Pourquoi certains éleveurs choisissent-ils l’effet bouc pour préparer les inséminations ? Témoignages d’éleveurs convaincus et échanges entre méthode classique et adeptes de la stimulation par les mâles

Etude de marché, repérage, stratégie commerciale...Avant de se lancer dans la vente en circuits courts de sa viande de porc, il est essentiel de bien cibler la demande des consommateurs

Dans les exploitations d’élevage modernes, l’alimentation est devenue l’une des tâches les plus exigeantes en main-d’œuvre et les plus critiques en termes de temps. En effet, les grands troupeaux nécessitent des rations précisément équilibrées plusieurs fois par jour pour maintenir leur santé, leur productivité et leur efficacité. Traditionnellement, les travailleurs doivent rassembler l’ensilage, peser les ingrédients, les mélanger dans une mélangeuse et distribuer la ration finale aux différents groupes d’animaux. Mais ce processus devient de plus en plus difficile à mesure que la taille des troupeaux augmente et que la pénurie de main-d’œuvre s’aggrave. Les mélangeuses autonomes sont apparues pour relever ces défis. Elles prennent en charge le cycle complet d’alimentation, de la collecte et du chargement de l’ensilage au pesage, au mélange, à la navigation dans la ferme, à la distribution des aliments et au retour pour le lot suivant. Pourtant, la véritable percée derrière ces machines ne réside pas dans les composants mécaniques, mais dans l’ordinateur Edge AI (IA en périphérie) qui orchestre l’ensemble de l’opération. Une distribution précise des aliments Les opérations de collecte d’ensilage et d’alimentation dépendent fortement de l’ordinateur Edge AI, qui interprète les textures visuelles, les informations de profondeur et le retour de résistance pour guider la machine lorsqu’elle s’approche du tas d’ensilage. Il  sélectionne l’angle de coupe approprié et régule le couple de la tête de fraisage et la vitesse d’entrée pour un chargement précis et constant. À l’intérieur de la cuve de mélange, la même intelligence embarquée analyse le couple de la vis sans fin, le mouvement des particules et la résistance au mélange pour déterminer quand la ration a atteint une uniformité optimale, ajustant dynamiquement la durée du mélange au lieu de se fier à des minuteries fixes. Lorsque la machine se déplace dans l’étable, la perception et le raisonnement basés […]

Les producteurs français de viande, confrontés à une baisse continue du cheptel de ruminants et des élevages, ont appelé mercredi à de

Les vaches taries boivent moins qu’en lactation, certes. Mais ce n’est pas pour autant qu’elles n’ont pas besoin d’eau

L’IA permet à Calopor d’améliorer le fonctionnement de son système de chauffage et de filtration Biomim pour optimiser l'ambiance dans les salles de post sevrag

Pour consolider l’installation des jeunes éleveurs en volailles de chair, la coopérative lamballaise Le Gouessant dans les Côtes d’Armor a revu ses aides

Pour limiter la pollution atmosphérique, la ferme France doit réduire ses émissions d’ammoniac. Des efforts ont déjà été faits mais i

Mieux vaut prévenir que guérir ! Dans cette logique, les GDS se sont lancés à la recherche de marqueurs génétiques de résistance

En débarquant en Espagne, la peste porcine africaine ouvre un nouveau front en Europe, menaçant la France d'un peu plus près.

Alors que le prix de la viande grimpe, le croisement gagne en intérêt pour les éleveurs laitiers. Angus, Limousin, Charolais, Blanc Bleu

À l’approche des Conférences de la souveraineté alimentaire organisées dans le cadre de la Loi d’orientation agricole, INTERBEV  l’Interprofession Élevage et Viande, dévoile un plan d’action ambitieux et immédiatement opérationnel. Présenté le 3 décembre dernier, ce plan rassemble dix mesures prioritaires destinées à freiner la « décapitalisation » du cheptel français de ruminants et à consolider durablement la souveraineté alimentaire du pays. Ce programme est l’aboutissement d’un travail collectif entre les fédérations nationales de la filière, engagé dans la continuité du Plan gouvernemental de reconquête de l’élevage annoncé au Salon de l’Agriculture 2024. INTERBEV fournit ainsi aux pouvoirs publics une feuille de route concrète dans un contexte d’urgence, marqué par une contraction rapide des cheptels, une hausse des importations et une fragilisation économique des territoires ruraux. Pour Jean-François Guihard, président d’INTERBEV, la situation exige « des décisions rapides et coordonnées ». Il rappelle que la préservation de la souveraineté alimentaire repose sur une vision interministérielle claire et sur la mise en œuvre sans délai des engagements pris par l’État. Sans cela, la France risque de perdre non seulement des éleveurs, mais aussi des prairies, des abattoirs et sa capacité à produire sa propre alimentation. Bloquer l’accord Mercosur Au cœur de ce plan, INTERBEV demande en premier lieu une action déterminée sur les accords commerciaux internationaux, considérant que la concurrence de viandes importées ne respectant pas les standards européens met en péril la filière française. L’interprofession appelle ainsi à bloquer l’accord Mercosur, à refuser toute concession à l’Australie tant que les conditions de production ne seront pas équivalentes, et à exclure définitivement la viande bovine des négociations avec l’Inde, invoquant des impératifs de sécurité sanitaire et de traçabilité. Plus largement, elle exige que toute conclusion d’accord de libre-échange soit conditionnée à l’application effective des mesures miroirs prévues par l’UE et que toutes les importations respectent […]

Anne-Cécile et Pierre-Antoine Courtois misent exclusivement sur la valorisation de l’herbe pour la conduite de leurs herefords vendus comm

Au Gaec de Kerilys dans les Côtes-d’Armor, le manque de minéral pendant la période de pâturage a créé un gros souci de boiterie. L’apport de seaux à lécher a résolu le problème

Gérer la conduite en bande des truies en un seul coup d’oeil … Pour les éleveurs, c’est un outil du quotidien que l’Ifip met à leur service depuis de nombreuses années… Véritable aide mémoire pour piloter l’élevage, il permet de visualiser d’un seul coup d’œil le programme des interventions à réaliser sur les porcelets, de […]

"Le troisième syndicat agricole appelle à des rassemblements partout en France « en solidarité avec les éleveur.euses concerné.es » mais aussi « pour lutter contre la politique sanitaire de l’État ». Une manifestation est prévue à Nantes, mardi 9 décembre 2025."

Alors que la filière bovine est touchée par un mouvement de décapitalisation sans précédent, l’étude cherche à quantifier et à qualifier les impacts principaux liés à cette réduction de cheptel. Au-delà des impacts macro-économiques, certains territoires pourraient être durement touchés par ces évolutions. (Cet article est le quatrième d’une série de cinq issus des interventions scientifiques aux Matinales de la Recherche 2025 d’Interbev, le 25 mars 2025).

L’Inrae recherche des biomarqueurs de stress nutritionnel dans le lait afin de valoriser les analyses fines du lait et envisager une sélection à plus long terme sur la résilience des chèvres

Elinnove rappelle les points de vigilance pour garantir un parfait état de marche des appareils de chauffage dans les bâtiments de volailles

L’élevage des veaux sous une nourrice, se développerait «à bas bruit» en France. Lors d’un webinaire que programmait Bio en Hauts-de-France en novembre, des chercheuses du FiBL France (Institut de recherche de l’agriculture biologique) présentaient cette pratique qu

Entre hausse du coût du mètre cube et raréfaction de la ressource, l’or bleu n’a jamais si bien porté son nom. À l’occasion d’un

La filière laitière française, soutenue par le Cniel, souligne l’importance stratégique du marché chinois et alerte sur les risques d’une fermeture qui

Sur une ferme, le tracteur n’est pas le seul à consommer de l’énergie. Engrais, production de fourrage, traite, entretien du bâtiment