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Today, 2:02 AM
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Today, 2:01 AM
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As Boeing begins production on the first prototype of the US Air Force’s planned fleet of E-7A airborne early warning and control jets, the service is exploring what advanced technologies it may incorporate into the final design, including advanced sensors, communications and electronic warfare countermeasures.
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Today, 1:58 AM
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Même si elle a un peu quitté le devant de la scène la guerre en Ukraine se poursuit, notamment dans le ciel. Si les Dassault Aviation Mirage 2000-5FU et les General Dynamics F-16MLU Fighting Falcon sont les avions les plus médiatisés ceux d’origine soviétique, déjà en dotation avant-guerre, savent encore tenir leur place. Et c’est encore plus le cas des neuf Mikoyan MiG-29UB Fulcrum-B, des biplaces de transformation opérationnelle. S’ils ne volent plus tant que cela comme machines d’entraînement avancé ils assurent bel et bien des missions face à l’envahisseur russe. Sur le papier ces avions étaient pour la plus part déjà en dotation au sein de la Povitryani Syly Zbroynykh syl Ukrayiny avant février 2022 et l’attaque par la fédération de Russie. Cependant au moins deux seraient d’origine étrangère et auraient été fournis par des pays européens membres de l’alliance Atlantique après cette date. À l’origine les MiG-29UB étaient dédiés à la formation avancée des pilotes de chasse ukrainiens. Cependant l’accélération des raids aériens russes et la lenteur des livraisons par les Alliés ont forcé Kyïv à les engager au combat. À quoi peuvent bien servir ces vieux biplaces ? Officiellement ce sont des chasseurs, ils sont théoriquement adaptés à la guerre aérienne contre l’aviation stratégique russe et ses bombardiers lourds. Cependant chacun sait que le Mikoyan MiG-29 Fulcrum, qu’il soit en version mono ou biplace, a toujours eu un souci majeur : il a les pattes courtes ! Il ne peut donc pas traquer les Tupolev Tu-22M Backfire et Tu-95 Bear trop longtemps au-dessus du territoire ennemi. De ce fait ces biplaces se sont adaptés à l’attaque au sol et à l’appui aérien rapproché. Larguer des bombes lisses, tirer des munitions guidées AASM et GBU-39, ou encore des missiles de croisière Storm Shadow / SCALP-EG est tout à fait dans leurs cordes. Ils ont été modifié en ce sens au fur et à mesure que la guerre évoluait et que les livraisons d’armement se faisaient. Les MiG-29UB de la Povitryani Syly Zbroynykh syl Ukrayiny se sont même fait une spécialité d’emporter et de tire le missile anti-radar AGM-88 d’origine américaine. Bien sûr neuf avions comme eux ne changeront sans doute pas le cours de la guerre. Pourtant leur engagement, parfois même comme monoplaces c’est à dire avec le siège arrière non occupé, démontre toute la résilience des Ukrainiens. Ils défendent leur pays face à un envahisseur et quelque soit les avions ceux ci sont bons pour repousser l’ennemi. Les MiG-29UB en sont la démonstration flagrante.
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Today, 1:55 AM
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Guido Crosetto, Italy’s Minister of Defense, has accused the GCAP partner of neglecting to share unspecified technologies with other program members.
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Today, 1:55 AM
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Aircraft and personnel assigned to the 9th Expeditionary Bomb Squadron from Dyess AFB, Texas, landed at the base in northern Japan on Apr. 15, 2025. A
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Today, 1:54 AM
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The D-21 drone developed by FRDM GROUP has received official approval from the Ministry of Defence of Ukraine. Learn about its capabilities, test results and role in military operations.
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Today, 1:54 AM
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This week, a Ukrainian An-124 cargo plane will land at the Royal New Zealand Air Force's Ohakea base to deliver the main components of a new training facility for P-8A Poseidon patrol aircraft.
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Today, 1:48 AM
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Ukraine has introduced a new cruise missile named Bars, capable of striking targets up to 800 kilometres inside Russian territory, according to a BBC report citing a Ukrainian government source.
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Today, 1:48 AM
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Lancé au début des années 2000, le programme Medium Multi-Role Combat Aircraft [MMRCA] devait permettre à l’Indian Air Force [IAF] d’acquérir 126 nouveaux avions de combat, dont 108 devaient être assemblés en Inde. La procédure ayant été longue, ce ne fut qu’en 2012 que New Delhi fit savoir que son choix se porterait sur le Rafale de Dassault Aviation. Seulement, les négociations contractuelles prirent trop de temps. Aussi, en 2015, l’Inde décida de mettre un terme au MMRCA après avoir commandé seulement 36 Rafale, dans le cadre d’un accord intergouvernemental conclu avec la France. Mais ce contrat était insuffisant pour couvrir les besoins de l’IAF. Aussi, trois ans plus tard, le gouvernement indien lança une nouvelle procédure qui, appelée « Multi Role Fighter Aircraft » [MRFA], devait aboutir à l’achat de 114 avions de combat supplémentaires, toujours avec des transferts industriels et technologiques à la clé, au titre de la politique « Make in India ». Une demande d’information fut alors adressée aux industriels intéressés. Aussi, les candidats du MRFA sont pratiquement les mêmes que ceux du MMRCA, à la différence près que l’américain Lockheed-Martin décida de proposer le F-21, une variante du F-16 « Viper » adaptée aux besoins indiens. Depuis, ce dossier n’a pas beaucoup évolué… En février dernier, l’agence Reuters a cependant avancé qu’un appel d’offres lié au MMRCA serait lancé prochainement… et que les industriels en lice étaient en train d’affiner leurs offres à cette fin. Sauf que l’IAF n’a pas le temps d’attendre, le nombre de ses escadrons de chasse étant tombé à 31 alors qu’elle est censée en compter 42. Début avril, citant des sources au sein de la défense indienne, le site d’information « The Print » a avancé que l’Inde était tentée d’entamer des négociations avec la France afin de conclure un accord de gouvernement à gouvernement [G2G] pour se procurer 114 Rafale dans le cadre du programme MRFA. « Il s’agira d’un fournisseur unique. Nous avons déjà acheté 36 Rafale et entamerons les négociations pour le MRFA avec la France une fois que certaines formalités auront été accomplies. Il s’agira d’un accord intergouvernemental », a en effet confié l’une de ces sources à The Print. Et cela alors que, quelques semaines plus tôt, le PDG de Dassault Aviation, Éric Trappier, avait dit envisager l’installation d’une chaîne de production dédiée au Rafale en Inde dans le cas où il remporterait l’appel d’offres MRFA. Cependant, un autre scénario semble se dessiner. Ainsi, le 16 avril, « Bharat Shakti », le portail indien spécialiste des questions de défense, a affirmé que l’IAF se préparerait « à acquérir 40 avions de combat Rafale supplémentaires auprès de la France, dans le cadre d’un accord G2G ». Et d’ajouter que des « sources haut placées » lui ont confirmé […] que des discussions de haut niveau ont eu lieu récemment entre des responsables indiens et français, […] pour lancer les travaux préparatoires sur une deuxième tranche de chasseurs Rafale pour l’IAF dans le cadre de ce qui est décrit comme un accord MRFA + accéléré ». Toujours d’après Bharat Shakti, cet accord G2G potentiel, distinct de l’achat de Rafale M pour la marine [indienne], est « présenté comme un choix stratégique plutôt qu’un compromis » car « face à l’évolution rapide des menaces sur deux fronts et aux contraintes de temps pour le renforcement des capacités », cette approche « offre rapidité, garantie de livraison et continuité » par rapport à un appel d’offres classique. Si un accord est trouvé, alors l’IAF disposera donc de 76 Rafale. Soit l’équivalent de quatre escadrons de chasse. Cela « permettrait non seulement de combler partiellement le déficit d’escadrons, mais aussi de servir de contrepoids stratégique face à l’intensification des développements militaires régionaux, notamment la modernisation rapide de la force aérienne chinoise et l’acquisition de chasseurs J-10C par le Pakistan », conclut le portail indien.
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Today, 1:46 AM
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Utiliser un missile surface-air valant plusieurs millions d’euros contre une munition téléopérée [ou « drone kamikaze »] à bas coût, comme le Shahed-136 iranien, n’est pas la solution la plus pertinente qui soit, même si elle s’avère la seule à être efficace dans l’urgence. D’où des projets visant à mettre au point des armes à énergie dirigée, dont l’utilisation serait peu onéreuse. Généralement, les travaux sur ces armes à énergie dirigée portent sur les lasers, comme le système français Helma-P. Les Britanniques ne sont pas en reste dans ce domaine, avec le DragonFire, appelé à équiper prochainement les navires de la Royal Navy. Seulement, l’efficacité de ces dispositif dépend de plusieurs facteurs, dont les conditions météorologiques. Aussi, le ministère britannique de la Défense [MoD] finance le développement d’une arme à énergie dirigée par radiofréquence [RF DEW – Radio Frequency Directed Energy Weapon], dans le cadre du programme Hersa, mené par Thales UK sous l’égide de l’agence « Defense Equipment and Support [DE&S] et avec l’appui technique du Defense Science and Technology Laboratory [Dstl]. Une telle arme à énergie dirigée émet un signal électromagnétique puissant susceptible d’endommager, voire de détruire, les circuits électriques et électroniques. Ce qui permet, par exemple, d’éliminer la menace des essaims de drones, quelles que soient les conditions météorologiques. L’an passé, le MoD avait expliqué que, pour un « tir » coûtant seulement « 10 pences » [environ 12 centimes d’euros], cette RFDEW serait aussi efficace contre les « menaces terrestres, aériennes et navales » évoluant à seulement un kilomètre de distance. Mais « des développements supplémentaires sont en cours pour l’étendre », avait-il assuré. Visiblement, la RF DEW tient ses promesses. Ce 17 avril, le MoD s’est en effet félicité des essais réussis de cette nouvelle arme, à l’occasion du « plus grand exercice de lutte contre les essaims de drones jamais mené par l’armée britannique ». Ce dernier a eu lieu sur « un champ de tir dans l’ouest du Pays de Galles ». « Le démonstrateur de la RF DEW s’est avéré capable de neutraliser plusieurs cibles simultanément, avec un effet quasi instantané », a-t-il avancé. Deux essaims comprenant 100 drones au total ont ainsi été mis hors d’état de nuire par cette nouvelle arme. « Ces essais réussis interviennent alors que les essaims de drones sont de plus en plus utilisés dans les combats de première ligne en Ukraine », a fait valoir le MoD. Cela étant, et contrairement à la promesse qu’il avait faite l’année dernière, la portée de cette RF DEW n’a pas été augmentée étant donné que, dans son communiqué, il laisse entendre que les essaims de drones ont été neutralisé à des « distances allant jusqu’à 1 km ». « La RF DEW est un concept prometteur. Nous avons trouvé le démonstrateur rapide à prendre en main et facile à utiliser. Avec des améliorations en termes de portée et de puissance, qui pourraient être apportées par des développements ultérieurs, ce serait un atout précieux pour la défense aérienne multicouche », a d’ailleurs témoigné un sous-officier du 106e régiment d’artillerie royale, qui a pris part à ces essais.
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Today, 1:42 AM
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Lockheed Martin is offering containerized launchers to Australia as it pushes to acquire sorely needed longer-range air and missile defenses.
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Today, 1:41 AM
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April 16 2025, IWI – Israel Weapon Industries, a member of the SK Group founded by Mr. Samy Katsav, and
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Today, 1:41 AM
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L'italien Fincantieri et l'allemand Thyssenkrupp Marine Systems (TKMS) ont signé un accord de coopération industrielle stratégique pour vendre des sous-marins NFS U212 aux Philippines. Un test grandeur nature avant de se lancer en partenariat sur d'autres projets à l'export.
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Today, 2:02 AM
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The Spanish army has received its last remanufactured Boeing CH-47F Chinook transport helicopter, and enhanced its training capabilities for the tandem-rotor type.
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Today, 2:01 AM
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Nous étions nombreux à penser que l’affrontement allait opposer Français et Sud-Coréens, visiblement les Suédois ont décidé de jouer les trouble-fêtes. Saab a choisi de proposer son JAS 39E/F Gripen dans la compétition visant au remplacement des actuels Dassault Aviation Mirage 2000P. En vue d’une victoire possible l’avionneur et les autorités de Stockholm ont demandé l’aval aux parlementaires suédois, qui seuls peuvent autoriser cette exportation. Le Pérou pourrait-il devenir le troisième pays sud-américain après le Brésil et récemment la Colombie à choisir le chasseur scandinave ? Au moins les Dassault Aviation Rafale F4 et KAI KF-21 Boramae vont se sentir moins seuls dans cette petite compétition péruvienne. Et celle-ci prend d’un seul coup un peu d’ampleur. Car à trois avions on peut vraiment parler d’un concours qui s’étoffe. Dans le même temps on a appris que l’avionneur Lockheed-Martin pourrait lui aussi s’en mêler avec son monoréacteur F-16V Viper. Sauf que les Péruviens ont fort peu goûté les 32% de surtaxations douanières décidées par l’administration Trump. Cela pourrait fermer la porte au constructeur américain. En fait le Lockheed-Martin F-16V Viper entre directement dans la même catégorie que ce Saab JAS 39E/F Gripen, alors que les Dassault Aviation Rafale F4 et KAI KF-21 Boramae sont plutôt des avions un peu plus haut de gamme. L’absence de l’avion américain pourrait donc avoir un effet positif pour son concurrent suédois si le Pérou choisit d’aller vers un chasseur économique. Et très honnêtement celui-ci semble bien plus taillé pour le remplacement des Mirage 2000P dans une aviation militaire qui comme la Fuerza Aérea del Peru n’intervient à l’étranger que pour des exercices continentaux. Bien sûr une victoire du Rafale F4 comme remplaçant du Mirage 2000P serait une belle démonstration… de pure continuité. Cependant il faut reconnaitre que les aspects économiques et compacts du Gripen jouent en sa faveur. Et c’est sans doute cela qui a motivé les Suédois dans leur décision de présenter leur avion. D’autant plus qu’ils peuvent proposer une construction régionale, via l’avionneur brésilien Embraer partenaire industriel du programme F-39. Vous l’aurez compris la compétition péruvienne est plus relancée que jamais. Affaire à suivre.
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Today, 1:57 AM
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Les origines du Service de l’air de la Gendarmerie royale canadienne (GRC) remontent à 1937. Inutile de dire qu’au fil des ans, nombre d’aéronefs s’y sont succédés. Une nouvelle page de cette histoire s’écrit actuellement. La GRC a entrepris la démarche de renouvellement de sa flotte actuelle d’hélicoptères qui ont accumulé, en moyenne, dix-neuf ans de service. Ces hélicoptères vont des Airbus H125 et H145, à l’Eurocopter EC-120. La GRC vise à remplacer la dizaine de vieux mono-turbine par quatorze exemplaires d’un seul modèle d’hélicoptère bi-turbine. GRC / Airbus H125 GRC / Eurocopter EC-120 Face à l’obsession de l’actuel locataire de la Maison Blanche à l’égard de la sécurité des frontières, le Canada accroît ses moyens de surveillance et d’intervention. En fait, c’est davantage le Canada qui est menacé par l’entrée illégale de migrants, d’armes prohibées et de drogues en provenance des États-Unis, que l’inverse. D’où l’intérêt de la GRC de disposer d’hélicoptères modernes. Entre-temps, la GRC a affrété trois hélicoptères Sikorsky UH-60 Black Hawk. En réponse à la guerre tarifaire et aux lubies d’annexion lancées par Trump, il n’est évidemment pas question pour le Canada d’acheter des hélicoptères de facture américaine. GRC / Sikorsku UH-60 Black Hawk Le seul appareil Airbus H145, actuellement en service à la GRC, semble grandement plaire à ses utilisateurs. D’ailleurs, la demande d’information lancée par la GRC auprès des hélicoptéristes vise un appareil similaire au H145. Parmi les autres prétendants, mentionnons le Leonardo AW169, ainsi que le Bell 429. Bien que fabriqué au Québec, le Bell 429 semble exclu dès le départ car la GRC vise un appareil doté de huit sièges passagers, alors que le Bell 429 n’en compte que sept. GRC / Groupe tactique d’intervention (GTI) Ces futurs hélicoptères multi-rôles devront évidemment être dotés des technologies de surveillance les plus récentes. La demande d’information de la GRC vise à obtenir une estimation du coût de l’hélicoptère équipé de ces technologies, ainsi que ceux relatifs à la formation, aux services de maintenance, de réparation et de révision pour le cycle de vie des appareils. Le calendrier provisoire de livraison prévoit que les quatre premiers appareils soient livrés en 2027, quatre autres en 2028 et le reste d’ici 2033. Rappelons qu’en novembre dernier, l’Airbus H-135 fut sélectionné comme futur hélicoptère de formation pour les pilotes de l’Aviation royale canadienne. Le fait qu’Airbus Helicopters soit déjà implanté au Canada a sûrement joué en sa faveur. Il pourrait bien en être de même pour le contrat à venir avec la GRC.
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Today, 1:55 AM
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The joint surveillance operation follows a joint British-French declaration vowing to continue supporting Ukraine and deter Russia. The United Kingdom and
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Today, 1:54 AM
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The Panamanian National Air Force (SENAN) has acquired four E-314 Super Tucano light attack aircraft, which will be the first strike aircraft in its arsenal. Learn more about the deal with Embraer.
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Today, 1:54 AM
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The Danish Armed Forces are planning to send several groups of their military to Ukraine to study combat experience and tactics of using drones. This was announced by the Commander-in-Chief of the Danish Armed Forces, Major General Peter Boysen, in a commentary to TV2.
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Today, 1:49 AM
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Le radar GM200 MM/C continue sur sa lancée avec sa sélection par la Suède. Ce radar est extrêmement mobile, capable de détecter une vaste gamme de menaces aériennes et balistiques mais peut aussi servir de radar de contrebatterie. Nouveaux radars en Suède Ce 4 avril, l'Administration suédoise du matériel de défense (Försvarets materielverk, FMV) a annoncé dans un communiqué de presse la sélection d'un nouveau radar de moyenne portée. Le système sélectionné est le radar GM200 MM/C de Thales. Il doit permettre aux Forces armées suédoises de remplacer ses radars PS-871, proche de la fin de service. Le communiqué précise que le FMV a mis l'accent sur le faible délai de livraison pour ce système. Le 7 avril, Thales précisait dans un communiqué de presse que la FMV avait signé à Paris un accord, confirmant officiellement le choix suédois. Si aucun nombre de radar n'est mentionné, la valeur totale de ce contrat s'élève à environ 1 milliard de couronnes suédoises (soit 91,2 millions d'euros), avec une première livraison attendue pour 2026. Per Schylström, chef du projet pour la FMV, a notamment déclaré : "Les systèmes radars de moyenne portée contribueront à renforcer la connaissance de la situation aérienne et maritime. Ils offrent également une mobilité accrue car ils sont fondamentalement mobiles, ce qui signifie que la couverture radar peut être renforcée plus rapidement dans les zones prioritaires." Håkan Ahlström, directeur de Thales en Suède a également précisé : "Nous sommes très fiers d'avoir été choisis par la FMV pour renforcer les capacités souveraines et de défense suédoises dans un environnement de plus en plus complexe. Le GM200 MM/C de Thales, avec sa technologie de pointe, jouera un rôle crucial en contribuant à la sécurité nationale globale." Signature à Paris de l'accord de livraison de radars GM200 MM/C entre la Suède et Thales aux Pays-Bas (7 avril 2025). Signature à Paris de l'accord de livraison de radars GM200 MM/C entre la Suède et Thales aux Pays-Bas (7 avril 2025). © FMV À noter que ce radar a été co-développé avec les Forces armées royales hollandaises, qui a justement acquis plusieurs de ces systèmes. La Suède n'est pas la seule a avoir choisi ce-dernier : Danemark (en 2023, 5 radars, 3 supplémentaires en 2022), Lituanie (en 2024), Norvège (en 2021, 5 radars),... Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que la Suède se tourne vers Thales pour des radars : le 5 juillet 2023, la FMV signait un accord avec Thales à Paris pour la livraison et l'installation de radars terrestres fixes SMART-L MM/F (version terrestre du SMART-L utilisé sur de nombreux navires européens et sud-coréens). Pour rappel, ce radar (3D, 360°, AESA, bande D, IFF) dispose d'une portée supérieure à 480 kilomètres pour les cibles aériennes ou une portée supérieure à 2000 kilomètres en ce qui concerne des missiles balistiques. Représentation d'un radar SMART-L MM/F. Représentation d'un radar SMART-L MM/F. © Thales GM200 MM/C Le radar Ground Master 200 Multi Mission/Compact (GM 200 MM/C) se présente sous la forme d'un radar mobile, avec une antenne (4D, 360°, AESA, bande S) pouvant détecter les menaces aériennes classiques (avions, hélicoptères), des missiles de croisière rapides, des missiles balistiques ou encore des drones. En plus d'une capacité de détection aérienne, ce radar peut aussi être utilisé en tant que radar de contrebatterie en détectant et suivant les roquettes, obus d'artillerie et de mortiers ennemis afin de connaitre rapidement leur point d'impact mais aussi leur point d'origine. Ainsi, cela permet à la fois d'avertir les troupes ciblées quelques instants avant la frappe tout en donnant les coordonnées de départ à une batterie d'artillerie amie pour neutraliser les pièces ennemies (tir de contrebatterie). La portée de ce radar tourne autour des 400 kilomètres (dépend de la cible à détecter, de la météo,...), avec une portée minimale de 500 mètres. À noter qu'il dispose aussi d'une antenne IFF (mode 5), qu'il est développé pour fonctionner dans des environnement de guerre électronique ou de brouillage GPS,
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Today, 1:48 AM
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Romanian defence company Carfil, in collaboration with U.S.-based Periscope Aviation, will begin manufacturing military drones in Brașov by the end of 2025.
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Today, 1:46 AM
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Cela fait une trentaine d’années que les Philippines tentent de se doter d’une flotte de sous-marins, une telle capacité étant jugée cruciale pour lui permettre d’assurer la défense de ses possessions, dont certaines sont convoitées par Pékin, en particulier en mer de Chine méridionale. Mais, pour des raisons tant politiques que financières, sa marine est la seule de la région à en être dépourvue. « Posséder au moins deux sous-marins est un rêve pour nous. Nous sommes un archipel. Nous devons donc disposer de ce type de capacité, car il est très difficile de défendre l’archipel tout entier sans sous-marins », a encore affirmé le général Romeo Saturnino Brawner Jr, le chef d’état-major des forces armées philippines, en février dernier. Pourtant, l’achat de deux sous-marins à propulsion diesel-électrique fut mis en haut de la pile des dossiers prioritaires au cours de la dernière décennie. En 2018, Delfin Lorenzana, alors ministre de la Défense, avait dit « examiner la possibilité de s’en procurer auprès de la Corée du Sud, de la Russie et d’autres pays ». À l’époque, Moscou avait proposé à Manille deux sous-marins appartenant à la classe Kilo, avec des facilités de paiement et un prêt à taux réduit. Il était même question de livrer le premier exemplaire à la marine philippine avant 2023. L’offre avait séduit le président Rodrigo Duterte d’autant plus que ce dernier voulait prendre ses distances avec les États-Unis. Mais aucun accord ne fut signé, probablement en raison des pressions américaines. Par la suite, la piste d’un achat de sous-marins Scorpène auprès de Naval Group prit de la consistance. « La marine [des Philippines] considère que la France doit être le fournisseur de nos sous-marins. Et les Français sont aussi bons pour fabriquer aussi des avions », avait lâché M. Lorenzana, en janvier 2020. Puis, en octobre de la même année, la Philippines News Agency [PNA] révéla que le Scorpène « figurait en tête de liste des plateformes sous-marines envisagées par les responsables de la marine » des Philippines. Le mois suivant, Naval Group inaugura un bureau à Manille. Seulement, hormis la commande d’un système de défense anti-torpilles basé sur la solution de contre-mesures CANTO/CONTRALTO pour les deux frégates de la classe Jose Rizal de la marine philippine et malgré la volonté de Paris de nouer une « intimité stratégique » avec Manille ainsi que la formation de sous-mariniers philippins à Brest, Naval Group n’a toujours pas conclu d’accord concernant les sous-marins Scorpène… Et pour cause. D’autres industriels se sont mis sur les rangs, dont le sud-coréen Hanwha Ocean et l’espagnol Navantia. Le premier a soumis la candidature Dosan An Chang-ho [ou KSS-III] tandis que le second a proposé à Manille deux S-80 [classe « Isaac Peral »] pour environ 1,5 millard d’euros avec, en prime, la formation de leurs équipages et de leur personnel de maintenance ainsi qu’un transfert de technologies pour assurer leur maintien en condition opérationnel [MCO] sur place. Cela étant, d’autres prétendants viennent de se déclarer. En effet, le 16 avril, l’italien Fincantieri et l’allemand ThyssenKrupp Marine Systems, par ailleurs concurrents pour l’appel d’offres polonais « Orka », ont signé un accord de coopération industrielle « dans le cadre d’un partenariat stratégique plus large visant à fournir à la marine philippine des solutions avancées de capacités sous-marines ». En l’occurrence, l’objectif est de proposer à Manille deux sous-marins U212 NFS. Soit le même modèle que celui destiné à la Marina Militare. D’ailleurs, les deux industriels en font un argument commercial. « L’un des atouts de l’offre ‘U212 NFS’ réside dans le soutien opérationnel apporté par la marine italienne, garantissant ainsi à la marine philippine un niveau inégalé de formation, de doctrine et de logistique », avancent-ils. Et d’ajouter : « L’offre comprend également une formation industrielle et opérationnelle spécialisée, permettant à la marine philippine de constituer rapidement un équipage de sous-mariniers structuré et hautement qualifié ». Selon le PDG de TKMS, Oliver Burkhard, cet accord de coopération industrielle « constitue une excellente base pour d’autres projets conjoints dans le domaine des sous-marins ». En clair, il n’est pas question de s’arrêter à l’offre faite aux Philippines. Pour rappel, Fincantieri est aussi lié à Naval Group, après avoir signé un accord de coopération industriel dans le cadre du projet Poseidon, qui ne concerne que les navires de surface. Les deux industriels possèdent, à parts égales, une coentreprise. Appelée Naviris, celle-ci a son siège social à Gènes tandis que son bureau d’études est implanté à Ollioules [Var].
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Today, 1:44 AM
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Pendant que la France et le Royaume-Uni s’activent pour former une coalition de pays volontaires afin de fournir des garanties de sécurité à Kiev, les négociations en vue d’obtenir un cessez-le-feu [à défaut d’un accord de paix] entre l’Ukraine et la Russie patinent. Et le fragile moratoire sur les attaques contre les infrastructures critiques pourrait bien prendre fin prochainement. En attendant, les attaques – réciproques – de drones se poursuivent… Et ce sont les civils qui en paient le prix, comme à Soumy [au moins 34 tués] ou comme encore aujoud’hui à Dnipro [3 morts et 30 blessés]. Par ailleurs, sur la ligne de front, l’armée ukrainienne a revendiqué une contre-attaque réussie dans le secteur stratégique de Prokrovk, dans le Donbass. Quoi qu’il en soit, la Russie est acccusée de ne pas vouloir la paix. En tout cas, c’est ce qu’a afffirmé le futur chancelier allemand, Friedrich Merz, pour justifier la cession éventuelle de missiles de croisière KEPD-350 Taurus à l’Ukraine, le 14 avril. « J’ai toujours dit que je ne le ferais qu’en accord avec les partenaires européens. […] Cela doit être coordonné et si c’est coordonné, alors l’Allemagne devrait y participer » car « l’armée ukrainienne doit sortir de sa position défensive. Elle ne fait que réagir », a ainsi affirmé M. Merz. « Notre volonté de discuter avec [Vladimir Poutine] est interprétée non pas comme une offre sérieuse de faire la paix, mais comme une faiblesse », a-t-il conclu. Doté d’une charge Mephisto [Multi-Effect Penetrator, HIgh Sophisticated and Target Optimised] de 495 kg, le KEPD-350 Taurus a une portée de 500 km et peut voler à Mach 0,95. Alors que la France et le Royaume-Uni ont livré à Kiev des missiles de croisière SCALP / Storm Shadow et que les États-Unis passèrent outre leurs réticences en en faisant autant avec des ATACMS, Olaf Scholz, le chancelier allemand sortant, a constamment refusé d’en faire autant avec les KEPD-350 de la Bundeswehr, en évoquant le risque d’une « escalade » avec la Russie. Et cela, malgré la pression mise par ses alliés politiques [écologistes et libéraux] ainsi que par les chrétiens-démocrates, alors dans l’opposition. La Russie aura mis quelques jours avant de réagir aux propos de M. Merz. Ce 17 avril, elle fait savoir qu’elle considérerait toute frappe sur des objectifs russes avec des Taurus comme une « participation directe » de l’Allemagne au conflit. « Une frappe avec ces missiles contre des installations russes […] sera considéré comme une participation directe de l’Allemagne aux hostilités au côté du régime de Kiev, avec toutes les conséquences que cela implique », a prévenu Maria Zakharova, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères. Pourtant, la Russie a reçu un soutien militaire substantiel de la part de la Corée du Nord. Soutien qui est allé bien au-delà de l’envoi de 11 000 à 14 000 soldats à Koursk puisque, selon une enquête menée par l’agence Reuters, en collaboration avec l’observatoire Open Source Center [OSC], Pyongyang aurait livré à Moscou près de 16 000 conteneurs de munitions [notamment des obus d’artillerie] entre septembre 2023 et mars 2025. À cela, il faut aussi ajouter la fourniture de « plusieurs centaines » de missiles balistiques à courte portée, d’après l’amiral Samuel Paparo, le commandat des forces américaines dans l’Indopacifique. Cela étant, l’envoi potentiel de missiles Taurus en Ukraine a été critiqué par Armin Papperger, le PDG de Rheinmetall, le géant allemand de l’armement. Dans un entretien publié ce 17 avril par le quotidien Handelsblatt, M. Papperger a fait valoir que le Taurus « ne changerait pas la donne » en Ukraine. Et d’ajouter : « Ce qui change la donne, ce sont les munitions d’artillerie classiques. Ce n’est qu’avec elles que l’Ukraine pourra tenir les Russes à distance ». Et pour cause : son groupe est l’un des principaux producteurs européens d’obus de 155 mm. Reste que le PDG de Rheinmetall n’a pas totalement tort. Lors d’une audition parlementaire, en juillet 2023, le Directeur du renseignement militaire français [DRM], le général Jacques Langlade de Montgros, avait souligné l’absence de « game changer ». En clair, aucune arme conventionnelle n’était susceptible « d’inverser le cours de la guerre du jour au lendemain ». Et cela alors que l’Ukraine allait recevoir des missiles SCALP / Storm Shadow. La suite des événements lui a donné raison
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Today, 1:42 AM
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The Radiofrequency Directed Energy Weapon demonstrator, or RF DEW, uses an intense beam of RF energy to rapidly neutralize close-in drone threats. The Radiofrequency Directed Energy Weapon demonstrator, or RF DEW, uses an intense beam of RF energy to neutralize drone threats.
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Today, 1:41 AM
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Genoa, April 16, 2025 – Fincantieri and thyssenkrupp Marine Systems have signed an Industrial Cooperation Agreement as part of a
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