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Face à l’obésité croissante et aux inégalités nutritionnelles, un rapport préconise de réduire drastiquement sel, sucres et additifs dans les aliments, de limiter les produits ultra-transformés et de soutenir le bio.
Une étude de cohorte publiée en 2025 dans BMC Medicine suggère qu’un régime alimentaire riche en polyphénols s’accompagne, sur plus d’une décennie de suivi, d’un profil de risque cardiovasculaire plus favorable. L’originalité du travail repose sur la combinaison d’un score diététique et de biomarqueurs urinaires, offrant un regard croisé sur les apports et l’absorption réelle de ces composés d’origine végétale.[1]
La Commission allouera 205 millions d'EUR en 2026 au cofinancement d'activités de promotion de produits agroalimentaires européens durables et de haute qualité, tant au sein de l'Union européenne qu'à l'échelle mondiale.
Quand on consomme des légumes, des fruits, des légumineuses et des céréales complètes, certaines bactéries fermentent ces fibres et fabriquent des acides gras à chaîne courte (AGCC), comme le butyrate, l’acétate et le propionate.
Grossesse : cette simple odeur de cuisine modifierait le cerveau du bébé et ferait exploser son risque d’obésité
Limiter les teneurs en sel, sucres, graisse et additifs des aliments, prendre en compte leur «risque chimique», limiter la consommation des aliments ultra-transformés pour protéger les enfants et soutenir «très fortement» l'agriculture bio: telles sont les préconisations d'un rapport de l'Igas publié mercredi.
Scientists are calling to increase omega-3 intake as their research concludes that 76% of the global population is not consuming the recommended levels. The study has identified available recommendations and gaps worldwide. The difference between the recommended and actual consumption of eicosapentaenoic acid (EPA) and docosahexaenoic acid (DHA) was revealed by a collaboration between the UK-based University of East Anglia (UEA), the University of Southampton, and Holland & Barrett.
Un premier essai de phase 1 montre qu’un traitement one-shot par CRISPR-Cas9 ciblant la protéine hépatique ANGPTL3, réduit fortement l’ANGPTL3 circulante, le LDL-cholestérol et les triglycérides chez des patients déjà sous traitement hypolipémiant maximal.
Elles sont petites mais pleines de bienfaits pour notre santé. Les graines présentent de nombreuses vertus dans notre alimentation et les nutritionnistes en recommandent quatre. Découvrez lesquelles et pourquoi.
Ce système d’information nutritionnelle (SIN) étant facultatif en France et au sein de l’Union européenne (UE), pourquoi ne pas pénaliser financièrement les entreprises qui n’apposent pas le Nutri-Score sur leurs emballages afin de le rendre obligatoire ?
Dans une large cohorte britannique, un apport plus élevé en oméga-3 à longue chaîne (acides gras polyinsaturés) est inversement et linéairement associé au risque de polyarthrite rhumatoïde (−9 à −10 % par écart-type). En parallèle, l’effet protecteur est majoré chez les sujets à risque génétique élevé, avec des interactions additives antagonistes et des médiations protéiques impliquant CD80 et TNFRSF4.
Deux chercheuses de l’Inserm et un chercheur d’INRAE ont participé à une série de trois articles publiés le 19 novembre dans The Lancet consacrés aux conséquences sur la santé de la consommation d’aliments ultra-transformés. Les 43 scientifiques internationaux qui signent cette série d’articles proposent la mise en place de mesures de santé publique pour limiter le recours aux aliments ultra-transformés et améliorer l’alimentation à l’échelle mondiale.
Le cancer colorectal représente la deuxième cause de mortalité par cancer chez les hommes et la troisième chez les femmes. Si l'âge demeure le principal facteur de risque, des recherches récentes révèlent le rôle crucial joué par notre microbiote intestinal et notre alimentation dans le développement de la maladie.
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Connaissez-vous le régime MIND (« mental » en anglais) ? Ce régime a été spécifiquement conçu par des chercheurs de la Rush University de Chicago et ferait gagner 7 années et demie de vie au cerveau !
Une étude récemment publiée a démontré que 76 % de la population mondiale ne consomme pas assez d'oméga-3, en particulier d'acide eicosapentaènoïque (EPA) et docosahexaènoïque (DHA ).
(AOF) - DBV Technologies a annoncé que l'étude Vitesse, son essai clinique pivot de phase 3 évaluant l'innocuité et l'efficacité du patch Viaskin Peanut pour le traitement des enfants âgés de 4 à 7 ans allergiques à l'arachide, a atteint son critère d'évaluation principal. Selon la société biopharmaceutique de stade avancé, la limite inférieure de l’intervalle de confiance à 95 % (IC) à savoir la différence entre les taux de réponse des groupes actif et placebo est de 24,5 %, dépassant ainsi le seuil prédéfini de 15 %.
Sans odeur ni saveur marquée, elle s’est imposée dans l’industrie agroalimentaire à une vitesse fulgurante. Une étude récente révèle pourtant que son rôle dans l’épidémie d’obésité pourrait avoir été sous-estimé.
La plupart des autorités sanitaires convergent vers un objectif d'Omega-3 d’au moins 250 mg d’EPA + DHA par jour pour les adulte
Dans la perspective de la Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat (Snanc), le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) et l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) ont évalué le 3e Programme national pour l’alimentation (PNA) et le 4e Programme national nutrition santé (PNNS). Leurs constats soulignent la nécessité d’une approche plus lisible et ambitieuse. Rapport pdf à télécharger
Le régime alimentaire maternel a un impact modéré sur la composition du lait maternel, mais toutes les études ont été conduites jusqu’à présent avec des mères d’enfants nés à terme. L’objectif d'une étude de l’UMR PHAN (INRAE Nantes Université) était de caractériser, dans le contexte de la prématurité, l'association entre l'alimentation maternelle, évaluée en début d’allaitement, et la présence de métabolites et composés chimiques dans le lait maternel, marqueurs d’une exposition nutritionnelle et chimique.
Les députés doivent rétablir la taxe sur les entreprises refusant d’afficher l’étiquette nutritionnelle sur leurs emballages, plaident les scientifiques à l'origine du petit logo multicolore.
Des chercheurs d'INRAE de l’équipe Œil & Nutrition du CSGA, de l’Inserm, de l’Université Jean-Monnet Saint-Etienne, de l’Université de Bordeaux, d’ITERG et des CHU de Dijon-Bourgogne et de Bordeaux, ont identifié un biomarqueur sanguin permettant de prédire le contenu rétinien en acides gras oméga-3.
Une méta-analyse internationale montre que certains nutriments soutiennent la stabilité du système nerveux bien plus qu’on ne le pensait. Les variations mesurées dans le cortex préfrontal ouvrent une piste inattendue pour comprendre pourquoi certaines personnes réagissent de manière excessive aux tensions quotidiennes.
Les graisses alimentaires connaissent un retour en grâce. Accusées durant des décennies de faire grimper le taux de cholestérol, de boucher les artères et de faire grossir, elles sont désormais vantées pour leurs bienfaits sur la santé. Manger plus de gras serait la clé pour avoir plus d'énergie et être en meilleure santé. Encore faut-il savoir quelles graisses choisir et comment les utiliser au mieux. Car tous les lipides ne se valent pas. Quelles sont les matières grasses à privilégier et celles qu'il convient d'éviter ? Après la diffusion du documentaire "Alimentation, la revanche du gras", de Céline Bittner, Marina Carrère d'Encausse accueille trois experts pour poursuivre le débat. Enora Malagré, elle, donne la parole à des témoins.
Plusieurs études chez l’Homme indiquent qu’une alimentation riche en acides gras oméga-3 serait protectrice vis- à-vis de l’apparition et de la progression de la DMLA. Cependant, les stratégies nutritionnelles actuelles visant à augmenter la teneur en acides gras oméga-3 dans la rétine, ne sont pas optimales puisqu’une fraction seulement des acides gras oméga-3 apportés par l’alimentation est incorporée dans la rétine. Des chercheurs du CSGA et de MICALIS ont montré que modifier le microbiote intestinal par le prisme de l’alimentation pourrait être une stratégie efficace pour augmenter la teneur des acides gras oméga-3 dans la rétine, et ainsi réduire le risque de la DMLA
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