 Your new post is loading...
|
Scooped by
Build Green
November 18, 2021 4:37 PM
|
A Propos de "Non au Nucléaire"
Je suis opposant au nucléaire depuis le début des années 2000, après avoir découvert un reportage sur le coût astronomique financier et environnemental (non provisionné à l'époque) du démantèlement des centrales nucléaires. Depuis, je me suis toujours plus ou moins intéressé au sujet ... jusqu'à l'incident de Fukushima. Du début du tsunami, le 11/03/2011 et ce, pendant 6 mois, 12h par jour, j'ai partagé sur cette plateforme Scoop.it et plusieurs réseaux sociaux (Facebook, Twitter) toutes les informations publiées au Japon et ailleurs sur les conséquences de ces explosions. Malheureusement le topic a été supprimé par la plateforme, sans aucune explication ! Il faut dire que ce fut le topic le plus consulté de Scoop.it pendant plus de 5 ans ! Un événement qui n'a fait que renforcer mes convictions anti-nucléaires. Mais je n'étais pas militant jusqu'ici, juste observateur. Or depuis 2020, un personnage très connu pour son franc parler, et dont je rejoins la plupart des idées (du Shift Project), se répand sur les médias pour défendre cette énergie, prétextant ses faibles émissions de carbone. Argument scandaleux quand on y regarde de plus près. Je lui ai répondu sur un article dans Linkedin, puis en mettant à jour régulièrement, la liste des sujets en défaveur de cette énergie. La liste devenant trop longue, j'ai finalement décidé de créer un nouveau topic sur le sujet, en espérant que Scoop.it ne recommence pas son erreur ! La majorité de ces articles sont issus de ma veille, mais certains viennent également de sources comme : Pour aller plus loin :
|
Scooped by
Build Green
December 22, 4:29 PM
|
La République Tchèque a confié son avenir nucléaire à un groupe coréen: l'UE lance une enquête sur les subventions et le mécanisme des prix mis en place par Prague. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 22, 4:19 PM
|
La France va profiter des prix bas de son énergie décarbonée: le gouvernement prévoit une "stabilité" des factures d'électricité pour la majorité des ménages en 2026 et 2027 (...)
|
Scooped by
Build Green
December 22, 10:09 AM
|
Extrait du livre le nucléaire c’est fini de 2019. Depuis 2025, l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire a été fusionné avec l’Autorité de sûreté nucléaire dans une nouvelle Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR).
Quand on voit comment s’est développé le dispositif de responsabilité qui encadre les activités industrielles nucléaires, il est manifeste qu’il n’a pas eu pour objectif la protection des populations, mais bien celle de l’industrie et de ses profits : le danger nucléaire, que les promoteurs de l’atome s’entêtent à désigner comme un risque, n’est tout simplement pas « couvert » – au sens assurantiel du terme. Ce risque a en effet été construit de telle sorte que les industriels et les États l’ont d’un commun accord ramené à une valeur insignifiante. De ce fait, nous pouvons considérer que tous les discours rassurants tenus par les promoteurs de l’atome sont inutiles, ce qui implique de renoncer définitivement à l’idée que des entités supérieures se préoccuperaient de notre sort et assumeraient notre bien-être. Sur la question du nucléaire, si l’on peut sans crainte refuser d’entrer dans des discussions dont les présupposés sont probabilistes, on peut donc aussi se dispenser de tous les raisonnements impliquant l’idée d’une réconfortante protection de l’État. L’État a souhaité, pour des raisons essentiellement militaires, développer l’industrie nucléaire et il l’a fait indépendamment des menaces que cela faisait peser sur nous. Toute l’histoire du volet assurantiel des activités nucléaires en témoigne. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 20, 3:46 PM
|
[Trad] Au Massachusetts, la proximité résidentielle d'une centrale nucléaire était associée à une augmentation significative de l'incidence du cancer, le risque diminuant avec la distance, selon une nouvelle étude menée par la Harvard TH Chan School of Public Health. L' étude a été publiée le 17 décembre dans la revue Environmental Health. Elle a été menée par des chercheurs du Département de santé environnementale , notamment Yazan Alwadi, doctorant et auteur principal, et Petros Koutrakis , professeur de sciences environnementales. Malgré le recours important – et potentiellement croissant – à l’énergie nucléaire aux États-Unis, les recherches épidémiologiques sur les impacts sanitaires des centrales nucléaires restent limitées. Par ailleurs, les résultats des études menées à l’échelle internationale sont très variables. Afin d’enrichir les données probantes, les chercheurs ont analysé la proximité des codes postaux du Massachusetts aux centrales nucléaires et les données d’incidence du cancer recueillies par le registre du cancer du Massachusetts entre 2000 et 2018. Ils ont pris en compte des facteurs de confusion tels que la pollution atmosphérique et les facteurs sociodémographiques. Les chercheurs ont estimé qu'environ 20 600 cas de cancer dans l'État – soit environ 3,3 % de tous les cas inclus dans l'étude – étaient attribuables à la proximité d'une centrale nucléaire, le risque diminuant fortement au-delà d'une distance d'environ 30 kilomètres. Le risque de développer un cancer lié à la proximité d'une centrale nucléaire augmentait généralement avec l'âge. Selon les chercheurs, ces résultats soulignent l'importance de reconnaître et de prendre en compte les impacts de l'énergie nucléaire sur la santé, en particulier à un moment où son expansion est présentée comme une solution au changement climatique.
|
Scooped by
Build Green
December 19, 3:53 PM
|
Cette note technique inédite de la SFEN, menée avec plusieurs experts de la filière, dresse un panorama des combustibles envisagés pour les réacteurs nucléaires avancés et les petits réacteurs modulaires (AMR/SMR). Elle se concentre sur trois grandes familles de technologies : les réacteurs à haute température (RHT), les réacteurs à neutrons rapides (RNR) refroidis au sodium ou au plomb, et les réacteurs à sels fondus (RSF). (...)
|
Scooped by
Build Green
December 19, 1:00 PM
|
Il aurait fait quelques heureux à Noël, mais il faudra attendre 2026. EDF s’apprêterait à produire une maquette en briquettes de construction de son réacteur nucléaire EPR, du même type que celui de Flamanville.
|
Scooped by
Build Green
December 19, 12:54 PM
|
Le terminal ferroviaire de Valognes (Manche) a réceptionné, ce mercredi 17 décembre 2025, un convoi de 8,6 t de combustibles nucléaires usés en provenance des Pays-Bas. Ils sont traités à Orano La Hague. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 19, 12:51 PM
|
La maison mère du réseau social Truth Social annonce s'associer à la société américaine TAE, qui développe un petit réacteur à fusion nucléaire. Le marché a été récemment investi par plusieurs géants américains de la tech à l'image d'Amazon ou de Microsoft. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 19, 12:43 PM
|
La Russie et la Chine ont supervisé 44 des 45 chantiers lancés entre janvier 2020 et juillet 2025. Sur le continent américain, en revanche, les constructions sont au point mort.
|
Scooped by
Build Green
December 18, 4:12 PM
|
Le complexe d’Hanford a produit la plupart du plutonium de l’arsenal nucléaire des États-Unis. À l’arrêt depuis les années 1980, cet ensemble d’installations désaffectées est contaminé. Sa dépollution devrait coûter au moins 60 milliards de dollars. L’histoire a surtout retenu Los Alamos. C’est dans ce laboratoire secret du Nouveau-Mexique que Robert Openheimer et son équipe ont mis au point les bombes qui ont fait capituler le Japon, en 1945. Mais un autre site a joué un rôle tout aussi central dans l’élaboration des premières armes nucléaires. Direction le nord des États-Unis, à environ 300 km de Seattle, dans l’État de Washington. C’est à Hanford qu’était extrait le plutonium nécessaire à la fabrication de « Fat Man », la bombe qui a été larguée sur Nagasaki, et de ses descendantes. Quatre-vingts ans plus tard, le complexe, perdu au milieu de vastes étendues désertes, est toujours considéré comme le site le plus contaminé du continent américain, bien que la production soit stoppée depuis 1987. Le projet Manhattan Tout démarre pendant la Seconde Guerre mondiale. Albert Einstein adresse un courrier au président des États-Unis Franklin Roosevelt. Le physicien fait part de son inquiétude de voir l’Allemagne nazie mettre à profit les avancées de la science afin de concevoir des armes d’une puissance encore jamais vue. En réaction, le projet Manhattan est lancé. Objectif : mener des recherches à vitesse grand V pour produire la première bombe atomique. Jusqu’à 130 000 personnes sont mobilisées. En 1942, se pose la question du plutonium. Le général Leslie Groves, qui dirige l’opération, fait appel à l’entreprise DuPont pour mettre sur pied un complexe dédié. Le choix de l’implantation s’arrête sur Hanford, qui colle au cahier des charges : de l’eau à profusion, un sol stable, de l’approvisionnement en électricité, peu de population et de grands espaces pour construire différentes installations, tout en respectant des distances de sécurité entre elles. Une décision qui nécessite tout de même d’exproprier et de reloger les 1 500 habitants d’Hanford, ceux de quelques villages alentour et les natifs Wanapums qui vivaient là depuis bien plus longtemps. En septembre 1944, le premier réacteur destiné à la production de plutonium est mis en route. En novembre, il sort son premier gramme de plutonium, obtenu à partir de la transformation de l’uranium. À son pic d’activité, au début des années 1960, en pleine guerre froide, le complexe d’Hanford dispose de neuf réacteurs et de cinq unités pour séparer l’uranium et le plutonium des produits de fission. Le tout est entouré d’environ 900 bâtiments. « Et puis, il y a les citernes. Enfouies sous terre. Invisibles. On en compte 177. Elles contiennent deux milliards de litres de déchets chimiques et radioactifs, dont on ignore la composition, à force de les avoir retraités, transvasés, mélangés », écrivait en 1996 Libération . Le site, qui s’étend sur 1 500 m², «soit quinze fois Paris », compare Sciences et avenir , a permis de produire la grande majorité des 60 000 ogives nucléaires de l’arsenal américain, précise RFI . De quoi laisser en héritage 204 000 m3 de déchets à très haute activité, toujours entreposés de manière provisoire. Un désastre environnemental caché Derrière la raison d’État et la compétition avec l’URSS, se cache un désastre environnemental. Des dizaines de citernes fuient et la radioactivité a contaminé le sous-sol et ses eaux. En 2024, Kate Brown, professeure de science, technologie et société au Massachusetts Institute of Technology (MIT) consacrait un livre à une étude comparée d’Hanford et de Maïak, dans l’Oural. Elle racontait comment les habitants ont été exposés à la radioactivité pendant des années. Elle dénonçait même des expérimentations menées sur la population. « S’il n’est pas surprenant que l’URSS néglige l’information et la protection des habitants d’Oziorsk et des environs, le lecteur découvre que les États-Unis n’ont pas fait mieux, diffusant des discours rassurants sur les effets de la radioactivité, écrivait Le Monde, à la sortie de l’ouvrage. C’est même dans ce pays que les humains servent de cobayes à leur insu, avec, par exemple, un largage volontaire de fumées radioactives, ou que des expériences de « nucléaire offensif » (comment certains radioéléments peuvent servir à nuire aux populations) sont élaborées. » Une opacité que confirme la journaliste Chelsea Haney, qui a grandi dans la région. « Pendant des décennies, l’histoire d’Hanford – son ampleur, son secret, ses conséquences – est restée une simple impression, une intuition que je n’ai jamais vraiment comprise, écrit-elle dans New Atlas. Ce n’est que bien plus tard, longtemps après mon départ, que j’ai commencé à comprendre l’ampleur de ce silence. » Son article évoque les inquiétudes de la population, les cancers dont on se demande s’ils n’ont pas été causés par la radioactivité. « Grandir près de Hanford, c’est apprendre à vivre avec des questions qui resteront sans réponse. » Si le complexe fait rarement parler de lui, il a néanmoins fait les gros titres en 2017, lorsqu’un pont s’est effondré. L’accident avait nécessité, selon Radio-Canada, le confinement de 3 000 travailleurs. Les autorités avaient assuré que personne n’avait été blessé ni exposé à des radiations excessives. Une fois mis à l’arrêt, les réacteurs ont été enfermés dans du béton, façon Tchernobyl. Le chantier pour traiter les déchets radioactifs est colossal. Coût estimé : 60 milliards de dollars, selon les dernières estimations, qui datent déjà d’il y a plusieurs années. Le ministère de l’Énergie a lancé les opérations, avec un budget de 2 milliards de dollars par an. Depuis les années 1990, le pompage et le traitement des eaux souterraines contaminées sont en cours. Cette année, une autre étape a été franchie, avec la mise en service de l’usine de traitement de déchets. Selon un procédé proche de celui appliqué dans l’usine de La Hague, en Normandie, les matières radioactives sont fondues avec du verre. « Une fois refroidi, le mélange se solidifie en bûches de verre qui sont scellées dans des conteneurs en acier inoxydable conçus pour résister des milliers d’années », décrit Chelsea Haney. Lire aussi : Dans La Hague, l’élimination des déchets radioactifs est un chantier titanesque Selon le gouverneur démocrate Bob Ferguson, il s’agit d’une grande nouvelle pour l’État de Washington. « Il est difficile de surestimer l’importance de cette étape dans le processus de dépollution du site de Hanford, a-t-il déclaré, dénonçant la volonté du gouvernement fédéral de renoncer à ses obligations. La mobilisation unie des travailleurs, des entreprises et des élus a fait la différence. Nous avons marqué l’histoire aujourd’hui. » Des propos qui seront à apprécier sur le temps long. La fin du chantier était initialement annoncée pour 2035.
|
Scooped by
Build Green
December 18, 10:10 AM
|
Le géant électricien EDF a révisé en nette hausse le coût prévisionnel du programme de six réacteurs nucléaires EPR2, désormais estimé à 72,8 milliards d’euros, révèle « Les Echos » jeudi 18 décembre. Il s’agit d’une augmentation d’environ 40 % par rapport au devis initial. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 18, 1:46 AM
|
Le marché solaire des États-Unis continue de battre des records, d’après le dernier rapport U.S. (...)
|
|
Scooped by
Build Green
December 22, 4:34 PM
|
Les négociations salariales pour 2026 au sein du groupe public d’énergie se déroulent dans un climat difficile. Les propositions d’augmentations sont jugées insuffisantes par les syndicats alors qu’au même moment un vaste plan de réduction des coûts ne passe pas. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 22, 4:27 PM
|
A quelques jours de la fin de l’année, le groupe dirigé par Bernard Fontana a confirmé ses prévisions de production nucléaire en France pour 2026 et 2027. Celles-ci sont maintenues entre 350 et 370 TWh. Pour 2028, l’estimation d’EDF est comprise entre 345 et 375 TWh. Cette fourchette large inclut des facteurs d’incertitude accrue concernant l’évolution de la demande et les perspectives de modulation des réacteurs. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 22, 10:33 AM
|
[Trad] Cette décision intervient alors que l'UE tente d'interdire les importations d'énergie russe, ce qui soulève des inquiétudes en matière d'espionnage et de sécurité. BERLIN — Une entreprise publique russe devrait participer à la fabrication de combustible nucléaire au cœur de l'Union européenne, dans le cadre d'une proposition controversée qui attend l'approbation des autorités allemandes. La coentreprise franco-russe, qui fabriquerait des barres et des assemblages de combustible nucléaire à Lingen, dans le nord-ouest de l'Allemagne, est présentée comme un élément clé de la sécurité énergétique de l'UE à un moment où l'énergie nucléaire est considérée comme essentielle pour sortir de la dépendance aux combustibles fossiles. Mais cette mesure intervient également alors que le bloc tente d'interdire toutes les importations d'énergie en provenance de Russie en réponse à l'invasion à grande échelle de l'Ukraine par le président Vladimir Poutine, et cette proposition suscite des inquiétudes au sein des gouvernements régionaux et fédéraux quant au risque d'espionnage et autres menaces à la sécurité. Les autorités allemandes devraient se prononcer dans les prochaines semaines sur l'approbation ou non de ces plans. L'usine serait exploitée par Framatome, filiale du groupe énergétique français EDF, et utiliserait des composants russes fournis par TVEL, filiale du géant nucléaire Rosatom, contrôlé par le Kremlin. TVEL ne participerait pas directement à l'exploitation de l'usine, mais fournirait les composants de fabrication russe indispensables à la production du combustible nucléaire. Le combustible de conception russe est actuellement utilisé par 19 réacteurs nucléaires de l'ère soviétique répartis dans cinq pays de l'UE en Europe de l'Est et du Nord, et par 15 autres en Ukraine. Framatome a exercé un lobbying intense auprès des autorités allemandes pour obtenir leur accord sur le projet, mobilisant toute la puissance du gouvernement français jusqu'au président Emmanuel Macron. Selon Framatome, une bonne affaire est une bonne affaire pour l'Europe. Mais pour l'Allemagne, dire oui est politiquement délicat. Les autorités berlinoises s'inquiètent des risques sécuritaires et de l'espionnage russe, certains responsables mettant en garde contre le risque de laisser une entreprise russe s'implanter dans un pays quasiment en guerre contre le régime de Poutine et encore marqué par sa dépendance passée à l'égard de l'énergie russe . (...)
|
Scooped by
Build Green
December 22, 10:07 AM
|
Pour soutenir l'explosion du numérique et de l'intelligence artificielle, le réseau électrique français doit se muscler à toute vitesse. C'est le cas près de Marseille, où la Commission de Régulation de l'Énergie (CRE) vient de donner son feu vert à un chantier titanesque : la création d'une "autoroute électrique" pour alimenter les data centers de demain. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 20, 11:35 AM
|
Ce samedi 20 décembre 2025, Électricité de France (EDF) a rendu public un départ d'incendie vite maîtrisé au niveau de la turbine de la centrale nucléaire de production d'électricité (CNPE) de Chooz (Ardennes). Survenu dans le secteur non-nucléaire de la centrale, il n'a fait aucun blessé. Une enquête est en cours. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 19, 1:02 PM
|
La demande d'autorisation de création des EPR2 de Penly est repoussée à 2027. Un obstacle parmi d'autres, pour le programme titanesque des futurs réacteurs français d'EDF. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 19, 12:57 PM
|
Un professeur en physique nucléaire de la prestigieuse université du MIT (Massachusetts Institute of Technology) a été tué par balle mardi. Blessé lundi dans le hall d’immeuble devant son domicile près de Boston, le scientifique a été transporté à l’hôpital dans un état critique où il est décédé mardi. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 19, 12:52 PM
|
Une enquête pour vol en bande organisée dans le but de servir les intérêts d'une puissance étrangère a été ouverte par le parquet de Paris, après la disparition de 1 000 tonnes d'uranium civil, dans des gisements exploités auparavant par le groupe français Orano (ex-Areva) sur le site d'Arlit, au nord du Niger, révèle franceinfo vendredi 19 décembre. Une information que confirme le parquet de Paris sollicité par franceinfo. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 19, 12:47 PM
|
Pour tenir le devis de ses six futurs réacteurs, une nouvelle fois revu à la hausse à près de 73 milliards d'euros, EDF mise sur les effets de série. L'électricien estime ainsi que le sixième et dernier chantier pourra coûter 30 % moins cher que le tout premier. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 19, 12:26 PM
|
La relance du nucléaire, chiffrée à environ 100 milliards d'euros, ruinera la France. Que faire d'autre avec cette somme colossale ? Reporterre démontre qu'elle permettrait de répondre aux enjeux de l’avenir. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 18, 12:06 PM
|
Avec la montée en puissance de l’IA générative, les datacenters sont appelés à se multiplier en France, sollicitant fortement le réseau public d’électricité. Dans une étude, l’Autorité de la concurrence évalue les enjeux concurrentiels liés à cette explosion de la demande énergétique. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 18, 10:05 AM
|
À en croire le gestionnaire de réseau français, une augmentation trop faible de la consommation électrique française pourrait, à long terme, mettre à mal les grands projets nucléaires et éoliens en mer. Pour éviter cette situation, RTE appelle le pays à prendre des décisions rapidement. (...)
|
Scooped by
Build Green
December 17, 9:44 AM
|
Les landes de Raumarais à Digulleville sont devenues un symbole. Le conseil municipal de La Hague a voté ce mardi 17 octobre 2025 la délibération actant leur vente à Orano.
|