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MED-Amin
July 23, 2015 3:47 AM
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Après les statistiques du CNIS, relevant des Douanes algériennes, de la semaine dernière faisant état d'une facture de plus de 1,5 milliard de dollars d'importations en céréales durant les cinq premiers mois de l'année en cours, c'est au tour de la France de confirmer sa position du principal fournisseur de l'Algérie en la matière. Par type de céréales, les blés représentent 52,18 millions de quintaux, dont 50,5 millions qx en blé tendre et 1,58 million de quintaux en blé dur. Cependant, il y a lieu de relever, la reprise des importations de l'orge destiné à l'alimentation de bétail, notamment pour les ovins. Dans cette catégorie, l'Algérie a importé de la France 1,28 million de quintaux entre juillet 2014 et la fin juin dernier. Selon le bilan que vient de publier ce lundi l'Organisme français spécialisé dans les statistiques agricoles et produits de mer, FranceAgriMer, l'Algérie a importé de l'Hexagone 53,464 millions de quintaux de céréales durant la campagne allant de juillet 2014 à juin 2015. Bien qu'il est en baisse par rapport à la même période de comparaison précédente, ce volume reste toutefois élevé. En revanche, c'est dans la catégorie du maïs que la France est moins influente sur le marché national, malgré que l'Algérie reste un importateur net de cette céréale utilisée comme intrant pour la fabrication des aliments de bétail, dont les importations moyennes sont estimées à 30 millions de quintaux/an. Durant cette période l'Algérie n'a importé qu'une quantité insignifiante de 350 quintaux de l'Hexagone. Ces cinq dernières années, l'Algérie est le principal client de la France dans la catégorie des produits agricoles, alors que 40% des exportations céréalières françaises ont pour destination les pays d'Afrique du nord, à savoir, l'Algérie, l'Egypte, le Maroc et la Tunisie. Lakhdar A.
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July 17, 2015 4:03 AM
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Le nouveau rapport conjoint de l’OCDE et de la FAO sur les perspectives agricoles sur la période 2015-2024 vient d’être publié1. Pour les deux agences, les prix des produits agricoles devraient poursuivre dans la prochaine décennie la baisse amorcée depuis deux ans grâce à l'amélioration des rendements, conjuguée à la baisse des prix du pétrole, qui se répercute sur le coût des engrais et de l'énergie. Cependant les prix agricoles « devraient se maintenir à un niveau plus élevé que dans les années qui ont précédé la flambée de 2007-2008 », alors qu’il « est très probable que les marchés internationaux connaissent au moins un choc grave au cours des dix ans qui viennent ». Une accalmie en trompe l’œil donc qui rejoint les conclusions, mises en garde et précautions avancées par un récent rapport de l’USDA sur «les forces majeures et les incertitudes relatives aux marchés agricoles futurs » pour cette prochaine décénnie. Si certaines des prévisions de l’OCDE et de la FAO devraient être vérifiées (notamment la tendance progressive à la concentration des facteurs de production dans certaines zones géographiques disposant d’avantages comparatifs et compétitifs), les marchés agricoles demeurent exposés à des risques multiples, dont les effets néfastes sur la stabilité des cours sont exacerbés par la libéralisation non régulée des marchés agricoles. La reconnaissance par les deux agences d’un potentiel choc à venir revient à accépter cet état de fait. Finalement la seule certitude à trait à la volatilité intrinsèque des marchés agricoles, alors que la capacité prévisionnelle des projections doit être utilisée avec précaution.
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July 17, 2015 3:56 AM
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Analyse de la campagne 2014/15 et perspectives 2015/16 du marché des céréales au niveau mondial, européen et français. Le franchissement de paliers de production opéré l’année précédente au niveau mondial s’est confirmé lors de la campagne 2014/15, au cours de laquelle un volume record de céréales a de nouveau été engrangé : la production mondiale de blé a dépassé 720 Mt, celle de maïs est plus proche que jamais du milliard de tonnes, l’une et l’autre étant les principales contributrices à une production totale de céréales de l’ordre de 2 milliards de tonnes, et ce pour la deuxième campagne consécutive. Les utilisations de blé, de maïs et des céréales prises dans leur ensemble progressent en conséquence, tandis que le niveau général des prix s’inscrit à la baisse. Sur le plan des échanges internationaux, ce sont en revanche les céréales de moindre importance en termes de volume de production qui se distinguent au cours de cette campagne. Ainsi, en conséquence d’un mouvement de diversification des céréales importées par la Chine, les volumes d’orge et de sorgho échangés sur le marché mondial atteignent des valeurs sans précédent. Consulter les documents associés Céréales - Données et bilans, campagne 2014/15, perspectives 2015/16 6,22 MB
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July 16, 2015 9:33 AM
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Food security is a long-neglected area of academic study in the Middle East, despite the urgency of the issue. “Food security” is the term that researchers began using in the late 1990s as they shifted their focus from stopping famines to studying the long-term ability of families or countries to have an adequate food supply. Interest in the field increased after the 2008 global spike in food prices, due to a variety of factors ranging from changing diets to rising energy costs. Over the past few years both research and teaching about food security have grown—slowly—in the Arab world. The Arab Forum for Environment and Development highlighted the importance of region-specific food security research and education when it focused on the subject for its seventh annual report on the state of the region’s environment. The report, published last November, emphasized the need for more efficient agriculture and water management. “Food security is of great concern to Arab countries,” the report said. “They [Arab countries] have been pursuing a target of higher food self-sufficiency rate, but achieving this goal remained beyond reach.” The report points out that several Arab countries have limited cultivable land and scarce water resources. “The few countries that do have cultivable land have had very modest or even absent funding as well as poor management,” says an agricultural engineer, Pierre Bejjani “A case in point is Lebanon. The country had reams of green, fertile land, but irresponsible and ill-informed management has, over the years, reduced this land to a few scattered patches—which often end up serving as sites for villas in the mountains and private chalets close to the coastal region.” The dean of the American University of Beirut’s agricultural and food services faculty, Nahla Hwalla, agrees. “Lebanon is seriously insecure because we import about 85 percent of our food,” she says. But a high proportion of food imports alone doesn’t mean a country is “food insecure,” says Clemens Breisinger, who leads the Middle East and North Africa team at the International Food Policy Research Institute. “We consider countries to be food secure if they can either produce enough food for themselves or if they are able to export enough goods or services to comfortably afford importing food,” he explains. Most Gulf States are therefore considered food secure, says Breisinger, because their oil exports easily cover the cost of their food imports. Even though Breisinger’s definition of a food-secure nation would include the United Arab Emirates and Qatar, that doesn’t mean their governments take a relaxed stance—they still feel very uneasy about importing vast quantities of food, he says. In a similar way that Western countries dislike relying on Russia or the Arab world for oil and gas, Arab countries feel insecure relying on other countries for food. “Where European politicians talk about energy dependence, Arab States talk about food dependence,” says Breisinger.
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July 10, 2015 3:57 AM
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The 2007/08 international food price crisis caused hardship on a number of fronts. The steep rise in food prices led to economic difficulties for the poor and generated political turmoil in many countries. The crisis could also result in long-term, irreversible nutritional damage, especially among children. There is a global interest in preventing such events from recurring. This episode highlights the need to modify the architecture of international financial and agricultural markets to address the problem of price spikes, especially their effects on the livelihoods of the poor. Although a set of guiding principles for regulating agricultural and commodity futures markets should be developed and recent inappropriate trade policy instruments such as export bans should be reviewed, these actions are not sufficient to avoid extreme price spikes and to ensure that the world can respond to emergency needs for food. We propose three global collective actions to meet these goals. First, a small physical food reserve should be established to facilitate a smooth response to food emergencies. Second, a new international coordinated global food reserve should be established to minimize the risk of individual countries trying to achieve grain self-sufficiency by rebuilding their own public reserves which could result in a very inefficient global production system, a large total global reserve, and a very thin global grain market. Third an innovative virtual reserve should be set up to help prevent market price spikes and to keep prices closer to levels suggested by long-run market fundamentals like supply and demand without putting at risk the coordinated global reserves. This note offers some specifics on implementing this proposal to stimulate further discussion.
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July 10, 2015 3:53 AM
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Favorable worldwide conditions for cereal crops will lead to better-than-expected production this growing season at the global level, despite continuing apprehension over El Niño. But concerns are growing over a sharp shortfall in maize grown in sub-Saharan Africa as well as poor production in other food insecure hotspot areas. According to the latest release of the monthly FAO Food Price Index (FPI) and the new edition of the quarterly Crop Prospects and Food Situation report, both issued today, world cereal production this year should amount to 2 527 million tonnes. That represents a 1.1 percent decline from the record level in 2014, but an improvement from projections made last month. Meanwhile, the FPI declined 0.9 percent in June compared to May. At 165.1 points, the index is now down 21 percent compared to a year ago and at its lowest level since September 2009. The decline in the FAO FPI mainly came as a result of a drop of 6.6 percent in the price of sugar and of 4.1 percent in the prices of dairy products, which more than offset a rebound in palm oil and wheat quotations. Increasing worldwide demand for livestock feed, especially in Brazil, China and the United States, is supporting prices for coarse grains, including maize. But those global price trends and favourable prospects for world cereal production mask localized hotspots of food insecurity, the report also cautioned. Some 34 countries worldwide, including 28 in Africa - many hosting large numbers of refugees - are in need of external assistance for food, it says.
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MED-Amin
July 10, 2015 3:24 AM
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D'après les dernières prévisions de la FAO (1) concernant la production mondiale de céréales pour 2015, diffusées le 9 juillet, celle-ci s'élèverait à 2.527 millions de tonnes (Mt), soit 1,1 % (27 Mt) de moins que le record de 2014, et serait très légèrement au-dessus des prévisions du mois dernier, les estimations relatives à la production de céréales secondaires étant revues à la hausse et faisant plus que compenser la baisse des prévisions pour le riz. « La réévaluation des perspectives de production de céréales secondaires repose sur une augmentation de 1 % (5 Mt) de la production de maïs, qui atteindrait 1.007 Mt à la faveur de récoltes plus abondantes que prévu en Europe et en Amérique du Sud, suite à des conditions météorologiques favorables. Les estimations relatives à la production mondiale de blé pour 2015 restent inchangées par rapport à celles du mois de juin. On prévoit une production de 723 Mt, soit 1 % environ (8 Mt) de moins que le record de 2014. Cette baisse en glissement annuel est la conséquence d'une diminution attendue de la production dans l'Union européenne et en Fédération de Russie, où les rendements devraient retourner à la moyenne, après les niveaux exceptionnellement élevés de l'an dernier. Les perspectives pour 2015 concernant le riz ont quant à elles continué de se détériorer durant le mois écoulé, avec une baisse de 1,2 Mt, en raison de prévisions en baisse en Asie, notamment en Inde. Les prévisions concernant la production mondiale de riz s'établissent donc maintenant à 499 Mt, soit à peine 1 % de plus que la production de 2014. » Consommation en hausse « Les prévisions mondiales de la FAO pour 2015-2016 concernant l'utilisation des céréales ont été très légèrement relevées par rapport à juin. Le changement le plus notable concerne l'usage de maïs destiné à l'alimentation animale, qui a été revu à la hausse pour les campagnes de commercialisation 2014-2015 et 2015-2016. Estimée à 2.534 Mt, la consommation mondiale de céréales devrait progresser de 1,2 % (30 Mt) par rapport aux projections de 2014-2015. Plus de la moitié de cette hausse concerne les céréales secondaires, pour lesquelles on prévoit une consommation en augmentation de 1,4 %, pour un total de 1.306 Mt, cette situation s'expliquant par l'augmentation de leur utilisation fourragère, en particulier au Brésil, en Chine et aux États-Unis. Les prévisions concernant l'utilisation du riz en 2015-2016 ont été légèrement revues à la baisse depuis le mois dernier et s'établissent actuellement à 507 Mt, soit 7 Mt de plus qu'en 2014-2015, la plus grande partie de cette hausse en glissement annuel correspondant au riz destiné à l'alimentation humaine. On estime que le volume de céréales directement destinées à la consommation humaine augmentera de 1,2 % (13 Mt) par rapport à 2014-2015 et que l'apport alimentaire en céréales par habitant restera stable à 152,4 kg par an. » Repli du rapport stocks/utilisations « Les prévisions de la FAO concernant les stocks mondiaux de céréales à la fin de la campagne se terminant en 2016 ont été révisées à la baisse de 3 Mt par rapport aux 631 Mt prévues précédemment, ce qui est essentiellement dû au blé. Selon les projections les plus récentes, les stocks mondiaux de céréales devraient diminuer de 2,1 % (14 Mt) par rapport à un niveau d'ouverture élevé, le riz étant la principale cause de ce fléchissement. Selon les prévisions les plus récentes concernant les stocks et l'utilisation, le rapport stock/utilisation au niveau mondial devrait passer à 24,6 %, soit 1 % de moins qu'en 2014-2015, mais il se situera tout de même au-dessus de la moyenne. Les stocks mondiaux de blé s'établissent actuellement à 198 Mt environ. Ils sont identiques à leur niveau d'ouverture, mais ont baissé de 4 Mt par rapport au mois de juin, la plus grande partie de cette diminution étant à mettre sur le compte de l'Union européenne, de l'Inde et de l'Indonésie. Quant aux céréales secondaires, les prévisions relatives aux stocks mondiaux sont légèrement plus hautes que celles du mois dernier, car les ajustements à la hausse des stocks de fin de campagne, notamment au Brésil, en Chine et en Ukraine ont été compensés par des baisses en Australie et aux États-Unis. Par rapport à l'année dernière, on attend une baisse de 2 % (5 Mt) des stocks de céréales secondaires, qui devraient s'établir à 264 Mt. Bien que les prévisions mondiales concernant les stocks de report de 2016 aient été quelque peu revues à la hausse, on s'attend malgré tout à une baisse de 4 % (8 Mt) par rapport à l'année dernière. Elles devraient s'établir à 169 Mt, la plus grande partie de cette baisse étant concentrée sur les principaux pays exportateurs. » Stabilité des échanges mondiaux de blé « Les prévisions concernant le commerce mondial de céréales pour la campagne 2015-2016 s'établissent à 358 Mt, soit 1,2 % (4 Mt) de moins que les estimations pour 2014-2015, mais elles sont supérieures de 7 Mt à celles de juin, l'ajustement à la hausse étant imputable en grande partie aux céréales secondaires. Les prévisions d'échanges internationaux concernant les céréales secondaires (juillet/juin) pour 2015-2016 s'établissent à 165 Mt, soit 7 Mt de plus que prévu auparavant, mais 2 % (3 Mt) en moins par rapport à la campagne précédente. La révision à la hausse des prévisions pour ce mois-ci est principalement due à la hausse des exportations de maïs de l'Argentine, de la Fédération de Russie et des États-Unis. Par ailleurs, le volume des échanges mondiaux d'orge et de sorgho a également été revu à la hausse, principalement en raison de la progression des projections d'achat de la Chine. Les prévisions d'échanges mondiaux de blé pour 2015-2016 (juillet/juin) s'établissent à 151 Mt et sont proches du niveau de la campagne précédente. Elles sont d'environ 1 Mt de plus que prévu le mois dernier, compte tenu d'anticipations de ventes supérieures pour l'Union européenne, la Fédération de Russie et l'Ukraine. Les échanges de riz pour 2016 (janvier/décembre) devraient être de l'ordre de 42,1 Mt en équivalent de riz usiné, soit environ 400.000 tonnes de moins que prévu en juin, et ils seront pratiquement identiques à l'année dernière. Tous les exportateurs devraient accroître leurs livraisons en 2016, à l'exception de l'Inde, où l'on prévoit que le resserrement des disponibilités et une hausse des besoins intérieurs auront pour conséquence une contraction de 20 % des exportations de riz. » (1) FAO : Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture
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July 9, 2015 6:36 AM
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Les quantités importées ont atteint 4,99 millions de tonnes de janvier à mai dernier contre 4,87 millions de tonnes sur la même période de 2014, précise le Centre national de l'information et des statistiques des douanes (CNIS).
Les importations des céréales (blés, mais, orge) ont atteint 1,65 milliard de dollars (md usd) durant les cinq premiers mois de 2015, contre près de 1,45 md usd à la même période de 2014, en hausse de 14,04%, a appris lundi l'APS auprès des Douanes algériennes.
Les quantités importées ont atteint 4,99 millions de tonnes de janvier à mai dernier contre 4,87 millions de tonnes sur la même période de 2014, précise le Centre national de l'information et des statistiques des douanes (CNIS).
La facture des importations des blés s'est chiffrée à 1,15 md usd contre 975,11 millions usd (+18,56%).
Les quantités importées ont également connu une tendance haussière passant de 3,02 millions de tonnes à 3,66 millions de tonnes (+21,34%).
Par catégorie de blés, les importations de blé dur ont augmenté à 435,98 millions de dollars (886.764 tonnes) contre 281,98 millions de dollars (723.935 tonnes), en hausse de 54,61% en valeur.
Après avoir connu une légère baisse, la facture des importations de blé tendre s'est établie à près de 720,15 millions usd (2,77 millions de tonnes) contre 693,12 millions usd (2,29 millions de tonnes), en hausse de près de 4% en valeur et de près de 21% en quantité.
Concernant le maïs (semence et autres), les importations se sont chiffrées à 398,47 millions usd (1,93 million de tonnes) contre 394,27 millions usd (1,56 million de tonnes), en hausse de 1,07% en valeur.
Pour l'orge, l'Algérie a importé pour près de 96,34 millions de dollars (396.830 tonnes) contre 78,36 millions de dollars (296.098 tonnes), en hausse de près de 23% en valeur.
En 2014, la facture des importations algériennes des céréales s'était établie à 3,54 milliards de dollars, en hausse de 12% par rapport à 2013.
Le ministre de l'Agriculture et du développement rural, Abdelkader Kadi, a déclaré récemment, lors du lancement de la campagne moissons-battages, que malgré les conditions climatiques défavorables, la récolte céréalière devrait atteindre les 43 millions de quintaux contre 35 millions de quintaux en 2014, soit une hausse de 20%.
La campagne moissons-battage de cette année devra toucher une superficie globale de 3,3 millions d'hectares (ha) dont 1,5 million ha réservé au blé dur, un (1) million d'ha à l'orge, 600.000 ha au blé tendre et 100.000 ha à l'avoine.
Les pouvoirs publics ambitionnent de hisser la production céréalière pour s'établir à 69,9 millions de quintaux en 2019.
Cette progression devrait se produire grâce, notamment, à l'extension des surfaces irriguées d'un million d'hectares supplémentaires, à l'intégration de la fertilisation, des semences certifiées et du renforcement de la mécanisation.
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July 9, 2015 6:31 AM
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FOOD SECURITY SNAPSHOT Below-average cereal harvest gathered in 2015 Relatively stable domestic grain prices observed Economic growth slows down again; high unemployment rates, in particular among young people, remains a concern
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July 9, 2015 6:29 AM
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Egypt's state grain buyer, the General Authority for Supply Commodities (GASC), has bought 180,000 tonnes of Russian and Ukrainian wheat in a tender for Aug. 11-20 shipment, it said on Wednesday. Egypt, the world's largest importer of wheat, bought 60,000 tonnes of Russian wheat from Cargill, another 60,000 tonnes of Russian wheat from Olam and 60,000 tonnes of Ukrainian wheat from Olam, GASC Vice-Chairman Mamdouh Abdel Fattah said. GASC bought the wheat at an average price of $212.26 a tonne cost and freight, he said. Traders gave the following breakdown of the purchase: - 60,000 tonnes of Russian wheat from Cargill at $202 a tonne on a free-on-board (fob) basis and $10 a tonne freight from National Navigation - 60,000 tonnes of Russian wheat from Olam at $202.40 a tonne fob and $10 a tonne freight from National Navigation - 60,000 tonnes of Ukrainian wheat from Olam at $200.50 a tonne fob and $11.88 a tonne freight from National Navigation It was the second tender since the start of the new fiscal year on July 1. GASC made its first purchase of the 2015/2016 fiscal year on July 2, buying 60,000 tonnes of Romanian wheat at $212.47 a tonne on a cost and freight basis. Khaled Hanafi, Egypt's supplies minister in charge of subsidised goods, has said the country's strategic reserves are enough to last until early January.
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July 9, 2015 6:26 AM
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French soft wheat production this year will hit its second highest level in recent history, lifted by elevated sowings, the French farm ministry said, foreseeing a recovery in durum output too.
The ministry - in its first estimate for this year's French soft wheat harvest, the European Union's biggest – pegged it at 37.87m tonnes, a rise of nearly 400,000 tonnes year on year.
Output at this level would be, on data going back to the early 1990s, second only to the 38.25m tonnes reaped in 1998-99.
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July 9, 2015 4:41 AM
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The Market Monitor tracks current and expected future trends in international food markets, including market and policy drivers, and detects conditions that warrant the attention of policy makers.
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July 2, 2015 5:18 AM
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Every month, a Commodity price dashboard for the most representative agricultural products and consumer food prices is published. These monthly reports will be complemented with an in depth analysis on price developments that will be published twice a year.
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July 23, 2015 3:47 AM
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A tender by Egypt, the world's biggest wheat importer, underlined the plethora of the grain for sale when it received offers for an unusually large 22 cargos – including some offered at prices not seen by the buyer in years. Egypt's Gasc grain authority - at its fourth wheat tender of 2015-16, which started this month - purchased 175,000 tonnes of the grain, all from Russia, for an average of $205.37 as tonne including freight. However, Gasc was offered 1.3m tonnes of wheat, an unusually large amount even for the start of the season, when harvest brings fresh supplies to the market. Tuesday's order was for delivery in the first 10 days of September, when the northern hemisphere wheat harvest will be largely over, and indeed Australia's crop only about a month from its initial cuts. Gasc's previous tender, last week, attracted less than 900,000 tonnes in offers, while its July tenders last year received at best some 950,000 tonnes in offers.
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July 17, 2015 4:03 AM
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Parce qu’en ces temps instables et anxiogènes, il n’est pas condamnable de faire preuve d’un soupçon de patriotisme, surtout si la France s’illustre (enfin !) dans la lutte contre l’un des fléaux du XXIe siècle concernant les enjeux agricoles : la spéculation et ses dérives. Depuis novembre 2008, on observe en effet un regain de la spéculation sur les marchés à terme agricoles. La spéculation, aussi utile soit-elle pour couvrir les risques de marché lorsqu’elle est modérée, devient un facteur déstabilisant lorsqu’elle devient excessive. Ainsi, face à un système chaotique marqué par une incertitude endogène et exogène, la spéculation non maîtrisée peut agir comme un facteur amplificateur de la volatilité des prix agricoles et largement impacter la sécurité alimentaire mondiale. En France, les établissements bancaires s’étaient engagés, à la suite de la loi de séparation et de régulation des activités bancaires votée en 2013, à réduire leurs activités spéculatives sur les marchés agricoles, en fermant un certain nombre de leurs fonds indiciels ou à cesser toute activité spéculative sur les matières premières agricoles. Alors que ces engagements étaient restées jusque là lettre morte, l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) a finalement mis en application les deux articles de la loi bancaire concernant la transparence de même que les limites de position ont été mises en place le 1er juillet dernier. L’ONG Oxfam France, dont les efforts en vue de faire appliquer les dispositions votées il y a trois ans ont finalement porté ses fruits, a récemment publié un article – que nous reproduisons ici dans son intégralité1 – saluant l’avancée majeure que représente cette loi français enfin appliquée dans sa totalité. Ainsi, rappelle l’ONG, la France a définitivement un rôle stratégique majeur à jouer en Europe. Elle peut utiliser son pouvoir d’influence non seulement pour améliorer la transparence des marchés agricoles européens, mais également contribuer à réviser des politiques aussi déconnectées des réalités agricoles que notre PAC actuelle, ou peser dans des négociations aussi cruciales que celles du TTIP.
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July 16, 2015 10:12 AM
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CAIRO, July 15 (Reuters) - Egypt's strategic wheat reserves will last until the middle of February, the country's supplies ministry said in a statement on Wednesday. Egypt's state grain buyer, the General Authority for Supply Commodities (GASC), bought 235,000 tonnes of Russian and Romanian wheat on Tuesday for shipment between Aug. 21-31. The world's largest importer of wheat boosted its strategic reserves after a record purchase of local wheat in the 2015 season of more than 5 million tonnes. (Reporting by Shadi Bushra, editing by Louise Heavens)
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July 10, 2015 8:59 AM
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The African Development Bank (AfDB) will support Egypt’s National Drainage programme (NDP) to boost agricultural production and household income generation with a €50.20 million loan approved by AfDB Board on Wednesday, May 17 in Abidjan. The programme aims to optimize the benefits of irrigation by draining excess irrigation water from agricultural land in order to reduce water logging and soil salinity as well as make more land available for cultivation. Efficient drainage will result in improved soil quality for 125,000 feddans (125,000 acres) covered by the project. This will result in increased crop productivity by 15-21% for selected crops, increased farm income by 40% for a typical one feddan farm, and improved food security and poverty reduction in general. The project will be implemented in five regions of the country: East Delta, Middle Delta, West Delta, Middle Egypt and Upper Egypt. The project components include: (i) Construction and Rehabilitation of Subsurface and Surface Drainage for 125,000 feddans; (ii) Strengthening the capacity of the Egyptian Public Authority for Drainage Projects (EPADP) for Operation and Maintenance; and (iii) Project Coordination and Management. The primary beneficiaries will be the farming households in the project areas. The primary/target beneficiaries will be approximately 125,000 households or 625,000 people, of which 50% are women. Some indirect project beneficiaries include labourers who will benefit from employment on construction of the drainage system. Increased incomes in the project areas will also result in increased off-farm activities where traders and business people will also benefit indirectly. Phases I and II of the NDP were financed by the World Bank, German government-owned development bank (KfW) and the European Investment Bank (EIB). The current third phase of the programme will be financed by the AfDB, Islamic Development Bank (IsDB), KfW and the EU. The project activities for each of the donors are very similar but cover different geographical areas.
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July 10, 2015 3:55 AM
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Les matières premières agricoles restent incluses dans l’ensemble des marchés de matières premières et sont donc soumises de la même manière aux variations des marchés financiers. Ainsi, l’environnement macroéconomique a récemment entrainé les prix des grains à la baisse. D’une part, la chute de la bourse de Shanghai a surpris les opérateurs laissant entrevoir le risque d’un éclatement d’une bulle spéculative. Le marché chinois aurait corrigé de près de 3 000 milliards de dollars soit près de 30 % depuis la mi-juin. Ce jeudi, les autorités chinoises ont mis en place des mesures pour limiter la sortie massive de positions afin de décélérer la chute des indices boursiers. Ce qui inquiète surtout les marchés, c’est une possible baisse de la croissance chinoise cette année alors que la Chine est un très gros acheteur de produits agricoles. Une baisse des importations dans ce bassin de consommation pourrait impacter à la hausse les stocks mondiaux. Par ailleurs, cette crise a également inquiété le marché des métaux et celui du pétrole dont les cours ont baissé de 6 à 9 % depuis le début de la semaine. Or le lien des prix du pétrole avec celui des céréales n’est plus à démontrer, il est encore plus étroit sur le marché des graines oléagineuses. D’autre part, la crise grecque rend la parité volatile. Face à une situation qui semble insoluble, l’euro ressort affaibli par rapport au dollar impactant la compétitivité de l’origine européenne. Nombre d’intervenants décident de sortir leurs positions pénalisant d’autant plus le marché des grains. En conclusion, dans un contexte de fondamentaux incertains et potentiellement haussiers notamment au vu des incertitudes météo, les risques macroéconomiques viennent apporter des éléments baissiers.
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July 10, 2015 3:45 AM
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July 10, 2015 3:23 AM
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Le stock de report en blé tendre s'allège et se rapproche du stock outil grâce à une revalorisation des exportations vers l'Union européenne et les pays tiers. Les exportations ont été revues à la hausse à 19,9 Mt contre 19,5 Mt. Au sein de l'Union européenne, le chiffre des exports a été revu à la hausse à 7,8 Mt du fait d'une activité dynamique vers la Belgique et l'Espagne. Pour les pays tiers, si l'Algérie a réduit ses importations depuis la France, les marchés de l'Asie du Sud-Est se sont réellement ouverts. L'Asie a importé 1,3 Mt contre 200 000 t l'année dernière. « Le rapport qualité-prix qu'offrait notre récolte de l'année dernière correspondait aux attentes des marchés asiatiques. Cette année, la récolte sera plus dans la normale, il n'y a donc pas de raisons pour que ce flux se poursuive. En revanche, les exportateurs français vont tout faire pour reconquérir le marché algérien », a précisé Olivia Le Lamer, chef de l'unité grandes cultures. En effet, les exportations vers le Maghreb sont passées de 7,7 Mt en 2013/2014 à 4,5 Mt en 2014/2015. « Relativiser la canicule et la hausse des températures » En juin, les températures ont augmenté en moyenne de 1,5°C sur l'ensemble de la France et le déficit de précipitations a été chiffré à 15 %, d'après MétéoFrance. Puis la vague de chaleur est arrivée. Comparé au 8 juin, le blé tendre a perdu 8 points au 6 juillet. Mais 75 % des cultures sont qualifiées de bonnes à très bonnes. L'orge d'hiver est restée stable. Mais l'orge de printemps a trinqué du fait de son caractère tardif. Elle a connu une baisse de 17 points. En maïs, on est passé de 83 % des cultures bonnes à très bonnes à 71 %. « Mais il faut relativiser, a insisté Bertrand Naturel, chargé du suivi du programme CéréObs. En 2013, on avait 68 % des blés tendres bons à très bons, en 2014 70 %, et cette année 75 %. Ce n'est donc pas catastrophique ». Et en orge de printemps, on est au même niveau que l'année dernière. Les prévisions de récoltes s'alignent avec celles du ministère. Pour le blé tendre, les récoltes sont attendues à 37,9 Mt, soit 1 % de plus. Les surfaces sont en hausse de 2 % et le rendement serait en baisse de 1 %. En orge, des disparités entre l'orge d'hiver et l'orge de printemps sont apparues. L'orge de printemps va connaître une baisse de 15 %, à 2,7 Mt.
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MED-Amin
July 9, 2015 6:31 AM
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rospects for world cereal production in 2015 remain favourable, despite recent adverse weather conditions in some regions and continuing concerns over El Niño, with the global cereal supply and demand outlook for 2015/16 pointing to generally stable conditions. Export prices of wheat and maize generally increased in June on concerns about the impact of unfavourable weather yield potential. By contrast, international prices of rice weakened further mainly because of weak import demand. Cereal prices in June remained well below their year-earlier levels, reflecting the continuing overall positive outlook for this year’s production. AFRICA: Cereal production in 2015 is forecast below last year’s bumper crop, largely reflecting a sharp reduction in Southern Africa due to adverse weather. Delayed onset of seasonal rains in West Africa has also raised concern over production prospects. Similarly, in East Africa, lower outputs are forecast due to poor rains while the food security situation in South Sudan is very alarming, especially in conflict-affected areas. A rebound in North Africa’s cereal output, mainly wheat, is projected to prevent a steeper decline at the regional level, while a small increase is also forecast in Central Africa, despite persistent and disruptive conflicts. ASIA: The overall cereal production outlook in 2015 remains positive, mostly on account of a record output forecast in China. However, recent dry weather has dampened prospects in India and several countries of the Far East subregion. In the Near East, 2015 production is expected to recover from last year’s drought-affected output, but escalating conflicts in Iraq, Syria and Yemen exacerbate the humanitarian crisis. LATIN AMERICA AND THE CARIBBEAN: Prospects point to an above-average 2015 crop in South America, but below the bumper level of 2014. While the outlook is also positive in Mexico, the presence of El Niño has lowered expectations in the rest of Central America; however, this year’s output is still tentatively forecast to increase from the drought-affected 2014 crop. FAO estimates that, globally, 34 countries, including 28 in Africa, are in need of external assistance for food.
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MED-Amin
July 9, 2015 6:29 AM
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A move to store Egypt's wheat in state-of-the-art warehouses monitored by a control center in Cairo could end losses from theft and waste, cutting its $3 billion bread subsidy bill, an executive at the U.S. firm designing the project said. By automating and centralizing monitoring and access the new system is designed to save Egypt, the world's top wheat importer, $200 million annually. Theft is rampant at open-air sites, contributing to post-harvest losses estimated at 40 percent. "Just bringing the wheat indoors and putting a roof over it drastically reduces how much wheat is spoiled," said Peter Blumberg, vice-president at Blumberg Grain. "Much of the new technology here helps to monitor it once it's already inside and safe from pests and the elements." Blumberg Grain, a family-owned food storage firm based in Florida, signed a $28 million contract with Egypt last December to modernize storage at 93 sites. Three warehouses were completed last month and the rest should be ready for next spring's harvest, Blumberg said. At the inaugural storage site in Alexandria, Blumberg showed how the new equipment feeds data to a "command center" in Cairo, allowing the ministry of supply to monitor the site. Farmers will weigh their wheat on a machine that processes it before the wheat is weighed again by another one and stored in the warehouse. The farmer receives a paper receipt, while a digital copy is automatically sent to the command center, leaving little room for human error or fraud, Blumberg said. In the current system wheat is stored in the open-air protected by just barbed wire. Farmers say those sites are exploited by corrupt officials and smugglers. "There's no problem with storage at ports like Alexandria, but if the government can monitor what's going on in places the ministry of supply never visits, that would be a significant improvement," one trader said.
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MED-Amin
July 9, 2015 6:27 AM
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The ancient Egyptians developed their great civilization with a strong agriculture. The Nile River and its fertile banks enabled Egyptians to be among the first in human history to practice farming on a large scale. In our modern time, however, Egypt faces crippling development challenges in feeding its people. Its rapidly growing population is squeezing the country’s traditional farmland along the Nile Valley and the Delta. For nearly a decade, Egypt has ranked as the world’s leading importer of wheat, an indigenous crop for thousands of years. Efforts to tackle food security are required on multiple fronts, such as fostering rural development, promoting job-creating growth, providing a healthy investment climate, and delivering sound health, education, and nutrition programs. Egypt, with a population of more than 85 million people, is the largest Arab country. Despite having the fifth-biggest economy, its per capita income is among the lowest in the region. Signs of development challenges began to appear even before the January 25 Revolution and subsequent turmoil dealt a severe blow to Egyptian tourism and other sectors. To make a striking comparison, Egypt, India, and Brazil all enjoyed gross domestic product (GDP) growth rates in the mid-1990s between 3 and 5 percent; an upward trend ensued for India and Brazil through 2013, but in Egypt the overall trend remained relatively flat over the entire period. India and Brazil saw upward trends in exports and investments whereas Egypt’s export trend stagnated and investment trend declined. Egypt, meanwhile, is more dependent on food imports: since 2000, on average 17 percent of its import bill pays for food products, compared to only around 3 percent for India and 4 percent for Brazil. Egypt’s food security challenges include both the availability of food at the national level and access to and utilization of that food at the household level. From a macroeconomic perspective, this means having the capacity to rely on domestic food production or having enough foreign exchange earnings to finance whatever food imports the nation may require. At the microeconomic level, households must be able either to grow their own food or have the resources to buy food from the market.
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MED-Amin
July 9, 2015 5:41 AM
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D’ici à dix ans, la consommation mondiale de viande aura augmenté de 13 %, selon l’OCDE et la FAO. Bœufs, cochons, volailles… Dans les dix années à venir, les besoins en alimentation du bétail de la planète seront si importants que le secteur va devenir le premier consommateur de céréales, devant les hommes et le biodiesel. A 70 %, ce sont les animaux d’élevage qui mangeront le maïs produit, une part deux fois plus importante qu’au cours de la décennie précédente. « La situation devrait beaucoup changer dans les pays en développement », expliquent les experts de l’OCDE et de la FAO, dans leur rapport annuel sur les perspectives agricoles sur la période 2015-2024. Dans ces pays, la démographie, la hausse des revenus par habitant et l’urbanisation vont faire augmenter la demande de produits alimentaires, poursuivent-ils. L’élévation du niveau de vie conduit en général à diversifier son alimentation. La consommation de protéines animales des émergents devrait donc prendre le dessus sur la consommation de féculents. La planète devrait ainsi consommer globalement 13 % de viande de plus qu’à l’heure actuelle. L’OCDE et la FAO anticipent une forte augmentation de la production de volailles et de porcs, deux secteurs qui utilisent les céréales de façon intensive. La production mondiale de volailles devrait ainsi grossir de 24 % d’ici à dix ans, selon les deux institutions, soit 26 millions de tonnes de plus qu’aujourd’hui. Celle de porcs devrait progresser de 12 %, soit 13 millions de tonnes supplémentaires. La production de pêche devrait, elle, bondir de plus de 30 millions de tonnes, fournies à 96 % par les régions en développement et l’aquaculture dépassera la pêche par capture d’ici à 2023. Ces changements de mode alimentaire dans une grande partie de la planète auront un effet sur les prix, selon le rapport : « [Ceux] de la viande et des produits laitiers devraient être élevés par rapport à ceux des produits végétaux. Les prix des céréales secondaires [orge, sorgho, avoine, NDLR] et des graines oléagineuses utilisées dans l’alimentation des animaux devraient augmenter comparativement à ceux des produits de base destinés à l’alimentation humaine. » Pour y répondre, le monde devrait accroître sa production de céréales de 14 % d’ici à dix ans, « avant tout grâce à l’amélioration des rendements plutôt quà l’élargissement des terres cultivées ». La consommation atteindra alors probablement 2,8 milliards de tonnes
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MED-Amin
July 3, 2015 3:36 AM
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Egypt is facing high rates of poverty and unemployment, with 17 percent of Egyptians suffering from food insecurity in 2011. Food insecurity is an important challenge facing the Egyptian government, especially after the 25th of January Revolution and its second wave in June 2013. This paper reviews the food security situation in Egypt, shedding light on the main factors affecting the food situation on both the demand and supply sides. The paper takes into consideration the food subsidy system that has always ensured food security in Egypt. The paper concludes that more reform of the subsidy system is crucial given its increasing budget and its inefficiency. Moreover, Egypt cannot afford to continue depending on food imports without increasing its local food production as well as exports to secure the needed foreign currency.
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