Découvrez les codes de la bande dessinée et créez vos propres histoires !
Une application bureau et mobile
BDnF permet de réaliser des BD, des romans graphiques ou tout autre récit mêlant illustration et texte.
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Bernadette Cassel
from Outils, logiciels et tutos : de la curiosité à l'indispensable
onto Insect Archive May 12, 2022 5:38 AM
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Découvrez les codes de la bande dessinée et créez vos propres histoires !
BDnF permet de réaliser des BD, des romans graphiques ou tout autre récit mêlant illustration et texte.
"L’application est destinée en premier lieu au public scolaire, enseignants et élèves du primaire et secondaire. Cofinancé par le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et la BnF, le projet BDnF est né dans le cadre d’un appel à projets innovants lancé par le ministère de l’Éducation nationale. L’application BDnF est le fruit d’une collaboration étroite des équipes de la BnF avec les enseignants, afin de répondre au mieux à leurs attentes. Le projet a été construit et testé, tout au long de son élaboration, par un panel d’instituteurs et de professeurs, qui ont mis l’application à l’épreuve de la réalité. C’est ce qui fait l’originalité et la qualité de l’application.
Au-delà du cadre scolaire, BDnF peut s’adresser à tous, petits et grands, public familial et amateurs de BD pour un usage récréatif. Les passionnés (illustrateurs et scénaristes en herbe) y trouveront également leur compte puisque l'outil permet également de faciliter la mise en page autour de formats innovants."
bdnf.bnf.fr
(17 scoops)
![]() ![]()
![]() ... Pour identifier un insecte, il existe ce que l’on nomme des « clés d’identification » ou ‘clés de détermination ». Ces clés fonctionnent sur un système dichotomique, c’est à dire qu’il repose sur une succession de double description d’un ou plusieurs caractères morphologiques spécifiques. (...)
septembre 10, 2014 Benoît GILLES
"... Par exemple, le forum « Le monde des Insectes » est un outil formidable des novices aux plus expérimentés. L’objectif est d’offrir aux passionnés un lieu de partage et d’échange d’informations, où chacun apporte ses expériences et ces connaissances. Tous les sujets peuvent être traités et développés. On y trouve des liens vers d’autres sites, des clés de détermination, des stages, des conseils divers… Des déterminations peuvent également être soumises aux membres, à l’aide de photo(s), qui feront l’objet de discussion et d’entre-aide afin de les valider. Ces échanges entre membres sont ludiques et pédagogiques.
De plus, ce site propose une base de données photographiques des espèces déterminées par les membres du forum. La galerie, composée de milliers de photos classées par Famille, Genre et espèce permet à chacun de comparer et de vérifier son identification. De jour en jour, la galerie s’enrichit de nouvelles photos et d’espèces (voir photo)." (...)
[Image] Exemple d’une page de la galerie, ici, mouches de la Famille des Syrphidae
------- NDÉ Voir également :
POUR ALLER PLUS LOIN :
Depuis 2017, une intelligence artificielle aide les utilisateurs à déterminer les espèces observées
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SITES d'entomologie :
Cours sur les Insectes avec images, dessins et classification
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BLOGS généralistes :
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FORUM d'échanges et d'entraide :
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AUTRES LIENS :
![]() Cette exposition est destinée à être prêtée aux établissement scolaires d'Occitanie. Création d'un univers coloré inspiré par les motifs colorés et les formes géométriques observés chez les insectes, 8 panneaux rollup.
![]() Les nouvelles techniques de sélection des plantes, appelées aussi nouvelles techniques de sélection végétale, nouvelles techniques d'amélioration des plantes ou nouvelles techniques génomiques (NTG1 ; en anglais : new breeding techniques [NBT] ou new plant breeding techniques » ou new genomic techniques, NGT2), sont un ensemble de techniques d'édition génomique employées dans le domaine de la sélection végétale pour développer de nouvelles variétés cultivées (cultivars) de plantes.
Wikipédia Version du 12 septembre 2024 à 23:37. HistoriqueLa plupart de ces techniques ont été rassemblées pour la première fois sous l’appellation « NBT » par le rapport de 2011 du Centre commun de recherche de l’Union européenne3. Individuellement, ces techniques peuvent cependant être très anciennes, comme la pratique de la greffe, ou très récentes, comme CRISPR-Cas9 mise au point en 2012. TechniquesListe des techniques utilisées dans le cadre des NBTSelon les travaux du Centre commun de recherche européen3 et du Haut Conseil des biotechnologies français4, l’appellation New Breeding Techniques recouvre l’ensemble des techniques suivantes : (...)
Image : Schéma général du processus de modification localisée du génome. https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89dition_g%C3%A9nomique
![]() Si toutes les fourmis partagent la même structure sociale, elles présentent en revanche une grande variété de tailles. Cette diversité peut s'observer parmi les individus d'une seule colonie, favorisant un partage du travail plus efficace, mais aussi entre des espèces possédant un régime alimentaire semblable. Dans ce cas, l'éventail de tailles permet à ces espèces de coexister au sein d'un même habitat sans entrer en compétition pour la nourriture.
September 2013 Conference: Magazine of Science Museum in Paris At: Palais de la découverte, Paris Volume: Découverte 388: 36-47 Authors: Christian Peeters Institute of Ecology and Environmental Sciences IEES-Paris → Download full-text PDF
![]() Photinus signaticollis, le Lampyre à corselet marqué, est une espèce d’insectes coléoptères de la famille des Lampyridae, les lucioles et vers luisants. Cette espèce originaire du sud de l'Amérique latine est considérée comme une espèce envahissante en Espagne et en France. En effet, malgré l'intérêt du public pour les remarquables spectacles lumineux qu'offrent ses parades nuptiales, elle pourrait être délétère pour les espèces locales de vers de terre dont la larve se nourrit et pour la faune européenne de vers luisants et de lucioles déjà fragilisée par les activités humaines.
Version du 28 septembre 2024 à 21:10
![]() En France métropolitaine, des infections autochtones de dengue, c’est-à-dire touchant des personnes n’ayant pas voyagé au cours des 15 derniers jours dans une zone où la maladie est présente, ont été initialement détectées à Nice et sont restées limitées au sud du pays jusqu'en 2018. Depuis, le profil épidémiologique de la dengue a évolué. Pour la seule année 2022, 65 cas autochtones ont été identifiés et ce total dépasse le nombre cumulé de cas signalés au cours des 10 années précédentes. Par ailleurs, la limite latitudinale des clusters de dengue observés sur le territoire national métropolitain s'est déplacée vers le nord, d'abord vers la région Auvergne-Rhône-Alpes en 2019 puis vers l'Île-de-France en 2023.
Des moustiques-tigre infectés par le virus de la dengue détectés pour la première fois en France hexagonale | INRAE
Image : Pour chaque département de France métropolitaine, on observe sur la carte ci-dessous l'année de la première détection de dengue autochtone et le nombre cumulé de cas (jusqu'en 2023).
![]() Le Réseau Action Climat, en partenariat avec l'ADEME, publie un rapport présentant un panorama des impacts du changement climatique dans toutes les régions de France. Forêts, plages, montagnes, plaines... tous les paysages sont déjà affectés avec des répercussions pour tous et dans tous les secteurs.
![]() Les contributions « matérielles » de la nature sont souvent favorisées aux dépens d’autres contributions tout aussi essentielles, engendrant des injonctions contradictoires.
Entre services rendus par la nature et préservation de la biodiversité, des injonctions contradictoires - The Conversation Helene Soubelet et Denis Couvet Publié: 23 avril 2024, 17:10 CEST
"Dans un contexte européen et national où les enjeux agricoles semblent mener à opposer préservation de la biodiversité – par exemple des insectes et oiseaux communs – et défis économiques, la prise en compte de nos dépendances à la biodiversité apparaît de plus en plus cruciale.
On constate ainsi qu’intégrer les logiques économiques dans les politiques de transition écologique et agricole conduit à des injonctions contradictoires : soit protéger la biodiversité afin d’améliorer la fertilité des sols ou l’épuration des eaux, soit utiliser des intrants chimiques pour augmenter ou conserver des rendements.
Pour comprendre ce phénomène, nous proposons d’explorer la notion de « contribution de la nature aux humains » : elle distingue trois types de relations humaines à la biodiversité, distinctes par leurs écologies et leurs enjeux socio-économiques. [Plus de 85 000 lecteurs font confiance aux newsletters de The Conversation pour mieux comprendre les grands enjeux du monde. Abonnez-vous aujourd’hui] Contributions matérielles, immatérielles et régulatricesDébutons par les contributions matérielles, qui se présentent sans surprise sous forme de biens et de services. Les bénéfices sont échangés sur des marchés divers, avec une régulation politique. Les modes d’appropriation par les humains (entreprise, filière, État…) déterminent qui a accès à la biodiversité et est en mesure de la préserver, par exemple en plantant et entretenant des haies sur des surfaces agricoles.
Les contributions immatérielles, ensuite, sont fournies par la qualité d’un paysage, la présence d’une espèce emblématique, et sont d’ordre mental, spirituel, éducatif. Elles procurent des bénéfices à la fois matériels (création d’emploi par le tourisme de nature) et immatériels (maintien d’identité). Les espaces naturels, réserves, parcs nationaux profitent à la fois aux habitants, touristes et visiteurs, et à la biodiversité, à l’ensemble des êtres vivants.
À lire aussi : Revoir notre vision de la nature pour réconcilier biodiversité et agriculture
Le troisième type concerne les contributions régulatrices : associées aux fonctions écologiques des écosystèmes, elles sont représentées par la qualité de l’air et de l’eau, la régulation du climat ou des pathogènes et n’ont souvent pas de bénéfices directs et immédiats.
Contrairement aux catégories précédentes, elles ne sont le plus souvent pas reconnues socialement, bien qu’elles bénéficient également à l’ensemble des humains et autres vivants sur un territoire donné. Citons l’exemple de la pollinisation, dont personne n’est tenu responsable, la qualité des eaux ou encore l’état de santé des communautés d’oiseaux et d’insectes." (...)
Image : Les abeilles sauvages et domestiques pollinisent un tiers des plantes que nous consommons. Simon Klein
![]() Which animals have the capacity for conscious experience? While much uncertainty remains, some points of wide agreement have emerged.
------ NDÉ Traduction
Tout d'abord, l'attribution de l'expérience consciente à d'autres mammifères et aux oiseaux bénéficie d'un solide soutien scientifique.
Deuxièmement, les preuves empiriques indiquent au moins une possibilité réaliste d'expérience consciente chez tous les vertébrés (y compris les reptiles, les amphibiens et les poissons) et de nombreux invertébrés (y compris, au minimum, les mollusques céphalopodes, les crustacés décapodes et les insectes).
Troisièmement, lorsqu'il existe une possibilité réaliste d'expérience consciente chez un animal, il est irresponsable d'ignorer cette possibilité dans les décisions qui concernent cet animal. Nous devrions prendre en compte les risques pour le bien-être et utiliser les preuves pour informer nos réponses à ces risques.
Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
![]() Exlu web : articles de la revue Insectes en libre accès
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Le FC3R a organisé, en partenariat avec Altertox, un workshop ludo-éducatif autour d’un « serious game » innovant, la TATAbox.
FC3R 23.07.24
"Cet événement visait à sensibiliser les membres des comités d’éthique aux Nouvelles Approches Méthodologiques ou NAMs.
Former aux 3R : une nécessitéLe FC3R a pour mission l’implémentation des 3R -Remplacer, Réduire et Raffiner- en France. Cela implique, entre autres, le développement et la diffusion d’une offre de formation dédiée à leur application. La résolution de 2021 du Parlement européen, souligne en effet la nécessité d’efforts soutenus par les pays membres en matière de formation et d’éducation afin que les membres des laboratoires et les autorités compétentes soient sensibilisés aux méthodes alternatives.
En France, les Comités d’Ethique en Expérimentation Animale (CEEA) sont les autorités compétentes désignées par la réglementation pour évaluer les demandes de projets utilisant des animaux à des fins scientifiques, en vue de leur autorisation et si besoin de leur appréciation rétrospective. Lors de l’évaluation, les CEEA tiennent compte du principe éthique des 3R. Ils doivent vérifier que les renseignements concernant la justification de l’utilisation d’animaux et l’impossibilité de les remplacer par rapport aux objectifs du projet soient présents dans la saisine et la description du projet.
Selon le Comité national de réflexion éthique sur l’expérimentation animale (CNREEA), tout membre d’un comité éthique doit suivre une formation initiale et continue à l’évaluation éthique.
Cependant, selon la recommandation de 2023, seulement deux formations spécifiques ont été recensées en France pour les 87 comités actuels (rapport d’activité 2023 du CNREEA). Au niveau local cependant, les membres des CEEA participent au maintien des compétences des personnels utilisateurs en organisant des manifestations, ce qui permet d’étoffer l’offre de formations (Bilan 2022 des CEEA). La TATAbox : un outil ludique issu de la toxicologieLa TATAbox (Towards Alternatives To Animal Testing Box) est un jeu de plateau innovant créé en 2022 par Altertox, une entreprise belge fondée par le toxicologue français François Busquet. Dédié à faciliter la transition vers des méthodes de recherche sans animaux, ce jeu a pour objectif de faire comprendre les diverses étapes de conception, de développement et de validation des méthodes alternatives et de bien identifier tous les acteurs impliqués. Il favorise également les échanges sur la médiation scientifique et la communication. En se concentrant sur la toxicologie, la TATAbox permet aux participants de comprendre l'écosystème des NAMs et constitue une base de réflexion adaptable au contexte de la recherche académique. Une nouvelle version, intégrant le rôle des CEEA, vient d’être développée."
Crédit Image : Aurelia Boige - TATABOX by Altertox
![]() Les Grégarines, parasites des Invertébrés, sont des êtres vivants unicellulaires ou Protistes , de taille assez exceptionnelle puisqu'elles peuvent atteindre plusieurs millimètres de long. Par les particularités de leur reproduction ce sont des Sporozoaires : après l'union d
Écrit par Robert GAUMONT : docteur d'État ès sciences (abonnés)
------ Lire aussi
Quelques Grégarines parasites d'insectes aquatiques de FranceParasite [Journal] https://www.parasite-journal.org › parasite › pdf › 1963/03 de Isabelle Desportes · 1963 · Cité 21 fois — Dans certains cas de parasitisme très intense, chez les larves d'Hydropsyche en particu lier, le proventricule contient déjà des Grégarines. Seuls, les ... 37 pages
![]() En se dotant d'un ministère de l'environnement dès 1971 la France a pu paraître pionnière. Mais lorsqu'on se penche sur ses moyens conférés et son incarnation, il y a de quoi relativiser. |
![]() Peer Community in (PCI) est un processus éditorial de science ouverte consistant en un service de recommandation de préprints (voire d' articles publiés) basé sur des évaluations par les pairs. Ce service offert par l' organisme sans but lucratif du même nom participe à la bibliodiversité recommandée par l'appel de Jussieu.
Version du 26 avril 2024 à 07:42
Image : PCI Animal Science https://animsci.peercommunityin.org/
![]() Si l’on peut s’inscrire toute l’année, cette rentrée est l’occasion d’annoncer une bonne nouvelle : le processus a été simplifié et toute structure recevant du public scolaire peut désormais participer. Simon Benateau répond à nos questions sur la rentrée à Vigie-Nature École.
Sciences participatives 5 Septembre 2024
![]() Après avoir exploré le coton, l’eau, le papier, Erik Orsenna, ambassadeur de l’Institut Pasteur s’attaque cette fois aux moustiques dans son nouveau livre, Géopolitique du moustique. L’occasion d’aller ici plus loin avec les chercheurs de l’Institut Pasteur pour comprendre les moustiques et les maladies qu’ils transmettent, les maladies dites « vectorielles ». Et de découvrir aussi quelques extraits du livre de notre ambassadeur.
"Géopolitique du moustique" - Aller plus loin avec nos experts ! - L'actu de l'Institut Pasteur
------ via Dengue : symptômes, traitement, prévention - Institut Pasteur
Bernadette Cassel's insight:
![]() Inktober est un défi artistique qui a lieu chaque année en octobre. Le concept a été lancé par Jake Parker, un illustrateur américain, en 2009.
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lasef
Bulletin 2024-129 (1) Bulletin 2024-129 (2) Bulletin 2024-129 (3) Bulletin 2024-129 (1) – La Rédaction., 2024. – Éditorial. Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 1‑2 doi : 10.32475/bsef_2351.
Bulletin 2024-129 (1)– La Rédaction., 2024. – Éditorial. Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 1‑2 doi : 10.32475/bsef_2351. Aguado-Aranda P., Ricarte A., Lair X., Lebard T., Speight M. C. D. & Marcos-García M. Á., 2024. – First records of Eumerus colladoi Ricarte & Aguado-Aranda in Aguado-Aranda et al., 2022, from France (Diptera, Syrphidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 93‑96 doi : 10.32475/bsef_2307. Bellifa M., 2024. – Distribution of Ptilophorus dufourii (Latreille, 1818) in France, with remarks on the behaviour of adults (Coleoptera, Ripiphoridae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 17‑29 doi : 10.32475/bsef_2282. Cabon F. & Soldati F., 2024. – Oochrotus unicolor Lucas, 1852, in France: updated distribution, faunistics and ecology (Coleoptera, Tenebrionidae, Diaperinae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 85‑91 doi : 10.32475/bsef_2324. Constantin R., 2024. – Three new brachelytrous Discodon and Polemius (Brachypolemius) from Peru (Coleoptera, Cantharidae, Silinae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 71‑84 doi : 10.32475/bsef_2321. Degallier N. & Gomy Y., 2024. – Abraeus dufaui Desbordes, 1914, est-il un Acritus, un Aeletes ou un Bacanius ? Résolution d’une énigme centenaire et mise à jour du catalogue des Histérides de Guadeloupe (Coleoptera, Histeridae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 51‑65 doi : 10.32475/bsef_2311. Giachino P. M., Allegro G. & Poussereau J., 2024. – Une nouvelle espèce de Paradromius de l’île de La Réunion (Coleoptera, Carabidae, Dromiusini). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 66‑70 doi : 10.32475/bsef_2313. Le Divelec R., 2024. – Chalybion bengalense (Dahlbom, 1845), une nouvelle espèce exotique en France métropolitaine (Hymenoptera, Sphecidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 13‑16 doi : 10.32475/bsef_2320. Libert M., 2024. – Jean-Louis Amiet (1936-2023). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 7‑12 doi : 10.32475/bsef_2315. Orousset J., 2024. – Corrections à l’article de Orousset (2023). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 30 doi : 10.32475/bsef_2328. Perrin H. & Borovec R., 2024. – On the genera Scolochirus Marshall and Pseudoscolochirus Hoffmann, with the description of two new species (Coleoptera, Curculionidae, Entiminae, Cneorhinini). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 31‑50 doi : 10.32475/bsef_2309. Quindroit C. & Chekir L., 2024. – Second overall and first record for Chionea bezzii Oosterbroek & Reusch, 2008, from the French Pyrenees (Diptera, Limoniidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 97‑100 doi : 10.32475/bsef_2292. Tillier P., 2024. – Découverte de Tipula (Pterelachisus) bilobata Pokorny, 1887, en Savoie, une tipule d’altitude nouvelle pour la faune de France (Diptera, Tipulidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (1) : 101‑104 doi : 10.32475/bsef_2327. Bulletin 2024-129 (2)– La Rédaction., 2024. – Comptes rendus des activités de l’année 2023. Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (2) : 237‑256 doi : 10.32475/bsef_2356. Chérot F. & Carpintero D. L., 2024. – Redescription du genre Lampethusa Distant, 1884, et description d’un genre et d’une espèce nouvelle de Guyane française (Hemiptera, Miridae, Mirinae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (2) : 209‑220 doi : 10.32475/bsef_2323. Deuve T., Liu Y. & Liang H., 2024. – Nouveaux Carabus Linné, 1758, et Cychrus Fabricius, 1794, de Chine occidentale des collections de l’Institut de Zoologie de Pékin (Coleoptera, Carabidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (2) : 179‑194 doi : 10.32475/bsef_2342. Földvari M. & Pollet M., 2024. – Contribution to the knowledge of the Pipunculidae fauna of Corsica, with 25 first species records for the island (Diptera). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (2) : 221‑235 doi : 10.32475/bsef_2300. Huberson N., Puisnel A., Delandhuy A. & Daubrée J.-B., 2024. – Évolution de la colonisation par l’espèce invasive Corythucha arcuata (Say, 1832) en France métropolitaine entre 2017 et 2022, en croisant diverses sources de données (Hemiptera, Tingidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (2) : 105‑118 doi : 10.32475/bsef_2314. Iorio É. & Coulis M., 2024. – Découverte de plusieurs géophilomorphes en Martinique, avec la description d’une nouvelle espèce du genre Portoricona (Chilopoda, Geophilomorpha). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (2) : 131‑146 doi : 10.32475/bsef_2325. Pierre C., 2024. – Premiers signalements de cicadelles gyponines en Martinique (Hemiptera, Cicadellidae, Iassinae, Gyponini). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (2) : 195‑202 doi : 10.32475/bsef_2308. Ruffoni A., Kovács T. & Le Doaré J., 2024. – Discovery of Besdolus bicolor (Navás, 1909) in France, and complements to the description of its vibrational duet (Plecoptera, Perlodidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (2) : 119‑129 doi : 10.32475/bsef_2319. Stuke J.-H., 2024. – Recent records of Conopidae from Corsica (Diptera). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (2) : 203‑208 doi : 10.32475/bsef_2331. Weill P., 2024. – Description d’une espèce nouvelle du genre Pseudoxyonyx Hoffmann originaire de Libye (Coleoptera, Curculionidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (2) : 155‑162 doi : 10.32475/bsef_2332. Willot Q. & Wegnez P., 2024. – Inventaire des fourmis de l’île d’Yeu (France) (Hymenoptera, Formicidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (2) : 147‑154 doi : 10.32475/bsef_2330. Ythier É., Ramage T., Jourdan T., Giupponi A. P. L. & Coulis M., 2024. – Two new whip spider species of the genus Charinus Simon, 1892, from Guadeloupe and Martinique, Lesser Antilles (Amblypygi, Charinidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (2) : 163‑177 doi : 10.32475/bsef_2339. Bulletin 2024-129 (3)Brinquin A.-S., Muller L., Correard M., Gili A. & Pénigot W., 2024. – Record of natural parasitoids of the box tree moth, Cydalima perspectalis (Walker, 1859), in France (Lepidoptera, Crambidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (3) : 359‑364 doi : 10.32475/bsef_2334. Burckhardt D. & Pinzón O. P., 2024. – A second Bactericera species from South America: the willow feeding B. minuta in Colombia with description of the previously unknown immatures (Hemiptera, Sternorrhyncha, Psylloidea, Triozidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (3) : 319‑330 doi : 10.32475/bsef_2355. Cabon F. & Sin S., 2024. – A new species of Ceratoderus from Cambodia (Coleoptera, Carabidae, Paussinae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (3) : 303‑307 doi : 10.32475/bsef_2364. Constantin R. & Beenen R., 2024. – A revision of the genus Metalepta Baly, 1861, with the description of three new species from Peru (Coleoptera, Chrysomelidae, Galerucinae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (3) : 257‑272 doi : 10.32475/bsef_2338. Deuve T., Shi H. & Liang H., 2024. – Descriptions de cinq nouveaux Leistus Frölich, 1799, du Tibet méridional (Coleoptera, Caraboidea, Nebriinae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (3) : 309‑317 doi : 10.32475/bsef_2362. Engel M. S., Dastillung B. & Nel A., 2024. – The first occurrence of the genus Pristaulacus from the Late Miocene diatomitic maar of Sainte-Reine, Cantal, France (Hymenoptera, Aulacidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (3) : 277‑282 doi : 10.32475/bsef_2340. Jacquelin F., Streito J.-C., Paulin L., Goebel F.-R. & Soti V., 2024. – Premier signalement de Spanagonicus albofasciatus sur l’île de La Réunion (Hemiptera, Miridae, Phylinae, Nasocorini). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (3) : 349‑358 doi : 10.32475/bsef_2322. Mignon J. & Tomasovic G., 2024. – A new mountain species of Lasiopogon from Corsica (Diptera, Asilidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (3) : 295‑301 doi : 10.32475/bsef_2297. Orousset J., 2024. – Les types de Scydmaeninae décrits par Maurice Pic (Coleoptera, Staphylinidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (3) : 331‑348 doi : 10.32475/bsef_2353. Robiche G., 2024. – Une nouvelle espèce du Mozambique appartenant au genre Anomalipus Guérin-Méneville, 1831 (Coleoptera, Tenebrionidae, Blaptinae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (3) : 365‑368 doi : 10.32475/bsef_2345. Soldati F., Jansson N., Avci M., Atay E., Coşkun M., Kayis T., Öncül Abacigil T. & Varli S. V., 2024. – Contribution to the knowledge of darkling beetles from Türkiye, with four new country records (Coleoptera, Tenebrionidae). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (3) : 283‑294 doi : 10.32475/bsef_2344. Tillier P. & Quindroit C., 2024. – Découverte de Phyllolabis gohli Mendl, 1976, et P. pubipennis Lackschewitz, 1940, dans les Alpes françaises : deux espèces et un genre de Limoniidae nouveaux pour la faune de France (Diptera, Nematocera). Bulletin de la Société entomologique de France, 129 (3) : 273‑276 doi : 10.32475/bsef_2326. A zot_bib_web bibliography.
Updated: 23 septembre 2024 — 11h01
![]() France Université Numérique (FUN) propose une nouvelle saison de MOOCs (Massive Open Online Course) consacrés à l’ingénierie pédagogique en formation, et notamment :
Via GREF Bretagne
![]() Face à l'importance croissante de l'intelligence artificielle (IA) dans tous les secteurs de la société, l'éducation tout au long de la vie est essentielle pour comprendre les enjeux, défis et opportunités. Selon l'UNESCO, « les États membres devraient investir dans les compétences numériques, l'éducation aux médias et à l'information, et les promouvoir pour renforcer la pensée critique et les compétences nécessaires à la compréhension des systèmes d'IA, afin de combattre la désinformation, la mésinformation et les discours de haine ». En octobre 2022, la Commission européenne a publié des lignes directrices éthiques sur l'utilisation de l'IA et des données dans l'enseignement, encourageant le recours à des programmes comme Horizon Europe ou Erasmus+ pour développer des actions de recherche et de formation en IA. En France, la Commission de l'intelligence artificielle du Gouvernement a présenté en mars 2024 un rapport intitulé « IA : notre ambition pour la France », avec six grandes lignes d'action, dont une dédiée à la formation et à la sensibilisation des citoyens. La Commission recommande notamment d'investir dans la formation continue et de structurer une offre de formation hybride (par exemple, droit + IA) pour préparer les métiers de demain. EPALE France, la plateforme Erasmus+ pour la formation en Europe, intègre ces recommandations en priorisant l'éducation à l'IA dans ses thématiques de travail. Elle a organisé une webconférence le 09 juillet 2024 « Education & intelligence artificielle responsable: enjeux, expérimentation et politiques européennes ». Des acteurs de la société civile, de la recherche et de l'éducation ont partagé leurs expériences. La Commission européenne a présenté les dernières actualités du plan d'éducation au numérique en lien avec l'IA, et la direction de l' Agence Erasmus+ a évoqué les opportunités offertes par Erasmus+ pour se former ou coopérer sur ce sujet en Europe. Animé par la journaliste Emmanuelle Bastide, cet événement s'adresse à tous les acteurs de l'éducation et de la formation. Via CECI Jean-François
CECI Jean-François's curator insight,
July 23, 8:25 AM
Du grain à moudre en matière d'IA en éducation...
![]() La spirale de la mort désigne pour les fourmis un curieux phénomène au cours duquel des centaines ou milliers de fourmis ayant perdu la trace de leur essaim se mettent ensemble à t…
Mis à jour le 5 novembre 2015 à 18:06 par La rédaction------ via Moulin de fourmis — Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Moulin_de_fourmis "Le « moulin de fourmis » évoque le mouvement des ailes d'un moulin à vent. Il est quelquefois dénommé « spirale de la mort » car il désigne un essaim de fourmis qui se mettent ensemble à tourner en rond, à l'infini, jusqu’à mourir d’épuisement1." Version du 7 février 2024 à 19:59. "Des fourmis commencent à se suivre en formant un cercle fermé. Les fourmis finissent par mourir d'épuisement. Ce phénomène a été reproduit en laboratoire et dans des simulations de colonies de fourmis2. Le phénomène est un effet secondaire de la structure auto-organisée des colonies de fourmis. Chaque fourmi suit la fourmi devant elle, ce qui fonctionne jusqu'à ce qu'un dysfonctionnement apparaisse et qu'un moulin de fourmis se forme3. Un moulin de fourmis a été décrit pour la première fois par William Beebe en 1921 qui a observé un moulin de 370 mètres de circonférence4. Il fallait 2,5 heures à chaque fourmi pour faire un tour complet5. Des phénomènes similaires ont été observés chez les chenilles processionnaires et les poissons6."
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especes
![]() Ce réseau a pour objet principal l'étude du contenu de l'air en particules biologiques pouvant avoir une incidence sur le risque allergique pour la population. C'est à dire l'étude du contenu de l'air en pollens et en moisissures ainsi que du recueil des données cliniques associées.
Le Réseau National de Surveillance Aérobiologique — RNSA
Image : Carte du Risque d'Allergie aux Pollens
Le retour d'un temps plus frais et humide apporte un peu de répit aux allergiques en freinant un peu les pollens d'ambroisie. Le risque d'allergie restera élevé pour les pollens d'ambroisie lors des periodes ensoleillées le long de la vallée du Rhône de la Nièvre à la Drôme. Dans les départements autour, le risque d'allergie sera faible à moyen.
Le risque d'allergie sera plus faible pour les autres herbacées en fin de floraison (graminées, plantain, armoise et orties (urticacées)).
![]() Chaque automne, plus de 17 millions d’insectes franchissent le col de Bujaruelo, à la frontière entre la France et l’Espagne. Une grande majorité sont des pollinisateurs, d’autres sont indispensables à la santé des sols et au développement des plantes.
Pour ne rien manquer de Pour La Science, inscrivez-vous à nos newsletters (gratuites) De par leur nombre, les insectes sont les premiers migrateurs terrestres de la planète. Ces invertébrés d’une grande diversité (environ 1,3 milliard d’espèces décrites qui représentent les deux tiers des organismes vivants connus) sont parfois difficiles à observer et encore plus à comptabiliser puisqu’ils sont, pour beaucoup, invisibles à l’œil nu. La migration des insectes concerne plus de mille milliards d’individus chaque année. Même si elle demande un effort énergétique important, celle-ci permet aux insectes d’exploiter des ressources éloignées et de trouver des conditions plus propices à la reproduction. Le phénomène est important pour la pollinisation puisqu’il engendre un brassage génétique entre des plantes séparées par de longues distances. La migration est aussi, parfois, un moyen pour certaines espèces, de fuir leur habitat d’origine, dégradé par le changement climatique ou de l’activité humaine. En 1950, un couple d’ornithologistes anglais, David et Elizabeth Lack, découvrent un haut lieu de migration des insectes vers le Sud : le col de Bujaruelo, dans les Pyrénées. Si certaines espèces, tels les papillons monarques, qui parcourent près de 4 000 kilomètres, deux fois par an en Amérique du Nord, sont relativement bien documentées, la migration des insectes au global, reste peu étudiée. Les espèces sont si petites et diversifiées, qu’elles sont difficiles à observer et encore plus, à identifier.
Will Hawkes de l’université d’Exeter au Royaume-Uni, et son équipe ont décidé de s’y atteler en se lançant dans une observation à très grande échelle. Pendant quatre automnes d’affilée, de 2018 à 2021, ils ont enregistré, à l’aide d’une caméra, le nombre et le type d’insectes qui empruntaient le col de Bujaruelo, dans les Pyrénées, pour rejoindre le sud de l’Espagne, et y passer l’hiver. Un lieu qu’ils n’ont pas choisi au hasard, puisque 70 ans plus tôt, en 1950, un couple d’ornithologistes anglais, David et Elizabeth Lack, avaient déjà observé ce passage. Ils avaient été surpris par le nombre élevé d’insectes traversant ce passage large d’une trentaine de mètres dans la chaîne des Pyrénées, un véritable spectacle diurne de migration à bas bruit.
Will Hawkes et son équipe ont ainsi estimé à 17,1 millions le nombre annuel moyen d’insectes migrateurs traversant la passe, avec une grande diversité de taxons. Grâce à une caméra et à l’utilisation d’un piège malaise, ils ont classé les espèces. 20 familles d’insectes issues de cinq ordres ont été identifiées. Une large majorité appartenant aà l’ordre Diptera (mouches et syrphes), puis celui des Hymenoptera (abeilles, fourmis, frelons), des Hemiptera (cigales et pucerons), des Lepidoptera (papillons) et enfin des Odonata (libellules). Les chercheurs estiment ainsi en milliards le nombre d’insectes migrants qui traversent la chaîne pyrénéenne chaque année. Sur le même sujet - N°503 - Septembre 2019 - La fin des insectes ?Au cours des 191 jours d’observations, les chercheurs ont montré que le nombre d’individus variait fortement. Passant de 0 migrateur à 3,7 millions certains jours. Ils ont alors étudié l’impact des conditions météorologiques sur ce phénomène, en mesurant plusieurs paramètres : direction et vitesse du vent, pluviométrie, ensoleillement et température. Résultat ? Un thermomètre au plus haut, une faible pluviométrie et un léger vent de face sont des journées idéales pour passer la frontière.
Les espèces migratrices sont loin d’être anodines : près de 85 % sont d’ailleurs des espèces pollinisatrices. D’autres, ont un rôle clé dans la décomposition des matières organiques pour la bonne santé des sols et le développement des plantes. Parmi les insectes qu’ils ont pu recenser, Will Hawkes et ses collègues ont noté une forte population de syrphes à ceinture, rayée d’orange et de noir. « Ces insectes volants de la famille des mouches se nourrissent de pucerons et sont donc parfaits pour débarrasser les cultures ou les jardins des parasites », détaille le chercheur. A lire aussi : Agriculture et pollinisateurs : vers une nouvelle alliance ? Quelles conséquences le changement climatique pourrait-il avoir sur ces migrations ? « Le dérèglement climatique entraîne des conditions météorologiques extrêmes, auxquelles les insectes ne sont pas en mesure de faire face. Ils n’apprécient pas la sécheresse ou les pluies excessives, par exemple, poursuit l’écologue. Ainsi, nous constatons dans certaines régions que les insectes migrateurs passent l’hiver à des latitudes plus élevées parce qu’il ne fait plus aussi froid pendant l’hiver. » A lire aussi : « 35 % de nos récoltes dépendent des pollinisateurs »Dans un contexte général de diminution des populations d’insectes, les chercheurs rappellent l’utilité de ces études à long terme. Comprendre les flux de population à l’ère des changements environnementaux induits par l’homme est essentiel, notamment pour les secteurs de l’agriculture et de l’horticulture."
Image : La migration des insectes joue un rôle clé dans la pollinisation. Elle est aussi, parfois, un moyen pour certaines espèces de fuir leur habitat d’origine, dégradé par le changement climatique ou l’activité humaine. © Will L. Hawkes
![]() La Coalition Eau publie un guide méthodologique pour accompagner la réalisation de diagnostics territoriaux sur l’accès à l’eau, désormais obligatoires pour identifier les personnes en situation de non accès – ou de mal accès – à l’eau sur un territoire. Via VeilleGestionConnaissances
CFA E Pisani Montreuil-Bellay's curator insight,
September 12, 2:56 AM
64 p. en téléchargement libre
![]() Le hornuss, un sport vieux de plusieurs siècles, incarne la tradition suisse et réunit encore des milliers de personnes de toutes les générations à Höchstetten, un petit village situé près de Berne. Au début du mois, près de 4 500 amateurs ont pris part au 40e festival national du hornuss aux abords du village de Hochstetten, à 30 kilomètres au nord-est de la capitale Berne.
Le hornuss : le sport si suisse toujours fringant AFP Robin MILLARD mar. 10 septembre 2024 à 8:34 AM UTC+2
"Le hornuss, un sport vieux de plusieurs siècles, incarne la tradition suisse et réunit encore des milliers de personnes de toutes les générations à Höchstetten, un petit village situé près de Berne. Le palet a donné son nom, qui signifie frelon, à ce sport original parce qu'il émet un son qui rappelle le bourdonnement de l'insecte, lorsqu'il siffle dans les airs frappé de plein fouet."
Image : Le joueur de Hornuss, un sport traditionnel suisse, Stefan Studer après avoir frappé dans le palet appelé "Nouss" lors du Festival Suisse du Hornuss le 31 août 2024 à Höchstetten en Suisse (Fabrice COFFRINI)
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