Initiatives locales et paroles d'acteurs
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Scooped by Cap Métiers NA
March 26, 2019 11:26 AM
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L’APEE de Poitiers, agir pour la pérennité des entreprises

L’APEE de Poitiers, agir pour la pérennité des entreprises | Initiatives locales et paroles d'acteurs | Scoop.it
En matière de création d’entreprises, les quartiers dits « politique de la ville » présentent un bilan contrasté. Au vu de différentes études (APCE, BPI, ADIE), il apparaît que le taux de création y est supérieur au niveau national, particulièrement chez les 18-24 ans, mais que le nombre de défaillances à 2 ans est également plus élevé qu’au national (40% contre 30%). 

C’est pour chercher à expliquer cette situation et proposer des solutions à ce paradoxe apparent que l’Agence Pour l’Egalité Entrepreneuriale (APEE) a vu le jour à Poitiers en juin 2018, après une période de réflexion qui aura duré une année, durant laquelle Il aura fallu notamment identifier tous les acteurs qui interviennent dans ce domaine, structures d’incubation et d’amorçage, financeurs, collectifs régionaux et locaux, etc. 

Pour Sourabad Saïd Mohammed, délégué général de l’APEE, s’il y a problème, ce n’est pas tant au niveau de la création que dans l’accompagnement post création. « Dans les quartiers relevant de la politique de la ville, chacun peut créer son activité, le droit commun s’applique. En revanche il n’existe pas de dispositif particulier. Alors que dans ces territoires, une politique spécifique est censée être menée. » 

« Personne n’est empêché de créer son entreprise, il n’existe aucun obstacle administratif. C’est après que les manques se font sentir : le réseau, l‘accès aux financements, les possibilités de développement… On peut comparer cela à l’éducation : si on ne maîtrise pas les apprentissages de base à l’école, ils font défaut par la suite. » Le taux de création important en zones défavorisées s’explique en partie comme une stratégie de contournement des dispositifs de discrimination de l’accès à l’emploi, une façon de ne pas subir le plafond de verre que rencontrent certaines personnes dans leur entreprise. 

L’APEE a été pensée sur le modèle de l’Adive, l’agence pour la diversité entrepreneuriale, qui travaille en région parisienne depuis environ 10 ans sur le développement économique, et qui aide les entrepreneurs de ces territoires à trouver des marchés avec des grandes entreprises. Le délégué général de l’Adive soutient d’ailleurs l’APEE, ainsi que la Région Nouvelle-Aquitaine, la Banque Public d’Investissement, le Commissariat général à l'égalité des territoires, la Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale. 

« Nous mettons en place nos actions à partir de Poitiers, en commençant par expérimenter le dispositif sur les 17 quartiers politique de la ville de l’ancienne Poitou-Charentes. L’association rassemble des élus locaux, le délégué territorial d’EDF, de la Poste, des universitaires. Tous les acteurs qui sont conscients qu’il existe un vide en matière d’accompagnement dans certains territoires. » 

Parmi ses axes de travail, l’association comprend un programme d’achat inclusif, qui consiste à sensibiliser les acheteurs des grandes entreprises et des collectivités pour qu’ils diversifient leurs fournisseurs, en faisant notamment appel à l’économie sociale et solidaire. Elle veut aussi, avec « qualifions nos talents », former son public aux question de ressources humaines, de développement, de connaissances juridiques et financières. « C’est un gros travail, parce qu’il est permanent. » A cette fin, des bénévoles experts dans des domaines divers, interviendront au cours d’ateliers d’accompagnement des entrepreneurs de quartiers. « Nous espérons cette année pouvoir mettre en place un atelier par département ». 

D’autres actions visent à essayer de constituer des petits clubs d’entreprises des quartiers. Notamment pour répondre à des appels d’offre groupés. Plus tard, organiser la semaine de la diversité entrepreneuriale, évènement destiné à rendre visibles les fournisseurs locaux. « Dans l’immédiat, nous lançons notre site Internet, l’idée étant de constituer une base de données composée d’acheteurs responsables d’entreprises de toutes tailles et de l’autre côté les entrepreneurs des quartiers. » 

« Nous souhaitons également créer un prix « Talents et entreprendre dans les quartiers », afin d’offrir aux lauréats des formations avec l’IAE, l’université et les grandes écoles. Toujours dans l’esprit de les qualifier dans les domaines qu’ils ne maitrisent pas. Notre ambition n’est pas de les enfermer dans une approche spécifique. Mais le passage par des dispositifs particuliers est indispensable à un moment ou un autre de leur parcours. »
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February 15, 2019 4:56 AM
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Agen, la clé d’un accompagnement réussi

Agen, la clé d’un accompagnement réussi | Initiatives locales et paroles d'acteurs | Scoop.it
Le cœur de métier d’une mission locale est le suivi des jeunes de 16 à 25 ans. Mais il arrive que ce « droit commun » se révèle insuffisant pour capter une partie du public, celle qui justement a le plus besoin d’aide. D’où l’existence de dispositifs dits « d’accompagnement renforcé » qui se révèlent être les seuls à pouvoir agir efficacement.

Pour la mission locale de l'Agenais, de l'Albret et du Confluent, cette démarche s’appelait CARAP (Contrat d'Accompagnement Renforcé et d'Accueil de Proximité), un dispositif issu d’une volonté politique et partenariale. Et d’un constat commun selon lequel il fallait aller chercher les jeunes là où ils sont, plutôt que d’attendre qu’ils viennent à la rencontre des structures. « La particularité du CARAP c’est que l’on travaillait fortement avec les autres acteurs de terrain », décrit Laurence Martin, référente formation – orientation. « Tous les mois on se retrouvait autour d’une commission de suivi où on pouvait échanger sur les situations individuelles avec les centre médico-sociaux, les assistantes sociales, les éducateurs spécialisés, les référents emploi des centres socio-culturels, la préfecture, parfois Pôle emploi. Chacun, avec sa compétence particulière, contribuait à aider le jeune dans ses démarches d’accès à l’emploi, de formation ou ses problématiques sociales. » 

L’idée initiale était d’être plus réactif que d’ordinaire. Le travail partenarial s’accompagnait d’actions collectives, les « semaines d’accès à l’emploi », avec visites d’entreprise ou de centres de formation, rencontres avec des employeurs, ateliers de technique de recherche d’emploi. « Par la suite nous avons évolué en proposant des chantiers citoyens. Le matin les jeunes travaillaient pour gagner un peu d’argent (par exemple pour la rénovation d’un espace multimédia). L’après-midi, on continuait les démarches de recherche d’emploi. Nous voulions entre autres faire participer les jeunes activement à leur accès au permis de conduire. » 

L’approche CARAP était assez différente de l’accompagnement habituel de la mission locale, surtout grâce à l’apport des autres partenaires qui étaient partie prenante des semaines de l’emploi dans toutes leurs dimensions : mise en œuvre, utilisation des locaux, aides financières, repas, déplacements. La mission locale se donnait entre 6 mois et un an pour que le jeune arrive à réaliser son projet d’emploi ou de formation. « Au-delà des actions, cela a permis aux partenaires de terrain de mieux se connaître, de débloquer des dossiers rapidement, et d’établir des relations de confiance, vu que chacun a sa façon de travailler, son éthique, son territoire d’intervention, etc. » 

Si le CARAP n’existe plus depuis l’été 2018, son principe subsiste « Nous avons maintenu des permanences, pour ne pas perdre tout le bénéfice des actions passées. Mais sans financement il nous est impossible de conserver tout le dispositif. Nous allons répondre à un appel à projets, en conservant la logique partenariale et en s’appuyant sur les espaces numériques des centres sociaux. Nous allons essayer d’apporter une vraie plus-value sur le terrain en maintenant des personnes pour faire de la médiation numérique. » 

Pour l’instant, il s’agit de faire intervenir des volontaires en service civique qui ont pour mission d’accueillir chaque jeune au tout début de son inscription. Ils vérifient s’il dispose bien de ses droits, et l’aident à ouvrir son compte Amélie, son compte CPF, son inscription à Pôle emploi. Mais aussi à se doter d’un cloud pour stocker tous ses documents. En résumé, ils posent les fondations d’un accompagnement aux démarches administratives que les jeunes ne maitrisent pas toujours, et qui risquent de les bloquer dans leur parcours. 

« Nous constatons la plus-value de ce travail lors de la première rencontre avec un conseiller qui est d’emblée dans son rôle puisqu’il n’a pas à s’occuper de certaines démarches avant de débuter l’accompagnement proprement dit. Par exemple, pour faire une demande de formation, si le CPF du jeune est déjà prêt, c’est du temps gagné. Il faut dégager tout le temps possible pour échanger avec le jeune. » 

Le bilan du CARAP s’est avéré positif en matière d’insertion professionnelle puisque les deux tiers des jeunes en demande d’emploi se sont insérés durablement (au moins en CDD de 6 mois). Il était moins probant sur la formation à cause des étapes précédentes parfois difficiles à gérer, comme en cas d’illettrisme. « Comme il s’agissait d’accompagnement renforcé, nous connaissions bien les besoins des jeunes, on s’adaptait à leurs attentes. Nous avons aussi créé du lien social entre eux, cassé leur isolement grâce à l’aspect collectif. Les déplacements organisés, par exemple à Toulouse sur les métiers de l’aéronautique, ont permis à certains de quitter Agen pour la première fois de leur vie. Même prendre un bus, un train, aller dans un grand centre commercial ou manger dans un vrai restaurant, pour certains c’était très nouveau. » 

Aujourd’hui, la certitude des équipes de la mission locale, c’est l’importance d’être présent au cœur des quartiers, être en soutien et relais par rapport aux acteurs qui y travaillent, aider la population dans ses démarches d’accès à l’emploi et à la formation. « Nous voulons aussi continuer à mener des actions collectives. Ça, tous les partenaires y tiennent. »

Photo : Peoplecreations / Freepik.
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March 15, 2019 4:42 AM
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Gironde, les déchets comme gisement d’emplois

Gironde, les déchets comme gisement d’emplois | Initiatives locales et paroles d'acteurs | Scoop.it
« Transformer les déchets en ressources, et les ressources en emplois». C’est la profession de foi de Nouvel’R, association de développement territorial par l’économie circulaire lancée il y a un an sur le territoire du Libournais, du Saint-Emilionnais et de Haute Gironde. A la base de cette création, le Smicval, syndicat de collecte et de traitement des déchets qui couvre 140 communes et 200 000 habitants. 
 
Nouvel’R est le résultat d’une réflexion en cours depuis 5 ans. « Nos élus ont considéré que nous n’étions pas seulement un prestataire de services, mais aussi un acteur du développement du territoire, notamment par les prescriptions que l’on donne au travers de nos marchés publics », explique Eric Buffo, directeur. « Nous avons rassemblé des collectivités qui ont la compétence juridique sur développement économique, mais pas de compétence en économie circulaire, et des acteurs, dont le Smicval, qui ont la compétence technique, mais pas juridique. Car il faut nécessairement combiner les deux pour mener un tel projet. » 
 
Pendant toute la phase de réflexion, les rencontres avec des PME et des startups laissaient entrevoir un véritable potentiel de création d’activité et d’emplois autour du thème de l’économie circulaire. Des perspectives d’autant plus intéressantes que le territoire est situé dans le « croissant de pauvreté » girondin, marqué entre autres par un fort taux de chômage. En ligne de mire, des activités aussi diverses que le compostage de couches bébé, l’élevage d’insectes à partir de biodéchets, ou encore le démantèlement d’huisseries et la transformation de plastique en carburant. 
 
« Au départ, l’économie circulaire n’était peut-être pas un concept très bien connu par tous. Pour nous ça veut dire des choses bien précises : éviter le gaspillage des ressources, dans une conjugaison d’actions environnementales et de création d’emploi. C’est une famille d’actions autour du mieux produire, mieux consommer, et du mieux valoriser les déchets. On y retrouve aussi les notions d’écologie industrielle, d’économie de fonctionnalité, etc. » 
 
Pour faire la promotion du principe, et développer une culture commune autour de l’économie circulaire, l’association a ouvert son « HotSpot », un bâtiment réalisé en matériaux de récupération dans lequel toute la démarche est expliquée aux visiteurs. L’ambition clairement exprimée est d’intégrer l’économie circulaire dans les politiques publiques globales. « Pour nous c’est une porte d’entrée pour réinventer la ville de demain, dans le même esprit que le « supermarché inversé » que nous avons créé sur la commune de Vayres. » 
 
Dans la pratique, Nouvel’R s’est fixé trois missions principales : détecter des porteurs de projet, les accompagner pour, au final, les implanter sur le territoire. Les partenaires tablent sur la création d’une centaine d’emplois dans un délai de 3 à 5 ans. « Nous avons développé tout un bouquet de services aux entreprises qui vont du « sourcing » de déchets à la mise à disposition d’installations techniques comme les déchetteries ou les plates-formes de compostage, la mise en relation avec les décideurs locaux, l’aide à la recherche de bâti, l’aide au recrutement, etc. Pour l’instant, 3 conventions d’accompagnement ont été signées, qui devraient prochainement être suivies de 8 autres. » 
 
A plus long terme, l’association a la volonté de créer un pôle de formation. Reste à mener un gros travail en lien avec les startups pour identifier les compétences dont elles auront besoin dans le futur. « Nous n’avons encore rien engagé, mais on a la matière et des interlocuteurs, ce n’est pas juste de la théorie. » 
 
Avec son unique permanent, l’association restera volontairement modeste, l’idée n’étant pas de faire à la place des acteurs existants, mais d’allier les forces des uns et des autres afin de rassembler une équipe pluridisciplinaire capable de faire du marketing territorial, de la communication, de l’accompagnement des porteurs. « On est au début d’une aventure pleine de promesses. Tous les modèles économiques qu’on est amenés à toucher du doigt sont très fragiles. Ce n’est pas facile de dire qu’on aura une réussite à tous les coups ». 
 
 
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Les partenaires de Nouvel’R : EDF, Arrêt Minute (Libourne, Coutras), Usine végétale (Le Fieu), Communauté de communes de l’Estuaire (Braud et St Louis), Communauté de communes du Grand Cubzaguais (St André de Cubzac), Communauté de communes de Latitude Nord Gironde (St Savin), Communauté de communes du Grand St Emilionnais (Vignonet), Communauté d’Agglomération du Libournais (Libourne), SMICVAL du Libournais Haute Gironde (St Denis de Pile).
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February 1, 2019 3:32 AM
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Deux-Sèvres, un circuit pour découvrir les métiers de service à la personne

Deux-Sèvres, un circuit pour découvrir les métiers de service à la personne | Initiatives locales et paroles d'acteurs | Scoop.it
Donner un nouvel éclairage sur les métiers de service à la personne et en promouvoir l’intérêt auprès des futurs candidats, c’est l’objectif du « Rallye découverte des métiers de l’aide à domicile dans les Deux-Sèvres » qui s’apprête à lancer sa deuxième édition le 4 février. 

Aux manettes, l’association Le-Centre, centre de ressources basé à Poitiers qui développe à l’année un éventail d’actions auprès des professionnels du secteur (valorisation des métiers, aide au recrutement, prévention des risques, etc.). « Nous sommes là pour piloter le projet, aider à son bon déroulement, animer les réunions, » précise Eugénie Duval, chef de projet emploi-formation. « Nous mettons en place les outils de communication, la gestion des inscriptions et du budget. Le projet en lui-même, son déroulement et les thématiques abordées, est porté par les partenaires. » 

Les partenaires, un peu plus d’une trentaine, sont des employeurs, des structures d’accueil, des organismes de formation, des acteurs de la prévention, ainsi que le service public de l’emploi et des financeurs institutionnels. Ils sont pour quelques-uns d’entre eux membres du Comité d’Acteurs Locaux (CAL) « Service à la personne à domicile » des Deux-Sèvres, qui se retrouvent autour de la nécessité de faire changer l’image du secteur. 

Dans la pratique, ce sont 35 ateliers ouverts au public qui seront proposés du 4 au 15 février, dans l’ensemble du département, autour de 6 thématiques qui vont de la découverte des situations et des tâches quotidiennes, à la connaissance des causes et conséquences de la perte d’autonomie, en passant par les conditions de travail, les formations et les parcours professionnels. Quatre forums emploi-formation sont également au programme, afin de rencontrer les employeurs et les organismes de formation du territoire (Melle, Parthenay, Niort et Bressuire). 

« Des embauches sont intervenues lors du rallye l’année dernière, mais pas forcément sur des besoins immédiats. L’effet attendu est à plus long terme. Le rallye permet surtout d’identifier des personnes qui participent aux ateliers, qui se montrent intéressées par le métier, mais qui n’ont peut-être pas assez de qualifications pour y entrer directement. » Car l’objectif prioritaire reste de promouvoir les métiers et de répondre aux questions les plus fréquentes. 

Par rapport à l’année dernière, le schéma reste le même, mais sur un temps plus court (deux semaines au lieu de trois). Autre innovation, une journée spécifique dédiée à l’accueil de groupes scolaires et de stagiaires en formation. « Il nous paraît important de créer une dynamique avec des gens déjà en formation parce que l’on sait qu’il y a de la déperdition à ce niveau-là. » 

Les ateliers sont créés et présentés par des professionnels de terrain. Les personnes qui y participent peuvent y rencontrer des employeurs et des salariés, voire même des personnes âgées, qui vont témoigner de leur quotidien, leur faire toucher du doigt les réalités de leurs métiers. Parfois par le biais d’approches ludiques, avec utilisation du matériel médical ou un simulateur de vieillissement. « Le rallye est intéressant dans le sens où c’est un outil qui permet de combattre les préjugés et stéréotypes dont souffre le secteur. Beaucoup pensent que l’on peut entrer dans ces métiers sans qualification. En résumé, si je fais le ménage chez moi, je peux le faire chez les autres. J’ai eu des enfants, donc je peux garder ceux des autres. Mais ça n’est pas aussi simple. » 

Reste les nombreux freins inhérents à ces métiers, qui sont autant d’obstacles au recrutement : questions de mobilité (autant en milieu urbain que rural), horaires atypiques, garde d’enfants. Même si certaines structures apportent des réponses comme la mise à disposition de véhicules, l’aide au permis de conduire, etc. A cela s’ajoutent les problématiques relatives à l’intimité et la nature de certaines missions. Les professionnels se mobilisent lors du rallye pour apporter des réponses à tous les questionnements et lever certains doutes. 

« Nous envisageons de monter une action similaire dans la Vienne, sur les problématiques que l’on retrouve partout. D’autres territoires sont intéressés, par exemple l’agglomération nantaise. Donc ça ne concerne pas que le monde rural. » Le rallye est un moment, une occasion de faire connaître toutes les actions menées le reste de l’année. Il ne permet pas de lever toutes les interrogations des personnes en recherche d’emploi, mais de les faire progresser sur la voie de leurs choix professionnels. 

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