 Your new post is loading...
 Your new post is loading...
|
Scooped by
Romain
Today, 1:26 AM
|
Le Prix Femmes de l’Aéro et du Spatial présente ses 26 finalistes - Industrie aéronautique
|
Scooped by
Romain
Today, 1:23 AM
|
SpaceX passe à l'action. Les premiers tests sur la nouvelle version de sa mégafusée débutent. Objectif : la Lune, puis Mars.
|
Scooped by
Romain
Today, 1:04 AM
|
La Nasa a annoncé dans un communiqué du 20 novembre avoir discuté avec SpaceX pour être prêts à lancer vers l’ISS l’équipage Crew-12 dès le 15 février. La raison ? Le jonglage avec le lancement d'Artemis II. Le Kennedy Space Center va être bien occupé au début de l’année prochaine. La rotation des équipages Crew-11 et Crew-12 dans l’ISS doit cohabiter avec le lancement d’Artemis II. Aucun des deux programmes du vol habité de la Nasa n’ont été stoppé par les 40 jours de shutdown aux Etats-Unis, les opérations de préparations considérées comme essentielles. Initialement prévu en avril, le lancement d’Artemis II avait été avancé à février sous l’impulsion de l’administration Trump. Il s’agit de la mission du retour des astronautes en orbite lunaire, une première depuis 1972. Christina Koch, Reid Wiseman, et Victor Glover de la Nasa, rejoints par l’astronaute canadien Hansen, passeront quelques jours en orbite afin de qualifier pour de bon le vaisseau Orion, afin de laisser le champ libre à Artemis III, le retour sur la Lune, prévue au mieux en 2028 selon la Nasa. Afin d’éviter les conflits de calendrier, la Nasa a donc décidé d’avancer d’un mois la rotation des équipages Crew 11 et 12, et par conséquent l’arrivée de l’astronaute française et européenne Sophie Adenot pour la mission Epsilon. A la fin d’un intense entraînement, Sophie Adenot est en train de se familiariser avec les différentes expériences scientifiques qu’elle réalisera à bord pendant ses six mois à bord. Sophie Adenot décollera donc à partir du 15 février comme spécialiste de mission, avec en commandant Jack Hathaway (Nasa), comme pilote du vaisseau Crew Dragon Jessica Meir (Nasa), et comme autre spécialiste de mission Oleg Artemiev (Roscosmos). Pendant ce temps, l'agence spatiale russe se prépare à la rotation au niveau du segment russe entre les équipages Soyouz MS-27 et MS-28. Ce dernier décollera de Baïkonour le 27 novembre. Il est composé des Russes Sergeï Koud-Skvertchkov et Sergeï Mikaïev, et de l’Américain Chris Williams.
|
Scooped by
Romain
Today, 1:01 AM
|
Le constructeur canadien a annoncé le 18 novembre la signature avec la compagnie régionale indienne d’une lettre d’intention portant sur l’achat d’au plus 10 Twin Otter, en marge du Dubai Air Show. Nouveau client pour le Twin Otter. IndiaOne Air est une compagnie aérienne régionale basée à Ahmedabad en Inde. Avec l’obtention de son certificat de transporteur aérien, elle est la première compagnie aérienne en Inde à exploiter un monomoteur. IndiaOne Air relie les métropoles aux petites et moyennes villes du pays. Elle exploite des avions à décollage et atterrissage court de sorte à pouvoir desservir les régions plus reculées ou avec un relief complexe, là où les aéroports locaux sont moins équipés. Avec cette possible commande de jusqu’à 10 Twin Otter Series 300-G à De Havilland, la compagnie compte étendre son service régional, et s’imposer parmi les leaders d’un marché en rapide évolution. Dévoilé au Bourget en 2023, le Twin Otter 300 G est le dernier né de la gamme. Il est donc le dernier héritier du DHC-3 Otter, développé dans les années 1960. Il fait partie des fleurons de De Havilland. Le constructeur canadien a livré plus de 5000 appareils dans le monde. Le Twin Otter compte aujourd’hui plusieurs versions, dont des hydravions et des modèles pour missions militaires, avec comme clients le laboratoire de recherche de la Navy (NRL) ou encore l’Armée de l’Air et de l’Espace, notamment pour le compte de la DGSE.
|
Scooped by
Romain
Today, 12:59 AM
|
Le 20 novembre, Safran a signé un accord à long terme avec la compagnie saoudienne Riyadh Air pour fournir des roues et des freins électriques comme équipements de la future flotte de Boeing 787. Riyadh Air continue les annonces et les commandes à l’occasion du Dubai Air Show, qui prend fin aujourd’hui. Les contrats servent à équiper et préparer les opérations de la flotte, avec l’achat de 120 moteurs LEAP à CFM et l’achat de deux simulateurs de vol à CAE pour former ses pilotes. En pleine expansion, Riyadh Air avait initié une nouvelle grosse commande d’avions, avec 50 Airbus A350-1000 au Bourget en juin. Plus tôt, en 2023, la compagnie avait commandé 78 Boeing 787 avec Saudia. C’est pour équiper ces gros porteurs que Riyadh Air a commandé roues et freins à Safran cette semaine. L’accord prévoit de fournir un testeur de freins électriques pour le B787, d’accompagner la compagnie dans la maintenance, et de la formation. Le contrat concerne l’équipement de plus de 70 Boeing 787-9. Dans son communiqué, Safran insiste sur la motivation de la compagnie dans ses choix, à savoir la légèreté des matériaux (carbone). Le but est d’absorber le plus possible l’énergie cinétique lors des atterrissages en haute altitude, où l’aérofreinage est moins efficace car la densité d’air est plus faible. Siège de Riyadh Air et à proximité de la capitale saoudienne Riyad, l’aéroport international du roi Khaled se trouve à 625 mètres au-dessus du niveau de la mer.
|
Scooped by
Romain
Today, 12:57 AM
|
Emirates et Rolls‑Royce ont signé un accord autorisant la compagnie aérienne émiratie à réaliser, dès 2027, la maintenance en interne à Dubaï de ses moteurs
|
Scooped by
Romain
Today, 12:56 AM
|
AeroWeb-fr.net est un magazine aéronautique en ligne disponible gratuitement et fournissant des contenus divers et variés (actualités, fiches techniques, dossiers, biographies, histoire de l'aéronautique, etc.) ainsi qu'un espace communautaire.
|
Scooped by
Romain
Today, 12:54 AM
|
Air Astana annonce une commande record de 50 Airbus A320neo et A321LR. Les premières livraisons sont prévues en 2031, marquant une étape clé dans la modernisation de sa flotte et son expansion internationale.
|
Scooped by
Romain
Today, 12:49 AM
|
La nouvelle moisson de commandes des compagnies du Golfe pousse le spécialiste toulousain de l'outillage de maintenance aéronautique à agrandir ses usines à Dubaï et Doha.
|
Scooped by
Romain
November 22, 12:35 AM
|
Cette modélisation en 3D va peut-être changer votre perception des débris spatiaux. Car elle permet de réaliser à quel point l'orbite de la Terre s'est transformée en véritable décharge.
|
Scooped by
Romain
November 21, 1:02 AM
|
Le récent rachat du basque Lauak par un groupe indien confirme que les fournisseurs d'Airbus attirent les convoitises des industriels étrangers. Un phénomène voué à s'accentuer face à la vague à venir de transmissions familiales.
|
Scooped by
Romain
November 21, 12:28 AM
|
Daher crée une filiale aux Emirats arabes unis - Industrie aéronautique
|
Scooped by
Romain
November 21, 12:26 AM
|
Une photographie capturée cette semaine au port Canaveral, situé au sud du célèbre site de lancement, témoigne d'un sans précédent dans l'histoire du spatial. On y voit trois boosters venant d'être récupérés pour une possible réutilisation, et ils ne proviennent pas tous de la même entreprise.
|
|
Scooped by
Romain
Today, 1:23 AM
|
Blue Origin met (encore) un coup d'accélérateur. Galvanisée par son récent succès, l'entreprise de Jeff Bezos annonce des mises à jour notables pour sa fusée phare, dont une nouvelle version bien plus lourde cette fois.
|
Scooped by
Romain
Today, 1:14 AM
|
Oman has signed an agreement with Airbus to design, manufacture and launch the nation’s first communications satellite, marking a major step in the country’s long-term space strategy. Oman’s state…
|
Scooped by
Romain
Today, 1:02 AM
|
Une semaine après le succès du second vol de New Glenn, Blue Origin a dévoilé une version plus puissante du lanceur lourd réutilisable. Vers une concurrence avec le Starship ou besoin de plus de rentabilité ? 98 mètres de haut, 7 mètres de large, la fusée New Glenn est déjà impressionnante. Réussir la récupération de son étage principal (57 m de haut quand-même) dès le deuxième vol, c’est aussi très impressionnant. Mais Blue Origin semble rester sur sa faim. Les données de deux vols complets en poche, et face aux évolutions à venir du Starship à venir, la compagnie fondée par Jeff Bezos dévoile des mises à jour progressives du lanceur, qui devraient le conduire vers une évolution plus puissante et plus efficace. Des évolutions Pokémon des lanceurs pour la course à la Lune Les versions ultérieures du Starship (version 3, 4, etc.) promettent d’être toujours plus capacitaires. Mais en bon concurrent, Blue Origin ne veut pas laisser à Elon Musk le monopole des promesses folles. Surtout, le temps presse : la Nasa a remis en question son choix du Starship pour déposer ses astronautes d’Artemis III sur la Lune (en 2028 au plus tôt). De son côté, Blue Origin a annoncé que le prochain vol New Glenn prévu début 2026 emportera un atterrisseur Blue Moon MkI en version cargo, démonstrateur du futur atterrisseur d’ores et déjà sélectionné par la Nasa pour poser ses astronautes pour des missions Artemis ultérieures à Artemis IV, au cours de la décennie 2030. Moins grand que le Starship, Blue Moon MkI pourrait donc réussir à se poser sur la Lune avant lui. Car du côté de Starbase, il faut d’abord que le Starship passe l’étape du vol orbital, ce qui aura certainement lieu dans les prochains mois. Mais la version finale de Blue Moon est trop lourde pour New Glenn dans sa version actuelle. La version de l’atterrisseur retenue par la Nasa en 2023 pèse 45 tonnes, ce qui correspond à la capacité d’emport de New Glenn… mais en orbite basse. Cela implique donc la nécessité d’un rendez-vous avec un autre véhicule spatial – voire plusieurs – pour faire le plein de carburant, une opération d’une complexité cauchemardesque. Cauchemar partagé avec les ingénieurs du Starship, qui connaissent le même problème. Pour réduire le risque et le coût de ces opérations de ravitaillement en orbite, SpaceX et Blue Origin semblent donc dégainer des « évolutions Pokémon » de leurs lanceurs lourd. La version mise à jour de New Glenn serait capable d’emporter jusqu’à 70 tonnes en orbite basse, et plus de 20 tonnes en orbite trans-lunaire. Ce n’est pas suffisant, mais cela pourrait réduire au minimum le nombre de rendez-vous orbitaux nécessaires pour faire le plein de carburant de Blue Moon. Une solution simplifiée qui pourrait mieux séduire la Nasa, voire remplacer le Starship pour Artemis III. Augmenter la poussée Pour le premier étage, Blue Origin compte augmenter la poussée de chacun des sept moteurs BE-4 de la baie de propulsion, qui une fois combinée passera de 17150 kN à 20017 kN. Même chose pour les deux moteurs BE-3 de l’étage supérieur, qui en passent de 1423 à 1780 kN. On ignore la temporalité de ces modifications. Blue Origin a précisé que les modifications se feraient dès le prochain vol. Pour aller plus loin, Blue Origin compte augmenter encore plus la poussée du lanceur en ajoutant deux moteurs BE-4 au premier étage, et deux moteurs BE-3 au second. Avec de plus grands réservoirs, cette version 9x4 de New Glenn sera plus grande et plus large (8.7 m de diamètre). Aucune précision de quand aurait lieu le premier vol de cette version. Blue Origin a précisé qu’en plus de l’exploration lunaire, les deux versions de New Glenn serviront au déploiement du titanesque Golden Dome, le futur bouclier anti-missile américain annoncé par Donald Trump.
|
Scooped by
Romain
Today, 1:00 AM
|
L’arrivée de la Version 3 du Starship va souffrir de nouveaux retards. Lors d’un test préparatoire, le booster semble avoir explosé. Coup dur pour le Starship en pleine entrée en scène de la version 3 ! Hier, jeudi 20 novembre, SpaceX sortait le premier exemplaire du booster, le premier étage, de cette version plus puissante. Mettant définitivement fin à la longue séquence d’essais avec la version 2. Mais lors d’un test de préparation au décollage, une explosion a éventré le booster, identifié comme « Booster 18 ». Il est définitivement inutilisable. L’explosion a été vue dans le direct de la chaîne Lab Padre, qui « espionne » en temps réel toutes les activités de Starbase. L’accident, qui n’a pas fait de victime, a eu lieu dans la nuit, à peine 24 heures après la sortie du hangar d’assemblage. Dans un communiqué, SpaceX a précisé que le Booster 18 a souffert d’une anomalie du système de gaz en amont de tests de résistance structurelle. Il n’y avait pas de carburant à bord. Ces tests devaient être réalisés avant d’installer les 33 moteurs Raptor. Un vol test était envisageable d’ici la fin de l’année selon des calendrier optimistes. Encore plus difficile d’y croire désormais. Cet incident surgit au mauvais moment pour le Starship. La version 3 doit être celle du premier vol orbital, et doit servir à de nombreux tests cruciaux pour les opérations du Starship, dont le transfert de carburant ou les premières missions lunaires en mode cargo. Agacée par les retards du développement, et sur fond de tensions entre Elon Musk et Donald Trump (qui semblent s'apaiser aujourd'hui), la Nasa avait fait le choix de remettre en question la sélection du Starship comme atterrisseur lunaire des missions Artemis 3 et 4, celles du retour. De son côté, Blue Origin s'apprête à faire décoller un premier démonstrateur de son alunisseur Blue Moon et vient d'annoncer une version plus lourde de New Glenn.
|
Scooped by
Romain
Today, 12:58 AM
|
Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Le 14 novembre, un lanceur américain Atlas a placé pour la dernière fois un satellite sur une orbite de transfert géostationnaire. La fin d’une époque Le 14 novembre à 3 h 04 UTC, un lanceur Atlas 5 (551) de la société américaine United Launch Alliance (ULA) a été mis en œuvre depuis la base militaire de Cape Canaveral, en Floride. Le lanceur a ensuite placé sur orbite de transfert géostationnaire (GTO – Geostationnay Transfer Orbit) l’imposant satellite de télécommunications ViaSat 3 EMEA (environ 6,4 tonnes au décollage. Il devra couvrir en bande Ka l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique pour l’opérateur américain ViaSat. C’était la 105e mission d’un lanceur de la famille Atlas 5, introduite en août 2002, et la 44e mission GTO – s’ajoutent également 2 missions directes vers l’orbite géostationnaire. C’était également la dernière mission GTO d’un lanceur de la grande famille Atlas, apparue à a fin des années cinquante. Place désormais pour ces missions au lanceur lourd Vulcan Centaur, mis en service par ULA depuis janvier 2024.
|
Scooped by
Romain
Today, 12:56 AM
|
AeroWeb-fr.net est un magazine aéronautique en ligne disponible gratuitement et fournissant des contenus divers et variés (actualités, fiches techniques, dossiers, biographies, histoire de l'aéronautique, etc.) ainsi qu'un espace communautaire.
|
Scooped by
Romain
Today, 12:55 AM
|
AeroWeb-fr.net est un magazine aéronautique en ligne disponible gratuitement et fournissant des contenus divers et variés (actualités, fiches techniques, dossiers, biographies, histoire de l'aéronautique, etc.) ainsi qu'un espace communautaire.
|
Scooped by
Romain
Today, 12:54 AM
|
Air Cambodia sera le premier opérateur ATR à introduire la nouvelle classe affaires « X-Space Table » sur ses ATR 72-600 dès 2027, marquant une avancée majeure pour le voyage régional haut de gamme.
|
Scooped by
Romain
Today, 12:49 AM
|
En cartographiant l’atmosphère, la deeptech Miratlas contribue au développement des communications optiques entre l’espace et la Terre. Une alternative aux liens radios où la France a des cartes à jouer.
|
Scooped by
Romain
November 22, 12:19 AM
|
« Andrée Dupeyron, l'Amazone du Ciel » documentaire consacré à l'aviatrice éponyme, égale des Maryse Bastié et Hilz, va être sous peu diffusé sur France 3. Pilote de tourisme, professionnelle et détentrice du brevet de pilote militaire, Andrée Dupeyron collectionnait également les records de distance. Retour sur une oubliée de l'histoire de l'aviation. Une aviatrice oubliée Andrée Dupeyron. Une aviatrice aujourd’hui oubliée bien moins connue que Maryse Bastié, Hélène Boucher, Maryse Hilz ou encore Léna Bernstein pour ne citer qu’elles. Mais un film de 52 minutes réalisé par Jean-Luc Gunst et Christian Seveillac vient raviver son souvenir. Andrée Dupeyron, pilote civile et militaire, fit partie des forces aériennes françaises libres pendant la Seconde Guerre mondiale, mais ce n’est qu’une infime partie de sa biographie. Née en 1902 à Ivry-sur-Seine, Andrée Maihlo de son nom de jeune femme rencontre à 16 ans son futur mari, un ex mécanicien de l’école d’aviation de Pau et futur garagiste du nom de Gustave Dupeyron. Le couple s’intéresse de très près aux avions. En 1932, établis à Mont-de-Marsan, Gustave obtient son brevet de pilote et Andrée le suit un an plus tard. Puis -fait exceptionnel pour l’époque car elles sont bien peu nombreuses à le détenir- son brevet de pilote professionnel. Un Potez 43 puis un Caudron Aiglon Le couple vend son garage et se spécialise dans la réparation d’avions. Elle achète un Potez 43, monoplan à aile haute, qui cède bientôt la place à un Caudron C.600 Aiglon, car son ambition ne se limite pas aux vols du dimanche. La mode est alors aux records sous toutes leurs formes, qu’ils soient de vitesse ou de distance parcourue et les aviatrices s’y mettent elles aussi. Et Andrée veut battre le record de distance en ligne droite. Elle va d’abord s’exercer dans le cadre de la coupe Hélène Boucher, un rallye international Mont-de-Marsan - Marseille - Tours – Paris. Puis dans un second temps, elle réalise un record de distance dans la catégorie avion de 4 à 6,5 litres de cylindrée sur le parcours Tunis - Marsa Matruh (Égypte) soit pas moins de 1 678 kilomètres. Mais ça n’est pas assez pour elle. "Le Ciel est à vous" En mai 1938, décollant d’Oran, en Algérie française, elle rallie Tel El Aham en Irak, effectuant ainsi 4 360 km, enlevant le record à Élisabeth Lion qui l’avait précédée. Dans des conditions terribles, car le raid se transforme en une équipée de survie. Mais qu’importe, c’est dans la difficulté qu’elle acquiert la célébrité. Du jour au lendemain, elle devient ainsi l’égérie de plusieurs magazines féminins, toute la presse parle d’elle. Et en pleine occupation, elle fera l’objet d’un film largement inspiré de ses exploits, « Le ciel est à vous » dont le rôle de son mari est tenu par Charles Vanel. Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, elle s’engage. Démobilisée, elle rejoint les rangs de la résistance. Devenue pilote pour les forces aériennes françaises libres, elle est la marraine d’une escadrille qui porte son nom. Et en 1945, le corps des femmes pilotes militaires est créé par Charles Tillon, alors ministre de l’air sous le gouvernement Charles de Gaulle. Andrée Dupeyron en fait partie, aux côtés de Maryse Bastié et Élisabeth Lion. C’est ainsi qu’elles deviennent brevetées pilotes militaires. Un dernier record invalidé par la FAI Début mai 1949, le démon du record de distance l’assaille à nouveau. Andrée Dupeyron veut rallier Mont-de-Marsan à Karachi, plus exactement Juwani. Car son précédent record a été battu par un équipage soviétique, ce qu’elle n’entend pas leur laisser. Malheureusement, après trente et une heures de vol et 5 932 km parcourus, son record ne sera pas validé par la Fédération aéronautique internationale. Ce qui ne l’empêchera pas d’être décorée de la Légion d’honneur. Elle s’éteint le 22 juillet 1988 à Mont-de-Marsan. « Andrée Dupeyron, l'Amazone du Ciel » (52 minutes) sera diffusé sur les antennes de France 3 Nouvelle-Aquitaine et de quelques autres régions le jeudi 27 Novembre vers 22h50. Le film sera par ailleurs accessible dès le samedi 22 novembre sur la plateforme internet de France.tv, dans la rubrique « documentaire ».
|
Scooped by
Romain
November 21, 12:32 AM
|
Grâce à son futur alunisseur Argonaut, l’Europe veut déployer sa première mission lunaire en 2030 en s’appuyant sur ses propres moyens...-Aéro - Spatial
|
Scooped by
Romain
November 21, 12:27 AM
|
Air France-KLM et Lufthansa expriment leur intérêt pour TAP Air Portugal - Compagnies aériennes régulières
|