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Le spectateur de Belleville
September 13, 2012 4:08 AM
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Après "Affabulazione" et "Bête de style", le Rideau poursuit l'exploration du théâtre de Pasolini. Grande fresque épique, Pylade questionne les fondements de la démocratie: ce moment-clé où le pouvoir de décision des hommes s'affranchit du jugement des dieux. Dans la foulée, c'est tout le XXème siècle que Pasolini parcourt avec âpreté et légèreté: communisme, fascisme, société de consommation... Lazare Gousseau rassemble spectateurs, acteurs et musiciens dans un espace industriel élcairé par la lumière déclinante du jour. Fragile communauté humaine d'un soir, invitée à s'interroger sur le sens de toute communauté humaine. 13/09 > 29/09 à 19h00 3h (entracte compris) CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE La bande-annonce du spectacle : http://vimeo.com/48941311
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Le spectateur de Belleville
September 13, 2012 4:55 AM
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« Coma » est l’histoire d’une chute, d’un corps qui disparaît, puis d’une lente et rampante convalescence. Un texte brutal, que Patrice Chéreau incarne au sens premier du terme, faisant chair l’écriture, organisme maladroit ou tendu, écrasé par la pesanteur, mots exténués, souffle coupé et voix hachée, superposée ou enroulée sur elle-même. Lamentation timide, monstrueusement proche ou lointaine. Intime. Mais ce qui fait de la pièce cet instant singulier tient surtout à la « mise en espace » de Thierry Thieû Niang, invisible à l’œil nu – le plateau est dépouillé comme un derme à vif – mais incroyablement présente. Le chorégraphe a l’habitude de travailler sur les corps « empêchés » (malades, autistes, prisonniers). Il transforme l’acteur en un lecteur dansant, presque immobile mais dont les moindres déplacements sont habités d’un poids, d’une physicalité palpable depuis les gradins. Tout est calculé : les arrêts, les reprises, les regards, la place des appuis, les déséquilibres, les gestes des mains et des bras. « J’ai cherché à rendre compte de la façon dont la langue traverse le corps, comment le corps cherche la langue » explique Thierry Thieû Niang. De l’angoisse « qui plie les genoux » au « sursaut des rêves », toute l’organicité du texte est transposée sur scène. CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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Le spectateur de Belleville
September 1, 2012 4:47 AM
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Braunschweig met en scène un moment de crise dans la vie du théâtre « post-modern ». Il le fait avec sérieux (normal, c’est du Braunschweig) et humour (chic, alors, c’est du bonus). Et dans cette reconstitution ironique de ce qu’on appelle « le travail à la table » (on travaille rarement au lit dans cette branche du théâtre français), il fait surgir les personnages de Pirandello, ces malheureux abandonnés par un auteur qui, lui aussi, ne croyait plus en eux. Que faire ? Qu’en faire ? La confrontation est savoureuse. A l’arrogance et l’incompréhension des comédiens d’aujourd’hui pour cette vieille lune qu’est le personnage, elle oppose la nécessité qu’ont ces êtres, ectoplasmes, créatures quoiqu’il en soit, d’aller jusqu’au bout du drame dans lequel les laisse patauger l’auteur. La jonction est explosive, passionnante, surprenante et, comme toujours chez S.B., magnifique. Ombres portées sur la feuille blanche, immenses ou minuscules selon les circonstances, couleurs, mystère… Laurence Liban pour son blog "Les lendemains de la générale" dans l'Express (lors du Festival d'Avignon) CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Et aussi : critique de Didier Méreuze dans "La Croix" : http://www.la-croix.com/Culture-Loisirs/Culture/Theatre/Six-personnages-en-quete-d-auteur-ou-la-grande-magie-pirandellienne-a-Avignon-_EP_-2012-07-12-830474 Sophie Jouve pour Culturebox/France Télévisions : http://www.francetv.fr/culturebox/six-personnages-en-quete-dauteur-pirandello-a-lheure-de-la-tele-realite-106917 Joëlle Gayot pour "La Vie" : http://www.lavie.fr/culture/spectacles/six-personnages-en-quete-d-auteur-11-07-2012-29312_32.php Philippe Chevilley pour "Les Echos" : http://www.lesechos.fr/culture-loisirs/sorties/musique/0202164916618-le-theatre-et-son-trouble-342874.php Fabienne Darge pour "Le Monde" : http://www.lemonde.fr/culture/article/2012/07/11/six-personnages-de-pirandello-englues-dans-le-reel_1732128_3246.html David Larre pour le blog "Au poulailler (septembre 2012) : http://www.aupoulailler.com/article-critique-six-personnages-en-quete-d-auteur-d-apres-luigi-pirandello-stephane-braunschweig-110038808.html Yvon le Scanff pour la revue Etudes : http://www.revue-etudes.com/Theatre/Six_personnages_en_quete_d_auteur/7501/14821 Du 6 septembre au 7 octobre au Théâtre national de la Colline
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Le spectateur de Belleville
September 9, 2012 6:38 PM
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"Contractions du théâtre enceint. Les battements de coeur comme une machine à moudre en boucle, en boucle, en boucle, résonnent dans tous les murs." Auteure et metteure en scène, Anna Nozière, 39 ans, a brusquement surgi l’an dernier dans le paysage théâtral avec un spectacle absolument singulier, burlesque et intime, Les Fidèles, Histoire d’Annie Rozier. Sa nouvelle pièce a pour cadre un théâtre. Une des actrices, la Petite, apprend d’une échographie que le foetus qu’elle porte depuis cinq mois a cessé de se développer. Elle s’enferme dans ce lieu où elle joue soir après soir. Des mois durant, son enfant, pourtant en pleine santé, ne grandit pas. À l’extérieur, le monde médical et médiatique se déchaîne. La Petite, d’abord hantée par d’invisibles présences, commence à voir des scènes comme on hallucinerait. En représentation, les acteurs deviennent les passeurs de ses conversations avec les fantômes. Car ce théâtre dont elle ne sort plus, la Petite y est née : sa mère y est morte en couches... Anna Nozière achèvera sa pièce en la répétant : l’écriture et le jeu sont pour elle deux manières indissociables d’écouter “l’écho de ce qui émerge”, de faire surgir de l’obscurité les pièces d’un puzzle intérieur. Du 27 septembre au 27 octobre au Théâtre national de la Colline, petite salle (création)
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Le spectateur de Belleville
September 7, 2012 5:29 PM
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C’est un bel été que vient de passer l’écrivain et metteur en scène Armand Gatti, prénommé « Dante Sauveur » par ses parents lorsqu’il naquit le 26 janvier 1924. Les 19 et 20 juillet, il était dans les montagnes du Pays basque, à Itxassou, flanqué de son fidèle collaborateur Matthieu Aubert. Benat Achiary, l’âme et la cheville ouvrière du Errobiko Festibala, avait invité Gatti à venir parler de la « Traversée des langages », sa dernière œuvre (un fleuve fou charriant du théâtre sur 1 300 pages), parue chez Verdier au début de l’année. Jean-Pierre Thibaudat pour son blog "Balagan" CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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Le spectateur de Belleville
August 26, 2012 5:12 PM
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Au Festival du théâtre de rue d’Aurillac, l’improbable est toujours sûr. La canicule sévit, et soudain il vous tombe de la grêle puis un barnum d’orages qui contraint les spectacles en plein air du soir à écouter ou annuler leurs représentations, comme ce fut le cas jeudi soir. Le théâtre de rue se nourrit d’imprévus, c’est un art difficile où l’aléatoire s’invite à la table et où rien ne se passe comme c’était à prévoir, voire à espérer. (...) Jean-Pierre Thibaudat pour son blog "Balagan" CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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August 24, 2012 4:25 AM
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Le spectateur de Belleville
August 16, 2012 3:25 AM
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En écrivant La Résistible Ascension d’Arturo Ui en pleine montée du nazisme alors qu’il vit lui-même en exil aux États-Unis, Bertolt Brecht s’attaque bien sûr à Hitler. Il a vu le film de Chaplin, Le Dictateur, et à son tour, il utilise l’arme du rire pour dresser un portrait du tyran en bête féroce. Soit la montée en puissance d’un gangster sans scrupule et pratiquement illettré qui par son alliance avec le trust du chou-fleur instaure un règne de terreur dans la ville de Chicago. Quand il met en scène la pièce en 1995 avec Martin Wuttke (acteur emblématique du Berliner Ensemble qu’on retrouvera également lors de cette édition dans Artaud se souvient d’Hitler et du Romanische Café) dans le rôle d’Arturo Ui, c’est précisément de cette violence sarcastique dont Heiner Müller, disparu en 1995, souhaite rendre compte. Müller l’a souvent répété, ce qui l’intéresse avant tout dans l’œuvre de Brecht, c’est ce qu’il appelle « la ligne gothique ». Seize ans après sa création à Berlin, cette mise en scène frappe par la justesse de sa démonstration face à la tentation de céder aux sirènes d’une extrême droite en voie de « normalisation ». Du 24 au 28 septembre, Théâtre de la Ville, Paris
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Le spectateur de Belleville
August 4, 2012 3:32 PM
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C'est au Théâtre La Bruyère jusqu'au 9 août. Une traversée de la comédie musicale à l'américaine avec quatre musiciens dont l'un est un excellent chanteur, en plus et avec une merveilleuse artiste qui chante, danse, joue la comédie. Après Padam Padam qui fut un grand succès, il y a deux ans, c'est à Broadway que nous nous rendons par la magie d'un spectacle ! Elle a du talent. Ils ont du talent. Ils sont sur une scène qui n'est pas immense mais ils vous tiendraient le palais des Congrès avec la même simplicité enjouée.
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July 26, 2012 6:19 PM
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À la sortie du Cloître des Carmes, je m’égare. C’est une sensation étrange tandis qu’à l’intérieur, mon corps vibre. À la perte des repères spatiaux temporels, s’ajoute une immense joie, celle d’avoir approché de près ce qui fait lien entre les hommes. Je me sens tragiquement heureux, profondément capable. «Tragédie» d’Olivier Dubois, pièce pour neuf hommes et neuf femmes, perturbe le paysage chorégraphique. Le nombre (à quand remonte une telle proposition groupale?), la nudité (on oublie enfin les stéréotypes sexués), la musique (composée par François Caffene loin du vrombissement habituel en danse contemporaine) déplacent mon regard vers un ailleurs, du détail d’une partie vers une métaphysique du tout. Comme si cette partition dépassait la rencontre entre l’intention du chorégraphe et le désir du danseur. Pascal Bély pour le blog "Le Tadorne" CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Autre critique : Judith Sibony pour son blog "Coup de théâtre" : http://abonnes.lemonde.fr/culture/article/2012/07/27/dix-huit-danseurs-nus-dans-une-cocotte-minute-qui-pete-sans-prevenir_1739222_3246.html Stéphane Capron pour Sceneweb : http://www.sceneweb.fr/2012/07/olivier-dubois-met-les-carmes-en-transe/ Autre critique : Raphael de Gubernatis pour le Nouvel Observateur : http://tempsreel.nouvelobs.com/culture/20120726.OBS8249/festival-d-avignon-tragedie-un-poeme-choregraphique.html
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July 19, 2012 6:01 PM
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"Un ennemi du peuple", création au Festival d'Avignon Henrik Ibsen, dont Thomas Ostermeier a monté de nombreuses pièces avec une fermeté inoubliable, a écrit Un ennemi du peuple en 1882. Le metteur en scène s'en saisit avec une intelligence percutante. D'un propos politique et vif d'Ibsen, mais un peu long, compliqué, il fait avec son dramaturge Florian Borchmeyer, une pièce pour notre temps. C'est saisissant. Le public ne s'y est pas trompé qui a ovationné debout et longuement l'équipe artistique. Le public qui a accepté le défi que s'impose Ostermeier : inclure un "vrai" débat dans la pièce, lorsque, désespéré, le jeune Docteur Stockmann joue son va-tout et s'adresse à sa ville. Au-delà de la lutte fratricide, Ibsen dénonçait la cruauté sociale et posait déjà la question de l'impuissance de la "vérité", de la faiblesse de "l'honnêteté" face aux intérêts politiques, économiques, financiers. Ostermeier va dans le même sens. Inclure une prise de parole de la salle est osé. Hier, ce moment a parfaitement fonctionné, toute la salle de l'Opéra-Théâtre prenant la parole tandis que les "personnages" répondaient, soit en français, soit par le truchement de traductrices. Armelle Héliot pour son blog "Le Grand Théâtre du Monde" CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Autre critique parue dans le magazine Inferno : http://inferno-magazine.com/2012/07/26/un-ennemi-du-peuple-la-rage-intacte-dostermeier-linsurge-permanent/
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Le spectateur de Belleville
July 19, 2012 5:44 PM
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FESTIVAL D’AVIGNON 2012 : Sakinan göse çöp batar (C’est l’oeil que tu protèges qui sera perforé) de Christian Rizzo / avec Kerem Gelebek / gymnase de Lycée St-Joseph / Du 17 au 21 à 20h. Christian Rizzo propose pour Avignon un solo remarquable de présence et de simplicité, dansé par Kerem Gelebek. Cette pièce s’impose par l’extrême économie de moyens mis en oeuvre et la grande qualité plastique de sa construction. Au plateau, le danseur turc Kerem Gelebek réussit à porter avec une grande puissance émotionnelle la subtilité de l’écriture du chorégraphe, dont le dépouillement et l’absence de tout expressionnisme visent l’essentiel. Une danse qui n’exclut cependant pas des moments de pure virtuosité, où Gelebek est impressionnant de maîtrise et de grâce. D’ailleurs ce solo, même s’il traite d’un propos difficile et chargé -l’exil, le nomadisme volontaire ou contraint- est d’une légèreté absolue. Marc Roudier pour Inferno CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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Le spectateur de Belleville
July 18, 2012 6:21 PM
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...Jean-Pierre Bodin, avec un jeu précis et nuancé, dénonce avec efficacité l’organisation du travail et les souffrances souvent atroces qui en viennent à déchirer le lien social. Sans que cela émeuve beaucoup la classe politique… Le spectacle a quelque chose d’exceptionnel dans le paysage d’un festival off ou in, trop souvent bien propre sur lui. Et où la dénonciation d’ordre politique n’est pas fréquente. Philippe du Vignal pour Théâtre du Blog CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Au Théâtre des Halles, Avignon jusqu'au 28 juillet
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Le spectateur de Belleville
September 13, 2012 6:25 AM
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Moriarty, le groupe qui a blindé tour à tour et dans le désordre les salles et les scènes de l’Olympia de La Cigale ou des Eurockéenes offre un concert en petit comité au Théâtre de la Bastille. En fait, il s’agit d’un spectacle de Marc Lainé mêlant théâtre, musique et dessin, le tout 100% live. Une très belle surprise, réservez vite, il reste des places ! Amelie Blaustein Niddam pour le blog toutelaculture.com CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Memories from the Missing Room, de Marc Laîné au Théâtre de la Bastille, jusqu'au 7 octobre 2012
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September 10, 2012 7:35 PM
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Pierrick Sorin est un artiste, pas un comédien et il a trouvé l'homme qu'il fallait avec Nicolas Sansier pour ce spectacle autojubilatoire mais pas prétentieux, autoprésentatif mais pas autofictif, une prolongation sur scène de tout ce qu'il fait par ailleurs, autofilmages compris. Martine Silber pour son blog Marsupilamima CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Reprise au Théâtre du Rond-Point jusqu'au 6 octobre
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Le spectateur de Belleville
September 11, 2012 2:48 AM
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Plus on avance dans les grand-messes de l’été, plus les projets se délitent. Autant Montpellier Danse est un festival rôdé qui sait gérer tous les problèmes et l’organisation y est impeccable. Avignon et son off brouillent déjà beaucoup les pistes et le festival du Vaucluse impose à son spectateur une meilleure organisation. Que dire du festival international du théâtre de rue d’Aurillac ? Certes, une invasion de punks à chien qui quittent un immense tecknival du Sud pour rejoindre celui de nord colore « légèrement » le festival (Aurillac se trouve pile poil (de chien) entre les deux concerts techno géants aussi bien géographiquement que temporellement). Mais l’organisation ou plus la désorganisation d’un off à tout va, qui n’a même pas de directeur, où la programmation est faite en fonction des places libres et où si peu de personnes anticipent les problèmes à venir accentue l’image déjà écornée du théâtre de rue. Sur quatre jours, les rues regorgent de pseudo-artistes qui ont bricolé un divertissement en quelques jours et les belles propositions se perdent dans cette lie détestable et crasse. Pourtant la programmation de Jean-Marie Songy, directeur du In, vaut le détour. Les spectacles et les créations sont pensés pour un public très varié et le néophyte comme l’expert y trouveront leur compte (ce que ne sera pas le cas dans la majeure partie des festivals qui concoctent une programmation pour spécialistes). Petit résumé des spectacles et des coins et astuces à découvrir Bruno Paternot pour inferno-magazine CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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Le spectateur de Belleville
September 9, 2012 6:26 PM
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Théâtre . De Brecht à Aristophane en passant par Odön von Horváth, la nouvelle saison s’annonce éclectique. Pour la rentrée en scène, c’est déjà reparti à Bobigny (Seine-Saint-Denis) : à la MC 93, Bartabas présente avec le danseur de butô Ko Murobushi le Centaure et l’Animal, spectacle créé à Chaillot (Paris) il y a deux ans. Il y déploie, avec la complicité du maître japonais, une suite d’images aussi sidérantes que dépouillées. Une mise en épure avant la reprise, début novembre, dans son théâtre équestre d’Aubervilliers, de Calacas, variation joyeuse à partir de la fête des morts au Mexique. C’est ouvert aussi à La Colline, où Stéphane Braunschweig, six semaines après Avignon, relance la machine de Six personnages en quête d’auteur, de Pirandello. La création estivale était bancale. Le directeur de La Colline a depuis, paraît-il, raboté l’ouvrage. René Solis, Libération du 10 septembre 2012 CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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August 28, 2012 11:49 AM
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André Steiger est mort dans la nuit de lundi à mardi à Lausanne à 83 ans. Metteur en scène et comédien, il a marqué les scènes romandes et francophones par son engagement politique, dans la lignée de Bertolt Brecht.
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August 25, 2012 7:19 AM
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La ville du Gers inaugure le CIRC, le Centre d'Innovation et de Recherche Circassien, un complexe unique en France qui ouvre ses portes le 24 août avec le spectacle "Calacas" de Bartabas. "Calacas", de Bartabas. Du 24 août au 9 septembre. CIRC, allée des Arts, Auch (Gers). Tél. : 05-62-61-65-00. De 22 € à 34 €.
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August 24, 2012 4:05 AM
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Fidèle à ses utopies, Chantal Morel a monté "Don Quichotte" dans un quartier sensible, avec une douzaine d'habitants. Ainsi, en prenant son temps pour ne rien brusquer, Chantal Morel a réuni des habitants du quartier, avec lesquels ses quatre comédiens professionnels et elle ont commencé par faire des ateliers autour de Godot. Mais la pièce résistait : elle ne correspondait pas à ce qui s'était joué et se jouait à la Villeneuve. Il lui manquait la dimension utopique, que l'Equipe de création théâtrale a trouvée dans L'Ingénieux Hidalgo Don Quichotte de la Manche, de Cervantès, rebaptisé Pauvre fou !. Pour monter la production du spectacle, Chantal Morel s'est servie des deniers de sa compagnie, sans demander d'aide financière particulière à la mairie. "Les subventions sont faites pour déplacer de l'argent là où il n'y en a pas", dit la Grenobloise, qui va toujours jusqu'au bout de ses démarches, sans transiger. Brigitte Salino, Le Monde 23. 08. 2012 CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Extrait vidéo : https://www.facebook.com/photo.php?v=256345017802611 Critique dans Le Petit bulletin :http://www.petit-bulletin.fr/grenoble/theatre-danse-article-43471-Dessine-moi+un+spectacle.html A Grenoble, Théâtre Prémol, jusqu'au 29 août
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August 11, 2012 8:52 AM
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C’était un roi du cœur et il en avait un gros comme ça. Son cœur qui l’avait si souvent titillé a fini par lâcher. L’immense et discret metteur en scène russe Piotr Fomenko est mort jeudi dans un hôpital moscovite, il venait d’avoir 80 ans. Nul autre que lui n’avait porté si haut, si loin et si finement l’héritage du théâtre russe, ce livre d’or inachevé légué par Stanislavski et qui se résume avant tout à un art de l’acteur. Fomenko aimait éperdument les acteurs, ses acteurs – et ces derniers le lui rendaient bien. La mise en scène était pour lui « une façon de vivre » avec ses acteurs, au quotidien, dans une proximité que redoublait le plateau, non en retrait du monde mais en les regardant par les fenêtres du théâtre pour que la scène en soit l’écho difracté, filtré, le temple de l’émotion pure Jean-Pierre Thibaudat pour son blog "Balagan" CLIQER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Et aussi : l'hommage de Jean Couturuer dans le blog "Théâtre du blog" : http://theatredublog.unblog.fr/2012/08/14/piotr-fomenko/
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Le spectateur de Belleville
July 28, 2012 2:31 PM
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Chaque année, le Festival d’Avignon est une performance, un défi : 33 spectacles vus dans le In, 15 dans le Off, auxquels il faut ajouter l’animation de six rendez-vous avec les spectateurs et les artistes lors des «Offinités du Tadorne» programmée au Village du Off. Il est encore trop tôt pour écrire le bilan artistique. Mais à quelques heures du départ d’Avignon, quelques images… Pascal Bély et l'équipe du Tadorne CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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July 26, 2012 6:13 PM
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Cela fait partie du charme d’Avignon pendant le festival : dans les rues, sur les terrasses des cafés, à la sortie du TGV, même, on a sans cesse l’occasion de croiser des artistes de tous âges et de tous genres, qui font leur possible pour vous donner envie d’aller voir leur spectacle. Certains ont inventé des parades, avec chansons inédites et costumes tapageurs, d’autres se contentent de distribuer des tracts… Et puis en marge de ce grand jeu plus ou moins convaincant, il y a les vrais hasards. Vous vous retrouvez dans un train régional à côté d’un acteur qui vit à Montpellier avec sa famille, et se rend à Avignon chaque jour, « pour jouer ». Il ne cherche pas à vous « vendre » son spectacle, qui a d’ailleurs remporté un vrai succès en tournée (notamment en région parisienne l’hiver dernier). Mais il vous donne une petite carte indiquant les horaires de la représentation. Hôtel Palestine, mis en scène par Jean-Claude Fall, se joue au Lycée Pasteur (rebaptisé « Présence Pasteur » pour le festival) à 16h20 jusqu’au 28 juillet. Judith Sibony pour son blog "Coup de Théâtre" CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D"ORIGINE
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July 27, 2012 12:57 PM
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Il y a d’abord la rencontre entre un roman et un metteur en scène qui aime les défis. Puis, il y a la rencontre entre un processus de création et un public pris par la spirale insidieuse de la création et de l’obsession. Le roman de Laurent Binet a reçu le Prix Goncourt du premier roman en 2010. HHhH sont des initiales terribles, celles d’Heydrich, le bourreau de Prague. HHhH, les initiales d’un sobriquet. Un auteur écrit sur l’attentat de Heydrich à Prague. Son roman prend toute son énergie, son temps, ses pensées, sa respiration. Tout dans sa vie va dans une seule direction : écrire cette histoire, coller au plus prés de la réalité. Par Marie-Laure Atinault pour le blog Webthea CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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July 18, 2012 6:43 PM
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