 Your new post is loading...
|
Scooped by
MED-Amin
December 1, 2015 3:35 AM
|
Les céréaliculteurs marocains n’ont pas trop le moral et pour cause l’absence de pluie. Ils espèrent une campagne céréalière moyenne; ils s’inquiètent sans pour autant céder à la panique. <p> Si la campagne agricole 2014-2015 a été exceptionnelle, celle de 2015-2016 <strong>démarre péniblement</strong>. La météo est marquée par la présence d’un <strong>anticyclone </strong>qui empêche les précipitations. Le <strong>cumul pluviométrique</strong> est en déficit par rapport à la normale et la <strong>répartition spatiale de la pluviométrie</strong> est défavorable à la campagne agricole.</p> <p> Au Maroc, les pluies de novembre et décembre sont déterminantes au niveau de la campagne agricole. Notamment pour la céréaliculture dont l’essentiel est pluvial.</p> <p> Pour une partie non négligeable des céréaliculteurs, c’est presqu’une loterie. La céréaliculture constitue la principale activité au niveau de la campagne marocaine. Cette dernière représente 80% des terres agricoles et environ 80% des exploitations ou main d'œuvre agricole. Son poids reste donc dominant.</p> <p> "Le renforcement de l’anticyclone des Açores empêche l’arrivée de perturbations au Maroc", nous explique Lhoucine Youabd, chef du département de communication de la DMN, Direction Météorologique Nationale.</p> <p> Cet anticyclone est centré sur l’Europe occidentale et sur le sud de l’Europe et s’étend sur la Méditerranée. Les prévisions de cette semaine restent les mêmes que celles des semaines précédentes à savoir un temps stable avec une baisse de température rapide le soir accompagnée d’une gelée nocturne.</p> <p> Toutefois, la journée du <strong>mercredi </strong>2 décembre verra le passage de quelques <strong>nuages </strong>sur les régions du Nord et du Centre qui vont engendrer quelques précipitations.</p> <p> A noter que durant la même période l’année dernière, à fin novembre 2014, les régions du Sud et du Centre du Maroc avaient connu de fortes averses pluvieuses.</p><div id='banbodym'>
|
Scooped by
MED-Amin
December 1, 2015 3:27 AM
|
Global food and nutrition security (FNS), the overarching theme of the EXPO Milan 2015, remains high on the policy agenda. Still there is a growing difficulty for scientists and policy makers to keep up with the expanding volume of information about the challenge of meeting human food and nutritional needs while preserving natural resources. A 2-day event organised by the European Commission with the European Association of Agricultural Economists (EAAE) and the International Agricultural Trade Research Consortium (IATRC) at the margins of the EXPO Milan 2015, gathered high level speakers from academia, major international organisations and governments to provide a closer look at the various dimensions of food security. Recent food security scenario analysis set the scene and helped to identify the main drivers that will impact food security in coming decades, in particular the role of productivity, technological breakthroughs, different agricultural models, regional developments, policies and other factors also beyond market fundamentals. This Brief recapitulates the main insights obtained from the various researches and viewpoints presented during the event.
|
Scooped by
MED-Amin
November 30, 2015 10:03 AM
|
Egypt's decision to slash wheat subsidies, which has infuriated farmers, threatens to cut future harvests and force the country to burn scarce dollars on more imports during a foreign currency crisis, traders and experts say. Earlier this month Egypt said it would no longer pay a fixed, and highly subsidised, price to procure local wheat in what traders and agricultural experts say is a drive to end corruption involving wheat purchases from farmers being mixed with imports. Egypt said the new subsidy is designed to encourage wheat cultivation. But farmers say the new system, based on average global prices, will instead decimate their profits. "We are being forced to cultivate something for almost no money," said head of Kafr al-Sheikh farming syndicate Ali Rageb. Though it's too late for farmers to change the crop for the coming year's harvest, they are already talking about other crops for next season. Egypt, already the world's largest wheat importer, could be faced with an even steeper wheat import bill at a time when dwindling foreign currency has hit manufacturing. Egypt will import about 11.5 million tonnes of wheat during the 2015/2016 fiscal year, according to U.S. Department of Agriculture estimates. Wheat has always been a politically sensitive issue in Egypt, the most populous Arab state. President Anwar Sadat triggered riots when he cut the bread subsidy in 1977. When Egyptians rose up against autocrat Hosni Mubarak's rule nearly five years ago, one of their signature chants was: "Bread, freedom and social justice." The government said it would now directly pay farmers a smaller subsidy and then buy the wheat at global prices. The change in the subsidy system was intended to end chronic smuggling of wheat. Traders say as much as 1 million tonnes of last year's announced harvest of 5.3 million could actually be foreign wheat, but the supplies ministry has repeatedly denied this. The new system exposes farmers to plummeting global prices that they say will make growing wheat nearly unprofitable. "If you compare the new system and the old one you'll see no one will cultivate wheat. He can make money if he cultivates anything else other than wheat," said Hesham Soliman, president of Med Star for Trading. If the area of farmed wheat drops in future seasons it would force the country to import even more.
|
Scooped by
MED-Amin
November 30, 2015 5:12 AM
|
The Paris climate conference, in the aftermath of the barbarian acts of terrorism, is a fresh opportunity for the international community to come together and show its commitment to the 2030 Agenda and its Sustainable Development Goals, as the most appropriate way to promote a fairer, safer and more inclusive world. READ MORE: Climate change and food security are key to global stability Goal 13 says countries should take urgent action to combat climate change and its effects. Failure to do so would put at risk the achievement of all the other goals, in particular the fight against hunger. Countries gathering in Paris must bear this in mind. A world free of hunger is within our reach. We produce enough food, we possess the technology, and we know what policies and actions work best. Yet climate change, including more frequent extreme weather events, represents a barrier that stands in the way of realising this goal
|
Scooped by
MED-Amin
November 30, 2015 3:40 AM
|
L’Agriculture est un pilier du développement de l’Afrique. La prise en compte du facteur climat et de son impact sur les agricultures du continent n’en est que plus primordial et ce d’autant plus que la consommation des produits agricoles en Afrique subsaharienne à l’horizon 2050 sera la plus forte de toutes les régions du monde. Dans un récent article publié dans le cadre des notes de la Fondation Farm et dont nous reproduisons ici les conclusions2, Benoît Faivre Dupaigre3 se penche sur la problématique duale de la sécurisation alimentaire ainsi que des revenus des agriculteurs en Afrique dans un contexte climatiquement contraint. Se basant sur des conclusions d’une étude du Cirad, il souligne l’extrême complexité pour le continent africain à relever ce double défi si des mesures ne sont pas prises dès maintenant, surtout au niveau du renforcement et/ou de la refonte des politiques agricoles. Dans cette optique, Il confirme qu’en matière d’intervention publique dans le domaine agricole, les politiques de soutien sont la régle et non l’exception. La liste des outils et mesures de soutien à l’agriculture qui sont utilisés par les gouvernements des pays développés et en développement est longue : protection douanière, subventions à la production ou des intrants, soutien par les prix… Si l’efficacité et l’équité de chacun de ces instruments peut sans conteste être discutée, il n’en reste pas moins que leur prééminence dans les politiques publiques nationales est la preuve que les pays ne peuvent s’en passer pour pérenniser leur secteur agricole, et préserver ainsi la sécurité alimentaire de leur population.
|
Scooped by
MED-Amin
November 30, 2015 3:37 AM
|
Les événements tragiques du 13 novembre à Paris ont redéfini les rendez-vous internationaux en cours et à venir. Le dernier en date, avant la tenue de la COP 21 à Paris, a été le sommet du G 20 qui s’est déroulé les 15 et 16 novembre en Turquie. Les moyens concrets pour lutter contre le terrorisme ont été abordés de même que les enjeux liés à la crise des réfugiés et changement climatique. Les dirigeants des 20 pays réunis qui représentent le 2/3 de la population, 75 % de l’économie mondiale et 70% de l’Agriculture mondiale, n’ont pas pour autant abandonné les thèmes qui les réunissent depuis 1999. Parmi les initiatives poursuivies celles concernant la sécurité alimentaire. Le G20 a ainsi adopté un plan d’action sur la sécurité alimentaire et les systèmes alimentaires durables, comme il l’avait annoncé lors du G20 agricole au mois de mai. Il vise notamment à « promouvoir des investissements responsables dans l'agriculture et les systèmes alimentaires, à améliorer la transparence des marchés, à augmenter les revenus et le nombre d'emplois de qualité et à favoriser une hausse durable de la productivité ». Pourtant, si le G20 agricole de 2011 promettait de devenir un incubateur de nouvelles propositions de gouvernance agricole mondiale, porteur de transparence et de nouvelles pratiques de régulation sur les marchés agricoles mondiaux, le G20 agricole et le Sommet du G20 de 2015 sont beaucoup moins ambitieux dans leurs initiatives. De plus, le G20 n’a pas hésité à rappeler le rôle central de l'OMC pour promouvoir la croissance économique et le développement, en mettant en avant l’importance de la prochaine conférence ministérielle qui se tiendra à Nairobi dans le but de conclure le cycle de Doha. Pourtant, il paraît pour l’heure difficile de voir comment l’appel du Directeur General de l’OMC, Roberto Azevêdo, auprès des dirigeants du G-20, visant à renforcer le système commercial mondial se concrétisera. Cette obstination du G 20 et de l’OMC à vouloir à tout prix sortir le cycle de Doha de l’aplasie, avec pour toile de fond la poursuite de la libéralisation des échanges agricoles au nom d’une idéologie multilatéraliste, est non seulement inopérante mais également néfaste.
|
Scooped by
MED-Amin
November 30, 2015 3:27 AM
|
Les facteurs naturels et humains font perdre chaque année à l'Algérie une superficie agricole utile (SAU) de 300 000 ha. Toujours à la même époque, ce dernier avait également remarqué un taux de 50 % de ressources hydriques souterraines en Tunisie avec une teneur importante en sel à l'origine du décès d'un taux de 10 % de la population locale. Des experts de la sous- région (Algérie, Maroc, Tunisie, Mauritanie et Jordanie) prennent part à ce séminaire international de deux jours, co-organisé par le ministère de l'Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture(FAO) et l'université Hassiba ben Bouali de Chlef. Cette rencontre vise aussi à informer le large public sur le rôle des sols dans la consécration de la sécurité alimentaire, l'adaptation aux changements climatiques et la réduction de la pauvreté. Les spécialistes invités à cette rencontre travaillent ainsi à la promotion des initiatives en phase avec les objectifs du développement durable et des programmes de développement pour l'année en cours tout en militant pour l'appui aux moyens de collecte de données sur les sols et leur contrôle. CHLEF- La présentation d'approches et expériences de pays de la Sous-région en matière de persévération de sols de la dégradation a marqué jeudi la Rencontre sous-régionale sur l'Année internationale des sols 2015, ouverte la veille à Chlef. CHLEF- L'Afrique est tenue d'exploiter les nouvelles technologies dans la préservation et la protection des sols de la dégradation, a affirmé, mercredi à Chlef le coordonateur sous - régional de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture(FAO), pour l'Afrique du nord, Thiombiano Lamourdia.
|
Scooped by
MED-Amin
November 26, 2015 3:27 AM
|
La conférence Cop21 vise à obtenir un accord international pour limiter le réchauffement climatique. Du 1er au 11 décembre 2015, les agriculteurs de l’Apad y animeront un stand sur les "espaces générations climat" dédiés à la société civile. Chaque jour, plus de 10 000 visiteurs (grand public, ONG, collectivités, chercheurs, entreprises, institutionnels et officiels) seront attendus sur cet espace (lien en fin d'article). « Nous, agriculteurs pratiquant l’agriculture de conservation des sols, aurons la possibilité de présenter ce que nous faisons pour le climat ! », explique Benoît Lavier, président de l'Apad (association pour la promotion d'une agriculture durable). L'Apad regroupe près de 350 agriculteurs, dans toute la France, avec des fermes variées en termes de production, de cultures, de caractéristiques économiques, écologiques et agronomiques. Il ajoute : « Nous organisons également une conférence le 5 décembre à l’occasion de la journée internationale des sols 2015 sur le thème « Fertilité du sol et climat : les enjeux du développement de l’agriculture de conservation des sols à travers le monde ». Enfin, nous prendrons part aux côtés de partenaires internationaux à la signature d’un manifeste élaboré par le GCAN (Ndlr : Global Conservation Agriculture Network), pour favoriser le développement de l’agriculture de conservation des sols dans le monde. »
|
Scooped by
MED-Amin
November 26, 2015 3:22 AM
|
Nov 26 Egypt, one of the world's biggest importers of wheat, has enough strategic reserves of the grain to last until April 23, supply minister Khaled Hanafi told Reuters on Thursday. His comments came a day after Egypt's state grain buyer bought 240,000 tonnes of French, Russian and Romanian wheat in a tender for Dec. 21-31 shipment. (Reporting by Ehab Farouk; Editing by Joseph Radford)
|
Scooped by
MED-Amin
November 23, 2015 11:19 AM
|
Le DEFRA (ministère britannique de l’agriculture) vient d’annoncer une chute des revenus agricoles britanniques dans pratiquement tous les secteurs agricoles. La filière avicole a ainsi perdu 19% de ses revenus en 2014-2015 par rapport aux années 2013-2014. Les céréaliers ont enregistré une baisse de 9% alors que la filière laitière accuse une baisse de 5% (un pourcentage en nette hausse depuis la rédaction du rapport du DEFRA). Comme pour d’autres pays de l’Union européenne, la crise agricole n’épargne pas les agriculteurs britanniques. En cause notamment l’extrême volatilité des prix. Un comité de la chambre des Lords vient ainsi de lancer une enquête sur la résilience de l’industrie agro-alimentaire face à la volatilité des marchés. Le but étant par la suite d’étudier la manière dont les agriculteurs pourront gérer au mieux les effets de la fluctuation des prix. Les agriculteurs ont jusqu’au 31 décembre 2015 pour répondre à cette enquête composée de 11 questions, mais déjà sa seule existence est intéressante et révélatrice à différents niveaux. Elle confirme non seulement l’intérêt grandissant pour la gestion des risques agricoles en Grande-Bretagne, bien loin du laisser-faire ultra libéral hérité de l’ère Thatcher, mais interroge également le rôle des pouvoirs publics dans la maîtrise de la volatilité. Cette investigation va alors explorer le rôle du gouvernement dans l’atténuation de la volatilité des prix et se pencher sur la nécessité de réformer la PAC pour aider au mieux les agriculteurs à répondre à une situation de crise. Finalement, elle pose les questions que tous les Etats-Membres ainsi que Bruxelles devraient se poser afin de garantir l’intégrité et la réussite de l’agriculture européenne. Pourquoi ne pas considérer une enquête à l’échelle européenne sur la résilience de nos agricultures pour faire face à des situations de crise à l’image de celle que traverse l’Union européenne? Car on le sait : les marchés agricoles sont de plus en plus instables et turbulents, générant de fait une incertitude croissante pour les producteurs agricoles, potentiellement dommageable aux investissements, à la compétitivité et à la rentabilité des exploitations. Une gestion effective et efficace dans la durée de la volatilité des prix agricoles est, en conséquence, devenue la condition essentielle de performance et de compétitivité. Pourtant, le renforcement par l’Union européenne des paiements découplés comme pilier des mécanismes de soutien avec la récente réforme de la PAC entrée en vigueur en 2014, revient à tourner le dos aux réalités agricoles actuelles. La révision à mi-parcours du cadre financier pluriannuel européen en 2016-2017 pourrait pourtant être une occasion de lancer une réforme de la PAC qui tienne compte des réalités stratégiques, économiques et sociales.
Avec Stéphane LE FOLL, Ministre de l'Agriculture et porte-parole du Gouvernement et Aurélie TROUVE, ingénieur agronome. "Alors que nous demandons déjà à la planète plus qu’elle ne peut produire, comment, dès maintenant, assurer les productions agricoles qui devront nourrir l’Humanité, faute de provoquer des révoltes de la faim et d’entretenir d’autres foyers de terrorisme ? C’est la question que pose Agora ce dimanche à ses deux invités, société civile et politique à parts égales."
Via CIHEAM News
|
Scooped by
MED-Amin
November 20, 2015 4:06 AM
|
La production mondiale de grains 2015/2016 est évaluée à 1.996 millions de tonnes (Mt), soit 3 Mt de moins que le mois dernier, d'après le rapport du Conseil international des céréales (CIC) paru jeudi 19 novembre. C'est seulement 2 % de moins que l'année dernière. Les stocks sont évalués à 454 Mt, soit 4 Mt de plus que la campagne précédente. Les échanges, eux, suivent une tendance à la baisse due principalement à de moindres importations d'orge et de blé par les pays d'Asie de l'Est et d'Afrique du Nord. Néanmoins, les prévisions de production de blé restent inchangées, à 726 M, contre 723 Mt et 714 Mt en 2014/2015 et 2013/2014 respectivement. En maïs, les prévisions passent de 970 à 967 Mt, du fait de sécheresses en Ethiopie, Chine et Afrique du Sud. Quant à la consommation, elle est prévue en légère baisse du fait d'une consommation moindre de sorgho par la Chine. Les Etats-Unis pourraient alors utiliser le sorgho non exporté, au détriment du maïs. Les prévisions de production de soja sont quant à elle relevées de 2 Mt, à 321 Mt. Les stocks diminueraient de 4 % pour atteindre 47 Mt et les échanges sont prévus en augmentation à 129 Mt avec le Brésil en tête des pays exportateurs. Pour ce qui est de la consommation, elle est réévaluée à 319 Mt (+ 2 Mt) par rapport au mois dernier du fait de la demande chinoise.
|
Scooped by
MED-Amin
November 19, 2015 3:42 AM
|
Avec une production s’élevant à 35 milliards de dollars en 2014, l’agriculture satisfait 72% des besoins du pays. L’Agriculture s’érige aujourd’hui en une des alternatives les plus sûres pour la diversification de l’économie nationale. Une rencontre importante entre le gouvernement et les représentants du monde rural sera tenue le 26 novembre prochain à Ain Defla. Une wilaya confortée par sa deuxième place à l'échelle nationale en matière de production agricole. Les chiffres et statistiques dudit secteur sont pour le moins probants. Les activités agricoles et agro-industrielles contribuent au PIB de l’Algérie à hauteur de 9%. En 2013, l’agriculture a employé plus de 2,4 millions de personnes – soit près d’un cinquième de la population active. Lors de sa récente visite de travail et d’inspection qui l’a menée à Blida, le Premier ministre a mis en garde contre la «dévalorisation» de ce secteur, appelant à se diriger vers une «agriculture développée, moderne et industrielle.» Le constat est édifiant. Avec une production s’élevant à 35 milliards de dollars en 2014, l’agriculture satisfait 72% des besoins du pays. Une prouesse qui place l’Algérie dans la moyenne internationale dans une conjoncture marquée par une mondialisation accélérée. Les autorités sont également en plein dans la construction d’un système de canaux et de pompes d’une longueur de 22 km qui contribuera à soutenir la production de céréales dans le nord-est du pays. Les efforts fournis cumulent les superlatifs. Dans sa démarche, le gouvernement a décidé de lancer un projet de mise en valeur d’un million d’hectares dans les wilayas du Sud et des Hauts Plateaux afin de porter, d’ici 2019, la surface des terres irrigables à plus de 2 millions d’hectares. Outre cette série de mesures, il y a lieu de rappeler qu’à la fin 2014, le gouvernement a annoncé son dernier programme agricole, le «Plan quinquennal 2015-2019», qui s’appuie sur la Politique de renouveau agricole et rurale (PRAR). Le programme jouera un rôle pilote pour le développement du secteur jusqu’à fin 2019 et supervisera des changements ambitieux, tels que l’introduction de techniques de pointe en matière d’irrigation et une politique résolue visant à l’accroissement de l’utilisation d’engrais. L’Etat s’emploiera également à développer la production nationale de produits de base tels que les pommes de terre et le lait.
|
|
Scooped by
MED-Amin
December 1, 2015 3:30 AM
|
About four hundred stakeholders will take part in the two-day high-level 'EU Agricultural Outlook' conference, taking place in Brussels on 1-2 December. The conference will focus on the state of agriculture, and the global issues which lie ahead. The participants represent EU institutions, national governments and international organisations, those involved in the food chain, the socio-professional sector, market experts, academics and think tanks, and the broader civil society.
On day one of the conference, EU Commissioner for Agriculture and Rural Development Phil Hogan and US Secretary for Agriculture TomVilsack will discuss the challenges facing the farm sector. In addition, high-level panel discussions will take place. The functioning of the food supply chain will be at the centre of the debates. The conference will also highlight the challenge for agriculture to provide food in an environmentally sustainable way while adapting to / mitigating the effects of climate change.
On the second day, the Directorate-General for Agriculture and Rural Development of the European Commission will present its latest projections on the outlook for EU dairy, meat and arable crop markets for the next ten years.
The conference may be followed live on web-streaming here (on 1 December) and here (on 2 December).
|
Scooped by
MED-Amin
December 1, 2015 3:24 AM
|
GASC from Egypt bought 240,000 tons of wheat from France, Romania and Russia on Wednesday, with delivery term between 21 and 31 December, according to Reuters. GASC vice-president Mamdouh Abdel Fattah, said that French wheat represented half of the wheat quantity bought at the auction organized on Wednesday, to which they added 60,000 tons from Romania and 60,000 from Russia. GASC bought wheat at the price of 205.94 dollars per ton, C&F. It is for the second time over a month when Egypt prefers to buy a large quantity of wheat from France and other countries. On October 30, Egypt bought 120,000 tons of wheat from France and 60,000 tons from Romania and the same quantity from Poland. In November euro depreciated against the dollar which increased the attractiveness of French wheat. GASC is responsible for strategic wheat purchases on behalf of the Egyptian state, the largest world importer of wheat. Since the beginning of the fiscal year 2015/2016, Egypt has bought about 2.6 million tons of wheat, the main supplier being Russia and Romania.
|
Scooped by
MED-Amin
November 30, 2015 5:12 AM
|
The stability of the world is directly linked to climate change and its impact on food security for billions of people, U.S. Secretary of State John Kerry said on Saturday. In a speech to the Milan Expo, Kerry argued that unrest tied to climate change-induced agricultural failure poses an international threat. The Milan Expo is focused on food security, and Kerry urged attendants to act quickly against climate change. “Make no mistake: The implications here extend well beyond hunger,” Kerry said. “This isn’t only about global food security; it’s about global security — period.” He said drought-spawned mass urban migration in Syria — up to 1.5 million people from rural areas to cities — exacerbated political tensions ahead of the start of that country’s civil war, which has contributed to the world’s worst refugee crisis since World War II. “I’m not suggesting the crisis in Syria was caused by climate change — obviously, it wasn’t,” Kerry said. “It was caused by a brutal dictator who barrel-bombed, starved, tortured and gassed his own people. But the devastating drought clearly made a bad situation a lot worse.” Kerry urged world government to act quickly against climate change because without such action, he said, “the horrific refugee situation we’re facing today will pale in comparison to the mass migrations that intense droughts, sea-level rise and other impacts of climate change are likely to bring about.”
|
Scooped by
MED-Amin
November 30, 2015 3:41 AM
|
« Pour une politique agricole commune en Afrique », c’est en résumé l’objectif vers lequel tend l'ECOWAP (politique agricole régionale de la CEDEAO) initiée en 2005 par la Communauté Économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). 10 ans plus tard quels efforts ont été consentis, quels efforts restent à fournir ? L’ONG Oxfam dresse un bilan pour le moins sévère dans un rapport dont nous reproduisons ci-après des extraits1. Manque de volonté politique, de coordination entre pays dispérsés dans d’autres inititiatives et projets régionaux souvent déconnectés des réalités agricoles locales…voici autant d’obstacles qui ne permettent pas le décolage de l’ECOWAP. Cette politique souffre par ailleurs d’un sous-investissement tant au niveau financier qu’au niveau des moyens qui lui sont alloués. Pourtant, l’ECOWAP possède en son sein des principes vertueux notamment en matière de mesures de régulation et de sécurisation des revenus des agriculteurs et semble être le cadre le plus approprié pour prendre en charge les défis de la sécurité alimentaire.
|
Scooped by
MED-Amin
November 30, 2015 3:38 AM
|
Les ministres européens se sont réunis le 16 novembre à Bruxelles afin d’évaluer la mise en place du paquet de mesures prises adopté le 7 septembre lors d’un conseil extraordinaire pour venir en aide aux marchés agricoles, en particulier aux produits laitiers et à la viande de porc. Si la Commission évoque une stabilisation des prix du lait, elle est autrement moins optimiste pour la viande porcine. « Les prix ne se sont pas améliorés », a même reconnu Phil Hogan. C’est à ce titre que la Commission a annoncé la mise en place d’un nouveau programme d'aide au stockage privé début 2016 pour soutenir le marché du porc. Plus globalement, la Commission a également présenté son agenda en matière de simplification de la Politique agricole commune (PAC), un programme qui ne fait pas l’unanimité parmi les Etats qui demeurent divisés sur la nécessité des modifications des actes de base. Le commissaire européen à l'agriculture, Phil Hogan, avait en effet indiqué ne pas exclure la réouverture de ces textes fondateurs de la réforme de la PAC afin de mener une simplification plus poussée. Enfin, Phil Hogan a proposé la création d’un « tableau de bord de l'agriculture » ayant pour objectif de rendre accessibles et transparentes toutes les informations relatives aux marchés des céréales, bovins, lait et produits laitiers, volailles, porcs et sucre. Fondé sur la base des dernières données nationales, européennes et internationales, l’objectif, souligne Phil Hogan, est de mieux tirer parti des possibilités du marché et faire face à la volatilité des cours. Ce dernier outil pourrait s’avérer particulièrement indispensable afin de rendre compte de la réalité des marchés agricoles et mieux s’armer contre leurs fluctuations erratiques. Pourtant, si informer et simplifier, mots d’ordre de la Commission depuis l’arrivée du nouveau commissaire, sont nécessaires ils ne sont en rien suffisants. Car la situation actuelle des marchés agricoles européens, en partie due à l'embargo russe sur les exportations, provient surtout de l’insuffisance des mesures à court terme et à long terme proposées par Bruxelles. Pour le ministre belge, Willy Borsus, il faut notamment « des mesures de balise voire de régulation des marchés » pour répondre durablement à la crise agricole. Car c’est bien une crise agricole que traverse l’Union européenne. C’est dans ce contexte de crise, que l’Agence Momagri vient combler un espace encore vierge et pourtant indispensable à une nouvelle gouvernance mondiale, celui de la notation des politiques et des marchés agricoles.
|
Scooped by
MED-Amin
November 30, 2015 3:28 AM
|
Les familles rurales se battent pour leur subsistance Le changement climatique est souvent, pour nous, synonyme de niveau des mers en hausse, de températures plus élevées, de déserts en expansion, de tempêtes plus violentes ou de calottes polaires en train de fondre. Nous devrions aussi penser à des champs dévastés et à des êtres humains affamés car le changement climatique fait peser une menace terrible sur la production de nourriture dans tous les pays. Pourtant, ce besoin si fondamental n'a pas toujours bénéficié de la place qu'il devrait occuper dans nos débats, c'est-à-dire une place centrale. La 21e Conférence des parties, la COP21, qui se tient à Paris est la chance -peut-être la dernière- de faire de la sécurité alimentaire un enjeu primordial dans toute discussion sur le changement climatique. Après tout, notre vie en dépend. Les populations rurales en situation de pauvreté des pays en développement figurent parmi les plus affectées par les effets du changement climatique et sont les moins armées pour y faire face. La majorité d'entre elles dépend de l'agriculture pour sa subsistance. Les 500 millions de petites exploitations au niveau mondial constituent la clé de la sécurité alimentaire pour la planète, et représentent, dans certaines régions, jusqu'à 80 pour cent de la production. Elles sont aussi un élément de stabilité sociale et politique dans de nombreux pays. Les petits agriculteurs et leurs besoins doivent être pris en compte dans tout accord relatif au climat. Nous devons investir dès maintenant dans l'accroissement de leurs capacités d'adaptation afin de garantir la sécurité alimentaire pour tous. D'ailleurs, l'Agenda 2030 qui a pour objectif d'éradiquer la faim ne peut être atteint si nous ne traitons pas à la fois le changement climatique et la sécurité alimentaire. Il faut augmenter les soutiens pour l'adaptation de l'agriculture au climat Des avancées concrètes ont pu être réalisées dans la mobilisation de fonds dédiés au changement climatique mais peu ont été attribués à l'agriculture. En 2009, les pays développés se sont engagés à mobiliser 100 milliards de USD pour le climat à l'horizon 2020 afin de favoriser les actions relatives au climat dans les pays en développement. Cinq ans après l'engagement initial pris lors de la COP15 à Copenhague, et six ans avant l'échéance de 2020, des progrès significatifs ont été constatés: le financement relatif au climat a atteint une moyenne annuelle de 57 milliards de USD en 2013-2014. Cependant, seule une faible partie de ces fonds atteint les territoires reculés où les petits agriculteurs familiaux se battent pour survivre. En début d'année, le président de la République française, François Hollande, a attiré l'attention de tous sur ce manque de fonds dédiés à l'agriculture lorsqu'il a appelé à la création d'un Fonds climat vert pour assurer un soutien significatif pour l'adaptation au climat des exploitants des pays en développement, et affirmé que "Le Fonds vert doit être, en grande partie, un fonds vers l'agriculture". D'autres partenaires, dont certains États ou instances de développement -feraient bien d'entendre cet appel aussi- car les avantages sont nombreux.
|
Scooped by
MED-Amin
November 30, 2015 3:23 AM
|
La grande bleue se réchauffe irrémédiablement. Des étés à rallonge, des périodes de canicules à répétition, de nouvelles espèces parfois invasives comme ces algues filamenteuses de plus en plus nombreuses qui recouvrent les fonds marins, asphyxient le corail et empêche les poissons de nidifier. La Méditerranée est en danger. Plus 0,7°C en un siècle Des scientifiques cherchent à comprendre ce type de phénomènes récurrents. Des campagnes de surveillance de l'état des fonds sont également réalisées grâce à des caméras. En un siècle, la température de la Méditerranée en surface a grimpé par endroits de 0,7°C. Cela semble peu, mais c'est en réalité énorme, suffisamment pour avoir un impact déjà sur la biodiversité. Toutes les espèces ne pourront pas s'acclimater au réchauffement. Certaines monteront plus au nord, mais on estime que 14 devraient s'éteindre avant la fin du siècle.
|
Scooped by
MED-Amin
November 26, 2015 3:23 AM
|
Mario Draghi may have done just enough to help European farmers offload their pile of wheat. With the European Central Bank president fueling speculation his board will ease monetary policy next week, the euro tumbled to a seven-month low against the dollar. That’s boosting the competitiveness of European wheat against grain from the Black Sea region and could potentially accelerate exports that are running 29 percent behind last year’s.
French wheat has been trading below its Ukrainian counterpart since Nov. 12, while the price is close to that of Russian grain, according to data compiled by Bloomberg. As Europe harvested a record crop in the 2015-16 season started in July, silos in France, the biggest grower, are filling up. "French wheat is one of the cheapest in the world," Edward de Wismes, a broker at Aurel BGC in Paris, said by e-mail Monday. "The lower euro helps, this is clear, but the problem is the lack of demand."
|
Scooped by
MED-Amin
November 24, 2015 3:31 AM
|
Temperatures from the end of October until midNovember were well above average across most of Europe, and the highest in our records (since 1975) for the United Kingdom, France, Germany, Scandinavia and the Baltic countries. Such temperatures are beneficial to the development of the emerged winter crops. Conditions improved in Poland, Ukraine and Russia, where beneficial rains and higher temperatures provided relief from the difficulties reported in the previous Bulletin. The preceding unfavourable germination conditions may yet have a knock-on effect on next year’s yields, depending on the winter and spring conditions to come. A large belt in central and eastern Europe is experiencing a period of rain scarcity, which has been beneficial for the sowing and emergence of winter crops. Most of these regions faced excessive rainfall during the first half of October. In southern Italy, torrential rain occurred at the end of October, prior to the sowing of winter crops. High positive rainfall anomalies have been recorded in the northwestern United Kingdom, but in not crop growing regions.
|
Scooped by
MED-Amin
November 23, 2015 3:18 AM
|
Since the beginning of 2015/16 MY (July 1) and as of November 18, the volume of grain exports from Russia totaled 15.48 mln tonnes, a decrease of 9.2% compared with the same period last season (17.043 mln tonnes), declared the Ministry of Agriculture of the Russian Federation on November 23, referring to operative data of the Federal Customs Service of Russia. According to the announcement, the wheat volumes formed 11.685 mln tonnes from the reporting export volumes, barley – 2.506 mln tonnes, corn – 1.048 mln tonnes, and other grains – 240 thsd tonnes.
|
Scooped by
MED-Amin
November 20, 2015 4:11 AM
|
L'information sur les marchés agricoles et alimentaires mondiaux est devenue, au cours des dernières années, l'un des enjeux clés pour la gestion nationale et internationale des crises de volatilité des prix. La réflexion sur l'établissement de systèmes internationaux de gestion de l'information est plus que jamais à l'ordre du jour, mais sa mise en oeuvre fait face à d'importantes contraintes liées aux situations nationales particulières. En explorant le système chinois d'information des marchés agricoles, cet article vise à décrypter la question du point de vue national et à analyser ces contraintes particulières, qui sont, en Chine, principalement de deux natures : d'une part, l'ampleur de la difficulté à récolter l'information, pour laquelle des solutions existent mais dont l'application ne dépend pas toujours de la bonne volonté du gouvernement ; le fait, d'autre part, qu'il n'est pas nécessairement dans l'intérêt de l'ensemble des acteur publics qui forment le gouvernement de promouvoir la transparence de l'information. Messages clés [en anglais] : BETTER AGRICULTURAL DATA: FOR WHAT? A public statistical system providing accurate data on Chinese agricultural markets is necessary both for China to monitor the efficiency of its agricultural support and to improve the governance of global food security. FAILINGS IN THE CHINESE STATISTICAL SYSTEM The Chinese current statistical system faces important failings that prevent it from gathering accurate data, which severely affects both public and private players. The causes for these failings are rooted in the cadres evaluation scheme, in the level of decentralization of the government, in the fragmentation of agricultural production and in corruption issues linked to the national reserves system. MAKING DATA PUBLIC? A key question that remains, beyond the one of accuracy, is the one of information displaying. It is currently unlikely that the Chinese government make a number of figures available to the public, for reasons linked to political stability within the government, where views differ among administrations. INVOLVEMENT IN THE WORLD AGRICULTURAL ORDER The inevitable increase in the country’s reliance on global markets makes the new leadership willing to become more involved internationally. The desire to improve the agricultural markets information system domestically, the diversity of views within the government and the increasing need to be heard in international forums hold out the hope that the situation evolves.
|
Scooped by
MED-Amin
November 19, 2015 3:54 AM
|
'Office tunisien des céréales prendra livraison, au terme du mois de février 2016, de 650.000 tonnes de blé tendre achetées de France", a déclaré à l'Agence TAP, Yann Lebeau, chef de mission Maghreb de l'Association pour la promotion internationale des céréales françaises "France Export Céréales". La Tunisie a importé, au cours de la campagne 2014-2015, 142.000 de tonnes de blé tendre de France, a ajouté le responsable français, en marge des 16èmes rencontres franco-tunisiennes des céréales, organisées mardi 17 novembre à Gammarth. La France a approvisionné des sociétés privées tunisiennes en 70.000 tonnes de blé dur pour la fabrication de produits alimentaires destinés à l'exportation. Classé parmi les dix premiers clients de la France, la Tunisie importe régulièrement 1 million de tonnes de blé tendre, environ 500.000 tonnes de blé dur, 1 million de tonnes de maïs et environ 300.000 tonnes d'orge. Selon Jean-Philippe Leygue, de l'Institut française du végétal, la France a enregistré, en 2015, une production record avec 41 millions de tonnes de blé tendre, 1,8 million de tonnes de blé dur, 12 millions de tonnes d'orge et 14 millions de tonnes de maïs. En marge de cet évènement, un accord de coopération technique a été renouvelé entre l'Office tunisien des céréales, l'Association "France Export Céréales" et l'établissement national des produits de l'agriculture et de la mer "France Agrimer". Cet accord qui s'étale sur 3 ans, vise à renforcer les compétences techniques, la formation de cadres et techniciens et l'échange d'informations économiques.
|