DEFENSE NEWS
6.7M views | +1.6K today
Follow
 
Scooped by Romain
onto DEFENSE NEWS
Today, 1:58 PM
Scoop.it!

L'Ukraine souhaite acheter 25 systèmes de défense aérienne Patriot aux États-Unis

L'Ukraine souhaite acheter 25 systèmes de défense aérienne Patriot aux États-Unis

Le ministère ukrainien de l'Énergie a déclaré lundi que les attaques russes avaient encore endommagé l'infrastructure électrique du pays, entraînant des coupures de courant programmées dans de nombreuses régions.

LIRE L’ARTICLE : http://fr.euronews.com/2025/11/10/guerre-en-ukraine-kyiv-souhaite-acheter-25-systemes-de-defense-aerienne-patriot-aux-etats-

Abonnez-vous à notre chaine : https://www.youtube.com/c/euronewsfr?sub_confirmation=1

En DIRECT - Suivez Euronews ici : https://www.youtube.com/c/euronewsfr/live

Euronews est disponible sur YouTube en 12 langues: https://www.youtube.com/user/euronewsnetwork/channels
No comment yet.
DEFENSE NEWS
Revue de presse quotidienne des principaux articles concernant le secteur de la Défense, de ses industriels, des armements et technologies.
Curated by Romain
Your new post is loading...
Your new post is loading...
Scooped by Romain
Today, 1:58 PM
Scoop.it!

L'Ukraine souhaite acheter 25 systèmes de défense aérienne Patriot aux États-Unis

L'Ukraine souhaite acheter 25 systèmes de défense aérienne Patriot aux États-Unis

Le ministère ukrainien de l'Énergie a déclaré lundi que les attaques russes avaient encore endommagé l'infrastructure électrique du pays, entraînant des coupures de courant programmées dans de nombreuses régions.

LIRE L’ARTICLE : http://fr.euronews.com/2025/11/10/guerre-en-ukraine-kyiv-souhaite-acheter-25-systemes-de-defense-aerienne-patriot-aux-etats-

Abonnez-vous à notre chaine : https://www.youtube.com/c/euronewsfr?sub_confirmation=1

En DIRECT - Suivez Euronews ici : https://www.youtube.com/c/euronewsfr/live

Euronews est disponible sur YouTube en 12 langues: https://www.youtube.com/user/euronewsnetwork/channels
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:57 PM
Scoop.it!

Premier tours d’hélices pour le Jean Tranape | Ministère des Armées et des Anciens combattants

Premier tours d’hélices pour le Jean Tranape | Ministère des Armées et des Anciens combattants | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le mardi 04 novembre 2025, le patrouilleur outre-mer Jean Tranape a appareillé de Boulogne-Sur-Mer pour effectuer sa première sortie à la mer. Jusqu'à la fin de la semaine, il effectuera une série d'essais en mer. À l'issue de cette phase, le navire sera mis en cale sèche à Calais pour finaliser les travaux nécessaires.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:56 PM
Scoop.it!

La Hongrie relance l’acquisition du système HIMARS

La Hongrie relance l’acquisition du système HIMARS | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Budapest veut étendre sa frappe dans la profondeur en relançant les discussions avec Washington pour l'acquisition de HIMARS.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:52 PM
Scoop.it!

AH-64 Apaches Make Mysterious Return To U.S. On Their Delivery Flight To India

AH-64 Apaches Make Mysterious Return To U.S. On Their Delivery Flight To India | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Undisclosed “logistical issues” meant that the An-124 airlifter transporting the attack helicopters only made it as far as England before turning back. Undisclosed “logistical issues” meant that the An-124 airlifter transporting the attack helicopters only made it as far as England before turning back.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:50 PM
Scoop.it!

L'Irlande songe à demander une aide militaire à la France pour renforcer sa sécurité lors de sa présidence de l'UE

L'Irlande songe à demander une aide militaire à la France pour renforcer sa sécurité lors de sa présidence de l'UE | DEFENSE NEWS | Scoop.it
À partir du 1er juillet 2026, l’Irlande assurera la présidence du Conseil de l’Union européenne [UE] pendant six mois et aura donc à organiser au moins un sommet de chefs d’État et de gouvernement des États membres ainsi que de multiples réunions au niveau ministériel. Si cela ne posait pas de problème particulier dans le passé, il en va tout autrement désormais, avec l’évolution du contexte sécuritaire.

Or, il n’est pas exclu que l’Irlande fasse l’objet d’opérations hybrides, comme récemment au Danemark, le royaume ayant été confronté à des survols de

drones inconnus au-dessus de sites militaires et d’infrastructures critiques, notamment aéroportuaires, peu avant la tenue d’un sommet de l’UE à Copenhague. La Belgique connaît une situation similaire actuellement, alors qu’elle abrite de nombreuses institutions européennes [dont la commission] ainsi que le quartier général de l’Otan.

Bien que disposant de forces armées relativement bien équipées [et financées], le Danemark et la Belgique ont demandé l’assistance militaire de leurs alliés pour faire face à ces vols de drones inconnus, lesquels entrent sans doute dans le cadre d’une opération dite « hybride ».

Or, jusqu’à présent, l’Irlande n’a pas fait de sa défense une priorité, au point qu’elle est considérée comme étant le point faible non seulement de l’UE mais aussi, bien que n’en étant pas membre, de l’Otan. Et cela pour au moins deux raisons : les trois quarts des câbles sous-marins de télécommunications de l’hémisphère nord transitent par sa zone économique exclusive et elle ne dispose pas d’aviation de combat alors que ses approches aériennes sont [ou étaient] régulièrement visitées par des bombardiers stratégiques russes.

Neutre, l’Irlande pourrait s’en remettre à son voisin britannique pour assurer sa protection si la situation l’exige, Dublin et Londres ayant scellé un « pacte secret » à cette fin. En tout cas, la faiblesse de ses dépenses militaires [0,2 % du PIB] fait que ses forces armées peinent à moderniser leurs moyens, et par conséquent à développer leurs capacités. Mieux : au titre de l’aide fournie à l’Ukraine, elles ont dû se séparer d’une partie de leurs radars Giraffe Mark IV, alors que ces derniers leur auraient été sans doute fort utiles pour leurs engagements à venir.

« Le transfert des systèmes radar Giraffe Mark IV aux forces armées ukrainiennes va creuser un déficit dans les capacités irlandaises de défense aérienne, déjà minimales », avait d’ailleurs souligné The Irish Times, en février dernier. « Exploités par la section d’artillerie des Forces de défense, ils avaient été acquis en 2008 pour répondre au besoin de protéger les dignitaires en visite et les sommets contre d’éventuelles attaques terroristes aériennes », avait-il précisé.

Cela étant, la sécurité des réunions organisées lors de cette présidence du Conseil de l’UE sera assurée par la « Garda Síochána », c’est-à-dire la police. Mais le concours des forces armées sera incontournable, même si leurs moyens sont insuffisants.

« L’inquiétude est telle au sein du gouvernement qu’il tente d’accélérer la mise en œuvre d’une partie du très vanté programme de radars primaires afin de contrer la menace des drones. Cependant, certaines sources s’inquiètent du fait que, même si cette technologie est achetée, rien ne garantit que les opérateurs militaires seront suffisamment formés à l’utilisation de ce système spécialisé de détection », résume The Journal. Et d’ajouter : » L’absence de moyens d’interception aérienne pour faire face, par exemple, à un aéronef non autorisé, suscite de vives inquiétudes ».

Le Corps aérien irlandais [Air Corps] dispose bien de turbopropulseurs PC-9. Mais ces appareils ne sont pas suffisamment performants pour faire de la police du ciel et leurs pilotes ne sont pas formés pour la lutte antidrone.

Selon The Journal, les autorités irlandaises envisagent de demander l’assistance d’un « pays européen ». Mais cela pose d’autres problèmes, notamment juridiques. « Que se passerait-il si un avion devait être abattu ? », s’est interrogée une source du quotidien.

A priori, Dublin pourrait solliciter l’aide de Paris. D’après des informations de l’Irish Times, qui n’a pas évoqué le sujet de la police du ciel, « l’une des mesures les plus importantes consiste à éventuellement demander aux autorités militaires françaises d’envoyer un navire de guerre à Dublin, lors de réunions importantes, afin de fournir une capacité de défense aérienne au-dessus de la capitale ».

Au passage, la frégate multimissions [FREMM] Bretagne doit prochainement faire une visite de courtoisie en Irlande. Faut-il y voir une relation de cause à effet ? Sans doute pas, de telles escales étant régulières.

Reste que, souligne The Irish Times, « le déploiement d’un navire de guerre de l’Otan pour tenir un rôle opérationnel aussi important dans les eaux irlandaises pourrait susciter la controverse et mettre en lumière les faiblesses des défenses irlandaises ».
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:47 PM
Scoop.it!

SAFE Structure Designs to modernise T-38 Talon equipment for USAF

SAFE Structure Designs to modernise T-38 Talon equipment for USAF | DEFENSE NEWS | Scoop.it
SAFE Structure Designs has secured contracts to design and manufacture specialised tooling and test stands for USAF T-38 Talon aircraft.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:45 PM
Scoop.it!

Innovation : un microcapteur pour évaluer l’état des gilets pare-balles

Innovation : un microcapteur pour évaluer l’état des gilets pare-balles | DEFENSE NEWS | Scoop.it
...-Défense
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:43 PM
Scoop.it!

M. Chiva quitte la Direction générale de l'armement en catimini

M. Chiva quitte la Direction générale de l'armement en catimini | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Chargé d’équiper les forces armées françaises, de gérer, à ce titre, entre 10 et 20 milliards d’euros de crédits budgétaires par an, de préparer l’avenir, de garantir le maintien des savoir-faire industriels, de promouvoir les exportations d’armement et d’assurer les approvisionnements stratégiques, le poste de Délégué général pour l’armement est un rouage essentiel du ministère des Armées. Or, c’est par une indiscrétion relayée par La Tribune et Challenges, la semaine dernière, que l’on a appris que son actuel titulaire, Emmanuel Chiva, allait quitter ses fonctions, sans que l’on en connaisse exactement la raison.

Cette information a été confirmée lors du Conseil des ministres du 10 novembre, avec l’annonce de la nomination du conseiller d’État Patrick Pailloux à la tête de la Direction générale de l’armement [DGA], à compter du 17 novembre prochain. Le décret confirmant cette décision a été publié dans le Journal officiel de ce jour.

Pour rappel, M. Chiva avait été nommé Délégué général pour l’armement en juillet 2022 alors que, contrairement à ses prédécesseurs [à l’exception de Jean-Laurens Delpech, dans les années 1970], il n’était pas ingénieur de l’armement.

Passé par l’École normale supérieure [ENS], docteur en biomathématiques, auditeur de la 49e Session Nationale Armement & économie de défense de l’Institut des Hautes Études de la Défense nationale [IHEDN], entrepreneur, M. Chiva avait porté l’Agence de l’innovation de défense [AID] sur les fonts baptismaux avant de prendre les rênes de la DGA, à un moment charnière, étant donné qu’une nouvelle Loi de programmation militaire [LPM] était en gestation et qu’il fallait assurer la transition de la Base industrielle et technologique de défense [BITD] vers « l’économie de guerre ».

À la tête de la DGA, M. Chiva a dû gérer les programmes menés en coopération avec l’Allemagne, comme le Système de combat aérien du futur [SCAF], le Système principal de combat terrestre [MGCS] ou encore l’EuroDrone. Programmes qui sont tout… sauf simples, au regard des tensions entre les industriels impliqués et des enjeux politiques.

Par ailleurs, et conformément aux instructions données par Sébastien Lecornu, qui aura été son ministre de tutelle pendant trois ans avant de devenir Premier ministre, M. Chiva a lancé une ambitieuse réforme de la DGA [tout en veillant à lui redonner toute sa militarité], en mettant l’accent sur la simplification, l’innovation, les ressources humaines [avec la modernisation des corps d’ingénieurs de l’armement ainsi que sur la résilience industrielle [avec les créations de la Direction de l’industrie de défense pour soutenir la BITD et du service « Sécurité économique » ].

Évidemment, on ne réforme pas une maison comme la DGA en un claquement de doigts… ni sans susciter quelques résistances. Est-ce la raison du départ de M. Chiva ? Une autre a été avancée : la nouvelle ministre des Armées, Catherine Vautrin, aurait souhaité placer un « proche de confiance » à la tête de la DGA pour préparer l’actualisation de la LPM 2024-30. Actualisation hypothétique pour le moment puisqu’on ignore si la loi de finances 2026 sera adoptée par le Parlement.

Quoi qu’il en soit, et contrairement aux usages, le remplacement de M. Chiva par M. Pailloux n’a fait, pour le moment, l’objet d’aucun commentaire officiel de la part du ministère des Armées, que ce soit via un communiqué ou via les réseaux sociaux. Et la ministre n’en a pas dit un mot non plus.

Sur LinkedIn, M. Chiva a commenté son départ. « Ensemble, nous avons mené des projets d’ampleur couronnés de succès : la transformation de la DGA, l’application rigoureuse de la LPM 24-30, l’accélération des commandes et des livraisons, l’innovation de défense, notre attractivité et la fidélisation de nos agents. […] Je quitte mes fonctions, fier du chemin parcouru, confiant dans l’avenir et convaincu que notre institution continuera de servir la défense et la souveraineté de la France avec le même professionnalisme, la même passion et la même détermination », a-t-il écrit.

Le remplacement de M. Chiva à la tête de la DGA intervient au moment où le sort du SCAF reste incertain [du moins, pour ce qui concerne l’avion de combat de nouvelle génération] et où les contrats du MGCS doivent être notifiés aux industriels.

Jusqu’alors directeur du cabinet civil et militaire du ministre de la Défense, Patrick Pailloux est, comme deux ex-DGA [Jean-Yves Helmer et Jean Blancard], passé par Polytechnique avant de devenir ingénieur général des mines. Après avoir travaillé au sein de France Telecom, il a assuré les fonctions de chef de département dans le domaine des systèmes d’information et de télécommunication au sein du ministère des Armées entre 1995 et 2003. Conseiller auprès du Secrétaire générale de la Défense nationale [SGDSN] par la suite, il a dirigé l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information [ANSSI] dès sa création, en 2009, puis la Direction technique de la Direction générale de la sécurité extérieure [DGSE] jusqu’en 2022.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:36 PM
Scoop.it!

USAF's New Low-Cost Anti-Air Missile Program Aims For $500K Target Price

USAF's New Low-Cost Anti-Air Missile Program Aims For $500K Target Price | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The missile will be both ground and air-launched and will leverage lessons from previous 'cheap' cruise missile efforts.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:35 PM
Scoop.it!

B-52 Spotted for the Second Time Carrying Air Force’s Next-Gen Stealth Nuclear Cruise Missile

B-52 Spotted for the Second Time Carrying Air Force’s Next-Gen Stealth Nuclear Cruise Missile | DEFENSE NEWS | Scoop.it
New images captured by aviation photographer Ryan Watamura show a U.S. Air Force B-52H flying a low-level route over California with one external pylon loaded with the new AGM-181 Long Range Stand Off (LRSO) missile.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:35 PM
Scoop.it!

China Shows GJ-11 UCAV Flying with J-20 in First Public Clip

China Shows GJ-11 UCAV Flying with J-20 in First Public Clip | DEFENSE NEWS | Scoop.it
An operational GJ-11 was shown for the first time flying with a J-20 and J-16D for the PLAAF’s 76th-anniversary. An operational GJ-11 was shown for the
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:31 PM
Scoop.it!

Des Rafale français en Norvège 

Des Rafale français en Norvège  | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Non Dassault Aviation n’a pas accroché un nouveau pays européen à son palmarès. Cette semaine trente-cinq aviateurs et trois Rafale C de la 30ème Escadre de Chasse de l’Armée de l’Air et de l’Espace ont été déployés sur la base aérienne d’Ørland en Norvège. Il s’agissait d’une mission sous pavillon de l’OTAN, dans le cadre du plan FRA-ACE. Il s’agit là du nouveau nom des missions Morane.
Jolie formation de chasseurs contemporains.

Qui dit 30ème Escadre de Chasse dit forcément Base Aérienne 118 de Mont-de-Marsan et douceur automnale du sud-ouest. C’est sûr que l’arrivée en Norvège a dû piquer un peu, même si Ørland se trouve aussi dans le sud-ouest. Ce n’est pas tout à fait le même. Pas sûr qu’un bol de sodd soit aussi revigorant qu’une bonne assiette de cassoulet landais !!! Mais bon nos aviateurs et aviatrices n’étaient pas forcément en Norvège pour goûter les spécialités locales.

Il s’agissait de rappeler à nos alliés européens et otaniens les plus septentrionaux que la France possède des chasseurs et qu’elle sait les déployer quand il faut, même pour une très courte durée. Car les trois Rafale C et les trente-cinq personnels de la 30ème Escadre de Chasse sont demeurés à Ørland toute la semaine, arrivés lundi 3 novembre et repartis vendredi 7.

La Norvège en général, et les pilotes de la Luftforsvaret en particulier, sont en première ligne face aux bouleversements géopolitiques que l’Europe connait depuis février 2022. Traiter l’aviation stratégique russe, notamment en mer de Barents et en mer de Norvège, est loin d’être une sinécure. C’est justement au bord de cette seconde que la base aérienne d’Ørland se situe. Les pilotes français ont ainsi pu voler au-dessus de ses eaux, au contact de leurs collègues norvégiens. Rafale C et F-35A Lightning II, la monture locale, ont ainsi pu opérer de conserve. Pas sûr que les équipages de Tu-95 Bear ou de Tu-160 Blackjack auraient apprécié de croiser de telles patrouilles…
Pas sûr que cette photo donne envie d’aller dans le sud-ouest norvégien en novembre.

Connu auparavant comme missions Morane le plan FRA-ACE permet à l’Armée de l’Air et de l’Espace d’être pleinement impliquée dans les postures de réassurance de l’OTAN. Même si les pilotes norvégiens savent très bien tirer le meilleur de leurs F-35A Lightning II il n’est pas impossible que voir débarquer des alliés vivant à plus de 2500 kilomètres de là ne soit pas source de réconfort pour eux. La France demeure une des deux plus puissantes forces européennes de l’OTAN, avec la Grande-Bretagne, et elle a donc toute sa place dans ces missions otaniennes. Et puis cela permet à nos militaires de se frotter un peu à des pays différents de ceux qui voisinent directement avec l’Hexagone.
FRA-ACE est un acronyme angliciste qui signifie French Agile Combat Employment.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:23 PM
Scoop.it!

Des OH-58B Kiowa tueurs de drones en Autriche ? 

Des OH-58B Kiowa tueurs de drones en Autriche ?  | DEFENSE NEWS | Scoop.it
La Belgique est actuellement elle aussi sous la menace de survols d’infrastructures sensibles par des drones inconnus. Cela démontre bien que ce genre de faits divers n’est pas réservé aux seules grandes puissances européennes mais aussi aux plus modestes. C’est sans doute pour cela que nous provient d’Autriche l’information selon laquelle des hélicoptères Bell OH-58B Kiowa appartenant à la Luftstreitkräfte pourraient prochainement prendre les airs afin d’intercepter de telles menaces. Jusqu’ici ce pays d’Europe centrale n’a cependant pas eu affaire à de tels actes malveillants.

La France emploie des hélicoptères biturbines légers Eurocopter AS.555 Fennec de l’Armée de l’Air et de l’Espace embarquant un tireur de précision et son brouilleur hyperfréquence portatif directionnel anti-drones Nerod F5-5. D’autres pays comme l’Italie ou le Royaume-Uni préfèrent privilégier l’engagement d’hélicoptères de combat, au moyen de leurs canons-mitrailleurs. Il semble que les Autrichiens aient choisi une solution anti-drones à mi-chemin.

La Luftstreitkräfte possède encore dix hélicoptères monoturbines légers Bell OH-58B Kiowa dont le retrait du service est toujours annoncé pour l’an prochain, même si toutes les conditions n’y sont pas réunies. Ne possédant pas d’arme équivalente au Nerod F5-5 français elle a choisi de tenir en alerte un certain nombre (non divulgué) de ces hélicos équipés sur le flanc gauche d’une mitrailleuse gatling M134 Minigun de calibre 7,62 millimètres. Selon les médias locaux ces appareils seraient disséminés aux quatre coins de l’Autriche et pourraient prendre les airs dès lors qu’un ou plusieurs drones seraient annoncés à proximité de site sensibles et/ou stratégiques.
Sur ce cliché le M134 Minigun apparait parfaitement sur le flanc de l’OH-58B Kiowa autrichien.

Le recours à d’aussi vieux hélicos, en fin de vie, démontre bien qu’un peu partout en Europe c’est encore le bricolage qui demeure la règle d’or dans la question d’interception et de destruction en vol des drones. Pourtant le couple OH-58B Kiowa et M134 Minigun est sans nul doute une des meilleures réponses possibles, à condition que l’équipage de l’hélicoptère soit particulièrement adroite avec cette arme hautement destructrice et meurtrière. Reste à savoir dans quelles conditions les pilotes autrichiens auraient le droit d’ouvrir le feu en plein ciel, au-dessus de zone urbanisée.

Affaire à suivre.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:58 PM
Scoop.it!

Partenariats universitaires, faux entretien d'embauche, cabinets de conseil factices... Le patron du renseignement pour la défense explique comment les entreprises françaises d'armement sont espion...

Partenariats universitaires, faux entretien d'embauche, cabinets de conseil factices... Le patron du renseignement pour la défense explique comment les entreprises françaises d'armement sont espion... | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le chef de la Direction du renseignement et de la sécurité de la défense (DRSD) évoque les actions de plus en plus agressives de pays compétiteurs, et en particulier la Chine.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:56 PM
Scoop.it!

Critique du livre "Les espions du président" (Albin Michel)

Critique du livre "Les espions du président" (Albin Michel) | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Une plongée claire dans le renseignement sous Emmanuel Macron : Ukraine, Sahel, DGSE, budgets en hausse, méthodes, succès et limites.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:52 PM
Scoop.it!

Iran Ramping Up Missile Production As Another Potential War With Israel Looms

Iran Ramping Up Missile Production As Another Potential War With Israel Looms | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Building on lessons learned from the 12-Day War, Iran is working to be ready to overwhelm Israeli defenses in a future conflict.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:51 PM
Scoop.it!

Le stabilisateur de tir STRIKE validé par le 1er RPIMA 

No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:49 PM
Scoop.it!

Le français Look Up Space va mettre en service un radar innovant pour suivre les petits objets en orbite basse

Le français Look Up Space va mettre en service un radar innovant pour suivre les petits objets en orbite basse | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Fin octobre, conformément à la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30, la Direction générale de l’armement [DGA] a notifié à Thales la commande du radar AURORE, appelé à prendre la succession de GRAVES [Grand réseau adapté à la veille spatiale], lequel est unique en Europe de par sa capacité à surveiller et suivre des engins évoluant en orbite basse, soit à une altitude comprise entre 200 et 2 000 km.

Passée dans le cadre du programme ARES [Action et Résilience Spatiale], cette commande « marque une étape clé dans le renforcement des capacités de surveillance de l’espace de la France en permettant à l’armée de l’Air & de l’Espace une appréciation souveraine plus précise de la situation spatiale en orbite basse », a fait valoir la DGA.

Selon Thales, AURORE sera un « radar logiciel en bande ultra haute fréquence [UHF], qui assurera une surveillance permanente grâce à des capacités de poursuite simultanée de nombreux objets spatiaux, à un temps de réactivité très court en orbite basse et à une image haute résolution en temps réel de la situation spatiale ».

Par ailleurs, les briques technologiques développées pour AURORE devraient être également utilisées pour mettre au point des radars UHF au titre du projet JEWEL [Joint Early Warning for a European Lookout], dédié à l’alerte avancée.

Quoi qu’il en soit, a souligné le ministère des Armées, le radar AURORE « contribuera à la souveraineté spatiale en participant au projet européen EU-SST [European Space Surveillance and Tracking] ». Mais il ne sera pas le seul.

En effet, cofondée en 2022 par le général [2S] Michel Friedling, ex-commandant de l’espace [CdE], et Juan Carlos Dolado Perez, ancien responsable du département de surveillance de l’espace [SSA] du Centre national d’études spatiales [CNES], l’entreprise Look Up Space a annoncé la mise en service imminente de son radar terrestre SORASYS 1 [Space Object Radar System], implanté à 1200 m d’altitude, sur le territoire de la commune de Monts-de-Randon, en Lozère.

« Trois ans après le lancement du projet, Look Up signe une prouesse technologique et démontre sa capacité à déployer rapidement un réseau mondial de radars de surveillance », fait valoir l’entreprise, via un communiqué. Et d’ajouter : « Avec ce premier radar, Look Up dote la France et l’Europe de leurs propres données orbitales, marquant une avancée décisive vers une plus grande autonomie stratégique dans le domaine clé de la surveillance de l’espace ».

Grâce à un réseau d’antennes actives commandées numériquement et pouvant générer des « ondes électromagnétiques submétriques » ainsi qu’à sa conception modulaire, le radar SORASYS 1 est capable de détecter et de suivre des satellites actifs et inactifs, des débris et, plus généralement, des objets de moins de 10 cm de long évoluant sur l’orbite terrestre basse.

« SORASYS offre une adaptabilité d’emploi, une résolution et une précision exceptionnelles, tout en restant insensible aux conditions météorologiques ou de luminosité. Les données collectées sont analysées, classifiées et intégrées en temps réel dans un outil de fusion de données et de visualisation globale de la situation orbitale », explique Look Up Space.

Plus précisément, les données collectées par ce radar ainsi que par d’autres sources [optique, laser, radiofréquence] sont fusionnées au sein d’une plateforme appelée SYNAPSE, afin qu’elles soient analysées en continu. Dotée d’algorithmes d’intelligence artificielle, cette dernière est non seulement capable de détecter automatiquement des objets et de les classer mais aussi de prédire leurs trajectoires et d’élaborer des recommandations pour d’éventuelles manœuvres.

Ce « système s’inscrit enfin dans les programmes structurants français et européens [EU-SST, France 2030, European Innovation Council], renforçant le leadership français dans le domaine de la Space Situational Awareness [SSA] et du Space Traffic Management [STM] », fait valoir l’entreprise.

Le développement de SORASYS 1 a en partie été financé par le plan « France 2030 », lequel soutient, entre autres, des projets innovants liés à l’espace et sélectionnés par la Direction générale des Entreprises [DGE], la Direction générale de la Recherche et de l’innovation [DGRI] et la Direction générale de l’armement [DGA].

Grâce à une levée de fonds de 50 millions d’euros effectuée cette année, Look Up Space prépare le déploiement de deux autres radars, à savoir SORASYS 2A « Rehua » et SORASYS 2D « Mararii » en Polynésie française. Au total, elle entend exploiter sept radars « interconnectés ».

« SORASYS 1 concrétise notre ambition : doter l’Europe d’une technologie de pointe capable d’observer l’espace avec précision, en toute indépendance, et les opérateurs d’un outil de confiance, robuste et autonome. C’est une étape fondatrice vers un réseau mondial de radars européens et une prouesse technologique qui démontre notre capacité à délivrer, dans des délais contraints, une solution industrielle de premier plan », résume M. Dolado.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:46 PM
Scoop.it!

Défense : l'Allemagne va acheter 20 hélicoptères H145M supplémentaires à Airbus pour près de 1 milliard d'euros

Défense : l'Allemagne va acheter 20 hélicoptères H145M supplémentaires à Airbus pour près de 1 milliard d'euros | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Le gouvernement allemand prévoit de commander 20 hélicoptères H145M à Airbus pour équiper ses armées. Un contrat à près d'un milliard...-Aéro - Spatial
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:44 PM
Scoop.it!

Le ministère japonais de la Défense s'intéresse aux "capacités maritimes" de l'EuroDrone

Le ministère japonais de la Défense s'intéresse aux "capacités maritimes" de l'EuroDrone | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Avec une masse de 10 tonnes pour une envergure de 26 mètres et une longueur de 17 mètres, l’EuroDrone, c’est-à-dire le drone MALE [Moyenne Altitude Longue Endurance] développé par Airbus, ne peut avoir qu’une espérance de vie très limitée dans un environnement contesté. Et, à en juger par le nombre de MQ-9A Reaper perdus par les forces américaines au Moyen-Orient [près d’une dizaine en l’espace de quelques mois], il est à craindre qu’il soit aussi vulnérable dans des conditions censées être plus « permissives ».

Cependant, cet appareil peut se prévaloir d’atouts importants, comme la qualité de ses capteurs, sa charge utile de 2,3 tonnes et sa capacité à voler pendant plus de quarante heures à 45 000 pieds dans l’espace aérien européen, à la vitesse maximale de 500 km/h.

D’où les interrogations du ministère des Armées à son sujet, le contexte opérationnel ayant grandement évolué depuis que ce projet européen de

drone MALE a été proposé, il y a maintenant douze ans. D’autant plus que des solutions moins onéreuses et sans doute tout aussi efficaces pour l’usage que l’on veut en faire sont apparues.

« On a un système qui est très grand, donc vulnérable, complexe et cher », a admis Emmanuel Chiva, le Délégué général pour l’armement [qui serait sur le départ…], lors de sa dernière audition à l’Assemblée nationale. « La question n’est pas de savoir si nous nous sommes fourvoyés mais comment on s’adapte au contexte des conflits actuels », a-t-il poursuivi, avant de faire état d’une étude en cours, menée d’abord « d’un point de vue opérationnel ».

Pour le moment, il n’est pas question que la France se retire de ce programme, au titre duquel elle a commandé six systèmes [dont deux en option]. En tout cas, c’est ce qu’indiquent les documents budgétaires publiés à l’occasion de l’examen du projet de loi de finances 2026. Mais il n’est pas impossible que l’EuroDrone puisse se voir confier d’autres missions que celles prévues initialement, comme la patrouille maritime, par exemple.

Pour rappel, le programme EuroDrone est mené dans le cadre d’une coopération associant l’Allemagne, la France, l’Italie et l’Espagne. Mais pas seulement car l’Inde et le Japon ont obtenu un statut d’observateur.

Visiblement, le drone MALE européen, qui vient de terminer sa revue critique de conception [CDR], intéresse de plus en plus le ministère japonais de la Défense. C’est en effet ce que suggère l’Organisation conjointe de coopération en matière d’armement [OCCAr], qui gère ce programme.

« Le 5 novembre, dans le cadre de la participation du Japon en tant qu’État observateur du programme EuroDrone, nous avons eu l’honneur d’accueillir Hirshisa Mori, le directeur de l’Agence des acquisitions, de la technologie et de la logistique [ATLA] du ministre japonais de la Défense », a fait savoir l’OCCAr, ce 10 novembre.

Et d’ajouter : « Au cours de cette visite, la délégation japonaise a réitéré son vif intérêt pour les capacités maritimes de l’EuroDrone et a exprimé sa volonté de renforcer davantage sa coopération avec l’OCCAR ».

Pour surveiller sa vaste zone économique exclusive [ZEE], les forces et la garde côtière japonaises possèdent trois

drones HALE [Haute Altitude Longue Endurance] RQ-4 Global Hawk ainsi que des MQ-9B SeaGuardian.

Or, l’EuroDrone pourra parfaitement réaliser de telles missions, en lien, éventuellement, avec un avion de patrouille maritime, étant donné qu’il sera doté d’un système d’identification automatique [AIS], d’un système d’identification automatique des navires de guerre [W-AIS], d’un radar et d’une boule optronique Euroflir 610 et de la Liaison 22. Selon Airbus, l’architecture ouverte de ce drone « permet l’évolution future de ses capacités maritimes, avec notamment une couverture radar à 360° et des systèmes de connectivité comme la liaison de données tactiques L22 de l’Otan ».
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:39 PM
Scoop.it!

Évoquant le SCAF, Mme Vautrin insiste : "L'Allemagne n'a pas la capacité pour fabriquer un avion"

Évoquant le SCAF, Mme Vautrin insiste : "L'Allemagne n'a pas la capacité pour fabriquer un avion" | DEFENSE NEWS | Scoop.it
S’agissant du Système de combat aérien du futur [SCAF], Dassault Aviation ne réclame que d’avoir les leviers censés lui permettre de tenir son rôle de maître d’œuvre pour développer un avion de combat de nouvelle génération [NGF – New Generation Fighter], comme cela avait été convenu dès le départ entre la France et l’Allemagne, puis avec l’Espagne. Ni plus, ni moins. Sauf qu’Airbus, représenté par ses filiales allemande et espagnole, ne l’entend pas ainsi. De même que Berlin et Madrid.

Pour rappel, et comme l’a récemment avancé Emmanuel Chiva, désormais ancien Délégué général pour l’armement, lors de sa dernière audition à l’Assemblée nationale, Dassault revendique 51 % du travail, et non 80 %, comme la presse allemande a pu l’avancer. « Il s’agit donc simplement d’avoir une gouvernance simplifiée plutôt que d’avoir quelque chose qui, à chaque fois, suscite des discussions entre les différents sous-traitants », a-t-il résumé.

Mais, outre-Rhin, cette exigence ne passe pas. La semaine passée, Boris Pistorius, le ministre allemand de la Défense, a assuré qu’une décision sur l’avenir du SCAF serait prise d’ici la fin de l’année, « quelle qu’elle soit ». Affirmant que Catherine Vautrin, son homologue française, lui avait récemment fait part de l’intention de la France de poursuivre ce projet, il s’en est pris à Dassault Aviation.

« Comme chacun sait, cette question ne relève pas de la seule compétence du gouvernement français. M. Trappier, de Dassault Aviation, joue manifestement un rôle clé, du moins en matière de communication publique », a lancé M. Pistorius.

À ce jeu-là, les industriels – mais aussi certains élus – allemands ne sont pas en reste, comme en témoignent, encore une fois, les propos tenus par Thomas Pretzl, le président du comité d’entreprise d’Airbus Defence & Space, le 10 novembre.

« Nous souhaitons poursuivre le développement du SCAF sans Dassault Aviation. Nous voulons enfin développer et construire à nouveau un bon avion de chasse », a-t-il dit, lors d’une réunion organisée sur le site d’Airbus à Manching. « Le meilleur moyen d’y parvenir est de se passer de Dassault et de préserver les relations franco-allemandes », a-t-il insisté.

En réalité, il n’a fait que répéter la position des dirigeants d’Airbus. « S’ils ne sont pas contents de ce qui a été décidé et qu’ils ne sont pas d’accord pour continuer, ils sont libres de quitter le SCAF », a ainsi affirmé Guillaume Faury, son PDG, en parlant de Dassault Aviation, le 29 octobre dernier.

Sauf que l’Allemagne n’a pas les compétences nécessaires pour développer, seule, un avion de combat. C’est ce qu’a rappelé Mme Vautrin, lors d’un entretien accordé à Europe 1/CNEWS, ce 11 novembre.

« Quand on parle du SCAF, on parle de deux choses. Nous parlons d’abord d’un porteur, qui est un avion, et nous parlons d’un procédé qui s’appelle un cloud, qui permet de travailler ensemble. Le sujet avec l’Allemagne est autour du porteur », a d’abord rappelé Mme Vautrin.

« Il n’y a pas aujourd’hui en Allemagne de capacité à fabriquer un avion. Vous m’accorderez qu’on ne fait pas un avion du jour au lendemain. Il faut un peu de savoir faire. Et donc, tout notre sujet, c’est effectivement de travailler avec les Allemands pour voir les usages de ce porteur et de regarder comment nous pouvons avancer. Ce sont des sujets qui, par définition, nécessitent que l’on trouve les voies et les moyens », a ensuite affirmé la ministre qui, au passage, a confondu porte-avions et… frégate.

Certes, a-t-elle continué, « Airbus est un leader européen » mais « aujourd’hui, celui qui est la référence [en matière d’avions de combat], c’est évidemment Dassault ».

Puis, Mme Vautrin a évoqué la question centrale du moteur qui équipera cet avion de combat de nouvelle génération. « Aujourd’hui, une autre alternative pose la question d’un moteur. Qui le fait ? Quelle souveraineté ? Ce sont des questions un peu sophistiquées et un peu complexes », a-t-elle conclu.

Pour rappel, la motorisation du NGF relève du pilier n° 2 du SCAF. Sa maîtrise d’œuvre a été confiée au français Safran Aircraft Engines, avec l’allemand MTU Aero Engines pour principal partenaire. Les deux groupes ont créé la coentreprise EUMET Gmbh pour formaliser leur coopération. L’enjeu est de développer un réacteur affichant une poussée supérieure à 11 tonnes.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:36 PM
Scoop.it!

End of an Era at Barnes ANG Base with Final F-15 Eagle Flight

End of an Era at Barnes ANG Base with Final F-15 Eagle Flight | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Barnes ANG Base retires its last F-15C Eagles as the 104th Fighter Wing transitions to the F-35A Lightning II. A familiar sound has faded from the skies
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:35 PM
Scoop.it!

Russia Shows Off Su-57’s Internal Weapons Bays for the First Time

Russia Shows Off Su-57’s Internal Weapons Bays for the First Time | DEFENSE NEWS | Scoop.it
In a recently released video, the United Aircraft Corporation showed off T-50-9 carrying weapons in its internal bays during rehearsals for Dubai Airshow.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:34 PM
Scoop.it!

Turkish C-130 Crashes in Georgia

Turkish C-130 Crashes in Georgia | DEFENSE NEWS | Scoop.it
A Turkish C-130 crashed in Georgia after taking off from Azerbaijan, with videos surfaced online showing parts of the aircraft spiraling towards the ground.
No comment yet.
Scooped by Romain
Today, 1:24 PM
Scoop.it!

Au Maroc Lockheed-Martin croit (encore) en ses chances

Au Maroc Lockheed-Martin croit (encore) en ses chances | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Au printemps 2024 les Forces Royales Air testaient en vol l’Embraer C-390 Millennium avant de se déclarer clientes de celui-ci quelques mois plus tard ; et depuis plus rien ! En un an les choses ont profondément changé entre Brasilia et Rabat au point que l’avionneur américain Lockheed-Martin revienne dans la partie avec ses C-130J/J-30 et KC-130J Super Hercules. L’idée d’une commande en vue d’une livraison à l’horizon 2029-2030 est même désormais dans toutes les têtes. Et s’il s’agissait là du premier vrai sursaut de ce quadrimoteur turbopropulsé face à l’offensive commerciale du biréacteur sud-américain ?

L’été dernier l’avionneur et équipementier américain L3Harris faisait savoir qu’il avait engrangé un contrat de modernisation et de maintenance des quatorze Lockheed C-130H Hercules de transport tactique et des deux KC-130H Hercules de ravitaillement en vol marocains. Le chantier n’est pas mené localement mais directement aux États-Unis, dans les ateliers texans de l’entreprise. D’ores et déjà cinq appareils ont été traité dont les deux avions-citernes. De cette manière les Hercules marocains devraient pouvoir attendre la décennie prochaine et leur remplacement.

Sauf que l’hypothèse brésilienne autour de l’Embraer C-390 Millennium semble de moins en moins crédible. En effet l’avionneur sud-américain n’a pas fait la moindre proposition de transfert de technologie aux Marocains alors même que Lockheed-Martin aurait proposé aux Forces Royales Air qu’elles disposent des moyens techniques visant à assurer la plus grande partie du spectre des maintenances des futurs C-130J/J-30 et KC-130J. Dans le même temps le groupe américain aurait proposé de facilité l’accès à d’autres équipements qu’il produit. On parle notamment de la vente de dix-huit lance-roquettes HIMARS ou encore d’un nombre non divulgué de drones de contact Desert Hawk III. Et rappelons que le Maroc est toujours intéressé par le chasseur furtif F-35A Lightning II.

Les projections actuelles donnent une potentialité de vente par Lockheed-Martin de six C-130J, de huit à dix C-130J-30 à fuselage rallongé, et de quatre à six KC-130J de ravitaillement en vol. Ce qui pour l’avionneur américain serait une véritable aubaine tant depuis quelques années maintenant il se fait damer le pion par son concurrent brésilien. Embraer se laissera t-il faire sans broncher ?

Affaire à suivre.
No comment yet.