DEFENSE NEWS
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DEFENSE NEWS
Revue de presse quotidienne des principaux articles concernant le secteur de la Défense, de ses industriels, des armements et technologies.
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March 30, 2016 1:36 AM
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FIDAE: Kaman goes searching for K-MAX customers in Latin America

Nine months after ending a 15-year hiatus by relaunching production of the K-MAX, Kaman is at FIDAE to seek out customers for the heavy-lift utility rotorcraft.

The US company, which has orders for six aircraft and expects to deliver its new line from January 2017, believes South America’s rugged and remote terrain makes it an excellent market for the helicopter, used for forestry operations, construction, fire-fighting and medevac, and was orginally certificated in 1994.

“We want to find out more about the market, which is why we are at FIDAE, and we believe we can sell aircraft there,” says Terry Fogarty, director of business development.

The US Marine Corps deployed two unmanned versions, developed with Lockheed Martin, in Afghanistan.
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March 30, 2016 1:35 AM
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Urgence ops pour le COS

Urgence ops pour le COS | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Les sacs sont trop remplis et trop lourds, il faut alléger ! C’est le sens d’une nouvelle urgence opérations (UO) de l’Etat-Major pour acquérir rapidement des désignateurs lasers allégés destinés aux spécialistes du ciblage du COS (commandement des opération spéciales).

Le modèle actuel, le DHY307 de CILAS, remonte au début des années 90 et affiche une masse déraisonnable d’une vingtaine de kilos, en comptant l’émetteur laser, le tripod et la batterie.

Pour lui succéder, avant le lancement d’un programme d’équipements traditionnel (forcément plus lent), c’est la version allégée du DHY307 dite LW de CILAS et un modèle développé par Elbit (encore plus léger mais moins puissant) qui ont eu les faveurs des opérationnels. La livraison doit intervenir dans l’année, la décision de lancer l’achat en urgence ayant été prise dans les derniers jours de 2015.
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March 30, 2016 1:34 AM
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L'Arabie Saoudite à la France : ODAS, khalass (Ça suffit)

L'Arabie Saoudite à la France : ODAS, khalass (Ça suffit) | DEFENSE NEWS | Scoop.it
L'Arabie Saoudite ne veut plus travailler avec ODAS, qui représente les intérêts des français dans le Royaume. Les négociations entre Paris et Ryad vont commencer "dans les jours qui viennent" pour définir quel sera le nouveau dispositif, qui prendra le relais d'ODAS pour coordonner les relations dans le domaine de l'armement entre les deux pays.

ODAS, khalass (Ça suffit en arabe). Très clairement l'Arabie Saoudite ne veut plus travailler avec ODAS, qui représente les intérêts des français dans le Royaume. D'ailleurs Ryad a envoyé le 13 novembre 2015 à Paris un courrier très explicite, dont La Tribune s'est procuré une copie. Dans cette lettre, le vice prince héritier et ministre de la Défense, Mohammed bin Salman bin Abdul Aziz annonce que son pays veut mettre fin à ses relations avec ODAS. Pourtant, cette société avait été créée en 2008 à la demande de l'Arabie Saoudite, qui ne voulait plus travailler avec SOFRESA, rappelle-t-on à La Tribune.

"Le ministère saoudien de la Défense fait part de son désir de mettre fin à toute relation avec la société française ODAS", est-il écrit dans ce courrier adressé au ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, et signé par le vice prince héritier et ministre de la Défense. C'est l'Hôtel de Brienne qui devait informer ODAS de la décision saoudienne.
Dénonciation de l'accord entre ODAS et Ryad

La défiance de Mohammed bin Salman vis-à-vis d'ODAS aurait été nourrie par le résultat d'une enquête qu'il aurait lui-même lancée pour déterminer le rôle auprès d'ODAS de certains membres de l'entourage de l'ancien roi Abdallah ben Abdelaziz Al Saoud mort en janvier 2015. Son PDG, l'ancien chef d'état-major des armées, le général Édouard Guillaud, reste pour le moment à la tête de la société française. "Il faut que l'Elysée lui trouve d'abord une solution de repli", précise-t-on à La Tribune.

Concrètement, Ryad invoque dans le courrier l'article deux de l'annexe technique de l'accord de coopération et de soutien militaire signé à Paris entre l'Arabie Saoudite et la France le 21 juillet 2008 pour mettre fin à toute relation avec ODAS. Cet article régit les relations entre le ministère de la Défense saoudien et la société française dans le cadre des négociations et de la gestion des contrats entre les deux pays. Les Saoudiens se réfèrent également à l'alinéa quatre de l'article six, qui stipule que "les deux parties ont le droit d'amender cet accord suite à des consultations et par accord écrit".

La société ODAS, qui a succédé à SOFRESA, avait été créée par l'État français pour contribuer à développer les exportations dans le domaine de la défense, de la sécurité et des hautes technologies. La société intervient dans le cadre de contrats d'État à État ou de contrats commerciaux. Son actionnariat rassemble, aux côtés de l'État français (34%), une dizaine de grandes entreprises, dont Airbus Group SAS (Airbus Group France), MBDA France, Thales, DCNS, Nexter Systems, Calyon, Dassault Aviation, Renault Trucks. la société aurait dans son carnet de commandes un volume de contrats pesant entre 4 et 5 milliards. Soit environ sept ans d'activité.
Que veulent désormais les Saoudiens?

Ce divorce entre l'Arabie Saoudite et ODAS courait depuis déjà de longs mois. L'envoi de ce courrier semble être le résultat d'une temporisation de la France à traiter cette épine dans les relations franco-saoudiennes, estiment certains observateurs. Ce qui aurait légèrement refroidi les relations entre les deux pays pourtant très en phase sur le plan géopolitique. "L'ambiance n'était pas très bonne entre les deux pays", note un industriel. D'une manière générale, les groupes de défense estiment par ailleurs que les Saoudiens n'ont pas complètement renvoyé l'ascenseur à la France qui soutient le Royaume sur les dossiers syrien, yéménite et iranien.

Dans le courrier adressé à Paris, Ryad demande dorénavant que toutes les négociations ainsi que la signature des contrats "se déroulent directement entre le ministère saoudien de la Défense et les sociétés françaises afin d'assurer les armes et les matériels militaires, la formation et le soutien". C'est déjà le cas. Ainsi, le chantier naval de Cherbourg CMN (Constructions Mécaniques de Normandie) a par exemple négocié directement avec le ministère de la Défense la vente de 34 patrouilleurs (600 millions de dollars). Tout comme Thales, qui a ressorti de ses cartons le projet de défense anti-aérienne de courte portée Mark 3 pour équiper le Royaume. L'Arabie Saoudite dispose aujourd'hui du système de missiles Shahine (Crotale amélioré, monté sur châssis AMX 30).

En outre, les Saoudiens réclament que le gouvernement français garantisse "ces contrats techniquement et juridiquement par l'intermédiaire de la direction générale de l'armement (DGA)". Selon des sources concordantes, la France serait prête à répondre positivement à la demande de l'Arabie Saoudite concernant le futur rôle que la DGA pourrait jouer dans les relations franco-saoudienne dans le domaine de l'armement. Elle serait chargée d'évaluer les offres techniques des industriels faites à l'Arabie Saoudite et gérer la bonne exécution des programmes livrés aux forces saoudiennes.
Que veut la France?

Selon des sources concordantes, la France aurait envoyé il y a quelques semaines un courrier d'attente à l'Arabie Saoudite, qui souhaitait pourtant obtenir l'"avis" de la France "au sujet de cette proposition d'amendement". "Rien n'est arrêté à ce stade", affirme-t-on d'ailleurs de source proche du dossier. Les discussions entre la France et l'Arabie Saoudite vont d'ailleurs commencer "dans les jours qui viennent" pour définir exactement quel sera le nouveau dispositif, qui prendra le relais d'ODAS pour coordonner les relations dans le domaine de l'armement entre les deux pays.

Lors de ces négociations, la France va défendre auprès des Saoudiens les intérêts des entreprises françaises. Elle souhaite notamment conserver le dispositif favorable qu'était consenti aux industriels via ODAS en matière de clauses contractuelles (financement, acompte, pénalités notamment). "Ce volet fait partie des discussions", précise-t-on à La Tribune.

Certains industriels militent en revanche pour le maintien d'ODAS... à condition d'une réforme en profondeur de sa mission. "ODAS ne doit plus avoir de rôle commercial auprès des forces saoudiennes et ne doit plus mélanger la politique industrielle française et les besoins d'un client comme l'Arabie Saoudite. En revanche, elle doit servir d'outil pour représenter la France en Arabie Saoudite, être garante de la relation d'état à État entre les deux pays", explique l'un d'eux. Et de rappeler que SOFRESA continue aujourd'hui encore à exécuter des contrats non terminés.
Que fait-on des contrats en cours?

D'autres industriels voient la future entité, qui pourrait remplacer ODAS, comme une structure de défaisance. De toute façon, ODAS à l'image de SOFRESA, va devoir gérer pendant plusieurs années bien au-delà de 2020 l'exécution en cours des contrats signés entre Paris et Ryad. Le prince Mohammed bin Salman a précisé dans son courrier que "cette décision n'affectera pas l'achèvement des contrats signés avec la société concernée".

C'est le cas notamment des trois contrats signés par ODAS : un contrat de soutien avec fourniture de pièces de rechange et assistance technique pour la flotte de l'est mis en vigueur en 2011 (programme AMWAJ), les programmes de modernisation des frégates Sawari 1 signé en 2013 (contrat LEX) et des frégates Sawari 2 (ERAV) et, enfin, le contrat tripartite Donas (3 milliards de dollars, dont environ 500 millions devaient été consacrés à la maintenance des matériels vendus), signé en 2014. Le contrat Donas concernait initialement la France (le vendeur), l'Arabe Saoudite (le financier) et le Liban destinataire de ces armements. Selon une source proche du dossier, entre 75% et 80% de ce contrat auraient été déjà mis en vigueur. Tous les matériels seront désormais livrés à l'Arabie Saoudite.
Donas, un contrat à rebondissements

Le contrat Donas a connu après sa signature en novembre 2014 sous le règne du roi Abdallah ben Abdelaziz Al Saoud, de nombreuses vicissitudes avec plusieurs stop and go. Il a d'abord été suspendu en avril 2015 par les nouveaux hommes forts du pouvoir en place à Ryad après l'intronisation du roi Salman. Puis, en juillet 2015, les discussions ont repris entre la France et l'Arabie saoudite mais ODAS n'avait pas encore l'autorisation de signer des contrats avec les industriels français concernés en vue d'une livraison au Liban.

Ryad a finalement donné le 27 décembre son autorisation à la France mais début février, la crise diplomatique entre l'Arabie Saoudite et le Liban stoppe à nouveau l'exécution du contrat. Toutefois, pour ne pas léser la France, l'Arabie Saoudite a demandé à Paris de livrer les matériels aux forces armées saoudiennes. Début mars, lors d'une visite à Paris le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al Jubeir, avait indiqué que "les contrats seront bien appliqués mais le destinataire sera l'armée saoudienne". Jusqu'à un prochain stop ?
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March 30, 2016 1:19 AM
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L’armée de l’air va recevoir 22 VAB

L’armée de l’air va recevoir 22 VAB | DEFENSE NEWS | Scoop.it
C’est un retour d'expériences (retex) direct des engagements en Afghanistan et au Sahel. Les trois commandos parachutistes de l’air (CPA) vont recevoir vingt VAB (véhicules de l’avant blindés) issus des stocks de l’armée de terre pour les transformer en véhicules spécialisés dans l’appui aérien (ALI).

Renault Trucks Defense, le fournisseur des VAB, doit les pré-configurer. Ils seront ensuite équipés par la division aérotactique du centre d’expertise aérienne militaire (CEAM). Cette structure avait déjà développé, à un coût dérisoire, un véhicule léger, le VIP(R), à partir d’anciens châssis de P4 Aspic.

Les VAB ALI recevront des moyens de communication et de désignation d’objectifs. Un petit toureleau simplifié pourra porter la JIM-LR de Sagem et une visualisation permettra d’afficher images et données, dans la chambre de combat, où l’équipe de ciblage pourra rester protégée sous blindage.

Le 25e régiment du génie de l'Air (RGA), en charge des travaux de pistes, recevrait deux véhicules, soit un total de 22 engins.

L’armée de l’air va rendre ses propres VIB (véhicules d’intervention blindés) à l’armée de terre qui les intégrera dans sa flotte où ils seront remis à niveau. Pendant l’Afghanistan, l'utilisation de VIB pour la mission ALI avait été étudiée, mais les travaux n’avaient pas été concluants.
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March 29, 2016 2:37 AM
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USAF to delay T-X trainer aircraft programme

The US Air Force (USAF) has revealed plans to delay the T-X trainer aircraft programme.

The USAF is set to further refine the request for proposals (RfP) for its T-X fighter trainer competition aimed at replacing the service's ageing T-38 Talon aircraft fleet.

A notice on the Federal Business Opportunities website read: "The programme office now anticipates an RfP release in late December 2016 to ensure the release of a well-defined RfP."

The latest development will see the new aircraft reaching full operational capability from 2032 to 2034, two years later than the previously scheduled time frame.

The US Air Force T-X programme will comprise aircraft and training, which will prepare warfighters for the next 40 years.

The air force intends to replace the T-38 with a new advanced pilot training family of systems and around 350 aircraft, along with associated ground-based training systems and logistics and sustainment support.

The USAF seeks three key performance characteristics for the advanced pilot training mission, including sustained G, simulator visual acuity and performance, and aircraft sustainment, with focus on embedded training with synthetic sensors and data link.

The USAF requires the T-X system to serve in a 'red air' or adversary role, during live-fly exercises, and has already set aside $40m across the Future Year Defence Plan in Stores-Aircraft Interface funds in 2016 budget as a wedge to provide future planning or development options related to T-X.
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March 29, 2016 2:36 AM
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Les Rafale de l'armée de l'air au-dessus du désert

Les Rafale de l'armée de l'air au-dessus du désert | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Missions de reconnaissance armée, de frappes planifiées, de soutien aérien rapproché, « show of force », les Rafale de l'armée de l'air oeuvrent sans discontinuer au-dessus du désert, parfois près de monts enneigés, au Moyen-Orient et dans la bande sahélo-saharienne, depuis plus d'un an et demi.

Suite au retour du porte-avions Charles de Gaulle le 16 mars dernier, après quatre mois d'opérations au large de la Méditerranée et du golfe Arabo-persique, les Rafale de l'armée de l'air assurent, au côté des Mirage 2000, la totalité des missions aériennes de l'opération Chammal au profit de la coalition internationale, engagée contre l'organisation terroriste Daesh. Déployés depuis la base aérienne 104 d'Al Dhafra aux Emirats Arabes Unis, les six Rafale de l'escadron de chasse 3/30 « Lorraine » sont pleinement intégrés au sein des Forces françaises au EAU (FFEAU), implantées à Abu Dhabi depuis 2009 dans le cadre d'un accord de collaboration militaire entre la France et les Emirats Arabes Unis. Dotée de locaux de commandement, de parkings, d'un hangar de maintenance et d'un hangar de stockage, la base émirienne accueille de manière permanente un détachement de Rafale ainsi qu'un C-135FR, qui peuvent être soutenus de manière temporaire par un avion de transport et six autres avions de chasse.

Un temps renforcés par trois autres Rafale venus de métropole au début de Chammal, les chasseurs de l'armée de l'air ont officiellement débuté leurs opérations de reconnaissance en Irak le 15 septembre 2014, quatre jours avant leur première frappe, intervenue le 19 septembre contre un dépôt logistique. Les opérations en Syrie ont quant à elles été lancées en septembre 2015 par des vols de reconnaissance, se concrétisant par un raid de cinq Rafale sur un camp d'entraînement le 27 septembre 2015.

Depuis le lancement de l'opération Chammal en septembre 2014, les Rafale de l'air comptabilisent un total de 3 700 heures de vol au-dessus de l'Irak et de la Syrie. Le décompte de l'état-major des armées fait état « d'un peu plus de 600 heures de vol » effectuées depuis le 1er janvier 2016.

Dans la BSS, les Rafale sont engagés dans le cadre de la mission Barkhane, qui a pris le relais de l'opération Serval le 1er août 2014. Lancée le 11 janvier 2013, Serval a été l'occasion pour quatre Rafale partie de la BA 113 de St Dizier d'effectuer le vol le plus long de leur histoire, 9h45, avant d'aller frapper des positions terroristes au Mali. Basés à N'Djaména au Tchad, les Rafale, partis initialement pour des missions à dominante air-sol, ont par la suite ajouté une dimension « reco » à leur panel, prouvant la polyvalence du chasseur, louée par le commandant du 2/30 Normandie-Niémen lors d'un entretien à l'automne 2013.

Un temps renforcé au plus fort de l'opération Serval, le dispositif Rafale sur la base aérienne « Sergent-chef Adji Kosseï » est actuellement composé de quatre Rafale, relevés environ tous les deux mois. Les chasseurs comptabilisent 2 300 heures de vol depuis le 1er août 2014 et ont atteint les 500 heures de vol sur les trois premiers mois de cette année 2016.
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March 29, 2016 2:22 AM
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Des hélicoptères d’attaque de l’ONU interviennent contre un groupe rebelle dans l’est de la RDC

Des hélicoptères d’attaque de l’ONU interviennent contre un groupe rebelle dans l’est de la RDC | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Il y a des zones de conflit dont on ne parle malheureusement pas assez pour diverses raisons. C’est le cas du Soudan du Sud, où l’on compte, depuis deux ans et demi, 50.000 ou 60.000 morts, environ 2 millions de réfugiés et déplacés (1/5 de la population) et des dizaines de femmes violées, l’armée sud-soudanaise utilisant le viol comme une arme.

On peut aussi citer le Darfour, où l’on massacre impunément, ou encore l’est de la République démocratique du Congo (RDC), où les richesses naturelles, concentrées dans la région du Nord-Kivu, attisent les convoitises de groupes rebelles armés sans foi ni loi.

La situation chaotique de cette partie de la RDC est ancienne. En 2012, la Mission de l’ONU pour la stabilisation en République démocratique du Congo (Monusco) a pris le relai de la MONUC avec l’engagement de 20.000 Casques bleus, dotés – pour la première fois – de moyens offensifs réunis au sein d’une brigade d’intervention.

L’action conjointre de la Monusco et des Forces armées de la RDC (FARDC) a permis de réduire, au Nord-Kivu, en novembre 2013, les rebelles du groupe « M-23″. Seulement, ces derniers n’étaient pas les seuls à semer la mort et le chaos dans la région : les Forces démocratiques alliées (ADF), une formation islamiste originaire d’Ouganda et que l’on dit proche des shebab somaliens, et les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) restent encore une menace.

« En République démocratique du Congo (…) il reste des groupes extraordinairement tenaces et redoutables, comme les rebelles de l’Allied Democratic Forces (ADF), des Ougandais réfugiés dans le Nord-Kivu, qui descendent régulièrement la nuit sur un village, égorgent cinquante personnes et repartent ensuite pour se cacher dans la forêt », a ainsi affirmé Hervé Ladsous, le secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix de l’ONU, lors d’une audition récente au Sénat.

« On trouve également des FDLR, rebelles d’origine rwandaise, des Maï-Maï de nombreuses obédiences, tout cela dans un pays qui a retrouvé globalement une assez bonne stabilité », a-t-il ajouté.

Seulement, la coopération entre la Monusco et les autorités de la RDC sont souvent compliquées… Au point qu’elle a été suspendue en février 2015 car Kinshasa avait nommé deux généraux soupçonnés de graves violations des droits de l’Homme à la tête de troupes appelées à participer à des opérations militaires conjointes. D’ailleurs, le renouvellement du mandat de la force de l’ONU, qui doit être décidé le 30 mars, donne lieu à quelques difficultés.

Quoi qu’il en soit, et sans doute en raison de cette échéance, les hélicoptères d’attaque de la Monusco ont été engagés, le 24 mars, contre les rebelles des ADF.

« Nos hélicoptères d’attaque [les Casques bleus en ont 7, ndlr] ont infligé des pertes dans les rangs» de l’Alliance des Forces démocratiques alliés » et « les opérations se poursuivent », a ainsi confirmé le général français Jean Baillaud, commandant adjoint des forces de la Monusco, avant de préciser que cette opération, appelée Sokola 1, est « la matérialisation du soutien » au FARDC contre les rebelles.

Un porte-parole de la Monusco a précisé que les hélicoptères d’attaque ont été engagés dans « les profondeurs de Semuliki », un village proche de la frontière avec l’Ouganda, au nord-est de la capitale régionale, Goma.

Cela étant, l’instabilité dans le Nord-Kivu fait les affaires de États voisins. « Le rôle du Rwanda dans certaines phases de cette crise a été critique. C’est un problème de ressources : comment expliquer que l’Ouganda et le Rwanda, qui n’ont pas de mine sur leur territoire, exportent de l’or, du coltan, dans des quantités loin d’être négligeables? Tout cela est en fait pillé dans le fond des forêts du Kivu, et ensuite traité et exporté par les pays voisins », a expliqué M. Ladsous lors de son intervention devant les sénateurs.
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March 29, 2016 2:16 AM
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Les contrats des sociétés de sécurité Constellis et Aegis prolongés d'un an en Afghanistan

Constellis (via Triple Canopy et Olive Group) et Aegis (qui appartient à Garda World) ont très récemment vu leurs contrats de protection prolongés d'un an dans le cadre du contrat SSI-Iraq (Security Support Services). L'annonce, qui date du 23 mars, précise que ces entreprises vont poursuivre leurs activités en Afghanistan jusqu'en mai 2017.

Les "security support teams" de la coalition ne sont plus suffisantes pour assurer leurs missions de protection puisque depuis 2015 leurs effectifs sont en baisse. A Kandahar, par exemple, depuis janvier dernier, ces équipes sont totalement indisponibles.

L'Army Contracting Command a donc décidé de prolonger les contrats en cours de trois entreprises privées (Triple Canopy, Olive Group et Aegis).

Triple Canopy est déployé dans trois bases pour en assurer la sécurité dans le cadre du marché SSS-Iraq (l'ex-marché Reconstruction Security Support Services) depuis 2011. Aegis travaille actuellement à Kaboul au profit du Département d'Etat (DoS).

Les personnels de ces sociétés vont donc assurer des missions de PR, d'escorte de convois, de reconnaissance d'itinéraire, de garde statique etc.

Aucun montant n'a été communiqué. Mais en 2003, le marché SSS-I attribué à Olive Group avait une valeur de 93,6 millions de dollars.
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March 29, 2016 2:14 AM
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Lockheed F-35 service life extended to 2070

Lockheed F-35 service life extended to 2070 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The projected life of the F-35 Lightning II has been extended by six years to 2070 after the US military services tweaked the number of flight hours their fleets should log before retirement.

According to the Pentagon’s selected acquisition report (SAR), published on 25 March, the total cost of developing, building, basing, operating and maintaining 2,457 aircraft has increased by 6.8% to $1.5 trillion (2015 dollars) compared to one year ago.

The bulk of that increase is attributed to the US Air Force, which has altered the assumed number of hours that each of its conventional-variant F-35As will fly in its lifetime.

Consequently, the operational life of each jet has been extended by two years, culminating in a six-year life cycle extension from 2064 to 2070. The US Air Force added 1.3 million flight hours to its 1,763-strong fleet’s forecast, while the Navy added 300,000 to its fleet.

According to a statement by the F-35 Joint Programme Office, these adjustments have pushed the estimated operating and support (O&S) cost of the F-35 up by $45 billion in base-year 2012 dollars. “If not for these life extensions and flight hour additions, the O&S estimate would have shown a reduction of $22 billion,” the programme office says.

F-35 chief Lt Gen Christopher Bogdan is pushing for a reduction in both procurement and long-term operating cost for the F-35, and is targeting a 30% reduction in O&S costs compared to the current estimate, which stand at $1 trillion for 2,457 F-35s.

He's also pushing to reduce the cost per A-model jet “to between $80 and $85 million dollars by 2019” and those numbers are steadily declining, according to the 2015 selected acquisition report (SAR).

The flyway cost of the F-35A including the aircraft, engine and contractor fee decreased by 2% to $100.6 million (2015 dollars), whereas the F-35C declined 4.1% to $110.7 million. The short-takeoff-vertical-landing F-35B unit cost declined 2.5% to $122.9 million.
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March 29, 2016 2:08 AM
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Financer un fonds européen de défense avec la dette ?

Financer un fonds européen de défense avec la dette ? | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Financer la défense de la France tout en réduisant son surendettement, c’est l’idée de Thierry Breton, ancien ministre français de l’Économie et actuel PDG du groupe Atos, leader européen des technologies de l’information. Une idée pas si folle proposée par Thierry Breton début mars devant la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des forces armées du Sénat français.


La France a accumulé à ce jour 2 103,2 Md€ de dette publique (soit 96% du PIB), tandis que les dettes de l’ensemble de la zone euro totalisent 9 000 Md€, constate Breton en citant les chiffres d’Eurostat. Or, depuis la création de l’euro, la France a dépensé près de 720 Md€ pour assurer sa sécurité et sa défense. « Cette dette est donc aussi le résultat de politiques positives : grâce à nos efforts, nous avons vécu une période de paix exceptionnelle », note-t-il. Ce constat s’appliquant également aux autres pays de la zone euro, le PDG d’Atos propose une solution ambitieuse : créer un fonds européen de sécurité et de défense pour financer la totalité des dettes en matière de défense de la zone euro, soit 2 330 Md€ depuis la création de l’euro jusqu’à nos jours.



Selon Breton, les Etats de la zone euro pourraient rembourser leurs dettes de défense en rassemblant celles-ci au sein d’un fonds commun qui se refinancerait sur le marché en émettant des obligations à un taux inférieur à celui supporté par les dettes nationales sur une durée de 50 ans, « pour peu que les États apportent leur garantie et prévoient des ressources fiscales certaines » précise le PDG d’Atos.



En bénéficiant des taux très bas, voire négatifs, contrepartie d’une sécurité à très long terme, les pays de la zone euro pourraient rembourser leur dette de défense à moindre coût. Ces obligations, fortement sécurisées par les États qui les émettraient et donc cotées « AAA », sont en effet particulièrement prisées par de grands acteurs financiers tels que la Banque centrale européenne ou la banque BNP. L’endettement de la zone euro en matière de défense s’en trouverait donc réduit : « la France passerait ainsi de 96% à 61% du PIB tandis que l’Allemagne passerait de 71% à 56% », précise Breton. Une fois cet équilibre franco-allemand atteint, le noyau formé par ce duo de poids lourds favoriserait un effet d’entraînement global susceptible de motiver les pays sceptiques à rejoindre ce fonds. Car, non content de rembourser leurs dettes, un tel fonds permettrait également de financer la moitié des dépenses de défense de chaque pays contributeur, « pour peu que cette moitié soit mutualisable », ajoute-t-il . Cette « moitié » viserait « les garde-côtes, les douaniers européens, les dépenses de cyber-sécurité, certaines dépenses de renseignement numérique ou satellitaire, les plateformes d’Opex, d’hélicoptères, d’avions ou de bateaux de transport, » propose-t-il. Enfin, éludant la question de l’agenda nécessaire, « j’ai calculé qu’il faut deux ans et demi pour mettre en place le fonds et le porter à 2 300 Md€, soit l’équivalent de l’endettement d’un pays comme la France ou l’Allemagne », conclut Breton.



Vous nous suivez ?



Car, si selon Breton « tout le monde [y] gagnerait », la création de ce fonds suscite beaucoup d’interrogations. En effet, pour bénéficier de l’effet positif d’un tel fonds, chaque État devrait atteindre le niveau de dépenses militaires préconisé par l’OTAN, donc 2% de PIB. Un objectif lointain pour la plupart des pays de la zone euro, les dépenses de défense de la France se situant aujourd’hui à 1.8 % de son PIB. De même, nombre de pays d’Europe de l’Est, la Pologne en tête, ainsi que les pays baltes centrent davantage leur politique de défense sur l’OTAN et non sur l’Europe. Il reste encore à convaincre les autres pays que la France ne cherche pas simplement à restructurer sa dette. Et ne parlons pas du choix de la gouvernance d’un tel fonds… Malgré ces obstacles, l’idée d’un fonds européen reste néanmoins séduisante et pourrait sans doute trouver un intérêt nouveau de la part de pays européens confrontés à des impératifs sécuritaires croissants.

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March 29, 2016 2:05 AM
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DRDO Demonstrates Arjun Mk II, ICV Combat Vehicles in Action at Defexpo 2016

DRDO Demonstrates Arjun Mk II, ICV Combat Vehicles in Action at Defexpo 2016 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
India’s Defense Research and Development Organization (DRDO) and Indian armored vehicle manufacturers displayed today for the first time a number of combat vehicles developed in India for the Indian armed forces. Among the new vehicles were Arjun Mk II, Kestrel Wheeled Armored Platform (WhAP) and 4×4 Armored Mine Protected Vehicle (MPV) developed by Tata.

WhAP, an 8×8 armored infantry carrier developed by Tata (based on Tata’s Kestrel design) was displayed by the DRDO. The vehicle uses a modular design that adapts the platform to different configurations, including infantry carrier, various specialist and support vehicles. The variant on display included a manned turret mounting a 30mm cannon and 7,62 coaxial machine-gun. APC, CBRN, command post, ambulance, 105 light tank etc.

The 25-ton vehicle is powered by a 600 hp diesel engine, that accelerates the vehicle to a maximum speed of 100 km/h, (10 km/h in water). The vehicle has two propellers for amphibious operation. The vehicle uses hydropneumatic suspension and runflat tires to soften in rough terrain and retain mobility even after tires are damaged. Among the four axles two are steerable, improving the vehicle’s maneuverability in urban and rough terrain. Two years ago, at Defexpo 2014 the Kestrel was displayed with two remotely controlled weapon stations, mounting a 40mm cannon and 7.62 mm gun. For Defexpo 2016 the vehicle was fitted with a 30mm turret form the BMP-2.

Arjun Mk II is an improved version of the indigenous Arjun tank developed by the DRDO. The tank was presented on the static display at Defexpo 2014 and was shown in action, in public today at Defexpo 2016 in Goa for the first time. Arjun Mk II has a 120mm cannon that fires kinetic, high explosive rounds and LAHAT laser guided missiles.

The missile uses a tandem warhead, which is capable of defeating all types of modern armor, including add-on reactive armor. High penetration capability of the main warhead allows the missile to penetrate the armor of major armored vehicles at high impact angles. The Arjun Mk II can carry a total of 39 rounds in special blast-proof canisters. A 7.62 mm MAG machine gun is mounted coaxially to the main armament. Mounted on the top of the turret is a Remote Controlled Weapon Station (RCWS) armed with a 12.7mm NSVT machine gun and associated optronics. An independent sight for the commander is located at the turret, left of the commander’s cupola. The protection level has also been improved over Arjun Mk 1, adding reactive armor modules to the turret. The tank also has laser threat warning sensors mounted on four quadrants, along with eight launchers on each side, delivering smoke canisters deploying instantaneous smoke screen, to mask the tank from incoming missiles.

The MPV was developed by Tata Motors Defense unit, under the company’s strategic expansion of its defense solutions, from logistical and utility vehicles to the design shift to broader mobility solutions for the military, providing all types of platforms, from 4×4 to 12×12, including various all-terrain weapon carriers and armored vehicles and combat vehicles. Tata is intended to participate in the Future Infantry Carrier Vehicle (FICV).

The MPV has been developed at the company in the past 5 years. A 20 ton vehicle, the MPV can transport 2 crew members and 12 troops, at high level of safety from mines and other forms of attack, at a maximum speed of 80 km/h. The vehicle is protected against explosives, mines and small arms attack up to STANAG Level 3. All passengers are provided with blast mitigating seats and 4 point harness. All tires are fitted with Run-Flat systems to retain mobility under attack.
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March 29, 2016 2:01 AM
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Des Rafale M de nouveau sur les porte-avions US ?

Des Rafale M de nouveau sur les porte-avions US ? | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Les opérations de maintenance lourde du Charles de Gaulle, d’une durée de 18 mois et programmées de 2017 à 2018, posent de nouveau la question de l’emploi du groupe aérien embarqué pendant l’indisponibilité du porte-avions. En cas de nécessité opérationnelle, une solution serait d’employer les avions depuis des bases terrestres.

Mais cela ne règlerait pas la question du maintien des qualifications à l’appontage pour les équipages. La possibilité existe alors de baser Rafale et Hawkeye sur un porte-avions américain. L’hypothèse a été récemment remise sur la table par le contre amiral Crignola, qui commandait le groupe aéronaval français lors de la dernière mission du Charles de Gaulle à l’est de Suez. Appareils et installations sont totalement compatibles et les échanges sont relativement courants. Déjà en 2008, cinq Rafale M avaient déjà été embarqués sur l’USS Roosevelt pendant plusieurs jours dans le cadre d’un exercice.
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March 29, 2016 1:59 AM
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Thales va fournir les avions légers de surveillance

Thales va fournir les avions légers de surveillance | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Initiallement prévue par la Loi de programmation militaire en 2015, la décision d'achat d'avions légers de surveillance et de reconnaissance (ALSR) va être notifiée dans les jours prochains. C'est sans surprise Thales qui remporte le marché estimé à 50 Meur. Sans surprise car Thales était étonnement le seul à avoir candidaté ! Les potentiels autres entreprises de défense ont peut-être été effrayées par le cahier des charges...

Le marché porte sur deux avions, plus un autre en option. Le système, très évolué, comprends une suite complète ISR (senseurs, ROEM, satcom...). Le porteur est un Beechcraft King Air 350. Une capacité qui sera mise en œuvre par l'armée de l'air mais aussi mutualisée au profit de la DRM (Direction du Renseignement Militaire) et la DGSE.

Au final, la flotte française d'ISR léger sera très en dessous du besoin réel. Entre le Levant et le Sahel, les armées louent, en permanence, entre 6 et 8 avions légers de surveillance à des opérateurs privés à l'instar de CAE Aviation.
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March 30, 2016 1:36 AM
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Syrie : le soutien russe pour la reprise de Palmyre

Syrie : le soutien russe pour la reprise de Palmyre | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le rôle des russes semble avoir été déterminant dans la reprise de la ville de Palmyre par les forces de Bachar al Assad le dimanche 27 mars.


Le 26 mars, les forces russes déployées en Syrie ont reconnu avoir effectué 40 sorties dans la région près de Palmyre, dans la province de Homs.

« 158 installations terroristes ont été ciblées, entraînant la destruction de 100 terroristes, quatre chars, trois pièces d'artillerie, quatre dépôts de munitions et cinq véhicules », a déclaré le Kremlin.

Entre le 20 et 23 mars, des forces russes avaient déjà menées 146 frappes aériennes sur des terroristes près de Palmyre, neutralisant pas moins de 320 terroristes !

« Six postes de commandement, plus de 320 terroristes, cinq chars, six pièces d'artillerie, deux dépôts de munitions et 15 véhicules ont été détruits" ont reconnu les russes.

Présents en Syrie depuis le 30 Septembre 2015, les russes ont menées d'intenses campagnes de bombardement. Et alors que Poutine a ordonné mi-mars le retrait du gros du contingent russe de Syrie, il semble bien que Moscou ait conservé de très importants moyens militaires sur place, notemment sur la base aérienne de Hmeimim.
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March 30, 2016 1:35 AM
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Indian Navy orders submarine rescue systems

Indian Navy orders submarine rescue systems | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The Indian Navy has given Britain-headquartered James Fisher Defense a $252.3 million contract to provide and support a submarine rescue capability.

The contract includes the design, build and supply of two complete submarine rescue systems, as well as a 25-year annual maintenance contract.

The rescue systems will be fly-away units and include deep search-and-rescue vehicles, launch and recovery systems equipment, transfer-under pressure systems, and logistics and support equipment.

The service support will be managed in-country by a team of experienced JFD engineers, and over the life of the contract the JFD team will train local teams of engineers to maintain the systems.

"It is essential to the safety of submariners across the world that submarine rescue services are not just fit-for-purpose, but world class in capability, upholding the highest standards in safety and quality," said Giovanni Corbetta, managing director of JFD. "The decision to entrust JFD with the supply of two submarine rescue systems is testament to the breadth and depth of our engineering expertise, and the diligence with which our submarine escape and rescue teams deliver these services."
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March 30, 2016 1:21 AM
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Deux Osprey se ravitaillent sur le BPC Tonnerre

Deux Osprey se ravitaillent sur le BPC Tonnerre | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Parti de Toulon le 3 mars avec la frégate Guépratte dans le cadre de la mission Jeanne d’Arc, le bâtiment de projection et de commandement Tonnerre a traversé la Méditerranée puis le canal de Suez en vue de rejoindre l’océan Indien. Lors de son passage en mer Rouge, le BPC de la Marine nationale a accueilli, le 19 mars, deux convertibles américain MV-22B Osprey. Ces appareils de l’escadron VMM 162 appartiennent à la 26ème Marine Expeditionnary Unit embarquée sur l
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March 29, 2016 3:05 AM
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Les chefs des marines de Séoul et Tokyo discutent collaboration militaire

Les chefs des marines de la Corée du Sud et du Japon ont discuté des moyens d'étendre leur collaboration dans les exercices conjoints de recherche et de sauvetage, les opérations contre les pirates et d'autres sujets, a indiqué ce lundi la Marine sud-coréenne.

Ces discussions de haut niveau tenues entre le chef des opérations navales Jung Ho-sub et le commandant en chef de la Force maritime d'autodéfense japonaise Tomohisa Takei ont eu lieu au siège de l'armée Gyeryongdae, dans le centre du pays.

La coopération dans le cadre des exercices conjoints de recherche et de sauvetage et des opérations destinées à combattre la piraterie ainsi que l'échange de personnel ont été quelques-uns des principaux sujets abordés lors de la rencontre. Les détails de cette collaboration seront établis au cours de discussions de niveau opérationnel à venir, a précisé la Marine.

Le commandant japonais est arrivé lundi en Corée du Sud pour une visite de quatre jours, au cours de laquelle il effectuera une visite de courtoisie au ministre de la Défense Han Min-koo et au chef d’état-major des armées Lee Sun-jin.

Il s'est agi de la première rencontre entre les chefs des marines des deux pays en cinq ans, après la visite du commandant sud-coréen des forces navales au Japon en juillet 2011.
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March 29, 2016 2:37 AM
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La Russie va développer un robot biomorphique

La Russie va développer un robot biomorphique | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Les ingénieurs russes ont commencé des travaux sur le développement d’un robot biomorphique armé de mitrailleuses et de missiles.

Le bureau d'étude russe Signal a entamé le développement d'un robot de combat biomorphique (qui rappelle un animal), surnommé Lynx, a déclaré Vladimir Chachok, chef du bureau.

"Dans le cadre de l'un de nos projets, qui s'appelle Lynx, nous créons un système robotique biomorphique polyvalent. Le robot aura quatre pattes, donc il ressemblera à une créature animale", a expliqué M. Chachok.

Selon le cahier des charges du ministère russe de la Défense, les ingénieurs doivent construire un robot biomorphique mobile d'un poids maximal de 400 kilogrammes, capable de se déplacer "notamment sur un relief tourmenté". La vitesse maximale prévue de cet appareil sur un terrain plat est de 15 kilomètres par heure et sur un terrain accidenté de 10 kilomètres par heure.

Le robot doit être capable de se déplacer dans un environnement d'infrastructures urbaines et industrielles (y compris au milieu de bâtiments détruits) sur le béton, l'asphalte, le marbre, sur des surfaces de sable et de terre.

Le Lynx doit également se déplacer sans problèmes sur le verglas, sur les feuilles mortes tombées au sol, dans les hautes herbes, à travers une couche de neige de 40 cm, sous la pluie et sur des surfaces inondées de 40 cm d'eau. Il doit par ailleurs être en mesure de surmonter des obstacles, des escaliers et des fossés.

D'après Vladimir Chachok, trois versions de l'appareil sont prévues: un robot de reconnaissance, un robot d'appui de combat et un robot de transport.

"Le robot de combat sera doté, probablement, d'une mitrailleuse et de missiles guidés antichars", a noté le directeur.

Les tests d'Etat du prototype sont prévus pour 2019.

Située dans la ville de Kovrov, le bureau d'étude Signal fait partie de la holding Rostec. Il est l'un des principaux développeurs phares russes notamment de systèmes informatisés de gestion du feu de l'artillerie, ainsi que de systèmes de guidage et de stabilisation des armements.
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March 29, 2016 2:22 AM
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US State Department Approves Sale of P-8A Surveillance Aircraft to UK

US State Department Approves Sale of P-8A Surveillance Aircraft to UK | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The acquisition of long-range anti-submarine warfare Boeing P-8A Poseidon planes is aimed at boosting the UK’s national defense. WASHINGTON – The US Department of Stat
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March 29, 2016 2:20 AM
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MBDA offering advanced technology transfer to India

MBDA offering advanced technology transfer to India | DEFENSE NEWS | Scoop.it
With discussions well advanced with the Indian Navy for a short-range surface to air weapon to fill a recognized capability gap, a full scale model of the SR-SAM missile will take pride of place on the company’s stand. This programme sees MBDA supporting the DRDO and represents the cornerstone of MBDA’s long term partnership and cooperation strategy in India. Also on display is a weapon that truly warrants the sobriquet “Fifth Generation”. This weapon, MMP, is being developed as a highly advanced successor to the successful MILAN with a range of important features placing it well beyond the capabilities of the competition. It is also a weapon that MBDA is proposing as the basis of a major future cooperation in line with the Make in India strategy. Given the advanced state of play regarding the contract for the Rafale aircraft that has been chosen for the IAF, MBDA’s stand will be showcasing the full weapon suite associated with this world-leading combat aircraft.

Strategic Technology Transfer

ToT that really makes the difference

Make in India can benefit and make major leaps forward in progress by having access to the levels of advanced technology that MBDA has developed over many decades of advanced research and development. Many people in the industry are making such a claim for India but often this technology is way below the necessary level to make a real difference to India’s indigenous capability. MBDA on the other hand is prepared to go the whole distance and to offer technology at an advanced level. Moreover, it has the full backing of its domestic governments to do so.

MISTRAL has proven itself a major success story with a 96% success rate in all firings. This highly versatile IR missile, the missile deployed from the MBDA ATAM launcher already integrated on HAL’s ALH Rudra, can be deployed from a number of land and ship based launch systems. With a competition currently underway to meet India’s VSHORAD requirement, at DEFEXPO 2016 MBDA will be displaying the MISTRAL MANPADS system. Easy to use, quick to set up, deploy, fire and reload, MISTRAL MANPADS was designed from the outset to be a highly portable tripod mounted system. Easily managed by one operator for the tripod and another for the missiles, the system has a distinct advantage over beam-riding systems in that its heat sensitive seeker allows the missile to be fully autonomous, a vital capability in dealing with close in, manoeuvring threats. The system, which has already carried out several successful fire evaluation trials for India, can also be mounted on vehicles.

SR-SAM is a DRDO project which MBDA is proud to be supporting as it reinforces the partnership model which the company is advancing within the country. Much has been written about this project which stresses MBDA’s commitment to India’s Make in India policy. Offering the highest levels of technology transfer and a major boost to the Indian defence industry sector, SR-SAM is an ideal solution for the short range air defence needs of India’s Navy. Discussions are well advanced and as soon as a green light is given, this latest technology is ready to be developed by India in collaboration with MBDA.

Force Modernisation

Equipping the IAF with the best in military technology

Today’s combat pilot is often called on to carry out multiple roles. MBDA can provide the latest generation of weapons to not only ensure air supremacy but also to carry out precision strikes against a wide variety of static and fast moving surface targets. With the Indian Air Force enhancing and modernising the operational capabilities of its fleet of Jaguar and Mirage 2000 aircraft while planning for the arrival of the Rafale, DEFEXPO 2016 offers MBDA the ideal opportunity to showcase its extensive range of air-to-air and air-to-ground guided weapon systems.

MICA is being delivered for the IAF’s Mirage 2000 upgrade. It is also a weapon system closely associated with the Rafale. Showcased on MBDA’s stand, this is the only missile in the world featuring two interoperable seekers (active radar and imaging infrared) to cover the spectrum from close-in dogfight to long beyond visual range. Its ability to fly out to BVR in passive mode before the seeker locks on in the final stages of the end game has earned it the sobriquet “silent killer” as the target has little time to react or to deploy effective countermeasures.

ASRAAM has been selected for the IAF’s Jaguar bomber fleet which is undergoing upgrades to extend the aircraft’s life. This short range air-to-air missile’s speed not only provides safe separation from the Jaguar’s above-wing pylons, it also guarantees “first shot first kill” to avoid getting involved in a dogfight. As the Jaguar is a low-flying aircraft, threats will most likely come from more agile fighters with altitude superiority, ASRAAM offers a major advantage here in its unmatched “snap-up” capability, its ability to rapidly divert upwards once fired.

METEOR is a six-European nation programme that will provide the key future BVR air-to-air armament for Europe’s new generation of combat platforms including of course the Rafale. This missile’s very long range combined with its ramjet-induced speed, result in a weapon that has an unequalled No Escape Zone. In fact METEOR has been designed to be many times superior to the most sophisticated current and emerging Medium Range Air to Air Missile (MRAAMs) threat. Its advantages provide an added dissuasive power to an air force in so far as any enemy will need to think seriously before venturing into potentially lethal air space as with METEOR, there can only ever be one winner! The advanced technology contained within the missile controls speed and fuel consumption throughout the flight envelope. This ensures that maximum power and hence agility are maintained at the extremes of range where other MRAAMs have long since ceased being effective. As well as showing off MBDA’s mastery of the most advanced technologies, METEOR is vivid proof of the company’s skill in managing international cooperative programmes.

BRIMSTONE goes from strength to strength with trials and combat deployment clearly demonstrating the unmatched capabilities of this weapon in meeting the operational challenges of today. Trials have included firing at targets moving at speeds of up to 70 mph from a variety of launch conditions, including long range and high off-boresight.

Test scenarios have also simulated a cluttered road environment, as typically encountered during recent conflicts. Every shot achieved a direct hit on the target. BRIMSTONE has won international acclaim following its successful combat deployment during recent operations in Libya and Afghanistan and more recently Syria.

Precision surface strikes are a major feature of today’s air force mission and BRIMSTONE with its dual millimetric wave radar and semi-active laser (SAL) seeker gives the pilot a great deal of flexibility. A salvo of BRIMSTONES can be launched in fire-and-forget mode or, should man-in-the loop be required because of complex operational conditions, the SAL mode can be selected. Significantly, as MARITIME BRIMSTONE, the missile has proven its capabilities as a surface-to-surface weapon. Whether air or surface launched, BRIMSTONE is the only weapon currently available that can engage not only fast moving land targets but also swarming FIACs (Fast Inshore Attack Craft) a fast emerging and worrying threat in coastal waters.

Deep strike is a major requirement for a modern air force. The ability to deliver a precision strike against high value targets such as well protected control bunkers/centres, key infrastructures and military installations from a safe stand-off distance is crucial in the early days of a conflict as was shown in Iraq and Libya. At DEFEXPO 2016, MBDA is displaying, SCALP/STORM SHADOW, which is in operational service on the French Air Force’s Rafale aircraft (as well as with other European air forces) and which has proved its unerring and unmatched ability to combine very long range with devastating target effect during combat operations carried out by the air forces of the UK, France and Italy.
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March 29, 2016 2:16 AM
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Une station radar japonaise activée près des Senkaku

Le Japon a activé lundi une station radar en mer de Chine orientale, à proximité de Taïwan, ce qui devrait fournir à Tokyo des renseignements sur l'activité navale dans les parages d'îlots que convoite Pékin en mer de Chine orientale. La nouvelle base militaire de Yonaguni est située à la pointe d'un chapelet d'îles japonaises et à 150 kilomètres au sud de l'archipel administré par Tokyo sous le nom de Senkaku et revendiqué par la Chine sous celui de Diaoyu. "Cette station radar va irriter la Chine", a dit Nozomu Yoshitomi, professeur à la Nihon University et ancien général des "forces d'autodéfense" japonaises. Outre son rôle de station d'écoute, a-t-il expliqué, elle pourra être utilisée comme base pour des opérations militaires dans la région. A Pékin, Hong Lei, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, a déclaré que la position de la Chine concernant les îlots Diaoyu était claire et n'avait pas changé. "Nous espérons que le Japon pourra prendre des mesures qui serviront la paix et la stabilité dans la région", a-t-il dit lors de son point de presse quotidien. La station de Yonaguni -- l'île japonaise la plus au sud-ouest de l'archipel -- participe d'un déploiement plus large d'un arsenal militaire défensif le long des îles japonaises situées au sud du pays. "Jusqu'à hier, il n'y avait aucune unité d'observation côtière à l'ouest de l'île d'Okinawa. Il nous fallait combler ce vide", a déclaré Daigo Shiomitsu, lieutenant-colonel chargé du commandement de la nouvelle base de Yonaguni. ACCROISSEMENT DES EFFECTIFS "Cela signifie que nous pouvons observer les zones limitrophes du Japon et faire face à toute situation", a-t-il ajouté. Shiomitsu a assisté lundi à une cérémonie à la base, au côté de 160 militaires et d'une cinquantaine de personnalités. La construction de certains bâtiments, avec leurs murs blancs et leurs toits de tuiles rouges typiques de l'archipel des Ryukyu, n'est pas encore achevée. Yonaguni, île de 30 km² qui compte 1.500 habitants, se trouve à une centaine de kilomètres seulement à l'est de Taiwan, près de la limite de la "zone d'identification aérienne" créée par la Chine en 2013. Au cours des cinq ans à venir, le Japon compte accroître d'un cinquième ses effectifs militaires en mer de Chine orientale, en les portant à près de 10.000 hommes. Des batteries de missiles y seront installées, afin d'établir un rideau défensif le long de l'archipel des Ryukyu, chapelet d'îles long de 1.400 km qui s'étend de Kyushu jusque près de Taiwan. Les navires chinois quittant le plateau continental doivent franchir ce chapelet d'îles pour atteindre l'ouest du Pacifique. Pékin a besoin de cet accès à la fois pour le trafic marchand sur les océans du globe et pour déployer ses forces navales.
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March 29, 2016 2:13 AM
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Des essais « non demandés » seraient à l’origine de certains problèmes de l’A400M Atlas

Des essais « non demandés » seraient à l’origine de certains problèmes de l’A400M Atlas | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Extraction de charges lourdes par la rampe arrière, parachutage par les deux portes latérales, autoprotection contre les missiles de courte portée à guidage infrarouge, ravitaillement en vol des hélicoptères… Telle était la liste des problèmes rencontrés par l’avion de transport A400M « Atlas » dressée en mai dernier par Laurent Collet-Billon, le Délégué général pour l’armement (DGA), qui semblait alors un peu « agacé » par ces contretemps.

Pourtant, l’Office national d’études et de recherches aérospatiales (ONERA) avait mené, jusqu’en 2007, plusieurs campagnes d’essais, notamment en soufflerie, pour valider la conception de l’A400M.

« La problématique aérodynamique a nécessité un effort expérimental très important qui n’avait pas été nécessaire sur d’autres programmes. Le problème d’interaction entre l’hélice, le moteur, le fuselage , la pointe arrière et la voilure est en effet difficilement accessible par le calcul, du moins pas avec la précision requise. Le comportement des entrées d’air des moteurs en présence des hélices a également été évalué, ainsi que les performances des tuyères », explique le centre de recherches sur son site Internet.

« Nous avons fait beaucoup de choses sur l’A400M par le passé, y compris des essais en soufflerie, en raison des interrogations légitimes sur la motorisation particulière de cet appareil. Ces essais ont tout de même fait apparaître que certains éléments avaient été sous-dimensionnés : je pense par exemple à la pointe arrière de l’appareil qu’il a fallu renforcer d’un facteur deux », a confirmé Bruno Sainjon, le président-directeur général de l’ONERA, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, la semaine passée.

Pour autant, certains soucis rencontrés actuellement par l’avion de transport d’Airbus n’ont donc pas pu être réglés lors de ces campagnes d’essais. « Comment se fait-il que l’on rencontre encore des problèmes aujourd’hui? Est-ce que certains problèmes n’ont pas été détectés à l’époque? », a ainsi demandé M. Sainjon, avant d’y répondre par l’affirmative.

« La réponse est positive, parce que les essais correspondants n’ont pas été demandés », a-t-il en effet reconnu. « De son côté, l’ONERA n’a sans doute pas été suffisamment force de proposition », a-t-il aussi déploré.

En attendant, et alors que l’armée de l’Air a commandé deux KC-130J afin de pouvoir ravitailler en vol ses hélicoptères, Airbus continue de chercher une solution pour doter l’A400M de cette capacité, pourtant prévue au cahier des charges de cet avion.

« J’étais hier au Fauga pour assister à la campagne d’essais que nous conduisons pour le compte d’Airbus afin de voir si nous pouvons apporter des solutions à la question du ravitaillement en vol des hélicoptères par l’A400M », a ainsi affirmé M. Sainjon.
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March 29, 2016 2:05 AM
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Malaysia selects Thales UAV

The Malaysian Maritime Enforcement Agency (MMEA), the country’s coast guard, has selected a Spanish-built fixed-wing UAV for use aboard new patrol vessels.

The winning design is the Thales España Fulmar, and the UAVs will embark aboard six new New-Generation Patrol Craft (NGPC) that are under construction by loca
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March 29, 2016 2:02 AM
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USN's Zumwalt completes builder's trials

USN's Zumwalt completes builder's trials | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The lead ship of the US Navy's (USN's) new destroyer class is back in port after completing builder's trials, officials announced on 25 March.

Future USS Zumwalt (DDG 1000) conducted four days of at-sea trials as part of the USN's testing and evaluation process. Produced by General Dynamics Bath Iron Works in Bath, Maine, Zumwalt underwent testing of several ship systems including key propulsion and auxiliary systems as well as small boat operations.

"These trials also served as a unique opportunity for the crew to train side-by-side with representatives from industry," Captain Thurraya S Kent, a spokesperson for the Assistant Secretary of the Navy for Research, Development and Acquisition Sean Stackley, said in a statement.
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March 29, 2016 2:00 AM
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Le premier Hawk destiné à l’Arabie Saoudite

Le premier Hawk destiné à l’Arabie Saoudite | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Les essais de pré-livraison du premier des 44 BAe Hawk Mk165 avancé Jet Trainer (AJT) destiné à l'Arabie saoudite progressent. La livraison est prévue dans les semaines avenir.

L’Arabie Saoudite a passé commande de deux lot d’avion école BAe HawkMK165 AJT, le premier lot concerne 22 Hawk suivi par une seconde commande portant sur 22 appareils.

Les Hawks MK165 sont équipés d’un cockpit numérique très proche des ceux qui équipent les Airbus Eurofighter « Typhoon II » et Boeing F-15S « Eagle » sur lequel les élèves-pilotes vont se retrouver.

La version Hawk MK132 Export AJT (T2 dans la RAF) et le standard destiné à la RSAF, font partie de la nouvelle génération de jet destiné au départ pour la Royal Air Force et la Royal Navy. Le T2/MK132 comprend un affichage moderne de type LCD à la place de l'instrumentation classique et permet la préparation pour le vol des avions de combat modernes, en particulier le tout "en verre". Il utilise un moteur Rolls-Royce Adour 951.Trois pays ont également déjà opté pour ce modèle, l’Afrique du Sud et l’Inde et l’Arabie Saoudite.
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