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October 14, 2013 6:04 AM
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Le ministre n'a pas tardé à évoquer la question lors de son allocution. "Je sais où l'on m'attend" a-t-il anticipé avant d'indiquer aux militaires du 152e RI qu'il ne voyait pas de "raisons d'inquiétude" quant à l'avenir du régiment, dans un contexte tendu de réductions d'effectifs dans l'ensemble de l'armée. En cumulant les effets de la loi de programmation militaire et l'application de mesures l'ayant précédée, le ministère de la défense doit procéder à 33.500 suppressions de postes d'ici à 2019. Il avait d'ailleurs annoncé jeudi dernier la suppression de 90 postes sur la base aérienne alsacienne de Drachenbronn. De possibles aménagements au sein de la Brigade franco-allemande Interrogé sur les révélations du journal le Figaro, suggérant la dissolution du 110e régiment d'infanterie stationné à Donaueshingen (Bade-Wurtemberg), le ministre de la défense a réaffirmé qu'aucune menace de pesait sur la Brigade franco-allemande mais qu'il n'était pas impossible qu'elle soit soumise à une réorganisation. "Je n'ai pas encore pris de décision, je dois le faire en concertation avec mon homologue allemand". A l'écoute des militaires du rang Plus tôt dans la matinée, le ministre de la défense a visité longuement les installations du régiment d'infanterie colmarien, tenant à échanger avec tous les militaires quel que soit leur grade. Il s'est notamment rendu dans les chambrées et s'est inquiété de savoir ce que les militaires de la base pensaient de leurs conditions et de leurs outils de travail. "C'est le rôle d'un ministre que d'être auprès de ses militaires" a expliqué Jean-Yves Le Drian, "je l'ai fait sur les théâtres comme au Mali ou au Liban, je viens ici tout naturellement".
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September 27, 2013 11:36 AM
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Rolls-Royce has achieved a 17% power increase for the AE1107C turboshaft engines that it provides for the Bell-Boeing V-22 Osprey tiltrotor aircraft, according to company officials. "The extra power will improve [the aircraft's] performance at higher altitudes," company spokesman George McLaren told IHS Jane's on 17 September during the Air Force Association's annual conference at National Harbor, Maryland. The engine improvement is the result of three changes, according to McLaren. First, Rolls-Royce added a new Block 3 turbine that it has been installing into all new V-22s and replacing the turbines on older aircraft during regular maintenance, beginning in mid-2012.
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September 27, 2013 7:01 AM
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Rappelant que l'Etat était le principal actionnaire et premier client du constructeur naval, le ministre de la Défense n'a pas apprécié les commentaires du PDG de DCNS Patrick Boissier concernant l'impact de la loi de programmation militaire (LPM) sur ses grands programmes. Cela s'appelle en prendre pour son grade. Patrick Boissier, PDG du constructeur naval DCNS, détenu à 64% par l'Etat, s'est fait vertement recadré par le ministre de la Défense à l'occasion d'une interview parue mercredi 25 janvier dans le quotidien Ouest-France. D'une part, le ministre s'est montré "surpris" des commentaires de l'industriel devant le report prévu des commandes d'Etat. D'autre part, il a rappelé avec autorité les prérogatives de chacun. "M. Boissier doit rester dans le cadre de ses fonctions. Ainsi, en matière d'actionnariat, le décideur c'est moi", déclare M. Le Drian. "Je voudrais rappeler que c'est le ministère de la Défense qui est le premier client de DCNS et l'Etat le premier actionnaire de DCNS", ajoute le ministre. Il a enfoncé le clou: "quand on négocie, il vaut mieux s'adresser à ceux qui détiennent le pouvoir de décision". Des craintes sur l’emploi Ce cinglant rappel à l'ordre intervient alors que le parlement est en train d'examiner la loi de programmation militaire (LPM) qui doit définir les différents crédits accordés aux grands programmes sur la période 2014-2019. Le consensus affiché qui avait été de mise jusqu'ici entre les principaux protagonistes du secteur de la défense, et notamment durant les universités d'été de la défense de Pau le 9 et 10 septembre dernier où tous les industriels s’efforçaient de faire bonne figure, commence à fissurer. D'autant plus que durant leurs auditions devant la commission de la Défense de l'Assemblée nationale, les principaux dirigeants n'hésitent pas à faire part de leurs craintes des impacts de la LPM en termes d'emplois. Une production revue à la baisse Lors de son audition le 18 septembre dernier, le patron de DCNS avait chiffré les pertes d'emplois potentielles liées aux étalements de commandes de ses différents programmes. La LPM repousse de deux ans l'achèvement du programme sous-marins Barracuda. "Cet étalement aurait un impact sur la charge annuelle équivalent à terme à 500 emplois pour DCNS et sous-traitants sur l’ensemble des sites", a précisé Patrick Boissier. L'industriel s'est dit également préoccupé du rythme de production revu à la baisse pour les frégates qui passerait de 10 à 14 mois. Là encore, 500 emplois seraient menacés chez DCNS et ses partenaires. Enfin, le dirigeant a évoqué devant les députés l'opportunité de réaliser des alliances. "(...) des alliances au niveau européen indispensables face aux nouveaux entrants asiatiques sur le marché ne pourraient se faire sans une diminution de la part de l’État", a-t-il précisé devant les députés. Il est clair que ce rappel à l'ordre adressé à Patrick Boissier vaut pour ses collègues à la tête des autres groupes de défense, Marwan Lahoud d’EADS France, Jean-Bernard Levy chez Thales, Philippe Burtin chez Nexter... pour qui l'Etat est l'actionnaire de référence ou le principal client en matière d’armement. Hassan Meddah
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September 27, 2013 6:56 AM
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EADS, BAE Systems et Finmeccanica espèrent encore vendre leur Typhoon à la Corée du Sud. Le pays a relancé le 24 septembre le plus gros appel d’offre de son histoire (une commande de 60 avions), alors que Boeing pensaient avoir remporté la partie. Eurofighter est toujours en course pour vendre son Typhoon à la Corée du Sud. Les américains de Boeing pensaient avoir remporté l’appel d’offre le plus important jamais passé par Séoul : 7,7 milliards de dollars pour 60 avions de combats. Mais les Coréens en ont décidé autrement. Les autorités du pays ont annoncé le 24 septembre que la procédure d’appel d’offre allait être reprise à zéro. Le consortium a encore une chance de remporter la bataille. "Ça vaut la peine parce que nous avons maintenant un produit beaucoup plus au point qu'il y a cinq ou dix ans", a affirmé le patron d'EADS (qui fait partie d'Eurofighter) Tom Enders le 26 septembre à l’AFP. "Nous avons fait une offre très concurrentielle et très substantielle", a-t-il ajouté. Le consortium européen a proposé à la Corée du Sud d’assembler elle-même l’appareil.
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September 27, 2013 4:38 AM
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Parmi les petites histoires de la grande misère des armées, celle-ci illustre bien les défis du moment. Dans une note adressée le 18 juillet à "toutes unités", le lieutenant-colonel X., chef du "groupement de soutien" de la base de défense de Strasbourg-Haguenau, évoque une pénurie : "La distribution en casques lourds modèle F1 devient problématique en raison du non-approvisionnement (défaut de marché) de ce type de matériel." Le casque que doit percevoir tout soldat de l'armée de terre a fondu dans la bureaucratie complexe de la défense. "A court terme, les magasins HCCA ne seront plus en mesure d'équiper le personnel nouvellement incorporé", regrette la note. Les soutiens des armées vont être réorganisés. Ce sujet, majeur, est source de tensions entre re...
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September 26, 2013 8:26 AM
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Le holding russe Uralvagonzavod et le groupe français Sagem créeront conjointement des véhicules de combat, a annoncé mercredi à Nijni Taguil Oleg Sienko, directeur général du holding russe. "Nous avons retenu une base à Nijni Novgorod où nous fabriquerons nos produits. Nous avons avancé avec Sagem dans le domaine de la coproduction", a indiqué M.Sienko lors du Salon d'armements international Russian Arms Expo-2013. Selon lui, les sociétés russe et française coopèrent sur les dispositifs terrestres, les viseurs et les systèmes de surveillance. "A mon avis, nous créerons le premier lot de véhicules de combat en 2013", a ajouté le responsable. Uralvagonzavod et la société française ont également progressé dans la modernisation et la commercialisation de matériels.
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September 26, 2013 4:36 AM
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MANILA — The United States gave the Philippine military six patrol boats Wednesday to be used in a southern region where armed Muslim militants are active, the military said. The small-unit riverine craft (SURCs) are part of a US programme to train and equip foreign military forces for "counter-terrorism", Philippine Navy chief Vice Admiral Jose Alano said in a statement. "The SURCs will be deployed to augment our sea-based forces to address terrorism and lawlessness such as the current crisis in Mindanao," Alano added. For the past three weeks, thousands of elite troops have been battling Muslim guerrillas of the Moro National Liberation Front (MNLF) who occupied several coastal villages in the key southern port of Zamboanga on Mindanao island. Mindanao and nearby island groups are also a hotbed of other armed groups including communist guerrillas, bandits and Abu Sayyaf, an Islamic extremist group blamed for the country's worst terror attacks. Funded by the late Al-Qaeda mastermind Osama bin Laden in the 1990s, Abu Sayyaf has targetted foreigners with kidnappings for ransom. The group killed two Americans in a 2001 hostage crisis that lasted more than a year. US troops have been based in the southern Philippines since 2002 to help train local troops in hunting down members of the Abu Sayyaf, which is on the US government's list of so-called foreign terrorist organisations. Designed to patrol rivers and coastal areas, the high-speed, small-unit riverine craft can carry 14 fully-armed marines and six crew members, Philippine marine spokesman Captain Rowan Rimas told AFP. The boats are worth a combined $12 million, he added.
Via Patrick H.
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September 26, 2013 4:36 AM
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Kochi, Sept. 25: INS Vikramaditya (Admiral Gorshkov), the $2.33 billion Russia-built aircraft carrier which will be delivered to Indian Navy on November 15 after a delay of nearly five years, will only have a one-year guarantee. Victor M. Komardin, Deputy Director-General of Rosoboronexport, Russia’s state-owned arms exporter, told media persons here that during the guarantee period, a team of Russian engineers would be stationed in India to take care of “every single screw of the ship.” Komardin said the warship which would be handed over at the Sevmash shipyard near Moscow, will arrive in Mumbai in February. Asked about retrofitting the ship with LR-SAM (long-range surface to air missiles) being built jointly by India and Israel, he said Vikramaditya was already an Indian Navy’s asset and that the Navy was free to do whatever it wanted to. But it would have to conform to the Russian design parameters. Arms supplies Komardin said for Russia defence co-operation and arms supplies are a part of its politics of friendship. “For us, politics comes first, then comes economics,” he stressed. Though regimes had changed in Russia, politics had not. Indo-Russian exports and imports had been going up every year all along. Russia’s engagement with Indian industry was much stronger and wider than other countries,” he claimed. He said India and Russia were “genetically friendly” and that the Russian side wanted to carry on the current defence co-operation. He noted that though Russia had traditionally been India’s largest supplier of defence requirements, India was now increasingly sourcing its needs outside of Russia. He said Russia appreciated India’s efforts to indigenise defence production.
Via Patrick H.
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September 26, 2013 4:08 AM
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A l'approche de la Coupe du monde de football en 2014 et des Jeux olympiques en 2016 qui auront lieu au Brésil, Embraer renforce ses positions dans la sécurité. L'avionneur a annoncé avoir racheté les 50% restants d'Atech Negocios em Tecnologia. Le constructeur des E-Jets avait déjà acquis la moitié du capital en 2011, et devient donc le seul actionnaire de l'entreprise. Atech développe des solutions de contrôle et d'intelligence électronique. Son intégration va permettre à Embraer de proposer des solutions de surveillance et de sécurité intégrée, à quelques mois d'un des plus grands événements sportifs mondiaux. Le montant de la transaction n'a pas été révélé, mais Atech a réalisé en 2010 un CA de 22 millions d'euros. Un résultat que l'entreprise espèrait doubler à l'époque, grâce à la prise de majorité d'Embraer.
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September 25, 2013 11:59 AM
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Boeing Research and Technology vient de dévoiler un modèle réduit du « Phantom Swift », futur démonstrateur d’aéronef à décollage et atterrissage vertical (VTOL). Les équipes de l'avionneur américain ont réussi l'exploit de concevoir et fabriquer ce projet en moins d’un mois. Elles ont ainsi pu l'inclure dans leur proposition pour l’appel d’offre du programme « VTOL X-plane », lancé par la Darpa. L'engin se distingue par sa configuration à quatre hélices, dont deux en tandem intégrées dans le fuselage et deux, carénées et orientables, en bout d'aile. Avec ce programme, qui doit démarrer en octobre, l’agence de recherche militaire américaine cherche à améliorer la vitesse maximum des VTOL sans pour autant amoindrir leurs ca
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September 25, 2013 10:32 AM
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Auditionné le 17 septembre par la commission de défense de l'Assemblée nationale, le président directeur général de Safran Jean-Paul Herteman n'a pas caché son inquiétude quant à l'avenir de l'un de ses programmes phares : le kit de guidage AASM (armement air-sol modulaire), munition air-sol développée spécifiquement par Sagem (filiale de Safran) pour équiper le Rafale. Ce programme, dont la réalisation avait été confiée en 2000 à Sagem, a abouti depuis 2007 à la livraison de 1216 kits pour les forces françaises, selon le projet de loi de programmation militaire (LPM) pour 2014-2019. Seuls 532 kits supplémentaires devraient être livrés d'ici à 2019, selon ce même document. D'après le patron de Safran, il était initialement prévu "un plancher indicatif de 200 armes par an pour la France". On est donc loin du compte. Par ailleurs, "les exportations sont presque nulles", déplore Jean-Paul Herteman. L'AASM n'a été vendu qu'au Maroc, pour équiper des Mirage F1 modernisés, et à l'Arabie Saoudite qui souhaitait armer ses Tornado IDS avec cette munition à tout faire. Le pdg rappelle que les perspectives d'exportation au lancement du programme étaient d'environ 10.000 unités. "Nous sommes fiers d'avoir développé ce système pour nos forces, mais il n'est pas loin de constituer un acte anormal de gestion !", a-t-il ajouté. Les perspectives d'exportation de l'AASM restent pour l'heure très liées à celles du Rafale, même si le feu vert donné par la DGA à une intégration sur Tornado montre que les esprits sont en train de changer. "Si l’on veut qu’il continue d’être un atout pour le Rafale, il faut l’exporter, ce qui suppose un effort à la fois diplomatique, industriel et économique", a ainsi déclaré Jean-Paul Herteman au sujet de l'AASM. Envisagé par l'Arabie Saoudite, l'intégration de cette munition sur Eurofighter Typhoon se heurte pour l'instant à un refus de l'administration française, soucieuse de ne pas faire d'ombre au Rafale sur les marchés export. Sagem produit l'AASM à Montluçon, une "zone industriellement peu favorisée" où la société s'est installée "pour un investissement de 53 millions d'euros". Jean-Paul Herteman rappelle par ailleurs que Sagem a investi au total environ 140 millions d'euros dans le programme AASM.
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September 25, 2013 9:52 AM
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Le 9 septembre 2013, un chasseur de la Japan Air Self- Defense (JMSDF) a intercepté un drone qui se dirigeait vers Okinawa depuis l’espace aérien chinois. Le drone photographié disposait d’un rmoteur, d’un double empennage avec des ailerons inclinés vers l’extérieur, et une tourelle optique qui correspond à la description du BZK-005. L’armée de l’air japonaise a suivi le drone qui se dirigeait vers le détroit de Miyako entre Okinawa et les îles Miyakojima. À environ 170 km du détroit , il a effectué une patrouille circulaire avant de retourner vers la Chine. Le BZK -005 a déjà été vu dans une vidéo promotionnelle du groupe AVIC au salon aéronautique de Zhuhai en 2006. Et en octobre 2009, deux plates-formes ont été photographiés sur un aérodrome près de Pékin. Il semble que le drone soit très similaire au Heron fabriqué par Israel Aerospace Industries (IAI), en s’ajoutant une autonomie d’environ 40 heures à une altitude maximale d’environ 26.000 pieds. Le drone chinois a effectué sa patrouille un jour après que la JASDF découvre deux bombardiers Xian H-6 qui survolaient le détroit de Miyako qui coïncidait aussi avec le premier anniversaire de la nationalisation partielle des îles Senkaku (Diaoyutai), qui sont également revendiquées par la Chine et Taiwan. Le ministère de la Défense japonais a également publié des images prises par un avion de patrouille maritime P-3C Orion montrant deux frégates type 054A, Yiyang (fanion 548) et Changzhou (549), à environ 100 km au nord-est des îles Miyakojima. Reste que cette observation d’un drone – qui est certainement d’origine chinoise – permet au Japon de justifier ses récentes initiatives pour accroître sa force militaire à Okinawa avec l’arrivée de F-15J/DJ Mitsubishi Eagles et d’avions de surveillance E-2 Hawkeye Northrop Grumman.
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September 25, 2013 9:24 AM
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Thales has signed the first contract to provide through-life support for six MRR (Multi-Role Radar) systems aboard Royal Norwegian Navy Skjold-class corvettes. The five-year contract with the Norwegian Defence Logistics Organisation (NDLO) highlights the company’s excellent relations with its Norwegian customer. The Royal Norwegian Navy acquired six Thales MRR radars for a fleet of six Skjold-class corvettes delivered between 2010 and 2013. MRR radars provide long-range 3D air and surface surveillance combined with vessel self-defence and threat evaluation capabilities. This is Thales's first support contract for this type of radar. The contract is tailored to the exact maintenance requirements of the customer and brings NDLO access to the full range of Thales skills and experience in naval defence and radar systems. It is based on a business model that ensures optimal system performance from service entry and throughout the equipment life cycle. For Thales, this partnership with NDLO sets up the first worldwide reference for this equipment.
Via Patrick H.
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October 14, 2013 5:10 AM
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Coup de théâtre dans le long processus de la vente des 126 Rafale à l’Inde : l’homme clef des négociations du côté de New Delhi, Arun Kumar Bal, est mort mercredi matin d’une crise cardiaque. « Joint secretary » au sein du ministère de la Défense, il était chargé de deux très gros dossiers : l’acquisition des avions de combat pour l’armée de l’air, donc, et l’enquête sur les faits de corruption présumés dans l’acquisition de douze hélicoptères à AgustaWestland, la filiale de l’italien Finmeccanica. A New Delhi, certains estiment que ce décès porte un mauvais coup aux espoirs de conclusion rapide des négociations entre l’Inde et Dassault, tant Arun Kumar Bal occupait un rôle central dans le processus. « Il y a une notion de responsabilité quasi personnelle dans l’organisation de l’administration indienne, explique un bon connaisseur des procédures. Le “joint secretary” est l’homme chargé du dossier, c’est lui qui négocie, c’est lui qui décide quand le contrat est prêt et peut être signé. » Dès lors, ses responsabilités ne sauraient être reprises au débotté par un adjoint, quel qu’il soit, estime ce professionnel : « Il faudra qu’un remplaçant soit nommé en bonne et due forme, et les politiques vont y réfléchir à deux fois avant de choisir quelqu’un pour un poste aussi exposé. » Le nouvel arrivant devra ensuite prendre les affaires en main, ce qui ne se fera pas du jour au lendemain. Un contrat très sensible Quand un remplaçant de Bal aura repris le dossier et mené les négociations à leur terme, le processus ne sera pas encore terminé. Il devra rédiger une note conclusive sur les termes de l’accord. Cette note commencera alors un parcours tortueux dans l’administration, afin d’obtenir l’aval de nombreux responsables : toute la hiérarchie du ministère de la Défense, celui des Finances, le bureau du Premier ministre… Chaque niveau de l’administration demande des explications et fait des observations, ce qui prendra du temps, pour écarter tout risque d’irrégularité. Dans un pays plombé par des affaires retentissantes de corruption, le mégacontrat des avions de combat est très sensible. Puis, quand tout le monde aura la conviction que tout a été fait dans les règles, le dossier partira alors au conseil des ministres pour approbation finale au plus haut niveau de l’Etat. Du coup, beaucoup estiment qu’il faudra encore plus d’un an, d’autant que des élections générales auront lieu en mai prochain et qu’un nouveau gouvernement pourrait réexaminer le dossier. Les espoirs d’une conclusion du contrat par le « joint secretary » avant les élections sont donc sans doute compromis par le décès d’Arun Kumar Bal. De source proche du GIE Rafale, on tempère toutefois les conséquences du décès, estimant que la désignation du remplaçant ne devrait pas prendre plus d’une semaine.
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September 27, 2013 11:34 AM
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Northrop Grumman est en train de mettre la touche finale au premier prototype de MQ-8C. Ce drone à voilure tournante, développé pour le compte de l'US Navy, a réalisé ses premiers essais de point fixe le 20 septembre dernier, sur la base de Ventura County, en Californie. Il devrait voler prochainement. Le MQ-8C est le nouveau membre de la famille Fire Scout de Northrop Grumman, qui compte déjà le MQ-8B. Ce dernier est déployé depuis 2011 en Afghanistan, par l'US Navy. Avec plus de 5000 heures de vol au compteur, il a notamment été utilisé pour des missions de surveillance, de ciblage et de lutte contre les engin explosifs improvisés (IED). Avec le MQ-8C, l'US Navy va se doter d'un engin à la charge utile beaucoup plus importante : prenant comme base le Bell 407, il peut emporter 450 kg de charge utile en interne, et 1,2 t sous élingue. Des caractéristiques pas vraiment comparable avec celles du MQ-8B plus petit, car dérivé du de l'hélicoptère d'aéroclub Schweizer 333, et dont la distance franchissable est par ailleurs inférieure de 30 %. Outre l'intégration de divers équipements (capteurs optroniques-infrarouges, radar, système d'écoute et recueil électroniques, etc.), le MQ-8C pourrait donc également réaliser des missions de transport de charge. Pour l'heure, Northrop Grumman a réussi des contrats pour la fabrication d'un total de 15 MQ-8C. La marine américaine pourrait en acquérir jusqu'à 30 exemplaires. Il est prévu que le premier MQ-8C soit opérationnel en 2014.
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September 27, 2013 6:58 AM
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Le 21 septembre 2013, le premier porte avion chinois baptisé Liaoning est rentré au port de Quingdao, situé dans la province de Shandong. Il a réalisé sa plus longue mission en mer depuis sa mise en service en septembre 2012. Plusieurs tests de décollages et d’atterrissages ont été effectués avec succès sur l’appareil.
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September 27, 2013 6:05 AM
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ROYAL AIR Force/101 Squadron VC10 K3 ZA147 ‘F’, the last of the type airworthy anywhere in the world, completed its final on Wednesday 25th September. After being delayed by lingering fog, the aircraft finally took off from RAF Brize Norton, Oxfordshire, for Bruntingthorpe, Leicestershire, where it landed safely. The aircraft will now be reduced to scrap.
The type is being replaced in RAF service by the new Voyager, provided by the Air Tanker consortium. Pending entry into service of the full complement of Voyagers, some of the VC10′s tasks are being undertaken by the RAF Tristars of 216 Squadron, which are also scheduled for retirement shortly. A tentative date of March 14, 2014, has been set for Tristar withdrawal, although this could be extended by up to six months.
One of the VC10 taskings most recently taken over temporarily by a Tristar is that of providing air-to-air refuelling support to the four Typhoon FGR4s of 1435 Flight at RAF Mount Pleasant in the Falkland Islands. No 1312 Flight at Mount Pleasant had previously operated a detached VC10 K3 for this role, but this has now been replaced by one of 216 Squadron’s Tristars from Brize Norton. Ultimately, it is planned to detach a Voyager to 1312 Flight, after the Tristar fleet is retired.
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September 26, 2013 8:57 AM
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Avec 1000 hommes de plus dans ses effectifs, les forces spéciales (FS) bénéficient d’une politique de recrutement active. Selon le dernier Livre Blanc sur la Défense et la sécurité nationale, «elles se sont imposées comme une capacité de premier plan dans toutes les opérations récentes». Du recueil de renseignement sur un théâtre à la libération d’otages, leur périmètre d’intervention est aussi vaste que discret. Depuis une vingtaine d’années, l’armée de l’air a dédié deux de ses unités au profit des opérations spéciales. L’escadron de transport 3/61 «Poitou» met en œuvre des Transall, Hercules et Twin Otter, (et prochainement A400M) au profit de l’ensemble des forces spéciales. Infiltration, extraction, appui aérien les équipages de cet escadron unique en France répondent aux besoins du commandement des opérations spéciales (COS). Le «Poitou» fait entrer la France dans le club très fermé des trois nations au monde à disposer d’une aviation forces spéciales de haut niveau (France, États-Unis et Royaume Uni). Outre les missions traditionnellement dévolues aux forces spéciales, le commando parachutiste de l’air n°10 apporte une expertise unique dans le domaine de l’aéronautique directement sur le terrain. Faire poser un avion de transport sur terrain sommaire, reprendre une plateforme aéronautique aux mains des ennemis, guider les avions de chasse pour détruire des cibles… rien ne saurait se faire sans «une culture aéronautique et un savoir-faire commando», la formule gagnante du CPA 10.
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September 26, 2013 4:37 AM
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Le vol, d’une durée deux heures, avait pour objectif la prise en main du vecteur, et de son capteur, par un équipage constitué de deux pilotes opérateurs, ayant déjà une expérience sur les systèmes drones français. Ce premier vol vient parachever une formation théorique et pratique d’une durée de cinq semaines, ainsi que 5 heures de vol sur simulateur. Le Livre blanc a défini quatre principes pour notre futur modèle d’armée qui sont au fondement des choix d’équipement présentés par la loi de programmation militaire. Le premier de ces principes est l’autonomie stratégique qui vise à permettre à la France de disposer de sa liberté de décision et d’action. Pour satisfaire à cette exigence, la loi prévoit de renforcer les capacités permettant la prise d’initiative dans des opérations simples et probables, notamment en développant le renseignement (par exemple, livraison de drones moyenne altitude longue endurance - MALE). C’est pourquoi le projet de loi de programmation prévoit, un effort inédit dans les domaines du renseignement en visant, entre autres, l’acquisition de 12 drones MALE de type Reaper. La livraison des 2 premiers vecteurs et d’une station-sol est prévue à compter de la fin de l’année. Afin que l'armée de l'air soit en mesure de les mettre en œuvre, le plus tôt possible, 3 équipages de l’escadron de drones 1/33 «Belfort» de la base aérienne 709 de Cognac sont actuellement en formation à Holloman Air Force Base. Les autres équipages doivent réaliser leur premier vol rapidement.
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September 26, 2013 4:36 AM
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ACCORDING to a long-submerged report by the Defence Materiel Organisation, the navy's Collins-class submarines are so riddled with faults there is a high to extreme risk they will be retired before replacements can be built; the Royal Australian Navy's six submarines are becoming heavier, noisier and hotter. Reports by The Australian's Cameron Stewart suggest the nation could be undefended by submarines for a long period during the next decade. It does the previous Labor government no credit that last year's DMO report was never released. Former defence minister Stephen Smith cherry-picked its contents, announcing last December the DMO found "no single technical issue would fundamentally prevent" the vessels achieving their indicative service life - neglecting to say the DMO identified 68 major systems that posed risks to the submarines ever achieving their life expectancy (from 2024 to 2031) or an extension of seven years. Reviving and extending the life of the Collins-class boats is not impossible, but it will be difficult and costly, perhaps even futile. According to the Australian Strategic Policy Institute, there is a danger in latter years the fleet could be militarily obsolete, just like the F-111 strike bomber - "effectively useless" as a weapon of war for the last decade of its service life. The Abbott government faces three unpalatable options: a high-risk upgrade to the fleet, the expensive and messy purchase or lease of smaller interim vessels from Europe or an acceptance we will not have submarines for a period in the 2020s. The Coalition's pre-election policy was vague; it promised a final decision on the capability-gap issue within 18 months of taking office. Defence Minister David Johnston has justifiably been a critic of the vessels; he may have little choice but to prolong their service. The Abbott government has no time to waste. More daunting is a long-term commitment to 12 new submarines. The Coalition should not limit itself to the options of a more-evolved Collins-class boat or a hybrid off-the-shelf vessel from Europe. While the political imperative of building submarines locally is strong, the government should not rule out the cost and performance benefits of buying nuclear-powered Virginia-class vessels from our American ally.
Via Patrick H.
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September 26, 2013 4:09 AM
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Pas moins de quatre missiles balistiques tirés en deux jours : lorsqu'il veut vérifier le bon fonctionnement d'une composante de sa dissuasion, le Pentagone n'hésite pas à mettre le paquet. Du 10 au 12 septembre dernier, quatre Trident II D5 ont ainsi été lancés depuis un sous-marin nucléaire lanceur d'engins (SNLE) américain de classe "Ohio". Les missiles étaient évidemment dépourvus de leurs têtes nucléaires. Selon un communiqué publié hier par Lockheed Martin, maître d'oeuvre du programme Trident II D5, les quatre tirs ont été couronnés de succès. L'occasion pour l'industriel de se féliciter de la "fiabilité record" de cet armement, qui affiche désormais 148 tirs réussis à son actif. Une performance dont ne peut se targuer "aucun autre missile balistique" de cette catégorie, selon Lockheed Martin. En service depuis 1990 sur les SNLE de classe "Ohio", le Trident II D5 continue de faire l'objet de chantiers de modernisation. Un programme d'extension de vie (Life Extension Program, ou LEP) est en cours afin de garantir la pérennité du système jusqu'en 2040. Celui-ci porte entre autres sur un traitement des obsolescences de l'électronique embarquée, un remplacement des propergols et une amélioration des systèmes de guidage. Le missile ainsi modifié devrait être baptisé Trident D5LE et être mis en service di'ici à 2018-2019. Pour la seule année fiscale 2013, environ 1,5 milliards de dollars doivent être alloués au financement de ces activités. Parallèlement, les ogives nucléaires de l'engin (qui peut en emporter jusqu'à huit) sont en cours de modernisation au titre du programme W76-1, tout comme les corps de rentrée Mk4A dont les performances ont été améliorées, notamment dans le domaine du guidage terminal. L'équivalent français du Trident II D5, le M51.1, est actuellement sous le feu des projecteurs suite à un échec de tir survenu le 5 mai 2013 lors d'un essai d'intégration sur le SNLE "Le Vigilant". Un échec survenu trois ans après la mise en service de l'engin sur le SNLE "Le Terrible", et qui est en cours de résolution par les équipes d'EADS Astrium, concepteur du missile, et de la Direction générale de l'armement. Missile de compromis, le M51 se différencie de son prédécesseur le M45 (toujours en service sur deux SNLE français) par un premier et deuxième étages rénovés, mais conserve une "partie haute" relativement similaire. Ce qui explique le faible nombre de tirs d'essais (cinq seulement) qui ont été nécessaires pour mettre en service le nouvel engin. Ce n'est qu'avec le futur programme M51.3, qui prévoit de rénover la partie haute (guidage des têtes notamment), que le missile deviendra enfin le "M5" qui avait été imaginé à l'origine, mais dont les ambitions avaient été revues à la baisse pour raisons budgétaires.
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Romain
September 25, 2013 12:05 PM
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Les Etats-Unis vont financer la modernisation de deux avions de surveillance DA-42 nigériens fabriqués par Diamond Aircraft, comme l’indiquent nos confrères de Flight Global. Les aéronefs vont être équipés de boules optronique gyrostabilisées L-3 MX-15 fabriquées par le canadien Wescam comprenant de nouveaux capteurs infrarouges et optiques. Ces systèmes de haute technologie incluent des moyens laser, des systèmes de transmission et des logiciels de cryptage des écrans des opérateurs. Un des deux DA-42 sera doté en plus de systèmes de transmission par satellite offrant ainsi une interopérabilité accrue avec les éventuelles troupes au sol. L’US Military continuent ainsi de mettre à niveau les capacités ISR des pays de la région du sahel pour accroître leurs capacités de surveillance et de détection des groupes djihadistes circulant dans le désert. Etant donné les vastes zones à surveiller, les satellites et les avions de surveillance jouent un rôle clef pour repérer tout passage suspect dans les zones frontalières ou les aires habituelles de repli des groupes tels AQMI. C’est une traque dans laquelle est engagée également l’US Air Force avec au moins deux MQ-9 Reaper basés en permanence à Niamey. La France n’est pas en reste puisqu’elle déploie toujours trois drones Harfang depuis la capitale nigérienne. Les opérations de surveillance des drones se concentrent essentiellement sur le Mali et ses régions frontalières, où les forces françaises poursuivent leurs missions de patrouille et de démantèlement de stocks d’armes et d’explosifs. Au sujet des drones américains déployés dans le sahel, on lira l’excellent article publié par le Washington Post.
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Romain
September 25, 2013 11:09 AM
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C'est un impératif pour les Forces aériennes stratégiques (FAS) : à intervalles réguliers, celles-ci doivent démontrer au président de la République leur capacité à honorer le "contrat nucléaire" qui leur est fixé. C'est l'objectif des tirs d'évaluation des forces (TEF), qui mobilisent d'importants moyens afin d'offrir aux équipages et à la chaîne de commandement un scénario le plus "réaliste" possible. En l'occurrence, c'est un Mirage 2000N K3 de l'escadron EC-2/4 "La Fayette" qui a mené hier 23 septembre le tir d'essai d'un missile ASMP-A, celui-ci étant évidemment dépourvu de tête nucléaire. Parti de la base aérienne 702 d'Avord, site qualifié pour l'accueil des missiles et le stockage de têtes nucléaires aéroportées (TNA), l'équipage de l'avion a largué son missile à l'issue d'un vol d'environ trois heures. Un ravitailleur C135FR du GRV-2/91 "Bretagne" lui a conféré l'allonge nécessaire pour mener ce raid fictif. Le missile a été tiré au-dessus de l'océan Atlantique, sous le contrôle du site DGA Essais de missiles de Biscarrosse. Le 19 juin 2012, c'est l'EC-1/91 "Gascogne" qui menait un test similaire, marquant alors le premier TEF réalisé par le couple Rafale/ASMP-A associé au ravitailleur C-135FR. Entre ces deux dates, la Marine a également pu réaliser son propre TEF, démontrant ainsi le bon fonctionnement de la Force Aéronavale Nucléaire (FANu) qui peut elle aussi mettre en oeuvre le couple Rafale/ASMP-A depuis le porte-avions.
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Romain
September 25, 2013 9:53 AM
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Cette relance de l’appel d’offres cède à la pression de l’armée de l’air coréenne. Il s’appuiera sur un nouveau budget vraisemblablement plus élevé en mettant l’accent sur la furtivité ce qui place le F-35 de Lockheed Martin en favori. Le gouvernement coréen affirme que ce processus devrait prendre environ un an. La Republic of Korea Air Force (ROKAF) a initialement prévu d’acheter 120 chasseurs pour remplacer sa flotte actuelle de F-4 Phantom II et d’autres avions. Séoul a déjà acheté 60 chasseurs en 2 étapes dans le cadre du programme FX. En 2002, les Sud-Coréens ont choisi le F-15K de Boeing dont ils ont acheté 40 exemplaires. En 2008, un 2ème contrat a été signé pour 20 autres F-15K, avec de légères modifications. Pour la 3ème phase d’acquisition du programme FX, la question était de savoir si le futur F-15 sera une simple variante de leur flotte existante, ou quelque chose de nouveau. Bien que la Corée du sud rêvait de développer son propre avion de 5ème génération, la DAPA ne semblait pas en mesure de concilier la volonté de l’armée de l’air d’obtenir une technologie de pointe avec les contraintes budgétaires. Boeing semblait sur le point de gagner l’appel d’offres avec son F15-SE après que Séoul ait écarté le l’Eurofighter d’EADS le 18 août 2013. Aujourd’hui, il est probable que le F-15SE n’ira jamais en Corée du sud.
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Romain
September 25, 2013 9:51 AM
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Il existe deux versions du Hatchet: l’une qui s’utilise avec un système de guidage GPS, et une autre variante plus coûteuse qui inclut le GPS et le guidage laser semi-actif pour les bombardements de précision. « Quand je veux frapper une cible à travers une fenêtre, j’utilise un laser semi-actif », explique Tim Strusz, directeur du développement chez ATK pour les programmes avancés. ATK va commencer à tester la Hatchet, qu’elle a développée avec ses fonds propres, dans le dernier trimestre de 2013. Les essais commenceront avec un test en « carry captive » (« retenue captive »), suivis de frappes contre une cible inerte au début de 2014 pour démontrer l’efficacité de l’arme. Enfin, un test complet aura lieu avec une ogive à la mi-2014. L’ogive représente environ la moitié du poids de l’Hatchet et s’appuie sur un coffre électronique d’ATK pour la mise à feu. ATK a déclaré que des militaires américains étaient intéressés par la Hatchet car elle peut équiper une large éventail d’appareils habités comme le F-35 Lightning II JSF ou bien des petits véhicules aériens sans pilote. Les militaires américains « attendent juste l’échéance opérationnelle du Hatchet » selon Tim Strusz. Il ajoute que ATK s’investit beaucoup sur les petites armes en raison de la demande croissante de l’armée américaine pour des munitions qui minimisent les dommages collatéraux. La société construit également une arme plus connue sous le nom de « Hammer » d’une masse de 16 livres (7.3 kg) que l’armée américaine prévoit d’utiliser sur un drone RQ-7B Shadow (AAI) à la fin de 2013 et début 2014.
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