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Today, 8:35 AM
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Des images et témoignages non vérifiés font état d’une rupture catastrophique du canon de 125 mm d’un VT4 de l’armée thaïlandaise lors d’une phase de tirs
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Today, 8:29 AM
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Grâce au soutien politique et militaire du roi Louis XVI au Congrès continental, et donc à l’indépendance américaine à l’égard de la couronne britannique, la France est le plus ancien allié des États-Unis. « Notre partenariat précieux a été une force pour la liberté, la prospérité et la paix depuis le tout début », a ainsi souligné le président Trump, alors qu’il recevait son homologue français, Emmanuel Macron, à la Maison Blanche, en février. Mais ce « partenariat précieux », porté par l’alliance franco-américaine scellée en 1778, a cependant connu quelques accrocs. Comme lors de la « quasi-guerre » qui, entre 1798 et 1800, donna lieu à plusieurs combats navals entre les corsaires français et l’US Navy naissante jusqu’à la signature du traité de Mortefontaine. Le débarquement allié en Afrique du Nord du 8 novembre 1942 [opération Torch], auquel l’armée d’armistice française tenta de s’opposer [*], conformément aux ordres du régime de Vichy, avec lequel les États-Unis avaient jusqu’alors maintenu des relations diplomatiques. Quelques jours plus tôt, le sous-marin Le Tonnant [type M-6] avait été remis à flot après une brève période de maintenance à Casablanca [Maroc], où il était affecté avec Le Conquérant et le Sidi-Ferruch, deux autres navires du même type. Affichant un déplacement de 1 500 tonnes en surface [et 2 080 tonnes en plongée] pour une longueur de 92,30 mètres et un diamètre de 8,10 mètres, Le Tonnant était un « sous-marin océanique de grande patrouille ». Doté de deux moteurs diesel Schneider d’une puissance totale de 6 000 chevaux et d’une propulsion électrique Alsthom de 2 250 chevaux, il pouvait filer 10 nœuds en plongée. Mis en œuvre par 71 marins [5 officiers, 14 officiers mariniers et 52 matelots], il était armé de 9 tubes lance-torpilles de 550 mm, d’un canon de 100 mm et d’une mitrailleuse. Lancé en décembre 1934 par les Forges et chantiers de la Méditerranée [FCM] à La Seyne-sur-Mer, Le Tonnant fut admis au service actif en 1937, après avoir failli être « piraté » au profit de la marine républicaine espagnole lors de ses essais en mer. Envoyé en mission jusqu’en Indochine, il fut affecté, à son retour, à la 1re Flottille de la 2e Escadre, alors basée à Toulon. Puis, après avoir effectué plusieurs patrouilles en Méditerranée sous les ordres du lieutenant Vaisseau de Montesquieu, il fut désarmé dans le cadre des conventions d’armistice. Cependant, le Tonnant reprit du service en avril 1941. Après un déploiement à Dakar, il fut donc affecté à Casablanca dix-mois plus tard. Le matin du 8 novembre, des bombardiers-torpilleurs Grumman TBF Avenger de l’US Navy attaquèrent le port de Casablanca, tuant le pacha du Tonnant, le lieutenant de vaisseau Maurice Paumier, et blessant celui du Sidi-Ferruch, le capitaine de corvette Laroze. Malgré les dégâts [ballasts crevés], Le Tonnant appareilla sous les ordres du lieutenant de vaisseau Antoine Corre, pour rejoindre le Conquérant et le Sidi-Ferruch au large de Casablanca. Deux jours plus tard, Le Tonnant se risqua à attaquer le porte-avions USS Ranger, avec ses quatre dernières torpilles… ce qui l’exposa à un grenadage en règle dont il sortit indemne. Le 11 novembre, un cessez-le-feu venant d’être signé, son commandant ignora deux messages lui intimant l’ordre de regagner Casablanca. Ce qui lui fut fatal : alors qu’il naviguait en surface, il n’eut guère le temps d’éviter les grenades que venaient de lui lancer un hydravion PBY Catalina américain. Pour autant, les dégâts n’étant pas encore trop graves pour continuer à naviguer, le lieutenant de vaisseau Corre décida de mettre le cap vers Cadix. Sur place, il reçut l’ordre de rejoindre Toulon. N’étant pas en mesure de l’exécuter, il fit évacuer l’équipage avant de saborder Le Tonnant. Depuis, la position de ce dernier restait inconnue. Du moins était-ce le cas jusqu’au 11 novembre dernier… En effet, 83 ans plus tard, presque jour pour jour, une équipe de chercheurs et de plongeurs de l’Université de Bretagne Occidentale [UBO], emmenée par le professeur Erwan L’Her, a retrouvé l’épave de ce sous-marin. Et cela après avoir pu récupérer des documents dont l’analyse s’est avérée déterminante. « On a récupéré beaucoup d’éléments, jusqu’aux carnets de bord du commandant confiés par sa famille, qui ont été décisifs », a en effet expliqué le professeur L’Her, dans les pages du Télégramme. « Après plusieurs tentatives, dont des plongées sur site qui s’étaient révélées infructueuses en raison de la turbidité de l’eau dans l’estuaire du Guadalquivir, les recherches ont enfin abouti », s’est félicitée l’UBO, via un communiqué publié le 8 décembre. L’épave du Tonnant a été repérée grâce à un sondeur multifaisceaux mis en œuvre depuis le bâtiment océanographique de l’Université de Cadix. « En raison des conditions de mer, en particulier de la turbidité de l’eau, les seuls moyens d’identification disponibles pour l’instant sont les mesures de l’épave, comparées aux côtes des plans d’origine, ainsi que le repérage des structures », a expliqué l’UBO. Mais l’analyse des images est formelle : les éléments recueillis ont permis de « raisonnablement confirmer » l’identification du sous-marin. Désormais, l’équipe du professeur L’Her s’attache à repérer les épaves du Sidi-Ferruch et du Conquérant, ces deux sous-marins ayant sombré avec leurs équipages, après avoir été attaqués par méprise par la marine américaine après le cessez-le-feu du 11 novembre. [*] Pour comprendre les ressorts de cette affaire, voir le film « Carillons sans joie » de Charles Brabant, avec Paul Meurisse, Roger Hanin et Raymond Pellegrin. Photo : Sous-marin Ajax, identique au Tonnant
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Romain
Today, 8:25 AM
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L’an passé, dans le cadre du projet de « dronisation de l’aérocombat » de l’Aviation légère de l’armée de Terre, le 3e Régiment d’Hélicoptères de combat [RHC] a été mandaté pour évaluer la possibilité d’utiliser un drone FPV [à pilotage immersif] depuis une Gazelle en vol stationnaire. Ainsi, sous l’égide de la Section technique de l’armée de Terre [STAT], le 3e RHC a mené une expérimentation ayant consisté à installer, à bord d’une Gazelle, un opérateur censé contrôler un drone FPV représentatif d’une munition téléopérée [MTO] sur une distance de 5,5 km [soit une portée supérieure à celle d’un missile antichar HOT] afin d’atteindre un carré de 1,2 mètre de côté. Et cela afin d’évaluer les difficultés de mise en œuvre et de « caractériser la plus-value opérationnelle » d’un tel mode d’action. Cette expérimentation a été concluante. « Au-delà des potentialités opérationnelles offertes par une telle coopération [drone/hélicoptère], le gain financier, l’autonomie de fabrication et la manœuvrabilité en vol du drone par rapport à un missile s’avèrent des facteurs essentiels. Les effets dans les champs immatériels ne sont pas en reste car l’expérience en Ukraine démontre l’impact psychologique majeur du drone sur le champ de bataille. Difficilement décelable, il laisse planer une menace permanente sur les combattants ennemis », avait ainsi résumé Aérocombat, la revue officielle de l’ALAT, en juin dernier. Seulement, le drone FPV utilisé pour cette évaluation n’avait pas été lancé depuis la Gazelle. « La prochaine étape devrait être le lancement du drone depuis l’hélicoptère pour gagner en rapidité d’exécution, limiter la vulnérabilité de [ce dernier] et augmenter son employabilité quel que soit le terrain dans lequel évolue l’aéronef », avait en effet précisé Aérocombat. Or, pour cette étape, le concours de la Direction générale de l’armement [DGA] est incontournable, dans la mesure où il faut veiller à ce que le lancement d’un drone depuis un hélicoptère soit sans danger non seulement pour l’appareil mais aussi et surtout pour son équipage. D’où la campagne de « dérisquage de largage de mini-drones » qu’elle vient de réaliser avec succès, en collaboration avec le groupement aéromobilité de la STAT. « La DGA a mené des essais de largages des mini-drones Sector, X5 et Gekko 2 depuis un hélicoptère Gazelle pour valider la méthodologie et acquérir une première expérience en vue de permettre son utilisation par les forces », a-t-elle fait savoir, via le média social LinkedIn, le 12 décembre. Dans le détail, lors de cette campagne, réalisée au centre d’expertise DGA Essais en vol [DGA EV], des drones ont été largués et télépilotés par l’équipage de la Gazelle. « Les résultats obtenus démontrent la possibilité de larguer les drones et les contrôler en vue d’assurer leur mission jusqu’à des altitudes compatibles avec le vol tactique », a expliqué la DGA, pour qui le succès de ces essais « ouvre la voie à de nouvelles recherches et développements dans le domaine des drones ». Et d’ajouter : « Les travaux se poursuivent pour améliorer les systèmes de largage et de contrôle des mini-drones ». Pour rappel, le concept de dronisation de l’aérocombat repose en partie sur la notion d’Engins lancés par aéronefs [ELA]. Pour l’ALAT, l’objectif est de disposer des drones « en nombre et à coût maîtrisé » afin de donner la capacité à ses hélicoptères de frapper une cible à 20 km de distance, à mener une reconnaissance sans avoir à s’exposer ou bien encore de brouiller les dispositifs électroniques ennemis. L’un des enjeux est de ne pas alourdir la charge cognitive de l’équipage, ce qui suppose un recours à l’intelligence artificielle.
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December 13, 11:07 AM
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En parallèle, malgré quelques indices photographiques et la promotion commerciale du Su-57E, aucune annonce officielle d’ampleur comparable ne mentionne des
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December 13, 11:06 AM
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La lettre publique signée par des responsables d’IG Metall et des représentants d’Airbus relance l’hypothèse d’un développement parallèle de deux NGF au sein
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December 13, 11:01 AM
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La United States Space Force, avec le Bureau national de reconnaissance (NRO), a ouvert une acquisition à fournisseurs multiples pour des satellites
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December 13, 8:10 AM
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L’actualité remet au premier plan une offre russe combinant vente directe, transfert de technologie (ToT) et évaluation d’un assemblage local du Su-57E à
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December 13, 8:09 AM
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Canceling the Constellation class has left a glaring gap in the Navy's plans, but it now says it still wants to deliver a frigate by the end of the decade.
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December 13, 8:09 AM
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The Leopard is becoming the tank of choice in central and eastern Europe as Croatia joins Lithuania, the Czech Republic and Hungary in ordering the platform. Lithuania and Croatia have also signed for CAESAR howitzers.
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December 13, 8:09 AM
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SOURCE: RAUNAK KUNDE / NEWS BEAT / IDRW.ORG The Indian Army is undertaking a significant shift in the operational role of its man-portable air defence systems (MANPADS), preparing crews and equipment to better counter the growing threat of low-flying, sub-sonic cruise missiles. These missiles often skim close to the ground to avoid radar detection, making […]
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December 13, 8:02 AM
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Suite aux déclarations de l'ambassadeur américain en Turquie, plusieurs médias ont titré sur le retour de la Turquie dans le programme F-35 dans les mois à venir.
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December 13, 7:57 AM
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Avec « Pour le succès des armes de la France », Pierre de Villiers esquisse un réarmement de l’État, de l’armée et des esprits.
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December 13, 7:51 AM
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Les éditions Ouest-France publient un beau livre du photographe brestois sur les 400 ans de la Marine. Né d’un cliché fortuit d’un sous-marin, son parcou
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Today, 8:31 AM
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En 2014, faute de pouvoir se procurer de nouveaux sous-marins auprès de pays susceptibles de lui en livrer, Taïwan décida d’en construire par ses propres moyens… alors que sa base industrielle et technologique de défense ne possédait pas les savoir-faire nécessaires [matériaux, acoustique, capteurs, etc.] pour mener à bien une telle entreprise. Quoi qu’il en soit, après avoir notifié des contrats d’études à l’Institut national Chung-Shan pour la science et la technologie, au Ship and Ocean Industries R&D Center et à CSBC Corporation, Taipei lança le programme Hai Lung 2, avec l’objectif de construire huit nouveaux sous-marins à propulsion diesel-électrique afin de pouvoir, le cas échéant, briser un blocus imposé par Pékin ou de mettre en échec une opération amphibie de l’Armée populaire de libération [APL] sur son littoral. Grâce à l’appui discret de plusieurs pays, dont le Royaume-Uni et les États-Unis, CSBC Corporation posa la quille du Hai Kun [Narwhal], le premier sous-marin de conception locale, en 2020. Puis, trois ans après, ce dernier fut officiellement dévoilé peu avant son lancement. Affichant un déplacement d’environ 2 500 tonnes pour une longueur de 70 à 80 mètres, le Hai Kun serait doté d’un système de combat fourni par Lockheed Martin et aurait la capacité d’emporter des torpilles Mk-48 Mod 6 et de missiles anti-navires Harpoon Block II. « Pendant longtemps, construire localement des sous-marins était considéré comme une mission impossible. Mais aujourd’hui, un sous-marin conçu et construit par notre propre peuple est sous les yeux de tous – nous l’avons fait », s’était félicitée Tsai Ing-wen, présidente de Taïwan à l’époque. Seulement, le programme Hai Lung 2 a pris du retard. Et ce n’est qu’en juin dernier que le ROCS Hai Kun a commencé ses essais en mer. Essais qui ne se sont pas exactement passés comme prévu, rapporte le journal taïwanais Mirror Daily. En effet, lors de sa seconde sortie, le sous-marin a été victime d’une panne au niveau de son système hydraulique, laquelle a eu pour effet de bloquer son gouvernail en forme de X. Et cela alors qu’il naviguait en surface. L’équipage a donc été contraint d’actionner manuellement le gouvernail afin de faire demi-tour et de regagner le port, avec l’assistance deux remorqueurs. « Les sous-marins sont généralement équipés de plusieurs pompes hydrauliques indépendantes, entraînées par différents moteurs auxiliaires, électriques ou diesel, pour des raisons de sécurité. En cas de défaillance, le système principal bascule immédiatement sur un circuit hydraulique de secours. Afin de garantir la sécurité de ce dernier, une source d’alimentation supplémentaire est prévue pour les pompes de secours, assurant ainsi leur fonctionnement normal », a expliqué une source du Mirror Daily. Et si ces systèmes de secours ne fonctionnent pas non plus, alors l’ultime recours consiste à effectuer des « opérations manuelles », comme cela s’est donc produit à bord du ROCS Hai Kun. Sollicité par la presse après les révélations du Mirror Daily, l’état-major de la marine taïwanaise a fait valoir que « essais visaient à identifier les problèmes et à les résoudre ». « Les problèmes ont été résolus après le retour du sous-marin au port et ne se sont pas reproduits depuis », a-t-il ajouté, selon le Taipei Times. Actuellement, le ROCS Hai Kun se trouve au chantier naval de Kaohsiung pour y subir d’ultimes vérifications avant d’effectuer ses premiers essais en immersion. « On surveille de près l’état du sous-marin et on le soumet à des tests rigoureux avant de donner son feu vert aux essais de plongée et de remontée à la surface », a fait valoir le vice-amiral Chiu Chun-jung, le chef d’état-major de la marine taïwanaise. En tout cas, Taipei met la pression sur CSBC Corporation, l’industriel ayant été condamné, en octobre, à une amende pour chaque jour de retard pris dans la livraison du sous-marin, lequel aurait dû remis à la marine taïwanais en novembre. « Le montant total de la pénalité étant déduit du versement final », a précisé l’amiral Chiu. « Le projet progresse et tous ceux qui y travaillent font de leur mieux », a-t-il assuré. « Notre première préoccupation concerne bien entendu la qualité et la sécurité, qui passent avant le respect du calendrier de livraison. Les sanctions ne sont qu’un moyen pour contraindre le contractant à redoubler d’efforts pour exécuter la commande. Les sanctions ne sont pas notre objectif. Nous voulons surtout que la construction soit achevée », avait affirmé Wellington Koo, le ministre taïwanais de la Défense, en octobre.
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Today, 8:25 AM
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En octobre, organisée par le Commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes [CDAOA], l’édition 2025 de l’exercice de préparation à la « haute intensité » Volfa a mobilisé pas moins d’une cinquantaine d’aéronefs et plus d’un millier d’aviateurs. « Inspiré des enseignements tirés des conflits récents, Volfa 2025 intègre de nombreux raids aériens complexes, de jour comme de nuit, mettant en œuvre tout le spectre des opérations aériennes : supériorité aérienne, reconnaissance, déploiement agile, protection des forces ou encore opérations en conditions dégradées », avait alors expliqué l’armée de l’Air & de l’Espace. Mais il se pourrait bien que, dans un avenir proche, la « simulation massive en réseau » [SMR] joue un rôle dans des exercices de cette nature. Pour rappel, la SMR reprend les principes du « serious gaming » [jeu sérieux] et des jeux vidéos. En 2017, dans le cadre d’un projet d’innovation participative, l’Escadron de chasse 2/5 « Île-de-France », aujourd’hui dissous, s’était approprié ce concept en se dotant de six stations DCS [Digital Combat Simulator] afin de simuler des tactiques air-air pour ensuite les reproduire dans des conditions réelles. À cette fin, il avait sollicité l’entreprise RAZBAM Simulations pour reproduire aussi fidèlement que possible le système de navigation et l’armement du Mirage 2000C. Cette initiative fit florès car, en 2019, l’état-major de l’AAE décida de l’étendre à l’ensemble de ses unités, avec l’appui du Centre d’expertise Aérienne Militaire [CEAM] et l’Agence de l’innovation de défense. Et pour cause : si elle ne remplace évidemment pas l’entraînement en conditions réelles, la SMR offre plusieurs avantages, à commencer par celui de s’affranchir des contraintes de disponibilité des aéronefs. Peu coûteuse, elle permet surtout d’expérimenter de nouvelles tactiques, de passer outre certaines réglementations contraignantes qui s’imposent en « temps de paix », de rejouer des scénarios opérationnels autant de quoi que nécessaire, voire de produire des données qui alimenteront les algorithmes d’intelligence artificielle [IA] dédiés au combat aérien. « La Simulation Massive en Réseau complète la formation en vol des équipages et les simulateurs ‘haute-fidélité’ en offrant un environnement virtuel et opérationnel commun. En mettant en réseau des cabines de pilotage et des systèmes d’armes simplifiés, elle permet d’entraîner les forces aux procédures communes et à la coordination exigée par du combat collaboratif », résume le CEAM. Quoi qu’il en soit, la SMR est sur le point de franchir une nouvelle étape au sein de l’armée de l’Air & de l’Espace. Le 4 décembre, alors que les équipements nécessaires sont en cours de déploiement, une mission de synthèse a été effectuée en vue de prononcer une première capacité opérationnelle d’ici la fin de cette année. Dans le détail, et selon le CEAM, cette mission de synthèse a consisté à connecter seize cabines réparties sur six sites différents, afin de permettre aux opérateurs « d’interagir, de tester et développer des tactiques dans des scénarios complexes et exigeants représentatifs de la haute intensité ». Elle « a ainsi permis de faire évoluer la chasse [Luxeuil et Nancy], la défense sol-air [Avord], le contrôle de la défense aérienne [Tours et Mont-de-Marsan], les hélicoptères [Pau], etc. », a-t-il ajouté. L’an prochain, l’AAE a l’objectif de déployer une centaine de cabines interconnectées sur ses différentes bases aériennes. « Les ambitions futures incluent l’enrichissement de la SMR avec de nouvelles briques capacitaires, notamment des capacités ‘constructives’ générées par l’intelligence artificielle et une aptitude à l’interconnexion avec l’environnement ‘Live' », a expliqué le CEAM, via le réseau social LinkedIn.
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December 13, 11:11 AM
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La mise en regard, ces derniers jours, des capacités des armées britanniques face à la Russie pose une question simple, mais lourde de conséquences : la
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December 13, 11:07 AM
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Varsovie propose d’ouvrir le programme SAFE aux industriels américains pour financer l’extension rapide de ses forces. L’ambition affichée est claire :
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December 13, 11:06 AM
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Le « 2028 » désormais affiché pour la frégate de nouvelle génération de l'US Navy marque la dernière inflexion d’une réorientation accélérée après
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December 13, 10:59 AM
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Annoncé par l’Aviation Industry Corporation of China (AVIC), le vol inaugural du jiutian, dans la province du Shaanxi, marque la maturité d’un grand porteur
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December 13, 8:10 AM
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The Russian attack on the CENK-T cargo ship follows four recent Ukrainian attacks on Russian oil tankers.
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December 13, 8:09 AM
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Switzerland’s repeated efforts to induct a new fighter have hit a hurdle, with the planned 36 F-35As judged to be no longer affordable. Switzerland’s repeated efforts to induct a new fighter have hit a hurdle, with the planned 36 F-35As judged to be no longer affordable.
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December 13, 8:09 AM
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Les Pays-Bas commandent trois NH90 NFH, plus deux en option, pour renforcer leur capacité de lutte sous-marine.
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December 13, 8:07 AM
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ration émetteur/récepteur, combinée à des angles bistatiques optimaux, abaisse l’auto‑interférence et améliore la probabilité de détection. Les plages d’angles d’environ 30° à 130° ressortent comme efficaces pour minimiser l’énergie de fouillis, y compris dans des états de mer dégradés. Les auteurs de l’étude soulignent toutefois que les performances avancées rest
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December 13, 7:58 AM
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En dépit d'une hausse spectaculaire de l'effort de defense annoncée par Rome, les armées italiennes demeureront exsangues, mal entrainées et trop restreintes par rapport a la taille du pays.
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December 13, 7:57 AM
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Un rapport classifié du Pentagone, présenté sous l’intitulé « Overmatch Brief », décrit l’USS Gerald R. Ford comme une cible exposée à des attaques
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