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September 24, 2016 4:58 AM
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Des Rafale interceptent deux Tu-160

Des Rafale interceptent deux Tu-160 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Quatre Rafale ont été mobilisés dans l'après-midi du 22 septembre pour « escorter » deux bombardiers russes Tu-160 Blackjack lors de leur passage sur une zone proche de l'espace aérien français.

Deux F-16 norvégiens ont intercepté les Tu-160 dans la matinée, avant d'être relayés par deux Eurofighter de la Royal Air Force basés à Lossiemouth, alors que les bombardiers faisaient route vers le nord de l'Écosse et l'ouest de l'Irlande. Deux Rafale en permanence opérationnelle et basés à Tours ont décollé en début d'après-midi pour escorter les avions russes au large des côtes bretonnes jusqu'au large de Mont-de-Marsan, base depuis laquelle deux autres Rafale ont été chargés « d'accompagner » les aéronefs vers le Sud, avant que deux Eurofighter de l'Ejército del aire ne prennent le relai.

L'armée de l'air précise qu'à aucun moment les avions russes n'ont pénétré dans l'espace aérien français. Trois des quatre Rafale ont par ailleurs effectué des ravitaillements en vol pendant la mission.

Cette manoeuvre a été effectuée à la fois dans le cadre de la posture permanente de sûreté (PPS), qui permet une surveillance constante de l'espace aérien français par le biais de plots d'alerte, mais également en coopération étroite avec les pays à l'espace aérien limitrophe.
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Revue de presse quotidienne des principaux articles concernant le secteur de la Défense, de ses industriels, des armements et technologies.
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Avion de la patrouille de France, simulateur de vol... la grande opération séduction de l'armée de l'air pour près de 4000 postes à pourvoir

Avion de la patrouille de France, simulateur de vol... la grande opération séduction de l'armée de l'air pour près de 4000 postes à pourvoir | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Ce samedi 12 octobre, à Montpellier, des militaires tenaient salon dans le hall de la mairie. Une opération séduction destinée aux jeunes, pour leur faire découvrir les métiers de l’Armée de l’air et de l’espace. Prè
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Taïwan : l’île «en état d'alerte», un porte-avions chinois ayant été détecté au sud de l'île

Taïwan : l’île «en état d'alerte», un porte-avions chinois ayant été détecté au sud de l'île | DEFENSE NEWS | Scoop.it
L’armée est «prête à réagir si nécessaire», affirme le ministère de la Défense dans un communiqué publié ce dimanche.
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Le ministère des Armées cherche des technologies "rustiques" et "durables" pour le combat débarqué

Le ministère des Armées cherche des technologies "rustiques" et "durables" pour le combat débarqué | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Avec le programme SCORPION [Synergie du contact renforcée par la polyvalence et l’infovalorisation], l’armée de Terre est entrée dans l’ère du combat collaboratif, ce qui suppose de mettre en œuvre des équipements de haute technologie. Aussi, et à l’heure où il n’est question que de robotisation et d’intelligence artificielle, il peut être étonnant que l’Agence de l’innovation de défense [AID] ait l’intention d’organiser un « hackathon Low Tech » en novembre prochain, suggérant ainsi un penchant pour des solutions sortant du « tout technologique ».

La notion de « Low Tech » [ou de « technologies douces »] demande à être clarifiée. On pourrait l’assimiler au fameux « Système D »… mais elle ne se résume pas seulement à ça. Selon la définition donnée par Bpifrance, elle repose sur trois grands principes : l’utilité, l’accessibilité et la durabilité.

« L’objectif est de créer des technologies qui ont un impact environnemental moindre et qui peuvent fonctionner sans maintenance à long terme », résume la banque publique d’investissement. Et d’ajouter : « Il s’agit à la fois de réduire la complexité technologique, d’entretenir l’existant plutôt que de le remplacer, de donner accès aux solutions au plus grand nombre et de maîtriser les usages ».

À ces trois notions, on pourrait ajouter le « minimalisme ». D’après une étude [.pdf] publiée par Armasuisse, l’office fédéral suisse de l’armement, il « peut être une piste pour l’armée, dans la mesure où il incite à mener une réflexion pour distinguer ce qui est vraiment utile, de ce qui peut être considéré comme superflu. Que ce soit au niveau de l’équipement ou de la manière de s’instruire et de s’entraîner, cette philosophie de vie pourrait ouvrir des pistes d’amélioration sur l’allégement physique et psychologique de la pression mise sur les soldats ».

Ce « hackathon Low Tech » doit permettre de trouver des solutions « au profit du combattant débarqué dans ses diverses missions ». Ce qui est large… d’autant plus qu’il concernera aussi la Gendarmerie nationale puisque la structure AGIR [Accompagnement par la Gendarmerie de l’Innovation, de l’Industrie et de la Recherche] y est associée.

« Dans le cadre de cette démarche innovante de recherche de technologies sobres et résilientes, des étudiants de plusieurs écoles d’ingénieurs, de design ou encore d’Instituts Universitaires de Technologies [IUT] auront 24 heures pour réfléchir, échanger et travailler sur une vingtaine de propositions de projets qui auront pour objectif de répondre aux besoins des administrations présentes », explique d’ailleurs AGIR.
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Pour se mettre à niveau, les pays européens regroupent leurs commandes d'armement

Pour se mettre à niveau, les pays européens regroupent leurs commandes d'armement | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Au printemps, la France a passé un accord-cadre visant à acquérir des canons Caesar et des missiles Mistral avec plusieurs pays européens :...-Défense
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Défense aérienne : "Nous avons connu un été hors normes", général Laurent Rataud

Défense aérienne : "Nous avons connu un été hors normes", général Laurent Rataud | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le général Laurent Rataud, commandant la défense aérienne et les opérations aériennes effectue un tour d'horizon des engagements opérationnels de l'Armée de l'Air et de l'Espace, parmi lesquels les retours d'expérience des JO et de Pégase. Tout en dévoilant une partie des engagements dans les mois à venir.
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October 12, 3:49 PM
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A Close-Up Look at the F-35’s Highway Operations during the Baana 24 Exercise

A Close-Up Look at the F-35’s Highway Operations during the Baana 24 Exercise | DEFENSE NEWS | Scoop.it
A newly released cockpit video gives a first-person view of the U.S. F-35s as they operated from a highway strip during the Baana24 exercise in Finland last month.
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October 12, 3:49 PM
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U.S. Navy Postpones Retirement Of The EP-3E Spyplane Amid Ongoing Operational Commitments

U.S. Navy Postpones Retirement Of The EP-3E Spyplane Amid Ongoing Operational Commitments | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The last EP-3Es may not be retired until March 2025, meanwhile, the planned homecoming ceremony for VQ-1 crews has been delayed due to Navy Operations. A
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October 12, 3:48 PM
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La République de Chine cherche à acheter le Lockheed-Martin F-35A Lightning II

La République de Chine cherche à acheter le Lockheed-Martin F-35A Lightning II | DEFENSE NEWS | Scoop.it
C’est un énorme revirement, tant technologique que diplomatique. La Republic Of China Air Force a annoncé que l’avionneur AIDC ne développera finalement pas le NGMCA, un avion de combat de 5e génération dont le programme avait été lancé cette année. En lieu et place elle entend acquérir d’ici quelques années un lot de chasseurs multi-rôle Lockheed-Martin F-35A Lightning II. Beaucoup y voient la fin annoncée de l’industrie aéronautique taïwanaise telle qu’on la connait depuis un demi-siècle.

Très honnêtement quand en janvier dernier les premières infos tournant autour du programme NGMCA, pour Next Generation Main Combat Aircraft, ont commencé à apparaître je n’y pas vraiment trop cru. Certes il était dans l’air du temps, au même titre que le KF-21 Boramae sud-coréen ou que le TF Kaan turc. Cependant il semblait mélanger à la fois des technologies hyper innovantes alliant furtivité et intelligence artificielle à des équipements éprouvés comme le turboréacteur américain General Electric F414. Pour mémoire ce dernier fut conçu au début des années 1990 et se retrouve principalement sur les Boeing F/A-18E/F Super Hornet et EA-18G Growler. C’est d’ailleurs un moteur jugé particulièrement fiable par l’US Navy.

Et depuis c’était silence radio de la part des Taïwanais. Comme si AIDC communiquait sur tout sauf sur son programme le plus ambitieux. Pour la ROCAF pour qui il avait été lancé le Next Generation Main Combat Aircraft représentait l’avenir à l’horizon de 2030. Il devait permettre de remplacer d’ici 2028-2032 les Dassault Aviation Mirage 2000-5 et surtout les AIDC F-CK-1 Ching Kuo de facture indigène. Son programme était donc très important. Oui ici l’imparfait est essentiel puisque tant AIDC que la Republic Of China Air Force ont choisi de mettre fin au développement de ce NGMCA. Les raisons sont nébuleuses mais grosso modo les Taïwanais reconnaissent que le chantier était bien trop colossale pour eux.

Reste que la République de Chine doit désormais trouver un avion capable à la fois de remplacer les F-CK-1 Ching Kuo et les Mirage 2000-5 tout en assurant une qualité suffisante face à son encombrante voisine, la République Populaire de Chine. Et pour le coup les Taïwanais ne sont pas aller bien loin. Leurs vieux General Dynamics F-16A/B Fighting Falcon étant actuellement en phase de transformation au standard F-16V chez Lockheed-Martin ils se sont adressés à cet avionneur. Or ils ne veulent pas de F-16V Viper en plus. Leur objectif est désormais d’intégrer le club Lightning II.

Quand on sait que déjà pour avoir le droit de transformer près de 140 F-16A/B Fighting Falcon au standard F-16V Viper la République de Chine a dû batailler sévère avec Washington DC, et ce durant quatre ans, je vous laisse imaginer le bras de fer qui s’engage désormais avec l’administration Biden et ensuite soit avec celle de Kamala Harris soit avec celle de Donald Trump suivant le résultat des élections dans désormais moins d’un mois. Car démocrates comme républicains américains savent qu’ils marchent sur des œufs en fournissant des armes aussi lourdes que le Lockheed-Martin F-35A Lightning II aux Taïwanais. La riposte commerciale, voire militaire, de Pékin pourrait s’avérer dramatique pour toutes les parties engagées.

On pourrait alors se dire que Dassault Aviation ou le consortium Eurofighter ont une carte à jouer ? Sur le papier oui mais dans la réalité c’est évident que non. D’abord parce que la République de Chine n’a actuellement pas envoyé de signaux en direction du Rafale F4 pas plus que du Typhoon Tranche 4 et ensuite parce qu’il y a encore le volet diplomatique avec la République Populaire de Chine. La situation diplomatique de l’île de Formose est véritablement la poudrière la plus explosive de la planète, sans doute devant le Proche et le Moyen-Orient. On sait que Pékin veut la rattacher à son administration et qu’une opération militaire dans ce sens engagerait forcément les États-Unis dans une série d’actions militaires visant à la libérer. Américains et Chinois se regardent en chien de faïence depuis des mois sur ce dossier ô combien explosif. Il ne faudrait pas que l’annulation du programme NGMCA soit l’étincelle qui embrase la zone Asie Pacifique.

De ce fait il n’est pas impossible qu’une administration américaine refuse la vente de Lockheed-Martin F-35A Lightning II à Taïwan, simplement pour préserver la paix entre les deux principales puissances nucléaires de la planète. L’avionneur a bien d’autres candidats potentiels, y compris dans cette région du monde.

Affaire à suivre.
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October 12, 3:46 PM
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Le Sukhoi Su-57 Felon à l'arrêt suite aux sanctions des Alliés ?

Le Sukhoi Su-57 Felon à l'arrêt suite aux sanctions des Alliés ? | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Voilà une analyse qui vient contredire la propagande d’état de Moscou reprise par quelques médias le mois dernier. Selon le très sérieux groupe d’études en sources ouvertes Frontelligence Insight la production du chasseur russe de supériorité aérienne Sukhoi Su-57 Felon aurait été mise à l’arrêt depuis l’été dernier. Et c’est le train de sanctions votées par les Américains et les Européens suite à l’agression et l’invasion partielle de l’Ukraine qui en serait à l’origine. Des informations que bien entendu le Kremlin dément avec sa traditionnelle véhémence.

En septembre plusieurs médias anglophones, francophones, et surtout russophones annonçaient qu’United Aircraft Corporation avait livré un nouveau lot de six Su-57 Felon aux forces aériennes russes. Tout cela s’appuyait sur une communication bien huilée du Kremlin qui pour autant se gardait de présenter les images d’avions jusque là jamais vus. Cette opacité mit la puce à l’oreille à plusieurs médias, nous y compris. Moscou cherchait t-elle à enfumer tout le monde ? Jusque là c’était une supposition forte. C’est désormais une quasi certitude.

En effet le groupe d’études Frontelligence Insight, basé en Ukraine, a pu décortiquer grâce à la technique de renseignement de la source ouverte des milliers de documents russes. Et sa conclusion est sans appel : Sukhoi est actuellement incapable de livrer des chasseurs furtifs Su-57. Les principaux composant manquant actuellement sont les équipements d’alimentation électronique EA-PS 3150-04B et PLR7 60.12. Mais surtout les condensateurs WA36 sont les plus essentiels au fonctionnement de l’avion russe. En fait selon les experts ukrainiens le Su-57 Felon pourrait parfaitement voler… mais sans la capacité à utiliser le moindre radar ni le moindre système de guidage d’armement.

En outre UAC serait confronté à une corruption quasi systémique qui fait que les financements n’arrivent pas toujours là où il faut et surtout quand il le faut. Du coup on peut aisément se demander quelle est la réalité de la production de cet avion en Russie ? Rappelons d’ailleurs que celle-ci a été déplacée afin de la mettre à l’abri des frappes aériennes ukrainiennes. Officiellement Moscou reconnait posséder 38 avions de ce type, dont les six censés avoir été livrés le mois dernier. La vérité est donc plutôt entre 30 et 32 exemplaires dont un tiers représente des exemplaires de présérie.

Les sanctions euro-américaines ont été votées afin de restreindre l’activité économique et industrielle de la Russie. Dans le cas du Sukhoi Su-57 Felon c’est une belle réussite.

Photo © agence Tass.
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October 12, 3:29 PM
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Amerrissage d'urgence d'un hélicoptère de la Gendarmerie en Nouvelle-Calédonie

Amerrissage d'urgence d'un hélicoptère de la Gendarmerie en Nouvelle-Calédonie | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Suite à problème moteur, un hélicoptère des Forces aériennes de la Gendarmerie nationale (FAGN) a dû amerrir en urgence en Nouvelle-Calédonie. L’équipage s’en sort sain et sauf et l’hélicoptère, flottant grâce au système de flottabilité d'urgence, a pu être remorqué à terre.
Amerrissage d'urgence

Ce 11 octobre, un hélicoptère AS 350 Écureuil des Forces aériennes de la Gendarmerie nationale (FAGN), déployé sur la Section Aérienne de Gendarmerie de Nouméa (SAG Nouméa), effectuait une mission de reconnaissance. Cependant, comme expliqué par le compte Linkedin des FAGN, durant le vol, un problème technique, probablement lié au moteur, a forcé l'hélicoptère à se poser en urgence. Problème ; l'hélicoptère était au large de Plum quand l'incident est arrivé. L'équipage a alors procédé à un amerrissage d'urgence en autorotation.

Concrètement, lorsqu'un hélicoptère des FAGN doit survoler de larges étendues d'eau, chaque patin est équipé d'un système de flottabilité d'urgence (Safran) ; une fois les deux ballons gonflés, l'hélicoptère peut amerrir en mer sans couler ou du moins, en fonction de l'état de la mer, heureusement calme ce 11 octobre.

En ce qui concerne l'autorotation, il s'agit d'une manœuvre d'urgence sur les hélicoptères. En temps normal, les pales du rotor principal dirigent le flux d'air vers le bas et offrent ainsi une portance suffisante pour faire voler l'hélicoptère. En autorotation, le moteur est coupé mais le système de transmission continue de tourner : alors que l'hélicoptère descend, le flux d'air dirigé vers le haut permet de faire tourner les pales du rotor et de fait, d'offrir un certain contrôle de l'appareil au pilote. Cependant, l'hélicoptère descend vers le sol en oblique et accumule de la vitesse ; un atterrissage serait catastrophique ! C'est ainsi qu'arrivé proche du sol, le pilote va engager une manœuvre dite de flare out ou flare en cabrant son appareil afin de rediriger l'énergie accumulée non plus vers le sol mais vers l'avant, tout en diminuant la vitesse accumulée lors de la descente. L'hélicoptère se remet alors à plat et va finir par atterrir (dans ce cas-ci, amerrir) en glissant sur le sol (ou sur l'eau).
Déroulé d'une trajectoire d'autorotation d'un hélicoptère SA 342 M1 Gazelle.
Déroulé d'une trajectoire d'autorotation d'un hélicoptère SA 342 M1 Gazelle. © BEA-É

La manœuvre peut paraitre complexe et n'est effectivement pas simple... mais est connue de tous les pilotes d'hélicoptère, y compris au sein des FAGN. Là ou une perte de moteur pour un avion signifie "simplement" de terminer le vol en plané, un hélicoptère sans moteur doit obligatoirement terminer son vol en autorotation. Et fort heureusement, ce 11 octobre, les manœuvres d'urgence semblent avoir été parfaitement effectuées car le compte Facebook de la Gendarmerie de Nouvelle-Calédonie et les FAGN précisent que les trois membres d'équipage ont pu sortir de l'Écureuil sains et saufs, en dehors de blessures légères causées par l'impact de l'eau lors de l'amerrissage ; le "posé-glissé" reste assez brusque. Ils ont été récupérés par un bateau de plaisance croisant non loin de la zone d'amerrissage.

Des moyens de la brigade nautique de Gendarmerie nationale ainsi que du Régiment d'infanterie de marine du Pacifique - Nouvelle Calédonie (RIMAP-NC) ont été déployés sur zone. Ils ont permis de récupérer l'équipage ainsi que l'hélicoptère flottant sur le lagon. Ce dernier a été ramené à terre avant d'être transféré à la SAG. Il sera inspecté, une enquête étant en cours afin de déterminer les faits avec exactitude.
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October 12, 2:21 PM
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Kusti Salm joins Milrem Robotics’ Supervisory Board to drive innovation

Kusti Salm joins Milrem Robotics’ Supervisory Board to drive innovation | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Kusti Salm, CEO of Frankenburg Technologies and former Permanent Secretary of the Estonian Ministry of Defence, has joined the Supervisory Board of Milrem Robotics.
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October 12, 2:20 PM
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Lithuania to double production capacity at AB Giraitė Ammunition plant, says finance ministry

Lithuania to double production capacity at AB Giraitė Ammunition plant, says finance ministry | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The Lithuanian Ministry of Finance has announced plans to invest EUR 36 million in the expansion of AB Giraitė Ammunition Plant to boost national defence capabilities.
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October 12, 2:19 PM
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NATO launches annual nuclear exercise "Steadfast Noon" across western Europe

NATO launches annual nuclear exercise "Steadfast Noon" across western Europe | DEFENSE NEWS | Scoop.it
NATO has announced the start of its annual nuclear exercise, "Steadfast Noon," beginning on Monday, 14 October 2024.
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Today, 1:27 PM
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Navy Just Reloaded A Vertical Launch System For The First Time While Underway At Sea

Navy Just Reloaded A Vertical Launch System For The First Time While Underway At Sea | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Having the ability to replenish surface combatants' vertical launch system cells while underway is seen as critical to sustaining a fight in the Pacific.
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La Marine nationale veut réduire le "coût par tir" pour user l'adversaire

La Marine nationale veut réduire le "coût par tir" pour user l'adversaire | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Au début de cette année, la Marine nationale a dû justifier l’emploi de missiles surface-air Aster [15 et 30] pour abattre des drones peu coûteux lancés depuis le Yémen par les rebelles houthis contre le trafic maritime en mer Rouge. Et d’expliquer que le coût à prendre en compte n’était pas forcément celui de la munition utilisée mais celui du navire que celle-ci a permis de protéger.

Cependant, et comme l’avait suggéré le général Thierry Burkhard, le chef d’état-major des armées [CEMA] lors d’un colloque à l’Institut Montaigne, une telle approche n’est pas tenable dans la durée. « Si on veut gagner la guerre il va falloir développer des armes d’usure peu chères, en parallèle des armes de haute technologie qui permettent d’emporter la décision », avait-il expliqué, selon des propos rapportés par l’AFP.

Le chef d’état-major de la Marine nationale [CEMM], l’amiral Nicolas Vaujour, avait exprimé un point de vue similaire, lors d’une audition au Sénat, en novembre 2023. « L’exemple, c’est le drone qui ne coûte presque rien, mais qui vient saturer, ‘user’ la défense aérienne de l’adversaire. Si la question nous était posée, il nous faudrait réfléchir à notre capacité à durer et à user un adversaire », avait-il dit. Or, « aujourd’hui, nous avons essentiellement misé sur des armes de décision », avait-il souligné.

D’où, par exemple, le programme franco-britannique [bientôt rejoint par l’Italie] de Futur missile antinavire / Futur missile de croisière [FMAN / FMC], qui permettra, à terme, de remplacer à la fois les missiles Exocet et les Missiles de croisière navals [MdCN]. En outre, pour ses sous-marins nucléaires, la Marine nationale a exprimé le besoin de remplacer le missile antinavire à changement de milieu SM39 à l’horizon 2040.

Pour autant, devant les sénateurs, l’amiral Vaujour avait estimé que la « vraie question » était « aussi de disposer d’armes d’usure capables d’épuiser un adversaire […] de façon à déployer [ces] armes de décision au moment opportun pour remporter la victoire ». En clair, il s’agit de fatiguer l’ennemi avant de lui porter l’estocade. « Usure et décision : l’un ne va pas sans l’autre. Il y a probablement un nouvel équilibre à trouver de ce point de vue », avait-il affirmé.

User l’adversaire suppose de disposer d’un nombre conséquent de munitions à tirer. Ce qui pose, par ailleurs, la question de leur stockage, la « Sainte-Barbe » d’une frégate n’étant pas extensible, ainsi que celle de leur coût. En tout cas, la Marine nationale a engagé des réflexions sur ce sujet, comme l’indique le dernier numéro de Cols Bleus.

« La Marine étudie des options présentant un ‘coût par tir’ réduit permettant d’augmenter le nombre de munitions tirées. Les travaux portent sur les munitions téléopérées [les drones, ndlr], le canon électromagnétique et, à plus long terme, le laser offensif », avance Cols Bleus.

S’agissant des armes laser, la Marine nationale a déjà expérimenté, avec succès, le système Helma-P depuis la Frégate de défense aérienne [FDA] Forbin. Mais si elle est suffisante pour abattre un drone, sa puissance est sans doute encore trop faible pour en faire un « laser offensif ». À moins que Cols Bleus n’ait fait référence au projet BLOOMLASE, qui vise à développer une capacité permettant d’aveugler les satellites d’observation depuis le sol.

Quant au canon électromagnétique, dont le principe a visiblement été abandonné par l’US Navy, son développement est en cours au sein de l’Institut de recherches franco-allemand de Saint-Louis [ISL]. Mais plusieurs défis technologiques doivent encore être relevés.

« Plusieurs déclinaisons du canon électromagnétique peuvent être envisagées. Celle qui permettrait d’envoyer un projectile à plusieurs centaines de kilomètres avec une accélération de 100’000 G serait plutôt placée sur une plateforme navale » car « lorsqu’on a besoin d’un mur entier de condensateurs pour pouvoir stocker et libérer une grande quantité d’énergie de manière quasi instantanée – comme c’est le cas, d’une façon générale, pour les armes à énergie dirigée, qu’il s’agisse de lasers ou de systèmes électromagnétiques – cela suppose des infrastructures adaptées », avait expliqué Emmanuel Chiva, le Délégué général pour l’armement [DGA].

Seulement, réduire le « coût par tir » grâce au laser ou au canon électromagnétique suppose une mise de départ importante. Et l’on ne parle même pas des dépenses inhérentes au Maintien en condition opérationnelle [MCO].

Aussi, à court terme, l’une des solutions passe par la dronisation. « L’emploi des drones aériens, de surface et sous-marins dans la Marine est un enjeu crucial des années à venir. L’accent est mis sur ces nouvelles capacités endurantes, économes et capables d’opérer dans des environnements hostiles », note d’ailleurs le magazine Cols Bleus, avant de préciser que des « solutions impliquant des drones de combat sont en réflexion ».

Et d’ajouter : « Après une priorité donnée à la protection, la Marine envisage à présent, en complémentarité avec les moyens actuels, de nouvelles capacités offensives articulées autour d’une autonomie du drone et de ses senseurs, et d’une capacité létale sous la supervision des marins ».

Pour autant, et comme l’a récemment confié l’amiral Vaujour, dans les pages du Figaro, aucun « grand » programme n’a encore été lancé pour le moment. « Il y a encore beaucoup de champs à explorer » et « au regard de la rapidité des évolutions, il faut une grande agilité d’acquisition pour bénéficier rapidement des innovations », a-t-il expliqué.
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Nouvelle livraison de Sukhoi Su-34 « Fullback »

Nouvelle livraison de Sukhoi Su-34 « Fullback » | DEFENSE NEWS | Scoop.it
La société United Aircraft Corporation (UAC) a annoncé la livraison du quatrième lot d’avions de combat Sukhoi Su-34 NVO/M « Fullback » qui s’est déroulée mardi dernier. Il s’agit de la seconde livraison depuis le 2 septembre et de la quatrième cette année, ce qui en fait l'avion le plus commandé par les forces aérospatiales russes.

Su-34 au standard NVO/M @ VKS

L’accélération semble se maintenir

Poursuivant le processus de remplacement du matériel perdu lors des opérations en Ukraine, les forces aérospatiales russes (VKS) ont reçu un nouveau lot de chasseurs-bombardiers Sukhoi Su-34 « Fullback » au nouveau standard NVO/M. Cette nouvelle livraison est la quatrième réalisée au cours de l'année 2024, avec des avions produits par l'usine d'aviation de Novossibirsk, comme l'a détaillé la société United Aircraft Corporation (UAC). Les images et vidéos publiées par le ministère de la Défense et l'UAC indiquent que ce lot est composé de trois nouveaux exemplaires, qui s'ajoutent à ceux livrés en avril, juin et septembre.



Très apprécié dans le conflit avec l’UkraineLe Sukhoi Su-34 « Fullback » est devenu le jet russe préféré dans la guerre avec l'Ukraine en raison de sa capacité à transporter une charge plus lourde de bombes guidées en plus des armes hypersoniques par rapport aux autres aéronefs en service au sein de la force aérienne et spatiale russe.« Aujourd'hui, c'est un avion avec la plus large gamme d'armes utilisées… Cela contribuera à la réalisation des objectifs des forces de défense aérienne », a déclaré le premier vice-premier ministre de la Fédération de Russie Denis Manturov.



On estime maintenant que la Russie a plus de 150 avions de chasse opérationnels dans la guerre, y compris les Su-34, Su-30SM et Su-35. Sans parler des jets d'attaque au sol Su-25 et Su-24 en plus des avions à haute altitude MiG-31 destinés à lancer des missiles hypersoniques.

Une version modernisée

Les forces aérospatiales russes ont reçu le premier Su-34M, la dernière version du Su-34, en juin 2022, avec d'autres livraisons jusqu'en 2023 et 2024, portant le nombre total de Su-34 à plus de 130, y compris les prototypes. Ces avions ont joué un rôle clé dans le conflit ukrainien, en menant des frappes de précision sur des cibles et des infrastructures militaires, en fournissant un soutien aérien rapproché aux troupes terrestres et en effectuant une interdiction aérienne contre les lignes d'approvisionnement.Les déploiements notables comprennent les raids aériens de masse lors de l'invasion initiale au début de 2022, le soutien pendant la bataille de Donbass, les bombardements lors du siège de Marioupol et le ciblage des forces ukrainiennes pendant la contre-offensive de septembre 2022.Malgré leur efficacité, les Su-34 ont été confrontés à des vulnérabilités, y compris la sensibilité aux défenses aériennes ukrainiennes comme le S-300 et le Buk-M1, et les perturbations de la guerre électronique ukrainienne. Des défis de maintenance sont également survenus en raison de sanctions et de problèmes de chaîne d'approvisionnement.En réponse, la Russie a adapté des tactiques, telles que le vol bas pour échapper aux défenses aériennes, la conduite de frappes d'arrêt et la coordination avec d'autres avions pour submerger les défenses. Le Su-34M dispose d'améliorations telles qu'une nacelle de ciblage infrarouge électrooptique, un radar orienté vers l'arrière pour la défense antimissile, une nacelle ECM pour la protection électronique et un nouveau système radar pour une détection étendue.

L'un des avions nouvellement livré @ UAC

La nouvelle version Su-34 NVO/M

La nouvelle version « NVO » ou nommée « M » au sein de l’Otan a subi une modernisation en profondeur. Les systèmes de radar, de visée et de communication seront améliorés. La gamme de munitions guidées est considérablement élargie. Les capacités de guerre électromagnétique (GE) sont également étendues avec l'introduction de nouveaux points d'emport. En détails, le Su-34 NVO est doté d’un nouveau radar, d’une nouvelle avionique, d’une gamme étendue de missiles et de trois nouvelles nacelles ventrale de reconnaissance qui faisaient défaut, soit (UKR-RL) radar à détection latérale M402 Pika-M, nacelle électro-optique (UKR-OE) Antrakt-TV et scanner infrarouge M433 Raduga-VM, ainsi que la nacelle radar (UKR-RT) M400A dérivée du Fraktsiya-4 développé pour le TU-214R.

L’avion dispose désormais du système de brouillage numérique Khibiny L175V / KS418 grâce auquel l'avion peut être utilisé comme un brouilleur de combat aérien. Les deux radars avant et arrière, dont le nouveau Kopyo DL sont couplés aux nacelles et sont capables de capturer et de surveiller de façon continue plusieurs cibles simultanément. Pour sa défense, le Su-34NVO est maintenant doté de missiles air-air R-77 ou R-73. L’avion emporte par exemple la nouvelle bombe PBK-500U planante à fragmentation inertielle et guidée par satellite pour détruire les véhicules blindés et les bâtiments ennemis et la nouvelle KAB-1500S-E (UBAP1500) équipée d'un système de guidage combiné basé sur la navigation inertielle et par satellite, le principe « tir et oublie ».
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Skunk Works® Demos Revolutionary Adaptive Flight Control

Skunk Works® Demos Revolutionary Adaptive Flight Control | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The Big Picture Lockheed Martin Skunk Works® partnered with the U.S. Air Force Test Pilot School to conduct full-scale, live flight tests of the Smart Adaptive Flight Control Environment (SAFE) system on a large-scale aircraft. SAFE is an adaptive technology that makes real-time adjustments to flight control behavior.   What does this mean for the…
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Today, 3:50 AM
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C-130 Test Pilot Achieves a Whopping 10,000 Flight Hours

C-130 Test Pilot Achieves a Whopping 10,000 Flight Hours | DEFENSE NEWS | Scoop.it
10,000 flight hours in the C-130: the most hours ever recorded by a pilot in the Hercules. On Sept. 24, 2024, Gary Hogg, a seasoned test pilot logged his
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October 12, 3:49 PM
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F-15E Returns To Active Service After Spending More Than Four Years Grounded

F-15E Returns To Active Service After Spending More Than Four Years Grounded | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The F-15E Strike Eagle remained grounded for four years due to a landing gear issue. After spending more than four years grounded due to a landing gear
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October 12, 3:49 PM
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Taiwan’s Chien Hsiang Loitering Munition ‘Soars’ to Mass Production, as Taipei Reconsiders Advanced Defense Fighter, Prioritizes Asymmetric Warfare - Reports

Taiwan’s Chien Hsiang Loitering Munition ‘Soars’ to Mass Production, as Taipei Reconsiders Advanced Defense Fighter, Prioritizes Asymmetric Warfare - Reports | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Taiwan could not develop the engine and electronics for the ADF, while foreign defense firms were unwilling to participate as primary contractors. Meanwhile, the military is showing signs of shifting its focus towards “asymmetric combat capabilities.”
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October 12, 3:48 PM
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Le Dassault Aviation Rafale F5 sera t-il (encore) un chasseur de génération 4.5 ?

Le Dassault Aviation Rafale F5 sera t-il (encore) un chasseur de génération 4.5 ? | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Il prend de plus en plus forme et même si seuls ses contours les plus vagues sont actuellement connus il est de toutes les conversations parmi les passionnés d’aviation, enfin surtout en France ! Alors que le ministère des Armées a notifié ses premières commandes le Dassault Aviation Rafale F5 semble de plus en plus être un pont entre les actuels avions et le futur SCAF développé conjointement avec Airbus Defence. Doté d’un armement innovant, et notamment un nouveau missile nucléaire, et dopé à l’IA on peut raisonnablement se demander si ce Rafale F5 sera encore un avion de combat de génération 4.5 ? La réponse n’est pas aussi simple que cela.

Tout d’abord que sait-on réellement du Dassault Aviation Rafale F5 ? Bah finalement pas autant qu’on voudrait bien le croire. Le concernant il faut démêler le vrai de l’approximatif et même parfois du fantasme. Bien que certains médias peu regardant sur la véracité technologique aient voulu l’affubler du surnom de «Super Rafale» celui-ci n’est pour l’instant jamais employé par l’avionneur pas plus que par le ministère des Armées ou même par l’Armée de l’Air et de l’Espace ou encore la Marine Nationale. Pourtant ces deux dernières armées sont les clientes de base de l’avion. Alors pourquoi un tel surnom ? Sans doute par analogie entre le McDonnell-Douglas F/A-18C/D Hornet et le Boeing F/A-18E/F Super Hornet. Car entre d’un côté les Rafale F3-R/F4 en dotation actuellement et ce futur Rafale F5 qui arrivera d’ici six à sept ans il y a quasiment dix ans d’écart et un bond qualitatif.

En effet factuellement on sait qu’avec ce Rafale F5 le constructeur clodoaldien va pousser très loin les principes d’adaptabilité. D’abord il devrait abandonner le radar à antenne active Thales RBE2 pour son évolution naturelle le radar à disruption RBE2-XG utilisant des récepteurs au nitrure de gallium. Celui-ci doit voler d’ici trois à quatre ans sur banc d’essais avec la DGA-EV puis devenir opérationnel pour l’entrée en service du Rafale F5. Il permettra non seulement de voir plus loin mais aussi d’analyser plus de cibles potentielles. Il est d’ailleurs également désormais assuré que la technologie du radar à disruption ne pourra pas fonctionner sur l’avion sans l’apport d’un intelligence artificielle.

Or cette dernière va littéralement changer la donne entre les actuels Rafale F3-R/F4 et ce futur Rafale F5. Elle va ringardiser les vieilles versions mais aussi la concurrence ! Car l’intelligence artificielle ne sera pas un gadget comme certains peuvent le penser. Sur Rafale F5 elle fera intégralement partie de l’avion, comme une sorte de membre d’équipage… fantôme. Elle permettra notamment de gérer le ou les futurs drones collaboratifs ou encore les données nécessaires à la mission ultime de frappe nucléaire préstratégique. Là encore l’ASMP-A(R), pour Air-Sol Moyenne Portée Amélioré Rénové, ne sera plus d’actualité. Il aura été remplacé par l’ASN4G. Ce missile dit Air-Sol Nucléaire de 4ème Génération sera selon toutes vraisemblances hypersonique. On ignore si une version conventionnelle est prévue, notamment pour remplacer l’actuel SCALP-EG.

Reste donc la fameuse question de savoir si ce Dassault Aviation Rafale F5 sera toujours ou non un chasseur de génération 4.5 ? La réponse est… oui et non. Oui dans l’absolu et non dans l’absolu aussi. En fait il ne sera jamais un avion de 5e génération car cela impliquerait de bien trop grosses modifications à l’avion comme des soutes d’emport d’armement ou encore une furtivité désormais réelle. Rappelons que si le Rafale a toujours disposé d’une signature dégradée vis-à-vis des autres avions de sa catégorie il n’est pas pour autant furtif. À une époque chez Dassault Aviation certains le disaient discret. Sa discrétion sera sans doute augmentée mais le Rafale F5 n’en sera pas pour autant un vrai chasseur de ce type. Ni vraiment génération 4.5 comme le sont les Rafale F3-R/F4 ni vraiment 5e génération comme un F-22A Raptor on pourrait alors dire que le Rafale F5 serait une sorte de génération 4.75… Encore une fois Dassault Aviation innovera dans bien des domaines de l’aéronautique.
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October 12, 3:44 PM
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Royal Navy, retour en opération grâce au F-35B

Royal Navy, retour en opération grâce au F-35B | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Depuis le retrait du vénérable « Harrier » au sein de l’aéronavale britannique, cette dernière avait perdu toute capacité de projection en matière d’avions de combat. Cette disette est terminée avec le déploiement de F-35B sur le pont du HMS Prince of Wales.

F-35B sur le Prince of Wales @ Royal Navy

Retour après 15 ans

Pour la première fois depuis près de 15 ans, un escadron d’avions de combat de la Royal Navy opère depuis le pont d'envol d'un porte-avions. La Royal déploie en effet depuis le 1 octobre un escadron.

De F-35B « Lightning » du 809 Naval Air Squadron, soutenus par leur homologue du RAF Squadron 617, « The Dambusters », à bord du HMS Prince of Wales en mer du Nord pour un mois d'entraînement.

Il s'agit d'une étape clé pour l'escadron et le navire de 65 000 tonnes, alors que tous deux se préparent à participer à un déploiement mondial de huit mois prévu en 2025.



L'embarquement des F-35B est soutenu par quelque 200 ingénieurs, techniciens, armuriers, experts en logistique et sécurité, chefs et météorologues, entre autres. Ce retour est également un point essentiel en vue de retrouver les capacités d’engagement et de la collaboration avec le groupe Aéronaval en vue du déploiement de l'année prochaine et pour les années à venir. Ainsi, pour une grande part du personnel de bord, dont les pilotes, ce voyage en mer est une grande première. Il va s'agir, en plus de la mise en œuvre des avions, de former une équipe, englobant tout, depuis les opérations depuis le poste de pilotage jusqu'à l'armement et l'entretien des F-35 dans le hangar du bâtiment.

F-35B sur le Prince of Wales @ Royal Navy

Un exercice plein de défis

Le capitaine de corvette Armstrong, pilote de F-35, a déclaré dans une conférence de presse, que même si le F-35B avait des générations d'avance sur le « Harrier » qui le précédait, son exploitation à partir d'un porte-avions restait un défi. Lui et ses collègues se sont entraînés intensivement sur des simulateurs avant d'atterrir pour de vrai sur le pont d'envol de 920 pieds de long du HMS Prince of Wales.

« C’est une idée fausse courante de penser que tout sur un F-35 est automatisé », a-t-il expliqué. « L'avion vous soulagera d'une grande partie de la charge de travail. L'atterrissage est plus facile, mais pas facile. Imaginez que vous vous approchez, dans l'obscurité, à 32 mètres au-dessus du navire, puis que vous vous déplacez pour vous poser sur le pont. »

Le commandant Smith a ajouté : « Les principes fondamentaux de l'exploitation du F-35B en mer, par rapport à la terre, que vous soyez pilote ou ingénieur, sont globalement les mêmes. C'est juste que tout est beaucoup plus difficile sur un bateau. « C'est plus bruyant, il y a plus de vent et il fait beaucoup plus sombre la nuit, alors que l'espace est beaucoup plus confiné dans tous les sens du terme. »

F-35B sur le Prince of Wales @ Royal Navy

Le F-35B « Lightning » pour la Royal Navy

Le Royaume-Uni a officiellement annoncé son intention d'acquérir le F-35B Lightning en 2006. Pendant de nombreuses années, le programme JSF du pays était connu sous le nom d'avion de combat interarmées (JCA), qui est resté basé sur le F-35B jusqu'à la Revue stratégique de défense et de sécurité de 2010, qui a fait passer les besoins britanniques au F-35C. Mais avec la conception du porte-avions de classe « Queen Elizabeth » bien avancée pour le STOVL, plutôt que le dispositif de catapulte et d'arrêt (« cat and trap ») requis pour les opérations CV, le JCA a eu recours au F-35B, devenant de plus en plus connu sous le nom de « JSF » par les initiés du programme.

L'examen stratégique de défense et de sécurité de 2015 a confirmé l'intention du Royaume-Uni d'acheter 138 Lightning et les travaux ultérieurs ont vu une mise à niveau massive des infrastructures de la RAF Marham, la principale base opérationnelle de ce type de la RAF/Royal Navy.

Six avions du 207e Escadron, le Lightning OCU, ont atterri à Marham le 16 juillet 2019, et une deuxième unité opérationnelle, le 809e Escadron aéronaval (NAS), devrait commencer à se former à la station de Norfolk en 2023. Après des essais à bord du HMS Queen Elizabeth en 2018 et 2019, des avions opérationnels du 617e Escadron ont travaillé à partir du navire pour la première fois en juin 2020.

Le 3 septembre 2020, des F-35B du Corps des Marines des États-Unis (USMC) de la VMFA-211 ont atterri à la RAF Marham avant l'exercice JOINT WARRIOR, au cours duquel les avions effectueront un entraînement de qualification sur porte-avions aux côtés des avions du 617e Escadron. Ces travaux constituent un prélude essentiel au Carrier Strike Group 21 (CSG21), prévu pour 2021 comme première croisière opérationnelle du HMS Queen Elizabeth, au cours de laquelle il embarquera des F-35B britanniques et américains.

Le F-35B « Lightning » est un avion furtif opérant aux côtés du Typhoon. Machine polyvalente, le Lightning est capable de mener simultanément des missions air-sol, de guerre électronique, de collecte de renseignements et air-air. L'avion combine des capteurs et des systèmes de mission avancés avec une technologie à faible visibilité, ou « furtivité », qui lui permet d'opérer sans être détecté dans l'espace aérien hostile. Ses capteurs intégrés, la fusion de capteurs et la liaison de données offrent au pilote une connaissance de la situation sans précédent. Le pilote est en mesure de partager les informations recueillies par l'avion avec d'autres plates-formes à l'aide de liaisons de données sécurisées et/ou d'utiliser ces informations pour utiliser des armes ou des moyens électroniques.

La capacité de décollage court et d'atterrissage vertical (STOVL) du Lightning lui permet d'opérer à partir des nouveaux porte-avions de classe « Queen Elizabeth » et des navires des nations alliées, ainsi que sur des pistes d'atterrissage courtes.
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October 12, 3:27 PM
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Airbus et ses partenaires européens démontrent la collaboration entre les hélicoptères et les systèmes sans pilote

Airbus et ses partenaires européens démontrent la collaboration entre les hélicoptères et les systèmes sans pilote | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Airbus Helicopters et ses partenaires ont effectué une démonstration à grande échelle d'un système homme-machine (MUM-T) développé dans le cadre d'un projet financé par l'Union européenne et portant le nom de code MUSHER. La démonstration a eu lieu en France et en Italie du 30 septembre au 9 octobre et a impliqué plusieurs hélicoptères pilotés et systèmes non pilotés connectés à un réseau MUM-T unique.
MUSHER...

Airbus Helicopters et ses partenaires ont effectué une démonstration à grande échelle d'un système homme-machine (MUM-T) développé dans le cadre d'un projet financé par l'Union européenne et portant le nom de code MUSHER. La démonstration a eu lieu en France et en Italie du 30 septembre au 9 octobre et a impliqué plusieurs hélicoptères pilotés et systèmes non pilotés connectés à un réseau MUM-T unique.
... L'exploitation conjointe d'hélicoptères et de systèmes aériens sans pilote

« L'exploitation conjointe d'hélicoptères et de systèmes aériens sans pilote offre de précieuses capacités de mission supplémentaires, telles qu'une meilleure connaissance de la situation, les systèmes aériens sans pilote partageant des vidéos en temps réel pour améliorer la prise de décision, tout en préservant les actifs et les ressources critiques », a déclaré Bruno Even, PDG d'Airbus Helicopters. « Le succès de la démonstration MUSHER constitue une avancée majeure pour l'ambition d'Airbus, qui est de mettre en œuvre les capacités MUM-T en rassemblant le savoir-faire industriel européen au profit des clients militaires et civils », a-t-il ajouté.
FlightLab et VSR700

L'expérience a été menée par Airbus, qui a déployé le H130 FlightLab en tant que plateforme habitée et le système aérien sans pilote (UAS) VSR700 sur un terrain d'essai de la DGA. De son côté, Leonardo a effectué la démonstration avec un hélicoptère et un véhicule piloté en option. Thales, coordinateur du projet MUSHER, a fourni une station de supervision et une station de débriefing de la mission. Space Applications Services était en charge de la station de préparation de la mission. Indra a mené des activités de simulation en préparation de la démonstration, tandis que l'ONERA a fourni des études sur la charge de travail de l'équipage. 

Différents scénarios en France et en Italie

La démonstration MUSHER a consisté en divers scénarios impliquant les différents avions volant simultanément en France et en Italie. Les missions étaient basées sur des concepts d'opérations définis par les ministères de la défense de la France, de l'Italie et de l'Espagne. Un scénario, par exemple, mettait en scène des UAS et des hélicoptères pilotés dans le cadre d'une mission de lutte contre la piraterie. L'UAS effectuait initialement une mission de surveillance. Lorsqu'il a repéré une activité suspecte sur un bateau, l'hélicoptère habité a rejoint la scène et a pris le contrôle total de l'UAS en vue d'une intervention.
Niveaux d'interopérabilité (LOI) 2 à 4

Les essais en vol visaient à démontrer les niveaux d'interopérabilité (LOI) 2 à 4, depuis la réception directe des données de l'UAS par les hélicoptères pilotés et la station au sol, jusqu'au contrôle et à la surveillance de l'UAS à partir des hélicoptères. La démonstration a également permis de prouver que des hélicoptères pilotés et des UAS de différentes sociétés et de différents pays, opérant dans des zones éloignées, pouvaient être intégrés au sein d'un système MUM-T unique. 

Développer un système générique européen MUM-T

MUSHER est un projet lancé dans le cadre du programme européen de développement industriel de la défense (EDIDP) lancé par la Commission européenne en décembre 2021. Le projet vise à développer un système générique européen MUM-T qui peut fonctionner de manière robuste dans des environnements multiples (civils, militaires ou mixtes), tout en réduisant la charge de travail de l'équipage et en offrant une capacité maximale en opération.
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October 12, 2:20 PM
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Boeing-built X-37B begins advanced space maneuvering

Boeing-built X-37B begins advanced space maneuvering | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The Boeing-built X-37B will soon perform a series of advanced aerobraking maneuvers, taking the dynamic spaceplane from a Highly Elliptical Orbit (HEO).
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October 12, 2:20 PM
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Hanwha to showcase advanced K9A2 self-propelled howitzer at AUSA 2024

Hanwha to showcase advanced K9A2 self-propelled howitzer at AUSA 2024 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Hanwha Defense USA (HDUSA) and its parent company Hanwha Aerospace will showcase the K9A2 Self-Propelled Howitzer at the Association of the U.S. Army’s (AUSA) Annual Meeting & Exposition.
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