DEFENSE NEWS

Diehl Defence will deliver IRIS-T SLS surface-to-air missile (SAM) systems to the Swedish Defence Material Administration under a new contract announced on 11 March. When delivered, the system will be operated by the Swedish Army together with a new Command and Control (C2) system and modernised sensors.

The contract will see Diehl Defence supply new units comprising the IRIS-T missile, missile launching station and fire control system. The system will improve Sweden's national air defence capabilities, providing protection against air attacks from a large variety of threats including missiles, helicopters and aircraft. Following deployment, the mobile system allows fully automatic operation 24 hours a day.

IRIS-T SLS employs the standard IRIS-T air-to-air missile and is the short-range complement to the medium-range IRIS-T SLM ground-based air defence system of Diehl Defence. IRIS-T SLM is based on the SAM system development in Germany for national air defence.

Delivery of the first IRIS-T SLS systems is scheduled to commence in 2016.

La Corée du Nord a déclaré nul et non avenu l'armistice signé en 1953, qui a mis fin à trois années de guerre avec la Corée du Sud, rapporte mercredi l'agence sud-coréenne Yonhap, se référant à une déclaration du ministère nord-coréen des Forces armées.

Le ministère a confirmé les informations précédentes sur le retrait de Pyongyang de l'accord de non-agression avec Séoul et a recommandé aux "fauteurs de guerre" sud-coréens et américains de tenir compte du fait qu'après avoir dénoncé l'armistice conclu à l'issue de la guerre de Corée (1950-1953), la Corée du Nord "n'avait plus aucun engagement". 

Pyongyang souligne qu'il se propose de développer ses armements nucléaires, qui lui permettront de résister à la pression de la part des Etats-Unis et d'autres puissances mondiales.

Une mystérieuse clé USB sur le projet du futur ministère de la Défense aurait été remise à des agents de la sécurité nationale lors d'un échange au Centre del Món.

La très retentissante affaire de 'Balard', de corruption présumée dans l'attribution en mai 2011 au groupe Bouygues de la construction du futur ministère de la Défense, pourrait s'être nouée à Perpignan même dans le plus grand secret. Et plus exactement au centre du monde...

Une enquête préliminaire a été déclenchée en octobre 2010 suite à un renseignement anonyme transmis à la division nationale des investigations financières. Il portait sur la passation du marché pour ce projet de Pentagone à la française. Selon une information révélée par Le Canard Enchaîné, un haut responsable du ministère de la Défense est soupçonné d'avoir fourni à un cadre de Bouygues le cahier des charges du marché, au détriment de ses concurrents Vinci et Eiffage. Un entrepreneur du BTP, déjà impliqué dans des affaires de corruption, aurait joué les intermédiaires, ajoute le journal Marianne.

Le nom et la fonction du haut fonctionnaire n'ont toujours pas été rendus publics. Une information judiciaire a été ouverte fin 2011 pour 'corruption, trafic d'influence et atteinte à la liberté d'accès et à l'égalité des candidats dans les marchés publics'. En janvier 2012, sur la base d'informations des douanes, la DPSD, la direction de la protection et de la sécurité de la défense, serait entrée en possession d'une clé USB contenant des documents confidentiels relatifs à cet appel d'offres.

Des intermédiaires semblaient vouloir monnayer cette clé mais l'ont finalement remis aux agents de la DPSD lors d'un rendez-vous organisé à la gare de Perpignan ! Pourquoi en pays catalan ? Aucune réponse n'a pu nous être fournie sur le sujet. Il semble toutefois que toute ville qui possède une garnison, comme c'est ici le cas, abrite obligatoirement des agents de la DPSD. Ils pourraient ainsi s'être chargés sur place de la transmission de cette 'valise diplomatique' explosive. À moins que le transitaire, toujours inconnu, ne vienne d'un pays étranger et ne soit entré en contact avec les douanes à la frontière espagnole.

Le mystère demeure... Le contenu de la clé ne serait pas 'confidentiel défense' mais le ministre Jean-Yves Le Drian veut transmettre le dossier à la justice, estimant que ces pièces ont été volées.

C’est une surprise. Mardi 12 mars 2013, en fin d’après-midi, le service de presse d’Eurocopter a annoncé le départ de Lutz Bertling. Le Président exécutif (CEO) d’Eurocopter et Membre du Comité exécutif du Groupe EADS, quittera ses fonctions au 30 avril 2013. Rien ne laissait supposer cette démission…

Lutz Bertling, 50 ans, est à la tête de la Division Hélicoptères d’EADS depuis le mois de novembre 2006 et a récemment exprimé le souhait de quitter le Groupe pour poursuivre sa carrière professionnelle en Allemagne. A compter du 3 juin 2013, il assumera les fonction de président et chef de l’exploitation de Bombardier Transport, à Berlin.

Dans la foulée, le Conseil d’administration d’EADS a nommé Guillaume Faury, 45 ans, pour succéder à Lutz Bertling à compter du 1er mai 2013, date à laquelle Guillaume Faury quittera Peugeot S.A., où il occupait la fonction de Vice-Président exécutif pour la Recherche & Développement depuis 2010 et siégeait au Directoire depuis 2009.

Pour Guillaume Faury, c’est le retour chez Eurocopter, par la grande porte. Cet ingénieur navigant d’essai, a exercé, en effet, plusieurs hautes fonctions de management au sein d’Eurocopter entre 1998 et 2008, avant de rejoindre Peugeot S.A. Il a notamment été Ingénieur en chef du programmeEC225/725, responsable du département Essais en vol Hélicoptères lourds, Vice-Président exécutif des Programmes commerciaux, puis Vice-Président exécutif pour la Recherche & Développement. Il a également siégé au Comité exécutif d’Eurocopter.

Faury avait débuté sa carrière auprès de la Direction générale de l’armement (DGA), où il supervisait les essais en vol de l’hélicoptère de combat Tigre au Centre d’Essais en Vol (CEV) d’Istres. Guillaume Faury est polytechnicien et ingénieur aéronautique de l’Ecole Nationale Supérieure de l’Aéronautique et de l’Espace (SUPAERO) de Toulouse.

C’est donc un professionnel de haut niveau qui connaît parfaitement la maison, de surcroît passionné de pilotage, qui prend les commandes du N°1 mondial sur le marché des hélicoptères civils.

'état-major des armées a annoncé que le 12 mars dernier, les deux derniers hélicoptères de manœuvre du DETHELICO ont quitté l’Afghanistan (photo EMA). Ils avaient effectué leur dernier vol le 24 février dernier.

De 2006 à 2013, les 1 300 hommes du bataillon d’hélicoptères ont effectué plus de 5 000 missions dont près de 4 500 consacrées au combat ou au transport tactique. Pas moins de 23 000 obus de 30 mm, 870 roquettes et 60 missiles ont été consommés dans les opérations conduites ou pour détruire des véhicules suicides et des caches d’armes.

Aéroport de Kaboul, 24 février 2013, 19h45 locales.

«Kaboul ground , this is Roxana 67.

- Roxana 67, go ahead.

- Roxana 67, to shut down and leave... definitively !!!» À cet instant, l'émotion est grande au sein de l'équipage de l'EC 725 Caracal de l'armée de l'air ! Sur ces mots vient de se tourner une page longue de sept années de présence en Afghanistan.

Une dernière mission qui s’ajoute à plus de 3400 autres. Au final, le bilan est éloquent : 3325 heures de vol réalisées et 229 Medevac (évacuation médicale).

«First in, last out», l'escadron d’hélicoptères (EH) 1/67 «Pyrénées» a consolidé sur ce théâtre une expérience et une expertise tactique sans équivalent. Évoluant dans un environnement hostile et dans des conditions particulièrement difficiles (températures extrêmes, relief marqué, nuits très sombres), l'unité a démontré sans conteste son savoir-faire technique et sa bravoure.

Présents lors des événements les plus marquants du théâtre (embuscade d'Uzbeen, bataille d'Alasay, etc...), les équipages ont également réalisé deux missions de recherche et sauvetage au combat suite à des accidents d'hélicoptères. Cet engagement opérationnel a été récompensé en novembre 2011 par l'attribution de la Croix de la Valeur Militaire au fanion de l'escadron.

Ce ne sont pas moins de 250 hommes et femmes dont l’engagement et l’abnégation ont été exemplaires qui ont permis de réaliser ce bilan éloquent. À titre d'exemple, le chef de patrouille de cette ultime mission achève son 7e mandat sur le territoire, et à tout juste trente ans, totalise plus de 500 missions de guerre. Le mécanicien navigant, quant à lui, grièvement blessé sur ce même théâtre en 2009 a tenu à assurer ce dernier détachement après une rééducation longue et difficile.

Et de trois. Le 6 mars, le missile Aster Block 1 a démontré une nouvelle fois sa capacité à intercepter une cible représentative d'un missile balistique de courte portée (type Scud-B), lors d'un essai franco-italien mené au centre DGA Essais de missiles de Biscarrosse.

A cette occasion, un missile Aster tiré par une batterie SAMP/T a intercepté avec succès la cible Black Sparrow tirée par un F-15 israélien parti de Cazaux (une configuration similaire à l'image ci-dessous), à l'issue d'une course balistique d'environ 300 km.

Deux essais similaires avaient déjà été menés, l'un en novembre 2011 et l'autre en octobre 2010. Afin de tester les capacités antibalistiques du SAMP/T, la DGA avait dès le départ commandé trois cibles Black Sparrow (ainsi que les services de mise en oeuvre associés) pour assurer d'éventuels échecs de tir, mais tous ont été couronnés de succès. Même si celui d'octobre 2010 n'avait pas abouti à la destruction de la cible par impact direct, l'Aster était en effet passé suffisamment près de l'objectif pour pouvoir considérer un coup au but.

En service en France et en Italie, le SAMP/T est "la pierre angulaire de la contribution de ces deux pays au programme Otan de protection des forces déployées contre la menace balistique", rappelle la DGA. Et l'avenir de l'Aster dépend justement du bon vouloir de ces deux pays, qui ne se sont toujours pas engagés sur le financement de l'Aster Block 1NT, une évolution censée améliorer les performances de l'Aster face à des missiles balistiques de plus longue portée grâce à un autodirecteur amélioré. Interrogée récemment sur ce programme, la DGA précisait que "les discussions se poursuivent avec l'Italie, partenaire sur le programme SAMP/T, et dans le cadre de la préparation de la future LPM".

Le climat budgétaire ambiant ne facilite pas la prise de décision rapide sur le sujet. Et encore moins sur un hypothétique Aster Block 2, intercepteur antimissile encore plus performant qui permettrait de répondre à la demande de clients export potentiels (notamment dans le Golfe) qui, lentement mais sûrement, se tournent l'un après l'autre vers des solutions américaines.

FORT WORTH, Texas, deux bonnes nouvelles concernant l’épineux dossier de l’avion F-35 « Lightning II » en ce début de semaine avec tout d’abord l’annonce de la sortie du second F-35A destiné aux Pays-Bas et l’arrivée premier F-35B depuis la nouvelle chaine de production de Lockheed-martin.

Le second Lockheed- Martin F-35 Lightning II destiné aux Pays-Bas vient de sortir des installations de production.. Il s'agit de la dernière étape dans le processus de production  qui conduira ensuite l’avion vers ses essais en vol au sein de la base aérienne d’Eglin AFB, en Floride cet été. Les Pays-Bas envisagent de se doter d’une flotte de F-35A à décollage et à l'atterrissage conventionnel (CTOL).Ce second appareil d’essais connu sous le nom AN-2 servira pour  les tests de formation et d'exploitation pour les pilotes et la maintenance. L’AN-2 fera encore l'objet de contrôles du système de carburant avant de procéder aux essais au sol puis en vol plus tard cette année.

EMT has announced that a second-generation LIDAR Sense and Avoid sensor has been developed in cooperation with the German Federal Office of Bundeswehr Equipment, Information Technology and In-Service Support (BAAINBw) and engineering firm, Spies. The sensor has been developed for EMT’s Luna tactical unmanned aerial system (TUAS).

According to EMT, the Sense and Avoid sensor serves to recognise and automatically avoid other aircraft in the vicinity. As the Luna TUAS has been equipped with automatic dependent surveillance broadcast (ADS-B) transponders since 2012, the combination of transponder and active LIDAR improves flight security even more significantly. 

Sascha Lange, business development, EMT, said: ‘EMT and Spies are both delighted to be promoting Sense and Avoid technology via LIDAR and transponder – after all, this enables our unmanned aircraft system to finally take part in general air traffic (conditions). This makes advantages such as easily affordable purchasing and operational costs of unmanned aircraft systems more available to civilian customers.’

The modular Luna system has been in operation since 2000, and consists of several aircraft and platform modules: Luna, Museco and Luna NG. The combination of transponder and LIDAR will bring all of these aircraft improved flight safety.

apan on Wednesday called for stronger security ties with Southeast Asia as Tokyo looks to boost alliances at a time of growing territorial tensions with China.

Vice-minister level representatives from Japan and the 10-memberAssociation of Southeast Asian Nations (ASEAN) began a two-day gathering at a Tokyo hotel, with several participating nations embroiled in sovereignty rows with Beijing.

“The Asia-Pacific region has various issues concerning security and defense ... including territorial conflicts in the South China Sea,” Japanese Vice Defence Minister Akinori Eto told the opening session of the closed-door meeting. “On top of the growing maturity of our economic cooperation, Japan and ASEAN need to further strengthen ties in the field of security and defense,” Eto said.

The meeting is the first high-ranking defense dialogue of its kind since hawkish Japanese Prime Minister Shinzo Abe took office in late December following a landslide victory in general elections.

“Our country changed governments late last year,” Eto said. “Under the new regime, we want to reinforce cooperation in security and defense with ASEAN countries and contribute to peace in the region,” he added.

Ahead of the meeting, the ASEAN participants met Abe late Tuesday and voiced their high expectations from Japan “in dealing with various security issues of the Asia-Pacific region,” the defense ministry said in a statement.

Japan, along with several members of ASEAN, has locked horns with China over separate territorial disputes. Relations between Beijing and Tokyo have deteriorated badly over the last year as the two sides argued about the sovereignty of Tokyo-controlled islands in the East China Sea.

On Tuesday, three Chinese government ships spent several hours in the12-nautical-mile territorial zone off one of the Senkaku islands, claimed by Beijing under the name Diaoyus. Taiwan also claims them.

ASEAN members Vietnam, the Philippines, Malaysia and Brunei, as well as China and Taiwan, have claims to parts of the South China Sea, which contains some of the world’s most important shipping lanes and is believed to be rich in fossil fuels.

Simmering tensions over the issue have risen in the past two years, with the Philippines and Vietnam accusing China of becoming increasingly aggressive. China claims most of the sea, including waters close to the shores of its neighbors. Relations between the Philippines and China have become particularly tense since patrol vessels from both countries engaged in a stand-off over the Scarborough Shoal in April.

Analysts said China’s recent prickliness meant regional alliances made sense.

“Japan and ASEAN can regard security cooperation as a realistic option because China is their common adversary,” said Hideshi Takesada, a Japanese defense expert and former professor at South Korea’s Yonsei University. “Practically, Japan can provide defense technologies or equipment to ASEAN so that Japan can win their trust,” said Takesada, who is also a former professor at Japan’s National Institute for Defense Studies.

Japan reportedly plans to donate patrol boats worth more than $10 million each to the Philippines, ramping up regional efforts to monitor China’s maritime activity in disputed waters. The Japanese government plans to finance the deal in its fiscal 2013 budget starting in April and hopes to officially sign it early next year, the Nikkei business daily reported last month.

La documentation de référence de l’avion, nécessaire pour sa mise en service, a, quant à elle, été emmenée par le TBM 700 de servitude de l’escadron de convoyage.

«Auparavant nous nous rendions à Saint-Dizier en TBM 700 pour récupérer les pilotes afin qu’ils convoient le Rafale puis qu'ils le ramènent. Nous effectuions plusieurs aller-retours, explique le capitaine Quentin Nivel du «Châteaudun». Seul le lieutenant Bouffanais sera apte à piloter le chasseur de dernière génération. En effet, le faible volume de mouvements ne justifie pas que nous soyons tous transformés sur Rafale. Cette année, il devrait y avoir près de 40 mouvements.»

Depuis novembre 2012, une rumeur circule au sujet d’un prétendu accord préliminaire entre la Russie et la Chine pour négocier l’achat de chasseurs Sukhoï Su-35.

La Russie a confirmé l’existence et la date de cet accord en février 2013, mais n’a pas précisé le nombre d’avions concernés. Toutefois, le journal The Hindu confirme dans un article daté du 8 mars que les pourparlers impliquent 24 avions, soit deux fois moins que prévu.

Le moteur russe Saturn 117S.

Pourquoi cette révision à la baisse de la part de Pékin ? Les Su-35 vont-ils servir de pièces de rechange pour les nouveaux avions chinois ? Sur ce point, les Russes sont confiants et ont affirmé que la Chine ne pouvait pas copier les moteurs du Su-35. Mais des spéculations subsistent sur le nouveau moteur Saturn 117S* qui équipe le Su-35 et que les Chinois pourraient utiliser pour propulser leur chasseur furtif J-20.

Si c’est le cas, ce serait un revers pour l’Inde sur 2 fronts: 1) vendre à la Chine un avion de combat plus moderne que le SU-30MKI de l’Inde, 2) renforcer un rival face au projet de chasseur furtif indo-russe PAK FA T-50.

* Le moteur Saturn 117S (AL-41F1A) est destiné à propulser le Soukhoï Su-35BM. Il développe 142 kN de poussée avec post combustion et 86,3 kN à sec. Il est doté d’un compresseur de diamètre 3 % plus grand (932 mm contre 905 mm), de turbines haute et basse pression améliorées, d’un système de contrôle numérique complètement nouveau, et de la possibilité d’inclure des déflecteurs de poussée vectorielle comme sur le AL-31FP. Ce moteur est donné pour une durée de vie de 4 000 heures, avec une durée de vie de 1 000 heures entre deux pannes (MTBO). Le premier vol de ce moteur a été conduit sur un Su-35BM le 20 février 2008.

Russia’s United Aircraft Corporation (UAC) and the Defense Ministry are in talks over a deal for new Ilyushin Il-78 Midas aerial refueling tankers for the Russian Air Force, UAC said on Tuesday.

The aerospace holding declined to say when a deal might be signed or on what terms.

“Work is in progress to agree the terms…but until the contract is signed we are unable to make any comment,” a UAC press service representative told RIA Novosti, adding that the contract is part of the State Arms Procurement Program for the period to 2020.

Some media reports in mid-February claimed the parties were close to signing a deal for 31 new Il-78 tankers.

The ll-78 is a four-engine aerial refueling tanker based on the Il-76 heavy transport aircraft. A modernized version of the Il-76MD-90A (also known as Il-476) will soon enter series production at the Ulyanovsk-based Aviastar-SP plant.

The new tankers would be based on the Il-76MD-90A, which has a new wing, more efficient engines, higher payload and a new cockpit with a smaller flight crew than the old Il-76, which is no longer in production.

The Defense Ministry said last October it had signed a contract worth about 140 billion rubles ($4 billion) with UAC for the delivery of 39 Il-476 planes by 2020. Military Transport Aviation’s commander Col. Gen. Vladimir Benediktov later said the service would in fact buy 48 of the planes by 2020.

The Russian Air Force operates 19 Il-78 tankers aircraft in the 203rd Guards Air Refueling Regiment, according to open sources

Kongsberg's developmental Joint Strike Missile (JSM) has been attached to a Lockheed MartinF-35 for the first time at the airframer's Fort Worth, Texas facility.

Installed on 27 February as part of a "fit check" using one of the stealthy fighter's external weapons pylons, the munition will undergo a further test later this year to verify that it is also able to be carried within the F-35's internal weapons bay.

Lockheed will conduct similar external trials on all three variants of the fighter, while internal fit checks of the JSM will be confined to the conventional take-off and landing F-35A ordered by Norway, says Norwegian F-35 programme director Anders Melheim.

Le consortium Panavia vient de remporter un contrat pour la mise à niveau de la flotte d’avions de combat de l'armée de l'air italienne. Cet accord illustre l'engagement de toutes les parties, afin, d’assurer le soutien à long terme pour assurer la durabilité des aéronefs  de type Tornado et les mises à niveau des capacités de celui-ci.

La modernisation couvrira une modernisation sur trois ans, qui comprend, les essais en vol et les activités d'intégration des nouvelles armes ainsi que le logiciel associé.

Cette mise à niveau de la flotte des Tornado italiens, implique l’ensemble des entreprises

partenaires, dans le programme Panavia Tornado, soit  Alenia-Aermacchi, Cassidian. L’objectif doit permettre à l’armée de l’air italienne de maintenir ses Tornado opérationnels jusqu’en 2025.

La mise à jour :  

Cette mise à jour vise à l’intégration des bombes GBU-38 de 500 livres à guidage laser ainsi que la gamme de bombe à faible diamètre de type GBU-39 Small-Diameter Bomb (SDB) de 113 kilos, la bombe Raytheon GBU-24 E / B Enhanced Paveway III ainsi que l’intégration du missile Storm Shadow de MBDA système.

Les Tornado italiens recevront également un nouveau système de communication UHF /VHF SATURN. Les appareils recevront une mise à jour du système de liaison électronique LInk16 avec un renforcement de la résistance au brouillage électronique à la transmission de données.

Pour la reconnaissance tactique, les Tornado italiens recevront le pod de reconnaissance israélien électro-optique Rafael «RecceLite»

Israel is to equip its air force's Eurocopter AS565SA "Atalef" helicopter pilots with advanced helmet-mounted sights, with a system selection expected to be made soon, after tests have been completed in various flight conditions.