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Jacques Le Bris
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Jacques Le Bris
onto Think outside the Box April 17, 2011 7:05 AM
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![]() Abnousse Shalmani, présidente du jury des Prix de la Laïcité 2023 : "Laïcité, ce mot qu’on doit dorénavant défendre alors qu’il nous défendait" (Prix de la Laïcité, 8 nov. 23)
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Jacques Le Bris's insight:
Allez-vous enfin ouvrir les yeux et comprendre que la source de tous vos malheurs, ce n’est pas votre voisin, ni vos collègues, ni même “les gens” en général. Non. La source de vos malheurs, c’est l’État. C’est lui, et uniquement lui. Quand vous enterrez vos morts, il est là pour vous ponctionner. Quand vous essayez de vous soigner, il vous bloque par ses normes et ses pénuries. Quand vous voulez éduquer vos enfants, il s’impose pour les formater. Quand vous cherchez simplement à manger, il gonfle artificiellement les prix par ses taxes. Quand vous tentez de récupérer l’eau de pluie, il vient vous l’interdire. Quand vous essayez de créer votre autonomie en devenant entrepreneur, il vous écrase sous la paperasse, les charges et les contrôles. Bref : la racine de vos galères, c’est bien l’État. Pas les individus autour de vous. Tout ça, c’est de l’anecdotique. Le vrai poids qui vous oppresse, qui écrase vos épaules, c’est celui d’un État obèse, ventripotent, incapable de se contenir et qui se nourrit de votre dépendance.
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Jacques Le Bris's insight:
C’est marrant de voir à quel point vous gobez tout, sans jamais percuter. On vous dit que les budgets militaires augmentent, vous imaginez déjà des chars flambants neufs, des avions qui décollent pour protéger vos gosses, un pseudo retour à la souveraineté. La vérité ? Tout ce fric, c’est de la poudre aux yeux. Dès qu’il y a un conflit à l’extérieur, hop, on balance l’oseille en “aide”, en “soutien”, en “coopération internationale”. En gros, on paie pour que d’autres fassent la guerre à notre place.
Et évidemment qu’une partie disparaît en chemin : rétrocommissions, valises opaques, circuits financiers planqués, contrats bidons… Personne ne sait où ça part. Personne ne sait même qui nous prête ce fric qu’on claque déjà. Mais vous, vous payez. Vous, vous vous faites tondre. Vos impôts, votre sueur, votre force de travail, transformés en chèques cadeaux pour le grand Monopoly mondial.
L’État, c’est un broyeur. Il vous appauvrit sciemment, à vitesse accélérée, avec Macron en VRP de luxe de cette politique destructrice. Et le pire ? Vous détournez votre colère sur des broutilles : le voisin qui fraude, le collègue qui fait la gueule, le passant qui ne dit pas bonjour. Pendant ce temps-là, le vrai responsable, l’unique machine qui fabrique vos malheurs, c’est l’État. Et tant que vous refusez de le voir, vous restez complices de votre propre ruine.
ChienSurpris
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Beaucoup de gens me demandent : « Mais comment diable faire sortir les gens prisonniers du Médiavers, de ce monde totalement déconnecté de la réalité ? » Vous savez, je n’ai pas de recette magique. À vrai dire, j’ai toujours pensé que la meilleure approche était de nommer les choses, c’est-à-dire le concept. C’est précisément pour cela que j’ai créé le concept du Médiavers. En effet, je pense que nommer ce monde médiatique hors-sol est la première étape pour que les gens qui y vivent sans le savoir puissent en sortir. C’est par la prise de conscience d’une réalité que les individus pourront s’émanciper. Et cette conscientisation passe, selon moi, par les mots et, par extension, par le concept. C’est pourquoi j’aime en créer. En revanche, pour répondre de manière plus concrète à la question « Mais comment diable faire sortir les gens du Médiavers ? », je pense que l’exercice est difficile. Pas impossible, mais difficile. Vous savez, moi aussi, dans ma famille, j’ai des personnes qui n’ont toujours pas compris ce qui s’est passé pendant le Covid, pire, qui n’ont pas envie de le comprendre (totalitarisme, gouvernance perverse, terrorisme d’État, injections de produits expérimentaux et nocifs…). Moi aussi, dans ma famille, même la plus proche, j’ai des personnes qui croient encore aux mensonges politico-médiatiques sur la guerre en Russie, sur l’écologie, et qui sont à des années-lumière de comprendre les enjeux et les divers dangers qui planent au-dessus de nos têtes en Europe.
Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’il est impossible de leur expliquer les choses de manière trop brutale.
Je pense qu’une des meilleures solutions est d’y aller doucement – même si je suis conscient que le temps manque et que c’est sur l’ignorance de la masse que les projets fous se réalisent. Ce que je tente d’expliquer, c’est que vous, qui me lisez quotidiennement, avez vu le « puzzle ». Ainsi, vous ne pouvez pas le montrer à des gens qui n’en ont même pas vu cinq pièces. J’insiste : vous avez regroupé et assemblé les pièces d’un grand puzzle à mille pièces ; vous avez vu le projet. Le montrer de but en blanc à vos proches qui vivent dans le Médiavers est, selon moi, non productif. Leur psychisme ne peut pas l’encaisser, et leur réaction sera de vous considérer comme fous (complosophisme) ou de rire de votre analyse. Non, vraiment, montrer le puzzle à des gens qui n’en ont pas vu ne serait-ce que cinq pièces serait comparable à demander à un enfant de lire un livre avant même de lui avoir enseigné l’alphabet.
Ainsi, voici ma recommandation : contentez-vous de leur montrer des "pièces", et seulement des "pièces". Sans débattre, sans faire de liens, sans les expliquer. Juste leur montrer des pièces, c’est-à-dire des faits. Par exemple, leur parler d’une affaire de corruption cachée par les médias, d’un scandale de conflit d’intérêts étouffé, d’une déclaration louche et inquiétante d’une élite, d’une affaire de pédocriminalité impliquant des personnes dans les hautes sphères et dont les médias ne parlent pas…
Leur montrer ces pièces quotidiennement, sans jamais le faire pour entamer une réflexion, sans jamais établir de liens avec une autre "pièce" (un autre événement), sans jouer les sachants. Juste leur communiquer une ou deux pièces par jour. C’est une méthode que j’ai inventée et que j’utilise depuis quelques temps avec mes proches vivant dans le Médiavers. Je crois qu’elle porte ses fruits. Chaque jour, je leur envoie deux ou trois pièces du gigantesque puzzle, et cela prépare leur psychisme à accepter, en douceur, ce qu’il leur est pour l’heure impossible de regarder en face. Évidemment, ce travail requiert un peu de tact, de la bienveillance et de la patience : c’est un travail de long terme.
La méthode opposée, celle qui consiste à montrer le "puzzle" dans son ensemble, est inefficace car trop brutale. Elle a l’effet inverse : vos interlocuteurs vous considèrent comme totalement fous et s’enferment ainsi encore plus dans le Médiavers.
Alexis Haupt
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Jacques Le Bris's insight:
François Asselineau : Paraphrasant ce que dit Trump sur Macron, les 33 ans écoulés depuis le traité de Maastricht nous permettent d'affirmer que TOUT CE QUE TOUCHE L'UE SE TRANSFORME EN M... !
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Jacques Le Bris
March 21, 6:33 AM
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— h16 (@_h16) March 21, 2025
NDC : ainsi, ce pays est foutu.
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Jacques Le Bris
March 8, 4:32 AM
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Vrai coup de gueule après avoir engueulé des amis écolos : comment ont-ils pu être assez bêtes pour en faire - avec les #ZFE COMME DANS TANT D’AUTRES LOGIQUES PUNITIVES - pour faire de l’écologie un repoussoir, un projet de ségrégation sociale, au lieu d’imaginer une écologie… pic.twitter.com/GCOL9zOmUq
— Alexandre Jardin (@AlexandreJardin) March 5, 2025
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Jacques Le Bris
March 7, 2:29 AM
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Beaucoup soutiennent que Macron est vide, dépourvu d’intelligence, instable, et qu’il n’est rien d’autre qu’un pion vite oublié.
Je partage l’avis sur son instabilité et son vide en tant que pion, mais je ne crois pas qu’on oubliera cet homme, ni après son mandat, ni dans le siècle à venir.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, Emmanuel Macron est entré dans l’histoire.
En effet, s’il ne fait aucun doute qu’il est l’un des pires présidents de la Ve République, une question plus vaste demeure : Emmanuel Macron est-il le pire dirigeant de l’histoire de France ?
Même en remontant jusqu’à Clovis, il n’est pas si évident de trouver pire. Cette interrogation, loin d’être anodine, sera sans doute reprise par les historiens des décennies et des siècles à venir. Je ne tiens pas ces propos dans une optique populiste. Non, vraiment, la personne dont je parle ne se contente pas de détruire la France ou de révéler un fond exécrable ; l’affaire est bien pire : même sur la forme, elle provoque de l’urticaire.
Ce que je tente d’expliquer, c’est que non seulement cet homme mène une politique dévastatrice à tous les niveaux, non seulement son mandat a été synonyme d’une période de totalitarisme assumé, dangereux et extraordinairement liberticide, non seulement il joue avec le feu au point de risquer une troisième guerre mondiale, mais en plus, même lorsqu’il tente de se montrer bienveillant devant les caméras, cela sonne faux. On y décèle alors une personnalité narcissique, arrogante et méprisante. Ce qui, il faut le reconnaître, relève d’une sacrée performance.
Ainsi, conscient qu’il ne sera jamais un grand homme politique, Macron a peut-être obtenu ce qu’il cherchait : entrer dans l’histoire de France, et par extension dans l’Histoire tout court. Car oui, ce pion de l’oligarchie, aussi vide intérieurement, instable et médiocre communicant soit-il, ne sera jamais oublié.
Le nom de celui qui a déclaré vouloir « emmerder les non-vaccinés » restera gravé dans les mémoires, tout comme celui des grands despotes. Deux choses sont certaines : d’une part, cet individu est extrêmement dangereux ; d’autre part, il y aura un avant et un après Macron.
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Jacques Le Bris
January 23, 6:27 AM
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Source sur 𝕏 : https://x.com/bernathoustra/status/1882140990896783819
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Jacques Le Bris
January 16, 11:11 AM
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ZUCKERBERG BALANCE !
— Jean-Dominique Michel (@MichelJeanDomi1) January 15, 2025
Le point commun entre lui, Breton, Biden, Pain, Brigitte, Ursula, Klaus, Gates, Google, la "presse", l'état profond, Big Pharma ?!?
Ils ne vous veulent pas du bien.
Et ils n'aiment pas la vérité.
Mais ils se démasquent, jour après jour, crapulerie après… pic.twitter.com/MIqttd7rV4
ZUCKERBERG BALANCE !
Le point commun entre lui, Breton, Biden, Pain, Brigitte, Ursula, Klaus, Gates, Google, la "presse", l'état profond, Big Pharma ?!?
Ils ne vous veulent pas du bien. Et ils n'aiment pas la vérité. Mais ils se démasquent, jour après jour, crapulerie après crapulerie...
NDC : Le point de vue suisse* sur la #guerre de l'#information qui règne en Occident et qui oppose :
#Censure totalitaire v #Liberté d'expression
* Pays réputé pour sa neutralité.
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Jacques Le Bris
January 7, 7:15 AM
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Beaucoup lisent très mal la situation.
Attachez vos ceintures.
NDC : Je note à J-15 de son investiture, Trump fait tellement peur que Trudeau a démissionné au Canada...
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Jacques Le Bris
December 1, 2024 11:34 AM
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Le 7 novembre, je publiais dans un édito une lettre aux Français sous forme d'un J'Accuse version moderne envers tous ceux qui ont œuvré à ce que la France devienne terre d'incendies (sanitaires, sociaux, financiers, etc.) allumés par ceux-là même qui ensuite prétendent les éteindre. Ayant échangé avec de nombreuses personnes au sujet de son contenu, en voici la version augmentée de l'intelligence collective si chère au journalisme participatif et collaboratif décrit dans le Manifeste de France-Soir.
J'accuse les représentants de la Nation de trahir la confiance et le mandat du peuple français en votant des lois qu’ils ne s’appliquent pas à eux-mêmes (passe sanitaire) ; d’avoir voté des lois sur l’obligation vaccinale des soignants et d’autres professions, en ne respectant pas les données de la science ou se rangeant à des accords de groupe. Je les accuse aussi de ne pas s’être élevés contre l’envoi massif d’armes et de fonds en Ukraine sans contrôle du Parlement, et de ne pas s'être élevés non plus contre la mise en place d’un Conseil de défense, une entité qui a consacré l’obscurantisme de décisions sanitaires qui auraient dû faire l’objet d’une totale transparence. En outre, je les accuse de ne pas avoir exercé en temps et en heure le contrôle parlementaire, exigé par leurs fonctions, sur les dépenses et les engagements inconsidérés des gouvernements Macron, contraires à l’intérêt de la Nation et grévant l'avenir de nos enfants.
J'accuse le Conseil constitutionnel de valider les lois qu'il sait contraires à la Constitution et aux intérêts des Français.
J’accuse le ministère de la Santé et l’État de privilégier une économie de la maladie profitant aux grandes industries déjà globalisées au détriment de la santé de la population. Les prescriptions abusives de médicaments représentent ainsi aujourd’hui la principale cause de mortalité en Occident. Pas plus en France qu’aux États-Unis n’avons-nous de politique de santé digne de ce nom qui fasse de la bonne santé des Français une priorité.
Ensuite, j'accuse le ministre de la Santé d'avoir mené la plus grande escroquerie sanitaire, économique et sociale de l'Histoire moderne, permettant ainsi la perte de chance de nombreux patients, en n’ayant pas suivi les données de la science et les travaux de l’IHU méditerranée (financé par les impôts des Français) sur l’efficacité des traitements précoces. Enfin, j'accuse également le ministère de la Santé d'avoir promu une thérapie génique expérimentale sans avoir la totalité des études. « Tous vaccinés, tous protégés ! » était un slogan mensonger. Toute affirmation sur l'efficacité et la non-dangerosité de cette thérapie expérimentale aurait dû être accompagnée de réserves, et sa validité aurait dû être vérifiée, comme l’exige la déontologie des journalistes.
J'accuse en cela le Conseil d'État de manquement à ses devoirs en n'ayant pas censuré d'initiative ce slogan. Et, j'accuse le Conseil d'État de protéger l'État, plutôt que de protéger les citoyens contre les décisions de l'État qui sont manifestement contraires à la loi, et celles qui donnent la part belle à des données contraires à celles de la science.
J'accuse la Cour de justice de la République d’avoir protégé les déclarations fausses et fallacieuses du ministre de la Santé sur l’efficacité vaccinale et l’absence d’effets secondaires.
J'accuse le directeur général de la santé et le Conseil scientifique d'avoir hautement participé aux mensonges et à cette escroquerie en ne contribuant pas à éclairer les Français sur les réels choix scientifiques. Ceci ayant d’autant plus été démontré dans les RKI files en Allemagne.
J'accuse le conseil de l'ordre des médecins d'avoir coopéré à cette escroquerie, en faisant régner la peur et la terreur parmi les médecins qui soignaient. J'accuse le Conseil de l'ordre des Médecins et celui des pharmaciens d'avoir contraint les médecins et pharmaciens à violer leurs serments, leur éthique, leur déontologie en faisant usage de méthodes coercitives pour les empêcher de prodiguer les soins nécessaires à leurs patients, en les empêchant de recevoir leurs patients et de les opérer s'ils n'étaient pas vaccinés, avec un produit en phase expérimentale. D'avoir contribué à bannir de leur rang tous médecins et pharmaciens, qui fidèles à leurs engagements et vocations, ont soigné ou informé les patients en vertu des serments et des conventions internationales.
J'accuse l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé d'avoir contribué à la perte de chance des patients, en ne donnant pas une autorisation temporaire d’utilisation de l’hydroxychloroquine telle que cela lui fut demandé par l’IHU méditerranée, ou une autorisation sur l’ivermectine, et d’avoir à l'inverse fourni une autorisation temporaire sur les thérapies géniques, en absence d’études fondamentales sur la toxicité de ces produits (absence des données sur la bio distribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité). Et, j'accuse également l'ANSM d’avoir minimisé l’importance des effets secondaires et de ne pas avoir tout mis en œuvre pour obtenir (rétention d’information) les informations sur les données de mortalité des décès, toutes causes, avec statut vaccinal et par classe d’âge, ce qui aurait permis de démontrer sans faille les assertions des politiques.
J’accuse ceux qui ont privé les français des médicaments peu onéreux, non toxiques et efficaces en phase précoce de la maladie (comme l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine), ce qui les a empêchés de recevoir des soins très bon marché, indispensables, et faciles à mettre en place, et ce qui, par conséquence, a provoqué indirectement la mort de bon nombre de nos concitoyens. Une quantité qu’il s’agira d’estimer de façon fiable dans une troisième mi-temps, qui elle, devra être judiciaire, puisque certains médecins ont été jusqu’à faussement estimer une mortalité associée à l’hydroxychloroquine (étude rétractée).
J’accuse de nombreux leaders d’opinion, souvent professeurs de CHU, d’avoir tenté de discréditer, caricaturer un des scientifiques les plus reconnus dans le monde en matière de maladies infectieuses : le Professeur Raoult et ses collègues de l’IHU méditerranée, alors que leurs détracteurs qui n’ont en rien contribué à la science lors de l’épidémie de COVID-19, péroraient sur les plateaux de télévision sans contradicteur. En outre, souvent, ces mêmes médecins, leaders d’opinion, ont essayé par tous les moyens de promouvoir le « Remdesivir », très cher et toxique, absolument non utilisable même en phase précoce, seule phase où le traitement antiviral présente un intérêt.
J’accuse moult médecins et professeurs de médecine de venir distiller leurs opinions plutôt que les données de la science sur les plateaux de télévision, sans déclarer leurs conflits d’intérêt (revenus versés par Big Pharma. À partir de douze, on a un foyer épidémique de conflits d’intérêt ?)
J’accuse nombre de médecins d’avoir failli à leur mission, en premier lieu, dans l’esprit et le respect du serment d’Hippocrate : celle de soigner.
J’accuse une partie de la communauté scientifique, d’avoir voulu discréditer l’hydroxychloroquine et autres traitements précoces ; très certainement en raison de conflits d’intérêt avec le lobby pharmaceutique en concevant des études scientifiques biaisées évaluant l’hydroxychloroquine chez des patients déjà hospitalisés, donc à un stade de prise en charge souvent trop tardif ; des études administrant des doses toxiques (étude anglaise Recovery), et n’associant pas (pour la plupart d’entre elles) l’azithromycine et un timing approprié de soins accompagnés de comédications, comme les anti-coagulants et la dexaméthasone.
J’accuse les promoteurs des études «DISCOVERY » et «HYCOVID » d’avoir voulu effacer l’efficacité de ce médicament et de s’être empressés d’arrêter ou de suspendre le bras hydroxychloroquine. En effet, au 30 juin 2020, le bras hydroxychloroquine a été arrêté, alors que le ratio de risque donnait une évaluation positive en faveur de l’hydroxychloroquine, pas encore statistiquement significative, certes, mais si l’essai avait été poursuivi pour atteindre les 620 patients par bras comme initialement prévu, on aurait pu obtenir un résultat significatif consacrant l'efficacité du traitement.
J’accuse nombre de journaux scientifiques de publier l’impubliable. La meilleure preuve de malhonnêteté est l’immense scandale des articles publiés, puis rétractés (art.1, art.2, art 3), en particulier dans « The Lancet et autres revues. Car il faut savoir qu'un éditeur a tout pouvoir pour accepter ou rejeter un article indépendamment, de le faire passer par le système de revue par les pairs, voire éventuellement sans tenir compte de leur avis.
J’accuse une association française bien connue d'avoir propagé cette rumeur totalement fausse de la toxicité de l’hydroxychloroquine en instrumentalisant un rapport de pharmacovigilance sans regarder le fait qu’il n’y avait pas de signaux de toxicité dans d’autres pays.
J’accuse ceux qui ont menti et proféré tout et son contraire, tout au long de l’épidémie, d’avoir engendré des pertes de chance de patients et le désarroi dans de nombreuses familles. Lisons à cet effet les édifiants livres du professeur Perronne « Quelles erreurs n’ont-ils pas commises ? » et « Décidément, ils n’ont toujours rien compris ! » Rappelons simplement les recommandations sur les tests et les masques, qui furent successivement inutiles, puis utiles, au fur et à mesure qu’ils devenaient disponibles. Notons la tromperie sur les indicateurs évaluant la saturation du nombre de lits de réanimation, autour d’une confusion entre lits de réanimation, lits de réanimation et de soins intensifs, et peut-être lits de soins continus, sans que la différence ait été clairement stipulée (Nouvelle incohérence de Santé Publique France et du ministre de la Santé ou bien erreur volontaire).
J'accuse le Garde de Sceaux de sévérité indue envers les faibles, et de laxisme coupable devant les puissants, notamment en ce qui concerne les ministres et membres de la représentation nationale, pour leurs affaires de mœurs ou de stupéfiants.
J'accuse l'ordre des avocats de s'être montré un auxiliaire de cette justice partisane.
J'accuse les magistrats d’avoir contribué à violer l’indépendance de la justice, en ayant une approche protectrice, voire partisane ou politique, des décisions qu'ils ont prises en ce sens. Une application du droit à géométrie variable et à ajustements constants.
J'accuse le ministre de l'Économie d'avoir creusé la dette de façon abyssale, qui plus est non pas pour aider au destin de la France, mais pour lui nuire au plus haut point, en offrant une dette de plus en plus importante, sans limitation, sur les vivants et sur les enfants à naître.
J'accuse la Cour des comptes de toujours tirer la sonnette d'alarme trop tard, et pour les milliards d'euros qu'elle coûte aux Français chaque année... pour rien.
J'accuse le ministre de l'Intérieur de violences létales totalement injustifiées contre les Gilets Jaunes, les pompiers, les infirmières, les retraités, etc., qui manifestaient pacifiquement pour leurs droits, et je l'accuse aussi pour son défaut de réponse aux questions qui lui ont été posées par l'O.N.U. à ce sujet.
J'accuse le ministre des Affaires sociales de masquer les affaires de mœurs et de pédophilie qui gangrènent ses services de terrain.
J'accuse le ministre de l'Éducation nationale de contribuer à affaiblir le niveau d'éducation des enfants, en utilisant le plus petit commun dénominateur pour établir le niveau mettant au rebut la méritocratie prônée pendant si longtemps par l’institution qu’est l’Éducation nationale. Et, je l'accuse également d'inciter les enfants à la débauche au travers de programmes ciblant notamment l’éducation sexuelle et des sujets dépravants, totalement inappropriés pour leur très jeune âge. Ceci entraine un appauvrissement intellectuel et du rayonnement du modèle français, l'éducation étant un traitement précoce contre la pauvreté et foyer de découvertes, de progrès et de croissance.
J'accuse le ministre de la Recherche et de l'enseignement supérieur de dérives sectaires entrainant la perte de chance de patients et la prise de risque à d’autres personnes qui ne sont pas à risque (notamment les jeunes qui n’avaient pas de risque avec la Covid). Je l’accuse aussi de ne pas avoir pris la défense des scientifiques de l’IHU devant le harcèlement incessant subi durant les quatre dernières années avec de nombreuses inversions accusatoires et une instrumentalisation de la science.
J’accuse le ministre de l’Agriculture de rendre la vie impossible à nos agriculteurs, de les précipiter dans la précarité ou la faillite en sacrifiant les priorités que sont l'intérêt des Français et la sécurité de la Nation au profit d'une idéologie mondialiste qui nous éloigne des valeurs de la France et du préambule de la Constitution qu'est la Déclaration des droits de l'Homme. Cela entrainant des risques majeurs par la perte de notre autosuffisance alimentaire et de la destruction de l’économie agricole, de la culture et de la socialité rurales. Cela fait aussi prendre des risques de santé publique aux Français avec une nourriture moins saine ou ayant des standards de qualité inférieurs ainsi que par la pollution de la nourriture, des sols, de l’air et de l’eau.
J'accuse les partis politiques de pactes avec le gouvernement, pour servir leurs intérêts personnels, au préjudice de la France et des Français.
J'accuse le ministre de la Culture de détournement coupable et d'affaiblissement, à la fois drastique et méthodique, de la culture française, et surtout de partialité dans les attributions des certificats de médias ainsi que les aides aux médias. À ce titre d'ailleurs , « j'accuse » (avec humour) France-Soir d'avoir pris le temps de publier et de prendre des risques sur tous ces sujets, en essayant de défendre l'éthique et la déontologie du journalisme « quoiqu'il en coûte », conformément au devoir premier du journaliste.
J'accuse les médias asservis à l'oligarchie financière internationale et les médias subventionnés à milliards, de mentir aux Français et d'essayer d’exercer une emprise totalitaire sur le peuple, en tentant d’annihiler le débat contradictoire, qualifiant notamment toute pensée différente de « complotisme », usant de sarcasmes tout en évitant soigneusement les arguments rationnels et référencés. (3)
J’accuse les commissaires européens de détournement de pouvoir dans le cadre de l’approbation des inoculâts covid-19, sur des informations incomplètes, mettant ainsi en danger les populations des États membres. Et, par là même, j'accuse la Cour de justice de l'Union européenne de protéger ces décisions en ne rendant pas transparents ces contrats.
J’accuse le ministère des Armées d’avoir contribué à mettre en danger la défense nationale en imposant la vaccination obligatoire des militaires alors que de trop nombreux effets secondaires étaient déplorés au sein même des Armées et qu’ils n’étaient pas à risque de par l’âge des soldats.
J’accuse le médecin de l’Élysée d’avoir trahi la promesse de transparence du président Macron sur son état de santé, en ne produisant pas de bulletin de santé de celui-ci, tel que le président en avait pris l’engagement.
J'accuse le Premier Ministre et le ministre des Affaires étrangères d'avoir violé la Constitution en envoyant des armes en Ukraine sans l'accord du Parlement.
J’accuse en outre le gouvernement Macron de co-belligerance envers la Russie, mettant ainsi le peuple français en danger de guerre, alors que l’adhésion à l’ONU fait que la propagande de guerre est interdite, ainsi que de vouloir mutualiser l’arme de dissuasion nucléaire, ce qui place la France en défaut de ses obligations par rapport à son adhésion à l’ONU.
J’accuse le gouvernement de trahison envers la Nation et le Peuple français, en contribuant à faire rétrograder la liberté d’expression et les libertés fondamentales en France, et en pactisant avec une ou des puissances étrangères, pour entraîner la France dans une crise économique, sanitaire et d’identité sans pareille dans toute son Histoire dans un non-respect du préambule de la Constitution qu’est la Déclaration des Droits de l’Homme.
J’accuse le président de la République de vouloir enfreindre la loi de 1905 sur la séparation de l’église et de l’État en voulant délivrer un discours politique à l’intérieur de la cathédrale Notre-Dame lors de sa réouverture. Ce qu’aucun roi de France n’a jamais fait, et qui est proscrit par l’article 35-1 de la loi de 1905.
Et, enfin, j'accuse le président de la République d'être le chef d'orchestre de ce requiem et de ne pas agir dans le sens de l'intérêt général de la France et des Français. D'avoir mis la République en Marche, délibérément dans le sens totalement opposé à l’intérêt national.
Devant ces constats et avec seulement 3 % des Français qui pensent qu'il mène le pays dans la bonne direction, le devoir devrait l’appeler à remettre sa démission au bon sens du peuple français, ce qu'ont déjà fait certains grands de ce monde. Et à défaut, d'effectuer une série de référendums sur la direction à donner à la France et à en respecter leurs résultats.
NOTA : cette version augmentée est publiée suite à de nombreux échanges avec des lecteurs afin d'apporter quelques éléments qui avaient échappé à la version publiée le 7 novembre 2024. L'intelligence collective permet toujours de s'améliorer, tel que France-Soir en a fait le pari dans son manifeste publié le 1ᵉʳ mai 2020 (pour télécharger le manifeste)
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Jacques Le Bris
September 15, 4:34 AM
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Jacques Le Bris
September 11, 3:44 AM
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Dans un communiqué, la CGT du groupe France Télévisions accuse le JT de France 2 de s’ériger en porte-voix du pouvoir, au détriment de l’information pluraliste et du traitement équilibré de l’actualité sociale. Le CGT du groupe audiovisuel évoque un journal « d’Ancien Régime pratiquant le journalisme de cour ». Le syndicat estime que la direction de l’#information a choisi de miser sur une ligne éditoriale « réactionnaire », sacrifiant la diversité des points de vue au profit d’un récit centré sur l’ordre et l’autorité. À l’image de la nomination de Sébastien #Lecornu au poste de 1er ministre qui est présenté comme une évidence politique, sans ouvrir le débat sur les alternatives possibles ni rappeler l’impopularité du nouveau chef de gouvernement. Autre reproche : la couverture de la journée de mobilisation du #10septembre. Alors que, selon les sondages, une large partie des Français soutient le mouvement « Bloquons tout ! », la CGT reproche au 20h d’avoir « occulté » les raisons profondes de la colère populaire. Le JT a choisi de traiter cette actualité uniquement sous l’angle sécuritaire et des perturbations à venir, réduisant la mobilisation à une question d’ordre public. Le syndicat dénonce par ailleurs la mise en avant du dispositif policier, décrit comme un « étalage de moyens de #répression », sans contextualisation sur les violences et mutilations subies par les manifestants ces dernières années. Pour la CGT, présenter les forces de l’ordre comme ayant « appris des gilets jaunes à être plus efficaces », sans rappeler la gravité de la répression passée, revient à « tourner le dos à une population qui défend son droit à manifester ». Le communiqué critique également le traitement réservé aux #journalistes eux-mêmes, soulignant l’absence de rappel sur les menaces qui pèsent sur leur sécurité lorsqu’ils couvrent des manifestations. Selon le syndicat, France 2 n’a pas fait preuve de solidarité envers ses équipes exposées aux violences et a préféré adopter une posture de distance. Enfin, la CGT accuse le journal de #manipulation lorsqu’il établit un lien entre le mouvement « Bloquons tout ! » et l’extrême droite, réduisant les revendications populaires à des caricatures fiscales ou antiservices publics. Le texte conclut en dénonçant un « naufrage » du JT de France 2 accusé de mépriser les citoyens en quête d’information honnête et les journalistes qui y travaillent « dans l’adversité ».
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Jacques Le Bris
September 5, 3:28 AM
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Tu ne me protèges pas quand je me fais agresser dans la rue.
— Alexis Haupt Philosophie (@AlexisPhilo) September 4, 2025
Tu es du côté des squatteurs quand je tente de récupérer ma maison.
Tu m’obliges à m’injecter des produits que tu sais être expérimentaux.
Tu tentes d’enseigner la sexualité à mes enfants.
Tu veux leur expliquer qu’ils…
Tu ne me protèges pas quand je me fais agresser dans la rue.
Tu es du côté des squatteurs quand je tente de récupérer ma maison.
Tu m’obliges à m’injecter des produits que tu sais être expérimentaux.
Tu tentes d’enseigner la sexualité à mes enfants.
Tu veux leur expliquer qu’ils peuvent choisir leur genre, voire changer de sexe plus tard.
Tu ne mets aucune peine à ceux qui agressent et violent.
Tes projets riment de plus en plus avec restriction des libertés et censure.
Tu ne me rates pas à la moindre petite infraction inoffensives : stationnement, etc.
Tu détruis l’hôpital, l’école et réduis les services publics.
Tu augmentes mes impôts, mes factures, tu me taxes et me surtaxes.
Et même quand je suis mort, tu prélèves une part exorbitante sur la maison que je lègue à mes enfants.
Mais dis-moi une chose, État : ne serais-tu pas en guerre contre moi en fait ?
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Jacques Le Bris
June 8, 6:10 AM
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Il était une fois Michel. Un menuisier à la retraite, dans une petite ville de province. Michel, c'était la France du travail bien fait. Toute sa vie, il avait poncé, ajusté, assemblé, avec la fierté de l'artisan qui laisse une trace solide. Son chef-d'œuvre, ce n'était pas une… pic.twitter.com/etJHKjfYQs
— Parrhésiaste - Frédéric Bascuñana #PIC⚜️ (@parrhesiaste_fr) June 7, 2025
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Jacques Le Bris
June 3, 4:24 AM
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�ZFE ou le mépris de caste.
— Philippe (49) (@Educ_suspendu) June 2, 2025
Retour LUNAIRE sur l'entretien entre @AlexandreJardin et @AgnesRunacher.
▫️ Étude d'impact économique ou sociologique dérisoire avant la mise en œuvre des ZFE.
▫ Atteinte à la dignité des citoyens modestes tout à fait secondaire.#gueux pic.twitter.com/aFxkN9oSQy
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Jacques Le Bris
March 21, 7:16 AM
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Quelle place pour le droit dans la transition écologique ? Comment garantir que les enjeux environnementaux ne restent pas lettre morte face aux intérêts économiques et politiques ?
À travers cet entretien pour "Energie à la Une", je reviens sur plus de 40 ans de combats juridiques, depuis la création du cabinet Huglo Lepage Avocats jusqu’aux grandes affaires qui ont marqué l’évolution du droit de l’environnement en hashtag#France et en hashtag#Europe.
Dès 1978, avec Christian Huglo, nous avons fait du droit un moyen d’action pour défendre l’environnement et contraindre les acteurs économiques à respecter leurs obligations. Pollution maritime, contentieux contre des industriels, reconnaissance du préjudice écologique… Autant de décisions qui ont contribué à structurer le droit public et environnemental.
Comme ministre de l’Environnement, j’ai porté des réformes ambitieuses, mais aussi mesuré l’ampleur des résistances. Aujourd’hui encore, le combat continue : la transition énergétique et l’économie circulaire doivent être accélérées par des outils juridiques adaptés.
Le droit n’est pas une contrainte, c’est un moteur de la transition. Le coût de l’inaction est trop élevé, et il est urgent d’agir avec une approche humaniste et pragmatique, qui place l’écologie au cœur de la justice sociale.
hashtag#Droit hashtag#Environnement hashtag#TransitionÉcologique hashtag#ÉnergiesRenouvelables hashtag#JusticeClimat
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Jacques Le Bris
March 11, 9:42 AM
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Dans une double page publiée dans Le Monde du 8 mars, les plus hauts magistrats français, tant des juridictions judiciaires qu'administratives, lançaient une alerte sur les attaques répétées contre les principes juridiques et les juges. Le procureur général près la Cour de cassation soulignait ainsi : « Il ne faudrait pas découvrir la valeur de l'État de droit une fois perdu. »
Il ne se passe en effet pas une semaine sans que l'institution judiciaire soit remise en cause, au motif qu'un jugement ne convient pas au politique et qu'il serait inadmissible qu'un juge puisse sanctionner une décision administrative. Or, c'est précisément son rôle.
L'État de droit repose avant tout sur une organisation des pouvoirs garantissant au juge son rôle de contre-pouvoir, indispensable pour éviter l'arbitraire et contraindre les autres pouvoirs à respecter les principes fondamentaux.
L’exemple américain illustre aujourd’hui cruellement les conséquences de l'absence de contre-pouvoirs efficaces, notamment avec la possibilité pour un président de licencier des milliers de fonctionnaires fédéraux par simple décision politique.
Cependant, si les principes constitutionnels et les droits fondamentaux sont immuables – ou du moins difficilement modifiables –, il n’en va pas de même des lois, qui peuvent être changées par le législateur. Ainsi, la raison impérative d’intérêt public majeur, qui défraie la chronique après le jugement du tribunal de Toulouse sur l’A69, a récemment fait l’objet de modifications législatives pour accorder à certaines infrastructures jugées vitales une présomption d'intérêt public majeur.
L'État de droit garantit un ordre et un cadre juridique permettant d’assurer la stabilité de la société. À l’inverse, l'État de non-droit, c'est l'arbitraire total, la loi du plus fort, le mépris des principes fondamentaux qui fondent la démocratie et la liberté.
Sans règles partagées et sanctionnées, c'est l'insécurité généralisée, tant pour les individus que pour les entreprises.
Dans la période particulièrement troublée que nous traversons, où la violence s’accroît et où l’angoisse se propage sous toutes ses formes, nous avons besoin de points d’ancrage solides. Cette colonne vertébrale, bâtie pour être résistante et légitime parce qu’acceptée par tous, porte un nom : l'État de droit.
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Jacques Le Bris
March 7, 5:31 AM
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Bientôt les applications vitales pour la survie de la nation : “Tous Anti Poutine”, et “Vite Ma Guerre” pour trouver le champ de bataille le plus près de chez vous ! �� pic.twitter.com/UhWlXvtUn4
— Karine Dubernet (@KarineDubernet) March 7, 2025
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Jacques Le Bris
February 25, 5:34 AM
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Jacques Le Bris
January 19, 9:56 AM
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Jacques Le Bris
January 16, 9:05 AM
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NDC : Cliquez sur l'image pour avoir la source de cet article sur 𝕏.
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Jacques Le Bris
December 26, 2024 11:47 AM
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Les Américains pourraient-ils perdre le contrôle de leur propre monnaie ?
Donald Trump et son équipe hors norme vont-ils casser Washington et la manière de gouverner ailleurs en Occident ? Le chaos est-il à nos portes ?
« L’histoire de l’humanité depuis le début du capitalisme, c’est à peu près 70 ans de stabilité, 30 ans de merdier. On est bien rentré dans les 30 ans de chaos. Et c’est là où on se marre le plus, pour les gens qui aiment la liberté. Il est simplement l’expression de gens qui trouvent que l’État s’est imposé d’une façon tellement insupportable qu’ils préfèrent le voir disparaître et retrouver leur liberté que de rester avec les contraintes précédentes. »
Charles Gave, fondateur de l’Institut des libertés, auteur et investisseur est de retour à Contact pour jeter un coup d'œil rétrospectif sur l’année 2024.
Liens officiels :
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00:00 - Intro
01:00 - La souveraineté pour un citoyen, c’est l’argent.
12:45 - Retour sur l’année financière de 2024.
18:35 - Le dollar contrôlé par la Chine.
23:05 - La criminalisation de la parole.
39:43 - « 70 ans de stabilité, 30 ans de merdier. »
47:00 - Le nouveau gouvernement Trump : tout changer en 100 jours.
58:35 - Y a-t-il encore des principes en politique ?
1:03:01 - « Une société où tout le monde est toujours d’accord, c’est une société qui crève »
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Jacques Le Bris
December 1, 2024 10:33 AM
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Le "J'accuse" de Xavier Azalbert, publié à l'occasion de 80 ans de France-Soir (Défense de la France sous l'Occupation), fait le bilan du désastre provoqué intentionnellement et des crimes d’État commis par le gouvernement français sous Macron.
— Jean-Dominique Michel (@MichelJeanDomi1) November 29, 2024
Il nous appartient de dire cette… pic.twitter.com/OOPIIANTqR
J'accuse les représentants de la Nation de trahir la confiance et le mandat du peuple français en votant des lois qu’ils ne s’appliquent pas à eux-mêmes (passe sanitaire) ; d’avoir voté des lois sur l’obligation vaccinale des soignants et d’autres professions, en ne respectant pas les données de la science ou se rangeant à des accords de groupe. Je les accuse aussi de ne pas s’être élevés contre l’envoi massif d’armes et de fonds en Ukraine sans contrôle du Parlement, et de ne pas s'être élevés non plus contre la mise en place d’un Conseil de défense, une entité qui a consacré l’obscurantisme de décisions sanitaires qui auraient dû faire l’objet d’une totale transparence. En outre, je les accuse de ne pas avoir exercé en temps et en heure le contrôle parlementaire, exigé par leurs fonctions, sur les dépenses et les engagements inconsidérés des gouvernements Macron, contraires à l’intérêt de la Nation et grévant l'avenir de nos enfants.
J'accuse le Conseil constitutionnel de valider les lois qu'il sait contraires à la Constitution et aux intérêts des Français.
J'accuse le ministre de la Santé d'avoir mené la plus grande escroquerie sanitaire, économique et sociale de l'Histoire moderne, permettant ainsi la perte de chance de nombreux patients, en n’ayant pas suivi les données de la science et les travaux de l’IHU méditerranée (financé par les impôts des Français) sur l’efficacité des traitements précoces. Et, j'accuse également le ministère de la Santé d'avoir promu une thérapie génique expérimentale sans avoir la totalité des études. « Tous vaccinés, tous protégés ! » était un slogan mensonger. Toute affirmation sur l'efficacité et la non-dangerosité de cette thérapie expérimentale aurait dû être accompagnée de réserves, et sa validité aurait dû être vérifiée, comme l’exige la déontologie des journalistes.
J'accuse en cela le Conseil d'État de manquement à ses devoirs en n'ayant pas censuré d'initiative ce slogan. Et, j'accuse le Conseil d'État de protéger l'État, plutôt que de protéger les citoyens contre les décisions de l'État qui sont manifestement contraires à la loi, et celles qui donnent la part belle à des données contraires à celles de la science.
J'accuse la Cour de justice de la République d’avoir protégé les déclarations fausses et fallacieuses du ministre de la Santé sur l’efficacité vaccinale et l’absence d’effets secondaires.
J'accuse le directeur général de la santé et le Conseil scientifique d'avoir hautement participé aux mensonges et à cette escroquerie en ne contribuant pas à éclairer les Français sur les réels choix scientifiques. Ceci a d’autant plus été montré dans les RKI files en Allemagne.
J'accuse le conseil de l'ordre des médecins d'avoir coopéré à cette escroquerie, en faisant régner la peur et la terreur parmi les médecins qui soignaient.
J'accuse l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé d'avoir contribué à la perte de chance des patients, en ne donnant pas une autorisation temporaire d’utilisation de l’hydroxychloroquine telle que cela lui fut demandé par l’IHU méditerranée, ou une autorisation sur l’ivermectine, et d’avoir à l'inverse fourni une autorisation temporaire sur les thérapies géniques, en absence d’études fondamentales sur la toxicité de ces produits (absence des données sur la bio distribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité). Et, j'accuse également l'ANSM d’avoir minimisé l’importance des effets secondaires et de ne pas avoir tout mis en œuvre pour obtenir (rétention d’information) les informations sur les données de mortalité des décès, toutes causes, avec statut vaccinal et par classe d’âge, ce qui aurait permis de démontrer sans faille les assertions des politiques.
J’accuse ceux qui ont privé les français des médicaments peu onéreux, non toxiques et efficaces en phase précoce de la maladie (comme l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine), ce qui les a empêchés de recevoir des soins très bon marché, indispensables, et faciles à mettre en place, et ce qui, par conséquence, a provoqué indirectement la mort de bon nombre de nos concitoyens. Une quantité qu’il s’agira d’estimer de façon fiable dans une troisième mi-temps, qui elle, devra être judiciaire, puisque certains médecins ont été jusqu’à faussement estimer une mortalité associée à l’hydroxychloroquine (étude rétractée).
J’accuse beaucoup de leaders d’opinion, souvent professeurs de CHU, d’avoir tenté de discréditer, caricaturer un des scientifiques les plus reconnus dans le monde en matière de maladies infectieuses : le Professeur Raoult et ses collègues de l’IHU méditerranée, alors que leurs détracteurs qui n’ont en rien contribué à la science lors de l’épidémie de COVID-19, péroraient sur les plateaux de télévision sans contradicteur. En outre, souvent, ces mêmes médecins, leaders d’opinion, ont essayé par tous les moyens de promouvoir le « Remdesivir », très cher et toxique, absolument non utilisable même en phase précoce, seule phase où le traitement antiviral présente un intérêt.
J’accuse moult médecins et professeurs de médecine de venir distiller leurs opinions plutôt que les données de la science sur les plateaux de télévision, sans déclarer leurs conflits d’intérêt (revenus versés par Big Pharma. À partir de douze, on a un foyer épidémique de conflits d’intérêts ?)
J’accuse nombre de médecins d’avoir failli à leur mission, en premier lieu dans l’esprit et le respect du serment d’Hippocrate : celle de soigner.
J’accuse une partie de la communauté scientifique, d’avoir voulu discréditer l’hydroxychloroquine et autres traitements précoces ; très certainement en raison de conflits d’intérêt avec le lobby pharmaceutique en concevant des études scientifiques biaisées évaluant l’hydroxychloroquine chez des patients déjà hospitalisés, donc à un stade de prise en charge souvent trop tardif ; des études administrant des doses toxiques (étude anglaise Recovery), et n’associant pas (pour la plupart d’entre elles) l’azithromycine et un timing approprié de soins accompagnés de comédications, comme les anti-coagulants et la dexaméthasone.
J’accuse les promoteurs des études «DISCOVERY » et «HYCOVID » d’avoir voulu effacer l’efficacité de ce médicament et de s’être empressés d’arrêter ou de suspendre le bras hydroxychloroquine. En effet, au 30 juin 2020, le bras hydroxychloroquine a été arrêté, alors que le ratio de risque donnait une évaluation positive en faveur de l’hydroxychloroquine, pas encore statistiquement significative, certes, mais si l’essai avait été poursuivi pour atteindre les 620 patients par bras comme initialement prévu, on aurait pu obtenir un résultat significatif consacrant l'efficacité du traitement.
J’accuse nombre de journaux scientifiques de publier l’impubliable. La meilleure preuve de malhonnêteté est l’immense scandale des articles publiés, puis rétractés (art.1, art.2, art 3), en particulier dans « The Lancet et autres revues. Car il faut savoir qu'un éditeur a tout pouvoir pour accepter ou rejeter un article indépendamment, de le faire passer par le système de revue par les pairs, voire éventuellement sans tenir compte de leur avis.
J’accuse une association française bien connue d'avoir propagé cette rumeur totalement fausse de la toxicité de l’hydroxychloroquine en instrumentalisant un rapport de pharmacovigilance sans regarder le fait qu’il n’y avait pas de signaux de toxicité dans d’autres pays.
J’accuse ceux qui ont menti et proféré tout et son contraire, tout au long de l’épidémie, d’avoir engendré des pertes de chance de patients et le désarroi dans de nombreuses familles. Lisons à cet effet les édifiants livres du professeur Perronne « Quelles erreurs n’ont-ils pas commises ? » et « Décidément, ils n’ont toujours rien compris ! » Rappelons simplement les recommandations sur les tests et les masques, qui furent successivement inutiles, puis utiles, au fur et à mesure qu’ils devenaient disponibles. Notons la tromperie sur les indicateurs évaluant la saturation du nombre de lits de réanimation, autour d’une confusion entre lits de réanimation, lits de réanimation et de soins intensifs, et peut-être lits de soins continus, sans que la différence ait été clairement stipulée (Nouvelle incohérence de Santé Publique France et du ministre de la Santé ou bien erreur volontaire).
J'accuse le Garde de Sceaux de sévérité indue envers les faibles, et de laxisme coupable devant les puissants, notamment en ce qui concerne les ministres et membres de la représentation nationale, pour leurs affaires de mœurs ou de stupéfiants.
J'accuse l'ordre des avocats de s'être montré un auxiliaire de cette justice partisane.
J'accuse les magistrats d’avoir contribué à violer l’indépendance de la justice, en ayant une approche protectrice, voire partisane ou politique, des décisions qu'ils ont prises en ce sens. Une application du droit à géométrie variable et à ajustements constants.
J'accuse le ministre de l'Économie d'avoir creusé la dette de façon abyssale, qui plus est non pas pour aider au destin de la France, mais pour lui nuire au plus haut point, en offrant une dette de plus en plus importante, sans limitation, sur les vivants et sur les enfants à naître.
J'accuse la Cour des comptes de toujours tirer la sonnette d'alarme trop tard, et pour les milliards d'euros qu'elle coûte aux Français chaque année... pour rien.
J'accuse le ministre de l'Intérieur de violences létales totalement injustifiées contre les Gilets Jaunes, les pompiers, les infirmières, les retraités, etc., qui manifestaient pacifiquement pour leurs droits, et je l'accuse aussi pour son défaut de réponse aux questions qui lui ont été posées par l'O.N.U. à ce sujet.
J'accuse le ministre des Affaires sociales de masquer les affaires de mœurs et de pédophilie qui gangrènent ses services de terrain.
J'accuse le ministre de l'Éducation nationale de contribuer à affaiblir le niveau d'éducation des enfants, en utilisant le plus petit commun dénominateur pour établir le niveau mettant au rebut la méritocratie prônée pendant si longtemps par l’institution qu’est l’Éducation nationale. Et, je l'accuse également d'inciter les enfants à la débauche au travers de programmes ciblant notamment l’éducation sexuelle et des sujets dépravants, totalement inappropriés pour leur très jeune âge.
J'accuse le ministre de la Recherche et de l'enseignement supérieur de dérives sectaires entrainant la perte de chance de patients et la prise de risque à d’autres personnes qui ne sont pas à risque (notamment les jeunes qui n’avaient pas de risque avec la Covid). Je l’accuse aussi de ne pas avoir pris la défense des scientifiques de l’IHU devant le harcèlement incessant subi durant les quatre dernières années avec de nombreuses inversions accusatoires et une instrumentalisation de la science.
J'accuse les partis politiques de pactes avec le gouvernement, pour servir leurs intérêts personnels, au préjudice de la France et des Français.
J'accuse le ministre de la Culture de détournement coupable et d'affaiblissement, à la fois drastique et méthodique, de la culture française, et surtout de partialité dans les attributions des certificats de médias ainsi que les aides aux médias. À ce titre d'ailleurs , « j'accuse » (avec humour) France-Soir d'avoir pris le temps de publier et de prendre des risques sur tous ces sujets, en essayant de défendre l'éthique et la déontologie du journalisme « quoiqu'il en coûte », conformément au devoir premier du journaliste.
J'accuse les médias asservis à l'oligarchie financière internationale et les médias subventionnés à milliards, de mentir aux Français et essayer d’exercer une emprise totalitaire sur le peuple, en tentant d’annihiler le débat contradictoire, qualifiant notamment toute pensée différente de « complotisme », usant de sarcasmes tout en évitant soigneusement les arguments rationnels et référencés. (3)
J’accuse les commissaires européens de détournement de pouvoir dans le cadre de l’approbation des inoculâts covid-19, sur des informations incomplètes, mettant ainsi en danger les populations des États membres. Et, par là même, j'accuse la Cour de justice de l'Union européenne de protéger ces décisions en ne rendant pas transparents ces contrats.
J’accuse le ministère des Armées d’avoir contribué à mettre en danger la défense nationale en imposant la vaccination obligatoire des militaires alors que de trop nombreux effets secondaires étaient déplorés au sein même des Armées et qu’ils n’étaient pas à risque de par l’âge des soldats.
J’accuse le médecin de l’Élysée d’avoir trahi la promesse de transparence du président Macron sur son état de santé, en ne produisant pas de bulletin de santé de celui-ci, tel que le président en avait pris l’engagement.
J'accuse le Premier Ministre et le ministre des Affaires étrangères d'avoir violé la Constitution en envoyant des armes en Ukraine sans l'accord du Parlement. J’accuse en outre le gouvernement Macron de co-belligerance envers la Russie, mettant ainsi le peuple français en danger de guerre, alors que l’adhésion à l’ONU fait que la propagande de guerre est interdite, ainsi que de vouloir mutualiser l’arme de dissuasion nucléaire, ce qui place la France en défaut de ses obligations par rapport à son adhésion à l’ONU.
J’accuse le gouvernement de trahison envers la Nation et le Peuple français, en contribuant à faire rétrograder la liberté d’expression et les libertés fondamentales en France, et en pactisant avec une ou des puissances étrangères, pour entraîner la France dans une crise économique, sanitaire et d’identité sans pareille dans toute son Histoire dans un non-respect du préambule de la Constitution qu’est la Déclaration des Droits de l’Homme.
J’accuse le président de la République de vouloir enfreindre la loi de 1905 sur la séparation de l’église et de l’Etat en voulant délivrer un discours politique à l’intérieur de la cathédrale Notre-Dame lors de sa réouverture. Ce qu’aucun roi de France n’a fait, et qui est proscrit par l’article 35-1 de la loi de 1905.
Et, enfin, j'accuse le président de la République d'être le chef d'orchestre de ce requiem et de ne pas agir dans le sens de l'intérêt général de la France et des Français. D'avoir mis la République en Marche, délibérément dans le sens totalement opposé à l’intérêt national.
Devant ces constats et avec seulement 3 % des Français qui pensent qu'il mène le pays dans la bonne direction, le devoir devrait l’appeler à remettre sa démission au bon sens du peuple français, ce qu'ont déjà fait certains grands de ce monde. À défaut, à effectuer une série de référendums sur la direction à donner à la France et à en respecter leurs résultats