Revue de presse théâtre
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LE SEUL BLOG THÉÂTRAL DANS LEQUEL L'AUTEUR N'A PAS ÉCRIT UNE SEULE LIGNE  :   L'actualité théâtrale, une sélection de critiques et d'articles parus dans la presse et les blogs. Théâtre, danse, cirque et rue aussi, politique culturelle, les nouvelles : décès, nominations, grèves et mouvements sociaux, polémiques, chantiers, ouvertures, créations et portraits d'artistes. Mis à jour quotidiennement.
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Scooped by Le spectateur de Belleville
May 23, 2012 6:57 PM
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"L'art de la fugue" par Yoann Bourgeois, Marie Fonte, Célimène Daudet

"L'art de la fugue" par Yoann Bourgeois, Marie Fonte, Célimène Daudet | Revue de presse théâtre | Scoop.it

À l’origine le programme des Fugues rassemble une série de petites danses spectaculaires pour un homme et un objet, écrites précisément sur L’art de la fugue de Jean-Sébastien Bach, chacune dans un rapport singulier à un objet particulier.
Entre contrôle et chute, chaque fugue impose une prise de risque, tant physique qu’esthétique. Si chacune de ces danses se construit, à la manière de la fugue, autour d’un motif spécifique (la marche, la chute) qui se forme, se déforme et se reforme à l’infini, le motif principal qui les réunit est le point de suspension : présent absolu, endroit idéal lorsque l’envol d’un corps atteint son apogée et lorsque la chute n’a pas encore débutée, instant de tous les possibles.
C’est d’un poème visuel qu’il s’agit, sorte «d’architecture constructiviste» cherchant à matérialiser le temps, donnant une dimension éternelle de l’éphémère.

 

Petit reportage vidéo : http://www.francetv.fr/culturebox/lart-de-la-fugue-par-la-compagnie-yoann-bourgeois-66753

 

Critique parue dans le blog "Les Trois coups":  http://www.lestroiscoups.com/article-l-art-de-la-fugue-de-yoann-bourgeois-et-marie-fonte-critique-de-laura-plas-le-monfort-a-paris-105780021.html

 

Critique de Martine Silber pour son blog marsupilamima :  http://marsupilamima.blogspot.fr/2012/06/deux-raison-daller-au-montfort-lart-de.html

 

 

Critique d'Ariane Bavelier dans Le Figaro : http://www.lefigaro.fr/culture/2012/06/04/03004-20120604ARTFIG00674-yoann-bourgeois-sur-un-nuage-carre.php

 

 

Au Monfort du 22 mai au 9 juin

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May 18, 2012 6:58 AM
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Disparition de Monique Melinand, actrice discrète et lumineuse - Rue89

Disparition de Monique Melinand, actrice discrète et lumineuse - Rue89 | Revue de presse théâtre | Scoop.it
Tout était clair en elle. Son regard, sa voix douce mais cependant timbrée, sa façon de marcher comme si le sol se feutrait sous ses pieds, son sourire, ses rides même qui semblaient considérer son visage avec affection.

Elle aura vécu presque tout un siècle en toute discrétion, exerçant un métier qui, généralement, cherche la lumière et se méfie des ombres. L’actrice Monique Mélinand sut faire son miel de ce méli-mélo. Elle vient de disparaître sur la pointe des pieds à l’âge de 96 ans.

 

 

Jean-Pierre Thibaudat pour son blog "Balagan"

 

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April 21, 2012 11:55 AM
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Stanislas Nordey met en scène "Incendies" de Wajdi Mouawad

Stanislas Nordey met en scène "Incendies" de Wajdi Mouawad | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Il y a une multiplicité de lieux dans Incendies. L’intrigue démarre dans le bureau d’un notaire, et se termine au tribunal pénal international ; entretemps, nous passons par la scène d’un théâtre, un couloir d’hôpital, un orphelinat désert, une prison, un amphithéâtre d’université, une salle de boxe, un cimetière, un poste frontière…

 

Le théâtre de Wajdi Mouawad est un théâtre de l’intime aux formes épiques, il brasse l’histoire avec un grand H et les histoires de vie d’êtres humains lancés malgré eux dans le tourbillon des haines, des guerres.

Les personnages sont en quête perpétuelle de leurs origines et ce n’est sans doute pas un hasard si l’homme qui écrit ces récits est né au Liban puis déplacé en France puis redéplacé au Québec où il écrit Incendies.

La guerre est en toile de fond de ces morceaux de vie contés ici. Une guerre comme tant d’autres qui ressemble à celles que nous voyons à travers le prisme des écrans de nos téléviseurs mais aussi une guerre immémoriale telle que pouvait la raconter Thucydide ou Xénophon.

 

Extrait de la note d’intention de Stanislas Nordey

 

Critique parue dans la revue Inferno : http://inferno-magazine.com/2012/04/23/incendies-stanislas-nordey-revisite-wajdi-mouawad/

 

Au Théâtre des Quartiers d'Ivry du 30 avril au 27 mai.

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April 14, 2012 6:32 PM
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« Robert Plankett », par le collectif "La Vie brève"

« Robert Plankett », par le collectif "La Vie brève" | Revue de presse théâtre | Scoop.it

"Robert Plankett (c’est son nom) est en train de ramasser des pommes dans son jardin quand il subit un accident vasculaire cérébral. Pendant les longues minutes où l’hémorragie se répand, il fait l’expérience de « l’ici et maintenant » absolu. Son cerveau en voie d’extinction le mène dans une ballade hallucinée parmi les arbres et les animaux, il ne fait plus de distinction entre son corps et la nature qui l’entoure. Robert raconte face au public son hilarante épopée de Blanche Neige sous acide, et pourtant, il est bien mort."

 

Elody Emery, Marianne

 

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 Critique de René Solis dans Libération : http://www.liberation.fr/theatre/01012313345-robert-plankett-sur-le-vif

 

Critique du blog "Les Trois coups" : http://www.lestroiscoups.com/article-robert-plankett-ecriture-collective-des-comediens-de-la-vie-breve-critique-d-ingrid-gasparini-theatr-104741816.html

 

 

Reprise au Théâtre des Abbesses du 2 au 11 mai

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April 3, 2012 1:32 PM
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Entretien avec Peter Brook autour de « The Suit » 

Entretien avec Peter Brook autour de « The Suit »  | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Dans un monde saturé de bruit, de parlotte et de virtuel, de médias qui fuient le silence comme la peste, le théâtre est comme un havre. Le théâtre est aujourd’hui le lieu où le silence a trouvé refuge. (Il est aussi, à l’autre extrémité, chez Novarina et d« autres, le lieu de la parole infinie, à rebours des radios et télés où l’on n’a de cesse d’interrompre l’interlocuteur).

 

 

Le théâtre fut naguère volontiers politique, aujourd’hui il tient un rôle civique. C’est aussi ce que raconte, plus de dix ans après “ Le costume ”, ce spectacle qui n’en est nullement la reprise, mais la suite, “ The suit ”.

Et comme le visage du personnage qui s’affaisse en silence pour dire sa mort est aussi celui de l’actrice qui salue le public, “ The suit ” apparaît comme une métaphore infinie de l’irréductible nécessité du théâtre.

Peter Brook :

“ Ce qui m’intéresse c’est le naturel propre au théâtre. Ni le stylisé, ni le langage artificiel. Et c’est cela qui amène ces moments de suspension ...Quelque chose se passe, et puis le silence... ”

 

Jean Pierre Thibaudat sur son blog "Balagan"

 

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Critique d'Armelle Héliot parue dans son blog :  http://blog.lefigaro.fr/theatre/2012/04/aux-bouffes-du-nord-le-bouleve.html

 

 

"The Suit" mise en scène Peter Brook, au Théâtre des Bouffes du Nord, jusqu'au 5 mai

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April 19, 2012 11:22 AM
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René Gonzalez, une certaine idée du théâtre

René Gonzalez, une certaine idée du théâtre | Revue de presse théâtre | Scoop.it
Il s'est éteint, finalement vaincu par la maladie. C'était un de ces hommes qui donnent tout aux autres.

 

Armelle Héliot, dans son blog "le Grand Théâtre du Monde"

 

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April 14, 2012 1:29 PM
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"Le 6 ème jour", écriture, et mise en scène de François Cervantès et Catherine Germain.

"Le 6 ème jour", écriture, et mise en scène de François Cervantès et Catherine Germain. | Revue de presse théâtre | Scoop.it

"Il est rare de voir une pareille osmose entre Arletti, ce clown, plutôt féminin quand même, une gestuelle et un texte d’une intelligence aussi aiguë. C’est dire que François Cervantès et Catherine Germain ont signé là une mise en scène, un texte et une direction d’acteurs d’une exceptionnelle qualité. On sort des 70 minutes de ce sixième jour, assez émerveillé par ce spectacle « populaire » au meilleur sens du terme. Et quand, à la fin, dans un bruit de tonnerre, une pluie de petits morceaux de papiers tombe sur la scène, alors qu’Arletti se réfugie sous sa haute table de conférence, il y a comme de la nostalgie dans l’air. Vraiment , un spectacle comme on en voit rarement.
Attention, la salle n’est pas immense et Catherine Germain n’est pas là pour très longtemps… Mais n’hésitez pas à y emmener des enfants: il sont ravis."

 

Philippe du Vignal, Théâtre du blog

 

 Critique de David larre dans le blog "Au poulailler" :   http://www.aupoulailler.com/article-critique-le-6eme-jour-fran-ois-cervantes-et-catherine-germain-103564865.html

  

Critique de Martine Silber dans son blog : http://marsupilamima.blogspot.fr/2012/04/le-6e-jour-au-theatre-de-la-cite.html

 

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Au Théâtre de la Cité internationale, jusqu'au 22 avril

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April 11, 2012 6:43 PM
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Mass für Mass (Mesure pour mesure) de Shakespeare, mise en scène Thomas Ostermeier

Mass für Mass (Mesure pour mesure) de Shakespeare, mise en scène Thomas Ostermeier | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Voilà le spectacle qu'il faut absolument voir, en cette étrange campagne présidentielle : avec Mass für Mass (Mesure pour mesure), de Shakespeare, Thomas Ostermeier, le directeur de la Schaubühne de Berlin, frappe une nouvelle fois au plus fort et au plus juste. A 43 ans, il semble au sommet d'un théâtre qui noue de manière remarquable l'intime et le politique, porté par son intelligence magistrale dans la lecture des textes, son sens de l'espace scénique et de la direction d'acteurs. Et quels acteurs ! Un roi et un prince des scènes allemandes, Gert Voss et Lars Eidinger, ici réunis en un duo inoubliable.

"Mesure pour mesure", cette pièce grinçante, longtemps mal aimée, écrite par Shakespeare en 1604, après l'accession au trône d'Angleterre du nouveau roi Jacques Ier, connaît aujourd'hui un vrai retour en grâce auprès des metteurs en scène. Ce n'est pas surprenant : le triptyque de la morale, du pouvoir et du désir qu'elle met en scène renvoie un saisissant miroir à notre époque déboussolée, où les excès du puritanisme et de la répression semblent répondre à ceux des pulsions sexuelles et mortifères.

 

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Critique de Judith Sibony dans son blog "Coup de Théâtre" : http://theatre.blog.lemonde.fr/2012/04/06/la-tragedie-des-chefs-detat-interchangeables/

 

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April 1, 2012 4:58 PM
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Le côté sombre de Cate Blanchett

Le côté sombre de Cate Blanchett | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Bête de scène : corps ployé, visage tourmenté, bras qui se tordent… Sur le plateau du Théâtre de la Ville, Cate Blanchett ne fait pas dans la demi-mesure. L’actrice australienne interprète Lotte, le personnage central de Big and Small (Grand et petit), la pièce écrite par l’auteur allemand Botho Strauss à la fin des années 70. Trop grande, trop blonde, trop démonstrative, elle est la presque folle dans l’autobus, la dame élégante qui parle toute seule, le pot de colle souriant, la Gena Rowlands d’Une femme sous influence. L’encombrante, en somme. Codirectrice de la Sydney Theatre Company, Cate Blanchett a joué Tchekhov, Ibsen, et on imagine pourquoi le rôle de Blanche DuBois dans Un tramway nommé Désir, de Tennessee Williams, lui a valu un triomphe dans son pays et aux Etats-Unis.

 

René Solis, Libération du 2 avril

 

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Critique d'Armelle Héliot pour son blog "Le Grand Théâtre du Monde" :  http://blog.lefigaro.fr/theatre/2012/04/cate-blanchett-lart-comme-un-j.html

 

Critique parue dans toutelaculture.com :  http://toutelaculture.com/2012/03/big-and-small-l%E2%80%99exceptionnelle-cate-blanchett-sauve-une-mise-en-scene-decevante/

 

Au Théâtre de la Ville / Paris, jusqu'au 8 avril

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January 27, 2012 8:07 PM
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« Nous avons les machines », par les chiens de Navarre

« Nous avons les machines », par les chiens de Navarre | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Il y a le théâtre contemporain, et il y a, aussi, quelque part perdu entre tout, les Chiens de Navarre, compagnie créée en 2005 par Caroline Binder et Jean-Christophe Meurisse, metteur en scène. Ils n'appartiennent à aucun style, ne répondent de rien. Mais une seule chose est sûre : ils sont extraordinaires, et complètement hors normes.

Il est difficile aujourd'hui de dire en quel lieu ils sont habitués. Beaubourg où ils multiplient les Cartes Blanches, les Bouffes du Nord, le Théâtre de Vanves, cette semaine le Théâtre de Gennevilliers, qu'ils connaissent déjà bien (c'est là que « Nous avons les machines » a été créé et répété)... Les théâtres parisiens, avides d'avant-garde, s'arrachent cette compagnie qui ne ressemble à aucune autre, car de manière intensionnelle, ils ne respectent pas les codes du théâtre, vieux de l'antiquité. C'est dire. Avec « Nous avons les Machines », leur troisième pièce, ils s'affirment encore un peu plus comme un élément à suivre de la nouvelle vague théâtrale.

 

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critique dans le blog "Au poulailler" : http://www.aupoulailler.com/article-critique-nous-avons-les-machines-collectif-les-chiens-de-navarre-98626330.html ;  

 

texte de Mari Mai Corbel dans son blog :  http://corbelmarimai.wordpress.com/2012/02/10/chiens-de-navarre-nous-avons-les-machines-dans-la-societe-intergalactique-de-demain/

 

 Critique dans globedia : http://fr.globedia.com/nous-avons-les-machines  ;

 

Au Théâtre de Gennevilliers jusqu'au 12 avril

 

 

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March 20, 2012 8:08 PM
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Le mécano de Tchekhov : Alain Françon

Le mécano de Tchekhov : Alain Françon | Revue de presse théâtre | Scoop.it
Avec «Oncle Vania», au théâtre de Nanterre, le metteur en scène Alain Françon boucle une passion pour le dramaturge découvert il y a cinquante ans, à Saint-Etienne, où son père était mineur.

 

Philippe Lançon, Libération du 21/03

 

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March 26, 2012 7:10 PM
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"Vaterland : le pays du père" de Jean-Paul Wenzel, mise en scène Cécile Backès

"Vaterland : le pays du père" de Jean-Paul Wenzel, mise en scène Cécile Backès | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Au début des années 80 Jean-Paul Wenzel, un des auteurs dramatiques les plus innovants de sa génération - connu surtout pour avoir débuté avec "Loin d'Hagondange", pièce que s'arrachent des metteurs en scène des quatre coins de la planète - part avec Bernard Bloch, qui parle la langue du pays, en Allemagne. Pays dont est originaire son père qui fut durant les années vert-de-gris soldat de la Wehrmacht à Saint Etienne. Ville où vivait une jeune fille avec laquelle il eut un fils. Lequel devenu adulte voulut rencontrer cet homme dont personne n'avait conservé la trace. De retour en France il écrivit, avec la collaboration de son compagnon de voyage, Vaterland, récit mi- fictionnel- mi-réel, de l'odyssée de son père. Le spectacle qu'il en tira fut d'une intensité peu commune. Tout comme celui que met aujourd'hui en scène Cécile Backès.

 

Joshka Shidklow pour son blog Allegro Théâtre

 

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Critique parue dans le blog "Les trois coups" :  http://www.lestroiscoups.com/article-vaterland-de-jean-paul-wenzel-critique-de-laura-plas-theatre-gerard-philipe-a-saint-denis-102510992.html

 

Le site de la Compagnie, présentation du spectacle : http://www.compagnieppf.com/index.php?page=spectacles&type=fiche&id=18

 

Jusqu'au 1er avril Théâtre Gérard Philipe Centre dramatique national de Saint Denis

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March 19, 2012 8:48 PM
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La meilleure part des Hommes, mise en scène de Pauline Bureau, à La Tempête

La meilleure part des Hommes, mise en scène de Pauline Bureau, à La Tempête | Revue de presse théâtre | Scoop.it

"L'intelligence de l’adaptation de Pauline Bureau, c'est de couper court à tout ce qui faisait la faiblesse du roman. Quatre personnages sont au centre de cette histoire d'amour, d'amitié, de trahisons, de haine, qui débute dans les années 1980 pour s'achever dans les années 2000. En gros, de l'élection de François Mitterrand à celle de Nicolas Sarkozy, même si ce n'est pas vraiment important, sauf en ce qui concerne le parcours de l'extrême gauche à la droite conservatrice de l'intellectuel du groupe, Jean-Michel Leibowitz (Zbigniew Horoks) le professeur, l'intello, le plus âgé, l'amant de sa jeune étudiante, Valentine, Val, (Marie Nicolle) qui deviendra journaliste à Libération. Elle est si fine, si juste, si émouvante qu'on souhaiterait la voir plus."

 

Martine Silber pour son blog Marsupilamima

 

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Au Théâtre de la Tempête, Cartoucherie, jusqu'au 7 avril.

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May 9, 2012 8:58 AM
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Edmunds Freibergs adapte "Oncle Vania" à la Comédie de l'Est

Edmunds Freibergs adapte "Oncle Vania" à la Comédie de l'Est | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Guy Pierre Couleau a convié Edmunds Freibergs, le directeur artistique du Théâtre National de Lettonie à Riga, pour la mise en scène de « Oncle Vania », avec l’ensemble artistique de la Comédie De l’Est.

 

"Cette pièce est comme une pierre précieuse : quand on la met à la lumière, de quelques côtés qu’on la regarde, on voit une nouvelle couleur, une nouvelle forme, elle est toujours aussi fascinante ! Et pourquoi monter encore Tchekhov aujourd’hui ? Parce que le monde est tellement pris par ses problèmes sociaux et politiques qu’il en oublie l’humain, or cette pièce nous parle de l’âme humaine, de la solitude, de la quête, du bonheur, de l’envie… Des sentiments très proches de nous. La question centrale soulevée par Oncle Vania est : comment vivre ? C’est une question très simple, mais essentielle, et très actuelle. Dans ce monde qui va trop vite, comment ne pas s’éparpiller, comment ne pas se perdre, comment s’arrêter pour se poser les vraies questions ?"

 

Site de la Comédie de l'Est : http://comedie-est.com/index.php?file=spect&id_spect=137

 

Du 9 au 25 mai à la Comédie de l'Est, Colmar

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April 25, 2012 8:07 PM
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Le Don Quichotte de Patrick Pineau | Sceneweb

Le Don Quichotte de Patrick Pineau | Sceneweb | Revue de presse théâtre | Scoop.it
Qu’est-ce que c’est que ce rêveur excentrique qui veut absolument voir des géants là où il n’y a que des moulins à vent, une sublime princesse là où ne se trouve qu’une grossière paysanne ?

Qui s’acharne à vouloir redresser tous les torts, réparer toutes les injustices, dût-il lui en coûter la vie et plus que la vie s’il est possible ? Un fou, un idiot aux yeux du monde tel qu’il est.

Mais Don Quichotte n’est pas dans le monde tel qu’il est, il vit dans le monde de fiction de ses romans de chevalerie. Il vit dans le mensonge donc, mais ce mensonge cache une vérité profonde, le besoin d’une vie qui n’est pas, qui n’a pas été, qu’on désire sans l’obtenir, qu’il faut donc inventer, créer par l’imagination. Ce désir d’une vie plus grande, plus haute et la frustration de ne pas pouvoir le satisfaire est commun à tous les hommes. Et tous les hommes ont recours à la fiction romanesque ou théâtrale pour étancher cette soif d’ambition inapaisable. Bien sûr si on s’entête à confondre fiction et réalité, le résultat est souvent dramatique. Et Don Quichotte protestera contre les misères de ce monde et s’évertuera à vouloir le changer, jusqu’à la mort.

 

Création scène nationale de Sète, en tournée dans l'Hérault, du 2 au 31 mai.

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April 17, 2012 9:51 AM
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Viktor Vavitch - lecture concert par David Lescot

Viktor Vavitch - lecture concert par David Lescot | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Viktor Vavitch est un de ces romans maudits du XXe siècle, écrit par Boris Jitkov entre 1929 et 1934, jugé « inconvenant et inutile » par la censure stalinienne, puis voué au pilon et à l’oubli.
La Russie ne le redécouvrira qu’en 1999, la France, dix ans plus tard. Boris Pasternak le considérait pourtant déjà comme « le meilleur sur la révolution de 1905 ». C’est une fresque à la fois épique et intime, aux innombrables personnages, brassés dans une époque en feu, où l’on voit se côtoyer les étudiants révoltés, les activistes incendiaires, les réformateurs sans bras, les salauds par faiblesse.
C’est surtout un texte à la modernité inouïe et intacte, un écrin de formes nouvelles qui contient la plus précieuse des poésies littéraires. David Lescot en a réalisé un montage qu’il lira en compagnie de sa complice de longue date, Anne Alvaro. En écho, le pianiste Damien Lehman interprétera des pièces de compositeurs russes contemporains de l’écriture du roman.

 

à la MC 93 du 11 au 14 mai

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April 23, 2012 6:03 PM
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« 1980‑Une pièce de Pina Bausch »

« 1980‑Une pièce de Pina Bausch » | Revue de presse théâtre | Scoop.it

La danse comme alternative à la reproductibilité de l’art, dernier bastion de l’éphémère, du contemporain, souffle encore le chaud du dévergondage. « Soupape de l’âme » dit bellement Hervé Guibert. Sur ces terres de liberté conquise, Pina Bausch, décédée subitement en 2009, est passée maître. Conceptrice d’un théâtre‑dansé, elle invite sur scène des comédiens-danseurs avec leurs histoires, leurs intonations, leurs improvisations et leurs aspérités.

Dans 1980, elle les propulse sur un immense gazon anglais encore parcouru de moucherons, odorant et terreux. Un chevreuil empaillé dans un coin au loin, une caméra à l’opposé, qui épie. Qui épie quoi ? La mascarade d’une ribambelle de danseurs vêtus aux couleurs de la bonne société, des conventions, aux couleurs des endimanchés et des eaux‑tièdes, des gênés-aux‑entournures et autres mal‑engoncés, enfants trop vite vieillis. Nous tous.

 

Cédric Enjalbert

Critique du blog "Les Trois Coups"

 

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Critique de Marie-Christine Vernay dans Libération :  http://www.liberation.fr/culture/2012/04/29/c-est-beau-c-est-bausch_815177

 

 

Le blog de Judith Sibony pour Le Monde :  http://theatre.blog.lemonde.fr/2012/04/25/le-vert-paradis-de-pina-bausch/

 

Extrait vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=kl6vFSJxQbE

 

Annonce parue dans le blog sceneweb : http://www.sceneweb.fr/2012/04/1980-de-pina-bausch/

 

Théâtre de la Ville, Paris     20 avril - 04 mai 2012
Archi complet, mais qui sait si vous tentez de racheter une place à revendre...

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April 27, 2012 5:18 AM
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"Il Convivio", mise en scène Catherine Marnas

"Il Convivio", mise en scène Catherine Marnas | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Comme dans une fête entre amis, la scène accueille spectateurs et comédiens autour d’une même table.
Il Convivio est une joyeuse traversée au fil des œuvres fondatrices de la littérature. Piochant dans la grande malle du théâtre, il convie à sa table des personnages mythiques du répertoire, au pouvoir évocateur, qui nous parlent de l’amour, de la vie, du pouvoir.
Invitation à l’imaginaire, au rêve, au rire…

 

Mise en scène Catherine Marnas.

A Forcalquier les 4 et 5 mai.

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April 18, 2012 5:31 PM
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Vortex / L’après-midi d’un foehn

Vortex / L’après-midi d’un foehn | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Rencontre avec Phia Ménard qui nous parle de ses nouvelles créations : "L’après-midi d’un foehn" et "Vortex".  

 

Vidéo de présentation de ces deux créations en cliquant sur le titre ou la photo.

 

Grande Halle de la Villette, Festival Hautes Tensions jusqu'au 22 avril

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April 18, 2012 5:57 AM
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« Ce que j’appelle oubli » de Laurent Mauvignier mis en espace et interprété par Denis Podalydès – Studio-Théâtre

« Ce que j’appelle oubli » de Laurent Mauvignier mis en espace et interprété par Denis Podalydès – Studio-Théâtre | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Denis Podalydès est un homme de théâtre admiratif de la voix humaine. Il a amplement conté cette passion dans son livre-disque “Voix off”, publié en 2008 et il établit presque exclusivement l’interprétation de cette pièce sur sa connaissance approfondie de l’expression vocale. Par la diversité et la précision de ses intonations, de ses phrasés, de ses respirations et de toutes les voix en présence, auteur, personnages, lecteur, il parvient à imiter vocalement, non pas les accents des personnalités, mais la sonorité des idées, la tessiture des réflexions, l’inflexion des prises de conscience… Une performance vocale abstraite et sensible qui captive dès la première seconde un public qui se retrouve à la fois auditoire ravi, l’ouïe baignée dans une histoire poignante et édifiante, et spectateur fasciné, l’œil rivé sur le spectacle du travail de création à vue qui se déroule devant lui.
Au final, l’estocade est au rendez-vous, magnifiée par Stéphanie Daniel, qui met en lumière subtilement l’ensemble du spectacle et accompagne par un effet magistral la conclusion de ce moment de vérité, libérant le spectateur ébahi dans un état de félicité consciente.

 

Critique de Jean-Christophe Carius pour le blog "Un fauteuil pour l'Orchestre"

 

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Autre critique parue dans le blog "Chroniques du RER B" :  http://m.safe.mn/59eD ;

 

 

Jusqu'au 22 avril au Studio Théâtre de la Comédie française

 

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March 19, 2012 9:10 AM
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"Platonov mais...", bande-annonce

"Platonov mais...", bande-annonce | Revue de presse théâtre | Scoop.it
Bande-annonce de Platonov mais... d'après Anton Tchekhov, adaptation et mise en scène d'Alexis Armengol.

 

- Vidéos de théâtre sur theatre-video.net -

 

Dossier de présentation du spectacle : http://www.theatredelaquarium.net/IMG/pdf/DP-WEB-PLATONOV_MAIS.The_a_tre_a_cru.pdf

 

 

Critique de Celeste Bronzetti dans toutelaculture.com :  http://toutelaculture.com/2012/03/platanov-mais-un-tchechov-qui-parle-au-present-au-theatre-de-laquarium/

 

 

Au théâtre de l'Aquarium du 23 mars au 15 avril

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March 23, 2012 7:38 PM
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Erzuli Dahomey, déesse de l'amour de Jean-René Lemoine, mise en scène Eric Génovèse

Erzuli Dahomey, déesse de l'amour de Jean-René Lemoine, mise en scène Eric Génovèse | Revue de presse théâtre | Scoop.it

 

"Solitude, amour, famille, deuil (réel ou psychologique), mais aussi confrontation des cultures, traite des noirs, esclavage, et vaudou sont quelques uns des thèmes explorés par l'auteur et ses personnages en quête d'identité, en pleins parcours initiatiques. L'écriture est vive, tour à tour drôle, destabilisante, grinçante, poétique, onirique et, sous une apparente légèreté, toujours profonde."

 

Critique de Thomas Baudeau le blog Fousdetheatre.com:   http://www.fousdetheatre.com/archive/2012/03/20/la-comedie-francaise-excelle-aussi-dans-la-creation-contempo.html

 

 

Stéphane Capron sur sceneweb.com : http://www.sceneweb.fr/2012/03/erzuli-dahomey-le-conte-vaudou-de-jean-rene-lemoine/

 

 

Critique de Joshka Shidlow dans son blog "Allegro Theatre" :  http://allegrotheatre.blogspot.fr/2012/03/erzuli-dahomey-deesse-de-lamour-de-jean.html

 

Au Théâtre du Vieux Colombier jusqu'au 15 avril

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April 8, 2012 7:32 PM
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« Violet » de Jon Fosse au Théâtre Gérard Philipe

« Violet » de Jon Fosse au Théâtre Gérard Philipe | Revue de presse théâtre | Scoop.it

"Afin de percer à jour la poésie et la violence du texte, les adolescents-marionnettes sont manipulés par les comédiens. Un labyrinthe de jeu se forme entre les regards chargés des êtres vivants qui jouent la pièce et les visages inexpressifs des poupées. Les comédiens forment un carcan, emprisonnent ces grands corps pantelants; ils les guident, contrôlent leurs expressions, leurs états d’âme… A moins que parfois ce ne soit l’inverse… !
On bascule très vite dans l’ambiguïté et dans le surnaturel. Le malaise se crée, nous perdons tout repère tranquillisant pour s’engouffrer dans leur complexité à vivre.
C’est bien le destin de ces adolescents qui se joue devant nous; une lutte dans laquelle se mêlent l’urgence et l’inertie. Emprisonnés par l’arrière goût encore présent de l’enfance et la peur de grandir, d’être au monde, ces marionnettes semblent parfois se débattre de ces mains qui les guident pour s’échapper.
Les comédiens vêtus de noir sont parfois cachés, volontairement inexistants puis ils quittent leur « simple » rôle de manipulateur pour participer au jeu, pour vivre avec leurs marionnettes.
Un va et vient de visible et d’invisible, de conscient et d’inconscient, de réel et de fantasme, à chacun de voir ce qu’il a envie de voir !"

 

Critique parue dans le blog "Un fauteuil pour l'Orchestre"

 

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Au TGP de Saint Denis jusqu'au 15 avril

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March 24, 2012 5:55 AM
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Please kill me, de Mathieu Bauer, à Montreuil

Please kill me, de Mathieu Bauer, à Montreuil | Revue de presse théâtre | Scoop.it

"Please Kill me est tiré d’un épais recueil d’une centaine d’heures d’entretiens sur le punk rock américain de la fin du XXe siècle. C’est une plongée dans un univers vénéneux, incroyablement vivant, à la fois drôle et tragique des musiques imbibées de révolte de drogue et de fureur des Stooges d’Iggy Pop, de Patti Smith, des Ramones et autres artistes qui y ont brûlé leur vie. “L’avion est en feu, le bateau coule, alors écrasons-nous les uns les autres !”
Accompagnés par le superbe trio de musiciens fondateurs de Sentimental Bourreau, Mathieu Girbig et Kate Strong incarnent à merveille la folie musicale, souvent suicidaire des punks de Grande-Bretagne puis des Etats-Unis. Les traductions des chansons sont projetées avec une rare maestria. On est fasciné d’un bout à l’autre du spectacle par cette rage et cette révolte, parfois salutaires, contre un certain ordre de la société."

 

Edith Rappoport pour "Théâtres du blog"

 

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Critique de Cécile Maslakian pour le blog Rhinoceros.eu :  http://rhinoceros.eu/2012/03/please-kill-me-d-apres-mcneil-et-mccain/

 

Au Nouveau Théâtre de Montreuil, salle Maria Casarès, juqu'au 12 avril

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March 13, 2012 8:16 PM
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Nordey retrouve Emmanuelle Béart et Vincent Dissez dans « Se trouver » de Pirandello - Rue89

Nordey retrouve Emmanuelle Béart et Vincent Dissez dans « Se trouver » de Pirandello - Rue89 | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Cet homme {Ely} c'est aussi Vincent Dissez. Un grand acteur de théâtre. Elève au Conservatoire National Supérieur de Paris il suivait parallèlement les ateliers de Didier-Georges Gabily. Au sortir de l'école, il intégra le groupe T'chan'G fondé et dirigé par Gabily, et en reste – comme tous ses membres – marqué à jamais. Dissez a tourné quelques films mais c'est d'abord un habitant du théâtre.

 

Et là, la mise en scène de Stanislas Nordey redouble de malice post pirandellienne puisque cet acteur de théâtre, en tenant le rôle d'Ely, interprète un personnage qui n'a de cesse de dire sa haine, son exécration du théâtre allant jusqu'à demander à Donata à la fois de l'épouser et de rompre tous ses engagements.

 

Jean Pierre Thibaudat pour son blog de Rue 89, Balagan

 

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Article du blog "les trois coups" : http://www.lestroiscoups.com/article-se-trouver-de-luigi-pirandello-critique-de-jean-francois-picaut-theatre-national-de-bretagne-a-renne-98865412.html

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