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March 27, 2013 6:10 AM
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Le CEMA a aussi expliqué que le modèle Y , c'est le dernier arrêt avant la catastrophe. On est sur des prévisions apocalyptiques. Jusqu'à 50.000 personnels en moins, une diminution de contrat opérationnel allant jusqu'à 50%, plus aucun char lourd, 250 chars moyens, 1100 VBMR (1), zéro porte-avions, 4 SNLE, 4 SNA, 2 ravitailleurs, 140 avions de combat, 11 MRTT. C'est une des variantes du scénario Y qui nous a été présentée. On n'aurait plus que deux implantations en Afrique, on abandonne le Golfe... Vu les réactions des parlementaires, il pourrait y avoir une ultime réunion de la commission en avril.
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March 26, 2013 6:51 AM
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La réserve opérationnelle, qui associe depuis la débâcle de 1870 des citoyens temporairement armés et les armées d'active, est mal partie... En 2011, l'actuelle réserve opérationnelle comptait 57 187 réservistes opérationnels (dont 27 411 dans la gendarmerie) pour une activité moyenne de 22,9 jours par an. Selon un document que nous avons pu lire, un passage partiel de cette réserve au bénévolat est à l'étude. Jusqu'à présent, cette organisation est intégrée au tissu militaro-social français qui accepte fort bien que des civils occupent durant quelques semaines ou quelques mois par an des fonctions militaires. Ces officiers ou sous-officiers de réserve suivent des formations permanentes et leurs grades et promotions évoluent comme ceux des militaires d'active, à ceci près qu'ils n'occupent aucun poste d'officier général. En 2011, les armées françaises avaient dépensé 75,7 millions d'euros pour les réservistes opérationnels, hors gendarmerie. Lorsqu'ils servent temporairement sous les drapeaux (minimum cinq jours par an, maximum soixante jours, en principe), ces réservistes sont payés, ou "soldés" comme disent les militaires, au même niveau qu'un militaire d'active. Un capitaine de réserve recevra donc durant sa période d'activité la même solde que ses camarades fonctionnaires. Eh bien, aussi incroyable que cela puisse paraître, cette solde des réservistes est remise en cause. Et la défense se prépare à demander aux réservistes de servir à titre bénévole. Désintéressement Dans un courrier adressé le 3 mars 2013 au directeur des ressources humaines du ministère de la Défense, le secrétaire général du Conseil supérieur de la réserve militaire, le contre-amiral Antoine de Roquefeuil, écrit ceci : "Face aux réductions successives des budgets consacrés à l'emploi des réservistes opérationnels, des membres du Conseil supérieur de la réserve militaire (CSRM) souhaiteraient que les employeurs militaires aient l'accord pour qu'une partie des activités des réservistes opérationnels soient faits (sic) à titre bénévole, à condition que le réserviste ait donné son accord." Cette gratuité du service, poursuit l'amiral, "démontre la volonté d'engagement et de désintéressement de nombreux réservistes opérationnels et peut répondre ponctuellement à des besoins de certaines forces armées". L'amiral brouillé avec l'orthographe demande in fine à son correspondant "quels (sic) seraient les évolutions législatives à envisager pour qu'une telle possibilité soit offerte". Notamment pour faire face à la baisse de ses effectifs professionnels, l'armée de terre avait prévu de faire passer ses effectifs de réserve de 16 000 à 22 000 en 2015. Il n'est pas certain que de telles évolutions du statut des réservistes soient très incitatives. On attend avec intérêt de connaître la position du président du CSRM, qui n'est autre que le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.
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March 26, 2013 6:47 AM
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Vulnérables, peu adaptés aux conflits actuels et trop chers: les onze porte-avions géants américains voient leur utilité pour l'US Navy remise en cause en raison des contraintes budgétaires du pays. Ils sont un symbole de la puissance des Etats-Unis depuis plus de 50 ans. Un officier de marine, Henry Hendrix, livre un violent réquisitoire contre les porte-avions dans une étude du Center for New American Security (CNAS), un groupe de réflexion de Washington. Le géant des mers "devient un outil de combat de plus en plus onéreux, n'est peut-être plus en mesure de s'approcher assez de sa cible pour agir efficacement ou de survivre à l'ère de l'imagerie satellite et des missiles de précision de longue portée", selon lui. USS Gerald-Ford La loi américaine prévoit que la Marine dispose de onze porte-avions. Dix sont opérationnels depuis le retrait du service de l'USS Enterprise dans l'attente de son remplaçant prévu en 2017, l'USS Gerald-Ford, premier d'une nouvelle classe de navires. Or le coût de la construction du Ford est prohibitif: 13,6 milliards de dollars (12,8 milliards de francs). S'y ajoutent 4,7 milliards de dollars (4,4 milliards de francs) de dépenses en recherche et développement pour la classe Ford qui comptera à terme trois navires. Retour sur investissement Un porte-avions, c'est aussi cinq navires de surface et un sous-marin nucléaire d'attaque qui l'escortent et près de 80 avions et hélicoptères, totalisant environ 6700 marins. Le coût d'utilisation quotidien d'une telle armada est "d'environ 6,5 millions de dollars" (6,1 millions de francs), rappelle Henry Hendrix. Le vice-amiral Pete Daly, directeur de l'US Naval Institute, rejette en bloc les conclusions de l'étude du CNAS. Le coût d'un porte-avions est par ailleurs à relativiser. Avec les porte-avions, selon lui, "on a une force qui peut aller à un endroit, effectuer sa mission et partir rapidement ou rester aussi longtemps que nécessaire".
Via Patrick H.
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March 26, 2013 6:44 AM
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Une proue effilée et trois moteurs de 300 chevaux permettent au nouveau bateau du français Sillinger, le 1 200 RIB UM, d’atteindre 40 nœuds dans une mer creusée par des vagues de trois mètres. Pour les marins, la performance n’est pas anodine. Seuls des catamarans de course ou des vedettes lancées à pleine vitesse sont capables du même exploit. Dessinée par l’architecte naval nantais François Lucas, la carène en polyester du RIB UM (pour bateau semi-rigide à usage militaire) transperce les vagues et "ne décolle pas à leur sommet", assure Ivan de Quatrebarbes, le PDG de l’entreprise. Destiné aux forces navales pour la surveillance des zones côtières, ce canot pneumatique de quelque 5,5 tonnes a été présenté lors du dernier salon Euronaval au Bourget, en octobre. L’activité militaire représente 70% des ventes de Sillinger (4 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2012). Grâce à sa rapidité de mise en œuvre, le dernier-né de cette PME, installée à Mer (Loir-et-Cher), a déjà séduit deux marines africaines. L’objectif étant de réagir rapidement contre la piraterie maritime. La Libye vient ainsi d’acheter 50 canots de la marque au requin. Soit un contrat d’une dizaine de millions d’euros et du travail en perspective pour l’usine ligérienne, qui emploie aujourd’hui 34 salariés. Créée par Tibor Sillinger en 1962, la PME a traversé la tempête au tournant des années 2000, avant d’être reprise à la barre du tribunal de commerce de Blois par le groupe Marck. Ce fournisseur d’uniformes et d’accessoires qui, outre les armées, équipe Air France et certaines administrations, affiche un chiffre d’affaires de 120 millions d’euros. Et emploie près de 500 salariés sur sept sites en France.
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March 26, 2013 6:31 AM
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Eurocopter, the world’s leading maker of civil helicopters, will sign an agreement next month aimed at setting up production in Poland, putting it in the running for a Polish chopper deal, a factory president said Monday. Polish Prime Minister Donald Tusk announced in September that Warsaw was seeking 70 helicopters for its army and that companies vying for the contract must guarantee they will build locally. The subsidiary of the European Aeronautic Defence and Space Company (EADS) and the WZL 1 factory in the central city of Lodz will ink the agreement on April 4, WZL 1 President Jan Pietowski told AFP. He said the agreement would center on their “cooperation if Eurocopter is chosen by Poland to deliver the 70 helicopters,” without elaborating. The British-Italian group AgustaWestland and U.S. manufacturer Sikorsky Aircraft have expressed interest in the tender, estimated to be worth around 2.5 billion euros ($3.2 billion). Both firms already have helicopter plants in Poland. Eurocopter’s Barbara Texier, who is working on the WZL 1 project, confirmed the agreement to the leading Gazeta Wyborcza daily. The helicopter tender is seen as a significant step in the Polish army’s drive to replace 250 Soviet-era helicopters in the years to come. A former Soviet satellite state of 38.2 million, Poland joined NATO in 1999, a decade after shedding communism. It entered the European Union in 2004. Warsaw plans 33.6 billion euros in military spending over the coming decade to upgrade its Soviet-era military infrastructure. Plans call for a national missile shield as part of NATO’s European system as well as new helicopters, armored personnel carriers, submarines and drones.
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March 26, 2013 5:42 AM
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La Corée du Nord a placé son armée en ordre de combat mardi 26 mars et demandé à ses unités spéciales "stratégiques" de se préparer à d'éventuelles frappes contre les Etats-Unis, et les îles de Guam et de Hawaï dans le Pacifique, a indiqué l'agence officielle nord-coréenne. "Le commandement de l'armée du peuple coréen déclare que toutes les troupes d'artillerie, y compris les unités stratégiques de missiles et les unités d'artillerie à longue portée doivent être placées en alerte 'prêtes au combat'", selon KCNA. Ces unités doivent se tenir prêtes à attaquer "toutes les bases militaires américaines dans la région Asie-Pacifique, y compris sur le continent nord-américain, Hawaï et Guam" ainsi qu'en Corée du Sud, a ajouté le commandement dans le communiqué transmis par KCNA. Des cibles hors de portée Malgré le tir réussi d'une fusée le 12 décembre dernier -assimilé par Séoul et ses alliés à un missile balistique -, les experts jugent que Pyongyang est loin de maîtriser la technique requise pour lancer un missile intercontinental, capable de frapper les Etats-Unis. Hawaï et Guam sont également considérés comme hors de portée des missiles de moyenne portée développés par la Corée du Nord, qui pourraient en revanche atteindre les bases au Japon et en Corée du Sud. Vendredi, Séoul et Washington ont renforcé les conditions de leur pacte de coopération militaire. Il prévoit désormais un soutien accru des Etats-Unis au Sud, même en cas de provocation mineure de la part du Nord. Essai nucléaire La semaine dernière, Pyongyang avait déjà menacé de s'en prendre aux bases américaines au Japon et à Guam, en riposte aux vols de bombardiers B-52 au-dessus de la Corée du Sud. Les tensions sur la péninsule coréenne sont actuellement au plus haut depuis 2010. Un test nucléaire le 12 février, le troisième réalisé par le Nord, a entraîné de nouvelles sanctions de l'ONU et des menaces de représailles de la part de Pyongyang.
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March 26, 2013 5:32 AM
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As the expected drawdown of US forces in Afghanistan gathers pace, the reduction in the number of troops and vehicles in the Middle East has led to the cancellation of an MRAP logistics draft RfP this month. The plan was to provide services for all MRAPs in the region under a Joint Logistics Integrator (JLI) contract to improve operational readiness. However, in a statement, the US Army TACOM Life Cycle Management Command said that an ‘accelerated drawdown plan’ would ‘dramatically reduce personnel requirements’ and that a competitively selected contractor would not be chosen to carry out the JLI contract before having to withdraw from theatre. Because of the closure of sites in Afghanistan and the MRAP Sustainment Facility (MSF) in Kuwait by December 2013 that would support the JLI effort, it was decided that it was not in the best interests to proceed with a formal RfP. However, it added: ‘A reduced scope of the JLI effort may be required beyond December 2013 and the Government will maximize competition in the future.’ Barb Doonik, senior vice president and operations manager from the existing JLI contractor SAIC, told Military Logistics International the decision was a ‘prudent’ one and the effort required from industry to respond to an RfP ‘may well not have been justified by the resulting size and scope of remaining requirements.’ SAIC provides support services at the MSF and at eight locations in Afghanistan including: fleet configuration management, transportation tracking and management, support of maintenance operations, parts ordering and inventory management, personnel management, retrograde planning and execution and support of program operations. Doonik said that the cancellation of the draft RfP has ‘minimal impact’ on existing support services and the Joint Program Office (JPO) MRAP ‘is adjusting its support requirements to fit operational reality’. The current JLI contract expires on 31 December 2013 and until then SAIC said the MRAP JLI programme will support the drawdown schedule that has been developed by the JPO MRAP. ‘The government has a range of options for continuing this type of support after Dec 2013 but those have not yet been formally discussed with us,’ Doonik added. A spokesperson from PEO Combat Support & Combat Support Services told MLI that the JLI is not the only support service for the MRAP family of vehicle and that the necessary support arrangements are in place to continue through to 2014 ‘as long as funding is available’. ‘In fact, we awarded a contract for CLSS [Contractor Logistics Sustainment and Support] to ManTech which provides support to our vehicles as well, which will be in place for quite some time,’ he added. The army will continue to review its sustainment arrangements and make decisions according to the requirements of the warfighter and with the CLSS in place it may not require future JLI support.
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March 25, 2013 12:41 PM
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La Chine s'est engagée à acheter à la Russie 24 avions de chasse et 4 sous-marins, soit la plus importante vente d'armes de Moscou à Pékin depuis dix ans, a rapporté lundi la presse officielle chinoise. Cet accord a été conclu juste avant la venue à Moscou du nouveau président chinois Xi Jinping, a rapporté le Quotidien du peuple, organe du Parti communiste chinois. M. Xi a quitté Moscou dimanche, après une visite de trois jours au sujet de laquelle il s'est déclaré "très content". La vente prévoit la fourniture de 24 chasseurs Soukhoï Su-35 et de quatre sous-marins de classe Amour, dont deux seront construits en Russie et deux en Chine. Le journal n'a pas mentionné de montant pour ce contrat. Selon le Quotidien du peuple, des négociations portent aussi sur des systèmes de missiles russes S-400, des avions de transport militaires Iliouchine IL-476 (version modernisée de l'IL-76), des avions ravitailleurs IL-78 et des moteurs d'avion Saturn 117S. La Chine, jadis principal client du complexe militaro-industriel russe, s'émancipe peu à peu de la Russie en matière d'armes. Mais selon les experts Pékin reste intéressé par l'acquisition des meilleures technologies russes pour développer sa propre industrie de l'armement, souvent en copiant. La Chine a admis au service actif son premier porte-avions en septembre 2012. Ce navire a été construit à partir d'une coque à l'origine destinée à la Marine soviétique. Et Pékin dépend encore beaucoup de technologies russes pour les moteurs de ses chasseurs-bombardiers. La Chine a annoncé au début du mois un important accroissement en 2013 de son budget militaire. Cela a suscité de l'inquiétude chez ses voisins, notamment au Japon qui a promis d'être sur ses gardes vu les graves tensions territoriales entre les deux pays.
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March 25, 2013 12:36 PM
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Kochi: Four Fast Interception Craft (FIC) are all set to join the Southern Naval Command fleet in Kochi, giving a boost to coastal defence. Presently the craft, which arrived here last week, were in the process of being taken over from the ship builders and they would be deployed in Ezhimala and in the islands of Kavaratti, Minicoy, and Androth, a naval release said today. Southern Naval Command will get 12 more of these craft in the coming months. The craft will be under the operational control of Naval Officer in Charge (Kerala) and Sagar Prahari Bal (SPB) - the force raised by the Navy for coastal defence- will operate the craft. Their responsibilities will include Naval Force Protection, seaward security of naval assets, and counter terrorism among others. The craft, built at Solas Marine Lanka Private Limited, are highly capable vessels and can do speeds up to 45 Knots and have an endurance of 200 nautical miles at 15 Knots.
They can carry a variety of armament from Heavy Machine Guns to Grenade Launchers. The upper deck canopies are bullet proof. The versatile vessels are fitted with modern navigational aids and communication equipment including AIS (Automatic Identification System) and LRAD (Long Range Acoustic Device)- an anti piracy device, the release added.
Via Patrick H.
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March 25, 2013 12:35 PM
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The US Marine Corps' VMFA-121, the first "operational" Lockheed Martin F-35B Lightning II squadron, conducted its first short take-off vertical landing sortie at MCAS Yuma, Arizona, on 21 March. Maj Richard Rusnok, a test pilot previously assigned to NAS Patuxent River, Maryland, flew the unit's first short take-off and short landing. He also performed the first F-35B hover and vertical landing outside of flight-testing in aircraft BF-19. Rusnok was accompanied on his flight by VMFA-121 commanding officer Lt Col Jeffrey Scott, who was flying chase in a second F-35B. "The first STOVL flight for an F-35B outside of the test environment was another milestone achieved by the Marine Corps and the Green Knights today here at MCAS Yuma," Scott says. "The F-35 program and specifically the F-35B have made significant progress to make this possible." The USMC says VMFA-121 will grow over the next year or so to include about 300 personnel. It is also scheduled to receive a total of 16 F-35Bs before the end of 2013, the Marines say.
Via Patrick H.
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March 25, 2013 7:23 AM
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Un responsable de l'armée sud-africaine a confirmé, dimanche 24 mars, que plusieurs soldats sud-africains ont été tués dans les affrontements avec les rebelles de la Seleka à Bangui. Il se refuse pour l’instant à donner le nombre de soldats actuellement déployés en Centrafrique.
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March 25, 2013 5:40 AM
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Des missions ISR en Colombie? On se souvient de Dyncorp, alors au service du DoS dans les années 1990-2000. Voici Airtec sous contrat avec le Southcom. La société californienne va fournir deux appareils jusqu'en janvier 2014, pour des missions ISR. Montant du contrat: 12,5 millions de dollars (lire ci-dessous). Airtec n'est pas un nouveau venu. Cette société travaille déjà avec le DoD en Afghanistan, dans le cadre du Counter Narco-Terrorism Program Office Support (CNTPO). Dans ce secteur d'activités, on trouve aussi Mag Defense Services qui travaille d'ailleurs avec Airtec. Airtec, Inc.,* California, Md., is being awarded a $12,500,000 firm-fixed-price, indefinite-delivery/indefinite-quantity contract for intelligence, surveillance, and reconnaissance (ISR) services in support of the Army's Southern Command (SOUTHCOM). The contractor will provide ISR services utilizing two contractor-owned, contractor-operated aircraft, with government furnished property previously installed on the aircraft. Work will be performed in Bogota, Columbia, and is expected to be completed in January 2014. Fiscal 2013 Operations and Maintenance, Army contract funds in the amount of $917,563 will be obligated at time of award, all of which will expire at the end of the current fiscal year. This contract was non-competitively procured pursuant to FAR 6.302-1. The Naval Air Warfare Center, Lakehurst, N.J., is the contracting activity(N68335-13-D-0010).
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March 25, 2013 5:37 AM
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Pour faire passer la pilule d'une loi de programmation militaire 2014-2019 qui s'annonce très dure, la Défense cherche 3,5 milliards de recettes exceptionnelles, en complément des 177 milliards de crédits réclamés à Bercy, selon nos informations. L'histoire se répète puisque le gouvernement Fillon avait intégré une bonne dose de recettes extra-budgétaires dans la LPM de 2008. Issues de cessions immobilières et de fréquences hertziennes, elles ont fini par être encaissées, mais avec retard, obligeant à quelques acrobaties budgétaires. Les 3,5 milliards visés aujourd'hui correspondent à ce qui manque pour financer un modèle d'armée qui permettrait de sauver les meubles. A ce stade, la Défense veut 30,2 milliards de crédits en 2014 ce qui, en application du gel en valeur absolu imposé jusque-là, aboutirait à un total de 177 milliards d'euros sur la LPM. Bercy pousse une enveloppe beaucoup moins généreuse , mais n'a rien contre des recettes exceptionnelles. Parmi les pistes à l'étude figure le produit de la cession prévue de 3 % d'EADS. De tout cela, François Hollande a discuté vendredi lors d'un conseil de défense, en même temps que des grandes lignes du livre blanc de la Défense attendu pour avril. La LPM, elle, ne sera votée qu'à l'automne, a annoncé Jean-Yves Le Drian.
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March 27, 2013 5:37 AM
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Le gouvernement britannique a confirmé mardi la privatisation du service de recherche et de sauvetage par hélicoptères, qui était assuré par des militaires, au profit d'une entreprise américaine. Le ministre britannique des Armed Forces, Nick Harvey, avait confirmé cette externalisation lors d'une déclaration devant les Communes (cliquer ici pour lire mon post du 21 juin 2012). Le groupe Bristow, qui se présente comme "le plus important fournisseur de services de transport par hélicoptères dans le monde, a remporté ce contrat de 1,6 milliard de livres (1,8 mds d'euros) qui prendra effet à partir de 2015, pour sept à dix ans, selon un communiqué du ministère des Transports. 22 hélicoptères seront basés sur dix sites. Dix Sikorsky S92 (2 par sites) iront à Stornoway, Sumburgh, Newquay, Caernarfon et Humberside. Dix Agusta Westland AW189 opéreront de Lee on Solent, Prestwick, St Athan, Inverness et Manston.
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March 26, 2013 6:48 AM
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L’absence d’accord entre le gouvernement fédéral et le congrès sur le budget 2013 a de nouvelles répercussions sur l’activité de la marine américaine. Ce week-end, l’US Navy a annoncé qu’elle était contrainte, faute de crédits, d’annuler plusieurs déploiements en mars. La frégate USS Rentz et le sous-marin nucléaire d’attaque USS Jefferson City vont, ainsi, rester à leur base de San Diego, alors que la frégate USS Thach a reçu l’ordre de regagner les Etats-Unis avant la fin programmée de sa mission au large de l’Amérique latine. Vendredi déjà, l’état-major de la marine américaine avait annoncé que les déploiements du navire hôpital USNS Comfort et de la frégate USS Kauffman (Caraïbes) devaient être reportés, de même que celui du bâtiment de soutien USNS Grasp en Europe. Si les mesures de séquestration se poursuivent faute d’accord sur le budget à Washington, d’autres mesures de ce type devront être adoptées, a prévenu le secrétaire d’Etat à la marine. Ce dernier a indiqué que, dans la situation actuelle, les ressources financières disponibles pour l’US Navy étaient réservées aux opérations prioritaires. Les bateaux qui ne peuvent quitter leurs bases ou doivent rentrer prématurément resteront à quai, où leurs équipages assureront leur maintenance et s’entraineront avec les moyens disponibles.
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March 26, 2013 6:45 AM
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Trois pays d'Asie du sud-est (l'Indonésie, le Vietnam et la Malaisie) continueront à se procurer des avions militaires russes produits par le russe Sukhoi, a estimé mardi Konstantine Makienko, directeur adjoint du Centre d'analyse des stratégies et des technologies. "L'Indonésie a déjà annoncé son intention de former une seconde escadrille de chasseurs Su qui comptera 16 appareils", a indiqué l'expert. Selon lui, Jakarta, qui possède un parc d'avions Su-30MK2, devrait commander des chasseurs polyvalents modernisés Su-35. Pékin ayant acheté plus d'une vingtaine de Su-35, le Vietnam commandera sans doute plusieurs avions de chasse Sukhoi. "Pour contrer le potentiel militaire grandissant de la Chine, Hanoï aura besoin d'au moins 24 chasseurs développés par Sukhoï", a-t-il expliqué. Et d'ajouter que la Malaisie tenait toujours à acquérir 18 chasseurs polyvalents russes. Pour le moment, les capacités financières limitées de ce pays freinent la mise en place de ce projet, mais si la commande est approuvée, la Malaisie aura besoin d'un nouveau lot d'appareils de type Su-30MKM afin d'harmoniser le parc des Forces aériennes royales.
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March 26, 2013 6:39 AM
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La fabrication des 4 premiers F-35A destinés au Japon vient d’être lancée à Fort Worth (Texas), et devrait être achevée en février 2014. Par la suite, les entreprises japonaises assureront elles-mêmes l’assemblage des futures unités. Le 25 mars, Lockheed Martin a reçu une avance de 40,2 millions de dollars pour fournir des matériaux et des composants nécessaires à la livraison de 4 F-35A au Japon. Cette commande s’inscrit dans un contrat signé en décembre 2011 pour l’acquisition de 42 avions F-35. Les unités suivantes seront assemblées au Japon. Dans cette perspective, Mitsubishi Heavy Industries (MHI) se prépare à investir des milliards de yens pour construire une ligne d’assemblage sous licence du F-35A Lightning II avec Lockheed Martin (source: Janes). MHI n’a ni confirmé ni nié le développement du F-35. Son porte-parole a simplement déclaré le 21 mars que ces informations n’étaient pas fondées sur des annonces de la société, et a refusé de commenter davantage. Citant néanmoins des sources de MHI, les agences de presse japonaises ont déclaré que le groupe commencera la construction du site de production du F-35 cette année à l’usine de Nagoya Aerospace Systems Works Komaki Minami dans la préfecture d’Aichi. Cette usine est également le centre de production de l’avion de combat F-2, développé dans les années 1990, en collaboration avec Lockheed Martin. D’après les agence japonaises, la chaîne d’assemblage du F-35 sera achevée d’ici 2016, environ un an avant que le premier F-35 japonais soit produit afin d’être livré à la Japan Air Self-Defence Force. Il est également possible que le site de Nagoya devienne un centre de réparation pour le F-35 de l’US Air Force dans les années à venir. Autre indice important, le 14 février, le ministère de la Défense du Japon a levé l’interdiction d’appel d’offres sur Mitsubishi Electric Corporation, suite au remboursement final de l’entreprise à la Trésorerie nationale engagés sur les précédents contrats dans la défense et l’espace. La société et trois de ses filiales en propriété exclusive - Mitsubishi Precision, Mitsubishi Electric TOKKI Systems Corporation et Mitsubishi Space Software – ont ainsi remboursé un total de 60,28 milliards de yens (648 millions de dollars) au gouvernement japonais (source: Janes). Cette décision permet à Mitsubishi Electric et à ses filiales de participer au programme industriel japonais du F-35A. IHI Corp pourrait également travailler sur la conception des moteurs. Rappel L’acquisition du F-35A est destinée à remplacer la flotte d’anciens chasseurs F-4 McDonnell. Le Japon a choisi le F-35 pour sa furtivité et le partage d’informations dont les constructeurs japonais ont besoin pour développer le projet. Le Japon avait essayé d’acquérir le F-22 Raptor américain, en vain, puisque le chasseur est fermé à l’exportation (et désormais stoppé dans sa production). Bien qu’en compétition face à Eurofighter en 2011, le choix du chasseur américain n’avait rien d’une surprise. Le Japon est stratégiquement lié aux États-Unis qui possèdent des bases militaires sur l’Archipel et offrent une protection contre une éventuelle menace nord-coréenne ou chinoise. Dans ce contexte, il semblait difficile pour le Japon d’opter pour un chasseur européen. Dassault n’avait d’ailleurs pas présenté le Rafale dans la compétition FX, sans doute échaudé par son éviction en Corée du Sud, pays asiatique lui aussi très dépendant du soutien militaire américain, et qui avait choisi le F-15 de Boeing.
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March 26, 2013 6:30 AM
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L'exercice FELDBERG 13 a réuni durant quinze jours 2100 hommes et 400 véhicules de toutes les unités de la Brigade franco-allemande (BFA), pour des manœuvres communes, dans l'est de l'Allemagne. Objectif : démontrer l'interopérabilité des unités françaises et allemandes de la BFA, et la capacité de la Brigade à être engagée comme "Initial entry force" (force d'entrée en premier), l'une de ses missions principales. Cet exercice, dont la majeure partie s'est déroulée sur le camp de manœuvre d'Oberlausitz, dans la Saxe, revêtait un caractère particulier cette année, la France et l'Allemagne célébrant le cinquantenaire de leur traité de coopération. La Brigade franco-allemande, créée en 1989, est l'un des symboles forts de la coopération franco-allemande. Elle répond à une volonté commune de la France et de l'Allemagne, en raison d'intérêts convergents, de mettre en commun leurs capacités opérationnelles. La BFA est unique en son genre : elle est la seule force binationale permanente au monde. Un atout majeur qui favorise les échanges et la coopération. Cette brigade binationale dispose d'un état-major mixte franco-allemand, basé à Mülheim, en Allemagne. Ses unités sont basées de part et d'autre du Rhin. La BFA a été notamment déployée en Bosnie-Herzégovine dans le cadre de la SFOR de 1996 à 1998 mais aussi en Afghanistan en 2004-2005.
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March 26, 2013 5:33 AM
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En octobre dernier, le ministre polonais de la Défense, Tomasz Siemoniak, avait estimé que l’effort financier nécessaire à la modernisation des forces armées du pays allait avoir un coût d’au moins 24 milliards d’euros sur les 10 prochaines années. Finalement, Varsovie a revu ses ambitions nettement à la hausse puisque, selon le ministre polonais des Affaires étrangères Radoslaw Sikorski, il est désormais question de plus de 33 milliards d’euros (140 milliards de zlotys). “La modernisation des forces armées est notre priorité pour la décennie à venir. Pendant cette décennie, nous allons y consacrer presque 140 milliards de zlotys. Nous construisons des forces de dissuasion – nous allons nous procurer des missiles, des hélicoptères, des véhicules blindés, des sous-marins et des drones”, a-t-il ainsi affirmé le 20 mars dernier, devant le Parlement. “Nous disposerons de notre propre système de défense aérienne. Notre bouclier national, avec le bouclier américain, dont les éléments seront installés sur notre territoire en 2018, fera partie du système de l’Otan. L’Alliance atlantique reste pour nous le principal garant extérieur de sécurité,” a encore expliqué Radoslaw Sikorski, qui fut également ministre de la Défense entre 2005 et 2007. Et pour ce dernier, les Etats-Unis restent le “principal partenaire de la Pologne hors continent européen.” En outre, M. Sikorski a annoncé la réduction des effectifs militaires polonais en Afghanistan dès octobre prochain, avec le retrait de 800 soldats ainsi que l’organisation, en Pologne, l’automne prochain, d’un important exercice militaire de l’Otan appelé Steadfast Jazz. L’armée française devrait y participer. Alors que les pays européens ont, dans leur ensemble, réduit leurs dépenses militaires à cause de la crise économique, la Pologne a quant à elle maintenu son effort de défense à hauteur de 1,95% de son PIB. Admise au sein de l’Otan en 1999 et membre de l’Union européenne depuis 2004, la Pologne a su tirer son épingle du jeu au cours des ces dernières années marquées par le marasme économique sur le Vieux Continent. Entre 2008 et 2011, elle a connu une croissance cumulée de 15,8%, ce qui la place à la tête des pays européens. Cette performance s’explique notamment par le versement de fonds structurels européens (pour préparer l’Euro 2012 de football), la vigueur de ses exportations (27% vers l’Allemagne, premier partenaire commercial) et la maîtrise de sa monnaie, ce qui permet à la Banque centrale de Pologne (NBP) de jouer avec son principal taux directeur en cas de nécessité. En cas de ralentissement économique, “la Pologne disposera d’une marge de manoeuvre pour amortir le choc en assouplissant les conditions monétaires”, estimait récemment l’OCDE. Pour 2013, la Commisison de Bruxelles table sur une croissance de l’économie polonaise de 1,8%. De quoi écarter tout risque de scénario X ou Y pour les forces armées polonaises…
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March 26, 2013 5:31 AM
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Early reports show that the Dutch NH90 Naval Frigate Helicopter (NFH), the first of which is currently deployed in support of the EU Naval Force counter-piracy operation Atalanta, is coping well in the maritime environment off the coast of Somalia. Despite the delay in the delivery of the first Full Operational Capable (FOC) NFH, it was decided to embark a single NFH in its interim Meaningful Operational Capable (MOC) configuration on board the Dutch frigate HNLMS De Ruyter on 20 January. The helicopter detachment in charge of this first operational mission for the NH90 NFH is manned by a limited combat ready aircrew from the Dutch Defence Helicopter Command’s 7 Training & Expertise Squadron. This squadron is commanded by Lt Cdr Kleingeld and is currently conducting operational testing and evaluation of the new shipborne helicopter. Based on the first reports from HNLMS De Ruyter, the NFH is a huge improvement over its predecessor, the Lynx SH14D. Performance of the Rolls-Royce Turbomeca RTM322 engines is not significantly affected when operating in the Gulf of Aden where hot and humid conditions prevail. In addition, the Thales European Naval Radar (ENR) is demonstrating much better performance than the previous digitally upgraded early 180º Seaspray surveillance radar which was fitted on the Dutch Lynx, due to its increased range and 360º coverage. After possible hostile contacts have been detected by the NH90’s radar, Sagem’s Euroflir 410 FLIR is used for identification while the Link 11 datalink helps build up a comprehensive sea picture. The Dutch NH90 NFH has seen good availability during the ongoing deployment. According to Kleingeld, AgustaWestland is doing its part as an intermediary to support the supply chain and as a result spare parts have been delivered quickly. Meanwhile, the first FOC NFH was delivered to Naval Air Station De Kooy on 30 January. With the introduction of Full Operational Capability, the NH90 NFH has overcome much of its teething problems and is starting to meet expectations. ‘It introduces much more stable and reliable avionics, a more elaborate mission systems suite as well as improved performance of the various mission systems,’ said Lt Cdr Sander (name withheld on request), one of 7 Squadron’s NH90 instructor pilots. Twenty NH90 NFHs are on order for the Dutch armed forces together with 14 naval mission systems suites. 860 Squadron at NAS De Kooy will receive 12 NFHs which will be used for shore-based search and rescue and single helicopter ship based operations. Gilze-Rijen Air Base will see the advent of eight transport NFHs which will equip 300 Squadron for land-based and sea-based operations from landing platform deck or joint support ship class naval vessels.
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March 25, 2013 12:36 PM
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KOZHIKODE: The Indian Navy's soon-to-be-inducted next generation Scorpene 'killer' submarines, currently being constructed at the Mazagon Dock Ltd (MDL) in Mumbai, under a multi-billion dollar French deal will feature speciality rubber components from the state's latex county. The Kottayam-based Rubber Research Institute of India (RRII) has developed the special silicone rubber formulation which will be used to develop components for the submarines. The synthetic rubber formulation was developed by the RRII under a research and development project granted by the National Institute for Research and Development in Defence Shipbuilding (Nirdesh), the country's biggest research institute in defence shipbuilding, coming up at Chaliyam in Kozhikode. Nirdesh project director Capt Ramesh Babu said that the indigenization of the rubber components in the six Scorpene submarines being built would alone help the country make cost savings to the tune of Rs 4 crore. It will be the first success in the fledgling institute's mandate for indigenization of defence production capabilities. He said that RRII scientists recently visited the Mazagon dock where the Scorpene submarine project is underway to have a look at the silicone rubber components used in submarine building. They were able to identify the composition of the material and have produced the formulation at the RRII lab in just two months' time. "The RRII has also started sample production of the material, the physical properties of which closely matches the silicone rubber element used in submarine," sources said. Capt Babu said that silicone rubber is used to make as many as 800 components in a Scorpene submarine, mainly insulating and shock-absorbing material. This item has been specifically chosen as the Scorpene contract allows indigenous production of the item. "It is estimated that Rs 1.5 crore worth of silicone rubber components are needed in a single submarine. If we are able to successfully indigenize its production, there would be a savings of at least Rs 4 crore. We expect the prototypes to be developed in June and we hope to go for commercial product by calling expression of interest from Indian manufacturers," he added.
Via Patrick H.
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March 25, 2013 12:36 PM
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The PLA has accepted an invitation to participate for the first time in a major US-hosted naval drill, but legal restrictions will limit its role to less sensitive exercises like disaster relief, US officials say.Beijing's agreement to join the drills being held next year comes at a moment of heightened tensions between China and US ally Japan over the disputed Diaoyu - or Senkaku - Islands, and unease in the US about China's military build-up and its cyber capabilities.The Rim of the Pacific exercise, known as Rimpac, is billed as the world's largest international maritime exercise, with 22 nations and more than 40 ships and submarines participating the last time it was held off Hawaii last year.Not all the participants are treaty allies with the United States. Last year's participants included Russia and India.But China has never participated in the event, although it did send observers to Rimpac in 1998, the Pentagon said.US Deputy Defence Secretary Ashton Carter acknowledged China had agreed to participate in Rimpac during a little-noticed speech on Wednesday in Jakarta. Carter said he was "delighted that they have accepted" the American invitation, extended last year by then defence secretary Leon Panetta.At the time, Panetta said he asked China to send a ship to the exercises. Beijing said later it would give the offer "positive consideration"."We seek to strengthen and grow our military-to-military relationship with China, which matches and follows our growing political and economic relationship," Carter said on the Defence Department's website.US law bars the Pentagon from military contacts with the PLA if they could "create a national security risk due to an inappropriate exposure" to activities like joint combat operations.There is an exemption for operations or exercises related to search and rescue or humanitarian relief, and China participated with the United States last year in a counter-piracy drill.Lieutenant Colonel Catherine Wilkinson, a Pentagon spokeswoman, noted precautions taken by the US navy in drills to avoid revealing sensitive information."The US navy has operational security safeguards to protect US technology, tactics, techniques and procedures from disclosure," Wilkinson said.Wilkinson declined to speculate about which drills China might participate in."US-China military-to-military engagements can include a range of activities in areas of mutual interest including maritime security, military medicine and humanitarian assistance and disaster relief," she said. Commander Charles Brown, a navy spokesman, said the initial planning conference for Rimpac would be in May.
Via Patrick H.
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March 25, 2013 9:30 AM
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L'ancien chef d'état-major de l'armée, le général d'armée Elrick Irastorza, monte au créneau pour faire connaître les arguments de ses troupes dans le débat budgétaire. C'était il y a quelques mois, le 10 septembre 2012. Le nouveau ministre de la Défense et ci-devant président du conseil régional de Bretagne, Jean-Yves Le Drian, prononce à Brest un discours devant les participants à la 10e université de la défense et leur explique, citant Richelieu : "On ne peut sans puissance sur mer ni profiter de la paix ni gagner une guerre." Et de préciser : "Il importe que nous ayons un outil de défense qui soit, en particulier dans le domaine maritime, à la fois un outil de présence, un outil de cohérence et un outil de force. Désormais, sans l'enjeu maritime, on est en dehors des grands enjeux." Lorsqu'il descend de l'estrade, il est accueilli par le chef d'état-major de l'armée de terre, le général Bertrand Ract-Madoux, qui lui fait le coup du bourre-pif en pleine paix en lui lançant un vigoureux "excellent discours, Monsieur le Ministre de la Marine". Gloups ! Bouc émissaire ou dindon de la farce ? Alors que le clairon sonne pour la préservation, à son niveau actuel, du budget des forces armées françaises de 2014 à 2019, qui sera discuté vendredi à l'Élysée par un conseil de défense réuni autour de François Hollande, l'armée de terre a le sentiment - sans doute pas complètement infondé - que c'est elle qui va payer la note la plus salée, aussi bien pour les effectifs que pour les matériels. C'est elle qui est visée depuis quelques semaines par des critiques sur son encadrement jugé trop important, sur ses effectifs prétendument trop copieux, sur ses matériels militaires soi-disant trop sophistiqués, sur les bénéfices injustifiés qu'elle pourrait tirer de l'opportune guerre au Mali, etc. Or, curieusement, elle ne proteste pas et attend sans broncher le couteau sacrificiel qui en ferait, au choix, le bouc émissaire ou le dindon de la farce. Nos demandes d'éléments précis, notamment sur ses taux d'encadrement (officiers et sous-officiers), sont restées lettre morte et le principe de mutisme est appliqué strictement. Par la voix officielle, s'entend. Car les arguments entendus en privé dans la bouche des commandeurs de l'armée de terre viennent d'être publiés... discrètement ! Ils émanent de l'ancien chef d'état-major, le général d'armée Elrick Irastorza, prédécesseur de Bertrand Ract-Madoux et auteur d'un article vigoureux dans la dernière livraison de la revue des anciens élèves de l'École militaire interarmes, L'Épaulette (sur abonnement). Réductions dans l'arme de terre : 38 fois Florange ! Le général Irastorza rappelle quelques faits d'évidence, notamment que les effectifs de l'armée de terre sont inférieurs à 100 000 hommes, qu'elle est encadrée par 12 % d'officiers (dont 20 % sous contrat) et 32 % de sous-officiers (dont 70 % sous contrat). S'y ajoutent les 56 % d'hommes et de femmes du rang, soit 56 % des effectifs, tous sous contrat. Les faits sont là : l'armée de terre ne compte que 29 % de fonctionnaires, tous les autres étant des contractuels restant sous les drapeaux pour une durée moyenne de six années. L'ascenseur social demeure une réalité : 70 % des sous-officiers sont entrés dans l'armée de terre comme troupier et 50 % des officiers sont d'anciens sous-officiers. Si les futures réductions d'effectifs dans les armées (des chiffres de 30 000 à 50 000 suppressions d'emplois sont évoqués pour les 5 prochaines années, en sus des 54 000 du précédent quinquennat) devaient épargner les fonctionnaires militaires de carrière, il faudrait "taper" prioritairement sur les contractuels en réduisant le recrutement, ou en ne renouvelant pas les contrats. Mais Elrick Irastorza conteste et argumente : "La réduction des recrutements initiaux ne produit qu'un faible retour financier au prix d'effets déstructurants durables : 45 % de nos soldats sont à l'indice plancher de la fonction publique (295). Pour faire de grosses sommes, il faut donc supprimer beaucoup d'effectifs, soit par échenillage des régiments, ce qui en amoindrit la capacité opérationnelle, soit en supprimant purement et simplement." L'auteur insiste sur les chiffres : les 24 450 emplois perdus par la réforme Sarkozy, c'est "38 sites industriels type Florange rayés de la carte. Vous conviendrez qu'on en parle moins". Armée suisse ? Certains chiffres avancés par l'ancien chef d'état-major sont assez ébouriffants. Par exemple, quand il compare l'armée de terre suisse, qui ne garde que ses montagnes, et sa voisine française, qui intervient en permanence sur la planète : "L'armée suisse a 21 bataillons d'infanterie, nous 20 (NDLR : le bataillon est le terme international pour l'unité que les Français appellent un régiment) ; 224 chars de bataille, nous 254 ; 1 281 véhicules de combat de la classe VBCI (véhicule blindé de combat d'infanterie, NDLR), nous bientôt 630 ; 224 canons de 155 mm, nous 128." Le général admet que la puissance de feu d'un soldat français d'aujourd'hui est sans commune mesure avec ce qu'elle était voici quelques décennies, et aussi que les matériels modernes coûtent cher. "Maîtriser la dérive des coûts unitaires puis préserver les équipements en service restent une obsession du commandement." Et de chiffrer les prix des matériels les plus récents de l'armée de terre en les comparant à ceux d'une voiture de moyenne gamme à 15 000 euros. Il en faut une et demie pour payer le nouvel équipement individuel Félin du fantassin, 200 pour payer un VBCI, 1 700 pour un hélicoptère Tigre et... 6 700 pour un Rafale. Tant pour l'achat de matériels neufs que pour le MCO (maintien en condition opérationnelle, NDLR) de ceux déjà en service, l'armée de terre reçoit 19 % du budget d'équipement annuel des armées, tandis qu'elle fournit 85 % des effectifs engagés dans les opérations extérieures. Autant d'arguments qui, on l'aura compris, sont adressés à François Hollande. L'armée de terre estime qu'elle a déjà beaucoup donné aux réductions d'effectifs, aux restructurations et au retard dans les équipements modernes, bien que ce soit elle qui aille au sol en Afghanistan, en Côte d'Ivoire, au Mali ou ailleurs. Aux autres de payer leurs parts !
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March 25, 2013 6:20 AM
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More than 1000 troops and 70 aircraft will be deployed in a series of tactical drills in preparation for the “Ladoga-2013” exercise, military officials said to RIA Novosti. The aviation to be used includes MiG-31Foxhound and Su-27 Flanker jet fighters, MiG-25RB Foxbat interceptors, Su-24M Fencer attack aircraft, Su-24 MR reconnaissance aircraft and Mi-8 Hip Multirole helicopters and Mi-24 Hind attack helicopters The preparations have begun in the Republic of Karelia and the Leningrad, Smolensk and Tver regions. Drills include flights with refueling in air, landing on unknown airfields, aerial reconnaissance, air protection and elimination of threats from ground and air.
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March 25, 2013 5:40 AM
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Le Tank-Automotive Command (TACOM) a diffusé vendredi un pré-appel d'offres (draft RFP) pour le remplacement des M-113 (en service depuis 53 ans) par un "Armored Multi-Purpose Vehicle" (on lira le texte du draft RFP ici). La première phase de ce projet prévoit une commande de 29 prototypes sous 4 ans (d'ici à 2017) puis une première tranche de 289 véhicules (2018-2020). Coût prévu: 1,5 milliard de dollars. La deuxième tranche, d'un montant de 4,7 milliards, concernera 2 618 autres exemplaires de l'AMPV. Soit 522 exemplaires pour le transport de matériels, 386 pour le transport de mortiers, 933 véhicules radio, 790 ambulances et 216 mini-cliniques mobiles.
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