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Romain
October 28, 2014 5:43 AM
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Senegal Airlines a inauguré un service incluant location avec équipage d’un biturbopropulseur de ligne Q400 NextGen auprès de Falcon Aviation Services LLC d’Abu Dhabi. L’avion est le premier de deux avions faisant partie de la commande ferme signée, entre Bombardier et Falcon, au mois de février 2014.
Falcon et Bombardier ont signé un protocole d’entente où elles s’engagent conjointement à répondre aux besoins, en Afrique, de plusieurs solutions d’avions modernes de haute qualité satisfaisant aux normes internationales. L’entrée en service de l’avion Q400 NextGen pour Senegal Airlines est le premier exemple de la collaboration prévue en vertu de ce protocole d’entente.
Senegal Airlines est une société en partenariat avec le gouvernement sénégalais et le secteur privé national. La société a débuté ses activités le 25 janvier 2011 et dessert présentement treize pays en Afrique. Un plan de réseau aérien stratégique ainsi qu’une révision complète de la flotte est en développement afin de servir intelligemment les routes régionales et intercontinentales. La vision de Senegal Airlines est de devenir « La Société de Transport Aérien de l’Ouest Africain » à partir de 2015.
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Romain
October 28, 2014 5:35 AM
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La livraison du premier bimoteur P2006T par Tecnam à l’Université d’Alaska s’est faite par la voie des airs. L’avion a été réceptionné à Sebring où le constructeur italien a récemment ouvert une unité d’assemblage final. Il a ensuite rejoint Anchorage, en vol, soit une navigation de 4.000 miles (6.400 km). L’appareil a été convoyé par Ashley Burrill, le directeur des opérations aériennes de l’Université d’Alaska, et par Graham Frye, le directeur de l’école de pilotage de la société Heart of Virginia Aviation, l’un des revendeurs américains de Tecnam.
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Romain
October 24, 2014 11:31 AM
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Transformer un moyen-courrier en long-courrier : c’est l’astuce industrielle d’Airbus avec l’A321neo LR. Une idée "simple" qui pourrait rapporter gros. Et bousculer Boeing et son 757…
Qui a dit qu’Airbus ne lançait plus de nouveaux programmes ? Si l’avionneur européen maintien sa stratégie de ne pas mettre en œuvre un programme neuf de A à Z pour plusieurs années encore, il opère dans le même temps un renouvellement de son offre commerciale à un rythme soutenu.
Après l’A330neo, Airbus, par la voix de Kiran Rao, son directeur des ventes et du marketing, propose ni plus ni moins qu’une petite révolution dans le segment des moyen-courriers : un monocouloir A321neo qui sera capable d’assurer les vols entre l’Europe et les Etats-Unis. Une première. Ce nouveau modèle est dénommé A321neo "LR", pour Long Range (longue portée) : l’avion pourra en effet parcourir près de 7600 km, contre 6850 km pour l’A321neo classique. Le Paris-Chicago en monocouloir moyen-courrier devient réalité. L’offensive d’Airbus vise d’ailleurs clairement le marché nord-américain.
"Airbus détient aujourd’hui 20% de ce marché, détaille un porte-parole du groupe. L’objectif est d’atteindre 50% dans les dix prochaines années". Dans la ligne de mire de l’avionneur : le Boeing 757, dont les besoins de renouvellement en raison de l’âge de certains appareils vont forcer les compagnies aériennes à lui trouver un successeur.
Une innovation… toute simple
Comment Airbus s’y prend pour proposer une telle offre ? En ne faisant rien... ou presque : c’est l’introduction d’un nouveau réservoir dans les soutes de l’appareil, à la place d’une partie de la zone réservée au fret, qui permet d’augmenter le rayon d’action de manière aussi conséquente. Or, le groupe propose déjà des A320 et A319 dits "corporate jets", autrement dit des jets d’affaires réservés aux VIP, avec un grand rayon d’action. "Ce que nous proposons, nous savons déjà le faire", résume le porte-parole du groupe. Une nouvelle option qui fait passer le poids au décollage de l’avion de 93,5 à 97 tonnes.
Ce changement, que l’on peut qualifier de "simple", ouvre tout un nouveau marché à Airbus grâce aux performances de l’appareil. "L’A321neo LR permettra de réduire de 25% les coûts d’exploitation par passager", avance-t-on chez Airbus. Des arguements qui pourraient faire mouche au niveau des compagnies aériennes. L’appareil pourra transporter 185 ou 240 passagers suivant le nombre de classes envisagées. Les premiers modèles d’A321neo LR devraient être disponibles dès 2019. Et il y a fort à parier qu’ils sortiront de la ligne d’assemblage de l’usine de Mobile (Alabama) d’Airbus.
Avec le lancement inattendu de cet appareil, Airbus fait encore une fois la preuve du pragmatisme qui caractérise ses dernières annonces (A320neo, A330neo...) : les nouveaux modèles ou nouvelles options sur les modèles existants sont issus d’un travail mené de concert entre les équipes d’ingénieurs et de commerciaux, ces derniers opérant les remontées de terrain. L’A320 est déjà le programme le plus rentable d’Airbus : le coût de développement de l’A320neo (près de 3300 commandes à ce jour, un record), s’élève à 1 milliard d’euros contre 12 milliards d’euros pour l’A380. Cette nouvelle astuce industrielle d’Airbus devrait encore augmenter la profitabilité de ce programme. Et peut-être pousser Boeing, qui avait déjà été pris de cours avec l’A320neo, à sortir une version "long range" de son moyen-courrier, le 737MAX…
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Romain
October 23, 2014 6:54 AM
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La compagnie aérienne inaugure un vol hebdomadaire Paris-Toulouse alimenté en biocarburant. Avec ses partenaires industriels, Air France cherche avant tout à créer une filière qui saura rentabiliser cette solution.
Les passagers du vol AF6129 qui partait, mardi 21 octobre, de Toulouse à 15h10 n'auront noté aucune différence durant leur trajet par rapport à un vol traditionnel. Pas même la légère odeur de rhum ou de pomme censée émaner du biocarburant qui emplit le réservoir de l'A321. Car ce vol est une première : il marque le lancement par Air France d'une liaison hebdomadaire Paris-Toulouse alimentée en biocarburant et ce jusqu’en septembre 2015. Des voitures qui roulent au colza on connaissait. Des avions qui volent à la canne à sucre, voilà qui est plus original…
Comme toujours dans ce type d’annonce, l’ombre du greenwashing plane. "Le secteur aérien est très critiqué mais il ne représente que 2% des émissions de CO2, affirme d'entrée de jeu Frédéric Gagey, le patron d’Air France. C’est moins que l'industrie de l'informatique et des télécommunications". La présentation de ce vol, très médiatisée, était donc l’occasion pour la compagnie de donner une image positive du secteur, soucieux de son impact sur l’environnement. Il s'inscrit dans l'opération "Lab'line for the future" qu'Air France imagine comme une vitrine des innovations liées au développement durable dans l'aérien: tous les deux mois, de nouveaux projets seront présentés.
Un test grandeur nature
Mais ce vol hebdomadaire ne se résume pas à un simple coup marketing. Preuve en est, la compagnie aérienne n’est pas seule dans cette affaire : 14 partenaires sont associés au projet, dont pour le secteur aéronautique Snecma (groupe Safran), Airbus, Thales, Zodiac Aerospace. Des industriels de l’aéronautique qui se sont, pour certains d’entre eux, penchés sur les biocarburants depuis plusieurs années. C’est le cas d’Airbus depuis 2008, de Snecma depuis 2007. Tous deux ont menés des essais.
"C’est la première fois que le biocarburant passe à cette échelle, assure Cédric Goubet, directeur des programmes CFM chez Snecma. On sort enfin de la démonstration, comme celle réalisée au Bourget en 2013, pour passer à une ligne régulière". Pour le motoriste, l’utilisation d’un même avion, et donc d’un même moteur (le CFM 56), pour ce test grandeur nature sera l’occasion de vérifier le comportement et l’usure des pièces avec un biocarburant. Ce vol marque bien une nouvelle étape dans l’utilisation des biocarburants dans le secteur aérien, dont les émissions de CO2 sont appelés à être de plus en plus encadrées. Air France paie d’ailleurs près de 10 millions d’euros par an dans le cadre du système européen d’échanges de quotas de CO2.
Seulement 6% d’émissions en moins
Mais beaucoup de chemin reste à parcourir. Ce biocarburant engendre-t-il vraiment moins d'impact sur l'environnement ? L'additif, issu de la fermentation de la canne a sucre, est appelé Farnesane. Il est produit par Amyris, une entreprise associée à Total qui se trouve au Brésil. Problème : ce composé est pour l’instant produit à partir de la pulpe de la canne à sucre, comme le reconnaît Frédéric Gagey. De quoi fournir des arguments aux contradicteurs des agrocarburants, qui y voient une concurrence avec l’alimentation.
Certifié par l'instance internationale ASTM, ce biocarburant rejette officiellement 80% de CO2 en moins par rapport au carburant classique, l'additif rejetant le carbone utilisé durant la croissance de la plante. 80% ? Pas tout à fait : en comptant le transport du Brésil jusqu'en France, ce taux tombe a 60%. Étant donné qu'il est incorporé a hauteur de 10% dans le kérosène, le vol Paris-Toulouse en biocarburant n'émet en réalité que 6% d'émissions en moins qu’un vol classique.
Vers une filière françaises des biocarburants ?
Ce vol est il seulement rentable? Encore moins... "Le prix de ce biocarburant est quatre a huit plus cher que le carburant conventionnel", admet Sophie Virapin, à la direction Environnement et développement durable d’Air France. Pour des compagnies aériennes aux prises avec une concurrence acharnée et qui cherchent à faire des économies par tous les moyens, on imagine mal que ce biocarburant soit généralisé du jour au lendemain.
Comme on le reconnaît chez Air France, ce vol n’est en quelque sorte qu’un prétexte : il vise à prouver la viabilité technique des biocarburants dans l’aérien et surtout à faire émerger une filière française qui sera en mesure, grâce à des volumes de production importants, de trouver l'équation économique de la rentabilité. La réduction des émissions de CO2 (avant tout pour des raisons économiques) et l’anticipation de l’après-pétrole incitent une compagnie comme Air France à trouver de nouvelles solutions. Et également à faire appel aux pouvoirs publics pour constituer une filière française qui manque cruellement dans l’industrie.
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October 22, 2014 11:07 AM
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Le président du groupe pétrolier Total, Christophe de Margerie, accompagné de trois membres d’équipage, est décédé lundi 20 octobre dans le crash de son avion privé à l’aéroport de Vnoukovo, à Moscou. Selon les données de l’enquête préliminaire, l’appareil aurait pris feu après être entré en collision avec une déneigeuse, au moment du décollage. Mais que faisait cet engin en plein milieu de la piste ? Le Courrier de Russie dresse une liste des responsables possibles. brouillard Vnukovo margerie
Le brouillard était si épais dans la soirée du 20 au 21 que l’on ne voyait pas à plus de 350 mètres. Crédits : DR Le conducteur
C’est le coupable tout désigné. Vladimir Martinenko, la soixantaine, était là où il ne fallait pas et, qui plus est, « en état d’ivresse », affirmait le premier communiqué du Comité d’enquête (SK) de la Fédération de Russie. Pourtant, le ton a changé au fil de la journée : l’avocat de l’intéressé, Alexandre Karabanov, a notamment semé le doute en assurant que son client était sobre au moment de l’accident.
« Il souffre de problèmes cardiaques et ne boit donc jamais. Ses parents, ses médecins et ses proches peuvent en témoigner », a déclaré Karabanov à Interfax. Ajoutant qu’un important groupe de soutien serait lancé prochainement afin que la toute responsabilité de l’accident ne retombe pas « sur un seul homme ».
Car, comme l’a expliqué au Courrier de Russie Alexandre Krivolapov, ancien technicien de contrôle des appareils avant décollage à Tioumen, l’aéroport a également une grosse part de responsabilité à prendre dans cette catastrophe. « Selon les consignes de sécurité de l’aéroport, un véhicule de service aurait dû être envoyé pour contrôler la piste après le passage de la déneigeuse, afin de s’assurer que rien ni personne ne s’y trouve – et le feu vert pour le décollage n’aurait dû être donné qu’après. » Le contrôleur
C’est le responsable idéal, puisque c’est lui qui donne l’ordre de décoller. L’attention des médias s’est par conséquent très rapidement tournée vers la tour de contrôle, et on a assisté à une déferlante de rumeurs. Certains ont affirmé que le contrôleur en poste était un « stagiaire », d’autres soutenant l’hypothèse qu’il était ivre, lui aussi, le 20 octobre étant la journée de la fête internationale des contrôleurs aériens. Les plus courageux ont ainsi affirmé que l’ordre de décoller avait été donné par « un stagiaire en état d’ivresse »…
Toutefois, une source proche du personnel de Vnoukovo, citée par Lenta.ru, est venue contredire ces affirmations. À en croire cette personne, un stagiaire n’aurait pas pu avoir accès à la tour de contrôle : « Ils ne sont tout simplement pas autorisés à y pénétrer ».
L’interlocuteur du portail d’information insiste en revanche sur les mauvaises conditions météorologiques du moment, qui ne permettaient par de voir à plus de 350 mètres. « Il y avait du brouillard. On distinguait très mal les pistes. Les déplacements sur la piste de décollage s’effectuent à l’aide d’un localisateur », explique ainsi la source de Lenta, soulignant en outre que les appareils de contrôle ont enregistré d’« étranges » déplacements de l’engin de nettoyage. L’aéroport dans son ensemble
L’aéroport de Vnoukovo est à la fois coupable, juridiquement responsable et pointé du doigt dans le dernier rapport du Comité d’enquête, publié mardi 21 octobre à la mi-journée : « Il ne s’agit pas d’un tragique concours de circonstances, comme essaient de le faire croire les représentants de l’aéroport, mais d’une négligence criminelle des fonctionnaires [de Vnoukovo], qui n’ont pas réussi à assurer la coordination entre tous les services aéroportuaires. »
Toujours selon la source de Lenta.ru, Vnoukovo, le plus petit des trois aéroports moscovites, serait d’ailleurs un « vrai bazar ». « Des incidents arrivent en permanence. Son organisation est largement critiquée dans le milieu de l’aviation et il est considéré comme le pire aéroport de Moscou », insiste l’interlocuteur.
Pour Valeri Chelkovnikov, président de l’agence d’analyse Aviation Safety, le supposé état d’ivresse du conducteur de la déneigeuse illustrerait d’ailleurs cette désorganisation généralisée, car « il y aurait, dans ce cas, violation de toutes les procédures de contrôle ». Ce à quoi l’expert Alexandre Krivolapov ajoute l’absence de phares antibrouillard sur les déneigeuses : « De fait, ni les contrôleurs, ni l’équipage de l’appareil ne pouvaient voir qu’un engin de nettoyage se déplaçait sur la piste », assure l’ingénieur.
Un constat pour le moins étonnant quand on sait que 90 % des vols VIP décollent du terminal 3 de Vnoukovo, dont ceux des dirigeants russes.
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October 22, 2014 4:50 AM
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Depuis quelques années, Airbus Corporate Jets (ACJ) a pris l'habitude de faire évoluer son offre avec de nouvelles configurations de cabine. C'était notamment le cas avec l'ACJ319 Elegance, dévoilé en avril dernier. Le 20 octobre, lors de la convention américaine de la NBAA, la filiale dédiée à l'aviation d'affaires d'Airbus à cette fois ci présenté un nouveau concept pour son ACJA330. Baptisé Summit, il s'articule autour d'un aménagement dual avec une section VIP à l'avant de l'appareil et une configuration beaucoup plus proche de celle d'une compagnie aérienne à l'arrière. ACJ vise ainsi les clients privés et le transport gouvernemental.
La partie avant offre les mêmes capacités que les ACJ « classiques » avec une chambre, une salle d'eau, un petit salon privé et une salle de réunion par exemple. Le reste de la cabine se décompose en trois classes distinctes comme un avion commercial. Dans la configuration exposée par ACJ, on retrouve une première classe de 12 fauteuils, suivi d'une classe affaires avec 36 sièges supplémentaires. Enfin l'économie – placée à la queue de l'avion – peut accueillir 28 personnes. Ce qui fait environ 80 places pour l'ensemble de la cabine.
L'avantage de cette configuration est de pouvoir installer la partie arrière de la cabine directement sur la ligne d'assemblage final. ACJ entend ainsi réduire les coûts mais aussi les délais de production. Si un client se prononçait aujourd'hui, Airbus pourrait sortir l'avion de ses chaînes avant fin 2015. Il resterait alors la partie avant à aménager. L'avion serait donc livré dans les deux ans. L'ACJ330 Summit ne possède pas encore de commandes pour l'instant.
En lançant ce concept, Airbus Corporate Jets veut concurrencer le 787 VIP de Boeing Business Jets (BBJ). Avec un prix plus abordable et un avion qui a fait ses preuves, précise-t-on chez l'avionneur européen.
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October 21, 2014 5:24 AM
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Le patron du groupe pétrolier français Total, Christophe de Margerie, 63 ans, est décédé tragiquement dans la nuit de lundi à mardi dans le crash d'un avion privé à l'aéroport de Vnoukovo, près de Moscou. Il se trouvait dans la capitale russe pour une réunion consacrée à l'investissement. L'avion du PDG, entré en collision au moment du décollage avec une déneigeuse, s'est écrasé peu avant minuit, provoquant la mort du chef d'entreprise et des trois membres d'équipage du jet Falcon-50. Le conducteur était ivre selon l'enquête. Il n'a pas été blessé.
«Le groupe Total confirme avec une grande émotion et une profonde tristesse que son président-directeur général Christophe de Margerie est décédé cette nuit peu après 22 heures (heure de Paris) dans un accident d'avion, à l'aéroport de Vnoukovo de Moscou, à la suite d'une collision avec un engin de déneigement», a indiqué le pétrolier français.
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October 21, 2014 4:43 AM
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Si Beechcraft est désormais une entité de Textron Aviation, le constructeur américain continue de développer ses avions. Scott Ernest, président et directeur général du groupe Textron, a annoncé l'arrivée d'une nouvelle version pour deux biturbopropulseurs King Air le 20 octobre, à la veille de l'ouverture de la convention de la NBAA, le salon américain de l'aviation d'affaires.
Le premier est le King Air C90GTx, dont les performances au décollage et à l'atterrissage ont été améliorées grâce à une nouvelle hélice Hartzell. Son diamètre a été agrandi de 15 cm, à 2,44 m et ses pales ont été redessinées pour afficher une torsion de 30 degrés. L'avion intègre aussi deux nouveaux apex en arrière du fuselage, développés par Raisbeck Engineering. Cette nouvelle configuration offre un gain de puissance à l'appareil, qui est désormais capable de décoller en 605 m contre 785 m auparavant. La vitesse d'approche a aussi été réduite, ce qui permet de réduire la distance d'atterrissage de 73 m, à 658 m.
L'avionique du C90GTx a également été retravaillée avec une suite Pro Line 21 de Rockwell Collins. L'avion est actuellement en phase d'essais en vol, menée conjointement par Beechcraft et Raisbeck Engineering. Il sera certifié prochainement, en vue d'une entrée en service au quatrième trimestre de cette année.
Beechcraft a aussi annoncé le lancement d'une version du King Air 250 dotée d'une masse maximale au décollage accrue. Celle-ci est de 6 100 kg contre 5 682 sur les modèles classiques. Elle permet à l'avion d'emporter une charge utile de 466 kg avec le plein de carburant, soit 70,5 kg de plus qu'auparavant. Avec six passagers à bord, cette masse accrue autorise un emport de carburant supplémentaire, et permet d'augmenter l'autonomie du King Air 250 de 850 km.
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October 20, 2014 5:07 AM
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Yannick Barthe, réalisateur spécialisé dans l'aviation, livre une fois de plus un très beau clip en slow-motion à l'occasion du meetin aérien AIR14 à Payerne (Suisse). Ce clip rassemble plusieurs s...
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October 20, 2014 4:53 AM
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Le chiffre d'affaires de Dassault Aviation a baissé de 14 % sur les neuf premiers mois de 2014 par rapport à la même période de 2013. Il s'est en effet établi à 2,2 Md€ contre 2,6 Md€, un an plus tôt. La raison est un nombre de livraisons d'avions d'affaires inférieur à celui des neuf premiers mois de 2013 : 38 Falcon contre 41. Le nombre de Rafale livrés est équivalent, d'une année sur l'autre : 11.
Du coup, Dassault Aviation prévoit pour l'ensemble de 2014 un chiffre d'affaires inférieur à celui de 2013 (4,6 Md€), année durant laquelle le constructeur avait livré 11 Rafale et 77 Falcon, générant un bond de 17 % des recettes par rapport à 2012.
La bonne nouvelle est que cette baisse de régime s'annonce temporaire au regard des prises de commandes : elles font un bond de 49 % à 3,3 Md€ sur les neuf premiers mois de 2014 par rapport à la même période de 2013. Du coup, le carnet de commandes progresse de 13 % à 8,3 Md€ contre 7,4 Md€ au 31 décembre 2013.
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October 15, 2014 9:09 AM
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Dans ce scénario, les pilotes n'auraient pas eu conscience d'une perte de vitesse de l'appareil, avant son décrochage.
Le crash du vol d'Air Algérie le 24 juillet dernier va-t-il livrer ses secrets? L'enquête judiciaire, ouverte cinq jours après le drame, avance avec la nomination, le 19 septembre, d'un expert scientifique spécialisé dans la lecture des boîtes noires.
Le 24 juillet, à 1 h 47, le vol AH 5017 d'Air Algérie s'écrasait dans le nord du Mali, à 80 kilomètres au sud-est de Gossi. L'appareil, un MD 83 de la société McDonnell Douglas (rachetée en 1996 par Boeing), était exploité par la compagnie espagnole Swiftair. L'avion s'était littéralement désintégré en touchant le sol, causant la mort de 116 personnes dont 54 ressortissants français. Il avait décollé de Ouagadougou (Burkina Faso) pour Alger.
Les deux juges d'instruction, Raphaëlle Agenie-Fecamp, en charge notamment des investigations sur l'assassinat de la journaliste Camille Lepage en Centrafrique en mai dernier, et Sabine Kheris, qui instruit le dossier du crash du vol Rio-Paris, enquêtent pour «homicides involontaires par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement».
L'expert de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN), nommé le 19 septembre, doit faire parler les deux boîtes noires de l'appareil. Une mission essentielle puisque l'une d'entre elles est jusqu'à présent inutilisable. Il s'agit du cockpit voice recorder (CVR), l'enregistreur des conversations de l'équipage. L'état du CVR pose la question de l'entretien de l'avion, loué par Air Algérie à Swiftair pour une durée de trois mois. Le contrat d'affrètement signé était ce que l'on appelle un «wet lease», ce qui signifie que l'état de l'avion est de la responsabilité de Swiftair. L'expert désigné par les juges d'instruction est un ingénieur diplômé de Télécom Paris, titulaire de trois masters. Âgé d'une quarantaine d'années, il a déjà travaillé sur le crash du Rio-Paris et devra rendre ses conclusions d'ici quelques semaines. Deux procédures françaises
Aujourd'hui deux procédures françaises sont ouvertes: l'enquête judiciaire et le processus des indemnisations. Le 5 août, soit 12 jours après le crash, Air Algérie a écrit à certaines victimes une lettre signée par le PDG de la compagnie, Mohamed Salah Boultif: «Il est peut-être trop tôt pour aborder la question de l'indemnisation. Néanmoins, si vous faites face à des frais de première nécessité, à des difficultés financières ou si vous souhaitez faire une demande d'indemnisation, nos assureurs et nous-mêmes sommes à votre entière disposition.» Un courrier qui fait bondir les avocats des parties civiles. Bertrand Courtois, qui représente avec Sébastien Busy les proches de 51 victimes ainsi que l'Association AH5017 Ensemble, estime «qu'il est hors de question de conditionner l'indemnisation à un renoncement de partie civile dans le cadre d'un procès pénal. C'est souvent une exigence des assureurs. Ça avait été le cas avec le crash du Concorde.» Gilles-Jean Portejoie et Gérard Samet, qui représentent une vingtaine de victimes, s'indignent eux aussi du procédé et redoutent que l'assureur de la compagnie Air Algérie «fasse avec les familles de victimes des accords séparés a minima».
Sur le volet pénal, les familles des passagers décédés ont compris que la vérité viendrait des juges français, estiment les avocats. À condition cependant que l'Espagne et l'Algérie coopèrent pleinement. «Or jusqu'à présent, nous avons très peu entendu les Espagnols alors qu'il va falloir creuser du côté de Swiftair. Et on n'a rien entendu de la part de l'Algérie», déplore un avocat.L'enquête judiciaire devra établir non seulement les causes du crash mais aussi les responsabilités des différents intervenants: constructeur, exploitant, affréteur. Jusqu'à présent, seul le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) français, sous tutelle du ministère des Transports, a livré un rapport d'étape très sommaire le 20 septembre. L'enquête n'a permis d'aboutir à «aucune piste privilégiée», a-t-il conclu. «Tout est lié à la poussée des moteurs»
Interrogés par Le Figaro, plusieurs experts aéronautiques, dont le chevronné Gérard Arnoux, ex-commandant de bord chez Air France, président du comité de veille de la sécurité aérienne et conseiller technique de plusieurs associations de victimes de crashs aériens (dont celui d'Air Algérie), mettent en avant l'hypothèse d'un givrage des sondes moteur. «Toute la profession parle de cette piste», ajoute un expert. Dans son rapport, le BEA explique que l'avion a décroché par suite d'une perte de vitesse non détectée par l'équipage: le MD 83 décroche en virage, sur l'aile basse, occasionnant ainsi un début de départ en vrille. «Or de nuit, dans de mauvaises conditions, c'est foutu», confie un commandant de bord. «Tout est lié à la poussée des moteurs pour expliquer la chute de cet avion», résume un autre expert. Car si un avion ne quitte pas son niveau d'altitude et que la vitesse décroît, il y a nécessairement une réduction de poussée des moteurs jusqu'à un point de décrochage ou un givrage des ailes.
Les sondes moteur fonctionnent un peu comme les fameuses sondes Pitot, notamment mises en cause dans le crash du Rio-Paris (vol AF 447 ayant causé la mort de 228 personnes en 2009). Elles sont conçues pour donner des informations aux calculateurs des moteurs concernant la pression totale, la pression statique et la température. En cas de givrage de ces sondes, les informations communiquées au calculateur sont fausses et la poussée du moteur n'est alors plus adaptée. «Ce n'est pas pour rien que le BEA évoque dans son rapport les systèmes de poussée de l'avion», fait remarquer un expert. Aujourd'hui d'ailleurs, les constructeurs étudient de près les zones de givrage car ils ont observé qu'il y avait plus d'événements de givrage que par le passé.
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October 15, 2014 8:49 AM
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Le constructeur aéronautique américain Gulfstream (groupe General Dynamics) a dévoilé mardi 14 octobre deux nouveaux jets d'affaires, qui vont venir rivaliser avec les derniers modèles du français Dassault et du canadien Bombardier.
Les nouveaux jets d'affaires de Gulfstream - baptisés G500 et G600 - sont de conception entièrement nouvelle et sont censés proposer des cabines plus spacieuses avec une capacité de transport plus importante et peuvent effectuer de plus longs trajets que leurs prédécesseurs, a indiqué le groupe dans un communiqué.
Des concurrents directs du 8X de Dassault Aviation
Le G600, le plus gros des deux modèles, peut notamment parcourir Los Angeles-Londres sans effectuer d'arrêt. Les deux avions pourront transporter jusqu'à 19 passagers chacun. Ils seront en concurrence directe avec le tri-réacteur 8X proposé par le français Dassault Aviation, capable, selon l'avionneur, de parcourir 12 000 kilomètres sans escale et pouvant transporter jusqu'à 19 passagers dans un luxe de service et de confort. Le canadien Bombardier propose,lui, le Global 6000 aux caractéristiques quasi identiques.
Le G600 et le G500 remplacent respectivement dans la gamme de Gulfstream l'actuel G550, qui réalise des ventes importantes, et leplus petit G450. Le premier vol test du G500 est prévu pour 2015 et l'appareil pourrait recevoir le feu vert des autorités européennes, l'Agence européenne de sécurité aérienne (AESA), et américaines (FAA) en 2017 pour de premières livraisons aux clients en 2018. Quant au G600, le calendrier prévoit un début du programme environ 12 à 18 mois après le G500 pour une entrée en service en 2019, selon le communiqué.
Thales fournisseur des nouveaux programmes de calculateurs
Cette nouvelle famille de jets d'affaires sera propulsée par des réacteurs Pratt & Whitney (United Technologies), préférés à ceux de Rolls-Royce Holdings. Le groupe français Thales va lui doter les nouveaux programmes des calculateurs des commandes de vol dans le but de réduire notamment la consommation de carburant.
Gulfstream avait été racheté par General Dynamics en 1999 pour 4,8 milliards de dollars. Avec Dassault Aviation et Bombardier, c'est l'un des trois grands constructeurs spécialisé dans les avions d'affaires haut de gamme à très long rayon d'action.
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October 14, 2014 9:30 AM
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Automobile et aéronautique, même combat ? Les champions français Valeo et Safran en sont persuadés. Quinze mois après avoir annoncé leur partenariat sur quatre thèmes de recherche (suivi de vigilance du conducteur, vision à 360° autour des véhicules, vision dans des conditions météorologiques extrêmes et "dronisation" des véhicules), les deux groupes ont effectué un premier point d’étape le 13 octobre dans le cadre du Mondial de l’automobile. "Nous avons déjà intégré des technologies Safran dans des offres commerciales sur le thème du véhicule autonome, se félicite Guillaume Devauchelle, vice-président de Valeo en charge de l’innovation. Un an seulement après le lancement du projet, c’est une avancée remarquable".
Le principe est simple : les deux groupes peuvent piocher dans les technologies de leur partenaire, ce qui permet de mutualiser l’effort de R&D et d’accélérer la mise sur le marché de nouveaux produits. Valeo développe des systèmes de détection de l’assoupissement du conducteur ? Il peut s’appuyer sur l’expertise de Morpho, la filiale biométrie de Safran, leader mondial du secteur. Safran veut des capteurs infrarouges de courte portée efficaces et bon marché ? Valeo met à disposition les siens, éprouvés dans les systèmes d’aide au parking. "Ils nous permettent de travailler sur des systèmes anticollisions pour les avions en phase de roulage", détaille Eric Bachelet, directeur recherche et technologies de Safran.
Safran a aussi embarqué sur une des innovations présentées par Valeo lors de ce Mondial de l’auto : la clé intelligente InBlue, embarquée sur smartphone. Ce système permet de verrouiller, déverrouiller, démarrer sa voiture, mais aussi de la géolocaliser ou d’en connaître à distance le niveau de carburant et la pression des pneus. L’utilisateur peut même envoyer sa "clé" virtuelle à un tiers, qui la recevra sur son smartphone. Les technologies de Safran permettent de sécuriser l’opération, qui est validée par un serveur informatique à distance. "La sécurité est équivalente à celle d’une transaction bancaire", souligne Olivier Reichert, directeur de programmes études amont à la division optronique-défense de Sagem (groupe Safran).
Ce n’est pas la première fois qu’automobile et aéronautique s’inspirent mutuellement. L'aéronautique intègre depuis plusieurs années de plus en plus de process industriels des constructeurs auto. Boeing s'est ainsi inspiré de la démarche de "lean manufacturing" de BMW pour moderniser sa chaîne d'assemblage de long-courriers 777. Même la politique d’achats de l’auto commence à se diffuser chez les fabricants d’avions : "Les pratiques commerciales agressives de l’automobile se répandent dans l’aéronautique", assurait ainsi fin août Franck Brault, consultant au sein du cabinet de conseil Simon-Kucher & Partners, qui constate un afflux de profils automobiles dans les directions achat ou industrielles des avionneurs. Système d'affichage "tête haute"
A l'inverse, l'automobile a adapté les systèmes d'affichage "tête haute" (sur cockpit ou sur casque) hérités de l'aéronautique militaire, présents sur BMW ou Mercedes, même si leur usage n’est pas encore totalement démocratisé. Et le label aéronautique est régulièrement utilisé comme argument de vente, notamment sur la DS5, qui dispose même d’un « toit cockpit » doté de pluseiurs interrupteurs, à l’image d’un avion.
Ces rapprochements augurent-ils de l’entrée de fournisseurs automobiles dans l’aéronautique, et inversement ? Safran et Valeo n’y croient guère : "L’automobile reste une industrie dont les volumes sont sans commune mesure avec ceux de l’aéronautique", souligne Eric Bachelet. De fait, seuls quelques groupes, comme Michelin ou le spécialiste français des solutions d’assemblages Lisi, sont présents sur les deux marchés.
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October 28, 2014 5:43 AM
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Le Britannique Nigel Lamb a remporté l’édition 2014 du Red Bull Air Race à l’issue de la dernière manche qui s’est jouée ce weekend en Autriche à Spielberg devant 35’000 spectateurs.
Cette dernière manche a vu la victoire du français Nicolas Ivanoff dans les alpes autrichiennes. Avec 62 points obtenus en huit courses, l’anglais remporte donc le championnat 2014 devant l’autrichien Hannes Arch et l’anglais Paul Bonhomme.
Breitling - Nigel Lamb - Red Bull Air Race 2014 (3).jpg
Classement final 2014 :
Nigel Lamb (GBR) 62 points, 2. Hannes Arch (AUT) 53, 3. Paul Bonhomme (GBR) 51, 4. Nicolas Ivanoff (FRA) 42, 5. Pete McLeod (CAN) 38, 6. Matt Hall (AUS) 33, 7. Matthias Dolderer (GER) 21, 8. Martin Sonka (CZE) 18, 9. Yoshihide Muroya (JPN) 10, 10. Kirby Chambliss (USA) 7, 11. Peter Besenyei (HUN) 6, 12. Michael Goulian (USA) 3.
Le Red Bull Race :
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Le Red Bull Air Race World Championship est un championnat international de e course aérienne parrainé par la FAI, mais organisé et géré par Red Bull. La compétition consiste en des slaloms aériens, matérialisés par des plots en tissu gonflés d'air, que les pilotes parcourent à basse altitude en contre-la-montre. Les appareils sont des avions de voltiges monomoteurs, principalement. Les épreuves se déroulent généralement au-dessus de plans d'eau à proximité des grandes villes mais aussi sur des aérodromes ou des sites naturels. Elles attirent de grandes foules et sont accompagnées de spectacles aériens et diffusées dans le monde entier.
A chaque course, les concurrents marquent un nombre de points déterminé par leur position d'arrivée. Le pilote qui totalise le plus de points en fin de saison est sacré champion.
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October 28, 2014 5:35 AM
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Au salon NBAA d’Orlando (21-23 octobre 2014), Elbit Systems et Nicarnica Aviation a présenté un dispositif de détection des cendres volcaniques intégré au système de vision améliorée (EVS). Ce nouveau produit baptisé ClearVision destiné aux jets d’affaires découle directement de la technologie AVOID (Airborne Volcanic Object Imaging Detector) développée par Nicarnica et testée par easyJet et Airbus. Elle permet de détecter les cendres volcaniques dans l’atmosphère 100 km en avant d’un avion. La mise en œuvre de cette technologie à travers le système EVS d’Elbit ne nécessite aucun équipement supplémentaire.
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October 24, 2014 5:55 AM
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Viking Air a annoncé le 22 octobre qu’il avait conclu un accord avec Highlands and Islands Airports (HIAL) portant sur la vente de deux Twin Otter DHC6-400. HIAL deviendra le premier opérateur de ces appareils au Royaume-Uni à partir du milieu de l’année 2015.
Les deux Twin Otter de 19 places seront basés à Glasgow. Ils réaliseront des OSP vers Campbeltown, Barra et Tiree. Leur capacité de décollage court et leurs performances dans des opérations en conditions extrêmes ont été décisives, notamment pour desservir Barra, où les avions doivent atterrir sur la plage.
HIAL est l'opérateur de onze aéroports régionaux et financé par le gouvernement écossais.
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October 23, 2014 6:04 AM
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Cessna vient de livrer au Vietnam, les deux premiers Grand Caravan EX en version amphibie. Un troisième sera livré avant la fin de l’année. Ces trois appareils seront exploités par la société Hai Au Aviation, sixième compagnie aérienne vietnamienne, spécialisée dans les vols touristiques. Le vol inaugural s’est fait au départ de l’aéroport d’Hanoi à destination de la baie d’Ha Long. Les Grand Caravan EX de Hai Au Aviation sont aménagés pour accueillir 12 passagers en plus des deux pilotes.
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October 22, 2014 6:42 AM
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PAPEETE, le 21 octobre 2014. La flotte d’Aircalin a été entièrement repeinte, c'est un évènement assez rare qui se produit tous les 10 ans. Sa flotte est composée de deux A.330 et de deux A.320 pour opérer 22 vols internationaux chaque semaine vers 11 destinations. Elle dessert en propre le Japon, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Vanuatu, Fidji, Wallis-et-Futuna et la Polynésie Française. Elle exploite également deux Twin-Otter DHC6 entre Wallis et Futuna.
Aircalin est fier de vous présenter l’Airbus A330 assurant la liaison Nouméa-Papeete avec une nouvelle « livrée » aux couleurs représentatives des richesses de la Nouvelle-Calédonie. L’appareil arrivera sur Faa'a le mercredi 5 novembre 2014 au soir et s’envolera le lendemain matin pour rejoindre Nouméa.
UNE NOUVELLE LIVRÉE POURQUOI ?
La poursuite d'une stratégie concertée
Extension de son réseau régional avec l’ouverture de Melbourne, nouvel avion moyen-courrier, nouvelle livrée… Aircalin confirme son positionnement aux côtés des acteurs de l’industrie touristique et son rôle d’outil actif de la promotion de la Nouvelle-Calédonie.
Aircalin Ambassadeur de la Nouvelle-Calédonie
Avec 22 vols internationaux chaque semaine sur 10 destinations desservies au Japon et dans le Pacifique, les avions désormais repeints deviennent des vecteurs d’image pour la Nouvelle-Calédonie sur les marchés extérieurs, qui ne les laisseront pas indifférents.
La Compagnie des Calédoniens
Comme dans ses cabines, la nouvelle livrée veut rendre hommage à la richesse et à la diversité de la Nouvelle-Calédonie. Nous sommes fiers de porter ses couleurs !
UNE NOUVELLE LIVRÉE COMMENT ?
Créée par une agence de communication locale, White Rabbit, le cahier des charges posé par Aircalin était précis : « En adéquation avec les nouvelles cabines, il fallait trouver une identité visuelle forte qui porte à l’extérieur l’image de la Nouvelle-Calédonie et dans laquelle les calédoniens puissent se reconnaître ».
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October 21, 2014 6:23 AM
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Un avion de Brussels Airlines avec une centaine de passagers à bord a été intercepté en plein vol par un avion de chasse français, après avoir perdu tout contact avec les contrôleurs aériens, rapporte Het Laatste Nieuws mardi. Il s'est toutefois avéré que le pilote s'était endormi et que son copilote n'avait pas réagi aux appels des contrôleurs. Les faits remontent au 28 juin dernier, mais la Direction générale belge de la navigation aérienne vient juste de clore son enquête.
Selon les forces aériennes françaises, l'avion de Brussels Airlines, un Airbus A319, assurait la liaison entre l'Espagne et Zaventem, avec des dizaines de touristes à bord.
"L'avion a atterri sans encombre à Zaventem. Mais une enquête a été ouverte", explique la porte-parole de Brussels Airlines, Wencke Lemmes. D'après une source proche du dossier, les premières constations mentionnaient que le copilote s'était également endormi. Mais la compagnie aérienne a démenti. "Le copilote n'a pas réagi aux appels des contrôleurs aériens, car il pensait que ces derniers essayaient de joindre un autre avion".
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October 21, 2014 4:46 AM
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Si dans l'aviation commerciale, il est courant de voir plusieurs motorisations pour un seul appareil, dans l'aviation d'affaires il est plus fréquent de voir plusieurs avions pour un moteur. Ce sera bientôt le cas pour le HF120 de GE Honda Aero Engines. Le joint-venture américano-japonais a annoncé que son moteur avait été sélectionné par Sierra Industries (SkyWay Group) pour son projet Sapphire. Il s'agit d'un programme de remotorisation de Citation Jet CJ1 et CJ1+. Il comprend d'autres modernisations, notamment une nouvelle suite avionique Aerovue développée par BendixKing (Honeywell).
Conçu pour équiper le HA-420 de HondaJet, le HF120 agrandit donc son portofolio. Une bonne nouvelle pour GE Honda alors que le programme de jet d'affaires léger japonais traîne toujours en longueur malgré des avancées significatives en 2014. Il doit d'ailleurs être certifié au premier trimestre 2015 par l'Administration fédérale de l'aviation américaine (FAA). C'est déjà le cas depuis décembre 2013 pour son moteur. Le HF120 doit aussi recevoir sa certification européenne en novembre prochain. 90 % des exigences additionnels demandées par l'Agence européenne de la sécurité aérienne ont déjà été remplies.
GE Honda et Sierra Industries n'ont pas dévoilé de calendrier pour l'instant. Qui sait, si le HondaJet connaît de nouveaux retards (déjà plus de trois ans par rapport à son calendrier initial), il ne sera peut-être pas le premier appareil à entrer en service avec le HF-420.
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October 20, 2014 5:49 AM
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Le carnet de commandes fermes du constructeur aéronautique brésilien Embraer a atteint le plus gros montant de son histoire à la fin du troisième trimestre 2014, à 22 milliards de dollars, a indiqué mercredi 15 octobre l'entreprise dans un communiqué. Une performance qui s'explique notamment par la signature du contrat du nouvel avion de transport militaire KC-390 et de nombreuses commandes dans le civil.
Embraer, porté par la croissance du marché aéronautique. Le carnet de commandes fermes de l'avionneur brésilien a atteint le plus gros montant de son histoire à la fin du troisième trimestre de cette année: 22 milliards de dollars, a indiqué mercredi 15 octobre l'entreprise dans un communiqué.
Afflux de commandes dans le civil et le militaire
Le constructeur Embraer, troisième fabricant mondial d'avions commerciaux derrière Boeing et Airbus, explique que les commandes ont été tirées à la hausse par la signature du contrat du nouvel avion de transport militaire KC-390 et une commande ferme de 50 avions par Republic Airways, qui seront utilisés par United Airlines. Au troisième trimestre, Embraer a également enregistré une commande ferme de 15 E-jets des modèles E170 et E190 par Japan Airlines.
En juin, le montant du carnet de commandes d'Embraer s'élevait à 18,1 milliards de dollars. En 2013, l'avionneur brésilien, dont le siège est à Sao José dos Campos, à 80 km de Sao Paulo, a enregistré des bénéfices net de 342 millions de dollars, en baisse de 1,7% par rapport à 2012. Au deuxième semestre 2014, Embraer a annoncé des bénéfices de 143,4 millions de dollars.
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October 20, 2014 5:07 AM
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Fort d’un carnet de commandes bien garni, le spécialiste des avions régionaux prévoit de produire 100 avions par an dès 2016. De son site toulousain, tout juste réorganisé, pourraient même sortir jusqu’à 120 avions par an.
Qu’il semble loin le temps où ATR passait pour moribond. Alors que le groupe, codétenu par Airbus Group et Alenia Aermacchi, a échappé au pire en 2005, il doit - à l’instar des grands constructeurs - augmenter ses cadences de production. "Nous avons un carnet de commandes de 450 appareils, assure Thierry Casale, le directeur des opérations du groupe. Il comprend 320 commandes fermes et 100 options d’achats". Conséquence : le site toulousain, où tous les tubopropulseurs (avions à hélices) sont assemblés, prévoit d’augmenter ses cadences. Elles devraient passer de 80 avions par an en 2014, à 90 en 2015. Le cap des 100 avions produits chaque année sera franchi en 2016.
Comment ATR, qui a généré un chiffre d'affaires en 2013 de 1,63 milliard de dollars (+13%), compte-t-il augmenter ses cadences de production ? En réorganisant sa ligne d’assemblage, qui s’effectue dans un bâtiment loué au groupe Airbus. Une solution opérationnelle depuis seulement quelques semaines et qui n’a pas encore été officiellement présentée. "Cet aménagement nous permet de multiplier par deux nos capacités de jonctionnement des appareils", décrit Thierry Casale.
Changement d’échelle
En clair, la direction a revu sa ligne d’assemblage qui a été dédoublée via le réaménagement d’un espace de 5000m² : voilures et fuselages sont assemblés au centre, puis les appareils continuent à être "garnis" (empennage, train d’atterrissage, nacelles…) dans deux directions opposées, correspondant à deux "îlots" industriels distincts. Les appareils sont ensuite acheminés dans le bâtiment adjacent de customisation (sièges, équipements cabine…) puis subissent des essais sur piste. "Le site a maintenant les capacités de produire 120 appareils par an", précise Thierry Casale.
Impossible de savoir combien le groupe a précisément investi pour cette réorganisation. Tout juste peut-on savoir que le montant atteint "quelques millions d’euros". Ces dernières années, pour répondre à la hausse des cadences de production, ATR a changé de dimension : sa superficie sur le site de Toulouse est ainsi passée de 5000m² en 2005 à 40 000 m² en 2014. Quant aux effectifs, ils sont passés de 550 à 1100 sur la même période. "Nous réalisons une moyenne de 100 embauches par an", chiffre Thierry Casale.
Un appareil 90 places toujours dans la ligne de mire
Un dynamisme qui étonne lorsqu’on se rappelle qu’il y a dix ans tout juste les turbopropulseurs semblaient dépasser face aux jets. En 2005, ATR a livré seulement 15 appareils ! Depuis, les "tuboprops" ont opéré un retour fracassant. Plébiscité pour la frugalité de ses appareils en carburant (en moyenne 50% de moins qu’un jet) et leur flexibilité de pilotage, ATR séduit les compagnies aériennes avec ses appareils largement modernisés ces dernières années. A tel point que le groupe détient aujourd’hui 80% des parts de marché des avions de 50-70 places et 39% des parts de marché pour les avions de 50-90 places, devant Embraer et Bombardier.
Et ATR compte bien ne pas s’arrêter en si bon chemin. Alors que le groupe produit aujourd’hui deux types d’appareils, l’ATR 42-600 (48 à 50 sièges) et l’ATR 72-600 (68 à 74 sièges), la direction espère toujours se lancer dans le développement d’un appareil régional de 90 sièges qui pourrait contribuer à augmenter encore davantage le carnet de commandes. A ce sujet, le bras de fer entre Airbus Group et Alenia Aermacchi continue. Le nouveau patron d’ATR Patrick de Castelbajac ne cache pas sa volonté de développer un tel appareil. Mais Fabrice Brégier, le PDG d’Airbus, ne cache pas non plus son désaccord. La voie d’une remotorisation des ATR est aussi envisagée.
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October 20, 2014 4:51 AM
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Le groupe japonais d'industries lourdes Mitsubishi Heavy Industries (MHI) dévoile, ce samedi 18 octobre, à Nagoya son nouvel avion, le Mitsubishi Regional Jet (MRJ), premier appareil civil nippon depuis plus de 50 ans.
Le MRJ ne devrait cependant voler qu'à l'été 2015 à titre expérimental avec, si tout va bien, des premières livraisons en 2017, avec deux ans de retard sur le calendrier initial.
En partie réalisé en matériaux composites, le MRJ, dont le développement a nécessité un investissement d'environ 1,5 milliard d'euros, est présenté par ses concepteurs comme l'aéronef techniquement le plus avancé et le plus écologique de sa catégorie. Pour l'heure, le groupe a reçu des ordres d'achat pour un total de 375 MRJ, dont 25 par ANA (15 fermes, 10 options), 100 par le groupe américain Trans States Holdings (50 fermes, 50 options), 200 par son compatriote SkyWest (100 fermes et 100 options), et 50 commandes dans diverses autres compagnies.
Japan Airlines a pour sa part annoncé fin août avoir signé une lettre d'intention en vue de l'acquisition de 32 de ces avions régionaux. Retrouvez ci-dessous, la présentation en video de ce nouvel appareil.
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October 15, 2014 8:59 AM
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A l’occasion du Salon Aircraft Interiors Americas qui se tient jusqu’au 16 octobre 2014, à Seattle, Zodiac Seats a présenté son nouveau siège Z500 destiné à la classe premium économie. Cette classe intermédiaire entre la Business et l’Eco qui tend à se développer dans la nouvelle offre des compagnies aériennes est un savant équilibre entre l’optimisation de la densité et la recherche d’un confort amélioré.Zodiac Seats a donc fourni un travail particulier pour proposer une structure innovante qui permet à ce siège de 38 pouces d’offrir le même espace qu’un siège traditionnel de 40 pouces. Une attention particulière a été portée sur les attributs du siège pour permettre notamment plus de rangements dans les accoudoirs (ex. tablettes, ou mini ordinateurs) ainsi qu’une pochette littérature plus large. Les attributs de ce siège comprennent également une tablette spacieuse en une seule partie en plus des tablettes cocktails et, en termes d’option, des portes bouteilles ou encore des têtières avec liseuses intégrées sont aussi à disposition. Le Z500 offre la possibilité d’avoir un écran allant jusqu’à 15,4 pouces et le siège est certifié pour tout type d’IFE. En cas d’absence d’IFE, la compagnie aérienne peut opter pour un repose-tablette.
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October 15, 2014 4:57 AM
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C’est une scène surréaliste qui a entraîné l’interruption puis l’annulation de la rencontre qualificative pour l’Euro 2016 entre la Serbie et l’Albanie. En plein match, un drone est venu survoler le stade avec, flottant au bout d’un fil, un drapeau albanais.Une provocation que les supporters locaux n’ont pas du tout apprécié commençant à allumer des fumigènes pendant qu’un joueur serbe (Mitrovic) attrapait l’engin avant de le mettre à terre.
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