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Jacques Le Bris
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Jacques Le Bris
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Abnousse Shalmani, présidente du jury des Prix de la Laïcité 2023 : "Laïcité, ce mot qu’on doit dorénavant défendre alors qu’il nous défendait" (Prix de la Laïcité, 8 nov. 23)
Jacques Le Bris's insight:
Sans le moindre doute, l’assassinat de Charlie Kirk montre une fois de plus que déshumaniser un adversaire conduit inéluctablement à user de la violence à son encontre lorsque celui-ci refuse de se taire ou de disparaître. Ce n’est malheureusement pas la première fois, ni certainement la dernière, que le rappel de cette réalité sera fait. Cependant, on lit ici ou là que cette rhétorique déshumanisante est un poison qui rongerait nos sociétés démocratiques. Ce n’est qu’en partie vrai : refuser de voir l’humain dans celui qui tient des opinions différentes est effectivement une façon aussi toxique que rapide de transformer la relation en conflit et justifier la violence, mais non, cela ne ronge pas nos sociétés démocratiques : à proprement parler, il n’y a plus de démocratie réelle actuellement en Occident. Si cela ronge quelque chose, c’est malheureusement plus profond que la seule couche démocratique des sociétés : cela a maintenant atteint toutes les strates, depuis les individus jusqu’aux partis politiques. On se déchire autant en famille que dans la rue ou sur des plateaux télés pour des opinions différentes et ces dernière se font chaque jour plus radicales, moins nuancées et moins aptes à supporter l’aménagement, le compromis. C’est d’ailleurs pour cela que ces sociétés occidentales se meurent assez visiblement. Grâce à une application lente mais obstinée du dans la culture et l’éducation pour transformer la société, inexorablement, les universités, les écoles, les instituts de formation, les outils de production culturelle, les associations lucratives sans but ont tous ou presque été « capturés » par une caste issue des mêmes formations intellectuelles, des mêmes bords idéologiques de gauche, essentiellement marxistes ou au moins collectivistes, qui ont soigneusement, au cours des 50 dernières années, infiltré les postes à responsabilité de la société actuelle, i.e. tous les médias, la magistrature, partis politiques, les grosses associations avec pignon sur rue etc. en y cooptant leurs semblables. C’est vrai en France, aux États-Unis, au Royaume-Uni, … bref, partout en Occident le schéma est le même et se répète de façon singulière : à chaque fois, on notera qu’arrivée aux postes clés, la caste se protège en distribuant les postes, les subventions, les aides, les facilités et les prébendes aux bonnes associations, à la bonne presse, aux bonnes formations et institutions, aux bons individus (c’est-à-dire ceux qui véhiculent les messages qui leurs sont utiles). Les scandales sur les distributions de l’USAID aux États-Unis ou de l’AFD ou des subventions à la presse en France montrent bien, outre l’évident capitalisme de connivence, la dérive non démocratique maintenant en place. Parallèlement, à l’étage supranational, ces mêmes individus n’ont eu de cesse de pousser des institutions aussi peu démocratiques que possibles (ONU et institutions filles, OTAN, Union Européenne, etc.) qui permettent, là encore, d’y coopter leurs amis idéologiques. Quand on observe la trajectoire globale des sociétés occidentales sous cet effet, on ne peut qu’observer deux phénomènes : d’une part le déplacement des discours traditionnellement de droite vers le centre de l’échiquier et une poussée de la gauche vers l’extrême-gauche, et d’autre part la polarisation de plus en plus claire des individus. Tout ceci est logique et se déroule en deux temps. 1- Une fois les médias polarisés, il devient impossible d’exister sans tenir un discours qui y est autorisé, i.e. de centre, de gauche ou d’extrême-gauche, mais certainement pas de droite conservatrice ou libérale. C’est une censure subtile, mais elle s’illustre sans ambiguïté par exemple (parmi d’autres) avec le refus des gens de gauche d’aller sur CNews, la seule chaîne vaguement de droite du PAF (et toutes les variations sur « on ne discute pas avec les nazis »). Elle s’illustre avec les délicieux plateaux d’intervenants d’émissions de débat de société ou de politique où on retrouve 4 ou 5 personnes issues de la gauche ou de l’extrême gauche, pour une de la droite ou de l’extrême-droite – quand il y en a une ! La contradiction sera éventuellement présente, mais comme un gage, pas comme une réelle envie de montrer tous les points de vue à égalité. Du reste, pour la caste médiatique, c’est de bonne guerre : on ne donne pas la parole aux méchants, puis aux ennemis, puis à Hitler, enfin voyons ! Il est intolérable de tolérer les intolérants, et le curseur définissant ceux qui sont intolérants sont dans les seules mains des cooptés de la caste. 2- Cette situation pousse alors les partis à adapter leur discours pour pouvoir être vus : petit-à-petit, même les partis traditionnellement à droite, libéraux ou conservateurs se font plus étatistes et collectivistes, et se retrouvent systématiquement à jouer en défense pour éviter les anathèmes, d’ailleurs largement relayés par des médias qui sont favorables à ceux qui les distribuent. La différence entre les partis de gauche, du centre et de droite rétrécit d’années en années. Le parcours économique du Front puis Rassemblement national en France est une illustration parfaite de cette tendance lévogyre. Le résultat est sans appel : l’offre politique correspond de moins en moins puis plus du tout à ce que demande le peuple et c’est assez visible tant dans les sondages d’opinion que dans l’instabilité politique, en France comme ailleurs. Il y a un fossé de plus en plus large entre le peuple et cette frange qui dirige la politique, les médias, la magistrature, les associations, etc. Cet écart explique à la fois la radicalisation de l’expression sur les rares endroits où elle est encore libre et le besoin de censure rabique qui s’est emparé des institutions qui sentent le pouvoir s’échapper. Aux États-Unis, l’arrivée du Trumpisme a largement accéléré le retour de balancier vers une administration et un gouvernement plus en phase avec le peuple. On observe actuellement les soubresauts de plus en plus violents d’une gauche devenue presque folle qui sent l’abandon du peuple et des leviers de pouvoir qui vont avec, et dont on se doute qu’il aura des conséquences fortes pour ceux qui vont aller trop loin : rapidement, les actes qui étaient avant favorisés par l’establishment ne seront dorénavant plus sans conséquence d’autant qu’ils sont fermement opposés au nouvel establishment en place. De façon intéressante, mentionnait un « effet domino » provoqué par Trump, Milei ou Bukele arrivant au pouvoir. C’est exactement ce qu’on observe actuellement, avec une panique et des des différentes institutions de pouvoir pour ne rien lâcher, une multiplication des pliages de la réalité par le médiaverse de plus en plus spectaculaire. Pour la gauche, la démocratie n’est valable que lorsqu’elle lui permet d’obtenir le pouvoir. Dans ce cadre, ce qui vient d’arriver aux États-Unis avec Charlie Kirk est donc un signal, celui que la gauche a compris qu’elle est en train de perdre le combat culturel et le combat politique et devient donc de plus en plus violente. C’est aussi, paradoxalement, une preuve que le collectivisme, le marxisme et le fascisme reculent. h16
Jacques Le Bris's insight:
Dans un communiqué, la CGT du groupe France Télévisions accuse le JT de France 2 de s’ériger en porte-voix du pouvoir, au détriment de l’information pluraliste et du traitement équilibré de l’actualité sociale. Le CGT du groupe audiovisuel évoque un journal « d’Ancien Régime pratiquant le journalisme de cour ». Le syndicat estime que la direction de l’#information a choisi de miser sur une ligne éditoriale « réactionnaire », sacrifiant la diversité des points de vue au profit d’un récit centré sur l’ordre et l’autorité. À l’image de la nomination de Sébastien #Lecornu au poste de 1er ministre qui est présenté comme une évidence politique, sans ouvrir le débat sur les alternatives possibles ni rappeler l’impopularité du nouveau chef de gouvernement. Autre reproche : la couverture de la journée de mobilisation du #10septembre. Alors que, selon les sondages, une large partie des Français soutient le mouvement « Bloquons tout ! », la CGT reproche au 20h d’avoir « occulté » les raisons profondes de la colère populaire. Le JT a choisi de traiter cette actualité uniquement sous l’angle sécuritaire et des perturbations à venir, réduisant la mobilisation à une question d’ordre public. Le syndicat dénonce par ailleurs la mise en avant du dispositif policier, décrit comme un « étalage de moyens de #répression », sans contextualisation sur les violences et mutilations subies par les manifestants ces dernières années. Pour la CGT, présenter les forces de l’ordre comme ayant « appris des gilets jaunes à être plus efficaces », sans rappeler la gravité de la répression passée, revient à « tourner le dos à une population qui défend son droit à manifester ». Le communiqué critique également le traitement réservé aux #journalistes eux-mêmes, soulignant l’absence de rappel sur les menaces qui pèsent sur leur sécurité lorsqu’ils couvrent des manifestations. Selon le syndicat, France 2 n’a pas fait preuve de solidarité envers ses équipes exposées aux violences et a préféré adopter une posture de distance. Enfin, la CGT accuse le journal de #manipulation lorsqu’il établit un lien entre le mouvement « Bloquons tout ! » et l’extrême droite, réduisant les revendications populaires à des caricatures fiscales ou antiservices publics. Le texte conclut en dénonçant un « naufrage » du JT de France 2 accusé de mépriser les citoyens en quête d’information honnête et les journalistes qui y travaillent « dans l’adversité ».
Brèves de presse
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Jacques Le Bris's insight:
Tu ne me protèges pas quand je me fais agresser dans la rue. Tu es du côté des squatteurs quand je tente de récupérer ma maison. Tu m’obliges à m’injecter des produits que tu sais être expérimentaux. Tu tentes d’enseigner la sexualité à mes enfants. Tu veux leur expliquer qu’ils peuvent choisir leur genre, voire changer de sexe plus tard. Tu ne mets aucune peine à ceux qui agressent et violent. Tes projets riment de plus en plus avec restriction des libertés et censure. Tu ne me rates pas à la moindre petite infraction inoffensives : stationnement, etc. Tu détruis l’hôpital, l’école et réduis les services publics. Tu augmentes mes impôts, mes factures, tu me taxes et me surtaxes. Et même quand je suis mort, tu prélèves une part exorbitante sur la maison que je lègue à mes enfants. Mais dis-moi une chose, État : ne serais-tu pas en guerre contre moi en fait ?
Alexis Haupt Philosophie
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Quelle place pour le droit dans la transition écologique ? Comment garantir que les enjeux environnementaux ne restent pas lettre morte face aux intérêts économiques et politiques ?
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L'État de droit est-il en danger ? Malheureusement, la réponse est positive.Dans une double page publiée dans Le Monde du 8 mars, les plus hauts magistrats français, tant des juridictions judiciaires qu'administratives, lançaient une alerte sur les attaques répétées contre les principes juridiques et les juges. Le procureur général près la Cour de cassation soulignait ainsi : « Il ne faudrait pas découvrir la valeur de l'État de droit une fois perdu. » Il ne se passe en effet pas une semaine sans que l'institution judiciaire soit remise en cause, au motif qu'un jugement ne convient pas au politique et qu'il serait inadmissible qu'un juge puisse sanctionner une décision administrative. Or, c'est précisément son rôle. Sur quoi repose l'État de droit ?L'État de droit repose avant tout sur une organisation des pouvoirs garantissant au juge son rôle de contre-pouvoir, indispensable pour éviter l'arbitraire et contraindre les autres pouvoirs à respecter les principes fondamentaux. L’exemple américain illustre aujourd’hui cruellement les conséquences de l'absence de contre-pouvoirs efficaces, notamment avec la possibilité pour un président de licencier des milliers de fonctionnaires fédéraux par simple décision politique. Cependant, si les principes constitutionnels et les droits fondamentaux sont immuables – ou du moins difficilement modifiables –, il n’en va pas de même des lois, qui peuvent être changées par le législateur. Ainsi, la raison impérative d’intérêt public majeur, qui défraie la chronique après le jugement du tribunal de Toulouse sur l’A69, a récemment fait l’objet de modifications législatives pour accorder à certaines infrastructures jugées vitales une présomption d'intérêt public majeur. Pourquoi cette remise en cause est-elle grave ?L'État de droit garantit un ordre et un cadre juridique permettant d’assurer la stabilité de la société. À l’inverse, l'État de non-droit, c'est l'arbitraire total, la loi du plus fort, le mépris des principes fondamentaux qui fondent la démocratie et la liberté. Sans règles partagées et sanctionnées, c'est l'insécurité généralisée, tant pour les individus que pour les entreprises. Dans la période particulièrement troublée que nous traversons, où la violence s’accroît et où l’angoisse se propage sous toutes ses formes, nous avons besoin de points d’ancrage solides. Cette colonne vertébrale, bâtie pour être résistante et légitime parce qu’acceptée par tous, porte un nom : l'État de droit.
Corinne LepageAvocat associé chez Huglo Lepage Avocats Publié le 10 mars 2025 sur LinkedIn
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Jacques Le Bris's insight:
Bientôt les applications vitales pour la survie de la nation : “Tous Anti Poutine”, et “Vite Ma Guerre” pour trouver le champ de bataille le plus près de chez vous !
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Macron, dans un fauteuil beaucoup trop grand pour lui. Trois ans de guerre en Ukraine, des millions de morts et de blessés, des milliers de beaux discours et de belles promesses, la destruction de notre compétitivité énergétique, le suicide de notre économie, de nos finances et de notre industrie, des milliers de faillites, une explosion de la pauvreté et de la précarité, pour en arriver à ce dramatique et honteux résultat. Les États-Unis triomphent et s'octroient, par la force et sans vergogne, des terres européennes en s'arrangeant avec la Russie de Poutine devant des dirigeants européens qui, Macron en tête, sont de traîtresses petites poupées ridicules. Aujourd'hui, il ne manquait à Macron qu'une laisse autour du cou pour parachever le dramatique tableau d'une France humiliée, à l'instar de toute l'Union européenne, par une indigne accumulation de faiblesses et de soumissions. Nous allons payer très cher et fort longtemps les conséquences des décisions prises par les larbins corrompus des États-Unis que sont Macron, Von der Leyen, Scholz et tous les autres. L'UE ne sert qu'à une seule chose : faire souffrir et soumettre les peuples qu'elle est supposée défendre en tuant les nations qui assuraient leur indépendance, leur liberté et leur prospérité. Après trois années de masquarades et de discours inflexibles, la girouette Macron n'arrête plus de tourner dans tous les sens pour satisfaire Donald qui gère les dirigeants de l'UE comme un élevage de Yorkshires. Dans un fauteuil beaucoup trop grand pour lui, Macron a, comme d'habitude, pris des poses grotesques pour tenter de masquer le vide avant de déclarer piteusement : "...je pense que ce que vient de dire à l'instant le président Trump est très important c'est à dire qu'il va rencontrer rapidement le président Zelinsky pour signer cet accord sur les minerais critiques et les terres rares et que c'est aussi un moyen d'avoir une implication américaine forte, les Européens sont prêts à prendre leur charge... " L'UE est un espace digne de la quatrième dimension, une société dégénéré, indigne, sans honneur qui telle une prostituée offre ses charmes à son proxénète américain. Ainsi, quand Poutine intervient en Ukraine pour prendre des terres il est comparé à Hitler mais quand Trump intervient en Ukraine pour prendre des minerais critiques et des terres rares il faudrait se réjouir car c'est "un moyen d'avoir une implication américaine" ! Dans ce paradis pour corrompus qui s'appelle l'UE, le personnel politique et médiatique européen met en garde 24/7 les opinions publiques sur les menaces militaires que ferait peser la Russie sur nos capitales mais trouve normal que les États-Unis puissent possèder 37 bases militaires et 100.000 soldats sur le sol européen et contrôlent, via l'OTAN, toutes nos forces armées placées entièrement sous leurs commandements ! J'aime profondément la France et je suis sincèrement européen. Voilà pourquoi je souhaite de tout mon cœur le Frexit et la destruction de l'UE. L'UE est une organisation mafieuse, un élevage de traîtres et de corrompus à la solde des intérêts américains. J'invite mes lecteurs à ne pas être dupes, les liens qui nous unissent aux États-Unis sont réels et forts. Ils sont comparables à ceux qui, dans le meilleur des cas, lient la laisse au cou du chien ou à ceux qui, par temps pluvieux, relient la corde au cou du pendu. #Trump #Macron #Ukraine #UkraineWar Stéphane POLI @Stephane_Poli
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Jacques Le Bris
January 16, 9:05 AM
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NDC : Cliquez sur l'image pour avoir la source de cet article sur 𝕏.
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Jacques Le Bris
December 26, 2024 11:47 AM
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Les Américains pourraient-ils perdre le contrôle de leur propre monnaie ?
Donald Trump et son équipe hors norme vont-ils casser Washington et la manière de gouverner ailleurs en Occident ? Le chaos est-il à nos portes ?
« L’histoire de l’humanité depuis le début du capitalisme, c’est à peu près 70 ans de stabilité, 30 ans de merdier. On est bien rentré dans les 30 ans de chaos. Et c’est là où on se marre le plus, pour les gens qui aiment la liberté. Il est simplement l’expression de gens qui trouvent que l’État s’est imposé d’une façon tellement insupportable qu’ils préfèrent le voir disparaître et retrouver leur liberté que de rester avec les contraintes précédentes. »
Charles Gave, fondateur de l’Institut des libertés, auteur et investisseur est de retour à Contact pour jeter un coup d'œil rétrospectif sur l’année 2024.
Liens officiels :
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00:00 - Intro
01:00 - La souveraineté pour un citoyen, c’est l’argent.
12:45 - Retour sur l’année financière de 2024.
18:35 - Le dollar contrôlé par la Chine.
23:05 - La criminalisation de la parole.
39:43 - « 70 ans de stabilité, 30 ans de merdier. »
47:00 - Le nouveau gouvernement Trump : tout changer en 100 jours.
58:35 - Y a-t-il encore des principes en politique ?
1:03:01 - « Une société où tout le monde est toujours d’accord, c’est une société qui crève »
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Jacques Le Bris
December 5, 12:14 PM
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Jacques Le Bris
September 11, 3:57 AM
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�� Allez-vous enfin ouvrir les yeux et comprendre que la source de tous vos malheurs, ce n’est pas votre voisin, ni vos collègues, ni même “les gens” en général. Non. La source de vos malheurs, c’est l’État. C’est lui, et uniquement lui.
— ChienSurpris (@ChienSurpris) September 10, 2025
Quand vous enterrez vos morts, il est… pic.twitter.com/kybydfjpxG
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Jacques Le Bris
September 11, 3:16 AM
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�� C’est marrant de voir à quel point vous gobez tout, sans jamais percuter. On vous dit que les budgets militaires augmentent, vous imaginez déjà des chars flambants neufs, des avions qui décollent pour protéger vos gosses, un pseudo retour à la souveraineté. La vérité ? Tout… pic.twitter.com/JzMm6fZgxn
— ChienSurpris (@ChienSurpris) September 10, 2025
C’est marrant de voir à quel point vous gobez tout, sans jamais percuter.
On vous dit que les budgets militaires augmentent, vous imaginez déjà des chars flambants neufs, des avions qui décollent pour protéger vos gosses, un pseudo retour à la souveraineté. La vérité ? Tout ce fric, c’est de la poudre aux yeux. Dès qu’il y a un conflit à l’extérieur, hop, on balance l’oseille en “aide”, en “soutien”, en “coopération internationale”. En gros, on paie pour que d’autres fassent la guerre à notre place.
Et évidemment qu’une partie disparaît en chemin : rétrocommissions, valises opaques, circuits financiers planqués, contrats bidons… Personne ne sait où ça part. Personne ne sait même qui nous prête ce fric qu’on claque déjà. Mais vous, vous payez. Vous, vous vous faites tondre. Vos impôts, votre sueur, votre force de travail, transformés en chèques cadeaux pour le grand Monopoly mondial.
L’État, c’est un broyeur.
Il vous appauvrit sciemment, à vitesse accélérée, avec Macron en VRP de luxe de cette politique destructrice. Et le pire ? Vous détournez votre colère sur des broutilles : le voisin qui fraude, le collègue qui fait la gueule, le passant qui ne dit pas bonjour. Pendant ce temps-là, le vrai responsable, l’unique machine qui fabrique vos malheurs, c’est l’État. Et tant que vous refusez de le voir, vous restez complices de votre propre ruine.
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Jacques Le Bris
June 30, 2:08 PM
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Beaucoup de gens me demandent : « Mais comment diable faire sortir les gens prisonniers du Médiavers, de ce monde totalement déconnecté de la réalité ? » Vous savez, je n’ai pas de recette magique. À vrai dire, j’ai toujours pensé que la meilleure approche était de nommer les…
— Alexis Haupt Philosophie (@AlexisPhilo) June 30, 2025
Beaucoup de gens me demandent : « Mais comment diable faire sortir les gens prisonniers du Médiavers, de ce monde totalement déconnecté de la réalité ? »
Vous savez, je n’ai pas de recette magique.
À vrai dire, j’ai toujours pensé que la meilleure approche était de nommer les choses, c’est-à-dire le concept. C’est précisément pour cela que j’ai créé le concept du Médiavers. En effet, je pense que nommer ce monde médiatique hors-sol est la première étape pour que les gens qui y vivent sans le savoir puissent en sortir.
C’est par la prise de conscience d’une réalité que les individus pourront s’émanciper.
Et cette conscientisation passe, selon moi, par les mots et, par extension, par le concept. C’est pourquoi j’aime en créer.
En revanche, pour répondre de manière plus concrète à la question « Mais comment diable faire sortir les gens du Médiavers ? », je pense que l’exercice est difficile.
Pas impossible, mais difficile.
Vous savez, moi aussi, dans ma famille, j’ai des personnes qui n’ont toujours pas compris ce qui s’est passé pendant le Covid, pire, qui n’ont pas envie de le comprendre (totalitarisme, gouvernance perverse, terrorisme d’État, injections de produits expérimentaux et nocifs…).
Moi aussi, dans ma famille, même la plus proche, j’ai des personnes qui croient encore aux mensonges politico-médiatiques sur la guerre en Russie, sur l’écologie, et qui sont à des années-lumière de comprendre les enjeux et les divers dangers qui planent au-dessus de nos têtes en Europe.
Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’il est impossible de leur expliquer les choses de manière trop brutale.
Je pense qu’une des meilleures solutions est d’y aller doucement – même si je suis conscient que le temps manque et que c’est sur l’ignorance de la masse que les projets fous se réalisent.
Ce que je tente d’expliquer, c’est que vous, qui me lisez quotidiennement, avez vu le « puzzle ». Ainsi, vous ne pouvez pas le montrer à des gens qui n’en ont même pas vu cinq pièces.
J’insiste : vous avez regroupé et assemblé les pièces d’un grand puzzle à mille pièces ; vous avez vu le projet.
Le montrer de but en blanc à vos proches qui vivent dans le Médiavers est, selon moi, non productif. Leur psychisme ne peut pas l’encaisser, et leur réaction sera de vous considérer comme fous (complosophisme) ou de rire de votre analyse.
Non, vraiment, montrer le puzzle à des gens qui n’en ont pas vu ne serait-ce que cinq pièces serait comparable à demander à un enfant de lire un livre avant même de lui avoir enseigné l’alphabet.
Ainsi, voici ma recommandation : contentez-vous de leur montrer des "pièces", et seulement des "pièces". Sans débattre, sans faire de liens, sans les expliquer. Juste leur montrer des pièces, c’est-à-dire des faits.
Par exemple, leur parler
d’une affaire de corruption cachée par les médias,
d’un scandale de conflit d’intérêts étouffé,
d’une déclaration louche et inquiétante d’une élite,
d’une affaire de pédocriminalité impliquant des personnes dans les hautes sphères et dont les médias ne parlent pas…
Leur montrer ces pièces quotidiennement, sans jamais le faire pour entamer une réflexion, sans jamais établir de liens avec une autre "pièce" (un autre événement), sans jouer les sachants.
Juste leur communiquer une ou deux pièces par jour.
C’est une méthode que j’ai inventée et que j’utilise depuis quelques temps avec mes proches vivant dans le Médiavers.
Je crois qu’elle porte ses fruits.
Chaque jour, je leur envoie deux ou trois pièces du gigantesque puzzle, et cela prépare leur psychisme à accepter, en douceur, ce qu’il leur est pour l’heure impossible de regarder en face.
Évidemment, ce travail requiert un peu de tact, de la bienveillance et de la patience : c’est un travail de long terme.
La méthode opposée, celle qui consiste à montrer le "puzzle" dans son ensemble, est inefficace car trop brutale. Elle a l’effet inverse : vos interlocuteurs vous considèrent comme totalement fous et s’enferment ainsi encore plus dans le Médiavers.
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Jacques Le Bris
June 3, 5:06 AM
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Paraphrasant ce que dit Trump sur Macron, les 33 ans écoulés depuis le traité de Maastricht npur permettent d'affirmer que TOUT CE QUE TOUCHE L'UE SE TRANSFORME EN M... � ! pic.twitter.com/vc48y61yD8
— François Asselineau �� (@f_asselineau) June 2, 2025
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Jacques Le Bris
April 3, 4:56 AM
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Jacques Le Bris
March 21, 6:33 AM
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— h16 (@_h16) March 21, 2025
NDC : ainsi, ce pays est foutu.
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Jacques Le Bris
March 8, 4:32 AM
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Vrai coup de gueule après avoir engueulé des amis écolos : comment ont-ils pu être assez bêtes pour en faire - avec les #ZFE COMME DANS TANT D’AUTRES LOGIQUES PUNITIVES - pour faire de l’écologie un repoussoir, un projet de ségrégation sociale, au lieu d’imaginer une écologie… pic.twitter.com/GCOL9zOmUq
— Alexandre Jardin (@AlexandreJardin) March 5, 2025
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Jacques Le Bris
March 7, 2:29 AM
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Beaucoup soutiennent que Macron est vide, dépourvu d’intelligence, instable, et qu’il n’est rien d’autre qu’un pion vite oublié.
Je partage l’avis sur son instabilité et son vide en tant que pion, mais je ne crois pas qu’on oubliera cet homme, ni après son mandat, ni dans le siècle à venir.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, Emmanuel Macron est entré dans l’histoire.
En effet, s’il ne fait aucun doute qu’il est l’un des pires présidents de la Ve République, une question plus vaste demeure : Emmanuel Macron est-il le pire dirigeant de l’histoire de France ?
Même en remontant jusqu’à Clovis, il n’est pas si évident de trouver pire. Cette interrogation, loin d’être anodine, sera sans doute reprise par les historiens des décennies et des siècles à venir. Je ne tiens pas ces propos dans une optique populiste. Non, vraiment, la personne dont je parle ne se contente pas de détruire la France ou de révéler un fond exécrable ; l’affaire est bien pire : même sur la forme, elle provoque de l’urticaire.
Ce que je tente d’expliquer, c’est que non seulement cet homme mène une politique dévastatrice à tous les niveaux, non seulement son mandat a été synonyme d’une période de totalitarisme assumé, dangereux et extraordinairement liberticide, non seulement il joue avec le feu au point de risquer une troisième guerre mondiale, mais en plus, même lorsqu’il tente de se montrer bienveillant devant les caméras, cela sonne faux. On y décèle alors une personnalité narcissique, arrogante et méprisante. Ce qui, il faut le reconnaître, relève d’une sacrée performance.
Ainsi, conscient qu’il ne sera jamais un grand homme politique, Macron a peut-être obtenu ce qu’il cherchait : entrer dans l’histoire de France, et par extension dans l’Histoire tout court. Car oui, ce pion de l’oligarchie, aussi vide intérieurement, instable et médiocre communicant soit-il, ne sera jamais oublié.
Le nom de celui qui a déclaré vouloir « emmerder les non-vaccinés » restera gravé dans les mémoires, tout comme celui des grands despotes. Deux choses sont certaines : d’une part, cet individu est extrêmement dangereux ; d’autre part, il y aura un avant et un après Macron.
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Jacques Le Bris
January 23, 6:27 AM
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Source sur 𝕏 : https://x.com/bernathoustra/status/1882140990896783819
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Jacques Le Bris
January 16, 11:11 AM
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ZUCKERBERG BALANCE !
— Jean-Dominique Michel (@MichelJeanDomi1) January 15, 2025
Le point commun entre lui, Breton, Biden, Pain, Brigitte, Ursula, Klaus, Gates, Google, la "presse", l'état profond, Big Pharma ?!?
Ils ne vous veulent pas du bien.
Et ils n'aiment pas la vérité.
Mais ils se démasquent, jour après jour, crapulerie après… pic.twitter.com/MIqttd7rV4
ZUCKERBERG BALANCE !
Le point commun entre lui, Breton, Biden, Pain, Brigitte, Ursula, Klaus, Gates, Google, la "presse", l'état profond, Big Pharma ?!?
Ils ne vous veulent pas du bien. Et ils n'aiment pas la vérité. Mais ils se démasquent, jour après jour, crapulerie après crapulerie...
NDC : Le point de vue suisse* sur la #guerre de l'#information qui règne en Occident et qui oppose :
#Censure totalitaire v #Liberté d'expression
* Pays réputé pour sa neutralité.
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Jacques Le Bris
January 7, 7:15 AM
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Beaucoup lisent très mal la situation.
Attachez vos ceintures.
NDC : Je note à J-15 de son investiture, Trump fait tellement peur que Trudeau a démissionné au Canada...
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Jacques Le Bris
December 1, 2024 11:34 AM
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Le 7 novembre, je publiais dans un édito une lettre aux Français sous forme d'un J'Accuse version moderne envers tous ceux qui ont œuvré à ce que la France devienne terre d'incendies (sanitaires, sociaux, financiers, etc.) allumés par ceux-là même qui ensuite prétendent les éteindre. Ayant échangé avec de nombreuses personnes au sujet de son contenu, en voici la version augmentée de l'intelligence collective si chère au journalisme participatif et collaboratif décrit dans le Manifeste de France-Soir.
J'accuse les représentants de la Nation de trahir la confiance et le mandat du peuple français en votant des lois qu’ils ne s’appliquent pas à eux-mêmes (passe sanitaire) ; d’avoir voté des lois sur l’obligation vaccinale des soignants et d’autres professions, en ne respectant pas les données de la science ou se rangeant à des accords de groupe. Je les accuse aussi de ne pas s’être élevés contre l’envoi massif d’armes et de fonds en Ukraine sans contrôle du Parlement, et de ne pas s'être élevés non plus contre la mise en place d’un Conseil de défense, une entité qui a consacré l’obscurantisme de décisions sanitaires qui auraient dû faire l’objet d’une totale transparence. En outre, je les accuse de ne pas avoir exercé en temps et en heure le contrôle parlementaire, exigé par leurs fonctions, sur les dépenses et les engagements inconsidérés des gouvernements Macron, contraires à l’intérêt de la Nation et grévant l'avenir de nos enfants.
J'accuse le Conseil constitutionnel de valider les lois qu'il sait contraires à la Constitution et aux intérêts des Français.
J’accuse le ministère de la Santé et l’État de privilégier une économie de la maladie profitant aux grandes industries déjà globalisées au détriment de la santé de la population. Les prescriptions abusives de médicaments représentent ainsi aujourd’hui la principale cause de mortalité en Occident. Pas plus en France qu’aux États-Unis n’avons-nous de politique de santé digne de ce nom qui fasse de la bonne santé des Français une priorité.
Ensuite, j'accuse le ministre de la Santé d'avoir mené la plus grande escroquerie sanitaire, économique et sociale de l'Histoire moderne, permettant ainsi la perte de chance de nombreux patients, en n’ayant pas suivi les données de la science et les travaux de l’IHU méditerranée (financé par les impôts des Français) sur l’efficacité des traitements précoces. Enfin, j'accuse également le ministère de la Santé d'avoir promu une thérapie génique expérimentale sans avoir la totalité des études. « Tous vaccinés, tous protégés ! » était un slogan mensonger. Toute affirmation sur l'efficacité et la non-dangerosité de cette thérapie expérimentale aurait dû être accompagnée de réserves, et sa validité aurait dû être vérifiée, comme l’exige la déontologie des journalistes.
J'accuse en cela le Conseil d'État de manquement à ses devoirs en n'ayant pas censuré d'initiative ce slogan. Et, j'accuse le Conseil d'État de protéger l'État, plutôt que de protéger les citoyens contre les décisions de l'État qui sont manifestement contraires à la loi, et celles qui donnent la part belle à des données contraires à celles de la science.
J'accuse la Cour de justice de la République d’avoir protégé les déclarations fausses et fallacieuses du ministre de la Santé sur l’efficacité vaccinale et l’absence d’effets secondaires.
J'accuse le directeur général de la santé et le Conseil scientifique d'avoir hautement participé aux mensonges et à cette escroquerie en ne contribuant pas à éclairer les Français sur les réels choix scientifiques. Ceci ayant d’autant plus été démontré dans les RKI files en Allemagne.
J'accuse le conseil de l'ordre des médecins d'avoir coopéré à cette escroquerie, en faisant régner la peur et la terreur parmi les médecins qui soignaient. J'accuse le Conseil de l'ordre des Médecins et celui des pharmaciens d'avoir contraint les médecins et pharmaciens à violer leurs serments, leur éthique, leur déontologie en faisant usage de méthodes coercitives pour les empêcher de prodiguer les soins nécessaires à leurs patients, en les empêchant de recevoir leurs patients et de les opérer s'ils n'étaient pas vaccinés, avec un produit en phase expérimentale. D'avoir contribué à bannir de leur rang tous médecins et pharmaciens, qui fidèles à leurs engagements et vocations, ont soigné ou informé les patients en vertu des serments et des conventions internationales.
J'accuse l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé d'avoir contribué à la perte de chance des patients, en ne donnant pas une autorisation temporaire d’utilisation de l’hydroxychloroquine telle que cela lui fut demandé par l’IHU méditerranée, ou une autorisation sur l’ivermectine, et d’avoir à l'inverse fourni une autorisation temporaire sur les thérapies géniques, en absence d’études fondamentales sur la toxicité de ces produits (absence des données sur la bio distribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité). Et, j'accuse également l'ANSM d’avoir minimisé l’importance des effets secondaires et de ne pas avoir tout mis en œuvre pour obtenir (rétention d’information) les informations sur les données de mortalité des décès, toutes causes, avec statut vaccinal et par classe d’âge, ce qui aurait permis de démontrer sans faille les assertions des politiques.
J’accuse ceux qui ont privé les français des médicaments peu onéreux, non toxiques et efficaces en phase précoce de la maladie (comme l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine), ce qui les a empêchés de recevoir des soins très bon marché, indispensables, et faciles à mettre en place, et ce qui, par conséquence, a provoqué indirectement la mort de bon nombre de nos concitoyens. Une quantité qu’il s’agira d’estimer de façon fiable dans une troisième mi-temps, qui elle, devra être judiciaire, puisque certains médecins ont été jusqu’à faussement estimer une mortalité associée à l’hydroxychloroquine (étude rétractée).
J’accuse de nombreux leaders d’opinion, souvent professeurs de CHU, d’avoir tenté de discréditer, caricaturer un des scientifiques les plus reconnus dans le monde en matière de maladies infectieuses : le Professeur Raoult et ses collègues de l’IHU méditerranée, alors que leurs détracteurs qui n’ont en rien contribué à la science lors de l’épidémie de COVID-19, péroraient sur les plateaux de télévision sans contradicteur. En outre, souvent, ces mêmes médecins, leaders d’opinion, ont essayé par tous les moyens de promouvoir le « Remdesivir », très cher et toxique, absolument non utilisable même en phase précoce, seule phase où le traitement antiviral présente un intérêt.
J’accuse moult médecins et professeurs de médecine de venir distiller leurs opinions plutôt que les données de la science sur les plateaux de télévision, sans déclarer leurs conflits d’intérêt (revenus versés par Big Pharma. À partir de douze, on a un foyer épidémique de conflits d’intérêt ?)
J’accuse nombre de médecins d’avoir failli à leur mission, en premier lieu, dans l’esprit et le respect du serment d’Hippocrate : celle de soigner.
J’accuse une partie de la communauté scientifique, d’avoir voulu discréditer l’hydroxychloroquine et autres traitements précoces ; très certainement en raison de conflits d’intérêt avec le lobby pharmaceutique en concevant des études scientifiques biaisées évaluant l’hydroxychloroquine chez des patients déjà hospitalisés, donc à un stade de prise en charge souvent trop tardif ; des études administrant des doses toxiques (étude anglaise Recovery), et n’associant pas (pour la plupart d’entre elles) l’azithromycine et un timing approprié de soins accompagnés de comédications, comme les anti-coagulants et la dexaméthasone.
J’accuse les promoteurs des études «DISCOVERY » et «HYCOVID » d’avoir voulu effacer l’efficacité de ce médicament et de s’être empressés d’arrêter ou de suspendre le bras hydroxychloroquine. En effet, au 30 juin 2020, le bras hydroxychloroquine a été arrêté, alors que le ratio de risque donnait une évaluation positive en faveur de l’hydroxychloroquine, pas encore statistiquement significative, certes, mais si l’essai avait été poursuivi pour atteindre les 620 patients par bras comme initialement prévu, on aurait pu obtenir un résultat significatif consacrant l'efficacité du traitement.
J’accuse nombre de journaux scientifiques de publier l’impubliable. La meilleure preuve de malhonnêteté est l’immense scandale des articles publiés, puis rétractés (art.1, art.2, art 3), en particulier dans « The Lancet et autres revues. Car il faut savoir qu'un éditeur a tout pouvoir pour accepter ou rejeter un article indépendamment, de le faire passer par le système de revue par les pairs, voire éventuellement sans tenir compte de leur avis.
J’accuse une association française bien connue d'avoir propagé cette rumeur totalement fausse de la toxicité de l’hydroxychloroquine en instrumentalisant un rapport de pharmacovigilance sans regarder le fait qu’il n’y avait pas de signaux de toxicité dans d’autres pays.
J’accuse ceux qui ont menti et proféré tout et son contraire, tout au long de l’épidémie, d’avoir engendré des pertes de chance de patients et le désarroi dans de nombreuses familles. Lisons à cet effet les édifiants livres du professeur Perronne « Quelles erreurs n’ont-ils pas commises ? » et « Décidément, ils n’ont toujours rien compris ! » Rappelons simplement les recommandations sur les tests et les masques, qui furent successivement inutiles, puis utiles, au fur et à mesure qu’ils devenaient disponibles. Notons la tromperie sur les indicateurs évaluant la saturation du nombre de lits de réanimation, autour d’une confusion entre lits de réanimation, lits de réanimation et de soins intensifs, et peut-être lits de soins continus, sans que la différence ait été clairement stipulée (Nouvelle incohérence de Santé Publique France et du ministre de la Santé ou bien erreur volontaire).
J'accuse le Garde de Sceaux de sévérité indue envers les faibles, et de laxisme coupable devant les puissants, notamment en ce qui concerne les ministres et membres de la représentation nationale, pour leurs affaires de mœurs ou de stupéfiants.
J'accuse l'ordre des avocats de s'être montré un auxiliaire de cette justice partisane.
J'accuse les magistrats d’avoir contribué à violer l’indépendance de la justice, en ayant une approche protectrice, voire partisane ou politique, des décisions qu'ils ont prises en ce sens. Une application du droit à géométrie variable et à ajustements constants.
J'accuse le ministre de l'Économie d'avoir creusé la dette de façon abyssale, qui plus est non pas pour aider au destin de la France, mais pour lui nuire au plus haut point, en offrant une dette de plus en plus importante, sans limitation, sur les vivants et sur les enfants à naître.
J'accuse la Cour des comptes de toujours tirer la sonnette d'alarme trop tard, et pour les milliards d'euros qu'elle coûte aux Français chaque année... pour rien.
J'accuse le ministre de l'Intérieur de violences létales totalement injustifiées contre les Gilets Jaunes, les pompiers, les infirmières, les retraités, etc., qui manifestaient pacifiquement pour leurs droits, et je l'accuse aussi pour son défaut de réponse aux questions qui lui ont été posées par l'O.N.U. à ce sujet.
J'accuse le ministre des Affaires sociales de masquer les affaires de mœurs et de pédophilie qui gangrènent ses services de terrain.
J'accuse le ministre de l'Éducation nationale de contribuer à affaiblir le niveau d'éducation des enfants, en utilisant le plus petit commun dénominateur pour établir le niveau mettant au rebut la méritocratie prônée pendant si longtemps par l’institution qu’est l’Éducation nationale. Et, je l'accuse également d'inciter les enfants à la débauche au travers de programmes ciblant notamment l’éducation sexuelle et des sujets dépravants, totalement inappropriés pour leur très jeune âge. Ceci entraine un appauvrissement intellectuel et du rayonnement du modèle français, l'éducation étant un traitement précoce contre la pauvreté et foyer de découvertes, de progrès et de croissance.
J'accuse le ministre de la Recherche et de l'enseignement supérieur de dérives sectaires entrainant la perte de chance de patients et la prise de risque à d’autres personnes qui ne sont pas à risque (notamment les jeunes qui n’avaient pas de risque avec la Covid). Je l’accuse aussi de ne pas avoir pris la défense des scientifiques de l’IHU devant le harcèlement incessant subi durant les quatre dernières années avec de nombreuses inversions accusatoires et une instrumentalisation de la science.
J’accuse le ministre de l’Agriculture de rendre la vie impossible à nos agriculteurs, de les précipiter dans la précarité ou la faillite en sacrifiant les priorités que sont l'intérêt des Français et la sécurité de la Nation au profit d'une idéologie mondialiste qui nous éloigne des valeurs de la France et du préambule de la Constitution qu'est la Déclaration des droits de l'Homme. Cela entrainant des risques majeurs par la perte de notre autosuffisance alimentaire et de la destruction de l’économie agricole, de la culture et de la socialité rurales. Cela fait aussi prendre des risques de santé publique aux Français avec une nourriture moins saine ou ayant des standards de qualité inférieurs ainsi que par la pollution de la nourriture, des sols, de l’air et de l’eau.
J'accuse les partis politiques de pactes avec le gouvernement, pour servir leurs intérêts personnels, au préjudice de la France et des Français.
J'accuse le ministre de la Culture de détournement coupable et d'affaiblissement, à la fois drastique et méthodique, de la culture française, et surtout de partialité dans les attributions des certificats de médias ainsi que les aides aux médias. À ce titre d'ailleurs , « j'accuse » (avec humour) France-Soir d'avoir pris le temps de publier et de prendre des risques sur tous ces sujets, en essayant de défendre l'éthique et la déontologie du journalisme « quoiqu'il en coûte », conformément au devoir premier du journaliste.
J'accuse les médias asservis à l'oligarchie financière internationale et les médias subventionnés à milliards, de mentir aux Français et d'essayer d’exercer une emprise totalitaire sur le peuple, en tentant d’annihiler le débat contradictoire, qualifiant notamment toute pensée différente de « complotisme », usant de sarcasmes tout en évitant soigneusement les arguments rationnels et référencés. (3)
J’accuse les commissaires européens de détournement de pouvoir dans le cadre de l’approbation des inoculâts covid-19, sur des informations incomplètes, mettant ainsi en danger les populations des États membres. Et, par là même, j'accuse la Cour de justice de l'Union européenne de protéger ces décisions en ne rendant pas transparents ces contrats.
J’accuse le ministère des Armées d’avoir contribué à mettre en danger la défense nationale en imposant la vaccination obligatoire des militaires alors que de trop nombreux effets secondaires étaient déplorés au sein même des Armées et qu’ils n’étaient pas à risque de par l’âge des soldats.
J’accuse le médecin de l’Élysée d’avoir trahi la promesse de transparence du président Macron sur son état de santé, en ne produisant pas de bulletin de santé de celui-ci, tel que le président en avait pris l’engagement.
J'accuse le Premier Ministre et le ministre des Affaires étrangères d'avoir violé la Constitution en envoyant des armes en Ukraine sans l'accord du Parlement.
J’accuse en outre le gouvernement Macron de co-belligerance envers la Russie, mettant ainsi le peuple français en danger de guerre, alors que l’adhésion à l’ONU fait que la propagande de guerre est interdite, ainsi que de vouloir mutualiser l’arme de dissuasion nucléaire, ce qui place la France en défaut de ses obligations par rapport à son adhésion à l’ONU.
J’accuse le gouvernement de trahison envers la Nation et le Peuple français, en contribuant à faire rétrograder la liberté d’expression et les libertés fondamentales en France, et en pactisant avec une ou des puissances étrangères, pour entraîner la France dans une crise économique, sanitaire et d’identité sans pareille dans toute son Histoire dans un non-respect du préambule de la Constitution qu’est la Déclaration des Droits de l’Homme.
J’accuse le président de la République de vouloir enfreindre la loi de 1905 sur la séparation de l’église et de l’État en voulant délivrer un discours politique à l’intérieur de la cathédrale Notre-Dame lors de sa réouverture. Ce qu’aucun roi de France n’a jamais fait, et qui est proscrit par l’article 35-1 de la loi de 1905.
Et, enfin, j'accuse le président de la République d'être le chef d'orchestre de ce requiem et de ne pas agir dans le sens de l'intérêt général de la France et des Français. D'avoir mis la République en Marche, délibérément dans le sens totalement opposé à l’intérêt national.
Devant ces constats et avec seulement 3 % des Français qui pensent qu'il mène le pays dans la bonne direction, le devoir devrait l’appeler à remettre sa démission au bon sens du peuple français, ce qu'ont déjà fait certains grands de ce monde. Et à défaut, d'effectuer une série de référendums sur la direction à donner à la France et à en respecter leurs résultats.
NOTA : cette version augmentée est publiée suite à de nombreux échanges avec des lecteurs afin d'apporter quelques éléments qui avaient échappé à la version publiée le 7 novembre 2024. L'intelligence collective permet toujours de s'améliorer, tel que France-Soir en a fait le pari dans son manifeste publié le 1ᵉʳ mai 2020 (pour télécharger le manifeste)
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