. Les militaires n'auront donc pas besoin de changer pour utiliser le système Ratnik : ces nouveaux vêtements seront les mêmes pour tout le monde.
Iran has upgraded its S-200 long-range air defence missile system in an effort to improve its operational capability, Khatam ol-Anbia Air Defense Base commander brigadier general Farzad Esmayeeli has announced.
Esmayeeli was quoted by Fars News Agency as saying that a mobile launcher had been developed for the system, in addition to a sharp reduction in its detection-firing-tracing time.
''We have given mobility to the S-200 missile system, and the same plan to give mobility to all artillery and missile systems is on the agenda of the Air Defense Force," he said.
Working both online and in real-time, the upgraded system can also be employed for pinpoint targeting missions, and has successfully proved its capabilities in different tests.
"In the missile part of the system, we should say that S-200 is not only used against strategic and collective targets, but it can now be used for pinpoint targeting and can be guided to a very specific point," Esmayeeli added.
The optimised S-200 system is expected to be unveiled during the forthcoming military exercise, code-named Modafe'an-e Aseman-e Velayat 5, which is scheduled to be held in the next six months.
Designed by Almaz/Antei Concern of Air Defence in the 1960s, S-200 Angara is a long-range, medium-to-high altitude surface-to-air missile (SAM) system used to protect large areas from bomber attacks or other strategic aircraft between a 200km-350km range, depending on the variant used.
Also known as SA-5 Gammon, the single-stage missile features four jettisonable, wraparound solid propellant boosters, and utilises a radio illumination mid-course correction to move towards the target with a terminal semi-active radar homing phase.
Each battalion comprises six single-rail missile launchers and fire control radar, and can also be linked to other longer-range radar systems.
Entre le Japon et la Chine, rien ne va plus. On savait les deux pays très tendus à propos de plusieurs îles au cœur de la mer de Chine orientale, et les récents choix tactiques Japonais le confirment. Le pays ambitionne de se doter de satellites d'observation maritime, neuf au total, qui pourraient être lancés durant les cinq prochaines années. L'objectif est simple : repérer les actes de piraterie et détecter la présence de navires étrangers dans ses eaux selon Le Monde.
Entre le Japon et la Chine, rien ne va plus. On savait les deux pays très tendus à propos de plusieurs îles au cœur de la mer de Chine orientale, et les récents choix tactiques Japonais le confirment. Le pays ambitionne de se doter de satellites d'observation maritime, neuf au total, qui pourraient être lancés durant les cinq prochaines années. L'objectif est simple : repérer les actes de piraterie et détecter la présence de navires étrangers dans ses eaux selon Le Monde.
La marine américaine a annoncé le 8 juillet que l’avion maritime P-8A Poseidon de Boeing est opérationnel et prêt pour son introduction au sein de la flotte.
Les tests d’évaluation se sont achevés le 1er juillet mais le déploiement opérationnel du Poséidon aura lieu plus tard cette année.
En décembre 2013, six avions P-8A de la première unité de la flotte de l’US Navy seront intégrés dans l’escadron de patrouille (VP) 16 « War Eagles » à la base aérienne de Kadena à Okinawa, au Japon. Ils rejoindront les escadrons de P-3 et EP-3 Orion déjà sur place.
La marine américaine prévoit d’acquérir un total de 117 Poseidon. Développé sur la base de l’avion de ligne civil Boeing 737, ce biréacteur de 38.56 mètres de long et 38.8 mètres d’envergure présente une masse maximale au décollage de 83.5 tonnes. Conçu pour la lutte anti-sous-marine et la lutte antinavire, il pourra mettre en œuvre des missiles Harpoon et SLAM-ER, ainsi que des torpilles Mk50 et Mk54.
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