DEFENSE NEWS
6.4M views | +47 today
Follow
DEFENSE NEWS
Revue de presse quotidienne des principaux articles concernant le secteur de la Défense, de ses industriels, des armements et technologies.
Curated by Romain
Your new post is loading...
Your new post is loading...
Scooped by Romain
March 18, 2013 5:42 AM
Scoop.it!

Embraer launches KC-390 critical design review

Embraer launches KC-390 critical design review | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Embraer is undertaking a critical design review (CDR) for its KC-390 tactical transport and tanker, a top company official says.

"We are doing this week and next week, the KC-390 critical design review with the [Brazilian] air force," says Paulo Gastao Silva, Embraer's programme vice president for the KC-390.

The review, which started on 4 March, should be completed by 22 March, he says.

Successfully completing the CDR is an important step for the programme because it clears the way for manufacturing drawings to be released to the factory floor, Gastao Silva says. "We will really start building the aircraft this year," he adds.

This will clear the way for the KC-390's first flight in the second half of 2014, he adds. The first aircraft are to be delivered in late 2015 or early 2016.

No comment yet.
Scooped by Romain
March 18, 2013 5:37 AM
Scoop.it!

No tanker role for UK A400Ms

No tanker role for UK A400Ms | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Three aircraft from an eventual core fleet of nine Voyagers are in Royal Air Force use, under a private finance initiative deal with the AirTanker consortium. The modified A330s are being used in a passenger transport role, pending release-to-service approval for the type's air-to-air refuelling system - a milestone which AirTanker has previously described as "imminent".

A total of 14 A330s will be provided under the UK's Future Strategic Tanker Aircraft programme, with five of these to made available for third-party use but kept at short-notice readiness to support a surge in operations, if required.

Airbus Military is scheduled to deliver the RAF's first of 22 A400Ms to the service's Brize Norton air base in Oxfordshire in September 2014, with two further examples to follow later the same year. Eight more will be handed over to the UK in 2015, with the type also due to achieve in-service status in March of that year.

Deliveries to the RAF will continue with the transfer of six aircraft in 2016 and two each during the following two years, before a gap to the planned acceptance of its last example in 2021.

The A400M will be delivered with an in-built tanker capability, with some nations expected to acquire hose-and-drogue refuelling pods and/or hose drum units to provide an in-flight refuelling capability to support fixed-wing aircraft and helicopters

No comment yet.
Scooped by Romain
March 15, 2013 6:16 AM
Scoop.it!

Défense : l'Elysée proche d'accorder 30 milliards d'euros par an aux militaires

Défense : l'Elysée proche d'accorder 30 milliards d'euros par an aux militaires | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Selon nos informations, l'Elysée pencherait pour un seuil symbolique de 30 milliards d'euros de dépenses militaires par an tout au long de la prochaine Loi de programmation militaire (2014-2018). Soit 1,5 % du PIB. Ce qui serait un moindre mal tant les échos de ces dernières semaines étaient très, très pessimistes pour le budget de la défense, tel que le voulait Bercy, c'est-à-dire au plancher des vaches. La baisse serait toutefois de 4 % pour descendre de 1,56 % du PIB à 1,5 %, comme l'a rappelé mercredi le président socialiste de la commission des affaires étrangères et de la défense au Sénat, Jean-Louis Carrère. Soit une perte sèche pour les militaires de 1,2 milliard d'euros. Reste à savoir si ces 30 milliards d'euros seront atteints avec ou sans recettes exceptionnelles. Les sénateurs préconisent d'abonder le budget de la défense des produits de cessions de participations dans des groupes de défense publics et privés (soit 12 milliards au total, selon le sénateur UMP Jacques Gautier).

C'est donc lors du prochain conseil de défense, qui doit se tenir selon des sources concordantes le 19 mars, que le président François Hollande devrait trancher entre Bercy et le ministère de la Défense, qui défend logiquement des coupes modérées dans son budget. Jean-Yves Le Drian estime que "la défense doit contribuer au redressement des comptes publics, ni plus, ni moins". Et ne pas être une variable d'ajustement comme certains au gouvernement le souhaitent. Le ministre de la Défense cherche ainsi à obtenir, selon nos informations, une variante de la trajectoire dite "Y", - la trajectoire la plus modérée mais qui conduit toutefois à des sacrifices (pertes nettes d'emplois) dans l'industrie de défense - plus 1 milliard d'euros de ressources exceptionnelles. Et le ministre a reçu dans son combat l'appui de l'Agence des participations de l'Etat (APE), très inquiète d'une éventuelle casse industrielle. Selon nos informations, l'APE a même monté un dossier, qui aboutit au même conclusion que celui de la Délégation générale de l'armement (DGA) : si on descend en dessous de la trajectoire « Y », plusieurs dizaine de milliers d'emplois seront détruits. L'APE serait donc "partante pour vendre des participations dans des entreprises de défense pour apporter ces fameuses recettes exceptionnelles", explique-t-on à La Tribune. Bercy devra trouver d'autres économies. Mais comme le rappelle l'ancien chef d'état-major des armées (2006-2010), le général Jean-Louis Georgelin, "la dépense publique, en France, représente 56 % du PIB. Quand on enlève 1,5 % pour la défense, il reste 54,5 %. Sans doute y a-t-il, dans cette masse, des marges de manoeuvre à explorer"  (voir schémas de l'INSEE).

Un deuxième conseil de défense ?

C'est donc l'heure des arbitrages. François Hollande devrait défendre une ligne modérée lors du prochain conseil de défense, qui réunira le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, les ministres de la Défense, Jean-Yves Le Drian, de l'Intérieur, Manuel Valls, de l'Économie, Pierre Moscovici, du Budget, Jérôme Cahuzac, et des Affaires étrangères, Laurent Fabius. Le chef d'état-major des armées, l'amiral Édouard Guillaud, dont on murmure son maintien jusqu'en 2014, doit être également présent. Pour autant, certaines sources estiment qu'il faudra un deuxième - le 26 mars, comme le révèle Le Point -, voire un troisième, conseil de défense pour trancher.

Si la décision d'octroyer 30 milliards d'euros par an était validée, on serait bien loin des préconisations laissées par Jean-Marie Guéhenno, qui a claqué la porte et laissé une soixantaine de pages. Du coup le conseiller spécial de Jean-Yves Le Drian, Jean-Claude Mallet, a pris le relais. "Il est tout aussi ravi qu'ennuyé", estime un observateur. Ennuyé parce que Jean-Marie Guéhenno y est allé très fort. Trop fort ? Il recommandait notamment de faire passer la part de la richesse nationale consacrée aux armées de 1,56 % du PIB en 2011 à 1,1 %, la fameuse trajectoire Z, de diminuer le budget équipement de la délégation générale de l'armement (DGA), aujourd'hui de l'ordre de 10/11 milliards d'euros par an à cinq milliards, et, enfin, de tailler dans l'armée de terre pour la remplacer par des forces spéciales...

Hollande prépare-t-il le terrain ?

Le coup de gueule des présidents de groupes politiques au Sénat, de gauche comme de droite, contre des coupes trop sévères dans le budget, la demande de rendez-vous des industriels à l'Elysée inquiets pour les emplois en France (voir ci-dessous) est finalement une aide (divine ?) à une décision difficile à prendre pour le président Hollande. Car elle sera très impopulaire dans son gouvernement (des économies devront être trouvées ailleurs que dans la défense) et dans une moindre mesure dans l'électorat de gauche. Mais elle permettra de sauver des emplois hautement qualifiés et une filière d'excellence, comme le rappellent les PDG des groupes signataires de cette lettre révélée par Les Echos. Un "sauvetage" de cette industrie peut finalement se révéler être un bon calcul politique pour François Hollande en 2014, l'année des municipales. Car une casse industrielle (30.000 à 50.000 emplois supprimés) scellerait vaisemblablement un revers sanglant pour la majorité. "François Hollande le sait. C'est aussi pourquoi, le budget est en train de perdre cette bataille", estime un bon connaisseur du dossier.

No comment yet.
Scooped by Romain
March 15, 2013 6:11 AM
Scoop.it!

Rooivalk ready to deploy after upgrades completed

Rooivalk ready to deploy after upgrades completed | DEFENSE NEWS | Scoop.it

The South African Air Force (SAAF) has its full complement of Rooivalk combat support helicopters back on inventory after Denel Aviation returned the final aircraft following more than two years of work on Block 1F upgrades.

This week saw what Denel Aviation Chief Executive Mike Kgobe called the culmination of a 26 year partnership between Denel and the SAAF.

“We took this aircraft through all its stages – from design to manufacturing, upgrading and retrofitting – to the point where it will soon be deployed,” he said.

No comment yet.
Rescooped by Romain from Newsletter navale
March 15, 2013 5:47 AM
Scoop.it!

La Chine veut construire un porte-avions nouvelle génération avec catapultes électromagnétiques

La Chine veut construire un porte-avions nouvelle génération avec catapultes électromagnétiques | DEFENSE NEWS | Scoop.it

On the heels of its first aircraft carrier arriving in a northeastern homeport, China is already setting its sights on developing a next-generation flat-top complete with electromagnetic (EM) catapult technology, University of California (UC) researchers told a defence industry conference on 7 March.

Following the completion of an extensive rebuild programme, aircraft carrier Liaoning was handed over to the People's Liberation Army Navy (PLAN) on 25 September 2012. The 59,439-tonne vessel was purchased from Ukraine and is a Kuznetsov-class ship with a ski jump to launch aircraft.

"China calls it a useful training ship, a useful research and development [R&D] ship," Tai Ming Cheung, director of the UC Institute on Global Conflict and Cooperation (IGCC), told the Pacific Operational S&T conference in Honolulu, Hawaii.

With aspirations of becoming a maritime power, China wants to build a next-generation carrier from scratch in its domestic shipyards and it is investing funds in R&D to achieve electromagnetic catapult technology.

"They don't want an aircraft carrier that uses ski jumps. That's not considered a world-class carrier," said Cheung, whose IGCC is overseeing the Minerva Project on the Study of Innovation and Technology in China, a five-year effort funded by the US Department of Defense (DoD).


Via Patrick H.
Patrick H. 's curator insight, March 14, 2013 9:56 AM

Le premier porte-avions à être doté de la technologie des catapultes électromagnétiques sera le CVN-78 USS Gerald R.Ford en construction actuellement :

http://www.meretmarine.com/fr/content/le-nouveau-porte-avions-americain-recoit-son-ilot

En savoir plus sur le programme des catapultes électromagnétiques EMALS (Electro-Magnetic Launch for Carriers) :

http://www.defenseindustrydaily.com/emals-electro-magnetic-launch-for-carriers-05220/



Rescooped by Romain from Newsletter navale
March 15, 2013 5:46 AM
Scoop.it!

Avec le programme LRASM, l'US Navy et Lockheed Martin planchent sur le missile air-surface de 2025

Avec le programme LRASM, l'US Navy et Lockheed Martin planchent sur le missile air-surface de 2025 | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Un successeur pour le Harpoon

La frappe dans la profondeur de demain sera robuste ou ne sera pas. Avec le programme LRASM (Long Range Anti-Ship Missile), la Darpa et l'US Navy entendent faire mûrir les technologies nécessaires à la mise au point d'un nouveau missile anrinavire longue portée qui pourrait être opérationnel en 2024. Avec une exigence particulière en ligne de mire : rendre cet armement le plus autonome possible en termes de guidage, afin qu'il puisse atteindre sa cible même dans les environnements les plus "dégradés" d'un point de vue électromagnétique.

Multiplier les voies de guidage.

En clair, pas question de se reposer uniquement sur le guidage GPS pour arriver sur la cible. Le futur LRASM, qui a fait l'objet le 5 mars d'un nouveau contrat de développement de 71 M$ attribué à Lockheed Martin, sera équipé d'un autodirecteur multimode qui combinera notamment guidage électromagnétique et optronique. Un système qui a d'ailleurs fait l'objet d'une première série de vols captifs sous avion banc d'essai au printemps 2012, afin de valider les bonnes performances de l'ensemble en conditions littorales. Car le futur LRASM devra être capable de traiter aussi bien des bâtiments de surface que des cibles terrestres mobiles et relocalisables (type batteries de défense solair) situées sur les côtes.
Pour compléter cet autodirecteur dont les spécifications exactes sont évidemment tenues secrètes, une liaison de données spécifique doit permettre de laisser l'homme dans la boucle pendant le vol du missile. Etant donné le niveau d'exigence affiché pour les opérations en milieu hostile, on imagine que celleci sera particulièrement ''durcie" contre le brouillage. Le guidage par satellite n'est pas complètement abandonné, puisque le futur LRASM devrait également être équipé d'un récepteur GPS résistant au brouillage, sans doute plus encore que les récents modules SAASM (disponibilité sélective) qui équipent depuis fin 2012 les kits de guidage AASM français sortant de chaîne. A ce mode de guidage innovant sera associé un vecteur déjà connu. Le LRASM doit en effet reprendre l'enveloppe externe et le mode de propulsion d'un missile de croisière existant, l'AGM-158B JASSM-ER de Lockheed Martin, qui présente l'avantage d'avoir déjà bénéficié d'une intégration aéromécanique sur plusieurs avions de combat, dont le B-1B. Ce qui tombe bien, puisque l'année 2013 devrait notamment être marquée par un premier tir d'essai du LRASM depuis cette plateforme. Deux autres tirs sont également prévus en 2013, depuis des plateformes non précisées.
Une portée similaire au Scalp·EG.
Alors que le J ASSM-ER affiche une portée maximale qui flirte avec les 1000 km, le LRASM devrait plutôt se situer dans la gamme des 500 km, selon de récentes déclarations d'un représentant de Lockheed Martin. En partie parce que l'espace occupé dans le JASSM-ER par du kérosène devra être remplacé par de l'avionique afin d'assurer le guidage complexe de la munition, le JASSM original n'étant doté que d'un guidage inertiel-GPS. Le LRASM devrait qui plus est être équipé d'un pénétrateur associé à une charge explosive d'environ 500 kg pour maximiser les dommages sur les bâtiments de surface.
Financé en grande partie par l'US Navy, le LRASM devrait en priorité remplacer le vénérable AGM-84 Harpoon et ses dernières évolutions, comme le SLAM-ER, sur les chasseurs embarqués de 2025, soit le Super Hornet et le F-35C. Mais le repositionnement stratégique de Washington vers la zone Asie-Pacifique devrait étendre le besoin pour une telle capacité de lutte antisurface offensive à l'ensemble de la flotte d'avions de combat américains, US Air Force comprise. Pour l'instant en phase de réduction de risques, le programme LRASM pourrait entrer en développement dès 2014, si la maturité technologique et les financements sont au rendez-vous.

Une version mer-mer à l'étude.
Le LRASM n'équipera pas que des avions. Ce futur missile est également amené à remplacer la version "mer-mer" du Harpoon sur les bâtiments de surface américains. Pour ce faire, le nouvel engin devrait être tiré depuis un lanceur vertical (VLS) de type Mk41, qui sert déjà à mettre en oeuvre le Tomahawk. Dès 201 4, un essai de tir vertical devrait être mené. Dans cette configuration, un booster de type Asroc devrait assurer la sortie du tube et l'accélération du missile jusqu'à l'allumage de sa turbine.


Guillaume Steuer
AIR & COSMOS N° 2350 - 15 MARS 2013


Via Patrick H.
No comment yet.
Rescooped by Romain from Newsletter navale
March 15, 2013 5:44 AM
Scoop.it!

Genaral Dynamics va produire des calculateurs de mission ultra-modernes pour les Super Hornet de l'US Navy

Genaral Dynamics va produire des calculateurs de mission ultra-modernes pour les Super Hornet de l'US Navy | DEFENSE NEWS | Scoop.it

The U.S. Navy has awarded a $19.3 million contract to General Dynamics Advanced Information Systems to produce Type-3 advanced mission computers for the F/A-18E/F and E/A-18G Super Hornet aircraft.

These special computers act as the nerve center of the Super Hornet, providing situational awareness and combat systems control to the flight crew, GD officials maintain. General Dynamics has delivered F/A-18 advanced mission computers since 2002.

They’re ruggedized, highly-reliable systems that can process high-speed data flows from the latest sensor technologies, GD officials maintain. The system performs general purpose, input/output, video, voice and graphics processing, and it is designed to operate in the extreme environmental conditions of today’s high-performance fighter aircraft.

“Last year we hit a major milestone with the delivery of the 1,500th advanced mission computer to the U.S. Navy in support of the Super Hornet program,” said Lou Von Thaer, president of General Dynamics Advanced Information Systems. “Our long-standing commitment to outfitting this world-class aircraft with our open architecture has provided the Navy with the ability to cost-effectively address obsolescence, increase flexibility and strengthen performance capabilities.”




Via Patrick H.
No comment yet.
Scooped by Romain
March 15, 2013 5:39 AM
Scoop.it!

Les Mirage F1 CR quittent l'Afrique, après 32 000 heures de vol

Les Mirage F1 CR quittent l'Afrique, après 32 000 heures de vol | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Une cérémonie a eu lieu aujourd'hui à N’Djamena (Tchad) pour marquer le départ prochain des 2 Mirage F1 CR déployés sur la base aérienne 172 « Adji Kosseï ».

Leur départ met un terme à 30 années de présence de cet avion de chasse sur le continent africain. Les F1 ont en effet été déployés au cours des opérations Manta, Epervier, Birao, Artémis, Licorne, Eufor / Tchad ou encore Serval.

Comme le rappele l'EMA, entre les détachements Epervier 1 en 1987 et Epervier 100 aujourd’hui, 500 pilotes et 4 000 mécaniciens se sont succédés pour réaliser plus de 13 000 missions opérationnelles de reconnaissance aérienne, de présence dissuasive et d’appui-feu totalisant ainsi 32 000 heures de vol.

Les 2 Mirage F1 CR rejoindront la France samedi; 8 Rafale composent désormais le détachement chasse de N'Djamena.

No comment yet.
Scooped by Romain
March 15, 2013 5:34 AM
Scoop.it!

New Mega Display Cleared for F-16s' Primary Flight Reference

New Mega Display Cleared for F-16s' Primary Flight Reference | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Raytheon’s Center Display Unit (CDU) being fitted as part of the upgrading of US Air Forces’ Air National Guard F-16s has been endorsed by the Air Force as a primary flight reference (PFR) for the fighter. A PFR is a requirement in all aircraft and must include airspeed, altitude and attitude data, as well as flight path information for the pilot. “This endorsement means F-16 pilots can now use our CDU as their sole primary flight reference,” said Rudy Lewis, vice president of Customized Engineering and Depot Support for RTSC.

As shown in the video below, the CDU provides the pilot much more than flight data. The Center Display Unit (CDU) being fitted as part of the upgrading of US Air Forces’ F-16s has been endorsed by the Air Force as a primary flight reference (PFR) for the fighter.

The CDU replaces multiple legacy, analog flight instruments with a compact digital display leaving premium area for an ultra-large digital screen that can be used to present high resolution imagery from sensors, digital maps, or detailed situation displays – a cockpit layout common in generation 4.5 fighters.

Following the endorsement late last year, the Air Force awarded Raytheon a contract for full-rate production of the first 100 CDUs. The initial $3.1 million contract, awarded in 2010 Raytheon covered the delivery of 120 systems. Raytheon’s Technical Services Company LLC (RTSC) will perform engineering and the current low rate initial production (LRIP) on the system at its site in Indianapolis under the initial contract. The contract includes five optional years of full rate production with systems delivered to the Air Force logistics centers for the upgrade.

No comment yet.
Scooped by Romain
March 14, 2013 7:33 AM
Scoop.it!

Inquiets, les industriels de l'armement demandent audience à l'Elysée

Les industriels de la défense montent au créneau. Dans une lettre adressée la semaine dernière à l'Elysée que se sont procurés « Les Echos », les patrons de sept grands acteurs français du secteur (Thales, Nexter, DCNS, Dassault Aviation, Safran, MBDA et EADS France) ont décidé de demander audience au président François Hollande, afin de lui adresser un message d'alerte. Au moment où l'exécutif s'apprête à faire des choix cruciaux en matière budgétaire, «  il est essentiel que les enjeux industriels et socioéconomiques soient pris en compte avec autant de rigueur que les enjeux de budgets », expliquent les dirigeants. «  Les industries de défense sont des leviers de croissance et d'emplois hautement qualifiés et peu délocalisables. Partenaire des collectivités locales, elles entraînent avec elles un réseau de PME-PMI dont elles protègent les intérêts dans des logiques de filières. Elles sont des locomotives technologiques pour l'ensemble de l'industrie française », soulignent les patrons des grands groupes d'armement.

Cette lettre intervient alors que le Livre blanc de la défense est entré dans sa dernière ligne droite (lire « Les Echos » du 5 mars). L'Elysée entend faire en sorte que la loi de programmation militaire soit votée d'ici à l'été. Dans ce cadre, la défense pourrait faire office de « variable d'ajustement  » et être davantage mise à contribution que d'autres ministères. Une hypothèse qui inquiète fortement les groupes d'armement. Pour ces derniers, ces industries «  ne sauraient résister à certains des scénarios budgétaires actuellement à l'étude, notamment pour la préparation de la prochaine loi de programmation militaire ».

Rappelant l'impact positif des industries de défense sur notre balance commerciale, les dirigeants du secteur s'alarment des conséquences sur l'emploi, le maintien des compétences et le tissu de sous-traitants des mesures envisagées. Et ils ne veulent pas être exclus d'un débat qui engage aussi vivement leur avenir.

No comment yet.
Rescooped by Romain from Newsletter navale
March 14, 2013 7:30 AM
Scoop.it!

L'industriel indien Bharat Electronics Ltd (BEL) a signé un contrat de livraison d'équipements à la Marine birmane

L'industriel indien Bharat Electronics Ltd (BEL) a signé un contrat de livraison d'équipements à la Marine birmane | DEFENSE NEWS | Scoop.it

India's state-owned Bharat Electronics Ltd (BEL) has secured a contract to supply a number of shipborne sensors to Myanmar, IHS Jane's understands.

A contract was signed in mid-January for the delivery of three sets of RAWL-02 Mk III L-band 2D search radars, which are licence-built versions of the Thales LW-08 radar, commercial-off-the-shelf (COTS) navigation radars, and a hull-mounted sonar system. The latter is likely to be the HUMSA system. These are to be fitted to frigates under construction in Myanmar.

Myanmar has a frigate construction programme under way at its naval dockyard in Yangon. The first of the 106 m-long frigates, UMS Aung Zeya (pennant number F11), is fitted with what appears to be an older variant of the RAWL. A second hull, with a stealthy superstructure, was launched in September 2012 as UMS Kyan-Sit-Thar (F12). The ship is undergoing outfitting, with completion slated for early 2014.

A third frigate is under construction at Sinmailik Naval Dockyard, Rangoon, according to Burmese sources. Its keel-laying ceremony took place on 5 September 2010, and hull framing was largely complete by February 2012. The BEL deal could mean a fourth frigate is on the way, and reports indicate eight frigates are planned.


Via Patrick H.
No comment yet.
Rescooped by Romain from Newsletter navale
March 14, 2013 7:29 AM
Scoop.it!

Le contre-amiral Yin Zhuo parle de la transformation de la Marine chinoise dans ce reportage de la chaîne CCTV

The last decade has seen a major shift for China's Navy, from coastal defense, to greater responsibilities in the deep sea. The country is increasingly concerned about the safety of its sea lanes and the security of development. CCTV reporter Han Bin finds out how the People's Liberation Army Navy is meeting the challenges.

China's nuclear submarines, anti-ship ballistic missiles, and its first aircraft carrier. Symbols of a rising naval power.

Rear Admiral Yin Zhuo says the navy is undergoing a profound transformation.

Rear Adm. Yin Zhuo, Director of Navy Information Expert Committee, PLA, said, "The key motives for the transformation of the PLA Navy come from the requirements of the country's economic development, which is connected with the deep blue sea. The navy has to protect both the security and economic interests of China. "

The admiral is a member of China's political advisory body. Over the years, his proposals have focused on China's maritime rights. He believes any future battles are most likely to take place at sea.

Training has been intensified, and especially in what's known as blue water missions, those in the open seas.

Senior Captain Cao Weidong showed us the route of the most recent training. It goes through the East China Sea, the Miyako Strait, and waters off the eastern coast of Taiwan.

Sr. Capt. Cao Weidong, Naval Research Institute, PLA, said, "The fleets relied completely on themselves to carry out their maritime combat capabilities, like air defense, anti-submarine and open-sea combat. Deep sea training is the most realistic training that simulates actual combat situations."

Training for the carrier-based fighters and pilots has made remarkable breakthroughs. The Liaoning now docks in the eastern port of Qingdao, waiting for possible deep sea training later in the year.

"The aircraft carrier can fundamentally change the structure of naval forces. It can form a battle group with frigates, amphibious fleets and submarines. This reveals the direction of PLA naval development in line with maritime powers. " Said Yin.

Under a new strategy, the PLA's warships will pass through more international straits and waters to improve overall capabilities.


Via Patrick H.
No comment yet.
Scooped by Romain
March 14, 2013 5:54 AM
Scoop.it!

China's Newest Stealth Fighter May Head to Sea, State Media Says

China's Newest Stealth Fighter May Head to Sea, State Media Says | DEFENSE NEWS | Scoop.it

China’s latest stealth fighter prototype could be deployed aboard the Chinese navy’s first aircraft carrier, eventually allowing Beijing to deploy radar-evading warplanes all over the world — although it’ll have to overcome some serious constraints.

The twin-engine J-31, which made its public debut in blurry photographs snapped at the Shenyang Aircraft Company airfield in northeastern China in late October, “may become China’s next generation carrier-borne fighter jet,” according to the government-owned Global Times newspaper. “News” from China’s state media, including Global Times, essentially can be read as official announcements.

But Sun Cong, the J-31′s chief designer, implied that the new stealth jet will need to be enhanced to become carrier-compatible, according to Global Times. In other words, the J-31 won’t be headed to sea any time soon, however much Chinese state media signals the rising power’s interest in taking its stealth jet out to the open water.

 

In any event, the prospect of a maritime future for the J-31 places China in rarefied company. Of the dozen or so countries that possess flattops, only a handful are developing carrier-based stealth warplanes; and none have deployed them yet. The U.S. Navy is working on the F-35C ship-compatible version of the Joint Strike Fighter; the U.K. and Italy are also acquiring F-35s for their carriers — in their cases, the vertical-landing B-model of the next-generation jet that the U.S. Marines will use.

With a years-long head start, the Western countries are likely to field their carrier-launched stealth fighters well before the Chinese could. Beijing is only beginning to develop its naval aviation capability, a century after the U.S. formed its own seagoing air force.

There has long been speculation about the J-31′s naval destiny. Observers noted during its debut that the first J-31 prototype has the extra-tough twin nose wheels that are typical of carrier-based planes, which tend to land hard on their comparatively small floating airstrips.

But judging from high-resolution photos of the J-31 prototype, the new plane apparently lacks other key features of naval fighters, including a tailhook (for snagging the arresting wire on the carrier deck) and folding wings (for compact storage below deck). It’s these additions and others that Cong was likely referring to when he said the carrier-based J-31 would have to be an improved model.

There’s little need for hastiness on Beijing’s part. China’s sole carrier, the ex-Soviet Liaoning, began sea trials in the summer of 2011 and landed her first planes in November. State media claims Liaoning will sail on her first long-range voyage sometime this year, with the goal of entering frontline service within two years. (China’s ongoing construction of naval tanker ships, meant to refuel the carrier on long deployments, seems to corroborate this timeline.)

Beijing is also planning its first homebuilt carrier, with construction reportedly beginning this year.

Liaoning already possesses the components of a basic air wing, including non-stealthy J-15 fighters and several types of helicopter. There is some evidence Beijing is also developing a carrier-launched radar plane similar to the U.S. E-2. But Liaoning lacks the steam catapults that are standard on large American flattops — and this limits the ship’s ability to launch large, heavy planes in the class of the E-2.

The absence of catapults could also have some bearing on any future, maritime version of the J-31. Since they must launch off the ship’s deck strictly under their own power, China’s carrier planes are constrained in the amount of fuel and weapons they can carry. For all its potential stealthiness, a naval J-31 could sneak into a battle zone with only a handful of missiles and very little fuel for maneuvering — though to be fair, the U.S. F-35 also has a fairly small weapons loadout while in stealth mode.

If the J-31 goes to sea, it could allow Beijing to deploy high-tech air power almost anywhere in the world within reasonable flying range of the coast. But not any time soon. And not without plenty of limitations.

No comment yet.
Scooped by Romain
March 18, 2013 5:39 AM
Scoop.it!

Embraer flight-testing India's last AEW EMB-145

Embraer flight-testing India's last AEW EMB-145 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Embraer is flight-testing the last of three EMB-145 aircraft modified to be fitted with an airbornesurveillance radar for India. Once the activity has been completed in Brazil, the aircraft will be delivered to the Indian Defence Research and Development Organisation's (DRDO) Centre for Airborne Systems to have an indigenous active electronically scanned array radar installed.

"They have two aircraft with the mission systems already installed," says Embraer, which adds that it provides technical assistance to India with regard to integrating the platform's mission systems. "It's a joint programme," Embraer says. "We have our technicians going there and some Indian technicians coming here."

No comment yet.
Scooped by Romain
March 18, 2013 5:36 AM
Scoop.it!

Brazil selects IAI 767 tanker to replace KC-137s

The Brazilian air force has selected Israel Aerospace Industries (IAI) to convert two Boeing 767-300ER airliners into aerial refueling tanker transports.

The converted aircraft, which will replace the country's existing Boeing 707-derived KC-137s, will also act as a strategic airlifter and medical evacuation aircraft.

Brazil's two KC-137s were built in the 1960s but only entered service with the country's air force in 1986.

The aircraft need to be replaced because of high operating costs and high fuel consumption. The aircraft's excessive engine noise also played a factor in Brazil's decision to replace the KC-137.

Brazil has been looking for a replacement tanker since 2008 under the KC-X2 programme. Boeing, Airbus Military and IAI had been invited to submit bids.

The award comes nearly three years after IAI delivered to Colombia a 767-200 modified into a tanker.

IAI's Bedek division performs the tanker modifications. The company offers refueling by probe-and-drogue and a recently qualified fly-by-wire boom, although it was not clear which configuration Brazil selected.

No comment yet.
Scooped by Romain
March 15, 2013 6:14 AM
Scoop.it!

Time to start working on C-130BZ replacement is now

Time to start working on C-130BZ replacement is now | DEFENSE NEWS | Scoop.it

It could be termed “a call to action” or even a friendly warning but the meaning is clear – unless those tasked with planning for the equipment needs of the SA Air Force (SAAF) don’t start now, the country is going to find itself grounded when it comes to airlift.

The SAAF maintains it can operate its ageing fleet of C-130BZ Hercules until 2020 but this doesn’t mean work on replacing these venerable workhorses shouldn’t start now. This is the view of Dennys Plessas, Lockheed Martin Vice President Business Development Initiatives, Europe, Middle East and Africa.

“A start has to be made on planning to replace the BZs,” he told journalists in Pretoria this week.

He acknowledged the South African defence budget, in common with many western countries, was under “extreme stress”. He noted that at a cost of between R693 and R780 million for the basic aircraft, it would be better to look at acquisition “sooner rather than later”.

With timeframes for delivery of up to five years from the date of initial contractual agreement to acquire new aircraft, this certainly makes sense. Plessas pointed out that fine-tuning of contracts and all documentation could take up to a year.

“When this, along with actual build time, fitting of customer specific requirements and testing is taken into account, there is not really too much time left for the SAAF to start serious work on the C-130BZ replacements.”

The SAAF C-130s are operated by 28 Squadron at AFB Waterkloof and this year notch up a remarkable 50 years of service. This Plessas sees as not only a tribute to the flying and maintenance skills of the SAAF and the maintenance and repair abilities of Denel Aviation but also the ruggedness of the aircraft.

“It has proven itself as a willing workhorse all over the world and has, over the years, been adapted to any number of missions.”

It’s origin as a pure airlifter has been boosted by the addition of mission capabilities including air-to-air refuelling, VIP passenger transport, firefighting, maritime patrol and reconnaissance, paradropping and even an armed version.

Airlift and maritime patrol are two red light areas of operation facing the SAAF and Plessas believes the C-130J can do these jobs as well as others.

“This would eliminate the need to acquire extra platforms and because the SAAF is a long-time user of the C-130, at least half the infrastructure needed for new Lockheed Martin platforms is already in place. I see an almost seamless transition to the C-130J if the planners decide it is the most suitable platform.”

This was further borne out by William Swearengen, Air Mobility Systems Studies Principal at Lockheed Martin Aeronautics.

He and his team have completed a number of studies pertaining to the use of the C-130J by the SAAF. These include maritime patrols and air-to-air refuelling.

Working from AFB Waterkloof, the new generation airlifters, when suitably equipped, could refuel 2 Squadron Gripens on sorties across the continent. They could also provide full coverage, using a single aircraft, of South Africa’s exclusive economic zone and its priority fishing areas also from Waterkloof, obviating the need to duplicate facilities for maintenance at either AFB Ysterplaat or Port Elizabeth.

These studies show the latest generation Hercules will be a true multi-mission platform and when the possible inclusion of high-tech passenger capsules is added, the C-130J can be tasked in yet another area of operations the SAAF is battling to fill adequately.

Both Plessas and Swearengen point out the modular system of roll-on/roll-off components for different missions do not all have to be done at once.

“These are all already in service and development costs have been paid by the US Air Force. This means no extra cost and with all the necessary fitment options already on the C-130J they can be acquired as need and finance dictate adding more value to the multi-mission role of the aircraft,” they said.

28 Squadron has nine C-130BZs on its inventory to fulfil tasks ranging from logistic support for SA National Defence Force continental peacekeeping and peace support operations, humanitarian operations, support to the landward force, and general airlift. Indications are three, at most four, aircraft are airworthy at any given time.

The C-130BZs were scheduled to be replaced by Airbus’ new generation A400M airlifter, but this order was cancelled due to delays in production, and cost escalations. A deposit of R3.5 billion, paid to Airbus as a risk taking partner in the A400M programme, has been refunded to government but has not been allocated to aircraft acquisition. Indications are at least part of the refund went to the Gauteng Freeway Improvement Programme.
Picture: Frans Dely/Lockheed Martin

No comment yet.
Scooped by Romain
March 15, 2013 6:11 AM
Scoop.it!

A dozen SAAF Gripens in long-term storage

A dozen SAAF Gripens in long-term storage | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Twelve of the South African Air Force’s 26 Gripen fighter jets are in long-term storage, according to defence minister Nosiviwe Mapisa-Nqakula, as the Air Force does not have the funding to fly them.

This emerged yesterday in reply to a parliamentary question posed by the opposition Democratic Alliance party’s Shadow Minister of Defence and Military Veterans David Maynier.

“The South African Air Force (SAAF) has 12 Gripen Fighter Aircraft placed in long-term storage. These aircraft are placed in a storage as a planned activity in line with their utilization and budget expenditure patterns/flow of SAAF,” Mapisa-Nqakula said.

“The Gripen fighter jets are supposed to provide the air combat capability for the South African Air Force (SAAF). However, the Gripen fighter jets are effectively grounded because the operating budget has been stripped to the bone and the SAAF cannot afford to operate the ‘Gripen system’,” Maynier said.

Already in 2010 there was great concern that a lack of money would ground the Gripen. Then-defence minister Lindiwe Sisulu warned that the Gripens could be mothballed if the military failed to get hold of extra funding. The Department of Defence annual report released in 2010 warned that “Combined with the recent funding cuts for the medium-term expenditure framework period, the air force will only be able to sustain the Hawk system.

“Without adequate funding levels being provided, the air force will not be able to meet its mandate in terms of defence or its support of government initiatives in the medium and longer term. The unwanted reality is portions of aircraft fleets may have to be placed in long-term storage, and certain capabilities, units or bases may have to be closed down.”

The lack of money for the Gripens has also affected flying hours and pilot training. In April 2011 then-chief of the Air Force Lieutenant General Carlo Gagiano said the Air Force was not going to fly the required number of hours due to a lack of funding and in its 2010/2011 report, the Department of Defence said that due to underfunding, the number of flight hours per Gripen aircrew member was reduced from 224 to 110 per year.

At present the SAAF can only muster six qualified Gripen pilots who only have 150 flying hours available across the whole Gripen squadron this year, according to Maynier. The annual target for fighter flying hours was 250 for the 2011/2012 period, according to the Department of Defence’s most recent Annual Report.

Chief of the Air Force Lieutenant General Zakes Msimang when asked about Gripen flying hours earlier this year, said that the Air Force had never failed to deliver what was asked of it.

Defence analyst Helmoed-Römer Heitman noted the North Atlantic Treaty Organisation (NATO) requires fighter pilots to log at least 20 flight hours per month (240 flight hours per year per fighter pilot) to remain qualified.

“One of the biggest scandals of the Arms Deal is that we bought military equipment we could not afford to operate. And there is no better illustration of the point than the Gripen fighter jets in long-term storage,” Maynier said. “It is imperative that the Minister of Defence and Military Veterans, Nosiviwe Mapisa-Nqakula, reviews the allocation of the operating funding to the “Gripen system” in the SAAF.”

In 2007 it emerged that the Gripens cost R19.08 billion, up from the original R17.8 billion estimate for both 26 Gripens and 24 Hawks.

It is unlikely that the Gripen situation will improve anytime soon, as the defence budget for the 2013/14 financial year stands at R40.2 billion, just R1.8 billion more than the previous year’s.

South Africa bought 26 Gripens (17 single-seat Gripen Cs and nine two-seat Gripen Ds) as part of the Strategic Defence Procurement Package (in 2005 reduced to 26), becoming the Gripen’s first export customer. Deliveries concluded in September last year. The Gripens replaced the Cheetah fleet, which was withdrawn four years early due to funding constraints.

No comment yet.
Rescooped by Romain from Newsletter navale
March 15, 2013 5:47 AM
Scoop.it!

L'ilôt avant du futur HMS Queen Elizabeth posé sur le pont du porte-avions la nuit dernière au chantier de Rosyth

On March 13 and 14 teams at the Aircraft Carrier Alliance positioned the forward island - the ship's bridge - into place on the flightdeck of HMS Queen Elizabeth. The final stage was overseen by Defence Secretary Philip Hammond


Via Patrick H.
No comment yet.
Rescooped by Romain from Newsletter navale
March 15, 2013 5:44 AM
Scoop.it!

Le JHSV 2 USNS Choctaw a terminé avec succès ses essais constructeur avec une pointe à plus de 41 noeuds

Le JHSV 2 USNS Choctaw a terminé avec succès ses essais constructeur avec une pointe à plus de 41 noeuds | DEFENSE NEWS | Scoop.it

MOBILE, Ala. (NNS) -- Joint High Speed Vessel (JHSV) 2, the future USNS Choctaw County, conducted builder's sea trials March 7-8, in Mobile, Ala.
The ship, now under construction at Austal USA, is the second ship of the JHSV class.
Builder's trials are a significant step in the construction and delivery of a ship to the fleet and are the first opportunity to operate the ship underway and test overall system performance prior to demonstration to the Navy's Board of Inspection and Survey (INSURV).
"JHSV 2 is the second ship in this class to go through rigorous builder's trials testing," said Strategic and Theater Sealift Program Manager Capt. Henry Stevens. "At this stage, JHSV 2 is more complete than the lead ship, and we are benefitting from JHSV 1's lessons learned. This was the first step in preparing the ship for acceptance trials and delivery later this year."
Trials included operating the ship's propulsion plant for many hours at different power levels, up to full power; testing and calibration of communication and navigational systems; ride control systems testing; and pollution control systems tests. Maneuverability trials tested the ship's four steerable water jets while a series of high-speed turns demonstrated the stability and agility of JHSV's catamaran hull form. The ship reached speeds of more than 41 knots.
Next, Austal will complete any required corrective actions required in preparation for acceptance trials, planned in the coming weeks. Choctaw County is expected to deliver to the Navy this summer. JHSVs are versatile, non-combatant, transport ships used for fast intra-theater transportation of troops, military vehicles, and equipment.
JHSV is designed to commercial standards, with limited modifications for military use. The vessel is capable of transporting 600 short tons 1,200 nautical miles at an average speed of 35 knots and can operate in shallow-draft ports and waterways, interfacing with roll-on/roll-off discharge facilities, and on/off-loading a combat-loaded Abrams Main Battle Tank (M1A2).
Other joint requirements include an aviation flight deck to support day and night aircraft launch and recovery operations. JHSV 2 will have airline style seating for 312 embarked forces with fixed berthing for 104.
As one of the Defense Department's largest acquisition organizations, PEO Ships is responsible for executing the development and procurement of all destroyers, amphibious ships, special mission and support ships, and special warfare craft. Delivering high-quality war fighting assets while balancing affordability and capability is key to supporting the Navy's Maritime Strategy.


Via Patrick H.
No comment yet.
Scooped by Romain
March 15, 2013 5:41 AM
Scoop.it!

Les 34 Caïman devront attendre

A plusieurs reprises, ce blog avait prévenu : le Caïman récemment adopté par l'armée de terre faisait une bonne cible pour les économies budgétaires. Il avait connu quelques signes
avant-coureurs pas tous rassurants. Le CEMAT s'est ému, plusieurs fois, de l'état de son aéromobilité.
L'actualité de la semaine semble confirmer ce faisceau d'éléments peu favorables car le comité ministériel d'investissement (CMI) de mardi matin n'a pas débouché sur la commande de 34 Caïman pour l'armée de terre, comme attendu. Et donc, sauf changement peu probable, cette commande ne sera pas passée avant l'été, au plus tôt. Contractuellement, elle devait intervenir avant le 31 mars, faute de quoi la roadmap serait remise à plat. Le budget de la defense devra en plus débourser quelques millions (autour de 40) d'euros, pour se payer le luxe de ne pas respecter ses promesses. A ce stade, le ministère, qui n'avait déjà étonnamment pas communiqué sur le CMI, ne commente pas.
Cette commande de Caïman (1) avait été annoncée comme acquise lors d'une visite du précédent ministre de la défense à Marignane. Mais contrairement à un contrat notifié à Thales pour la future radio de l'armée de terre juste avant les élections, le contrat Caïman n'a pas été passé à l'époque.
Interrogé en Guyane par la presse locale lors d'une visite, ce ministre-ci avait reconnu que le parc d'hélicoptères des armées n'était pas au meilleur de sa forme, il avait même parlé du Caïman.
Mais donc pas de contrat. La décision, s'il y en a une, pourrait intervenir dans le cadre de la LPM. On le voit cependant tous les jours, l'âge du Puma rend difficile l'emport simultané de plus d'une section, au Mali.

No comment yet.
Scooped by Romain
March 15, 2013 5:38 AM
Scoop.it!

Denmark reopens fighter bid, seeking 30 new jets

Denmark reopens fighter bid, seeking 30 new jets | DEFENSE NEWS | Scoop.it
After putting the competition on ice in 2010 due to the financial meltdown, the Danish government has officially relaunched its bid to acquire a new fleet of fighters with Boeing, Saab, Eurofighter and Lockheed Martin’s Joint Strike Fighter team all on stand-by.

Although Eurofighter suspended sales talks with the Danes back in 2007, the European consortium keen to reopen discussions about the Danish New Combat Aircraft competition. Eurofighter CEO, Enzo Casolini, said: "We welcome the invitation of the Danish Government and we are pleased to enter into this international competition … We are ready to develop a strategic partnership with Denmark and provide opportunities for significant collaboration with Europe’s leading industrial nations.”

Boeing’s F/A-18 Super Hornet, Lockheed Martin’s F-35 and Saab’s Gripen will also be vying for the contract, which will be one of the largest in Danish history.

Saab could play off its established relationship with the Danish as Lieutenant Colonel Stefan Wilson, the Head of Air Operations, J3 at the Swedish Armed Forces Headquarters, told Defence IQ that: “In Operation Unified Protector, Denmark and Norway also participated with their fighters. At Sigonella NAS we had a very good cooperation with the Danish unit – that collaboration was one of the reasons why we could declare IOC so early.”

Although the Danish Defence Forces are a relatively small outfit, in a recent interview with Defence IQ Colonel Steen Ulrich, Commander, Danish Helicopter Wing Karup, explained that “the trick is flexibility and, above all, mindset,” when seeking to maximise effectiveness for training and operations.

A winner is likely to be announced in 2015 although the in-service date is unknown, however the Ministry of Defence indicated that it could be as late as 2024.

No comment yet.
Scooped by Romain
March 14, 2013 7:35 AM
Scoop.it!

DCI vise à nouveau une croissance ambitieuse

DCI vise à nouveau une croissance ambitieuse | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Loin d'EADS, Thales et autres grands industriels de l'armement, DCI continue de tracer sa route. La société, dont la spécialité historique repose sur la formation des militaires de pays qui ont acheté du matériel français, vient de clore son plan stratégique 2008-2012. « Tous les objectifs ont été respectés », assure aux « Echos » son PDG, Jean-Louis Rotrubin. Place désormais au nouveau plan, tout aussi ambitieux.

En 2017, DCI se fixe d'atteindre 270 millions d'euros de chiffre d'affaires, contre 205 millions attendus cette année, et 189 millions réalisés en 2012. Si tout va comme prévu, la rentabilité opérationnelle tutoiera les 12 %, soit deux points de plus qu'actuellement. A cet horizon, les effectifs seront de 1.000 salariés, contre environ 700 aujourd'hui.

La société revient pourtant de loin. En 2006, DCI voyait s'approcher avec appréhension la fin des retombées du contrat Sawari II de frégates vendues à l'Arabie saoudite. Le carnet de commandes couvrait à peine une année de chiffre d'affaires et l'avenir, faute de nouveaux grands contrats d'armements signés par la France, s'annonçait très tendu. En clair, la dépendance de la société aux seules prestations de formation n'était plus tenable.

Bureaux à l'étranger

Au prix d'un gros effort - les effectifs ont fondu de moitié entre 2004 et 2010 - la société a d'abord ouvert de nombreux bureaux à l'étranger, aux Emirats arabes unis, au Qatar, au Koweit et en Malaisie. Singapour a suivi plus récemment. La palette de prestations a été élargie, en matière de maintenance de matériel ou de formation académique notamment. En France, l'accent a été mis sur l'externalisation avec un gros coup : la formation des pilotes d'hélicoptères. Avec 20 millions par an, c'est le plus gros contrat de DCI.

Résultat, le carnet de commandes a atteint 338 millions en fin d'année dernière, un record qui dépasse le pic de Sawari II. Soit deux ans et demi de revenus. Jean-Louis Rotrubin estime que DCI peut continuer à se développer sans trop dépendre des gros contrats export. A telle enseigne que moins des 10 % des 270 millions de revenus visés en 2017 seront liés aux trois grosses ventes d'armes de la France de ces dernières années (le sous-marins Scorpène, à l'Inde, à la Malaisie et au Brésil). « Aujourd'hui, 80 % du carnet de commandes reposent sur 25 contrats. A l'époque de Sawari II, un seul contrat représentait 80 % du carnet de commandes », souligne le PDG de DCI, pour mieux résumer la transformation réalisée.

No comment yet.
Scooped by Romain
March 14, 2013 7:30 AM
Scoop.it!

Vers une apocalypse budgétaire pour les armées

Vers une apocalypse budgétaire pour les armées | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Les armées se préparent en secret à une apocalypse budgétaire. Avant même la publication du Livre blanc sur la défense qui doit intervenir dans quelques semaines, il n'existe qu'un sujet de préoccupation au ministère de la Défense : les options budgétaires de la future loi de programmation militaire. Pour simplifier, on peut dire que le Livre blanc définit une perspective stratégique globale, quand la loi de programmation militaire qui sera discutée ensuite, durant l'été, en tire les conclusions budgétaires. Or après des mois de tergiversations, François Hollande, chef des armées, annoncera ses choix financiers le 19 mars prochain lors d'un conseil de défense, avant de les préciser le 26 mars. Rappelons qu'un conseil de défense et de sécurité rassemble autour du président le Premier ministre (Jean-Marc Ayrault), les ministres de la Défense (Jean-Yves Le Drian), de l'Intérieur (Manuel Valls), de l'Économie (Pierre Moscovici), du Budget (Jérôme Cahuzac) et des Affaires étrangères (Laurent Fabius). Le chef d'état-major des armées, l'amiral Édouard Guillaud, est présent.

Projections apocalyptiques

Passons sur les épisodes précédents et sur les exercices budgétaires internes au ministère de la Défense, qui ont accompagné les travaux sur le Livre blanc. Fin décembre 2012, les problèmes sont apparus lorsque les prévisions budgétaires sont devenues franchement inquiétantes. Avec une croissance nulle ou presque, une situation économique gravement détériorée, il est alors devenu clair que le maintien de l'effort de défense actuel (1,56 % du produit intérieur brut en 2013, pour un budget de 31 milliard d'euros) ne pourrait pas être maintenu. Jean-Yves le Drian a toujours dit que la défense serait touchée en proportion des efforts consentis par les autres ministères, pas davantage. Sauf qu'aujourd'hui, les deux projections préparées pour le conseil de défense de mardi prochain sont désastreuses pour la première, apocalyptique pour la seconde.

Hypothèse Y

La première épure budgétaire, qualifiée à l'hôtel de Brienne - siège du ministère de la Défense -, d'hypothèse "de survie", est terrible. Il s'agirait pour la défense de continuer à faire tout ce qu'elle fait aujourd'hui, mais avec beaucoup moins de personnels et de moyens. Elle impliquerait la perte de 30 000 emplois dans les armées et de 15 000 autres dans l'industrie de défense. Dans ce schéma, toutes les armées perdraient des plumes, mais d'abord l'armée de terre qui verrait disparaître sa capacité de projection. En clair, et pour prendre un scénario on ne peut plus actuel : les forces spéciales qui perdureraient auraient été capables de stopper l'offensive des groupes djihadistes sur Bamako, début janvier. Mais projeter ensuite 4 000 hommes au Mali pour une mission de plusieurs semaines, il faudrait oublier.

Dans cette hypothèse, la question du maintien de la composante aérienne de la dissuasion est posée et de nombreux programmes d'équipements seraient retardés ou repoussés aux calendes grecques. Du côté de l'industrie de défense, ce serait également un massacre et l'éventualité de la disparition de l'industriel d'armement terrestre Nexter est explicitement évoquée. "On ne sait pas faire une telle réduction, qui vient après les 54 000 suppressions de poste du précédent quinquennat", dit un hiérarque connaissant le dossier. "Mais quand on en parle avec les gens du Budget, ils nous expliquent franchement que l'hypothèse Y n'est pas possible pour eux. Qu'il faut y aller plus fort !" Mais la défense va devoir contribuer pour un milliard à l'austérité en 2014, et pour deux milliards en 2015. En deux ans, avant même de trancher dans le vif, ce sont 10 % d'une annuité qui vont sauter ! Quant à l'hypothèse Z, c'est... l'apocalypse !

Une conflagration

François Hollande, chef des armées, est pris en tenaille ! D'une part l'hypothèse Y que nous venons de voir est déjà considérée comme inacceptable par Jean-Yves Le Drian. Le ministre de la Défense sait, même si c'est accessoire, quels sont ses risques personnels dans cette affaire, face à des militaires qui n'ont jamais jugé in fine leurs ministres qu'à la capacité de défendre leur budget. Mais, d'autre part, l'hypothèse Z est celle que défend Bercy avec ardeur, dès lors qu'elle est seule compatible avec la politique de rigueur décidée par... le chef de l'État ! Or, là, on ne parle plus de la même défense de la France. Cette éventualité implique en effet 50 000 suppressions d'emploi dans les armées (c'est l'effectif total de l'armée de l'air) et autant dans l'industrie de défense. Dans cette hypothèse, ce serait la fin de l'armée française telle que nous la connaissons, alors même que le monde devient de plus en incertain. Nous avons entendu évoquer la "mise sous cocon" du porte-avions Charles de Gaulle, ou sa vente au Brésil ou à l'Inde. "Ce serait une conflagration, estime un expert, un bateau qui porte ce nom, en plus ! Un nouveau paquebot France, en pire, une fierté nationale, alors que 66 % des Français pensent qu'il faut augmenter le budget militaire !" Mais ce n'est pas tout. Ces choix budgétaires consisteraient à ramener d'ici quelques années le budget de la défense d'environ 30 milliards à 20 milliards, à faire passer la part de la richesse nationale consacrée aux armées de 1,5 % du PIB à 1,1 %. Impensable ? Apparemment, non.

Économies à la hache...

La renonciation par la France à son groupe aéronaval n'empêcherait pas, dans cette hypothèse, la renonciation à l'avion-cargo A400M, synonyme de la fin du programme dans son ensemble, et la perte des 10 000 emplois d'Airbus Military. Oubliés aussi, les programmes Scorpion des nouveaux blindés de l'armée de terre, des commandes d'hélicoptères NH-90 et Tigre, comme sont envisagées la fin de la série des Rafale, celle d'une grande partie des frégates FREMM et des sous-marins nucléaires d'attaque Barracuda. Les nouveaux ravitailleurs aériens MRTT, on oublie aussi... On évoque la dissolution d'une trentaine de régiments. "Nous sommes dans une situation de crise grave", admet-on sans finasser au ministère de la Défense, où l'on reconnaît à voix basse avoir secrètement lancé un groupe de travail sur l'abandon du transfert du ministère à Balard. "On va mesurer ce que coûteraient les dédits et un maintien dans nos taudis du boulevard Saint-Germain. On n'a plus le choix, on rabote et on passe tout à la paille de fer", lance un interlocuteur décontenancé. Un autre, moins mesuré, lance : "On prend le mur en pleine gueule. On a bien tenté de faire comme d'habitude, de repousser les problèmes après 2017 ! Mais ça n'a pas marché..."

Sortir de la crise

Évidemment, de telles perspectives font réfléchir. Avec la fin des capacités de projection et de maintien de la paix, mais aussi des ambitieuses capacités d'anticipation (satellites, renseignement technique, etc.), c'en serait fini des ambitions et de la puissance françaises : "On aurait l'armée du Benelux, la dissuasion en plus...", lance un homme au courant des débats internes, qui ne se résout pas à voir les armées se contenter d'un grand écart : Vigipirate et la bombe atomique, que François Hollande a promis de ne pas toucher. Il ne semble pourtant pas sérieux qu'un tel bond en arrière soit vraiment envisagé par le président de la République, au risque de voir la France abandonner son statut international.

Comment faire ? C'est la question qui sera posée au conseil de défense la semaine prochaine. Les militaires se prennent à rêver que le président fasse passer la défense au rang de priorité nationale, comme l'éducation ou la "sécurité", qui ne concerne curieusement à cette heure que le ministère de l'Intérieur. Mais soyons-en certains : les prochains jours seront chauds et les calculettes vont crépiter...

No comment yet.
Rescooped by Romain from Newsletter navale
March 14, 2013 7:29 AM
Scoop.it!

Plan de restructuration en vue pour Navantia : les ouvriers manifestent

Plan de restructuration en vue pour Navantia : les ouvriers manifestent | DEFENSE NEWS | Scoop.it

The management of Navantia want to avoid at all costs the bankruptcy of the company. Its president, Jose Manuel Revuelta, in collaboration with the head of the Spanish Society of Industrial Participation (SEPI), Ramon Aguirre, works in the viability of the shipbuilder. However, the bills do not go despite having taken the first steps to reduce expenses. Navantia has no workload and, what's worse, there is no short-term expectations to sign a contract to provide financial oxygen. The company has survived the last eight years of the agreements signed between 2004 and 2007 following the conversion of Izar. The workload is over for Galicia and the Bay, while the company is drowning in losses. Today, the six public shipyards in the country join forces to take to the streets to demand jobs and thereby save their jobs. At the same time, the Board will hold a meeting at which its operators are expected to put on the table the financial statement of 2012 that may yield a loss of 110 million euros before tax. The situation will be unsustainable in the coming year if the management company does not take action now. To continue in this line may go bankrupt by the burden posed on its income statement the accumulated losses, to be determined. Navantia, like it or not, is facing a new conversion. The defense cuts in Spain and in the rest of the world and competition from Asian shipyards have jeopardized this company public. The Government must now decide what to do: continue building or, conversely, as a company Navantia leave maintenance and repairs. The decision is complicated, but everything points to a workforce reduction to survive a few more years.


Source :

http://www.lavozdigital.es/cadiz/v/20130314/opinion/plan-ajuste-para-navantia-20130314.html



Via Patrick H.
No comment yet.
Scooped by Romain
March 14, 2013 5:59 AM
Scoop.it!

L'A400M est certifié AESA

L'A400M a reçu aujoud'hui de l'AESA son certificat de type civil complet. L'AESA
est l'autorité de sécurité aérienne européenne, et ce document est une première pour un avion militaire. Il doit encore obtenir la certification militaire, mais le sceau de l'AESA est une étape qu'Airbus Military voulait franchir à tout prix.
L'industriel a prévu de livrer le premier avion de série à l'armée de l'air à la fin mai, début juin, dans un standard initial (IOC).

No comment yet.