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February 14, 2013 4:55 AM
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The Guardian newspaper is reporting that Almost 450 drones operated by the British military have crashed, broken down or been lost in action during operations in Afghanistan and Iraq over the last five years. The newspaper bases that on statistics released under Freedom of Information law. More from the Guardian: The Ministry of Defence has disclosed for the first time the five Unmanned Aerial Vehicle (UAV) systems used in the conflicts and the number that have perished due to pilot error, technical faults or the undesirability of retrieving them from hostile areas. The figures show the military has lost one Reaper drone since 2007 – it is the only UAV that carries Hellfire missiles as well as surveillance and intelligence-gathering equipment. The drone, which has not been replaced, cost £10m. There have been nine losses of another large UAV, the Hermes 450. Eight of the £1m aircraft were lost in Afghanistan and another in Iraq. The surveillance fleet has halved in size because of the incidents. The UAV to suffer most is the Desert Hawk 3, a small hand-held UAV used by the army: 412 have crashed or been lost in the last five years. British forces have been using other mini-UAVs, the Black Hornet, and the Tarantula Hawk, in Afghanistan; 25 of them have perished during operations. The Black Hornet is the latest piece of UAV equipment to be deployed in the conflict. A mini-helicopter, it is equipped with a camera which gives troops video and still images.
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February 14, 2013 4:54 AM
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Dassault. La première vente à l’étranger du “meilleur chasseur du monde” serait pour cette année. La visite à New Delhi de François Hollande devait donner un cadre politique à l’accord industriel. Rencontre avec Éric Trappier, le nouveau président de Dassault Aviation. L’homme le plus heureux de l’industrie française en 2013 pourrait être Éric Trappier, 52 ans, président de Dassault Aviation depuis le 9 janvier. La vente du Rafale à l’Inde (126 appareils, pour environ 15 milliards de dollars) est attendue cette année, comme semblent l’annoncer tous les indicateurs officiels et officieux. Cet accord devrait donner une belle charge de travail aux français Dassault, Thales et Safran. Les 18 premiers appareils de ce marché seront assemblés dans l’usine de Mérignac. La visite de François Hollande à New Delhi et Bombay, ces 14 et 15 février, cinq jours après le salon Aero India de Bangalore, devait donner un cadre politique à l’accord industriel et nouer un partenariat stratégique de long terme entre la France et ce géant asiatique. « Notre démarche technique et commerciale, et la visite politique du président démontrent une compréhension globale », souligne Éric Trappier. Charles Edelstenne, qui lui a transmis les commandes en janvier, et Serge Dassault étaient eux aussi à Bangalore, avec trois Rafale de l’armée de l’air. La conclusion de ce contrat devait “booster” le Rafale auprès des autres grands prospects de Dassault : les Émirats arabes unis — « La balle est dans leur camp » —, le Brésil — « Un appel d’offres qui perdure » —, la Suisse — « On verra… » — ou encore la Malaisie, le Qatar, le Canada. Éric Trappier est confiant : « Le facteur indien va donner des idées aux autres. » Ce succès — premier contrat à l’exportation pour le Rafale — serait une juste récompense pour ce “Dassault boy” depuis toujours. Entré en 1984 à 24 ans dans cette maison qui a toujours su susciter les plus grandes fidélités, cet ingénieur télécoms a franchi toutes les étapes d’une carrière vouée à la vente des “plus beaux avions du monde”, les Mirage et les Rafale. « Notre priorité immédiate est de vendre des Falcon et des Rafale », répète Éric Trappier. Dans son vaste bureau de Saint-Cloud, quai Marcel-Dassault, ce passionné d’histoire et de géopolitique a fait installer une grande mappemonde, son marché : « Vendre, vendre… » Autre souci : assurer le maintien des compétences et la capacité de coopération. C’est possible avec les drones, dont l’armée française a tant besoin. Le nEUROn, démonstrateur de drone de combat qui a fait son premier vol le 1er décembre dernier, est développé par la France et cinq autres pays européens : « Il démontre qu’il n’est point nécessaire de fusionner avec d’autres sociétés pour coopérer intelligemment. » Éric Trappier connaît bien le marché indien, sur lequel il travaille depuis 1993. Certains des responsables avec qui il avait traité occupent de hautes fonctions : « La satisfaction des clients historiques, ça compte. Cela aide… » En 2007, lors du lancement de la compétition pour le Rafale, il était directeur général international. En Inde ou dans les Émirats arabes, dont il eut la responsabilité en 1995, « le jour de la naissance de [s]on troisième enfant », il a été à bonne école, sous l’autorité de Charles Edelstenne : « On n’a pas le choix. La patience est une vertu. Elle paie. » Il le répète aux journalistes et aux politiques avec le même sourire doux, les yeux noisette à peine plus sombres quand il hausse le ton et se met en boule à l’image du hérisson, son animal fétiche. Dassault Aviation patiente depuis janvier 2012, lorsque l’Inde annonça sa préférence pour le Rafale, au détriment du Typhoon du consortium Eurofighter (BAE Systems, EADS, Finmeccanica). L’engagement du Rafale en opérations a donné un surcroît de crédibilité à cet appareil polyvalent, sans équivalent. « Cette entrée en premier des avions pour renseigner et frapper est la logique de tous les conflits, même asymétriques, souligne Éric Trappier. La rapidité d’action et la capacité de frappe, en toute autonomie, sont des atouts déterminants. » De passage récemment à Paris, le ministre indien des Affaires étrangères, Salman Khurshid, a été clair : « Les bons vins français mettent du temps à parvenir à maturité ; il en est de même pour les bons contrats. Attendez un petit peu que le bouchon saute et vous aurez un bon vin à goûter. » Son collègue de la Défense a été rassurant : « Le Rafale ne sera pas touché par les réductions budgétaires en vue. » Chez Dassault, on reste serein : « Le besoin fait la décision. » C’est notamment vrai pour l’Inde, qui observe avec attention la montée en puissance de la Chine et du Pakistan. Son armée de l’air doit aussi recompléter son parc, dégradé par la perte accidentelle de 33 avions de combat entre 2008 et mars 2012. Mais l’attente est longue. En novembre dernier, l’ambassadeur indien à Paris parlait de « trois à quatre mois ». « Pas de cocoricos, il reste encore beaucoup à faire », prévient Éric Trappier, disant espérer une décision pour la fin de ce premier semestre, avant le début de la campagne électorale pour les législatives indiennes de mai 2014 : « Nous avons fait la moitié du chemin pour les accords industriels. Il faut réussir le marché indien car, avec des budgets militaires forcément réduits, la pression sur le programme Rafale en France sera forte. » Ce contrat engagera aussi Dassault sur quinze ou vingt ans : « Cela dimensionne l’avenir du Rafale. » Les négociateurs indiens auraient évoqué des tranches supplémentaires, jusqu’à porter la commande initiale à 189 Rafale. Dassault Aviation devra continuer à produire et à moderniser son avion pendant au moins deux décennies, avec Thales dont il est actionnaire : « Nous avons la volonté de rester un partenaire actif, avec l’État, dans une relation stratégique. Pour l’avenir, on va se donner du temps. » Éric Trappier connaît bien les équipes à l’oeuvre. Avec Loïc Segalen, le directeur général délégué, même âge que lui, entré chez Dassault à 22 ans, il forme un tandem opérationnel à la fois légitime et rassurant pour les salariés : « Nous travaillons dans une confiance réciproque totale. » L’actionnariat stable et la confiance de Charles Edelstenne, aujourd’hui auprès de Serge Dassault, facilitent les choses. Trappier et Edelstenne se voient une à deux fois par semaine. Ils seront très attentifs au prochain livre blanc sur la défense : « L’industrie de défense est créatrice d’emplois et de technologies. Il faudra que les prochains efforts budgétaires soient à la hauteur de ces enjeux. »
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February 14, 2013 4:32 AM
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Raytheon and General Atomics Aeronautical Systems have joined forces to integrate the Miniature Air Launched Decoy (MALD) onto the MQ-9 Reaper unmanned aircraft. The companies say that ground verification tests were completed in November 2012 at General Atomics' Gray Butte flight operations facility in Palmdale, California. Integration of Raytheon's MALD onto the General Atomics-built aircraft is expected to be completed in 2013. "Integrating MALD weaponry on remotely piloted aircraft systems is integral to maintaining air superiority in today's and tomorrow's conflicts," says Harry Schulte, Raytheon's vice president of air warfare systems. "This new offering provides unprecedented electronic warfare capability enabling remote, unmanned suppression of enemy air defenses"
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February 14, 2013 4:27 AM
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Ten years ago, the world's first series production Eurofighter took off on its first flight from Cassidian's Military Air Systems Centre in Manching. The
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from Newsletter navale
February 14, 2013 4:18 AM
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WASHINGTON — The U.S. Defense Department has cleared the F-35B Joint Strike Fighter to resume test flights, roughly a month after the planes were grounded due to engine issues. Flight clearance was restored on Tuesday for the 25 jump-jet variants that are currently active around the country. “All affected hoses have been inspected, and those out of tolerances will be replaced,” Joe DellaVedova, the spokesman for the joint program office (JPO), wrote in a statement. The STOVL variants were grounded after a Jan. 16 test flight at Eglin Air Force Base, Fla., was aborted due to an engine problem that was later identified as a fueldraulic system failure in the jet. The failure was caused by an improperly crimped fueldralic line. After an investigation by the JPO and engine manufacturer Pratt & Whitney, six non-compliant lines were discovered. "We are pleased the F-35B fleet has been cleared to return to flight operations. We worked very closely with our customers and industry partners to conduct a thorough investigation, and we were able to quickly identify the root cause — an improperly crimped fueldraulic hose — which has now been corrected. We took additional steps with our supplier to ensure hose integrity for the entire fleet, and we are confident in the integrity of the overall propulsion system," said Matthew Bates, communications manager, Pratt & Whitney Military Engines. Operations for the F-35A and F-35C variants were not affected.
Via Patrick H.
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from Newsletter navale
February 14, 2013 4:00 AM
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La tension devient de plus en plus palpable en Asie, face aux prétentions territoriales de Pékin. Les Etats-Unis se retrouvent entraînés malgré eux. Vers 10 heures du matin, le 30 janvier dernier, une frégate chinoise, patrouillant en mer de Chine orientale, dans une zone contestée, a « éclairé » le destroyer japonais Yuudachi avec son radar de conduite de tir. Le positionnement, la direction et la vitesse du navire ciblé, alors situé à moins de trois kilomètres, ont été instantanément communiqués aux missiles du navire chinois. Mais après de longues minutes, les militaires chinois ont finalement désactivé leur ciblage et renoncé à un tir qui aurait pu propulser la planète dans un nouveau conflit mondial. Le gouvernement nippon a dénoncé une « provocation » aux « conséquences imprévisibles ». Le pouvoir communiste a effrontément tout démenti avant d'accuser Tokyo de vouloir souiller l'image de la Chine. Et Washington, qui a depuis confirmé la réalité de l'accrochage, a appelé les deux pays à la retenue. Mais alors que les relations entre Pékin et Tokyo semblaient s'être légèrement apaisées en janvier avec la mise en place dans les deux pays de nouvelles équipes dirigeantes, ce grave incident vient crûment illustrer l'inexorable montée des tensions en Asie, où les trois plus grandes puissances économiques de la planète peuvent désormais redouter l'enclenchement d'une nouvelle guerre froide. Longtemps endormi, le volcan des litiges territoriaux s'est réveillé ces derniers mois, au fil, essentiellement, des bravades de Pékin qui semble désormais se sentir assez fort, économiquement et militairement, pour imposer son influence sur l'ensemble d'une région dominée depuis la fin de la Seconde guerre mondiale par les Etats-Unis. Le pouvoir américain, qui est toujours lié par des traités militaires avec le Japon et les Philippines et présente désormais le Vietnam comme l'un de ses partenaires stratégiques, est très embarrassé par la dégradation de la situation dans la région. Tout en excluant officiellement toute stratégie « d'endiguement » de la Chine, comparable à celle mise en place après la seconde guerre mondiale contre l'URSS, la première puissance de la planète a révélé qu'elle allait redéployer l'essentiel de sa flotte militaire dans la région. Elle multiplie également les partenariats avec tous les pays se sentant menacés par les ambitions chinoises. Washington renégocie ainsi actuellement ses accords de défense avec Tokyo, qui se trouve au coeur de l'un des différends les plus brûlants de la région. En pleine Mer de Chine orientale, la Chine et le Japon se disputent des îles baptisées Diaoyu chez l'une et Senkaku chez l'autre. En août dernier, Tokyo, qui administrait de facto depuis des décennies cet ancien territoire privé a nationalisé les îlots pour prévenir un coup d'éclat du gouverneur de Tokyo. Pékin n'a pas supporté ce qu'il percevait comme une provocation. Manifestations antijaponaises dans tout le pays, boycott des produits nippons, affichage de banderoles sur les axes routiers : le déferlement nationaliste a été d'une rare violence. En Chine, le sujet est particulièrement consensuel. Même les Chinois les plus éduqués revendiquent le plus souvent avec virulence les « Diaoyu ». Et cette émotion est entretenue par Pékin qui y voit une occasion de resserrer les rangs dans une période où les revendications sociales se font de plus en plus pressantes. Solidarité antichinoise Visiblement choqué par les images de saccages, le gouvernement japonais emmené depuis décembre dernier par Shinzo Abe, un représentant de la droite dure, est déterminé à tenir tête à la Chine. S'il milite pour l'apaisement dans un autre différend territorial l'opposant à la Corée du Sud, il a annoncé un renforcement des capacités de défense de l'archipel et tente de tresser en Asie du Sud-Est un réseau de solidarité antichinoise. Car l'angoisse dépasse largement l'Asie du Nord-Est. D'autres pays de la région se sentent malmenés par la principale puissance économique d'Asie qui multiplie les provocations et pratique la stratégie du fait accompli en Mer de Chine méridionale. Les Philippines en savent quelque chose. En 2012, elles ont dû affronter les foudres de Pékin au sujet des hauts fonds de Scarborough, une zone pourtant proche de leurs côtes dont la Chine revendique bruyamment la souveraineté. Prenant soudain conscience du dénuement de son armée, Manille va commander, pour 443 millions de dollars, 12 avions de chasse sud-coréens. Le pays finalise aussi l'achat de 10 frégates japonaises. Le Vietnam se réarme lui aussi dans la précipitation pour faire face à l'extrême fermeté de son grand voisin, qui intimide encore la Malaisie et le Brunei. En Asie du sud-est, la tentation est de plus en plus grande de faire front commun pour tenir tête à un pays qui martèle sa doctrine de « l'émergence pacifique » mais témoigne en réalité d'une intransigeance de plus en plus inquiétante. Dès lors, où s'arrêtera l'escalade ? Si la majorité des analystes estiment qu'aucun des grands acteurs de la zone n'a intérêt à un conflit armé ouvert dans une zone où transite la moitié du commerce mondial, les experts estiment que les tensions ne peuvent que s'aviver. Certaine du renforcement graduel de sa puissance, la Chine parie sur l'érosion inéluctable de la puissance des Etats-Unis et va donc poursuivre son dessein hégémonique régional. Elle risque dès lors de susciter, malgré elle, des initiatives périlleuses de ses militaires les plus remontés et un tir malencontreux de missile contre un bâtiment japonais, vietnamien ou philippin n'est dès lors plus inenvisageable. Yann Rousseau
Via Patrick H.
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February 13, 2013 10:41 AM
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The Nigerian Navy has commissioned into service three OCEA and two Shaldag patrol boats during a ceremony at Western Naval Command Headquarters in Lagos. The three OCEA FPB 72 Mk 2 vessels are 24 metre long coastal patrol craft with a top speed of more than 30 knots. The first commenced sea trials in March last year and all three were delivered in late September. On September 4, 2012, Israel Shipyards announced that two new Shaldag Mk II Fast Patrol Craft were on their way to “an African customer for delivery to the local Navy.” This almost certainly was Nigeria. During the commissioning ceremony on Monday, Minister of Finance Ngozi Okonjo-Iweala said the vessels would be used to combat oil theft and other crime on Nigeria’s waterways. She is quoted by This Day as saying the government procured the boats because Nigeria relies heavily on resources from its maritime domain.... ...The Chief of Naval Staff Vice Admiral Dele Ezeoba said the Navy required at least 40 such patrol boats to effectively deal with maritime crime like sea robbery, piracy and oil theft. “Though the boats are small, they are fast. They are designed for security tasks such as interdiction, anti-smuggling, anti-illegal bunkering, sea robbery and piracy.” Ezeoba noted that eleven officers and 48 ratings have been trained to man and maintain the boats. The Shaldag design is in service with the Israeli Navy and other customers in Europe, Asia and Africa. It was developed and built by Israel Shipyards Ltd in the late 1980s but upgraded over the years based on combat experience. The type is powered by two diesel engines driving two water jets, which give an acceleration time to 40 knots of 40 seconds. The Shaldag Mk II has a length of 24.8 metres, a displacement of 58 tons and a range of 650 nautical miles. Standard equipment on most Shaldag versions includes an X-band surveillance/navigation radar and electro-optical sensor system for day and night surveillance. A number of armament options are available, including fore and aft deck guns, and heavy machineguns on the fly bridge. The guns can be remotely controlled (such as the 23/25 mm Typhoon and 12.7/7.62 mm Mini-Typhoon) or manually operated weapons. In addition, a 20-23 mm naval gun can be mounted on the rear gun mount or four to eight short range missiles can be carried. The Nigerian Navy received at least two Shaldag Mk IIs in June 2009. It is undergoing major expansion, with new boats being built locally and overseas. In October last year, China’s Wuchan Shipyard began construction of the first of two P18N offshore patrol vessels for the Nigerian Navy. These vessels are 95 metres long and are being built by China Shipbuilding and Offshore International Limited, the trade arm of China Shipbuilding Industry Corporation (CSIC). They will be delivered in around three years’ time and will be partly built in Nigeria.
Via Patrick H.
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February 13, 2013 9:19 AM
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Infodefensa.com) Lima – El ministro de Defensa, Pedro Cateriano, incorporó al servicio activo de la Marina de Guerra del Perú (MGP) dos hovercraft Griffon 2000TD, los que serán asignados a operaciones contra el narcoterrorismo en la región VRAEM(Valle de los Ríos Apurímac, Ene y Mantaro). La ceremonia de entrega de las unidades se realizó en la ciudad de Pucallpa, ante la presencia del comandante general MGP, almirante Carlos Tejada Mera; del director general de Capitanías y Guardacostas, vicealmirante Edmundo Deville Del Campo y del comandante de la Cuarta Zona Naval, contralmirante Hugo Verán Moreno. Cateriano afirmó que las dos unidades anfibias incorporadas a la MGP, construidas en el Reino Unido por la empresa Griffon Hoverwork, fueron ensambladas en el Perú. Confirmó además que el gobierno ha invertido 35 millones de nuevos soles (unos 13,56 millones de dólares) en el contrato de adquisición del segundo lote de cinco unidades, tras una compra inicial de dos hovercraft del mismo tipo. Tras las formalidades, el ministro abordó una de las embarcaciones para comprobar en persona las capacidades operativas del equipo y personal naval. Posteriormente inspeccionó los ambientes de la cañonera fluvial BAP Clavero, construida en el astillero SIMA Iquitos. Otras dos unidades están en proceso de producción y serán incorporadas en el mes de marzo próximo tras su ensamblaje en el SIMA. Los hovercraft disponen de blindaje de aluminio, visión nocturna, capacidad de operación todo tiempo y pueden transportar hasta 20 infantes, incluyendo la tripulación, hasta velocidades de 35 nudos.
Via Patrick H.
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February 13, 2013 9:01 AM
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February 13, 2013 8:36 AM
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La Marine russe a ordonné la construction d'un destroyer, projet qui constituera le plus gros navire de combat produit en Russie suite à l'éclatement de l'URSS, a annoncé mercredi le journal Izvestia se référant à une source au sein du complexe...
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February 13, 2013 8:34 AM
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Après avoir décidé de faire rentrer aux Etats-Unis, l’an passé, les 33.000 militaires américains envoyés en Afghanistan en 2009 pour appliquer la stratégie de contre-insurrection définie par le général Stanley McChrystal, alors à l’époque chef de la Force international d’assistance à la sécurité (ISAF), le président Obama a décidé d’aller encore plus loin. Lors de son discours annuel sur l’état de l’Union, le chef de la Maison Blanche a en effet annoncé le retrait de 34.000 soldats américains supplémentaires, “au cours de l’année à venir”. Et d’ajouter que “le retrait continuera” et qu’à la fin 2014, “notre guerre en Afghanistan sera terminée.” Comme il avait été indiqué le mois dernier, lors de la visite faite à Washington par le président Afghan Hamid Karzaï, la nature de la mission des forces américaines engagées en Afghanistan va changer dans quelques semaines. “Ce printemps, nos forces passeront à un rôle de soutien, avec les forces afghanes en première ligne”, a ainsi rappelé le président Obama, conformément à la stratégie définie par l’Otan, consistant à transférer progressivement la responsabilité de la sécurité aux 350.000 soldats et policiers afghans. Actuellement, 68.000 militaires américains sont présents en Afganistan. Leur nombre sera donc diminué par deux d’ici février 2014 au plus tard, l’idée étant de maintenir cet effectif le plus longtemps possible, c’est à dire jusqu’à la fin de la traditionnelle offensive de printemps des insurgés afghans. Cela étant, ce retrait n’ira pas sans virer au casse-tête logistique. Ainsi, le 11 février, un premier convoi de matériels a pris le chemin du retour en passant par le Pakistan, plus précisément via le port de Karachi. “C’était un ballon d’essai. Nous testions l’usage de cette route. Les Etats-Unis et l’ISAF devront transporter d’énormes quantités de matériel hors d’Afghanistan. Nous devons pour cela utiliser tous les chemins possibles”, a expliqué un officier américain. Les autres options possibles sont la voie aérienne et la route du Nord, via les pays d’Asie centrale et la Russie. Enfin, il restera encore à régler les modalités de l’après 2014. L’ancien chef de l’ISAF, le général John Allen, a mis en garde contre une déflation trop rapide des effectifs des forces de sécurité afghanes qui serait due à un manque de moyens financiers. Par ailleurs, la question d’une présence résiduelle de troupes américaines pour assurer des missions de formation et de contre-terrorisme, n’a toujours pas été tranchée, faute d’un accord avec Kaboul sur l’immunité judiciaire suceptible de leur être accordée.
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February 13, 2013 4:38 AM
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Brest. Reportage dans les entrailles du magasin de la base navale - Le « BF », vous connaissez ?
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February 13, 2013 4:37 AM
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The US Naval Surface Warfare Center (NSWC) Corona Division has awarded a contract to Telephonics to support the Aegis Ballistic Missile Defense (ABMD) system.Under the $11.5m contract, integrated weapon system and missile development, test and...
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February 14, 2013 4:55 AM
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The French defence procurement agency (DGA) has selected Astrium Services and Actia Sodielec to create the system “Comcept”, France’s first full-IP military ultra-fast broadband satellite communications network • Comcept will complement the capabilities provided by the French Ministry of Defence’s Syracuse satellite system • Thanks to Comcept, the French armed forces will be among the first in the world to be equipped with a military satcom network operating in Ka-band, the frequency range of the future • Astrium has unique expertise in new Ka-band satellite communications networks, acquired notably through its work on the United Arab Emirates’ Yahsat system and Eutelsat’s KA-SAT satellite 13 February 2013 - Astrium, Europe’s leading space technology company, and its partner Actia Sodielec, specialists in military telecommunications, have been awarded the Comcept contract by the French defence procurement agency (DGA). The contract will run for 17 years. As of 2014, Comcept will provide the French armed forces with access to additional broadband satellite capacity over and above that provided by the existing Syracuse system. Comcept will mainly utilize capacity on the French-Italian satellite Athena-Fidus – scheduled for launch within the next 12 months – and will also be compatible with future commercial satellite networks operating in Ka-band, which will provide global coverage. Through Comcept, the French army, air force and navy will benefit from a network of fixed and deployable ground stations, the latter deployable both in France and in theatres of operation, allowing them to exchange data, videos and telephone communications using latest-generation, full-IP (Internet Protocol) technology. The contract also provides for the option of equipping vehicles, ships, planes and drones with built-in mobile stations. Comcept is designed to provide the French armed forces with a Ka-band ground segment for secure ultra-fast broadband communications by satellite. It will become the first military network of its type in Europe, and will make use of the latest IP network solutions on the market, while also optimizing costs. “Having built the Yahsat system for the armed forces of the United Arab Emirates and the KA-SAT satellite for Eutelsat, Astrium is a key player in new satellite networks operating in Ka-band, the frequency range of the future,” said Astrium Services’ Chief Technical Officer Eric Soulères. “Thanks to Comcept, the French armed forces will join their American and UAE counterparts in a very select group of armed forces who have military Ka-band networks.” Astrium Services is the prime contractor for Comcept in France and will also be responsible for the engineering and testing of the system. For the duration of the contract (17 years), the company will also ensure the system remains operational and secure. Astrium will be working in partnership with its co-contractor Actia Sodielec, a medium-sized company specialising in satellite telecommunications and supplier to the French Ministry of Defence. Actia Sodielec will be in charge of the engineering, integration and operational maintenance of the ground stations. To bring the Comcept project to fruition, Astrium will draw on its unique Ka-band expertise, unrivalled in France, acquired while building the Yahsat system for the armed forces of the United Arab Emirates and Eutelsat’s KA-SAT satellite, which provides internet services across Europe. The world’s leading military satellite telecommunications provider, Astrium Services’ customer portfolio includes some of the world’s most modern armed forces, including the UK, France, Germany, the USA and NATO. Astrium Services has been developing and delivering innovative solutions and services to the French Ministry of Defence for many years. For example, since 2005, Astrium Services has been providing a range of satellite telecommunication services to the French armed forces under the ASTEL convention, a framework agreement with DIRISI, the joint directorate of infrastructure networks and information systems responsible for the management of military satellite communication services. And since 2008 Astrium has also been providing communication services for French military personnel deployed on overseas missions, enabling servicemen and women to keep in touch with their families and friends through an Internet portal called “Escale des Armées” (previously known as “Passerel”). Moreover, in 2008, the DGA awarded a contract to Astrium Services for the development of the Telcomarsat naval satellite communication system. For more information on Astrium Services’ military satellite communications systems, go to: www.astriumservices.com About Astrium Astrium is the number one company in Europe for space technologies and the third in the world. In 2011, Astrium had a turnover close to €5 billion and 18,000 employees worldwide, mainly in France, Germany, the United Kingdom, Spain and the Netherlands. Astrium is the sole European company that covers the whole range of civil and defence space systems and services. Its three business units are: Astrium Space Transportation for launchers and orbital infrastructure; Astrium Satellites for spacecraft and ground segment; Astrium Services for comprehensive fixed and mobile end-to-end solutions covering secure and commercial satcoms and networks, high security and broadcast satellite communications equipment and systems, and bespoke geo-information services, worldwide. Astrium is a wholly owned subsidiary of EADS, a global leader in aerospace, defence and related services. In 2011, the Group – comprising Airbus, Astrium, Cassidian and Eurocopter – generated revenues of € 49.1 billion and employed a workforce of over 133,000.
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February 14, 2013 4:35 AM
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BETHPAGE, New York, le Hawkeye E-2D «Advanced», conçu et fabriqué par Northrop- Grumman Corporation a reçu l’approbation pour la fabrication en série. Cette décision fait suite à la réussite des 10 mois d'essais opérationnels et d'évaluation initiale (IOT & E), menée par l'US Navy. L’US Navy prévoit d’acquérir un total de 75 Hawkeye E-2D « Advanced » sur 10 ans. A ce jour, Northrop-Grumman a livré neuf E-2D à l'US Navy et ceci en avance sur le calendrier. 11 aéronefs sont actuellement à différents stades de la fabrication. Le Hawkeye E-2D « Advanced » : Les systèmes du E-2D représentent un bond de plusieurs générations dans la technologie des systèmes embarqués d’alerte lointaine et doit permettre de s’adapter aux menaces d’aujourd’hui et de demain en s’intégrant totalement dans les nouveaux systèmes mis en oeuvres par l’US Navy, que ce soit en matière de bâtiments de surface que de nouveaux appareils tels : les Super Hornet et le futur F-35.
Le Hawkeye E-2D « Advanced » dispose d’un grand nombre de nouveautés avec un radar AESA AN/APY-9 qui remplace l’ancienne antenne mécanique, le radar permet une couverture totale à 360° et permet un suivi complet air et mer. L’appareil dispose également d’une nouvelle motorisation, soit le Rolls-Royce T-56-A-427A. Un cockpit entièrement numérique, d’un nouveau système d’identification ami/ennemi, de nouveaux postes de travail tactique ainsi que d’une nouvelle architecture électronique et de communication couplée à une liaison de données. Le premier escadron de la Marine à recevoir l'E-2D « Advanced » est l’Airborne Early Warning Squadron ONE TWO ZERO (VAW-120), basé à Norfolk.
Rappel : Le Grumman E-2 Hawkeye est un appareil de surveillance aérienne et de commandement aéroporté (AWACS) développé par le constructeur américain Grumman, embarqué à bord des porte-avions. Mis en service en 1964, il a depuis été exporté vers plusieurs pays dont la France, Israël, le Japon, le Mexique, Singapour, Taïwan et l’Egypte.
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February 14, 2013 4:31 AM
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The US Air Force will not reopen the Accident Investigation Board (AIB) that examined the 16 November, 2010, crash of a Lockheed Martin F-22 Raptor despite the US Department of Defense (DOD) Inspector General's (IG) findings that the board's conclusions were flawed. The crash took the life of Capt Jeff Haney, a pilot assigned to the 525th Fighter Squadron based at Joint Base Elmendorf-Richardson, Alaska. "The convening authority, Gen Herbert Carlisle, PACAF [Pacific Air Forces] commander, directed that the AIB be reconvened (not reopened) in order to re-write the AIB report for clarity (to address the issues identified by DoD IG)," the US Air Force says in a written statement. "AFI [Air Force Instruction] 51-503 (paragraph 10.4) explains what it takes to re-open an investigation, specifically that there need to be new evidence. The convening authority is the only person who can re-open or reconvene an AIB." The DOD IG, however, recommends that the AIB report be re-evaluated because of the numerous flaws discovered by their investigation. "We concluded that the AIB Statement of Opinion regarding the cause of the mishap was not supported by the facts within the AIB report consistent with the clear and convincing standard of proof established by AFI 51-503," writes Randolph Stone, the Pentagon's deputy inspector general in a memo attached to the IG report. "Our conclusion was supported by five individual findings, and we recommended that the AIB report be reevaluated in light of our findings." Despite the IG report, the USAF remains steadfast that its AIB report simply needs to be rewritten for clarity despite the investigative lapses exposed by the inspector general's inquiry. "Accident investigation boards are reconvened, among other reasons, to make clerical or administrative changes to an AIB report. AIBs can be reopened upon discovery of additional evidence that could affect the statement of opinion," the USAF says. "When an AIB is re-opened, it signifies an active or ongoing investigation. In this case, the AIB was reconvened to evaluate the information contained within the report by the [USAF] panel of experts and determine whether portions of the AIB could be better-written. The panel of experts report did not involve the discovery of additional evidence that could affect the AIB conclusion/statement of opinion." Numerous sources voiced concerns over the quality and conclusions of the AIB report when it was initially released in December 2011. But even as the IG began its investigation, former USAF chief of staff Gen Norton Schwartz maintained that the inquiry was simply "routine".
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February 14, 2013 4:25 AM
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The Navy's RQ-21A Small Tactical Unmanned Air System (STUAS) completed its first flight at sea Feb. 10 from the San Antonio-class amphibious transport dock USS
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February 14, 2013 4:01 AM
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Un reportage de Radio-Canada annonce qu’Ottawa a (encore) sous-estimé le coût d’achat de l’un de ces programmes phares, cette fois-ci: les futurs navires de la Marine royale canadienne. Déjà en avril 2012, 45eNord.ca vous apprenait que le coût était sous-estimé, non à cause de l’inflation comme l’annonce Radio-Canada aujourd’hui, mais en raison de la méthode de calcul du gouvernement, qui est la même que pour le F-35. Dans l’article daté du 20 avril dernier, nous vous indiquions qu’une porte-parole du ministère de la Défense nationale, avait déclaré lors d’une interview téléphonique qu’il était impossible de connaître pour l’instant tous les coûts d’exploitation des navires puisqu’ils ne sont pas encore construits et que certains sont encore à l’état de simple dessins sur une planche. «L’évaluation de l’ensemble des coûts ne pourra se faire que lorsque le design des navires sera défini, ce qui devrait être fait dans le courant de l’année [2012].» On parle ainsi d’achat brut. Dans le cas du F-35, les chiffres sont passés de 9 milliards $ à près de 45 milliards tout inclus. En juin 2010, le gouvernement du Canada a annoncé la mise en place d’une Stratégie nationale d’approvisionnement en matière de construction navale (SNACN). Cette Stratégie a pour but la construction de navires destinés au ministère de la Défense nationale et au ministère de la Pêche et Océans Canada. En janvier dernier 2012, le gouvernement fédéral a annoncé l’octroi de deux contrats pour la construction de ces navires. Le premier, d’un peu moins de huit milliards $ a été donné à Seaspan Marine, dans l’Ouest, pour sept bateaux civils. Quant au deuxième contrat, il a été donné au chantier Irving Shipbuilding Inc. dans l’Est du Canada, à Halifax, pour la construction de 21 navires au coût de 25 milliards $. Aujourd’hui, des sources ont confirmé à Radio-Canada que le principal risque dans l’industrie navale militaire, l’inflation, a été plus que sous-estimé par le gouvernement dans son projet d’achat. Selon David Perry, analyste à l’Institut de la conférence des Associations de la défense, le taux d’inflation annuel dans la construction de navires militaires varie entre 7 % et 11 %. Or, selon des informations obtenues par Radio-Canada, la Marine royale canadienne n’aurait prévu une inflation d’à peine 2,7 %. Pour sa part, le porte-parole libéral John McCallum a déclaré dans un communiqué publié ce mercredi 13 février au sujet des erreurs de calcul du gouvernement conservateur quant aux coûts des navires de soutien interarmées : « Le fait que les conservateurs aient utilisé un taux d’inflation erroné, 2,9 % au lieu de 7 à 11 %, pour calculer le coût du projet des navires de soutien interarmées, démontre clairement leur incompétence ainsi que leur échec persistant à consulter le secteur industriel avant d’établir un budget d’acquisitions de grande envergure.» Le parte-parole libéral a ajouté que «Le manque de diligence de ce gouvernement peut laisser notre force navale avec un financement insuffisant pour acquérir les navires nécessaires pour protéger nos côtes, compromettant ainsi leurs capacités opérationnelles.» Et, cerise sur le gâteau, la construction de ces navires de combat ne pourrait débuter avant 2020, soit cinq ans plus tard que prévu, un délai qui pourrait avoir un impact sur les coûts. Bref, tout va bien!
Via Patrick H.
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February 13, 2013 10:44 AM
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Critics of the Air Force's decision to blame a costly F-22 crash on its pilot have some ammunition
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February 13, 2013 10:41 AM
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The Missile Defense Agency (MDA) and U.S. Navy sailors aboard the USS Lake Erie (CG 70) successfully conducted a flight test of the Aegis Ballistic Missile Defense (BMD) system, resulting in the intercept of a medium-range ballistic missile target over the Pacific Ocean by a Standard Missile-3 (SM-3) Block IA guided missile. At 11:10 p.m. HST, (4:10 a.m. EST) a unitary medium-range ballistic missile target was launched from the Pacific Missile Range Facility, on Kauai, Hawaii. The target flew northwest towards a broad ocean area of the Pacific Ocean. The in-orbit Space Tracking and Surveillance System-Demonstrators (STSS-D) detected and tracked the target, and forwarded track data to the USS Lake Erie. The ship, equipped with the second-generation Aegis BMD weapon system, used Launch on Remote doctrine to engage the target. The ship developed a fire control solution from the STSS-D track and launched the SM-3 Block IA guided missile approximately five minutes after target launch. The SM-3 maneuvered to a point in space and released its kinetic warhead. The kinetic warhead acquired the target reentry vehicle, diverted into its path, and, using only the force of a direct impact, engaged and destroyed the target. Initial indications are that all components performed as designed. Program officials will assess and evaluate system performance based upon telemetry and other data obtained during the test. Today’s event, designated Flight Test Standard Missile-20 (FTM-20), was a demonstration of the ability of space-based assets to provide mid-course fire control quality data to an Aegis BMD ship, extending the battlespace, providing the ability for longer range intercepts and defense of larger areas. FTM-20 is the 24th successful intercept in 30 flight test attempts for the Aegis BMD program since flight testing began in 2002. Across all Ballistic Missile Defense System programs, this is the 58th successful hit-to-kill intercept in 73 flight tests since 2001. Aegis BMD is the sea-based component of the MDA’s Ballistic Missile Defense System. The Aegis BMD engagement capability defeats short- to intermediate-range, unitary and separating, midcourse-phase ballistic missile threats with the SM-3, as well as short-range ballistic missiles in the terminal phase with the SM-2 Block IV missile. The MDA and the U.S. Navy cooperatively manage the Aegis BMD program.
Via Patrick H.
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February 13, 2013 9:18 AM
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The UK Ministry of Defence (MoD) is looking to pursue the accelerated procurement of an off-the-shelf communications electronic support measures (CESM) system to provide Royal Navy (RN) Type 23 frigates with an enhanced electronic surveillance capability. An invitation to tender (ITT) is set to emerge in late March. The Defence Equipment and Support (DE&S) organisation's Joint Electronic Surveillance (JES) delivery team, which is managing the potential acquisition, has restricted expressions of interest to existing suppliers of CESM equipment to the RN. Typically providing coverage of the HF, VHF and UHF frequency bands, CESM systems are employed to provide interception, direction finding and analysis of communications signals of interest, supporting both tactical indicators and warnings and strategic intelligence collection. According to the DE&S, the nascent Type 23 CESM requirement calls for the supply, installation and in-service support of a mature integrated CESM solution. It adds that the candidate system must be at Technology Readiness Level 8 or above, suitable to meet appropriate RN platform installation standards and platform constraints, and ready for a system demonstration to the JES team in mid-2013 to support tender assessment.
Via Patrick H.
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February 13, 2013 8:37 AM
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Le petit émirat du Qatar va être l’objet, pendant quelques semaines, d’un déploiement conséquent de soldats français. L’exercice interarmées franco-qatarien « Gulf Falcon 2013 » va officiellement débuter ce samedi 16 février et se dé...
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February 13, 2013 8:36 AM
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Les pays souhaitant acheter le système de missiles sol-air russe S-400 sont prêts à en attendre la livraison jusqu'en 2021, a annoncé mercredi à Moscou le PDG de l'exportateur d'armes russe Rosoboronexport, Anatoli Issaïkine.
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February 13, 2013 4:57 AM
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The South Korean military is pushing to develop unmanned attack helicopters capable of hitting North Korea's front-line bases as a way to counter growing
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February 13, 2013 4:38 AM
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