La compétence à l'ère de l'intelligence artificielle est cruciale. Lors d'un webinar organisé par Coursera et Edflex, des experts ont souligné l'importance des soft skills en plus des compétences techniques pour réussir dans le monde professionnel actuel. Il a également été discuté des trois compétences essentielles à acquérir pour naviguer à l'ère de l'IA : la créativité, la pensée critique et l'aptitude à apprendre en continu. D'où l'importance d'une approche intégrative entre compétences humaines et outils technologiques, pour maximiser leur impact dans le cadre professionnel.

Les entreprises doivent ainsi se concentrer sur l'adaptabilité et la capacité à apprendre de manière continue pour naviguer dans un paysage technologique en constante évolution.

Selon une étude exclusive menée par LinkedIn, les salariés français se sentent submergés par l’IA.

• 44 % des professionnels interrogés en France estiment que l’apprentissage de l’IA équivaut à un second emploi.
• 34 % sont gênés par leur faible compréhension de l’IA, et 37 % sont stressés à l’idée d’en parler au travail.

Les jeunes salariés (nés entre fin 1990 et début 2010) ressentent davantage la pression. Ils sont deux fois plus susceptibles de surestimer ou mentir sur leurs compétences en IA par rapport à la génération précédente.

L'étude révèle une augmentation de 29% des publications liées à l'IA sur LinkedIn en un an. 

⚖️ Charge mentale et bien-être

• 54 % des professionnels voient la maîtrise de l’IA comme une tâche supplémentaire.
• 41 % déclarent que le rythme des changements liés à l’IA affecte leur bien-être mental.

🌟 Entre pression et potentiel

• Malgré les inquiétudes, 53 % des salariés restent optimistes sur le potentiel de l’IA pour améliorer leur travail.
• Fabienne Arata (LinkedIn France) souligne que les compétences humaines restent essentielles pour naviguer dans ce changement.

Adopté en 2024, l’IA Act a marqué une étape décisive dans l’encadrement de l’intelligence artificielle en Europe. Pourtant, un an plus tard, les salariés français peinent encore à s’approprier ces outils dans leur quotidien professionnel.

Selon une enquête menée pour Mendo, 70 % des salariés interrogés n’ont d’ailleurs jamais été formés à l’utilisation d’outils intégrant de l’IA. Un chiffre qui illustre un décalage persistant entre le cadre réglementaire, le débat public et la réalité vécue sur le terrain.

La centaine de solutions d'IA sélectionnées par la Dinum fait suite à un appel à manifestation d'intérêt lancé au printemps 2025, dans le but d'accélérer l'adoption de l'IA par le secteur public. Cette sélection a été réalisée sur la base de 4 critères : 

- l'impact attendu sur les missions de service public, 
- le niveau de maturité fonctionnelle déclaré, 
- la capacité d'intégration aux systèmes d'information existants, 
- et la conformité aux exigences de sécurité, de protection des données et d'accessibilité.

Très concrètement, les collectivités trouveront dans cette cartographie des prestataires et outils d'IA pour créer un chatbot thématique, générer des comptes-rendus de réunion, sous-titrer des vidéos, synthétiser des rapports ou encore aider à la rédaction de délibérations et de documents administratifs. 

Découvrez le panorama solutions IA issues de l’appel à manifestation d'intérêt 2025 — ALLiaNCE

Un guide de bonnes pratiques d'utilisation des solutions d'IAg a été mis à disposition des administrations  Utiliser l'IA générative dans l'administration | ALLiaNCE

Un éclairage sur ce que révèlent les neurosciences au sujet du rôle du jeu dans l'apprentissage :

• Une connexion instinctive entre notre cerveau et l’activité ludique - Le jeu active naturellement les circuits de la récompense : dopaminergiques, opioïdes (endorphines) et les réseaux liés à la confiance (ocytocine), créant ainsi un terrain idéal pour l’apprentissage.
• Une augmentation de la rétention  - Les jeux de formation permettent d’ancrer les connaissances durablement (jusqu’à 80 %, contre seulement 20 % via une formation conventionnelle) grâce à des mécanismes comme la répétition espacée et bien d’autres…
• Un engagement actif - L’apprentissage ludique, rythmé par des récits, des mises en simulations et des feedbacks, favorise l’ancrage des connaissances en stimulant le cerveau de manière immersive, et surtout, émotionnelle.
• Motivation intrinsèque renforcée par la neuromodulation - Des neurotransmetteurs clés comme la dopamine, la sérotonine ou les endorphines sont libérés lors de la réussite de défis gamifiés, associant apprentissage et plaisir durablement.

Pourquoi cela compte vraiment pour les formateurs ?

• Engagement et motivation décuplés : Les apprenants restent impliqués plus longtemps, avec une expérience d’apprentissage stimulante.
• Une mémorisation renforcée et durable : Grâce à l’ancrage émotionnel et à des répétitions intelligentes, les informations sont mieux intégrées, même à long terme.
• Des pratiques pédagogiques centrées sur l’apprenant : Les systèmes gamifiés favorisent l’autonomie, la personnalisation des parcours et limitent l’abandon, tout en renforçant le sentiment de progression.

Faites vos jeux !

Les Open Badges ne se contentent pas d’attester une compétence : ils racontent un parcours, valorisent des engagements et ouvrent de nouvelles opportunités. 

Un badge numérique, ou Open Badge, est bien plus qu’une simple image. C’est un dispositif innovant qui permet de valoriser les compétences de manière dynamique, vivante et évolutive.

Ce podcast vous emmène au cœur de cette révolution numérique et pédagogique. A écouter !

L’IA agentique désigne des agents autonomes capables de percevoir, raisonner et agir sans intervention humaine.

• Typologie : Différentes formes d’IA existent, des chatbots simples aux systèmes multi agents entièrement autonomes.
• Applications en entreprise : Service client, finance, logistique, R&D — les agents améliorent l’efficacité et la réactivité.
• Cas Accenture x Nvidia : Déploiement d’agents industriels autonomes pour automatiser des fonctions spécifiques.
• Atouts stratégiques : Gain de performance, meilleure prise de décision, synergie homme machine.
• Futur : Les systèmes multi agents collaboratifs promettent une intelligence collective évolutive.

Au-delà de l’innovation, cette révolution impose aux dirigeants une réflexion approfondie : comment intégrer ces agents intelligents tout en préservant l’agilité organisationnelle et la maîtrise des risques ? Entre structuration des données, montée en compétences et adaptation des modes de gouvernance, les entreprises doivent dès aujourd’hui se préparer à l’ère de l’IA autonome.

La Maison-Blanche veut faire des Etats-Unis le leader mondial de l'intelligence artificielle. Un plan en 90 mesures dévoilé le 23 juillet 2025 qui vise à simplifier les infrastructures, imposer les standards américains à l'étranger et garantir des algorithmes sans biais idéologiques.

Ce plan d'action découle d'une large consultation des professionnels, chercheurs et usagers, initiée en février. Le président américain entend rompre avec la ligne adoptée par son prédécesseur Joe Biden, partisan d'un essor contrôlé, avec un accent sur la sécurité et l'appréhension des risques. 

La deuxième édition du Baromètre européen EY de l’IA révèle que 55 % des entreprises françaises ont déjà constaté des effets économiques positifs de l’IA. Parmi elles, 75 % évoquent des gains significatifs de productivité ou d’optimisation, avec des retombées financières pouvant atteindre jusqu’à 5 millions d’euros. Ces performances sont alignées avec la moyenne européenne.
Malgré les effets mesurables sur la productivité, les entreprises françaises restent prudentes dans leurs investissements IA. Selon le rapport, seulement 5 % prévoient d’y consacrer plus de 5 millions d’euros dans les cinq prochaines années, tandis qu’un quart ne dispose toujours d’aucune stratégie formalisée.

"Cette retenue s’explique notamment par les incertitudes sur les effets à moyen terme de l’IA sur l’emploi, l’organisation du travail et les compétences internes. Le rapport évoque ainsi un « optimisme inquiet » : une volonté d’adaptation, mais avec peu de garanties concrètes sur les retombées structurelles". Baromètre européen EY de l’IA : premiers impacts financiers perçus par les entreprises | EY - France

Les fournisseurs d'IA pourront s'appuyer sur le Code de bonnes pratiques élaboré par la Commission européenne et un groupe de 13 experts indépendants, avec la contribution de plus de 1000 parties prenantes - fournisseurs, PME, universitaires, experts en sécurité, titulaires de droits et société civile.

Ce code sera complété par des lignes directrices de la Commission sur les concepts clés liés aux modèles d'IA à usage général, qui seront prochainement publiés. Il se divise en 3 volets principaux : transparence, droits d'auteur, sureté et sécurité.

"Les signataires du Code bénéficieront d’une charge administrative réduite et d’une sécurité juridique accrue par rapport aux fournisseurs qui prouvent leur conformité par d’autres moyens".

Bien que non contraignant, le Code facilite l’application pratique de la loi sur l’IA qui demeure complexe notamment dans la réalisation des analyses de risques.

Durant la première année, l'Office de l'IA n'imposera pas immédiatement de sanctions aux fournisseurs qui ne seront pas totalement conformes. Par la suite, le non-respect des obligations sera passible d'amendes. Les sanctions prévues par l’AI Act vont de 1 % à 7 % du chiffre d’affaires annuel mondial de l’entreprise ou déterminées à partir de montants seuils allant de 7,5 à 35 millions d’euros d’amende.

Code de pratique sur l’IA à usage général | Façonner l’avenir numérique de l’Europe

Le constat est clair : La France dispose d'un écosystème fort, de talents et d'infrastructures mais souffre d'une diffusion de l'IA plus faible que ses voisins européens. 

Le plan national envisagé, d'un montant de 200 millions d'€, consiste à faire en sorte que 100% des grandes entreprises, 80% des PME et ETI et 50% des TPE utilisent l'IA d'ici 2030. Il repose sur 3 piliers : la sensibilisation - ambassadeurs, implication des CCI et rencontres sectorielles - , la formation - mise en place d'une académie de l'IA en vue de former 15 millions de professionnels d'ici 2030 - et l'accompagnement par le financement de projets.

Clara Chappaz, ministre déléguée chargée de l'Intelligence artificielle et du Numérique mise sur une approche régionale en s'appuyant sur les structures existantes - CCI, French Tech et Bpifrance - considérant que "l'IA doit être déployée partout en France et bien au-delà de Paris".

À l’occasion du salon Viva Technology, qui s’est tenu du 11 au 14 juin 2025, Les Echos Études a présenté les résultats de la 2e édition de son baromètre annuel dédié à l’intelligence artificielle en entreprise. Après une année 2024 placée sous le signe de l’expérimentation, 2025 marque un véritable tournant. L’IA s’impose désormais comme une priorité stratégique et opérationnelle pour les entreprises françaises. 

L’étude, menée en mai 2025 auprès de 560 décideurs tous secteurs confondus, révèle que 91 % des entreprises considèrent l’IA comme un sujet important, voire prioritaire – contre 84 % en 2024.

« Ce qui nous a vraiment frappés dans cette 2e édition, c’est la vitesse des transformations. En un an, on a assisté à un véritable changement d’échelle, et ce mouvement est aussi rapide que massif. Les entreprises sont clairement passées de la phase “on y pense” à “on agit”. » Sabrina Tiphaneaux, Directrice adjointe, Les Echos Études.

Etude à télécharger 13023 

D'après une enquête en ligne menée par l'Apec en mars 2025 auprès de 2000 cadres et 1000 entreprises employant au moins 1 cadre, les entreprises sont de plus en plus convaincues de l'utilité des outils d'IA pour leurs collaborateurs : 53% des grandes entreprises, 46% des PME et 41% des TPE déclarent désormais promouvoir ou accepter son usage parmi leurs équipes. Côté cadres, ils sont 35% à utiliser des outils d'intelligence artificielle générative dans le cadre professionnel au moins une fois par semaine. Et leurs attentes en matière de formation sont en progression : 72 % expriment le souhait d'en bénéficier, soit 12 points de plus qu'il y a un an. Omnibus Apec - Les cadres et IA.pdf

France Travail met l'accent sur l'utilisation de l'IA pour aider les demandeurs d'emploi et les entreprises. 77% des demandeurs d'emploi et 90% des moins de 25 ans utilisent l'IA dans leur recherche d'emploi. Lors de l'édition 2025 de Viva Tech, FT a annoncé le lancement du calendrier de l'IA pour former 300 000 demandeurs d'emploi en 2025. Objectif à long terme : former les 7,5 millions d'inscrits pour éviter "l'IAllectronisme". Thibaut Guilluy et les experts numériques de FT ont cité les outils tels que MatchFT et ChatFT censés permettre de libérer du temps administratif et favoriser des interactions humaines de qualité. L'IA oblige à renforcer l'expertise métier pour garantir la qualité des rendus. Les avancées majeures en matière d'outils numériques sont à mettre au profit de l'incubateur FT qui fête ses 10 ans. 

Annonce faite d'un assistant IA Profilence en cours de test. Il est destiné à aider les conseillers à proposer aux entreprises des profils sans offres correspondantes, juste sur la base des compétences. 

Lors d'une conférence le 5 juin, France Travail est revenu sur les différents dispositifs d'intelligence artificielle générative actuellement déployés ou testés au sein de ses services, dont l'objectif est de « libérer du temps » aux agents, et de « faciliter l'accès à des données ». Outre des éléments déjà connus, comme ChatFT, Match FT, ou Neo,  l’opérateur dévoile ses travaux sur de nouveaux outils comme Chat FT Écoute qui vise à « capter les échanges » lors d’un entretien puis proposer « la synthèse des éléments partagés ». 

Ces différents outils, ont ils réellement permis aux agents de gagner du temps et si oui, combien ? France Travail reconnait que sur ce point, l’administration « n’a pas forcément d’éléments chiffrés ». Mais elle avance que, selon « un baromètre interne », cette technologie a été adoptée par de nombreux conseillers. 56 % d’entre eux l’utiliseraient déjà dans leurs activités professionnelles, pendant que 63 % des agents pensent que ces outils ont un impact positif sur leurs activités.

L'utilisation de l'IA par les entreprises entraine un large éventail de risques dans des domaines aussi divers que la cybersécurité, la confidentialité des données, les biais, la discrimination, l'éthique et la conformité réglementaire. Les organisations qui créent un cadre de gouvernance, de risque et de conformité (GRC) spécifique pour l'IA sont les mieux placées pour en tirer le meilleur parti tout en minimisant ces risques et en garantissant une utilisation responsable et éthique.
Pourtant, en la matière, la plupart des entreprises ont encore beaucoup de travail. Une récente enquête menée par Lenovo et le cabinet d'études IDC auprès de 2 920 décideurs informatiques et business du monde entier révèle que seuls 24 % des organisations appliquent pleinement leur politique de GRC IA.

Parmi les actions citées en vue de mettre en œuvre un plan GRC IA, on peut citer : 

Informer et former les équipes, définir les niveaux de responsabilisation, faire de la gouvernance de l'IA un travail d'équipe, définir son profil de risque IA, intégrer des principes, des lignes directrices éthiques et la gouvernance des modèles, rendre les politiques d'IA claires et applicables, recueillir et exploiter les commentaires des équipes, 

Trois mois après la signature d'un accord-cadre entre la France et les Emirats arabes unis pour créer un campus dédié à l'intelligence en France, on en sait désormais un peu plus sur cet ambitieux projet. Des précisions ont en effet été apportées dans le cadre de Choose France, l'initiative présidentielle pour tenter de convaincre les investisseurs et entreprises de choisir l'Hexagone pour développer leur business.

Une joint-venture a ainsi été créée pour le développer, dans laquelle on trouve le fonds émirati MGX, Bpifrance, Mistral AI et Nvidia. 

"Ensemble, ces partenaires bâtiront le premier centre européen d'intelligence spécifiquement conçu pour couvrir l'ensemble du cycle de vie de l'IA : de la conception des modèles à leur déploiement, en passant par l'entraînement, l’inférence et l’implémentation dans des cas d’usage concrets". Il est question de permettre une adoption de l'IA à grande échelle dans des secteurs stratégiques tels que les soins de santé, la mobilité, l'énergie, l'éducation et l'industrie.

Ce campus IA, présenté comme le plus grand d'Europe, sera localisé en Ile-de-France et sa construction doit débuter au second semestre 2026 pour une mise en service prévue d'ici 2028.

Entre 2024 et 2025, les responsables des RH ont été trois plus nombreux à utiliser l’IA au quotidien. Selon le second baromètre d’Opinionway réalisé pour le compte de l’éditeur de solutions RH Kelio auprès de 300 DRH en France, ils sont 28% à s’appuyer sur ces technologies en 2025 contre 9% en 2024. 6% l’utilisent désormais de manière importante (en progression de 5 points), tandis que  22% de façon encore limitée (+14 points). Les entreprises de taille intermédiaire expriment un plus grand intérêt envers les agents virtuels, avec 34% d’utilisateurs. L’étude révèle également que si les réfractaires à l’IA restent majoritaires (60%) leur proportion a reculé, avec une perte de 16 points en un an. Au total, 40% des DRH font ainsi part de leur intérêt pour ces outils, qu’ils les utilisent régulièrement ou non.

Alors que la France se positionne sur l’échiquier mondial de l’intelligence artificielle avec des ambitions colossales, les défis restent nombreux. Le projet principal, issu d'un accord avec les Émirats arabes unis, prévoit un investissement de 30 à 50 milliards d'euros dans l'IA, mais les détails restent flous.

Entre promesses d’investissements astronomiques, normes environnementales et réalités administratives, l’Hexagone devra naviguer avec habileté pour transformer ces milliards virtuels en infrastructures tangibles.

L’intelligence artificielle s’impose comme un acteur incontournable du monde du travail. D’abord perçue comme une menace pour l’emploi, elle se révèle aujourd’hui être un levier d’assistance et d’innovation. Les craintes initiales de destructions massives de postes, nourries par les travaux de Frey et Osborne en 2013, laissaient entrevoir un monde où les machines remplaceraient les travailleurs humains. Une décennie plus tard, la réalité s’avère bien plus nuancée.

Ces "cafés IA" s'inscrivent dans une démarche d'acculturation aux enjeux numériques lancée par le CNNum en mai 2024. Le CNNum les définis comme "un moment d’échange au cours duquel les participants peuvent apprendre, expérimenter et débattre pour décider de leurs usages numériques, que ce soit avec, sans ou sur l’intelligence artificielle". Les cafés IA se veulent accessibles à tous, avec un format d'une heure facile à organiser.

Des collectivités aux universités, des entreprises aux associations en passant par les Fablabs, tout type de structure peut s'approprier ce format de concertation. Grenoble, Nantes, Lyon, Rouen, Saclay, Strasbourg mais aussi Figeac, Alençon, Merville ou Montségur-sur-Lauzon ont ainsi déjà accueilli des cafés IA. Café IA – Informations et ressources au sujet de l'IA

A travers différents angles de questionnement, ce podcast explore les pratiques responsables des IA en formation et tente de déterminer ce qui rend possible de déployer une IA pédagogique capacitante, qui donne du pouvoir d'agir aux individus et aux organisations.

A mesure que les capacités de l'IAg se développent, elles créent de nouvelles surfaces d'attaque bien plus rapides que les mesures de sécurité traditionnelle ne peuvent s'adapter. Dans ce contexte, la formation anti hameçonnage est primordiale mais insuffisante. Les anciennes mesures de sécurité réactives et les défense en silos ne sont plus adaptées. Il faudrait une approche plus globale de la gestion de l'exposition, qui traite à la fois les menaces immédiates et les vulnérabilités systémiques. Il s'agit d'aborder les notions clés telles que la surveillance et l'évaluation en continu, l'élimination des silos de données, la visibilité exhaustive des données pour un repérage des schémas et anomalies qui signalent l'émergence de menaces.

En conclusion,, il est temps d'arrêter de se demander si l'entreprise devra s'adapter aux problèmes de sécurité liés à l'IA, il faut "commencer à chercher comment le faire rapidement et efficacement".