Les résultats d’une étude sans précédent menée sur 43 sites de mesure européens et publiée ce 22 octobre 2025 dans la revue Nature, révèlent que la capacité des particules en suspension à générer du stress oxydatif dans les poumons varie en fonction des types d’environnement (urbain, rural, industriel, etc.) et de leurs sources d’émission. (...) Elle établit, en particulier, que ce stress oxydatif peut être jusqu’à trois fois plus élevé dans les zones urbaines à fort trafic routier qu’en zone rurale. Les données scientifiques produites constituent une base utile pour guider la définition de futures normes européennes en matière de qualité de l’air et guider les politiques de santé publique dans ce domaine.
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