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(Mediterranean Agricultural Information Network) Fostering cooperation and experience sharing among the national information systems on agricultural (cereals) markets in the Mediterranean. The network of 13 countries is coordinated by CIHEAM, and more specifically by its Mediterranean Agronomic Institute (MAI) of Montpellier.
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July 3, 2015 3:36 AM
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New release : Demand and Supply Challenges of Food Security in Egypt, R. Ramadan

Egypt is facing high rates of poverty and unemployment, with 17 percent of Egyptians suffering from food insecurity in 2011. Food insecurity is an important challenge facing the Egyptian government, especially after the 25th of January Revolution and its second wave in June 2013. This paper reviews the food security situation in Egypt, shedding light on the main factors affecting the food situation on both the demand and supply sides. The paper takes into consideration the food subsidy system that has always ensured food security in Egypt. The paper concludes that more reform of the subsidy system is crucial given its increasing budget and its inefficiency. Moreover, Egypt cannot afford to continue depending on food imports without increasing its local food production as well as exports to secure the needed foreign currency.

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July 2, 2015 5:17 AM
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New release: Factsheets on EU28 agri-food trade with the world and individual countries

 A new presentation of agri-food trade has been developed to produce the country factsheets below. It aims at better illustrating the reality of EU agri-food trade with the world and third countries. The product coverage is unchanged.  


The new presentation will be used in the upcoming editions of the MAP, the yearly publication on EU agri-food trade by the Commission Directorate-General for Agriculture and Rural Development.


Updated factsheets are not yet available for all countries. You will find 2014 factsheets (with 2013 data) in the archive.


>> More explanations on the new presentation  [541 KB]


>> Details of the product categories used in the new presentation [863 KB]

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July 2, 2015 5:09 AM
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Matières premières : des prix agricoles assagis dans les 10 ans qui viennent (OCDE-FAO)

es prix des produits agricoles devraient poursuivre dans la prochaine décennie la baisse amorcée depuis deux ans grâce à l'amélioration des rendements, sans exclure un « choc grave », prévoit un rapport conjoint FAO-OCDE publié le 1er juillet.
 
L'augmentation des productions grâce à celle des rendements en Asie, Europe et Amérique du Nord et à la conquête de nouvelles terres agricoles en Amérique du Sud, conjuguée à la baisse des prix du pétrole, qui se répercute sur le coût des engrais et de l'énergie, tout concourt à assagir les marchés agricoles, estiment les organisations dans leurs « Perspectives agricoles 2015-2024 » (un résumé est également disponible).
 
Cependant, les prix agricoles, qui ont commencé à baisser globalement depuis près de deux ans, « devraient se maintenir à un niveau plus élevé que dans les années qui ont précédé la flambée de 2007-2008 », qui avait provoqué la dernière crise alimentaire en date, selon l'Organisation des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO) et l'Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE, 34 pays).
 
« Au moins un choc grave dans les dix ans »
 
Pourtant, cette relative régularité à la baisse ne met pas les marchés à l'abri des secousses, préviennent les deux organismes : entre les variations possibles des rendements, liées au climat, du prix du pétrole et de la croissance économique, « il est très probable que les marchés internationaux connaissent au moins un choc grave au cours des dix ans qui viennent », c'est-à-dire une flambée des cours.
 
« Nos différents scénarios envisagent une variation moyenne des prix autour de 15 à 20 %, projections de base de la plus grande probabilité. Mais sans exclure que les prix puissent grimper bien plus haut, en raison d'un choc climatique par exemple », indique Boubaker ben Belhassen, directeur de la Division Commerce et Marchés de la FAO, joint à Rome par l'AFP. Pour établir leurs « Perspectives », explique-t-il, les économistes de la FAO et de l'OCDE se fondent sur les capacités de production, les estimations de consommation, les conditions macroéconomiques et climatiques. Mais une sécheresse, comme celle aux Etats-Unis en 2012, peut tout perturber, de même qu'une décision politique de suspendre les exportations.
 
Plus que jamais, les marchés mondiaux seront alimentés par un club restreint de cinq exportateurs majeurs : Etats-Unis, Union européenne, Russie, Brésil, Argentine.
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July 2, 2015 4:35 AM
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Géopolitique du blé. Un produit vital pour la sécurité mondiale - Trois questions à Sébastien Abis

Sébastien Abis est chercheur associé à l’IRIS, administrateur au CIHEAM. Il répond à mes questions à l’occasion de la parution de son ouvrage Géopolitique du blé. Un produit vital pour la sécurité mondiale, Editions IRIS/Armand Colin, 2015.

N’est-ce pas excessif de parler de « géopolitique » du blé ?
L’agriculture est depuis toujours géopolitique. Elle façonne les espaces et les territoires. Sa fonction première – nourrir les hommes – détermine fortement la stabilité et le développement d’une société ou d’une nation. C’était vrai hier, cela le reste aujourd’hui et pourrait même s’accentuer encore à l’avenir vu les tensions alimentaires mondiales qui s’accroissent. Comment nourrir sa famille ? Comment nourrir sa population ? Comment nourrir le monde ? Autant de défis quotidiens, de soucis incessants, d’obsessions invariables dans l’espace et le temps. Nul être humain, nulle civilisation, nul gouvernement n’y échappe. Il s’agit peut-être du plus ancien et complexe des enjeux géopolitiques et qui ne saurait échapper aux écrans radars médiatiques et à l’analyse stratégique. D’ailleurs, dans de nombreux pays de la planète, ce pilier fondamental n’est jamais oublié. L’insécurité alimentaire reste par ailleurs l’une des premières conséquences des conflits et des violences territoriales. Posséder de l’eau, de la terre et, par conséquent, des produits alimentaires constitue un privilège croissant, envié par tous ceux qui n’en disposent pas ou ne peuvent y avoir accès. Ces tensions amplifient déjà le risque de conflits locaux au sein des territoires. Elles peuvent également engendrer de sérieuses déstabilisations à l’échelle des relations internationales. Alors que l’agriculture et l’alimentation doivent aussi s’analyser selon des grilles qui empruntent aux rapports de pouvoir et aux stratégies de puissance, alors que l’eau et la terre aiguisent les rivalités et que l’accès aux ressources rares reste un facteur conflictuel, les céréales – et le blé tout particulièrement - illustrent une géopolitique des matières premières vitales pour l’homme et indispensables pour la stabilité du monde. Il n'est donc pas exagéré de parler de "géopolitique du blé". Ce qui serait excessif, c'est de prétendre décrypter la situation géopolitique mondiale (passé, présente ou future) en occultant les enjeux alimentaires. Ce ne sont pas les seuls déterminants, bien entendu, mais trop souvent, ils sont oubliés ou insuffisamment considérés. C’est sans nul doute une erreur.
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July 2, 2015 3:38 AM
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OMC : l’ICTSD recommande de prendre en compte le nouveau contexte global pour finaliser le Cycle de Doha

Alors que le programme de travail pour l’après-Bali se met en place à l’OMC, l’International Center for Trade and Sustainable Development (ICTSD) publie une note rappelant que le paysage international a changé depuis le gel des négociations en 2008, et plus encore depuis le lancement du Cycle de Doha en 2001.

Le commerce international a rapidement évolué, en raison notamment du dynamisme des importations en Afrique et de l’importance prise par les pays émergents. En raison des hausses de prix de certains produits, les auteurs considèrent que nous sommes passés d’un système limité par la demande à un système limité par l’offre. Sur le plan des politiques agricoles, les niveaux de subventions internes potentiellement distorsives, variables aux États-Unis, ont diminué dans l’Union européenne et au Japon, tandis qu’ils connaissent une forte tendance à la hausse au Brésil, en Chine, en Inde et en Indonésie. De plus, plusieurs accords commerciaux « méga-régionaux » sont en cours de négociation, et pourraient de par leur poids économique détourner les pays concernés des négociations multilatérales.

Face à ces changements de contexte, l’ICTSD fait plusieurs préconisations. En matière de soutien interne, il s’agirait de maintenir un système de sauvegarde, compte tenu de la volatilité accrue des marchés prévisible à l’avenir. De plus, un encadrement des subventions aux exportations, apparues récemment et fort dommageables, devrait être envisagé. Enfin, les auteurs considèrent que la Chine et l’Inde devraient, pour parvenir à un accord, accepter de limiter leurs aides au secteur du coton, un point sensible pour les pays en développement.

Cette note présente l’intérêt de mettre en évidence la nécessité pour les accords multilatéraux de s’adapter à un environnement économique évolutif.

Alexandre Martin, Centre d’études et de prospective
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June 30, 2015 9:13 AM
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Latest EU Sentinel satellite to track global food crops

Latest EU Sentinel satellite to track global food crops | MED-Amin network | Scoop.it
The lead spacecraft in Europe's new multi-billion-euro Earth observation programme has gone into orbit.
Known as Sentinel-2a, the satellite was sent up on a Vega rocket from Kourou in French Guiana.
The mission will return pictures of the planet's surface in visible and infrared light.
Its data will map everything from the growth of megacities to the destructive aftermath of natural disasters such as earthquakes.
But Sentinel-2a will also have a particular role in monitoring the performance of the world's food crops.
Its camera sensor has been designed to detect very specific wavelengths of light that detail the health of plants.
This should give international agriculture and food agencies advance notice of poor harvests and the potential for famine.
"We have 13 spectral bands including four in the so-called 'red edge' where plants, and chlorophyll for example, reflect light - and this shows us what plants are doing," explained Prof Volker Liebig, the director of Earth observation at the European Space Agency (Esa).
"This is especially important for food monitoring and, for me, food security applications will be among Sentinel-2's most important uses.
"It will help the World Food Programme forecast bad harvests, and reduce, let's say, speculation on world food markets, which always costs lives because it sends prices skyrocketing even when there are enough cereals to go around," he told BBC News.
The new 1.1-tonne satellite's Vega rocket lifted away from Europe's spaceport in Kourou, French Guiana, at 22:51 local time, Monday (01:51 GMT; 02:51 BST Tuesday). Sentinel-2a was reported to have separated from the Vega just under an hour later, with ground controllers in Germany then able to confirm the successful deployment of the spacecraft's solar array.
The Sentinel is expected to begin operations in three or four months' time, after it has been thoroughly checked out and its instrument properly calibrated.
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June 29, 2015 4:03 AM
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Traduire la politique de la souveraineté alimentaire : Creuser dans les contradictions pour découvrir de nouvelles dimensions

Un récent dossier de la revue « Globalizations » interroge les dimensions et les contradictions de la notion de souveraineté alimentaire à la lumière des changements survenus depuis les années ’90. Dans un extrait que nous reproduisons ici2, les auteurs passent ainsi en revue l’évolution de la définition, du champ d’application et des enjeux liés au concept de souveraineté alimentaire.

La souveraineté alimentaire est un concept développé et présenté pour la première fois par « Via Campesina » lors du Sommet de l’alimentation organisé par la FAO à Rome en 1996. Il est présenté comme un « droit [international] des populations, de leurs Etats ou Unions à définir leur politique agricole et alimentaire, sans dumping vis-à-vis des pays tiers. ». Contrairement à la sécurité alimentaire, son orientation politique est beaucoup plus prononcée.

A la lecture de cet article, il apparaît alors que la souveraineté alimentaire, notion relative et conjoncturelle, s’est profondément transformée ces deux dernières décennies. Elle est aujourd’hui associée à un faisceau complexe de facteurs (socioéconomiques, géopolitiques, endogènes et exogènes) et de réalités nouvelles (politique d’achats de terres, enjeux de politiques extérieures…) liées notamment à la financiarisation des marchés agricoles dans un contexte international toujours plus incertain et instable.
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June 25, 2015 3:39 AM
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Debuts of the 2014-15 Global Food Policy Report | IFPRI

This year’s Global Food Policy Report—IFPRI’s flagship publication—is the fourth in an annual series which provides an in-depth look at major food policy developments in the past year. The topics covered in the 2014-15 report are timely as we usher in a new global development agenda.

The launch of the Report in various capital cities around the world focused on shaping the future development agenda through different lenses, particularly middle-income countries, smallholder agriculture, social protection, and rural infrastructure.

In Beijing, Bonn, Brussels, and Rome, I shed light on what is needed to overcome hunger and malnutrition in middle income countries (MICs) and beyond and why it is important to do so.

As I previously discussed, MICs are global economic powerhouses, yet they account for majority of the world’s hungry and malnourished—they should not be ignored.

There must be a renewed focus on these countries to ensure economic prosperity alongside sustained reductions in inequalities and improvements in human capital. Beyond their borders, MICs should play a key role in helping to reduce hunger and malnutrition in other developing countries via aid, investments, and knowledge sharing.
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June 25, 2015 3:25 AM
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Egypt: Wheat to Take Less Time to Offload

Egypt's supply minister said on Wednesday a plan was being studied to cut the offloading period for wheat cargoes in ports from the current 12 days to five or six days in an effort to save on fees paid in foreign currency.

The plan includes efforts to decrease the time it takes for paperwork to be processed and upgrade offloading equipment, Khaled Hanafi said in a statement.

A slump in tourism and investment since a popular uprising ended the rule of Hosni Mubarak in 2011 has limited supplies of hard currency in Egypt, the world's largest importer of wheat.

Difficulty in repatriating profits from business activity in Egypt is one of the main obstacles cited by investors since 2011.

To restore foreign exchange liquidity in the long run, Egypt will need sustained economic growth. The draft 2015/2016 budget envisions growth of 5 percent.

Reporting By Maha El Dahan
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June 23, 2015 5:01 AM
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Les dimensions commerciales pour la sécurité alimentaire

L’argument selon lequel la libéralisation des marchés agricoles internationaux stabiliserait les cours est toujours mis en avant par des institutions comme l’OCDE, mais il est pourtant intéressant de constater que les travaux de recherche de ces mêmes institutions interrogent de plus en plus les liens complexes entre ouverture commerciale et sécurité alimentaire. Dans un récent rapport de l’OCDE, dont nous reproduisons ici un extrait1, Jonathan Brooks et Alan Matthews, s’interrogent sur l’efficacité relative des politiques commerciales sur les équilibres agricoles et alimentaires, contraints par un environnement international instable.

Bien qu’utilisant les mêmes antiennes chères à l’OCDE quant aux bénéfices d’un marché ouvert, il est intéressant de constater que les deux auteurs préconisent également une approche non-commerciale. Ils promeuvent ainsi la nécessité de la mise en place de filets de sécurité, d’outils de gestion de risques, de réformes pérennes et d’investissements sur le long terme.

Si les partisans d’une généralisation de l’ouverture commerciale aux produits agricoles ne manquent pas – bien qu’ils soient beaucoup moins nombreux depuis quelques années – force est pourtant de constater que le démantèlement des politiques de soutiens publics et des mécanismes de régulation est loin d’avoir prouvé son efficacité, bien au contraire. Aujourd’hui même l’OCDE est prête à concéder que la lutte contre l’insécurité alimentaire passe également par une lutte contre la volatilité des cours agricoles. Mais cette volatilité est surtout exacerbée par le démantèlement des soutiens publics et des mécanismes de régulation des marchés, de ces dernières décennies.
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June 23, 2015 4:57 AM
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French wheat seen regaining exports after quality hit

France’s higher quality wheat harvest this year should allow it to win back exports of quality bread-making grain, but the European Union’s top producer faces familiar tough competition in a well-supplied global market. France was forced to hunt in Asia for livestock feed buyers in the 2014/15 wheat marketing season that ends this month, as heavy rain rendered much of last year’s crop unsuitable for making flour.

“The French will have to win back a little bit of their market share as much as places like South Korea will have to find their feed wheat somewhere else,” said James Dunsterville, analyst with Geneva-based AgFlow. “It’s swings and roundabouts and in it the end it all goes back to quality and prices.”

While quality is hard to call before the crop comes in, grain producers and agronomists polled during the Thomson Reuters Crop Tour said central and northern wheat belts were on course to see an improvement, while western France should maintain the reasonable results achieved last year. Improved quality should notably help France regain sales in its top market Algeria – where its exports have halved this season – as well as other markets in North Africa, where higher quality wheat from Russia and Germany has gained market share.
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June 23, 2015 4:55 AM
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Egypt looking into paying for Russian wheat in roubles

Egypt looking into paying for Russian wheat in roubles | MED-Amin network | Scoop.it
Egypt, the world's largest wheat importer, is studying a proposal put forward by some Russian grain exporters to pay for Russian wheat in roubles, the country's supply minister said on Monday.

"It was a suggestion made on their part and it is being studied," Khaled Hanafi told Reuters.

The proposal comes days before Russia launches a new wheat export tax, which traders say could threaten profits on advance contracts for the new crop if the rouble weakens in coming months.

The new Russian tax, to be launched from July 1, is set at 50 percent of the customs price per tonne minus 5,500 roubles ($102), but not less than 50 roubles per tonne.

None of the Russian grain exporters, contacted by Reuters, were aware of this proposal for Egypt and some of them doubted that the project would be viable.

"The payment in roubles would ease the risk of currency volatility for Russian suppliers, but the question where Egypt would find the roubles to pay remains in place," one of Moscow-based traders said.
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June 23, 2015 4:52 AM
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Algérie/Marché des céréales : "On peut reduire de 30% nos importations de blé"

Au vu des statistiques de ces dernières années, la situation de la sécurité alimentaire de l’Algérie paraît de plus en plus hypothéquée et d’après les projections des spécialistes la situation financière risque de s’empirer.

L’Algérie connaît un déficit caractérisé de la production de certaines cultures stratégiques : 70 % de nos besoins en semoule et farines sont importés et 100 % des besoins en sucre et huiles de tables viennent de l’étranger ; le maïs et les tourteaux sont importés en totalité. Jusqu’à quand continuerons-nous à encourager les agriculteurs étrangers au détriment des nationaux ?

En 2013-2014, la production céréalière toutes espèces confondues n’a pas dépassé les 34.5 millions de quintaux contre 49.1 millions de quintaux en 2012-2013 mais toujours loin de satisfaire la demande nationale ; l’Algérie est l’un des plus gros importateurs de blé dans le monde. Nous pensons qu’il existe des solutions susceptibles de diminuer la dépendance alimentaire sur les céréales par la diversification des cultures et de nouveaux modes de production de farines.

Sur certaines céréales l’amélioration des caractères panifiables est très difficile, elle est liée à une faible productivité. Certaines espèces très rustiques et productives présentent des qualités faibles, on a alors recours à des mélanges de céréales. Dans beaucoup de pays d’Europe la fabrication de pains est souvent assurée par des mélanges de deux types de farines issues de plantes différentes. En Algérie, il est possible d’introduire deux espèces en intensif pour compenser la faible production du blé ;  Il s’agit du seigle et du triticale qui sont largement cultivés dans le monde.

Le seigle est une céréale produisant 70 à 75 kg de farine dans 100 kg de grains, autrefois très utilisée pour la fabrication de pain de seigle appelé pain noir, très répandu en Europe, il a une grande valeur diététique.

On peut le mélanger avec le blé (35 et 65 %) et la farine obtenue est appelée méteil car le seigle est pauvre en gluten. L’intérêt de cette culture est qu’elle est moins exigeante que le blé, c’est une plante rustique, peut être cultivée jusqu’à 3000 m d’altitude, elle peut supporter des températures pouvant atteindre moins 30°C, elle se contente de 350 mm d’eau durant son cycle  et elle est moins exigeante que le blé en éléments minéraux.

C’est une culture dont les rendements dépassent les 60 qx/ha dans des conditions non favorables aux blés.  

La deuxième culture est le triticale ; c’est une espèce artificielle créée par l’Homme. Il est issu d’un croisement entre le blé et le seigle, son nom provient des noms latins des parents triticum pour le blé et secale pour le seigle.

Cette espèce a comme résultat la réunion de la productivité du blé et la rusticité du seigle. Les essais menés par l’ITGC ont donné des rendements moyens de 46 qx/ha avec des pointes de 60 qx/ha. Le potentiel de rendement du triticale pour une même région est 30 à 50% supérieur à celui du blé ou de l’orge.

Sur le plan physiologique le triticale exige 350 mm d’eau et les mêmes quantités d’azote, de phosphore et de potassium que le seigle, c’est à dire moins que le blé. Il peut aussi être cultivé jusqu’à 2500 m d’altitude puisqu’il peut supporter jusqu’à moins 25°C.

Le triticale supporte mieux la sècheresse; pour un même déficit hydrique lorsque le blé perd 10 g de son PMG (poids de mille grains), le triticale n’en perd que 3g.

Le triticale a une teneur de 68 % d’amidon et 13 à 17 % de protéines, Il renferme de nombreux sels minéraux, des oligo-éléments (P et K) et des vitamines du groupe B. Toutefois il est pauvre en gluten, dans la panification un complément de farine de blé tendre est indispensable. Le mélange avec la farine de blé tendre peut atteindre 30 %. Il est donc possible de le panifier, de le brasser et de le distiller.

Ces deux espèces (seigle et triticale) étant rustiques avec d’excellentes performances peuvent être développées dans les régions marginales ou difficiles.

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July 2, 2015 5:18 AM
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New release : EU Commodity price monitoring - May 2015

Every month, a Commodity price dashboard for the most representative agricultural products and consumer food prices is published. These monthly reports will be complemented with an in depth analysis on price developments that will be published twice a year.

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July 2, 2015 5:10 AM
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World Food Prize goes to founder of anti-poverty group

World Food Prize goes to founder of anti-poverty group | MED-Amin network | Scoop.it
Sir Fazle Hasan Abed had a prestigious career working for Shell Oil in 1970 when a cyclone devastated his native Bangladesh, prompting him to abandon his corporate job and dedicate his life to working with women and other poor people in his home country who are struggling to lift themselves out of poverty.

"It was the shocking experience that woke me up to another kind of existence," said Abed, honored Wednesday as the 2015 recipient of the World Food Prize, which comes with a $250,000 award. "It opened my eyes that the kind of life I was leading was pointless, and I have to do something about the fragile lives of poor people."

Abed sold his home in London to start the Bangladesh Rural Advancement Committee, now known as BRAC, in 1972 and focus on giving women the social and economic tools to help themselves and their communities.

By helping village and farm women, he believed they could learn to grow their own crops, start their own businesses and spread knowledge to other people.

BRAC expanded from Bangladesh to 10 other poor countries, including Afghanistan, Pakistan and the Philippines. The non-governmental organization's agriculture and food security programs have helped an estimated 500,000-plus farmers access better farming and livestock techniques, new technologies and financial support.


Fazle Hasan Abed, the chairperson of BRAC, was named the 2015 World Food Prize Laureate. (Photo: BRAC/Special to the Register)
"By focusing on women we have been able to get Bangladesh doing much better than neighboring countries like India and Pakistan," said Abed, 79. "We provided support and worked together with the government to deliver change in our society."

The World Food Prize will be presented to Abed Oct. 15 in Des Moines. He did not attend the announcement in Washington Wednesday.

Winners of the World Food Prize include former presidents, lawmakers and researchers from around the world. The prize, viewed by many as the Nobel Prize for agriculture, was created by Norman Borlaug in 1986 to recognize an individual whose work has helped improve the quality, quantity or availability of food throughout the world.
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July 2, 2015 5:08 AM
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Le Maroc s’attaque au gaspillage alimentaire

Le Maroc s’attaque au gaspillage alimentaire | MED-Amin network | Scoop.it
Une stratégie nationale et un plan d’action sont en préparation avec le concours de la FAO. Les pertes post-récoltes des fruits et légumes estimées entre 20 et 40% des récoltes.


Le gaspillage alimentaire est un phénomène de plus en plus important. Les estimations des pertes post-récoltes des fruits et légumes sont évaluées entre 20 et 40%. Ces pertes sont très élevées et constituent une perte économique importante non seulement pour les agriculteurs, mais aussi pour l’économie du pays. Pour y remédier, il était nécessaire de mettre en œuvre une stratégie nationale et un plan d’action de réduction des pertes et du gaspillage alimentaires. Sur cette voie, la première étape consiste à préparer des études sérieuses et scientifiquement solides. Pour ce faire, le Maroc, en partenariat avec la FAO, lance ce projet pour concevoir et mettre en œuvre la stratégie nationale et le plan d’action de réduction des pertes et du gaspillage  alimentaires, avec l’identification des principaux produits agricoles concernés par le phénomène.

Les travaux seront dirigés par l’INRA

Ce travail portera sur les pertes alimentaires et le gaspillage (PAG) au Maroc pour les sous-secteurs alimentaires clés sélectionnés comme priorité du gouvernement dans le cadre du Plan Maroc Vert, l’identification des principales causes, l’analyse des mesures visant à réduire ces PAG et l’évaluation de leur faisabilité économique, leur acceptabilité à l’égard de la dynamique sociale et de genre ainsi que leur impact environnemental. «Les résultats serviront à développer une vision et des orientations stratégiques qui vont être déclinées en plan d’action pour attaquer cette problématique, afin de diviser de moitié les pertes et gaspillage d’ici 2024», explique-t-on du côté du ministère de l’agriculture.

Sous la direction de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), ce projet, qui prendra une année (à partir du 10 juin 2015), est confié à une équipe de consultants nationaux en agronomie, en technologie alimentaire, en techniques de stockage et en agroéconomie et à une consultante internationale sur les pertes et gaspillage. Du côté de la FAO, on se montre très élogieux à propos des efforts du Royaume. «Le Maroc, qui ne cesse de déployer des efforts pour assurer la sécurité alimentaire, a été récompensé dernièrement, par la distinction octroyée par l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) à l’occasion de sa 39e session, pour la réalisation du premier Objectif du Millénaire pour le Développement (OMD-1/ c), deux ans avant l’échéance, soit fin 2015, et qui consiste à réduire l’extrême pauvreté et la faim», souligne son représentant à Rabat, Michael Georges Hage.

La problématique du gaspillage alimentaire n’est pas seulement locale mais internationale. En effet, avec l’augmentation de la population mondiale, la lutte contre les pertes et le gaspillage alimentaires constitue un enjeu stratégique. Des études réalisées sur la question ont montré qu’un tiers des aliments produits dans le monde, soit environ 1,3 milliard de tonnes, est perdu ou gaspillé. Un constat alarmant face auquel l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture a appelé d’urgence les Etats à réduire les pertes et le gaspillage des produits alimentaires pour lutter contre la faim dans le monde.

Abdessamad Naimi. La Vie éco
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July 2, 2015 3:38 AM
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Le riz confirme sa place de céréale la plus consommée au monde en alimentation humaine

Le riz confirme sa place de céréale la plus consommée au monde en alimentation humaine | MED-Amin network | Scoop.it
D’après les statistiques prévisionnelles pour la campagne 2015/2016 de l’International Grains Council publiées récemment, la consommation mondiale du riz en alimentation humaine devancerait celle du blé pour la quatrième campagne consécutive. Avec 489 millions de tonnes consommées, le riz conforterait ainsi son rôle de première céréale, sachant toutefois que son usage non alimentaire reste marginal par rapport à celui du blé.

Consommation mondiale



Source : International Grains Council, présentation CEP

2014/15 : estimation ; 2015/16 : prévisions au 28/05/2015

Ces mêmes statistiques précisent que les trois premières zones de consommation (mais aussi de production) seraient dans l’ordre l’Asie, l’Afrique et l’Amérique du Sud. Elles regrouperaient à elles seules près de 97 % de la consommation et de la production mondiales pour la campagne 2015/2016.



Source : International Grains Council, présentation CEP

Sur le continent asiatique, deux pays, la Chine et l’Inde, concentrent plus de la moitié de la consommation et de la production mondiales. Ce taux frise les trois quarts si l’on y ajoute l’Indonésie, le Bangladesh, le Vietnam et la Thaïlande.

Contrairement à l’Asie et l’Amérique du Sud, dont les bilans sont excédentaires, l’Afrique peinerait encore à couvrir ses besoins, sa production ne représentant que 59 % de sa consommation (52 % en Afrique subsaharienne). Néanmoins, ce continent resterait le plus dynamique avec une hausse de la production de 31 % en neuf ans (48 % en Afrique subsaharienne), contre 18 % en Amérique du Sud et 14 % en Asie, ce qui lui permettrait de faire passer sa part dans la production mondiale de 3,4 % en 2006/2007 à 3,9 % en 2015/2016. Cette évolution serait due surtout à une extension significative des superficies cultivées entre ces deux campagnes : + 3,4 % annuel en moyenne en tendance (3,6 % en Afrique subsaharienne) contre + 0,4 % en Asie et une régression de 1,1 % en Amérique du Sud. Comparée aux autres zones, la progression moyenne des rendements resterait toutefois modeste : 0,3 % par an en tendance sur la même période (1,5 % en Afrique subsaharienne) contre 1 % en Asie et 2,3 % en Amérique du Sud.

José Ramanantsoa, Centre d’études et de prospective

Source : International Grains Council, International Grains Council
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June 30, 2015 9:15 AM
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New release: OECD-FAO Agricultural Outlook - OECD

The Agricultural Outlook, 2014-2023, is a collaborative effort of the Organisation for Economic Co-operation and Development (OECD) and the Food and Agriculture Organization (FAO) of the United Nations.

It brings together the commodity, policy and country expertise of both organisations and input from collaborating member countries to provide an annual assessment of prospects for the coming decade of national, regional and global agricultural commodity markets.

The special feature on India has been prepared in collaboration with analysts associated with the National Council of Applied Economic Research (NCAER), the Department of Agriculture and Cooperation, the Ministry of Agriculture of the Government of India and the FAO Representation in India. However, OECD and FAO are responsible for the information and projections contained in this document, and the views expressed do not necessarily reflect those of Indian institutions.

Overview of 2014

The international prices of major crops have dropped significantly from their historical highs, largely in response to bumper crops in 2013/14. In contrast, meat and dairy product prices are at historically high levels, primarily because their supply fell short of expectations in 2013. World ethanol and biodiesel prices continued their declines from the historical peak levels they had reached in 2011 in a context of ample supply for both.

Demand for agricultural products is expected to remain firm although expanding at slower rates compared with the past decade. Cereals are still at the core of human diets, but growing incomes, urbanization and changes in eating habits contribute to the transition of diets that are higher in protein, fats and sugar...

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June 30, 2015 2:48 AM
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Inégalités sociales et alimentation. Besoins et attentes des personnes en situation d'insécurité alimentaire. - - FranceAgriMer

Dans la série les études de FranceAgriMer retrouver une nouvelle études que le ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt (MAAF) et FranceAgriMer ont confié à FORS-Recherche sociale la réalisation d’une étude visant à analyser les besoins et les attentes des personnes en situation d’insécurité alimentaire, bénéficiaires ou non de l’aide alimentaire.
Cette note présente les principaux résultats de cette étude.

Pour accéder au rapport complet de l’étude : http://www.franceagrimer.fr/content/download/37772/347257/file/Etude-Inegalites-sociales-et-alimentation-Rapport-final-2.pdf

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June 29, 2015 4:00 AM
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Egyptian policy could shake up wheat markets

The world’s largest wheat buyer is making significant changes to its bread subsidy program in an effort to reduce its reliance on imported wheat.

While never a big buyer of Canadian wheat, Egypt’s demand affects the global wheat market.

The country’s bread subsidy program typically uses 10 million tonnes of wheat per year to feed about three-quarters of the country’s 89 million people.

According to a Wall Street Journal article, the cash-strapped country is attempting to reduce the costs of the program by sourcing more of that wheat from local farmers, who produce eight to nine million tonnes of the crop per year.

Poor farmers are being encouraged to sell their wheat to the government rather than using it to feed their families. In return, they get access to bread through the subsidy program.

About half the wheat used in the program during the latest fiscal year was sourced domestically compared to 36 percent the previous year.

The goal is to have 70 percent of the wheat sourced locally.

“I believe this could happen in the coming year,” Khaled Hanafi, minister of supply and internal trade, told the Wall Street Journal.

Neil Townsend, director of CWB Market Research, said Egypt has been talking about reducing its reliance on imported wheat for decades.

“Time will tell,” he said.

“We’ll see if they’ll be successful, but I’m not betting on them at the current moment.”

The problem is that Egypt doesn’t produce enough wheat for its own purposes and requires imports to keep food price inflation in check.

The Arab Spring revolution was launched in 2010 when a Tunisian man lit himself on fire to protest high bread prices.

Townsend said countries such as Egypt, Iran and Saudi Arabia can’t afford to stir up their vast populations of underemployed youth by having costly bread.

“On any kind of objective standard of measure, the potential for revolution in those three countries is off the charts,” he said.

That is why he expects Egypt to remain a leading wheat importer, although he acknowledged the country has lately bought more of its wheat from Russia rather than North America.

Steve Mercer, spokesperson for U.S. Wheat Associates, said Egypt has been buying most of its wheat from the Black Sea region and the European Union in the last several years.

“It is very difficult for higher priced U.S. wheat to compete in a price sensitive market that can use lesser quality wheat flour for its subsidized bread program,” he said in an email.
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June 25, 2015 3:28 AM
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Egypt achieves 54.9 per cent of average wheat self-sufficiency « AMEInfo

Egypt achieves 54.9 per cent of average wheat self-sufficiency « AMEInfo | MED-Amin network | Scoop.it

Egypt achieved average self-sufficiency of wheat by 54.9 per cent during the last ten years (2002/2003 to 2012/2013), according to recent statistics.

According the Central Agency for Public Mobilisation and Statistics (CAPMAS), the average self-sufficiency of wheat was 56.7 per cent in 2012/2013, whereas the wheat gap was about 7.2 million tonnes in the same year.

A study conducted by CAPMAS on the self-sufficiency of wheat in Egypt says that increasing self-sufficiency of wheat to 66.9 per cent is possible if they remove part of the area reserved for berseem (Egyptian clover) cultivation and plant it with wheat.

The cultivated wheat areas increased by 34.8 per cent in 2012/2013 compared to 2002/2003, says the study.

Ad Daqahliyah, Al Buhayrah and Al Sharqiya provinces captured the largest cultivated wheat areas in 2012/2013, with their cultivated areas reaching 1.1m acres and representing 32 per cent of the total cultivated wheat areas.

The study confirms that the amount of wheat production totalled 9.5m tonnes and the amount of imports reached 6.8m tonnes, while the total amount available for consumption reached 16.7m tonnes in 2012/2013.

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June 25, 2015 3:25 AM
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L’Algérie pour la création d’un espace euro-méditerranéen commun

L’Algérie pour la création d’un espace euro-méditerranéen commun | MED-Amin network | Scoop.it
L’Algérie propose la création d’un espace euro-méditerranéen commun de sécurité et de prospérité partagées, a indiqué mercredi à Beyrouth le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra.

S’exprimant lors de la plénière de la conférence sur la révision de la politique européenne de voisinage (PEV), M. Lamamra a expliqué que l’Algérie "cherche à encourager des notions alternatives qui capteraient davantage la destinée, la prospérité et la sécurité communes et a lancé, à cet effet, l’idée de la possibilité de créer un espace commun de sécurité et de prospérité partagées".

"Un espace euro-méditerranéen commun reflétant une nouvelle philosophie et non une simple adaptation de ce qui existe et qui a atteint ses limites", a-t-il ajouté, soutenant que cet espace commun de paix, de solidarité et de prospérité partagées, devrait "impliquer un travail soutenu de règlement pacifique des conflits et des crises, et même de prévention contre ces derniers".

Le ministre d’Etat a affirmé que "dans une relation entre deux partenaires aussi importants que l’Europe et le monde arabe, il faut, à tout prix, qu’apparaissent les principes du droit international comme le respect mutuel, la non-ingérence dans les affaires intérieurs des pays, le respect de la souveraineté et de l’indépendance nationales".

Il est impératif, a-t-il poursuivi, que "dans cette relation, apparaissent aussi les principes relatifs au doit de l’autodétermination des peuples, ainsi que l’inadmissibilité de l’acquisition des territoires par la force, ce qui s’applique parfaitement à la question palestinienne et la décolonisation du Sahara occidental".
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June 23, 2015 4:59 AM
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New release : MARS Bulletin Vol.23 No.6 (Crop Monitoring in Europe - 22 June 2015)

Continued positive outlook at EU-28 level despite drought concern.


Crop yield forecasts for most winter cereals at EU-28
level have been lowered compared to last month’s
forecast due suboptimal weather conditions. Still, the
yield forecast for total cereals at EU-28 level remains
above the 5-year average. Summer crops have had a
fairly good start to the season.

 

Learn more at : MARSBulletinVol23No06.pdf 18.51 MB

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June 23, 2015 4:57 AM
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Soufflet Group to invest in Ukrainian port

French agricultural company, the Soufflet Group, signed on June 19 an investment agreement with Ukraine’s fourth largest sea port, state-owned Illichivsk, to upgrade infrastructure at the port, and build a grain terminal with up to 1.2 million tonnes of capacity.

Soufflet would also like to increase the depth of berths and improve the aquatic area near the port. The government plan includes leasing facilities to New World Grain Ukraine (NWG), Soufflet’s subsidiary, for 10-30 years as part of a competitive selection process to have foreign investors overhaul the country’s state-owned ports, Infrastructure Minister Andriy Pyvovarskiy told the Kyiv Post.

Minister of Agriculture and Food and Minister Alex Pavlenko said that the signing of the agreement is a positive signal to foreign investors. He stressed that these joint projects are extremely important and enhance export potential. He said Ukraine is one of the leading exporters and stressed that this year it exported a record 34 million tonnes of grain.

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June 23, 2015 4:52 AM
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Algérie/Céréales: hausse des importations sur les 4 premiers mois de 2015

Algérie/Céréales: hausse des importations sur les 4 premiers mois de 2015 | MED-Amin network | Scoop.it
Les importations des céréales se sont chiffrées à près de 1,31 milliard de dollars (md usd) durant les 4 premiers mois de 2015, contre 1,14 md usd à la même période de 2014 (+14,8%), a indiqué le Centre national de l'information et des statistiques des douanes (CNIS).

Les quantités importées ont atteint 4,85 millions de tonnes de janvier à avril 2015 contre 3,84 millions de tonnes sur la même période de 2014, précise le CNIS.

Pour les blés, la facture a coûté 871,76 millions de dollars (2,8 millions de tonnes) contre 785,33 millions de dollars (2,4 millions de tonnes).

Par catégorie de blés, les importations de blé dur ont augmenté à 327,01 millions de dollars (681.159 tonnes) contre 228,27 millions de dollars (594.783 tonnes), en hausse de 43,25%

Toutefois, la facture des importations de blé tendre a légèrement baissé pour s'établir à 544,75 millions de dollars (2,12 millions de tonnes) contre 557,05 millions de dollars (1,83 million de tonnes), en baisse de 2,21% en terme de valeur mais hausse de 16,12% en quantité.

Concernant le maïs (semence et autres), les importations se sont chiffrées à 347 millions de dollars (1,67 million de tonnes) contre 298,33 millions de dollars (1,2 million de tonnes), en hausse de 16,3%.

Pour l'orge, l'Algérie a importé pour près de 90 millions de dollars (370.580 tonnes) contre 56,5 millions de dollars (212.980 tonnes), en hausse de 59,25% en valeur.

En 2014, la facture des importations algériennes des céréales s'était établie à 3,54 milliards de dollars, en hausse de 12% par rapport à 2013.

Le ministre de l'Agriculture et du développement rural, Abdelkader Kadi, a déclaré, samedi dernier lors du lancement de la campagne moissons-battages, que malgré les conditions climatiques défavorables, la récolte céréalière devrait atteindre les 43 millions de quintaux contre 35 millions de quintaux en 2014, soit une hausse de 20%.

La campagne moissons-battage de cette année devra toucher une superficie globale de 3,3 millions d'hectares (ha) dont 1,5 million ha réservé au blé dur, un (1) million d'ha à l'orge, 600.000 ha au blé tendre et 100.000 ha à l'avoine.
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