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Saab has touted its rapid software update capabilities for the JAS 39 Gripen, claiming it could deliver updates “in days“ and challenging the generational focus of rivals such as Lockheed Martin.
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Le successeur du « Charles-de-Gaulle » ne sera livré qu'en 2038 mais les équipes des Chantiers de l'Atlantique et de Naval Group sont déjà pleinement lancées dans ce projet hors norme.
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Le Premier ministre polonais Donald Tusk et ses homologues d’autres pays proposeront au Conseil européen et à la Commission le bouclier de défense ESSI « dans quelques jours », a-t-il annoncé lundi (20 mai).
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Finnish analyst Joni Askola has highlighted the effectiveness of Russian propaganda in shaping international policies regarding Ukraine's 12th Azov Special Purpose Brigade. He argues that the restrictions on supplying modern weaponry to this unit are based on misinformation and should be lifted immediately. Askola points out that since 2017, the 12th Azov Brigade has been
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The Russian Ministry of Defense has announced the start of exercises involving tactical nuclear weapons. The initial phase of the drills has commenced in the Southern Military District, according to military officials. During the first phase, tasks include the receipt of ammunition for the Iskander missile systems and covert movement to designated areas in preparation
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Japan's Acquisition, Technology & Logistics Agency (ATLA) has dispatched personnel to the U.S. Navy to advance the development of railguns, as revealed on the 21st. This initiative aims to leverage U.S. expertise to expedite the practical application of railguns, according to multiple government sources. Previously disclosed information revealed Japan’s development of a medium railgun, capable
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Paru ce mercredi dans nos éditions de Loire-Atlantique, cet article sur le futur porte-avions français (à lire aussi ici et ici):
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VTT brings its expertise to the projects, especially in the field of digital technologies.
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Bratislava has penned a wish list to close gaps in its air-defense architecture.
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Plusieurs informations non officiellement confirmées en provenance des Pays-Bas, semblent indiquer qu'Amsterdam poursuit son revirement
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BAE System a annoncé hier sur son site d'un contrat avec la Swedish Defense Materiel Administration (FMV) d'un contrat portant sur l
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On Monday, May 20th, Commander Jeremy Robertson of the Arleigh Burke-class destroyer USS Carney (DDG 64) and the U.S. Navy held a media roundtable to discuss the deployment of the Aegis destroyer.
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BAE Systems has signed a contract with the Swedish Defense Materiel Administration, FMV, for new CV9035 MkIIIC vehicles.
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MBDA, a world-leader in the field of complex weapon systems, has signed a contract amendment with OCCAR (the organisation for joint
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Deux ans après le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, les stocks d’armes et de matériel de défense de l’Union européenne s’amenuisent, tandis que son industrie peine à investir dans de nouvelles capacités de production.
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The T129 ATAK fleet deal between the Philippines and Turkey were part of the Horizon 2 phase of the Armed Forces of the Philippines’ Modernisation Program.
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Ukraine's security service (SBU) has announced the use of the Sea Baby uncrewed surface vessel (USV) equipped with rocket launchers. This marks the first time such an autonomous naval launcher has been employed in combat. The naval drones are armed with a 122-mm multiple launch rocket system, which has already been tested in real conditions.
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U.S. soldiers assigned to Task Force Shikra practice sling load operations by carrying a guided multiple-launch rocket system pod. An Army UH-60A Blackhawk helicopter flies with a High Mobility Artillery Rocket System (HIMARS) training load during training for Eager Lion 2024. This multilateral exercise, hosted by the Hashemite Kingdom of Jordan, involves 33 participating nations
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L'heure n'est plus au flirt... La France et la Belgique, liées depuis 2018 par un partenariat baptisé "CaMo" visant à doter leurs armées de Terre de matériels terrestres semblables, sont décidés à approfondir leur "intimité opérationnelle", a expliqué, mardi, Sébastien Lecornu lors d'une conférence de presse avec son homologue belge Ludivine Dedonder. Le partenariat CaMo qui portait uniquement sur l'acquisition par la Belgique de véhicules blindés Griffon et Jaguar, sera désormais étendu aux véhicules Serval et aux canons Caesar. La Belgique a en effet manifesté sa volonté d’acquérir 28 canons Caesar, ainsi que 24 Griffon-MEPAC (mortier embarqué pour l’appui au contact). Le volet industriel du partenariat s’est, par ailleurs, concrétisé avec l’inauguration d’une ligne d’assemblage de véhicules en Belgique fin avril. En parallèle, l’industriel KNDS poursuit son développement en Belgique, et inaugurera la semaine prochaine une ligne de production pour les obus de 155mm. Par ailleurs, il a été décidé de lancer un projet de partenariat franco-belge sur les munitions de petit calibre. La France va acheter des munitions de petit calibre à l'entreprise belge FN Herstal, qui va ensuite l'aider à créer une ligne d'assemblage sur le sol français afin de remédier à une "situation de dépendance" tricolore. Cette ligne, dont la localisation et la date d'entrée en service n'ont pas été précisées, devrait garantir "les approvisionnements entre les deux pays" sur ces munitions. Enfin, comme l'a annoncé le ministère français des Armées, "la création d’un champion franco-belge dans le domaine des véhicules armés "bas du spectre" a également été annoncée à travers la fusion entre l’entreprise belge John Cockerill, et le fabricant français de blindés Arquus".
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Selon le Moscow Times, les autorités russes ont récemment étudié la possibilité d'étendre leurs eaux territoriales en mer Baltique, près de la frontière avec la Lituanie et de la Finlande, deux pays membres de l'Otan. Un projet de loi, à l'initiative du ministère russe de la Défense et publié sur le portail des actes juridiques, a toutefois disparu, mercredi, de ce site où il était consultable et susceptible d'être commenté par le public. Une source diplomatique russe a précisé que la Russie n'avait aucune intention de revoir les frontières maritimes. Le document préparé par le ministère de la Défense a toutefois créé de l'émoi. Il précisait que la Russie a l'intention de déclarer une partie des eaux situées à l'est du golfe de Finlande, ainsi qu'à proximité des villes de Baltiysk et Zelenogradsk, dans la région de Kaliningrad, comme faisant partie de ses eaux maritimes intérieures. Par ailleurs, à la frontière avec la Finlande, le gouvernement russe a l'intention d'ajuster les coordonnées dans la zone des îles de Jähi, Sommers, Holland, Rodsher, Maly Tyuters, Vigrund, ainsi qu'à proximité du cap d'entrée nord de la rivière Narva. Enfin, à la frontière avec la Lituanie, la zone de l'isthme de Courlande, les régions du cap Taran, le cap au sud du cap Taran sont concernés. Les coordonnées géographiques actuelles établies par le Conseil des ministres de l'URSS en 1985 "ne correspondent pas entièrement à la situation géographique actuelle", affirment les auteurs du projet qui rappellent que le décret vieux de 40 ans est désormais dépassé. Ce projet de changement unilatéral des frontières maritimes a été vivement dénoncé par les deux pays riverains concernés. La Lituanie a estimé que cette mesure constituait une "escalade contre l'Otan". Le ministre finlandais des Affaires étrangères, Elina Valtonen, a rappelé que Moscou est tenu de respecter la Convention des Nations unies sur le droit de la mer adoptée par l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations unies le 16 novembre 1973. Du côté suédois, l'inquiétude est aussi de mise; le chef d'état-major des armées, Mikael Büden, estime que Vladmir Poutine veut étendre son contrôle de la Baltique et qu'il menace ainsi l'île de Gotland. On se souviendra aussi que la Baltique est devenue un nouveau front où la Russie a lancé des opérations de guerre électronique depuis l’enclave de Kaliningrad. Deux puissants systèmes de guerre électronique Tobol y ont été repérés. Ils permettent le brouillage des signaux GNSS de navigation par satellite, ce qui perturbe le fonctionnement des systèmes de géolocalisation de type GPS ou Galileo, utilisés notamment par les avions de ligne.
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Leaders in Warsaw plan to field high-flying sensors to monitor threats on land, in the air and at sea.
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La Ministre de la Défense espagnole a confirmé l'envoi d'un second lot de chars Leopard 2A4 en Ukraine. le transfert de ces 19 char
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Parmi les Leclerc du Royal Pologne stationnés aux Émirats Arabes Unis engagés dans l'exercice El Himeimat , certains présentaient un aspec
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En 2017, suite à un rapport parlementaire publié quelques mois plus tôt et malgré les réserves constamment exprimées par la Direction générale de l’armement [DGA], Jean-Yves Le Drian, alors ministre de la Défense, prit l’initiative de relancer la production de munitions de petit calibre en France, en s’appuyant sur Thales, NobelSport [pour la poudre] et Manurhin [pour les machines outils]. Et cela alors que cette capacité industrielle avait été démantelée en 2000, avec la fermeture par Giat Industries de son usine implantée au Mans. « C’est une question de souveraineté nationale. […] On fait du ‘made in France’ en action, et pas en paroles », avait justifié M. Le Drian, lors de la visite de la poudrerie de Pont-de-Buis [Finistère], en mars 2017. À l’époque, il était estimé que l’investissement nécessaire pour relancer une telle filière devait s’élever à 100 millions d’euros et que sa rentabilité serait atteinte « à partir d’une production annuelle de 60 millions de cartouches sous réserve qu’un niveau de commandes constant soit assuré durant les cinq premières années ». Seulement, le nouveau gouvernement issu des élections législatives de juin 2017 reprit à son compte les arguments avancés par la DGA au sujet de ce projet de relocalisation, à savoir que la rentabilité économique risquait de ne pas être atteinte et que l’offre mondiale en matière de munitions de petit calibre était largement suffisante pour assurer l’approvisionnement des forces armées ainsi que celui des forces de sécurité intérieure. Pour autant, le débat sur la relance d’une filière française dédiée aux munitions de petits calibres s’est poursuivi, que ce soit à la faveur de rapports parlementaires ou de questions écrites adressées au ministère des Armées. D’autant plus que la pandémie de covid-19 et la guerre en Ukraine ont engendré des difficultés d’approvisionnement, notamment pour les munitions de 9 mm. Et cela au point que le ministère de l’Intérieur envisage désormais de relancer une capacité de production nationale au profit des forces de sécurité intérieure et à celui d’autres acteurs de la sécurité [douanes, polices municipales, administration pénitentiaire, etc.]. De son côté, en décembre, au Sénat, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a fait savoir qu’il avait confié au Délégué général pour l’armement, Emmanuel Chiva, la mission de « documenter les coûts de la recréation d’une filière » de munitions de petit calibre, « notamment en travaillant de concert avec l’ensemble des environnements concernés ». Les conclusions de cette études ne devraient pas tarder à être connues. En attendant, le 21 mai, à l’issue d’un entretien de M. Lecornu avec Ludivine Dedonder, son homologue belge, le ministère des Armées a annoncé la signature d’une lettre d’intention visant à établir un partenariat entre la France et la Belgique sur les munitions de petit calibre. « Cette filière ayant disparue [sic] en France, l’objectif est de la recréer en s’appuyant sur les compétences belges. Ce nouveau volet doit comprendre la création d’une ligne d’assemblage de munitions en France et l’achat de munitions directement auprès de l’industrie belge. Les industriels travaillent à ce stade sur les questions de financement de l’investissement, le projet devant démarrer dans les prochains mois », a expliqué le ministère des Armées, via un communiqué. L’hypothèse d’une éventuelle coopération entre la France et la Belgique en matière de munitions de petit calibre avait été évoquée par la Direction générale des ressources matérielles [DGRM] de la Défense belge en octobre 2022. Celle-ci avait ainsi dit vouloir s’appuyer sur l’armurier FN Herstal, auquel le ministère français des Armées a commandé 2600 fusils de précision SCAR-H PR [Precision Rifle] pour les besoins de l’armée de Terre. Il était également question d’y associer les Pays-Bas et le Luxembourg, l’objectif étant d’avoir en commun des armes et des munitions identiques afin de sécuriser les stocks. Par ailleurs, deux autres lettres d’intention ont été signées par M. Lecornu et Mme Dedonder. La première vise à conforter la coopération scellée dans le cadre du programme CaMo [Capacité Motorisée]. « La Belgique a ainsi manifesté sa volonté d’acquérir 28 canons Caesar, ainsi que 24 Griffon/MEPAC [mortier embarqué pour l’appui au contact] », a rappelé le ministère des Armées. Quant à la seconde, elle porte sur la création d’un « champion franco-belge » dans le domaine des véhicules armés « bas du spectre », avec la « fusion » entre John Cockerill Defense et Arquus. « Les deux États ont exprimé le souhait de conserver un contrôle fort sur l’entreprise résultante [sic] de cette fusion, et l’entreprise belge a pris des engagements substantiels sur l’activité d’Arquus et ses emplois en France », a souligné le ministère.
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As it develops its strategy for 2040, the Royal Navy (RN) has challenged industry to be more innovative and agile in the way it delivers capability to the frontline.
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