La lettre de Toulouse
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La lettre de Toulouse
Quelques informations sur l'entreprise et l'immobilier à Toulouse
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November 21, 2011 1:12 PM
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Accomplys ouvre un bureau toulousain

Accomplys ouvre un bureau toulousain | La lettre de Toulouse | Scoop.it

En photo, Jacques Parent, Associé d'Accomplys

 

Midenews :

 

Spécialisé dans l’accompagnement des start-up, le cabinet parisien Accomplys ouvre son premier bureau en région dans la Ville Rose.

 

Créé en 2007, Accomplys propose aux porteurs de projets et aux PME en phase de croissance ou d’acquisition des services administratifs et financiers de suivi, d’aide à la gestion, de conseil juridique ou encore d’accompagnement stratégique. « 80 % de nos clients sont des start-up, majoritairement issues du secteur des TIC et des biotechnologies, indique Jacques Parent, Associé d’Accomplys. Nos prestations portent entre autres sur l’élaboration du business plan, l’aide à la création et la mise en place d’outils de reporting. » Mentor des Start-up week end (de Toulouse, Marseille et Lille notamment), Accomplys accompagne également les 12 start-up du Camping de l’association parisienne Silicon Sentier.

 

Chantal Delsouc

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November 15, 2011 5:14 AM
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9e Salon de l’entreprise Midi-Pyrénées les 16 et 17 novembre à Toulouse

9e Salon de l’entreprise Midi-Pyrénées les 16 et 17 novembre à Toulouse | La lettre de Toulouse | Scoop.it

En photo : le Salon de l'entreprise (© Rémi Benoit)

 

ObjectifNews :

 

Le centre de congrès Diagora-Labège accueillera les 16 et 17 novembre le 9e Salon de l’entreprise Midi-Pyrénées. Cet événement donnera lieu à un speed-dating de chefs d'entreprises mis en place par la CCI de Toulouse et à un débat sur la santé organisé par Objectif News

Le Salon de l’entreprise Midi-Pyrénées s’adresse à tous les chefs d’entreprises ou à toutes personnes souhaitant créer, reprendre ou développer une entreprise ou une franchise. Pendant deux jours, 50 ateliers, conférence et tables rondes aborderont ces différents sujets pour répondre aux questions des 5.000 visiteurs attendus.

Pour cette 9e édition, les organisateurs ont choisi de mettre l’accent sur l'entrepreneuriat social. Sur 2.500 m2, le salon est organisé autour de cinq pôles : institutionnels, financiers, services aux entreprises, franchiseurs et médias.

Le Salon de l’entreprise sera inauguré ce mercredi à 10 heures en présence de Martin Malvy, président de la région Midi-Pyrénées, Pierre Cohen, député-maire de Toulouse et président du Grand Toulouse, Alain Di Crescenzo, président de la CCI de Toulouse, Serge Crabié, président de la CRMA Midi-Pyrénées et Alain Serieys, vice-président du Sicoval.

Avant même cette inauguration, Alain Di Crescenzo et Gilbert Casamatta, président du PRES Université de Toulouse, signeront la Convention de partenariat entre la CCI de Toulouse et l’Université de Toulouse qui s’inscrit dans le cadre du dossier IDEX. La Chambre consulaire organisera par ailleurs le "Speed dating des entrepreneurs avec la CCI de Toulouse" en partenariat avec Objectif News. Cet événement permettra aux chefs d'entreprises de poser leurs questions à Alain Di Crescenzo.

Un petit-déjeuner débat sera également organisé par Objectif News, la Région Midi-Pyrénées, le Sicoval et le Grand Toulouse sur le thème « La santé dans tous ses états, une filière stratégique pour Midi-Pyrénées ». La santé fait en effet partie des six filières jugées prioritaires par Midi-Pyrénées Innovation (MPI). Neuf intervenants apporteront leur vision du secteur : Pierre Benaïm, secrétaire général à la stratégie régionale de l'innovation MPI, Ludovic Le Moan, président de Sigfox Wireless, Jean-Pierre Madier, PDG de Magellium, Pierre Montoriol, président du pôle de compétitivité Cancer-Bio-Santé (CBS), Bernard Raynaud, vice-président du Conseil régional, en charge de l'Emploi, de l'Innovation et du Développement économique, Alain Serieys, premier vice-président du Sicoval chargé de l‘emploi, de l‘économie et de la communication, Julien Venne, directeur du Centre e-santé, Bernard Keller, maire de Blagnac, vice-président du grand Toulouse en charge du Développement économique et de l’Emploi et Pierre Lapoujade, président et fondateur de Nutritis.

Paul Périé

 

En savoir plus : http://www.sempy.com 
Inscriptions au petit-déjeuner débat : evenements@objectifnews.com 

 

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November 10, 2011 4:42 PM
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Scoop.it lance son offre business destinée aux entreprises |

Scoop.it lance son offre business destinée aux entreprises | | La lettre de Toulouse | Scoop.it

 

ObjectifNews :

 

Après un an de béta test privé, Scoop.it est accessible à tous depuis le 9 novembre, avec une offre business pour les entreprises. Une réorientation stratégique de Goojet vers le principe de la curation.

Il y a un an, les dirigeants de Goojet décidait de réorienter son activité vers la curation, ce qui consiste à sélectionner, éditer et partager du contenu. Elle lançait alors Scoop.it en phase de béta test. « Cette première phase a été un véritable succès, explique Marc Rougier, le président de la société Scoop.it. Nous avons eu plus de 2 millions de visites mensuelles avec une progression de 35% par mois. »

Depuis le 9 novembre, Scoop.it est sortie de la phase de test et devient « le vaisseau amiral de notre entreprise, précise Marc Rougier. Nous maintenons l'activité Goojet mais ce n'est plus la priorité. » Cet outil permet de publier des magazines sur Internet sur son sujet de prédilection à partir d'articles ou de contenus choisis par un moteur de veille et de recherche. Ce magazine peut également être facilement mis en ligne sur des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter.

Une offre à destination des entreprises

Les dirigeants de Scoop.it misent sur un développement de cet outil auprès des entreprises. Cette première offre business lancée le 9 novembre s'adresse ainsi aux PME. Elle revient à 80$ par mois. « Certaines entreprises ont besoin d'exister sur le net, explique Marc Rougier. Cela demande une certaine fréquence de publication et une homogénéité de sujet. Souvent les entreprises paient des stagiaires pour faire ce travail que l'on appelle content marketing. C'est là que la curation est une solution car elle permet un gain de temps et d'efficacité. Scoop.it permet aussi la rediffusion sur les réseaux sociaux facilement. »

Une offre premium avec des intégrations ad hoc pour les grandes entreprises devraient rapidement suivre ainsi qu'une offre « pour les professionnels du bloging ou les petites équipes avec des fonction moindres que l'offre business », selon Marc Rougier. La rentabilité est attendue dans les 12 mois. Scoop.it a également créé une filiale aux Etats-Unis, Scoop.it Inc. « Nous voulons imposer notre solution là où le web se définit. Notre intention est d'y prendre une place de leader rapidement », assure Marc Rougier.

Paul Périé

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November 3, 2011 2:08 PM
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Plus de 800 participants au 1er Sommet économique du Grand Sud à Toulouse

Plus de 800 participants au 1er Sommet économique du Grand Sud à Toulouse | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Objectif News :

 

Environ 800 personnes ont participé, ce jeudi 3 novembre au centre de congrès Pierre Baudis de Toulouse, au premier Sommet économique du Grand Sud, organisé par France Economie Régions, GIE regroupant notamment Objectif News, Objectif Aquitaine et Objectif Languedoc-Roussillon. Décideurs économiques et politiques, économistes et journalistes ont assisté à trois tables rondes réunissant des représentants des trois régions.

La journée s’est ouverte sur un discours de Jean-Christophe Tortora, directeur de la publication d’Objectif News et vice-président de France Economie Régions. Après avoir remercié les différents partenaires et les élus qui ont rendu ce sommet possible, il a tenu à faire un parallèle entre « le G20 qui s’ouvre aujourd’hui à Cannes et ce G3, si l’on peut l’appeler ainsi. Je crois qu’il est bon dans ces moments d’incertitude de se retrouver pour débattre, réfléchir et penser le futur de ce Grand Sud. Montrer ce qu’est l’économie réelle, celles de nos trois régions, de nos territoires. » Il a ensuite invité sur scène Alain Ribet, directeur général d’Objectif Aquitaine et Jean-Claude Gallo, directeur de la publication d’Objectif Languedoc-Roussillon et président de France Economie Région.

Pierre Cohen, député-maire de Toulouse et président du Grand Toulouse, a ensuite ouvert le Sommet. Dans son intervention il a réaffirmé que « les métropoles doivent investir et intensifier leur relations, jouer la carte de la complémentarité. Nous devons dépasser une forme de concurrence et rechercher les points de convergence. Ce n’est pas au niveau interrégional que se joue la compétition mais au niveau européen. Nous devons être identifiés comme un vaste territoire d’innovation. Nous avons l’attractivité, une qualité de vie appréciée qui fait partie de cette excellence. A nous de montrer notre détermination au cours de cette journée. » La journée a été consacrée à la question des "4i" : infrastructures, innovation et intelligence, international.

 

"Jouer collectif"

 

Avant le début de la première table ronde consacrée aux infrastructures, Christian Gollier, directeur de la fondation Toulouse School of Economics, a fait une déclaration en tant que partenaire du Sommet. Il a regretté que « les préoccupations de l’instant prennent souvent le dessus sur la vision à long terme. La prospérité d’une région dépend des investissement qui y sont faits. »

Les tables rondes étaient l’occasion de nombreux débats qui se sont poursuivis au cours du déjeuner, placé sous le parrainage des Chambres de commerce et d’industrie pendant lequel Alain di Crescenzo, président de la CCI de Toulouse 31, qui a tenu à rappeler que la Ville rose était « une métropole active et compétitive qui se retrouvait aujourd’hui au sein d’un territoire du Grand Sud plein de promesses et qui est déjà riche d’activités industrielles. Pour continuer à rayonner, le Grand Sud doit être un territoire connecté et les CCI doivent être des acteurs de ce maillage économique. »

 

En fin de journée, à l’issue des deux dernières tables rondes, Alain Juppé, maire de Bordeaux, ministre d’État, ministre des Affaires étrangères et européennes, a délivré un message vidéo. Présent à Cannes pour le G20, il a tenu à apporter son soutien à cette « très belle initiative ». Selon lui, « il est important de jouer collectif pour faire avancer les choses ». Il a également donné rendez-vous à Bordeaux où se tiendra la 2e édition du Sommet économique du Grand Sud en 2012.

 

Paul Périé

 

Retrouvez le diaporama photo de l'événement en cliquant ici :

http://www.objectifnews.com/diaporamas/2011-sommet-economique-grand-sud 

 

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October 26, 2011 9:27 AM
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J’ai fait un salon pour l’emploi | Maviepro.fr

J’ai fait un salon pour l’emploi | Maviepro.fr | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Carole est partie à la rencontre de recruteurs-exposants. Une bonne ou une mauvaise idée ?

 

« Il y a une chose que je n’avais jamais faite en recherche d’emploi : assister à un salon pour l’emploi. Ce genre de manifestation, c’est un peu le rêve. Des dizaines d’employeurs réunis dans un seul et même espace où on peut les voir de près, les approcher et parfois même les toucher.

Le message de ce salon était clair : « évènement exceptionnel avec un nombre record d’exposants proposant plus de 2000 emplois. » Sur 2000 emplois, il y en aura bien un pour moi, me suis-je dit. Je suis donc partie dans cette optique un peu naïve, sans trop savoir ce que je trouverais vraiment sur place.

Sur le trajet, il est facile de reconnaître les gens sortant du salon : ils tiennent tous la même pochette en plastique remplie de prospectus. Vu comme elle a l’air bien plein, je me dis que ce doit être une mine d’or intéressante. J’en veux donc une pour montrer que moi aussi je suis allée au salon et pas pour des prunes.

A peine arrivée, j’aperçois sur une table les mêmes sacs déjà remplis par un bénévole. Un autre les distribue aux gens qui les prennent avec autant de désinvolture qu’un tract sur le programme des radicaux de gauche distribué dans la rue. Je regarde la moitié d’une forêt répandue dans ces sacs colorés et en prends un moi aussi. Puis, je commence à jeter un œil aux stands.

Je remarque que chaque stand tente d’attirer le demandeur d’emploi avec un cadeau. Coupelles de bonbons, stylos de l’entreprise, porte-clés…, ils trônent fièrement, appelant le badaud comme un petit toast de caviar sur un buffet de mariage. Je ne me laisserai pas avoir et j’irai aux stands qui m’intéressent et non chez ceux ayant le cadeau le plus attractif.

Ça c’est jusqu’à ce que je passe devant un stand où je vois un groupe de stylos qui m’interpelle. Ils ont l’air d’être bien plus que de bêtes stylos si j’en crois le bouton à l’extrémité. Ils font peut être de la lumière !
Je regarde le stand qui ne m’intéresse pas du tout. Dois-je papoter avec la personne qui s’ennuie ferme, et lui subtiliser un stylo lumineux contre quelques questions faussement intéressées ? Une personne passe devant moi et s’empare du stylo en ignorant royalement le sourire engageant de la jeune fille. Les salons, à l’instar des buffets, ont aussi leurs piques assiettes.

J’ouvre le sac plastique et en renverse le contenu pour voir si il n’y aurait pas un de ces stylos à l’intérieur. Je suis déçue de ne retrouver que des brochures, les mêmes que sur les stands. Ces brochures parlons-en. A des kilomètres d’une embauche ciblée, multi-postes avec des faux employés souriants, elles promettent une belle carrière si on envoie son CV à emploi@entreprise.com.

Tentons d’en savoir plus avec la personne physique derrière un stand qui est probablement stagiaire, si j’en crois son jeune âge. Mais elle est peut-être stagiaire aux ressources humaines... Sincèrement ravie de me renseigner, elle prend une nouvelle brochure, me résume ce qu’il est écrit et termine en mettant un coup de fluo sur l’adresse mail. La touche personnelle sans doute.

Je continue à errer dans le salon, collectant les brochures stabilotées. Au fond que des grosses enseignes sont présentes ou des régions qui veulent se faire connaître. Pas d’offres vraiment concrètes à pourvoir sur place pour moi. Je n’ai pas laissé un seul CV. Sans aucun doute, j’étais mal préparée ou bien ce type de salon n’est pas pour moi.

J’y suis venue pour rien. Quoique... Je me dirige vers la sortie et repasse devant le stand aux stylos magiques. Je ne réfléchis pas et empoigne un exemplaire comme une voleuse à l’étalage en murmurant un bonjour.
Le bouton ne servait qu’à faire sortir la mine. J’étais vraiment venue pour rien.

 

Et vous, perdez-vous ou gagnez-vous du temps sur ces salons ? »

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October 25, 2011 11:35 AM
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Les DRH craignent un climat social explosif en 2012 sur fond de rigueur accrue

Les DRH craignent un climat social explosif en 2012 sur fond de rigueur accrue | La lettre de Toulouse | Scoop.it

La note de conjoncture sociale d'Entreprise & Personnel juge inévitables des choix budgétaires « douloureux » après la présidentielle et prédit une rentrée 2012 très tendue.

 

Les Echos :

 

Le plus dur est à venir.

 

C'est la conclusion à laquelle parvient Entreprise & Personnel (E&P), le think tank des DRH de grandes entreprises, dans l'édition 2011 de sa note de conjoncture sociale, présentée vendredi. Les auteurs, Jean-Pierre Basilien et Michèle Gilabert, distinguent deux séquences. Celle en cours, d'abord, de « transition », avec un climat marqué par l' « attente » du scrutin présidentiel mais aussi « d'une mise en oeuvre de politiques d'austérité dont [...] l'essentiel est devant nous » tant « rien n'est réglé » en ce qui concerne « l'interminable crise de la dette ».

Selon la note, le second semestre 2012 sera dès lors celui du vrai basculement dans la rigueur, avec « des choix forcément douloureux » en termes de hausses d'impôt et de refonte de la protection sociale. « L'austérité n'est aujourd'hui qu'un mot », écrivent les auteurs.
Toute la question est de savoir « à quel moment le coût social sera jugé insupportable et par quelles catégories sociales », analysent-ils, prévenant que « c'est autour de la perception de la justice sociale accompagnant les projets de réforme que se joueront les équilibres sociaux », en particulier lors d'une rentrée de septembre 2012 qu'ils craignent explosive.

E&P estime que les débats de l'élection présidentielle devront se concentrer sur la lutte contre le chômage, « la baisse du coût du travail » et « l'efficience du système éducatif ».

 

Entre les attentes et les possibles

 

L'étude n'est guère plus optimiste pour les entreprises. Elle redoute de nouveaux conflits salariaux début 2012 tant l'écart entre les attentes des salariés et les possibilités des entreprises « risque d'être trop important ». D'autant que, « sans parler encore de plans sociaux, la remise en cause d'acquis sociaux » pour soutenir la compétitivité « devrait être à l'agenda 2012 des entreprises ». L'atonie des marchés européens et américains risque en outre d'entraîner des délocalisations vers l'Asie et l'Amérique du Sud. Pour E&P, ce contexte doit inciter les entreprises à redoubler d'efforts d' « explication » des stratégies auprès de salariés déboussolés et à se montrer exemplaires en termes de responsabilité sociale tant, en la matière, « elles seront attendues sur leurs actes ».
DEREK PERROTTE,

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October 25, 2011 1:30 AM
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Les entreprises enclines à recruter en Midi-Pyrénées

Les entreprises enclines à recruter en Midi-Pyrénées | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Environ 150 personnes ont répondu à l’invitation de la Chambre de commerce et d’industrie de région Midi-Pyrénées le 20 octobre dernier. Photo Hélène Ressayres

 

- ToulÉco :

 

La CCIR de Midi-Pyrénées vient de dévoiler les résultats de sa neuvième enquête bi-annuelle sur l’emploi et la formation en région. Une étude qui révèle que les dirigeants tablent sur des perspectives économiques plus favorables – 46% d’entre eux anticipent un résultat d’exploitation en hausse – et envisagent ainsi de recruter.

 

Plus d’un tiers des entreprises de Midi-Pyrénées aurait l’intention de recruter avant la fin de l’année, hors main-d’œuvre occasionnelle. C’est ce que révèle l’enquête emploi-formation de la Chambre de commerce et d’industrie de région (CCIR), menée entre mai et mars dernier auprès de 1,500 chefs d’entreprises, et dont les résultats viennent d’être présentés. Sont particulièrement concernées par ces intentions de recrutement les structures de plus de 10 salariés (61% envisagent d’embaucher). De manière générale, pour 2011, 44% des entreprises prévoient des projets de recrutement plus importants que l’année dernière, tandis que seules 7% anticipent une diminution.

Les métiers les plus prisés sont ceux du commerce et du marketing (36% des postes recherchés). Viennent ensuite ceux de l’hôtellerie-restauration, aussi très demandés (20%), puis du domaine de la construction et du BTP (13%) et les métiers d’administration des entreprises (12%).

Sur le volet formation, l’enquête montre que les dirigeants sont de plus en plus nombreux à connaître les dispositifs. Toutefois, seules 55% des entreprises interrogées ont réalisé une action de formation en 2010. Avec un écart particulièrement marqué entre petites et grosses structures puisque 99% de ces sociétés ayant eu recours à la formation ont plus de 50 salariés.

 

Difficultés à recruter

 

De son côté, l’intérim repart à la hausse selon le nouveau directeur de Pôle emploi Midi-Pyrénées, Frédéric Toubeau. Ce dernier fait état de 27.600 intérimaires en poste, soit une augmentation de 13,8% sur un an. Une spécificité régionale, la moyenne nationale s’établissant à 5,6%. "Mais le nombre d’intérimaires reste en baisse par rapport à 2008", note toutefois Janine Loïdi, présidente du CarifOref Midi-Pyrénées.

Malgré ce climat plutôt favorable à l’emploi, l’enquête de la CCIR pointe cependant que 29% des entreprises qui ont tenté de recruter en 2010 ont finalement renoncé en raison des difficultés éprouvées. Un constat moins accentué en Haute-Garonne que dans les autres départements de la région et qui, d’un point de vue sectoriel, touche davantage l’hôtellerie-restauration. Principaux motifs de renoncement selon les entreprises interrogées : rareté des compétences, mais aussi manque d’expérience, de motivation ou de fiabilité des candidats.
Thomas Gourdin

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October 22, 2011 5:49 AM
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Un urbaniste et un paysagiste de renom révèlent une vision du futur Toulouse

Un urbaniste et un paysagiste ont présenté jeudi la transformation qu'ils ont imaginée pour le centre de Toulouse, restaurant une identité mise à mal par la voiture et cessant de tourner le dos à la Garonne.
Dans le centre de Toulouse tel que l'envisagent l'urbaniste espagnol Joan Busquets et le paysagiste français Michel Desvigne dans 10 ou 15 ans, l'automobile partagera la voie avec le piéton, le cycliste et l'usager du tramway et du bus, quand elle ne sera pas stationnée sur des parkings relais à l'extérieur.

L'intérieur des grands boulevards sera traversée "d'épines" vertes plantées d'arbres; une végétation spécifique accompagnera le marcheur de la célèbre place du Capitole vers la Garonne qui deviendra un lien entre les rives droite et gauche; le Canal du Midi redeviendra "une grande avenue de la ville", et non plus un cours d'eau assez ignoré flanqué d'avenues engorgées.
MM. Busquets et Desvigne ont été retenus pour fixer les grands principes d'un réaménagement du centre de la quatrième ville de France.
Il ne s'agit pas de révolutionner la zone concernée (635 hectares de part et d'autre du fleuve), mais de mieux valoriser le formidable patrimoine existant, d'oeuvrer à un meilleur partage de l'espace public et de mieux identifier ce qui doit être le coeur d'un pôle urbain d'un million d'habitants mais qui paie, selon le maire Pierre Cohen (PS), le tribut de l'urbanisme des années 70 dévoué à l'automobile.
Vingt à 25% des automobiles qui traversent le centre-ville n'ont rien à y faire, a fait observer M. Busquets.
Parmi les idées énoncées pour le Toulouse de l'avenir: supprimer les potelets dans les rues; relier les rives droite et gauche de la Garonne par une navette en bateau; élaborer un plan de gestion des arbres.
MM. Busquets et Desvigne n'ont pas été chargés de mener à bien un projet complet mais de fournir les grandes orientations du réaménagement et de ce que M. Cohen appelle la "réappropriation" par les Toulousains de leur centre. Ces orientations commenceront à s'appliquer à de premières opérations pilotes pour lesquelles la consultation avec la population commençait jeudi soir.
Selon M. Desvigne, ce "plan guide" révèle une tendance de plus en plus nette dans les villes de France à non plus juxtaposer les opérations urbanistiques, mais adopter une vision d'aménagement plus large "qui n'a pas toujours existé et dont, je crois, on doit être très heureux".
Le réaménagement de l'hypercentre de Toulouse est un programme urbain parmi tant d'autres dans une cité qui se rêve en métropole européenne, en ville d'eau et de la connaissance, et qui a engagé une vaste concertation publique sur son avenir.

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October 21, 2011 1:16 PM
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Fin octobre, le monde comptera 7 milliards d'humains

Fin octobre, le monde comptera 7 milliards d'humains | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Le Monde.fr :

 

Le monde franchira, d'ici au 31 octobre, le cap des 7 milliards d'habitants. Il aura fallu douze ans à peine pour engranger ce nouveau milliard, rappelant - alors que la préoccupation avait paru s'effacer devant de nouveaux défis - que la démographie est une donnée première pour l'avenir des hommes.
Le scénario d'une population mondiale culminant à 9 milliards d'individus vers 2050, puis déclinante, n'est plus du tout assuré. Le spectre de la surpopulation refait surface. Les récentes projections des Nations unies montrent que, si les pays en développement ne parviennent pas à réduire leur taux de fécondité, la planète pourrait alors avoir à supporter 1 ou 2 milliards d'habitants supplémentaires.

Sera-t-on en mesure de satisfaire les besoins vitaux de ces nouvelles générations ? Avec les émeutes de la faim de 2008, la question alimentaire s'est rappelée de manière cinglante aux gouvernements. La nécessité de réhabiliter l'agriculture vivrière s'est de nouveau imposée, mais cet impératif s'inscrit dans un paysage où la course aux ressources naturelles n'a jamais été aussi féroce : concurrence pour l'accès aux terres arables, sécurisation des approvisionnements énergétiques, etc. Le rééquilibrage du monde en faveur des grandes nations émergentes - Chine, Inde, Brésil... - s'accompagne d'une surexploitation croissante des ressources.

A ce stade, l'Afrique, ce continent "vide" où les densités de population demeurent singulièrement faibles, n'a reçu qu'une part congrue du banquet. Sa jeunesse, de plus en plus urbaine, aspire à vivre mieux.

Demain, en 2050, l'Afrique comptera 2 milliards d'habitants, le double d'aujourd'hui. Pour ses dirigeants, cela signifie que la question du développement restera intrinsèquement liée à celle de la maîtrise démographique. Les débats sur un partage plus équitable des richesses, susceptible d'assurer une coexistence pacifique d'une humanité toujours plus nombreuse, ne sont donc pas près de se refermer.

Laurence Caramel

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October 20, 2011 3:41 AM
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Fête de l'entreprise ce 20 octobre, entretien avec Sophie de Menthon

Fête de l'entreprise ce 20 octobre, entretien avec Sophie de Menthon | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Objectif News :

 

Ce 20 octobre a lieu la 9e édition de « J’aime ma boîte », la fête de l’entreprise. Une initiative lancée en 2003 par le mouvement Entreprises de taille humaine, indépendantes et de croissance (Ethic) et sa présidente Sophie de Menthon qui devrait concerner 400 000 entreprises cette année.

Le concept est simple, « il s’agit de dire que l’on aime son entreprise », explique Sophie de Menthon. Une évidence selon elle. « La plupart des salariés aiment leur entreprise mais personne n’en tient compte. Il y a une véritable dichotomie entre ce que l’on entend et ce que l’on vit. Heureusement que les gens vont travailler le matin en aimant ce qu’ils font et les personnes avec qui ils travaillent.»

L’objectif est donc de créer un moment de convivialité sur son lieu de travail. Soutenue par des partenaires comme RMC, BFM ou NRJ, « J’aime ma boîte » laisse à chaque entreprise le soin de célébrer cette journée à sa manière. Certaines ont par exemple décidé de faire venir les animaux de compagnie, un clin d’œil au chien utilisé pour la communication cette année. A Paris, la fête de l’entreprise est également couplée au Salon du chocolat qui ouvre ses portes aujourd’hui, avec le slogan « J’aime ma boîte de chocolat ».

Le bien-être, un facteur de performance

Au-delà de l’esprit de bien-être et de partage que véhicule « J’aime ma boîte », cet événement est également un moyen de rappeler l’influence de le lien entre efficacité et épanouissement. « Ce n’est pas dans un esprit de performance que j’ai créé la fête des entreprises, mais les initiatives prises dans les entreprises à cette occasion se recoupent avec un rapport sur la responsabilité sociale des entreprises que je viens de rendre à Xavier Bertrand » assure Sophie de Menthon.

Et selon elle, beaucoup d’entreprises font vivre cet événement tout au long de l’année au travers de journée pour les enfants ou de petits déjeuners. « C’est très important, surtout en France, le pays le plus pessimiste, ajoute Sophie de Menthon. Aujourd’hui, dire que l’on aime son entreprise est mal vu. Pour la gauche, les entreprises sont les ennemies de classe et la droite en a honte car il ne faut être trop proche des méchants capitalistes. » La France, également classée bonne dernière pour l'esprit d'entreprise selon les conclusions d’une étude du Baromètre de l'entrepreneuriat, présenté par Ernst &Young.

Pour la dixième édition, Sophie de Menthon rêve d’une « fête des entreprises d’Europe, avec des échanges, quelque chose de sympa, intéressant pour le moral et la croissance ».

Paul Périé

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Suggested by Stephanie Lirand
October 19, 2011 1:26 AM
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Toulouse : l'aéronautique craint une pénurie de personnel

Toulouse : l'aéronautique craint une pénurie de personnel | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Le secteur devrait créer 6.000 emplois en deux ans dans la région. Face à la pénurie de main-d'oeuvre qualifiée, l'UIMM demande aux pouvoirs publics d'organiser un Grenelle de l'emploi industriel en Midi-Pyrénées.

La croissance de l'aéronautique entraîne des tensions sur l'emploi industriel en Midi-Pyrénées. Airbus, qui a enregistré 1.038 commandes nettes d'appareils de janvier à fin septembre, soit l'équivalent de deux années de fabrication, augmente les cadences de production de toute sa gamme d'avions et ouvrira l'usine d'assemblage du long-courrier A350 à Colomiers à la fin de l'année. Dans l'agglomération toulousaine, où il emploie 19.000 salariés, l'avionneur a accru son volume d'embauche, passé de 700 personnes en 2009 à 1.200 en 2010 et autant en 2011, réparties à parts égales entre la production et les bureaux d'études.
Les équipementiers, qui ne travaillent pas que pour Airbus, augmentent aussi leurs effectifs. Après avoir réduit la voilure les années précédentes, Latécoère embauche 400 personnes en 2011 dont 150 dans la région toulousaine. Liebherr Aerospace crée 100 emplois cette année à Toulouse et à Campsas (Tarn-et-Garonne). Goodrich recrute 100 personnes dans les deux ans à Toulouse. Les sociétés d'ingénierie et d'informatique lancent des campagnes de recrutement de centaines d'ingénieurs. Cimpa, filiale d'Airbus spécialisée dans la gestion du cycle de vie des produits, veut recruter 250 ingénieurs en un an dans ses différents centres et organisera des soirées de « speed recruiting » pour séduire les candidats.

 

6.000 emplois en deux ans

 

L'Union des industries de la métallurgie (UIMM) de Midi-Pyrénées estime que l'aéronautique créera 6.000 emplois en deux ans dans la région, mais elle déplore la pénurie de main-d'oeuvre qualifiée, alors qu'il y a 29.000 demandeurs d'emploi de moins de 26 ans en Midi-Pyrénées. Son président, Jean Luminet, ancien PDG de Goodrich Europe, tire la sonnette d'alarme en demandant aux pouvoirs publics (Etat, collectivités locales, CCI et rectorat) d'organiser « un Grenelle de l'emploi industriel en Midi-Pyrénées » pour former les personnels. « Airbus n'a pas de mal à recruter, mais nous craignons que des salariés qualifiés quittent les PME pour aller chez Airbus, explique-t-il. Les entreprises ont plus de difficultés à embaucher dans les départements ruraux que dans l'agglomération toulousaine. »
Les métiers en tension sont traditionnellement ceux de chaudronnier, soudeur et mécanicien, mais aussi d'ingénieur. L'UIMM sonde actuellement une vingtaine d'entreprises pour définir les besoins d'emplois par métiers à moyen terme, puis elle souhaite se réunir avec la préfecture et le conseil régional pour mettre en place des actions. « Si nous ne trouvons pas le personnel formé chez nous, les entreprises risquent de délocaliser des tâches ! prévient Jean Luminet. Nous pouvons aussi attirer des personnels qualifiés des régions qui subissent la baisse d'activité de l'industrie automobile. »
L'UIMM veut aussi développer l'apprentissage (le CFA de l'industrie à Blagnac forme 1.100 apprentis en 2011), mais se heurte au manque d'engouement des PME pour recruter des apprentis, les chefs d'atelier n'y étant pas toujours favorables. Elle négocie avec Airbus, qui accueille 120 apprentis par an, la possibilité qu'il en prenne davantage pour former les jeunes qui travailleront chez les sous-traitants. De son côté, Latécoère a ouvert en septembre un centre de formation de « compagnons » dans son usine de Gimont (Gers).
LAURENT MARCAILLOU, Les Echos

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October 17, 2011 4:31 AM
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Assistons nous au début de la fin des pratiques de phoning ... ?

Assistons nous au début de la fin des pratiques de phoning ... ? | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Depuis le mois de septembre, les particuliers ont la possibilité à travers le site PACITEL.fr de déclarer qu’ils ne veulent plus de prospection téléphonique à leur domicile ou du moins ne peut être démarché au téléphone par une entreprise inconnue.

 

- Management Commercial et Forces de vente BtoB :

 

Vers la fin de la prospection téléphonique …

 

Est-ce une première étape de la disparition de cette technique ? Arrivera t elle à survivre ?

Le succès immédiat des inscriptions montrent l’irritation pour ne pas dire autre chose, du consommateur que nous sommes.

Des appels à tous les étages, à n’importe quel moment, sans aucun respect de la vie privée, au mépris même du collaborateur, qui, faisant ce boulot souvent pour des raisons alimentaires, se trouve ignoré, quelque fois insulté, souvent dédaigné. En sus, pour beaucoup, méprisés dans leur dignité, nationalité et culture pour se faire passer pour un français pur souche, ne trompant personne, pour soit disant amadouer la cible.

Cet acharnement venant de sociétés peu respectueuses de la vie privée, a tué la pratique. Ce n’est des engagements de ces sociétés de démarchage que beaucoup ne croiront pas, qui changeront les choses. La pratique est sinon morte, surement moribonde.

Tout excès entraine un retour de bâton. Une nouvelle ère s’ouvre avec ces incertitudes et ses nouvelles perspectives.

Penchons nous sur ce phénomène !

A plusieurs reprises, sur ce blog, j’ai exprimé ma conviction que le métier de la vente évoluait et se transformait. L’une des raisons, parmi les essentielles, est le rejet de plus en plus fort de méthodes de vente agressives.

Dans ce registre, petit à petit, devant le refus de plus en plus évident des consommateurs, les sociétés de télémarketing ont inventé des scénarios de moins en moins crédibles, souvent éthiquement limites, pour convaincre ceux-ci du bien fondé de leur produit ou de leur démarche.

Ne faisant qu’accentuer le rejet, le niveau de saturation ambiant participe même au refus d’une certaine société de consommation.

Cette tension trouve son origine dans l’oubli que le client doit être au centre de la vente et non le produit ou la vente elle-même. Toutes ces techniques ont toutes comme objectif de susciter l’intérêt en oubliant la réalité du besoin.

Ces constations font immédiatement apparaître deux questions :

La perte d’efficacité du phoning devra faire place à d’autres pratiques mais lesquelles ?

Alors que ce phoning est essentiellement B to C en quoi cette évolution viendra influencer les pratiques en B to B ?

Essayons de trouver quelques éléments de réponses.

La vente est essentiellement une rencontre entre un besoin et une offre. Depuis 30 ans, toutes les démarches commerciales ont pour objectif d’amener l’offre à la demande, qu’elle soit réelle, implicite ou inexistante.

Une demande réelle se traduit par un acte d’achat, la demande implicite est en attente d’une solution satisfaisante. Le troisième statut est le statut le plus courant c'est-à-dire la situation de repos.

Le malaise vient simplement qu’avec le sur développement de la société, le consommateur est plus souvent en situation de repos que dans les autres statuts.

 

Et l’intrusion de l’offre à ce moment, du fait de sa répétition, provoque le rejet.

 

Cela ne veut pas dire que ce statut est permanent. Durant sa vie ; il changera régulièrement de statut, à chaque échéance de son prêt de voiture par exemple…

 

La vente en 2011 est essentiellement question de timing et de présence : être présent au bon moment, non en provoquant la rencontre mais en assurant une présence au bon moment, au bon point de rencontre :

                                « Just in Time, Just in Place ! »

 

 

A l’endroit où le consommateur aura le sentiment et la certitude de trouver une solution à son besoin mais au moment qu’il aura choisi !

A travers cette réflexion, il est facile de voir que le travail à effectuer est simple en apparence : il consiste à simplement informer le futur consommateur, de laisser une trace dans sa mémoire, de respecter son propre timing (au lieu du contraire) et d’être présent au rendez vous qu’il nous propose.

La vente passe alors du mode push au mode pull, une démarche moins intrusive, plus respectueuse et surement durable.

Certains diront que cela revient à revenir à des pratiques anciennes existantes (pages jaunes, foires, salons…).

Non car la technologie Internet modifie largement les choses, permettant en mode non intrusif de caractériser le statut du consommateur et ses échéances.

En quoi cette évolution influence la vente en B to B. Nous verrons dans un prochain article que le mouvement est largement entamé depuis longtemps pour des raisons différentes parfois mais avec le même fondement de départ.

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October 13, 2011 1:45 AM
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Ce que Steve Jobs a appris à nos patrons

Ce que Steve Jobs a appris à nos patrons | La lettre de Toulouse | Scoop.it
La trajectoire du génial PDG d’Apple est riche d’enseignements.

 

- Capital.fr :

 

Dans une enquête du magazine Management, des patrons du calibre de Stéphane Richard (Orange), Jean-Bernard Lévy (Vivendi), Alexandre Bompard (Fnac)… expliquent comment Steve Jobs les a inspirés.

 

Stéphane Richard, P-DG de France Télécom Orange :“Sa soif de comprendre m’a impressionné.”

 

“Je me suis entretenu avec Steve Jobs l’an dernier, en Californie. En dépit de sa maladie, l’homme dégageait une intensité et une détermination saisissantes, qui collaient assez bien avec la dureté dont il fait preuve dans le business. Sa soif de comprendre était tout aussi impressionnante. Il m’a bombardé de questions sur la meilleure façon de commercialiser un téléphone à moins de 100 dollars en Afrique, où Orange est très présent. Pour le reste, nous nous inspirons de ses méthodes pour mettre en scène nos produits dans nos points de vente et lors de leurs lancements.”

 

Alexandre Bompard, P-DG de la Fnac :“Je reste sidéré par son souci du détail.”

 

“Nous avons été le premier distributeur à installer des corners dédiés à Apple,
en 2007. Ce qui m’impressionne, c’est que cette marque qui ne connaissait rien à la distribution il y a encore dix ans a su rapidement imposer ses règles du jeu, grâce à l’expérience client qu’elle générait sur ses points de vente. Petit à petit, nos propres magasins ont repris les méthodes de démonstration, de SAV ou de vente additionnelle perfectionnées par Jobs. Son souci du détail me sidère : ce type a fait modifier les trottoirs
de New York pour que son Apple Store soit parfaitement symétrique !“

 

Jean-Bernard Lévy, Président de Vivendi : “J’ai été frappé par son insatiable curiosité.”

 

“J’ai rencontré Steve Jobs à plusieurs reprises. Sûr de son fait, formidable négociateur en affaires. Mais ce qui m’a le plus frappé, c’est son insatiable curiosité. A l’été 2007, je l’avais convié au siège de Vivendi, à Paris. En marge de nos discussions sur le business, j’avais évoqué dans la conversation l’apparition récente des Vélib’. Le concept n’existait pas aux Etats-Unis. Il a tout de suite voulu voir. Nous sommes donc descendus, lui et moi, à la station la plus proche où je lui ai montré le fonctionnement des bornes et des points d’attache. Il a trouvé ça très astucieux.”

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November 18, 2011 5:16 AM
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Entreprises et universités : l’union fait la force à Toulouse

Entreprises et universités : l’union fait la force à Toulouse | La lettre de Toulouse | Scoop.it

 

- ToulÉco :

 

Les présidents de la Chambre de commerce et d’industrie de Toulouse et du Pôle de recherche et d’enseignement supérieur (PRES) ont signé hier une convention de partenariat pour renforcer la coopération entre le monde des entreprises et celui des universités.

 

Fini le temps où l’entreprise faisait ses affaires d’un côté, et l’université ses cours magistraux de l’autres. A l’instar des Rencontres Universités Entreprises, la CCIT et le PRES Université de Toulouse ont signé hier matin au Salon des entreprises une convention de partenariat. L’objectif ? Rapprocher ces deux mondes complémentaires, mais qui ne se comprennent pas toujours très bien.
« On a longtemps eu en France un déficit culturel qui stigmatisait le rapport du privé et du public, avec d’un côté le diabolique et de l’autre le pur, mais le climat s’est radicalement inversé ces dernières années », se réjouit Gilbert Casamatta, président du PRES, pour qui cette convention symbolise les bonnes relations entre universités et entreprises, fer de lance du projet toulousain IDEX issu des Investissements d’avenir.

 

Amener les jeunes à entreprendre

 

Pourtant, selon une enquête menée auprès d’étudiants du monde entier, les jeunes français ne sont pas très à la pointe en matière de fibre entrepreneuriale… Alors que les américains seraient près de 70% à « avoir en tête un projet de création d’entreprises » dès l’université, ils ne seraient plus que 20% en France ! Un constat qui inquiète la CCIT quant à l’avenir des petites et moyennes entreprises.

« La désaffection de nos jeunes pour le monde de l’entreprise risque d’entraîner un grippage de nos PME/PMI, alors même qu’elles représentent les deux tiers de l’emploi sur notre territoire », prévient Alain Di Crescenzo, président de la CCIT. Selon lui, il est donc urgent d’amener les jeunes à « entreprendre, reprendre et créer » pour ainsi maintenir la dynamique de l’emploi.

Pour ce faire, cette convention de partenariat prévoit plusieurs pistes. La première consiste à organiser des visites d’entrepreneurs dans les universités. « Des conférences pourront être mises en place dans les amphis afin que les patrons viennent partager leurs expériences et peut-être susciter des vocations », précise Gilbert Casamatta.
Les stages en entreprises seront également favorisés en rendant les offres plus visibles, et les parrainages entre entrepreneurs et étudiants encouragés. Reste à convaincre les différents protagonistes de jouer le jeu.
Julie Duquenne

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November 13, 2011 2:14 AM
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Projet d'amende pour les salariés en cas d'arrêt maladie abusif

Projet d'amende pour les salariés en cas d'arrêt maladie abusif | La lettre de Toulouse | Scoop.it

- RTL.fr :

 

Dans le cadre de la lutte contre la fraude sociale, le gouvernement envisage d'infliger des amendes aux salariés ayant bénéficié d'un arrêt maladie injustifié. "Un texte réglementaire est en cours de préparation et devrait sortir d'ici la fin de l'année", a indiqué samedi un porte-parole du ministère du Travail.

 

Les modalités et le montant de ces sanctions pas encore été précisées

 

Actuellement, un salarié qui se se fait prescrire un arrêt de travail bénéficie d'indemnités journalières. En cas d'interruption prolongée, il passe alors devant un médecin-conseil de la Sécurité social qui peut mettre fin à ces indemnités s'il estime cet arrêt abusif. Le projet gouvernemental vise à aller plus loin en infligeant au salarié une amende, afin qu'il rembourse une partie des indemnités journalières perçues avant sa visite auprès du médecin-conseil.

Les modalités et le montant de ces sanctions n'ont pas encore été précisées, a-t-on indiqué au ministère du Travail. En 2010, la Sécurité sociale a réalisé près de 400 millions d'économies en renforçant ses contrôles sur les arrêts maladie abusifs, une somme qui ne représente toutefois que 4,6% du montant total des indemnités journalières versées.

 

Le médecin premier responsable en cas d'arrêt injustifié ?

 

La Fédération nationale des accidentés de la vie (Fnath), importante association de malades et de personnes handicapées, a vivement condamné vendredi ce projet d'amende, en affirmant que le médecin était le premier responsable en cas d'arrêt injustifié. "Le gouvernement oublie de rappeler que ce sont les médecins qui prescrivent la durée des arrêts maladie : ce ne sont donc pas les malades qui doivent être tenus responsables d'un arrêt qui semblerait injustifié", a indiqué dans un communiqué la Fnath, en s'interrogeant sur les possibilités de recours.

"Si pénalités il doit y avoir, ce sont les médecins traitants qui doivent les subir. Ce n'est pas à la personne en arrêt de faire les frais d'une approche différente entre deux médecins sur l'opportunité et la durée de leur arrêt", poursuit l'association, qui revendique 200.000 adhérents.

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November 9, 2011 8:08 AM
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Midinvest : 11 entreprises lauréates

Midinvest : 11 entreprises lauréates | La lettre de Toulouse | Scoop.it

 

Catherine Flurin, co-gérante de la société Ballot-Flurin, lauréate Midinvest 2011 (© Rémi Benoit)

 

ObjectifNews :

 

La liste des entreprises lauréates du salon Midinvest 2011 est désormais connue. Dans la sélection figurent 9 entreprises de Midi-Pyrénées et 2 sociétés d'Aquitaine. Elle ont bénéficié d'un accompagnement personnalisé dans leur recherche de financement.

Lors de cette 8e édition, le comité de sélection a retenu onze entreprises parmi les 50 dossiers reçus, dans des domaines d'activités variés et issues de l'ensemble de Midi-Pyrénées. Le président du Conseil régional Martin Malvy s'est ainsi félicité "de la bonne adéquation au territoire régional dans la sélection". Les lauréates ont bénéficié d'un accompagnement en amont afin de réussir cette édition de Midinvest et profité d'un séminaire gratuit de formation autour de la levée de fonds. A l'origine, 12 entreprises avaient été sélectionnées mais une d'elle a repoussé son projet de levée de fonds.

On retrouve dans cette listes de jeunes PME innovantes telles que la société toulousaine AE Technologies créée en février 2010 et spécialisée dans l'édition de logiciels applicatifs ou encore Tataragne Interactive, qui développe des jeux sociaux sportifs et des dispositifs interactifs pour entreprises (site Flash®, e-commerce...)

 

Dans le domaine des nouvelles technologies, Midinvest a également sélectionné Qroktag, une société spécialisée dans le développement de solutions mobiles. Créée en 2010 à Toulouse, elle développe de nouvelles applications mobiles pour répondre aux demandes des particuliers et des professionnels. Toujours côté innovation, Camineo développe un guide touristique multimédia doté d'un GPS. En 2005, le projet de création d'entreprise avait été lauréat du concours national d'aide à la création d'entreprises innovantes décerné par le ministère de la Recherche.

 

Le comité de sélection Midinvest 2011 a également été séduit par des entreprises issues de secteurs d'activités totalement différents.

La société Sofic, née en 2000, fait ainsi partie de la sélection 2011. Comptant 80 salariés, elle étudie la faisabilité d'une chaudière polycombustible (bois et biomasses agricoles).

Dendris développe elle des outils de diagnostic de 3e génération qui détectent les agents pathogènes grâce à l'utilisation du génotype.

Parmi les entreprises lauréates, on trouve également l'industriel Toupnot, basé à Lourdes. L'entreprise créée en 1946 produit annuellement 15.000 tonnes de conserves de viandes, à 85% pour l'export.

France Granulés Technologies s'inscrit elle dans le secteur des énergies renouvelables. L'entreprise toulousaine créée en 2007 développe une technologie de granulation de sciure de bois secs.

La société Ballot-Flurin fait aussi partie des lauréates. Spécialisée dans l'apithérappie, l'apicosmétique et l'apiculture au cœur des Pyrénées, elle a réalisé un chiffre d'affaires de 3 millions d'euros en 2010.

Deux entreprises d'Aquitaine ont également été distinguées par le jury. Il s'agit de l'entreprise bordelaise Blue Green Technology, présente sur le marché de la sécurité des avions d'affaires, et de TDM, basée à Mérignac. Cette société conçoit des produits et solutions innovantes, basés sur les technologies de pointe en terme de vidéo HD sécurisé, notamment pour l'aéronautique.

 

Bernard Plano, président de Midi-Pyrénées Expansion a rappelé à ce sujet qu'il souhaite "inscrire Midinvest comme un événement Grand Sud du financement. Nous avons apporté trois nouveautés cette année en allant sur les territoires pour rencontrer les entrepreneurs. Et nous n'abandonnons pas les entreprises non lauréates."

Cette 8e édition comptait 500 participants, soit une hausse de 25%, et 85 investisseurs, un chiffre en augmentation de 30%. 700 rendez-vous d'affaires ont ainsi été organisés lors de cette journée, une progression de 40%. Plusieurs partenaires comme CDC entreprises ou le Réseau des pépinières d'entreprises de Midi-Pyrénées avaient rejoint Midinvest cette année. "Une logique, selon Philippe Lambert, car le financement des entreprises est notre axe majeur d'intervention." Pour Didier Kuss, "le Réseau des pépinières est fournisseur de projets.

Plus de 50% des lauréats des dernières années sont issus de pépinières".

Sur les 4 dernières années, 47 entreprises ont été sélectionnées.

29 ont trouvé des financements pour un total de 21,3 millions d'euros.

Paul Périé

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October 27, 2011 7:24 AM
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Zoom région : Sud-ouest, la reprise se profile doucement | Expectra

Zoom région : Sud-ouest, la reprise se profile doucement | Expectra | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Après un premier semestre dynamique, boosté par un nombre croissant de recrutements en CDI, la rentrée s’annonce plus difficile dans la région sud-ouest.

« L’activité recrutement en CDI a connu, en début d’année, une croissance très marquée de l’ordre de 50 % par rapport à 2010 » annonce Leila Michaut, responsable régionale sud-ouest pour Expectra. Une embellie qui ne semble pas s’inscrire dans la durée puisqu’après un premier semestre faste, la région doit composer, depuis le mois d’août, avec une « baisse relative de l’activité. »

Cet essoufflement se répercute sur les métiers fonctionnels de la comptabilité, la finance, le contrôle de gestion, la communication, le marketing ainsi que l’assistanat. Et plus généralement « sur les fonctions support non liées à la production. »

Les ingénieurs plébiscités
Certaines filières semblent toutefois être épargnées par cette tendance. « Les profils d’ingénieurs et de techniciens spécialisés dans tous les domaines de l’aéronautique sont particulièrement courus par les entreprises du pôle de compétitivité Aerospace Valley, à Toulouse », indique Leila Michaut.

Seul bémol : ils se font particulièrement rares dans les régions de l’Aquitaine et du Midi-Pyrénées, forçant les recruteurs à se tourner vers les candidatures des pays étrangers.

Les commerciaux ont la cote
Peu impactés par la crise économique, les profils de commerciaux continuent d’intéresser les recruteurs.
Toutefois, leurs exigences deviennent de plus en plus pointues. « Un technico-commercial ou un responsable de secteur qui aurait travaillé dans divers domaines d’activité ne devraient pas avoir de difficulté à trouver un poste. Désormais, c’est l’expérience qui compte plus que le diplôme », explique Leila Michaut.

Des projets créateurs d’emplois
La future ligne à grande vitesse reliant, d’ici 2017, Bordeaux à Paris devrait favoriser la création d’emplois. Les profils d’ingénieurs ferroviaires devraient notamment sortir leur épingle du jeu.

À Toulouse, l’aménagement de l’ancien site AZF devrait aussi être générateur d’emplois puisque des laboratoires, des centres de recherches et des programmes immobiliers devraient voir le jour d’ici 2013.
Enfin, sur le campus de Langlade, l’Oncopôle devrait à lui seul créer 4 000 emplois. Les ingénieurs en R&D ont donc de beaux jours devant eux.

Les profils recherchés dans le sud-ouest

Informatique

Dans ce secteur, les intégrateurs, les développeurs .NET, les ingénieurs réseaux et sécurité, les ingénieurs mainframe, les ingénieurs systèmes et les ingénieurs JAVA J2EE ont la part belle. « Ils intègrent généralement des SSII ou les entreprises, notamment via le recrutement en CDI, activité en croissance pour Expectra », précise Leila Michaut.

BTP

Les entreprises et les bureaux d’études recherchent principalement des conducteurs de travaux, des dessinateurs-projeteurs ainsi que des ingénieurs en béton armé.

Aéronautique

Les entreprises basées à Toulouse, capitale de l’aéronautique, s’intéressent aux ingénieurs en aéronautique de toutes spécialités, aux acheteurs, aux ingénieurs méthodes ainsi qu’aux fonctions support.

Aurélie Tachot

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October 25, 2011 12:26 PM
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Sommet économique du Grand Sud. Christian Gollier (TSE) : "Un outil de coordination interrégionale"

Sommet économique du Grand Sud. Christian Gollier (TSE) : "Un outil de coordination interrégionale" | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Christian Gollier, directeur de la Toulouse School of Economics (TSE) (© Rémi Benoit)

 

Objectif News :

 

Lors du Sommet économique du Grand Sud qui aura lieu le 3 novembre à Toulouse, Christian Gollier, directeur de la Toulouse School of Economics (TSE), prendra la parole avant le début des tables-rondes. Une intervention au cours de laquelle il souhaite insister sur l'importance d'une politique de prospective.

 

Le sommet du 3 novembre débutera par le discours d'ouverture du député-maire de Toulouse et président de la Communauté urbaine du Grand Toulouse, Pierre Cohen. Suivront les propos introductifs de Christian Gollier qui a accepté de répondre à nos questions en prévision de l'événement.

 

En quoi un tel sommet est-il nécessaire pour le développement économique de nos régions?


Un événement comme celui-ci est très intéressant car les régions sont trop petites pour traiter des problèmes d'infrastructures comme la LGV par exemple. Les rencontres sont nécessaires car il est très important d'avoir des structures de gouvernance adaptées aux enjeux. Dans cette perspective là, le sommet économique du Grand Sud suscite des attentes.

 

Qu'attendez-vous justement de cette journée du 3 novembre ?


Je souhaite qu'il aide à mettre en place les outils de coordination interrégionale qui permettront d'avoir des systèmes de décision plus efficaces. Ce sommet doit amener tous les acteurs à réfléchir sur le long terme et à dépasser les habitudes d'analyse qui consistent à réagir à l'actualité, dans l'immédiateté, sans mise en perspective.

 

Sur quoi allez-vous mettre l'accent lors de votre intervention?


Sur l'importance des infrastructures pour le développement des régions. Et les infrastructures constituent une problématique de long terme. Lorsque l'on observe les régions qui se sont développées ou non au cours de l'histoire, ce sont toujours des décisions coûteuses sur le moment
qui ont permis le développement. Il faut une politique de prospective, une politique visionnaire. Il faut que les réorientations de politique ou de budget soient réfléchies sur le long terme car des décisions à court terme peuvent avoir de grosses conséquences sur le futur.

 

Propos recueillis par Paul Périé

 

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October 25, 2011 2:04 AM
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Les services à la personne sont-ils impactés par la crise ?

Les services à la personne sont-ils impactés par la crise ? | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Bruno Basset, représentant régional de la Fédération des entreprises de services à la personne et P-dg de Viveo Services à Toulouse. Photo Hélène Ressayres

 

- ToulEco :

 

L’Acoss, organisme qui contrôle les Urssaf, a publié ce mois-ci des statistiques qui démontrent un repli du volume horaire déclaré par les particuliers employeurs de 3,2% sur un an concernant les services à la personne. Bruno Basset, représentant régional de la FEDESAP (la fédération des entreprises de services à la personne) et P-dg de Viveo Services à Toulouse, revient sur ces chiffres.

 

La conjoncture économique crée-t-elle un mouvement de reflux dans un secteur considéré comme porteur d’emplois ?
Les données de l’Acoss n’ont rien d’étonnant. Le repli du volume horaire concerne les particuliers employeurs, or, s’ils constituaient 90% du total des employeurs il y a dix ans, désormais leur proportion recule au profit des entreprises qui se sont créées sur le secteur au gré des lois Borloo. La crise est responsable, mais aussi la fin de l’exonération forfaitaire sur les charges. Pour autant la dynamique n’est pas brisée.
C’est plutôt une bonne nouvelle pour les employés de ces entreprises et pour les clients de ces entreprises. En contribuant à l’émergence du secteur marchand, le ministre Borloo a non seulement favorisé les embauches mais surtout la professionnalisation de ces métiers et la mise en place de contrat de travail protecteur en bonne et due forme qu’une convention collective en gestation devrait renforcer. C’est un véritable atout pour les salariés de cette filière que la professionnalisation, elle les protège de la crise sur un secteur qui ne peut se passer de certaines compétences. Pour les particuliers, elle leur garantit la continuité d’un service où le turn-over était la règle.

La crise peut donc toucher certains secteurs des services à la personne ?
Au-delà des indépendants, des auto-entrepreneurs et des associations, certaines entreprises peuvent aussi subir les conséquences de la crise oui. La garde d’enfants, le ménage et l’assistance aux personnes dépendantes resteront pourvoyeurs d’emplois et devraient être en partie épargnés car la demande se contractera dans une moindre mesure sur des services du quotidien incontournables. Mais pour ce qui concerne le jardinage ou le dépannage informatique par exemple, il peut y avoir un net repli en conséquence d’une insolvabilité des ménages. Ces services sont considérés comme non prioritaires par les familles qui rogneront sur ces budgets pour maintenir leurs finances.

Que représentent actuellement les services à la personne ?
Au niveau national ce sont 1,8 millions de salariés, 4 millions de clients utilisateurs. 23.000 emplois ont été créés sur ce secteur depuis 2005. En Midi-Pyrénées, ce sont 988 organismes agréés, associations, établissements publics et entreprises réunis, soit presque le double par rapport à 2006. Ceci du fait de l’explosion du nombre d’entreprises, passées de 126 à 509.
Propos recueillis par Nathalie Malaterre

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October 24, 2011 8:01 AM
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Le bisphenol A lié aux troubles du comportement

Le bisphenol A lié aux troubles du comportement | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Selon une étude, les fillettes exposées au Bisphenol A in utero montrent davantage de troubles du comportement.

 

- France2.fr : 

 

Rendue publique lundi, cette étude de l’Ecole de santé publique d’Harvard indique que les petites filles dont la mère avait d’importants taux de Bisphenol A dans les urines sont plus exposées à des troubles tels que l’anxiété, la dépression ou l’hyperactivité, et ce dès l’âge de 3 ans.

 

Pour en arriver à ces conclusions, les scientifiques ont étudié les données de 244 mères et de leurs enfants, dans la région de Cincinnati. Ils relèvent que cette tendance aux troubles comportementaux est plus prononcée chez les filles que chez les garçons et en déduisent que celles-ci sont « plus vulnérables à l’exposition au Bisphenol A in utero. »

Ce composant chimique, très répandu dans les objets de vie courante, est présent notamment dans les bouteilles en plastique rigide, les boîtes de conserve ou les cannettes. Plus les taux de Bisphenol A étaient forts pendant la grossesse des femmes étudiées, plus les risques de troubles comportementaux des petites filles sont élevés à l'âge de 3 ans, conclut l'étude, sur la base de questionnaires remplis par les parents sur la conduite de leurs enfants. Cette corrélation n'a pas été démontrée s'agissant des garçons.

L'étude rapporte que "les concentrations plus importantes de bisphénol A pendant la gestation étaient associées à une conduite plus agressive, anxieuse, hyperactive et dépressive, à une inhibition et à contrôle émotionnel plus faible chez les filles". Cette étude semble confirmer des enquêtes antérieures suggérant un lien entre l'exposition au bisphénol A pendant la grossesse et le comportement de l'enfant, mais elle est la première à démontrer que la période in utero est le moment critique au cours duquel le bisphénol A peut produire des effets altérants.

Après l'interdiction en Europe et au Canada des biberons contenant du bisphénol A, ce composant chimique, considéré comme un perturbateur du système hormonal, sera interdit en France à compter de 2014 dans tous les contenants alimentaires mais dès 2013 s'agissant des produits destinés aux enfants de moins de 3 ans.

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October 21, 2011 1:41 PM
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Le palmarès des Trophées de la Com' 2011

Le palmarès des Trophées de la Com' 2011 | La lettre de Toulouse | Scoop.it

En photo : le Trophée de la Com' réalisé par l'artiste toulousain Jean-Louis Toutain (X-Prime)

 

Objectif News :

La troisième édition des Trophées de la Com' Midi-Pyrénées s'est déroulée le 20 octobre à l'Hôtel de Région. L'événement était organisé par le Club de la Communication en partenariat avec Objectif News. Sept prix ont été remis pour récompenser les meilleures opérations de communication en présence de 450 personnes.

Pour cette édition 2011 des Trophées de la communication Midi-Pyrénées, le Club de la Communication avait reçu 92 dossiers pour les six catégories définis. Un jury de huit personnes extérieures à Midi-Pyrénées présidé par Pierre Chavonnet a départagé tous les candidats.

 

Le coup de cœur de ces Trophées de la Com’ 2011 est revenu à L.A. Solution pour une fausse pub de la Belle Chaurienne qui a fait le buzz en vantant les mérites d’un cassoulet anglais.

 

Le premier trophée remis au cours de la soirée, dans la catégorie « marketing opérationnel » est revenu à Well Communication pour la campagne de street marketing « Un rien m’habille » pour Pataugas.

 

Le jury a ensuite remis le prix de la « e-communication » à X-Prime pour Aéroports de Paris. Dans la catégorie très disputée de « communication globale », la campagne de promotion du liège pour Apcol réalisée par TBWA Compact l’a emporté parmi 33 dossiers.

 

La soirée s’est poursuivie avec la remise du prix pour la « communication éditoriale ». Le trophée est revenu à Terres du Sud pour la promotion des actions culturelle de la ville de Tournefeuille.

 

Au niveau des « relations presse et événementiel », le jury a récompensé ATR, qui avait livré un avion rose à la compagnie brésilienne Azul Linhas Aeras, engagée dans la lutte contre le cancer du sein.

 

Enfin, pour la catégorie « audiovisuel », Airbus a été couronné pour son film « Le Futur by Airbus ».

 

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October 20, 2011 6:03 AM
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Apec - Les chiffres : Etude marche de l'emploi cadres - Note trimestrielle de l'Apec : Acceuil - leschiffresapec.fr

Etude marché de l'emploi cadres. Note trimestrielle de l'Apec. Le marché du recrutement des cadres continue à  se dégrader. Ce repli n'est pas homogène. Certains secteurs résistent.

 

Toute l'étude en pdf 

http://www.leschiffresapec.fr/octobre-2011/Apec_les_chiffres_Note_oct2011.pdf 

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October 19, 2011 7:32 AM
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Oséo :

Oséo : | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Laurent de Calbiac (à g.) directeur régional et François Drouin, PDG d'Oséo qui était hier à Toulouse. / photo DDM David Bécus

 

François Drouin, le PDG d'Oséo, était hier [NdC: 17 octiobre 2011] à Toulouse. Dans un entretien à La Dépêche du Midi, il dresse un bilan de la santé des PME de Midi-Pyrénées.

La banque publique Oséo est dédiée au financement des PME et des établissements de taille intermédiaire (ETI). Son PDG, François Drouin, qui était jusqu'en 2003 patron de la Caisse d'épargne Midi-Pyrénées, dresse un bilan économique positif pour les PME de Midi-Pyrénées depuis le début 2011 mais commence à percevoir de signes de ralentissement. « Au premier semestre l'activité a été très forte. Les PME avaient repris le chemin de l'investissement avec une croissance de 40 % par rapport à 2010. Mais depuis septembre, c'est l'attentisme qui a pris le relais. Le sujet préoccupant c'est bien l'arrêt de l'investissement » s'inquiète le banquier. Les petits patrons retardent leurs projets de développement et vivent sur la trésorerie qu'ils ont réussi à reconstituer. « Il y a toutefois un secteur qui traverse une crise profonde, ce sont les travaux publics car les finances des collectivités sont sous pression et ne permettent plus d'alimenter les carnets de commandes » prévient François Drouin.

 

3 400 entreprises de la région aidées en 2010

 

Oséo a pour mission d'accompagner financièrement les entreprises depuis leur création jusqu'à leur cession. « Nous avons épaulé 3 400 entreprises en 2010 et déjà 2 140 au premier semestre 2011. Nous avons financé 470 M€ dans l'économie régionale qui se sont transformés en 1,3 milliard grâce aux autres banques que nous avons entraînées avec nous » précise Laurent de Calbiac. Oséo entend désormais « faire grandir les PME de Midi-Pyrénées ». « Nous accordons des prêts d'1 M€ en moyenne sans garantie avec un différé de remboursement de deux ans pour aider les PME à consolider leurs fonds propres » précise François Drouin. Une cinquantaine d'entreprises ont ainsi été aidées en Midi-Pyrénées, parfois jusqu'à 3 M€. Des réserves pour financer des rachats et ainsi grandir.

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October 18, 2011 6:43 AM
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Les secrets de Dorothée Burkel, DRH chez Google, pour gérer ses équipes

Les secrets de Dorothée Burkel, DRH chez Google, pour gérer ses équipes | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Google reçoit plus d'un million de CV par an ! C'est la boîte la plus en vue du monde. Celle qui fait rêver, qui bouillonne d'idées, où il fait bon travailler. Quelles sont les clés de son succès hors norme ?

 

Google emploie 29 000 salariés dans le monde, dont 250 en France (bientôt 500). Son esprit start-up anticonformiste séduit et retient. Mais sous les apparences rugit un puissant moteur : partager le pouvoir pour mieux se nourrir de la vitalité de l'individu.
" Il faut accepter de perdre le contrôle pour gagner en puissance. Car il est difficile pour un individu d'être créatif lorsqu'il se sent bridé ! Google n'en est pas pour autant un univers de génies solitaires ni de snippers de haut vol, alerte Dorothée Burkel. L'esprit d'équipe reste capital. Si nous encourageons les idées, les initiatives et la prise de risque, nous travaillons aussi à fédérer les énergies. " Démonstration en neuf points clés.

 

1. Un recrutement partagé et diversifié.

Ni le manager, ni le recruteur ne choisissent seuls. Au moins un collaborateur, issu d'un autre service, mène un entretien individuel avec le postulant. Il se retrouve ainsi dans le panel à 360° de 5 à 6 personnes chargées de croiser leurs regards sur un CV (futurs n+1, collègues, etc.). Et chaque avis n'est pas juste consultatif. Il a autant de poids que celui des autres.
C'est d'autant plus important que la décision doit être consensuelle. Et que Google aime les caractères, les profils bigarrés. " Nous recrutons beaucoup de jeunes développeurs aux compétences pointues mais aussi des individus de 40-50 ans qui ont fait un passage de deux-trois ans dans une entreprise de la Sillicon Valley ", précise Dorothée Burkel. La priorité sera donnée à ceux qui ont prouvé une capacité à fonctionner en réseau, " en capillarité " avec les autres tout en gardant une certaine humilité. Les candidats doivent en outre être capables de s'engager sur " des missions qui les dépassent " et de de partager leur expertise.

 

2. " Le projet 20% ".

C'est la formule consacrée. Chacun, ingénieur développeur ou pas, a le droit d'user librement de 20% de son temps de travail pour creuser une idée personnelle, un projet original hors du " core business " et qui lui tient à coeur. " Tout le monde accepte le principe que chacun peut être bon sur des registres divers, souligne la DRH. D'ailleurs, l'individu est parfois meilleur dans ce qu'il fait à côté de son job. Alors on favorise sa créativité pour capitaliser dessus. Plutôt que de crayonner chez lui, le collaborateur crayonnera chez nous. "
Mais il ne s'agit pas d'un crédit à vie. On l'obtient seulement après avoir expliqué avec de solides arguments ce sur ce quoi on veut travailler. Et les progrès sont évalués au fil de l'eau, trimestriellement. Rien n'est rigide, Google peut offrir 17% ou 25% du temps. Et si l'idée aboutie est prometteuse, même ambitieuse, l'entreprise y mettra des moyens, des gens et de l'argent autour de son initiateur. C'est ainsi que gmail et Googlenews sont nés !

 

3. La culture beta.

Le droit à l'erreur est un principe. Et ça vaut pour tous les domaines. " On fait des paris. Il n'y a pas de pensée magique. Un collaborateur ou une entité lance quelque chose, si ça ne va pas, ou si c'est mal perçu, on le retire. Nous n'hésitons pas à arrêter certains produits. Ce n'est pas la fin du monde ! affirme Dorothée Burkel. Le collaborateur a le droit de se tromper mais il a le devoir d'apprendre de ses échecs. "

 

4. La culture du débat.

Les dirigeants sont accessibles à tous. Les interventions des fondateurs sont ainsi retransmises en direct depuis la Californie par visioconférence et les objectifs ou certaines décisions peuvent être discutées à distance, voire remises en question.
En outre, tous les vendredis, c'est le " Thanks Google It's Friday " qui libère la parole. Vers 17h, tout le monde se retrouve alors autour d'une boisson et de petits fours et peut questionner ses chefs et le patron. Ou aborder plus décontracté des sujets où il ne se sent guère à l'aise.

 

5. Les " peer reviews ".

Une fois par an, chacun est évalué par ses pairs et pas uniquement par son manager. Parce que ce dernier est souvent le moins bien informé du travail au quotidien de ses collaborateurs. L'objectif : être le plus juste possible, de gommer les biais dans l'appréciation. Il s'agit par exemple de pondérer l'avis d'ingénieurs souvent plus âpres.
L'intéressé choisit autant de pairs qu'il veut, entre 5 et 7, et propose ces noms à son manager qui les valide ou non, afin d'éviter le copinage. L'exercice se fait par écrit et par oral en tête-à-tête. On évalue les points forts, ceux qu'il doit développer selon une grille standard, mais ce n'est pas un QCM. Et tous les résultats sont communiqués à l'évalué.

 

6. Les " peer bonus ".

Encore du pouvoir pour des pairs. Ils récompensent l'effort particulier d'un collègue - souvent sur les projets transversaux - en lui attribuant une somme d'argent " symbolique " (100 $).
Chacun peut le demander. Grâce à un outil en ligne, il sollicite le service ad hoc et en informe son n+1 : " J'ai été bluffé par untel, pour telle et telle raisons ". Cette félicitation écrite sera ensuite diffusée à l'intéressé. Par ce geste sincère, spontané, inattendu, le nominé réalise qu'il a été écouté, apprécié. Cela permet aussi au manager, de prendre connaissance d'un apport, d'une valeur ajoutée qui aurait pu rester dans l'ombre, parce qu'absorbé ailleurs, lui ne l'avait pas remarquée. " En outre, il reconnait quelqu'un d'une autre équipe que la sienne, souligne Dorothée Burkel, et ça c'est extrêmement fort "!

 

7. Des bureaux partagés.

Personne n'est propriétaire de sa place. Dans les " open space " ou lieux semi-ouverts, on abandonne aux gens de passage sa chaise laissée vide pour cause de voyage ou de rendez-vous. " Moi-même, je ne m'offusque pas lorsque mon bureau est occupé par un autre. " souligne la DRH Dorothée Burkel, souvent par monts et par vaux. Dans les locaux du quartier de l'Opéra à Paris les plus belles pièces avec la plus belle vue ne sont ni le bureau du directeur ni la salle du " board ", mais un espace pour tous : la cafétéria. " Symbolique sans doute, mais nous y tenons ".

 

8. Du design et des couleurs.

Dans les locaux, c'est le règne des sensations. Les couleurs sont partout, afin de rompre avec la monotonie des sites de travail ordinaires. Le bleu, le jaune, le rouge et le vert, les quatre couleurs maison, tiennent la vedette. Les meubles ressemblent à ceux qu'on a chez soi. Il y a du plat, de l'ondulé, du dur, du mou, du carré, du rond, avec des poufs, des fauteuils ballons ou fauteuils clubs...
On peut travailler allongé sur un canapé. On peut aussi discuter et se détendre dans des coins conviviaux : les mini-cuisines avec en-cas et boissons gratuites, la salle de jeu avec baby foot et piano. Sans oublier la salle de massage.

 

9. Des bols d'air.

Le programme maison de rotations, mensuelle, trimestrielle ou annuelle à l'international permet de sortir de sa bulle. Et chaque métier- commercial-marketing, RH, ingénieur- a le sien.
Les collaborateurs occupent alors des missions temporaires de 1, 3 ou 12 mois dans l'un des 30 pays, grand ou petit, où Google est implanté. " Pour eux, c'est une expérience exotique et familière, observe la DRH. Ca leur donne le goût de l'international. Et en rentrant, ils retrouvent leur job. Mais c'est souvent un déclic pour évoluer vers autre chose. " Entre 100 et 150 personnes en bénéficient chaque année dans le monde.

 

Le télétravail peut nuire à la créativité
" Le credo de Google, c'est le travail en équipe, la souplesse, l'agilité, la force du réseau. On a observé que les innovations les plus riches naissent des rebonds en cascade sur les idées des uns et des autres en réunion ou dans des couloirs. Sur place on voit d'ailleurs surgir spontanément de mini groupes de gens issus de différents services qui font du brainstorming, ou planchent déjà sur une idée qui les passionnent. Sans aucune instruction. Pour moi, le télétravail ne favorise pas cette créativité. On essaie de limiter cet éloignement là car il est incompatible avec notre culture. "

 

 

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October 14, 2011 12:50 PM
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Top 10 Mistakes Entrepreneurs Make When Writing a Business Plan | Inc.com

Top 10 Mistakes Entrepreneurs Make When Writing a Business Plan | Inc.com | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Writing a business plan is an essential step in any new business venture, because careful planning, like how you will manage your finances and operations, are all key factors in a company’s success.

 

0 Common Business Plan Mistakes
Writing a business plan is often a crucial first step to getting your start-up off the ground. A good plan can help you raise money, recruit members of your management team, set your marketing strategy and, perhaps best of all, refine your thinking. A plan riddled with errors? That can sink you.

Here are 10 mistakes that entrepreneurs frequently make when crafting their business plans, according to Akira Hirai, a consultant in California who advises start-up companies on elements of business-plan writing, including competitive analysis and financial forecasting.

 

1 Being All Things to All People
You cannot expect a business plan to appeal to every possible audience. With this in mind, try to pick one business model, and to focus on one industry or one problem. Otherwise, you risk spreading yourself too thin, and potentially creating a sprawling plan that makes a bad first impression.

 

2 Being Boring
If a potential client gets two pages into your plan and is bored, that's a terrible sign. It is important to have the reader interested right from the executive summary on the very first page. And don't neglect your cover page: a well-designed logo never hurts.

 

3 Measuring the Size of the Market Too Optimistically
Although it may seem impressive if you project vast markets and the potential for huge sums of revenue, outsize financial estimates often appear gimmicky to investors. Worse, big numbers often make you sound as if you don't know what you're doing or how hard it will be to penetrate your target market. Don’t make big promises unless you're absolutely sure you can keep them.

 

4 Lacking the Confidence to Sell Your Product
In an effort to portray confidence, too many business plans ignore the competition that a new business will face. Doing so betrays a lack of sophistication. Few if any ideas face zero competition. Even if your concept is completely original, you should take into account forces that compete with your product or service, including different solutions to a problem, different ways that customers might choose to spend their money, and inertia in the marketplace.

 

5 Repeating Yourself Too Much
Avoid repeating a few catchphrases and a few simple ideas in ten different formulations. Nobody wants to hear the same thing over and over again. Be sure to keep your plan's fundamental message consistent throughout, but employ creative language and appealing imagery to flesh out your ideas.

 

6 Using Too Much Jargon
Remember that not everyone in business is familiar with cross-industry lingo. If you have a background in a specific industry – this is especially true in science and engineering – try to use simple, specific, and concrete phrases to describe your business. Rely on general terms that most everybody will understand.

 

7 Not Being Consistent
Eliminate contradictions. Make sure that the information in your plan is consistent — that, for example, a financial chart deep within the plan does not undermine a fact used in an earlier section. Make absolutely certain that every fact about your industry, the market, and key competitors is accurate and readily verifiable. 

 

8 Failing to Incorporate Feedback
Presenting a business plan about which you have not received feedback is an easy amateur mistake to make. Remember: Presenting to a top investor a draft business plan that contains silly errors or gaps in logic is worse than presenting no plan at all. Try reaching out to a few friendly contacts who have vetted business plans in the past before you begin to share it with qualified potential investors. However....

 

9 Taking Too Many Perspectives Into Account
...Do not go so overboard in anticipating lines of questioning or identifying possible flaws in your thinking that a reader will have a hard time following the narrative thread. Make sure you address some likely investor objections, but balance the desire to be clear-eyed with the overall objective, which is to make a persuasive pitch.

 

10 Failing to Acknowledge the Competition
Successful plans come in all shapes and sizes and formats, so don't worry about crafting one that looks and reads exactly like every other plan that's out there. Your goal isn't to fit in; you want your business plan to stand out. Remember: If you create a proposal that expresses your idea and your personality, you will be more comfortable and confident when you are called on to present it.

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