AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT
170.6K views | +45 today
Follow
AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT
Une sélection d'articles sur le monde aéronautique, la vie des compagnies aériennes, les industriels aéronautiques, les grands contrats, les salons internationaux et les grands enjeux du secteur.
Curated by Romain
Your new post is loading...
Your new post is loading...
Scooped by Romain
November 11, 1:32 PM
Scoop.it!

Rolls-Royce : Le Trent 1000 XE succède au Trent 1000 TEN

Rolls-Royce : Le Trent 1000 XE succède au Trent 1000 TEN | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Rolls-Royce : Le Trent 1000 XE succède au Trent 1000 TEN - Moteurs & propulsion
No comment yet.
Scooped by Romain
November 11, 1:18 PM
Scoop.it!

Le SSJ-100 teste ses moteurs russes 

Le SSJ-100 teste ses moteurs russes  | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Le Sukhoi SSJ-100 équipé de moteurs entièrement russes a effectué ses essais sur piste mouillée.
ree

SSJ-100 lors des essais @ UAC

Les essais

Des spécialistes de PJSC Yakovlev et de United Aircraft Corporation (UAC) ont effectué une série d’essais de certification pour l’avion SJ-100 (numéro de queue 97023) à l’aérodrome de Ramenskoye à Joukovski, le principal centre d’essais aéronautiques de la Russie. Les tests visaient à confirmer la capacité de l’avion à décoller et à atterrir en toute sécurité sur des pistes recouvertes d’eau. De telles évaluations sont obligatoires pour la certification de tous les avions de ligne modernes et font partie du programme de navigabilité du Superjet entièrement localisé, selon le service de presse d’UAC.

Les tests ont eu lieu le 6 novembre dans une piscine d’essai d’eau spécialement conçue à cet effet, mesurant plus de 70 mètres (environ 230 pieds) de longueur et 12 mètres (environ 39 pieds) de largeur. La piscine a été divisée en sections où la profondeur de l’eau atteignait 30 mm (environ 1,2 pouce). Ces dimensions ont permis d’assurer des conditions standardisées, conformément aux normes réglementaires russes et européennes pour l’évaluation des performances des avions et la protection des moteurs dans des conditions de piste mouillée.



Au cours des évaluations, le SJ-100 a effectué plusieurs roulages dans la piscine remplie d’eau, en utilisant divers modes de fonctionnement du moteur, y compris l’inversion de poussée. L’ensemble du processus a été méticuleusement enregistré à l’aide d’instruments embarqués ainsi que de systèmes vidéo au sol et montés sur avion. Des représentants des autorités de certification et des ingénieurs de l’United Engine Corporation (UEC) étaient présents lors des essais.

Les résultats ont confirmé que la pulvérisation et l’ingestion d’eau n’ont pas nui au fonctionnement stable des moteurs PD-8 , soit un turboréacteur à double flux développé localement, ou du groupe auxiliaire de puissance (APU). Ces résultats valident la capacité de l’avion à fonctionner en toute sécurité sous les précipitations et sur des pistes mouillées.

Ces essais sur piste mouillée complètent les étapes précédentes du programme de certification SJ-100. Auparavant, l’avion avait fait l’objet de contrôles de stabilité et de contrôlabilité à des vitesses supérieures à ses limites opérationnelles. Le 25 juin, l’avion 97023 a atteint une vitesse de 334 nœuds (environ 385 mi/h ou 619 km/h) et une vitesse de Mach 0,87. En août, les ingénieurs ont évalué le système de contrôle intégré (ICS), évaluant la capacité de l’avion à sortir d’assiettes extrêmes en tangage et en roulis, y compris les sorties au-delà de la VMO (vitesse maximale d’exploitation) et du MMO (nombre de Mach maximal d’exploitation). Plus récemment, le 29 octobre à l’aérodrome de Ramenskoye, le système d’inversion de poussée du moteur 8 a été testé sur diverses configurations de volets d’aile.

La certification complète de l’avion et des moteurs 8 est prévue d’ici la fin de l’année en cours.



Aviadvigatel PD-8

Le moteur, développé par United Engine Corporation (UEC), filiale de Rostec, est un turboréacteur à haut taux de dilution basé sur le PD-14, plus grand, lui aussi en cours de développement. Plus ou moins comparable au Pratt & Whitney PW6000, ce moteur est destiné à remplacer le PowerJet SaM146 développé par une coentreprise entre le Français Snecma et le Russe NPO Saturn.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 11, 1:16 PM
Scoop.it!

Il y a 20 ans, l’Europe partait explorer la planète Vénus

Il y a 20 ans, l’Europe partait explorer la planète Vénus | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Le 9 novembre 2005, la sonde Venus Express de l’Agence spatiale européenne partait pour l’étoile du Berger. Une première pour l’Europe.

En mars 2001, l’Agence spatiale européenne décide de se lancer à son tour dans l’exploration de la planète Vénus, l’astre le plus brillant visible à l’œil nu après le Soleil et la Lune. Vénus n’a jusqu’alors été approchée et étudiée que par les Américains et les Russes : les premiers effectuaient le 14 décembre 1962 le premier survol (avec la sonde Mariner 2), tandis que les seconds sondaient in situ l’atmosphère le 18 octobre 1967 (Venera 4), puis se posaient sur le sol le 15 décembre 1970 (Venera 7) pour livrer en octobre 1975 les premières images de la surface (Venera 9).


En savoir plus sur la dynamique atmosphérique de Vénus

Alors que toutes ces missions venaient de révéler un monde particulièrement inhospitalier, l’Europe souhaite apporter sa contribution afin de comprendre comment Vénus a pu devenir ce monde infernal à la température et à la pression élevées, respectivement de 460°C environ et de 93 bars… Dans le cadre de son programme Horizon 2000+, l’ESA décide en mars 2001 de construire une sonde vénusienne ayant pour objectif principal l’étude des couches atmosphériques (composition, dynamique), afin de décrypter l’effet de serre que Vénus connait, ainsi que l’échappement dans l’espace d’une partie de son atmosphère – en raison du vent solaire frappant les hautes couches atmosphériques. Un objectif subsidiaire s’ajoute, celui de l’étude de l’activité volcanique de la planète – grâce au fait que certains instruments pourraient en détecter la signature.


Venus Express

Pour construire au plus vite la sonde vénusienne et à moindre coût, l’ESA réemploie la seconde plate-forme similaire à celle de Mars Express (d’où le nom « Venus Express »), avec des instruments déjà conçus pour de précédentes missions (Mars Express, 2003 ; Rosetta, 2004). Réalisé sous la maîtrise d’œuvre d’EADS Astrium (aujourd’hui Airbus Defence and Space), l’engin a une forme quasi cubique de 1,65 m de long, 1,7 m de large et 1,4 m de haut, pour une masse totale de 1 270 kg. Il dispose de deux grands panneaux solaires pour fournir l’énergie, et d’une grande antenne à grand gain pour assurer les communications avec la Terre.


Une plateforme scientifique de haut vol

Sont embarqués dans la sonde sept instruments scientifiques conçus par plusieurs laboratoires de différentes nations : un appareil suédois pour étudier l’interaction entre le vent solaire et l’atmosphère de Vénus ; un magnétomètre autrichien pour mieux comprendre la magnétosphère de Vénus ; un spectromètre infrarouge italien pour mesurer la température de l’atmosphère entre 55 et 100 km ; trois spectromètres belgo-franco-russes pour analyser l’atmosphère en ultraviolet et infrarouge ; une expérience de radio-science allemande pour comprendre les conditions dans l’ionosphère vénusienne ; un spectromètre italo-français en ultraviolet, visible et proche infrarouge pour étudier la composition de la basse atmosphère de la surface à 40 km ; une caméra allemande dans le proche infrarouge, ultraviolet et visible pour fournir des images permettant d’une part d'identifier des phénomènes détectés par les autres instruments et, d’autre part, pour faciliter l'étude des processus dynamiques de l'atmosphère de Vénus.


Lancement, mise à poste et fin de mission

Le 9 novembre 2005, une fusée russe Soyouz FG/Fregat lance avec succès Venus Express qui, en trajectoire directe, rejoint la planète Vénus 153 jours plus tard. Le 11 avril 2006, le propulseur principal de la sonde la ralentit pour qu’elle se place sur une orbite d’insertion pour rejoindre ensuite une orbite très elliptique de 250 km de périapse et 66 000 km d’apoapse. Ce type d’orbite permet, outre de faciliter les communications avec le centre de contrôle européen de Darmstadt (ESOC), d’observer la planète de manière globale et, lorsque la sonde survole le pôle, d’obtenir des vues détaillées. Le 18 mai 2006, Venus Express est opérationnelle. Commence alors une mission initiale d’environ 500 jours.

Se déroulant parfaitement bien, la mission est prolongée à trois reprises jusqu’à l’épuisement des ergols (permettant de maintenir la sonde sur son orbite de travail). Après huit années de bons et loyaux services, Venus Express est programmée pour frôler la planète encore plus près, à 134 km d’altitude, jusqu’au moment où le contact est perdu le 28 novembre 2014.


Une impressionnante moisson

Au total, la sonde européenne a récolté des dizaines de millions de données, a réalisé une cartographie 3D de tous les vents qui font la dynamique de l'atmosphère de Vénus. Les instruments ont révélé des mécanismes extrêmement variables comme l’apparition, puis la disparition en quelques heures de grandes quantités d’éléments chimiques, l’accélération puis le ralentissement de vents plus ou moins violents, la présence côté nuit de phénomènes de luminescence (un peu comme les aurores polaires sur Terre). Ils ont aussi observé et évalué la présence des ouragans aux pôles, le ralentissement de la vitesse de rotation de la planète, la présence d’ozone entre 90 et 120 km (mille fois moins dense que pour celle de la Terre), l’échappement de grandes quantités d’eau de l’atmosphère, l’accélération de la super-rotation de l’atmosphère (pouvant faire le tour de la planète en quatre jours, alors que la planète ne tourne sur elle-même qu’en… 243 jours), etc. Quant à la question du volcanisme supposé, Venus Express n’a trouvé aucun volcan, ni de coulées de lave, de tectonique ou de croûte en train de se fracturer. La sonde a néanmoins décelé des laves apparemment jeunes.

La compréhension de l’atmosphère de Vénus est ainsi particulièrement importante pour les scientifiques, car cela améliore les connaissances des lois physiques qui s’exercent, tout en livrant des éléments qui peuvent apporter des réponses quant au problème du réchauffement climatique de la Terre et de l’effet de serre.



Cet article est la version courte et modifiée du chapitre A l’assaut de Vénus du livre sur les 50 ans de l’ESA, à paraître en 2026 dans la collection Histoires d’espace des éditions Ginkgo.



Quelques références

- Un article : « Vénus, une planète qui a mal tourné pour cause d’effet de serre massif », Stéphane Foucart, Maucherat, in Le Monde, 29 novembre 2007

- Une conférence en ligne sur Venus Express : les premiers résultats, par Jean-Loup Bertaux, Pierre Drossart, Philippe Morel et Olivier Witasse, à la Cité des sciences et de l’industrie, octobre 2006

- Le site ESA consacré à la mission Venus Express.



Philippe Varnoteaux est docteur en histoire, spécialiste des débuts de l’exploration spatiale en France et auteur de plusieurs ouvrages de référence
No comment yet.
Scooped by Romain
November 11, 1:10 PM
Scoop.it!

Premières images du film "ATHOS – Au cœur de la Patrouille de France"

Premières images du film "ATHOS – Au cœur de la Patrouille de France" | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Moins d'une minute de vidéo permet d'avoir un avant-goût sur le film qui nous plongera dans la saison 2025 de la Patrouille de France. Cette vidéo comprend notamment la célèbre "musique" et quelques vols. Prochaine étape, la bande annonce attendue dans un mois.

Ce 8 novembre, Pathé Live a publié les premières images du film "ATHOS – Au cœur de la Patrouille de France". La vidéo de seulement 50 secondes s'ouvre sur l'un des moments les plus importants de la préparation de la Patrouille de France : la musique. Afin de se préparer aux manœuvres aériennes, les pilotes répètent ensemble leur vol en écoutant le commandant de la PAF, en chef d'orchestre. Commandes de gaz, fumée, virages,... tout est simulé par les pilotes en une seule "musique" où seul le chef d'orchestre parle. C'est aussi la confirmation de l’alignement de tous les pilotes : un seul et unique claquement résonne sur commande, d'ailleurs présent à la 30ème seconde de la vidéo.

Les 20 autres secondes de la vidéo montrent les fameux Alpha Jet aux couleurs de la PAF s'entrainer ou effectuer des démonstrations de vol lors de la saison 2025. Un avion de transport Super Hercules est aussi visible avec sa soute ouverte, laissant à penser à un shooting photo des Alpha Jet en vol.

À noter que la description de la vidéo fournie par Pathé Live donne une dernière information : la bande annonce officielle sera publiée dans un mois, le 10 décembre prochain.

Pour rappel, ATHOS – Au cœur de la Patrouille de France, sortira en salle (uniquement) à partir du 25 février 2026. L'Armée de l'Air et de l'Espace nous avait déjà confirmé que le film sera une plongée réelle au sein de la saison 2025 de la PAF : vie des pilotes, mécaniciens, personnels de soutien, entrainements, vols et démonstrations,... le tout, avec des images prises depuis les cockpits en 4K.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 11, 1:00 PM
Scoop.it!

French Tech 2030 : le spatial à l’honneur

French Tech 2030 : le spatial à l’honneur | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Au total, la promotion 2025 compte 80 entreprises, qui ont cumulé un chiffre d’affaires de 138 millions d’euros en 2024, et qui représentent surtout près de 3200 emplois directs. Incarnant selon le programme « une nouvelle génération qui fait rimer excellence technologique et réponse aux enjeux de demain », la promotion compte un fort potentiel dans le numérique : 19 start-ups en IA, 14 en cybersécurité, et 9 en quantique. Comme autres secteurs primés : robotique, électronique, et bien sûr le spatial, qui réunit 18 start-ups :

Cailabs : communication optique espace-sol
Greenerwave : construction de terminaux de télécommunications satellite
Infinite Orbits : inspection satellite et surveillance du trafic spatial
ION-X : propulsion électrique pour petits satellites
Latitude : micro-lanceurs
Look Up : Surveillance du trafic spatial par un réseau de radars
Miratlas : caractérisation des turbulences atmosphériques et des nuages pour pouvoir recourir à la communication optique sol-espace en tout temps
Sirius Space Services : mini-lanceurs
Skynopy : communication satellitaire grâce à un réseau d’antennes
Spacedreams : développement de pas de tir ou de banc d’essai
Ternwaves : connectivité satellite et internet des objets
Univity : constellation satellite de télécommunications en orbite très basse
U-Space : constructeur de petits satellites
Wheere : géolocalisation indoor
No comment yet.
Scooped by Romain
November 11, 12:55 PM
Scoop.it!

Taxe aérienne à 12 € : Ryanair hausse le ton contre le gouvernement autrichien

Taxe aérienne à 12 € : Ryanair hausse le ton contre le gouvernement autrichien | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Le ton est monté entre Ryanair et les autorités autrichiennes. Dans un entretien publié le 6 novembre par le quotidien Die Presse, le PDG de
No comment yet.
Scooped by Romain
November 11, 12:51 PM
Scoop.it!

Avec une prime patriotique, Trump tente de relancer les contrôleurs aériens en pleine paralysie fédérale

Avec une prime patriotique, Trump tente de relancer les contrôleurs aériens en pleine paralysie fédérale | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
En pleine paralysie partielle de l’administration fédérale américaine, le président Donald Trump a publié un message incendiaire sur son réseau Truth Social.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 9, 2:10 PM
Scoop.it!

Une société japonaise veut développer un voyage en fusée pour faire Tokyo New-York en 60 minutes

Une société japonaise veut développer un voyage en fusée pour faire Tokyo New-York en 60 minutes | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Prendre un déjeuner à New York et arriver une heure plus tard pour un rendez-vous à Tokyo. Cela ressemble à de la science-fiction, mais c'est ce que souhaite proposer le groupe japonais Innovative Space Carrier.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 9, 2:03 PM
Scoop.it!

Moyen-Orient : le vrai/faux décollage de Riyadh Air

Moyen-Orient : le vrai/faux décollage de Riyadh Air | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Le 26 octobre dernier, la compagnie saoudienne Riyadh Air a opéré son premier vol « passagers » entre Riyadh et Londres-Heathrow. Mais il ne s’agit pas proprement dit d’un vol commercial, puisque l’avion ne transportait que du personnel de la compagnie aérienne, des représentants du Fonds d’investissement public (PIF) et d’invités triés sur le volet. Néanmoins, le lancement des vols commerciaux de Riyadh Air est maintenant imminent et devrait vraisemblablement intervenir d’ici la fin de l’année.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 9, 2:03 PM
Scoop.it!

25 ans de présence continue dans l’ISS

25 ans de présence continue dans l’ISS | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Le 2 novembre 2000 arrive dans la station spatiale internationale l’équipage de l’Expédition 1. Depuis, l’ISS n’est jamais vide. 25 ans plus tard, l’ISS a certes vieilli mais elle a transformé l'astronautique. Aujourd’hui, d’autres transformations sont en cours.
Pax et scienta

25 ans de présence continue dans l’ISS, c’est la visite de 290 astronautes représentant 26 nationalités différentes, une longue expérience multiculturelle en milieu confiné où l’esprit d’équipe prédomine au nom de l’efficacité face aux dangers. C’est aussi une paix qui persiste à 400 km au-dessus du conflit ukrainien qui aurait pu séparer les segments russe et américain de la station. Mais la coopération internationale entre astronaute a hérité de l’esprit de ses fondateurs, les astronautes Alexei Leonov et Thomas Stafford, les pères et commandants d’Apollo-Soyouz en 1975.

La science a été au cœur de la collaboration qui a réuni en principaux partenaires la Nasa, Roscosmos, l'ESA, la Jaxa (Japon) et la CSA (Canada). Plus de 4000 expériences, portées par des milliers de scientifiques de plus de 110 pays. Régulièrement, les astronautes jouent eux-mêmes les cobayes d’expériences de santé. Ce champ représente le gros de la science à bord de l’ISS, avec l’objectif d’étudier les effets de la microgravité sur le corps humain. On en apprend tous les jours : une dernière étude de l’université du Texas et d’EnMed a révélé que 85% des astronautes ont montré des symptômes de sinusite et de congestion nasale.

Les résultats en médecine spatiale enrichi par 25 ans d’habitation de l’ISS servent de base solide pour préparer l’exploration habitée lointaine, à commencer par la Lune avec des projets de bases lunaires et de station spatiale orbitale (Gateway), avant de viser Mars.
690f17bd00b76.webp
L'équipage de l'Expedition 1 © Nasa Roscosmos
Exploration lointaine et renouveau du vol habité

L’ISS sera désorbité au début de la prochaine décennie. Elle laissera place à des stations spatiales moins grandes, nationales (comme la station spatiale chinoise ou les projets russe et indien), ou privées avec les compagnies américaines Vast, Axiom Space, Voyager, Blue Origin, en lice dans le processus de la Nasa pour remplacer le segment américain de l’ISS.

Le modèle de coopération de l’ISS va disparaître de l’orbite basse, laissant place à la location d’espace ou de module par les agences spatiales, qui cohabiteront avec des compagnies privées. Seule la Chine propose d’inviter des internationaux dans sa station. Le premier sera d’ailleurs pakistanais. Quand au modèle de l’ISS, on va le retrouver en orbite lunaire avec la Gateway, qui réunit tous les partenaires principaux sauf la Russie, qui a été remplacée par un nouvel acteur majeur du vol habité, les Emirats Arabes Unis.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 9, 2:02 PM
Scoop.it!

Shutdown : la FAA réduit le trafic aérien et instaure un couvre-feu des lancements spatiaux

Shutdown : la FAA réduit le trafic aérien et instaure un couvre-feu des lancements spatiaux | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
La Federal Aviation Administration a ordonné la réduction de 10% du trafic aérien à partir d’aujourd’hui pour préserver le mental de ses contrôleurs aériens, non payés depuis plus de 37 jours de Shutdown. Un couvre-feu sur les lancements spatiaux a aussi été instauré.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 9, 2:00 PM
Scoop.it!

Airbus confirme 78 avions livrés en octobre : il en reste 235 pour remplir ses objectifs annuels

Airbus confirme 78 avions livrés en octobre : il en reste 235 pour remplir ses objectifs annuels | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Airbus a officialisé dans son dernier communiqué en date du 7 novembre 2025 la livraison de 78 appareils en octobre, marquant une nette accélération par
No comment yet.
Scooped by Romain
November 9, 1:58 PM
Scoop.it!

Le premier A350-1000ULR à l’assemblage 

Le premier A350-1000ULR à l’assemblage  | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Le premier A350-1000ULR (Ultra Long Range) destiné au projet Sunrise de Qantas est en cours d'assemblage final sur le site d'Airbus à Toulouse, et sa livraison est prévue pour fin 2026.
ree

A350-1000ULR @ Airbus

Projet Sunrise

Le projet Sunrise, lancé via le transporteur australien Qantas, vise à lancer des vols directs sans escale entre l'Australie et Londres et New York, introduisant ainsi de nouvelles liaisons ultralong-courrier au réseau de la compagnie. L'A350-1000ULR est conçu pour des vols sans escale pouvant atteindre 22 heures et dispose d'un réservoir de carburant auxiliaire dédié de 20 000 litres pour étendre son autonomie.

L'avion sera configuré avec 238 sièges, soit nettement moins que les plus de 300 sièges généralement présents sur les autres A350-1000, ce qui témoigne de l'importance accordée à l'espace passagers pour les longs voyages. L'A350-1000ULR (Ultra Long Range) utilise le même type de motorisation que l'A350-1000 standard, à savoir le Rolls-Royce Trent XWB-97

Les cabines sont développées en collaboration avec des experts de l'aviation et un designer industriel australien, et comprendront un espace bien-être situé entre les classes Premium Economy et Economy.

Des spécialistes du sommeil ont également contribué à la conception de fonctionnalités visant à réduire le décalage horaire, notamment un éclairage personnalisé et un service de repas à heures fixes. L'avion dispose notamment d'un « Espace Bien-être » dédié, situé entre la classe Premium Economy et la classe Économique. Cet espace comprend des poignées pour s'étirer, des programmes d'exercices guidés sur écran, un point d'eau et des rafraîchissements, spécialement conçus pour les passagers des vols ultralong-courriers.

Le calendrier

Qantas a commandé 12 appareils A350-1000ULR. Les premiers vols commerciaux du projet Sunrise devraient débuter lors du premier semestre 2027.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 11, 1:32 PM
Scoop.it!

New Glenn : voici pourquoi la fusée de Jeff Bezos n'a pas pu décoller (et quand elle retentera le coup)

New Glenn : voici pourquoi la fusée de Jeff Bezos n'a pas pu décoller (et quand elle retentera le coup) | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
La fusée New Glenn de Blue Origin n'a pas pu décoller ce dimanche 9 novembre. Mais elle sera en mesure de retenter le coup très prochainement malgré le shutdown qui paralyse toujours plus le secteur aérien américain.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 11, 1:16 PM
Scoop.it!

Avec Starcloud, NVIDIA se lance dans les datacenters en spatiaux

Avec Starcloud, NVIDIA se lance dans les datacenters en spatiaux | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Le 2 novembre, SpaceX opère un tir à passager multiple (Bandwagon-4) à destination de l’orbite basse. Parmi les passagers figure le satellite Starcloud-1 de la start-up américaine du même nom, soutenue par le programme NVIDIA Inception qui vise à établir des datacenters en orbite.

C’est le concept tendance de l’année : cloud orbital. Boostées par l’alliance entre le New Space et le monde bouillonnant de l’IA, a surgi le marché des applications « d’In-space computing », où on envoie des serveurs et des datacenters faire du traitement en orbite. Un marché chargé de promesses et de doutes.
Le poids de NVIDIA

Starcloud-1 est une mission inédite car elle emporte pour la première fois en orbite un GPU conçu pour datacenter, un GPU NVIDIA H100. Il est censé être 100 fois plus puissant en calcul que tous les processeurs équipés d’IA actuellement testés ou utilisés en orbite. Valant aujourd’hui plus de 5000 milliards de dollars, NVIDIA peut se permettre un appétit d’ogre et des projets titanesques.

L’In-space computing est imaginé comme l’avenir des applications spatiales dans certains milieux (New Space, investisseurs, Emirats et Moyen-Orient). Le rêve est ici de réduire d’une part la facture énergétique des serveurs sur Terre, en pleine explosion avec l’arrivée de l’IA. L’autre promesse est celle d’augmenter la rapidité de l’aide à la décision avec du traitement orbital d’images et de données spatiales lourdes afin de réduire la latence liée aux transferts, et par conséquent toujours plus du « temps-réel » rêvé par les acteurs de la défense.

La promesse des datacenters orbitaux se heurte toutefois à une montagne de défis colossaux : assemblage en orbite, coût des lancements, résilience face aux conditions spatiales (radiations, débris, température, etc.). Mais cela ne freine personne pour le moment. Récemment, Elon Musk a annoncé que SpaceX se lancera également dans les datacenters orbitaux.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 11, 1:12 PM
Scoop.it!

SSA : premiers tests réussis pour Look Up

SSA : premiers tests réussis pour Look Up | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
La start-up française spécialisée dans le suivi du trafic spatial Look Up a annoncé le 7 novembre avoir réussi les premiers tests de son premier radar de surveillance du ciel Sorasys 1. C’est un chapitre important pour la souveraineté des capacités françaises dans ce domaine stratégique.

Fondée en 2022 par le premier commandant de l’espace, le général Michel Friedling, et l’ancien responsable SSA au Cnes Juan Carlos Dolado Perez, Look Up avance à pas de géant. En trois ans, son premier radar Sorasys-1 (Space Object Radar SYStem), installé en Lozère, est passé de la feuille blanche aux premiers tests.

Sorasys est capable de détecter des objets spatiaux, même petits jusqu’à 2000 km d’altitude. Le service de STM (Space Trafic Managment) proposé par Look Up se restreint à l’orbite basse car c’est là que la surpopulation satellite est la plus critique, concentrant 90% du trafic. Look Up fusionne les données du radar avec celles d’autres réseaux de surveillance grâce à sa plateforme SYNAPSE. Avec une levée de fonds de 50 millions d’euros réalisée cette année, Look Up va construire deux nouveaux radar Sorasys 2A et 2B en Polynésie française. Ainsi le réseau pourra couvrir en continu l’ensemble du trafic. D’ici 2030, l’entreprise ambitionne le déploiement de sept radars. Le développement est soutenu par France 2030 et les fonds du European Innovation Council, et fait partie du programme EU-SST.
Renfort à GRAVES

Actuellement, le Commandement de l’espace dispose du radar GRAVES pour faire sa propre surveillance du trafic spatial. Look Up propose de venir en renfort avec son réseau. Autre start-up française, Aldoria est également en train de déployer son réseau de télescopes. De son côté, la DGA a commandé à Thales son propre radar de surveillance du trafic en orbite basse, dans le cadre du programme ARES.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 11, 1:06 PM
Scoop.it!

La Chine bat son propre record de lancements

La Chine bat son propre record de lancements | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Loin derrière l’hyper-cadence de SpaceX, le spatial chinois n’est pas en reste. Il vient une fois de plus de battre son propre record de nombre de lancements annuels, alors qu’il reste encore plus de six semaines avant la fin de l’année.

72 vols au compteur ce lundi depuis le 1er janvier, la Chine spatiale montre bien son accélération. C’est quatre de plus que le record de 68 vols en 2024. La hausse de cadence des lancements chinois était attendue depuis plusieurs années mais a été retardée par divers facteurs (Covid, rénovation ou construction de pas de tir, retards du développement de lanceurs du New Space).
Leviers d’accélération

A ce rythme, la Chine devrait passer le cap des 80 vols en 2025, voire 90. On peut identifier plusieurs facteurs derrière cette montée en cadence, à commencer par plus de vols opérés par la CASC (China Aerospace Science and Technology Corporation), entreprise de l’Etat qui opère les vols Long March (LM), maître d’œuvre de l’essentiel du programme spatial gouvernemental.

La CASC est d’une part boostée par le rajeunissement de ses lanceurs, avec la montée en cadence de LM 5, 6, 7, 8 et 12, qui cohabite avec l’exploitation de lanceurs d’anciennes générations (LM 2, 3, et 4), moins performants, plus coûteux, mais néanmoins indispensables pour décongestionner la demande. D’autre part, c’est justement cette demande en lancement qui explose, boostée par la continuité du déploiement des grandes infrastructures militaires ou duales (Yaogan, Gaofen, Shiyan, etc.), mais surtout par l’arrivée des mégaconstellations de télécommunications en orbite basse : Guowang pour le gouvernement (13 000 satellites) et G60 (porté par Shanghai).

Sur les 72 vols, la CASC en compte 52 :

LM-2 : 11
LM-3 : 12
LM-4 : 4
LM-5 : 3
LM-6 : 9
LM-7 : 5
LM-8 : 5
LM-11 : 1
LM-12 : 2

Installation des lanceurs privés

L’autre levier qui a permis ce nouveau record : la diversification des lanceurs, bouillonnante en dehors de la CASC. 20 vols sont opérés par des sociétés privées issues du New Space chinois ou spin-off d’institutions ou d’universités. Plus agiles, ces entreprises sont en train d’introduire peu à peu une nouvelle génération de lanceurs à propulsion liquide plus précis dans la mise en orbite.

Les 20 vols :

Kuaizhou (ExPace, filiale de la CASIC) : 2
Kinetica (CAS Space, spin-off de l’académie chinoise des sciences) : 4
Jielong (China Rocket, filiale de la CASC) : 4
Zhuque (Landspace) : 2
Hyperbola (iSpace) : 1
Ceres (Galactic Energy) : 6
Gravity (Orienspace) : 1

Une partie non négligeable de ces lancements a été faite depuis des plateformes offshores, les pas de tirs terrestres étant bondés et les fusées légères. C’est d’ailleurs devenu une attraction prisée pour certaines villes du littoral.

La plupart des ces fusées sont à propulsion solide, mais toutes les entreprises travaillent au développement de lanceurs à propulsion liquide, mais aussi plus gros pour plus de performance et ainsi répondre au marché des mégaconstellations. Landspace est d’ailleurs sur le point de faire le premier vol test de sa Zhuque-3, fusée réutilisable équivalente à Falcon 9. Il leur faudra quand même plusieurs années pour atteindre la cadence de vol de SpaceX : 143 vols du 1er janvier à lundi dernier.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 11, 12:55 PM
Scoop.it!

Lufthansa rouvre le dossier Airbus A321XLR après l’avoir écarté

Lufthansa rouvre le dossier Airbus A321XLR après l’avoir écarté | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Après avoir écarté le projet jugé inadéquat à son modèle économique, Lufthansa envisage désormais un retour du très attendu A321XLR dans sa flotte.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 11, 12:54 PM
Scoop.it!

SAS, championne européenne de la ponctualité pour la quatrième fois en 2025

SAS, championne européenne de la ponctualité pour la quatrième fois en 2025 | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
La compagnie scandinave SAS Scandinavian Airlines (SAS) conserve son titre de transporteur le plus ponctuel d’Europe pour octobre 2025, selon le dernier
No comment yet.
Scooped by Romain
November 9, 2:17 PM
Scoop.it!

Air France-KLM bataille pour redresser sa compagnie low cost Transavia

Air France-KLM bataille pour redresser sa compagnie low cost Transavia | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
DÉCRYPTAGE - Au troisième trimestre, le transporteur aérien binational a vu son bénéfice net reculer de 7% à 768 millions d’euros.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 9, 2:08 PM
Scoop.it!

Espace : la Chine vient de griller tout le monde avec cette innovation incroyable

Espace : la Chine vient de griller tout le monde avec cette innovation incroyable | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Les astronautes chinois de la station Tiangong disposent d'un nouveau four spatial capable de griller de la viande à 190°C. Une première qui permet de…
No comment yet.
Scooped by Romain
November 9, 2:03 PM
Scoop.it!

Aviation d’affaire : l’EBAA France alerte à son tour sur les menaces de décrochage en France

Aviation d’affaire : l’EBAA France alerte à son tour sur les menaces de décrochage en France | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Se joignant à la FNAM et à l’IATA, l’European Business Aviation Association France (EBAA France) alerte à son tour sur les conséquences de la hausse de la Taxe de Solidarité sur les Billets d’Avion, la TSBA.

Le 11 octobre dernier, la Fédération Nationale de l’Aviation et de ses Métiers (FNAM), appuyée par l’IATA (Association internationale de transport aérien), alertait sur les conséquences graves de la très forte hausse de la TSBA sur le transport aérien en France. Dans un communiqué datant du 4 novembre, l’EBAA France rejoint l’appel et détaille les premiers impacts de la mesure sur l’aviation d’affaires, mise en place en mars dernier.

En 2025, les taxes françaises sur le secteur aérien se sont envolées, plaçant désormais la France sur le podium des pays de l’UE où le secteur est le plus taxé. Les taxes ont grimpé de 112% sur les voyages long-courriers en classe économique. En classe affaires, en vol long-courrier, les taxes ont augmenté de 67%.
Risque de décrochage des compagnies françaises

L’EBAA France déplore une application injuste des taxes, car elles concerneraient essentiellement les opérateurs français, les mettant en position de faiblesse face aux compagnies étrangères peu impactées. Par conséquent, l’EBAA France a annoncé un recul de 21.8 % des activités françaises tandis qu’on a une augmentation de 4 % pour les opérateurs étrangers, un dispositif fiscal qui « détruit le pavillon français ». En France, l’aviation d’affaires dessert 262 aéroports locaux et représente des milliers d’emplois, dont 3500 rien qu’au Bourget.

A l’heure où le gouvernement et le Parlement discutent du budget français pour 2026, l’EBAA a formulé trois vœux, dont la diminution du tarif de solidarité appliqué à l’aviation d’affaires pour qu’il soit aligné à celui appliqué à la classe affaires du transport aérien régulier. EBAA France souhaite aussi harmoniser la collecte entre opérateur français et étrangers, et orienter les recettes des taxes vers la décarbonation du secteur.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 9, 2:03 PM
Scoop.it!

Boeing agrandit le site de production du 787

Boeing agrandit le site de production du 787 | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Ce vendredi 7 novembre, Boeing a annoncé le début du chantier de l’extension du site de production du 787 Dreamliner en Caroline du Sud. Cette extension du centre piloté par Boeing South Carolina (BSC) doit permettre d’augmenter la cadence de production à 10 appareils par mois en 2026.

Première pierre posée pour un nouveau bâtiment d’une surface d’environ 111 000 m², similaire au bâtiment d’assemblage déjà existant. A cela s’ajoutera une zone de préparation des pièces, des aires de stationnement et une infrastructure pour la peinture des dérives verticales. Le centre qui produit de nombreux composants intérieurs sera également agrandi.

Cette extension du BSC devrait générer près de 1000 nouveaux emplois d’ici cinq ans. Au total, plus d’un milliard de dollars sont investis dans l’extension du site, localisé à côté de l’aéroport international de Charleston.
Soutenir les commandes futures

Implanté en Caroline du Sud depuis 2009, BSC emploie actuellement 8200 personnes. Annoncée en 2024, son extension doit répondre au lourd carnet de commande : 2250 appareils, dont près de 1200 déjà livrés. Sur les 1000 restants, plus de 300 ont déjà été commandés. Boeing anticipe une commande de plus de 7800 787 Dreamliner au cours des deux prochaines décennies.
No comment yet.
Scooped by Romain
November 9, 2:00 PM
Scoop.it!

Greenwashing : 21 compagnies aériennes européennes renoncent à utiliser un « langage écologique vague »

Greenwashing : 21 compagnies aériennes européennes renoncent à utiliser un « langage écologique vague » | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
Vingt et une compagnies aériennes européennes, dont Air France, Lufthansa, Ryanair et EasyJet, ont annoncé leur volonté de renoncer à l’utilisation d’un
No comment yet.
Scooped by Romain
November 9, 2:00 PM
Scoop.it!

Fin de partie pour le futur ATR brésilien : Embraer annule son programme de turbopropulseur

Fin de partie pour le futur ATR brésilien : Embraer annule son programme de turbopropulseur | AERONAUTIQUE NEWS - AEROSPACE POINTOFVIEW - AVIONS - AIRCRAFT | Scoop.it
L'avionneur brésilien Embraer met un terme définitif à son ambitieux programme de turbopropulseur de 70 à 90 sièges, après plusieurs années de réflexion et de
No comment yet.